CYBERBOUTIQUE VOGOT

Des prix barrés TOUTE L'ANNEE

De nombreuses promotions vous attendent

SITE ENTIÈREMENT SÉCURISÉ

VOGOT VOGOT

VOGOT

Le réveil des sens

VOGOT

Aluminium : ce métal est létal

Vous viendrait-il à l’idée de grignoter votre papier d’aluminium ou de croquer gaiement dans la portière de votre voiture ? Non ! Et pourtant, chaque jour, vous buvez l’eau du robinet, vous mangez une portion de fromage fondu sur une tartine de pain, suivi de quelques biscuits pour le goûter. Le matin, vous enduisez votre peau de crème nourrissante, avant de mettre une légère couche de fond de teint, un soupçon de rouge à lèvres […]. Eh bien, dans chacun de ces actes, vous croisez la route de l’aluminium ». Il est vrai qu’aujourd’hui, il est difficile de ne pas croiser le métal blanc. Son nom de code ? Al. Son numéro atomique ? Le 13, un chiffre qui a su lui porter bonheur et le propulser en haut des ventes de minerais. Son ascension est fulgurante : découvert il y a seulement 200 ans, il a réussi à séduire toute la planète. Que seraient nos voitures, nos avions, nos TGV et nos vélos sans lui ? Et que dire de nos fenêtres, nos gouttières, nos boissons ? On le retrouve de manière moins ostentatoire, camouflé dans les gâteaux, les bonbons, les fromages industriels sous les appellations E173, E523, E 541… Les cosmétiques ont glissé ses sels dans les crèmes solaires, les antitranspirants et le maquillage. Les sociétés d’eau potable en abusent pour clarifier l’eau de boisson et les laboratoires pharmaceutiques en truffent leurs vaccins et les font entrer sans vergogne dans la liste de leurs adjuvants.

Le métal de la discorde

Cette omniprésence du métal est une bonne nouvelle pour les industriels de l’aluminium, car « dans chacune de ses applications, l’aluminium, par sa légèreté, sa résistance et sa recyclabilité, présente un intérêt en termes de développement durable ». Pour eux, l’aluminium ne pose aucun problème de santé publique car l’homme est bien fait. « L’organisme dispose de barrières naturelles très efficaces contre la plupart des éléments étrangers, dont l’aluminium. Seule une très faible quantité de l’aluminium ingéré est absorbée à partir du tube digestif ; elle est éliminée par les reins. Le cerveau est, lui, protégé par la barrière hématoencéphalique. […] En cas d’ingestion d’aluminium, moins de 1 % de l’aluminium est absorbé à travers la paroi gastro-intestinale. Même lors de l’ingestion de médicaments contenant de grandes quantités d’aluminium, et ceci pendant des périodes très longues (le plus souvent plus de dix ans), il n’a pas été possible de mettre en évidence d’effet nocif de ces traitements sur la santé, comme l’ont montré deux études scientifiques menées en Norvège et au Royaume-Uni. »

Le très officiel Institut national de veille sanitaire n’est pas aussi dithyrambique. Dans son rapport « Aluminium, quels risques pour la santé ? » publié en 2003, l’Institut conclut que « longtemps considéré comme sans danger pour l’homme du fait notamment de sa très faible absorption par l’organisme, de nombreuses études montrent à présent que l’aluminium peut être toxique ». Mais, comme à son habitude, l’INVS modère son propos quelques lignes plus loin : « La détermination de l’impact sur la santé de l’exposition humaine à l’aluminium reste encore extrêmement difficile et source de nombreuses controverses. »

La dialyse de tous les dangers

L’aluminium ne serait qu’un méchant empoisonneur de plus ? Depuis une petite centaine d’années, les preuves s’accumulent. La première prise de conscience remonte à 1921, un peu plus d’un siècle après la découverte du métal. Dans la très sérieuse publication scientifique britannique The Lancet, on nous conte l’histoire d’un métallurgiste qui avait pour tâche de tremper des pièces métalliques chauffées au rouge dans un bain d’acide nitrique en utilisant un support en aluminium. L’homme développa rapidement une encéphalopathie. Plusieurs cas similaires d’encéphalopathie dite « à l’aluminium » seront par la suite rapportés chez des professionnels de l’industrie de l’aluminium exposés par voie respiratoire. Pourtant ces affaires ne font pas grand bruit. Le lien de cause à effet ne sera établi que cinquante ans plus tard grâce aux écrits de trois chercheurs portant sur des sujets souffrant d’insuffisance rénale traités en dialyse (Kerr, 1969, Alfrey, 1972, et Short, 1980). Tous trois montrent que ces dialysés à qui l’on administre de l’eau concentrée en aluminium développent des troubles de la parole, de l’équilibre et de l’humeur, souffrent de douleurs articulaires, de décalcification des os et d’anémie. Et que la plupart finissent par passer l’arme à gauche. À partir des années 1970, l’aluminium fut donc reconnu comme neurotoxique, lui dont personne n’avait jamais réellement suspecté la nocivité. Mais on cantonna sa dangerosité à une partie bien ciblée de la population, déduisant un peu hâtivement que le dysfonctionnement des reins, qui empêchait l’élimination de l’aluminium était en quelque sorte le seul responsable de ces troubles. 

Les antitranspirants nous font suer !

«Les recherches sont encore assez peu nombreuses, ce qui laisse planer un flou sur la dangerosité du métal. Pourtant quelques liens semblent d’ores et déjà évidents. » Parmi les faits troublants : le rapport entre les sels d’aluminium et les cancers du sein. En effet, on s’est aperçu que les cancers du sein étaient souvent situés dans le quadrant supérieur externe de la poitrine et que cette localisation des tumeurs augmentait avec le temps (31 % des cas en 1926 contre 61 % des cas en 1994). Les déodorants sont pointés du doigt. En 2006, pour tenter d’apporter un éclairage, le Journal of Applied Toxicology passe en revue toutes les études sur le lien entre déodorants, antitranspirants et cancers et le professeur Darbre, auteur de l’article de conclure : « Des études supplémentaires sont nécessaires pour mettre en cause clairement l’aluminium, contenu dans une grande majorité d’antitranspirants, dans l’augmentation des cancers du sein. » Bref, il y a un doute mais aucune certitude. La réponse sera donnée quelques mois plus tard. « Lors des Journées pyrénéennes de gynécologie pratique de 2006, rapporte Pierre Souvet sur le site de l’Association française Santé et Environnement (AFES), le Dr Gabriel André a fait un exposé permettant d’y voir plus clair. Le risque de cancer du sein est effectivement augmenté quand ces produits sont utilisés conjointement au rasage des aisselles. » Lors de sa présentation, le Dr Gabriel André cite une étude américaine de 2003 portant sur 437 femmes atteintes d’un cancer du sein. Celles n’ayant jamais utilisé ni déodorant ni antitranspirant et qui ne s’étaient jamais rasé les aisselles avaient un âge moyen de survenue du cancer du sein de 67 ans. Inversement, celles qui avaient usé et abusé des déodorants et des antitranspirants, tout en se rasant les aisselles, voyaient poindre le cancer à 59 ans, soit huit ans plus tôt. Dans sa conclusion, le chercheur préconise « d’éviter autant que possible les produits contenant de l’aluminium et qu’il ne faut surtout pas se servir de tels produits après un rasage ».

Se méfier de l’eau qui sort

Autre connexion désormais établie : le lien entre une eau chargée en sels d’aluminium et la maladie d’Alzheimer. Dans la majeure partie des régions françaises, excepté Paris, l’eau de consommation courante est traitée avec des sels d’aluminium. Certes, des filtres sont installés pour retenir le métal mais quelques particules passent toujours entre les mailles. Résultat, l’eau se trouve très souvent chargée en aluminium. Selon l’étude PAQUID (QUID sur les personnes âgées) menée par l’INSERM de 1988 à 1996 dans 71 communes de Dordogne et en Gironde, les habitants dont l’eau du robinet affiche plus de 100 microgrammes d’aluminium par litre courent deux fois plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer que les autres. Pourtant, rien ne fait changer la réglementation qui autorise toujours 200 microgrammes par litre. « Les connaissances scientifiques actuellement disponibles ne permettent pas de définir une valeur sanitaire maximale admissible pour cette substance, comme le soulignent l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) », explique la circulaire du 8 mars 2006 de la Direction générale de la santé. « Toutefois, estime la DGS, il est nécessaire que les installations de traitement utilisant des sels d’aluminium soient conçues et exploitées de manière à garantir en permanence le respect de la référence de qualité de 200 µg/l. »

Rassurant, quand on sait que les risques doublent à plus de 100 µg/l et que, de surcroît, en 2007, selon l’AFSSA, 4,5 % des Français ont bu une eau contenant un taux de sels d’aluminium supérieur à cette norme. Les Parisiens jouissant d’eau sans aluminium seraient-ils les seuls à pouvoir espérer vieillir sains d’esprit ?

Les enfants d’abord

Quelle est la dose d’aluminium que le corps peut supporter ? La question fait débat aujourd’hui. Il semblerait que la réponse ne soit pas universelle et qu’elle varie selon la nature des individus. La tolérance aux vaccins en est la parfaite illustration. Certains individus peuvent cumuler tous les vaccins sans encombre, d’autres en subissent de graves conséquences.

Là encore, difficile d’éviter le métal. Pour réduire la dose d’antigènes et renforcer les réactions immunitaires, les laboratoires ont ajouté à leurs médicaments des adjuvants à base d’aluminium. En France, 47 % des vaccins contiennent de l’aluminium. À quelles doses ? Difficile de le savoir, les étiquettes sont souvent très peu lisibles et lorsque l’information est donnée, elle concorde assez mal avec le Vidal, la bible des pharmaciens, qui répertorie l’ensemble des médicaments commer­cialisés en France. Dans son livre, Virginie Belle a fait les calculs pour les bébés. Si l’on considère le calendrier des obligations vaccinales françaises, « entre 2 et 16 mois, un nouveau-né reçoit au bas mot 2,46 mg d’aluminium dans ses muscles. » Rapportées au poids de l’enfant, ces doses sont astronomiques. En effet, l’OMS estime que « si des adjuvants à base d’aluminium sont utilisés, leur concentration ne doit pas dépasser les limites habituelles de 1,25 mg par dose destinée à l’homme. »

Aux États-Unis, cette dose a été revue à la baisse. La Food and Drug Administration, l’organisme qui a le mandat d’autoriser la commercialisation des médicaments aux États-Unis, ne recommande que 0,85 mg par dose. Et chez les nouveau-nés ? Pour le moment, aucune étude n’a porté sur le sujet. Normal, les pouvoirs publics considèrent toujours que l’aluminium est sans danger.

Piqûre de rappel

Pourtant, une nouvelle maladie semble tout droit sortie de ces vaccinations à l’aluminium : la myofasciite à macrophages (MFM). Elle se traduit par des douleurs musculaires dans les bras et dans les jambes, une fatigue intense et des problèmes d’élocution et de mémoire. Après de nombreuses études et observations et à la demande expresse de l’Association française contre les myopathies, les chercheurs ont établi à la fin des années 1990 un lien entre cette nouvelle pathologie et l’administration de vaccins contenant de l’aluminium. Une cinquantaine de patients atteints de MFM ont subi des biopsies qui ont montré que leurs muscles renfermaient des cristaux d’hydroxyde d’aluminium et que le dosage d’aluminium moyen atteignait 584 microgrammes de métal par gramme de muscle. Ce taux n’est que de 10 microgrammes par gramme chez un sujet sain. Or, fâcheuse coïncidence, il se trouve que ces personnes avaient été vaccinées contre les hépatites A, B ou le tétanos, trois vaccins aux adjuvants aluminés.

Devant ces résultats, l’OMS a demandé une étude épidémiologique dont l’AFSSAPS s’est chargée. Mais seulement 26 patients ont été interrogés et les résultats prêts en octobre 2003 sont restés confidentiels. En 2004, devant la pression des malades et des chercheurs, l’agence finit par publier les conclusions de l’enquête. « Les résultats de l’étude confirment que, par rapport aux témoins, une forte proportion des personnes présentant la lésion a reçu un vaccin contenant de l’aluminium, dans les dix ans précédant les premiers symptômes. […] L’étude n’a pas permis de conclure à une association entre la lésion et l’existence d’un syndrome clinique spécifique. » « Autrement dit, s’insurge Virginie, la MFM n’est pas reconnue comme une complication de vaccins. » Depuis, l’affaire a été enterrée malgré les cinq nouveaux cas de MFM par mois et la pression grandissante des malades.

Mais personne ne semble se soucier de leur cas. Surtout pas Roselyne Bachelot qui, l’an passé, a lancé sa campagne de vaccination contre la grippe A. 6 millions de personnes ont reçu des doses de vaccins contenant de l’aluminium. Combien présenteront les symptômes de la myofasciite à macrophages ?

Qu’importe, dans dix ans, Roselyne sera à la retraite…

 

 

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

 
CYBERBOUTIQUE VOGOT
×