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  • Mycothérapie : appuyez sur le champignon

    • Par vogot
    • Le 20/11/2020

    Qu’est-ce que la mycothérapie ?

    La mycothérapie est une discipline en pleine expansion et donne régulièrement lieu à des congrès internationaux. Et pour cause : parmi les 15 000 espèces de champignons identifiées dans le monde, environ 650 ont une valeur thérapeutique connue. Certains sont intégrés depuis longtemps dans la médecine traditionnelle chinoise, pour leurs nombreuses vertus sur la santé, les plus réputés étant d’ailleurs les champignons asiatiques, dont le reishi, le shiitaké ou le maïtaké ou encore le cordyceps.

    Le monde des champignons est un règne à part. Ils sont organisés en réseau sous-terrain permettant la communication des arbres entre eux. C’est un véritable écosystème mutualiste de la forêt. Le champignon représente à la fois le système immunitaire, le système digestif et le système nerveux de la forêt.

    Ce qui est fascinant est que le génome des champignons est très proche du génome humain. Nous sommes donc très réceptifs à la mycothérapie, bien plus qu’aux plantes dont le génome est plus éloigné. Ceci explique les effets très bénéfiques sur le corps humain. Les études cliniques se multiplient pour tacher de démontrer les grandes capacités curatives des champignons.

    Pour optimiser les vertus de la mycothérapie, il est nécessaire que le champignon soit pur, que le chapeau, le pied et surtout le mycélium soient utilisés.

    Il est également important que les écorces sur lesquelles ils poussent soient bien choisies pour leur richesse en micro-organismes.

    En effet les champignons captent l’ensemble des substrats bénéfiques présents dans les écorces comme par exemple le sélénium ou encore les polyphénols, ce qui offre une synergie encore plus bénéfique.

    Les champignons sont riches en minéraux, vitamines, oligo-éléments rares, acides aminés, enzymes, antibiotiques naturels, fibres, polysaccharides favorables au microbiote et antioxydants.

    Les champignons contiennent de plus une grande concentration de bêta-glucanes spécifiques qui se fixent sur les récepteurs immunitaires, ce qui favorise grandement l’action de ces cellules. Les bêta-glucanes activent de fait le système immunitaire. Les champignons les plus riches en bêta-glucanes sont le shiitaké, le maïtaké, le reishi et le pleurote.

    Des vertus innombrables

    Ils s’associent parfaitement avec l’allopathie et la phytothérapie.

    Les crises curatives sont rares et il n’y a pas d’interactions avec les médicaments, notamment avec la chimiothérapie.

    Deux des domaines d’action des champignons sont l’immunomodulation et la lutte antivirale d’une part , et la stimulation des cellules-souches et des tissus nerveux d’autre part. On trouve cette propriété surtout chez l’hydne hérisson (Hericium erinaceus) qui, en déclenchant la synthèse de croissance des nerfs (NGF), se révèle prometteur dans des pathologies aussi différentes que les neuropathies périphériques, la maladie d’Alzheimer ou la dégénérescence rétinienne. Beaucoup de champignons médicinaux sont aussi antioxydants, et leur grande polyvalence permet de les consommer sous forme de cures régulières de sept jours par mois, par exemple.

    La mycothérapie, un soutien du système immunitaire

    Pas moins de cinquante espèces de champignons ont un impact sur le système immunitaire, première barrière préventive contre la maladie, les infections et les virus grâce à leurs principes actifs (béta-glucans, lectines, terpènes, terperpénoides…). La rareté et le coût des remèdes allopathiques antiviraux (le marché des immunomodulants était de 145 milliards de dollars en 2012 avec une croissance de 8 % par an) expliquent l’énorme intérêt pour les champignons médicinaux et l‘impressionnante bibliographie internationale sur le sujet.

    Des anti-cancers

    Lorsqu’on connaît le lien entre le cancer et la présence durable de certains virus (hépatites, papillomavirus, virus d’Epstein-Barr…) ou bactéries (Helicobacter pylori) dans le corps, on comprend l’utilité des champignons médicinaux dans la prévention ou la lutte contre le cancer. Certains d’entre eux favorisent en outre l’autodestruction des cellules cancéreuses ou leur destruction par nos globules blancs ou leucocytes tueurs (NK). Parmi les champignons les plus puissants, on retiendra notamment le shiitaké (Lentinula exodes) et le Coriolus versicolor. Il agit contre les virus de l’hépatite B, de l’herpès et favorise la destruction des tumeurs.

    Quelle forme privilégier ?

    Les principes actifs des champignons médicinaux sont peu assimilables lorsque ces derniers sont consommés entiers, du fait de la présence de chitine, un composant qui limite leur absorption. Pour profiter aux mieux de leurs vertus thérapeutiques, deux solutions s’offrent à vous : la consommation de poudre du mycélium du champignon, ou bien des extraits aqueux ou hydro-alcooliques vendus comme complément alimentaire.

    Contrairement à celui de complément alimentaire, le statut réglementaire de l’aliment n’implique ni culture hors-sol, ni ambiance stérile, ce qui permet de conserver les précieuses endobactéries vivantes. La consommation d’extraits titrés offre quant à elle une stabilité dans la teneur en principes actifs, ainsi que des produits stériles.

    Les champignons sont particulièrement intéressants dans l’accompagnement du cancer, ils sont protecteurs cardio-vasculaires et régénérant du système nerveux.

    Zoom sur les principaux champignons

    Le shiitaké

    Le Shiitaké est le champignon du foie, idéal pour le tropisme hépatique. Il nourrit le microbiote grâce à son action prébiotique. Il est intéressant en cas de candidose. Il est antibactérien et alcalinisant. Il stimule le système immunitaire et contribue à améliorer la qualité de vie des malades du cancer. Il est utilisé comme traitement complémentaire du cancer du côlon. Il protège le système cardio-vasculaire par ses effets hypocholestérolémiants, hypolipidémiants et vasodilatateurs. Enfin c’est une bonne source de vitamine D.

    Le reishi

    C’est un champignon adaptogène, il renforce les défenses immunitaires, augmente la résistance générale de l’organisme et sa vitalité, on le surnomme d’ailleurs le champignon de longue vie. On utilisera donc le reishi en cas de fatigue chronique ou de convalescence, notamment en suites de chimiothérapies ou radiothérapies. Il possède une action anti-inflammatoire et sera donc intéressant en cas d’allergies, de troubles respiratoires ou d’asthme. Il diminue le stress physique et psychique, c’est un grand relaxant. Il est enfin fort intéressant dans les cas d’hypertension.

    Le maïtaké

    On l’appelle le roi des champignons pour sa richesse en bêta-glucanes. Il est associé à la chimiothérapie car il augmente son efficacité. Il est anti-tumoral, immuno-modulateur et antioxydant. Le maïtaké montre des effets bénéfiques sur le diabète en régularisant la glycémie, l’hypertension et le cholestérol. C’est un bon stimulant immunitaire et ses propriétés adaptogènes en font un bon allié du stress.

    Le cordyceps

    Comme ses congénères, ce champignon montre un grand champ d’action. Le cordyceps est adaptogène, antioxydant, stimulant du système immunitaire, protecteur rénal, hépatique et aphrodisiaque, on le surnomme d’ailleurs le viagra tibétain.

    La crinière de Lion

    Ce champignon a des actions importantes sut le système nerveux, notamment sur les pertes de mémoire, les troubles cognitifs et les maladies neurologiques. Grâce à sa richesse en prébiotiques, c’est un grand allié des troubles digestifs liés à l’estomac et à l’intestin, notamment dans la lutte contre Hélicobacter pylori et la régénération de la muqueuse intestinale. Il a également une action bénéfique sur l’ensemble de l’organisme, sur la lutte contre la fatigue physique, la fatigue mentale et le stress.

    Le pleurote en forme d’huître

    C’est un prébiotique, riche en bâta-glucanes, vitamines et minéraux. Il est apprécié pour renforcer le système immunitaire en cas d’infections virales et chroniques, en cas de mycoses et pour renforcer l’ensemble de l’organisme. Il comporte des antioxydants, a des vertus anti-tumorales et régule le cholestérol.

  • Eczéma : comment s'en débarrasser naturellement et définitivement

    • Par vogot
    • Le 04/11/2020

    Comme je l'expliquais dans l'article Eczéma, cette maladie inflammatoire de la peau, aigüe ou chronique, n’est pas contagieuse mais en revanche ses symptômes peuvent être extrêmement pénibles et perturbants.

    C’est une maladie qui fonctionne par poussées, d’intensité et de durées variables qui peuvent être favorisées par le stress ainsi que des facteurs environnementaux. Toutes les maladies de peau comme l'acné, le zona, le psoriasis, l'eczéma, ont en premier lieu des origines psychologiques et notamment le stress, qui est inflammatoire. Nous verrons cela en détail dans cet article.

    De plus en plus de personnes sont touchées par cette affection.

    Deux formes d'eczéma

    L’eczéma atopique ou dermatite atopique et l’eczéma de contact.

    • L’eczéma atopique est souvent corrélé à une prédisposition génétique et allergique.

    En cas d’allergie, le système immunitaire est désorienté, il se défend face à des substances normalement inoffensives comme le pollen, les moisissures, les acariens ou certains aliments.

    C’est en réalité une réaction de défense du système immunitaire qui est anormale et disproportionnée.

    En phase d’allergie, le sujet au contact de l’allergène va mobiliser ses anticorps et déclencher une réaction immunitaire exagérée.

    Lors de la première rencontre avec l’antigène, nom que l’on donne à la substance étrangère, l’organisme va fabriquer des anticorps spécifiques, appelés IgE, n’engendrant aucune manifestation physique.

    C’est par contre lors du deuxième contact avec ce même allergène que les anticorps vont libérer des substances inflammatoires en grande quantité, notamment de l’histamine, provoquant ainsi une cascade de réactions allergiques, comme de l’eczéma.

    Ces réactions peuvent être associées à de l’urticaire, de l’asthme, des conjonctivites, des rhinites et des allergies alimentaires.

    Les symptômes se manifestent le plus souvent au niveau du visage, du cuir chevelu et dans les plis cutanés.

    Cette forme touche en particulier les enfants et disparaît dans la plupart des cas à l’adolescence.

    • L’eczéma de contact concerne davantage les adultes, c’est une réaction à une substance étrangère qui peut être par exemple un produit cosmétique, une teinture pour cheveux, du latex, du nickel ou encore un produit ménager.

    En général la réaction apparaît entre trois et dix jours après le contact.

    L’éviction totale de la substance allergène est nécessaire pour éviter toute réaction, le plus difficile restant d’identifier cette substance.

    Le point sur les causes de l’eczéma

    Comme nous l’avons vu ci-dessus, pour certains eczémas, les causes ont une origine génétique ou/et allergique.

    Le système immunitaire très réactif et sur la défensive est aussi impliqué.

    Le stress est également un facteur favorisant, étant inflammatoire pour l’organisme.

    Par ailleurs la peau et le système nerveux faisant partie du même feuillet embryonnaire, ces deux systèmes sont intimement liés et un problème de peau est ainsi souvent connecté à un stress.

    Un certain nombre de facteurs environnementaux sont également à l’origine de l’eczéma, comme les différents polluants que nous trouvons dans l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et les aliments industriels que nous ingérons.

    Enfin, l’allaitement artificiel et une exposition prématurée aux allergènes alimentaires de l’enfant ont montré une prédisposition aux réactions allergiques.

    Le décodage biologique

    L’eczéma peut être lié à un conflit de séparation, dans ce cas l’organisme va tenter de réduire la distance avec l’objet de séparation en enlevant de la peau qui devient alors beaucoup plus sensible à une possibilité éventuelle de contact.

    La localisation de l’eczéma sera intéressante pour affiner éventuellement une relation de cause à effet.

    Ceci dit, ce n’est qu’une origine parmi d’autres, il convient de rester prudent et de prendre le temps de connaître le patient pour se diriger vers une telle éventualité.

    Des solutions 100% naturelles pour se débarrasser de l’Eczéma

    L’inflammation étant à l’origine de l’eczéma, on proposera par conséquent une alimentation anti-inflammatoire.

    Il est donc nécessaire de supprimer tout aliment pro-inflammatoire, c’est-à-dire tout ce qui est industriel, raffiné, transformé, à base de sucres, de produits laitiers et de gras saturés, mais également supprimer le gluten (gliadine et aveline) et les mauvaises associations alimentaires.

    Une alimentation la plus naturelle possible est largement conseillée, à base de fruits et légumes frais et de saison.

    De même, les aliments anti-inflammatoires bien pourvus en oméga-3 sont recommandés comme les petits poissons gras et les huiles de noix, colza, cameline, chanvre ou lin.

    Un foie surchargé souvent en cause dans l’eczéma sera drainé ou protégé selon la vitalité du patient et il sera aussi important de regarder l’état de l’intestin et du microbiote en cas d’inflammation.

    Des probiotiques ou des plantes destinées à réparer la muqueuse intestinale peuvent être nécessaire. C'est là qu'est nécessaire tout le travail de votre naturopathe qui saura vous conseiller efficacement.

    Nous avons vu ci-dessus que le stress accompagne souvent l’eczéma, apprendre à gérer stress et émotions est donc souvent indispensable, en passant par un suivi thérapeutique délivré par un conseiller en santé, par exemple, qui prendra tout le temps nécessaire dans l'explication et la compréhension de cette affection.

    On peut avoir recours à différents outils comme la cohérence cardiaque, l’EFT, la sophrologie ou encore la méditation, la relaxation.

    La phytothérapie peut aussi apporter son aide avec des plantes adaptogènes ou selon le type de symptômes associés de la mélisse et la valériane, du figuier de la passiflore ou encore de l’aubépine.

    Les fleurs de Bach pourront venir soutenir le terrain émotionnel, et notamment les Complexes de Secours en cas de stress immédiat.

    Bien évidemment l’exercice physique a un rôle important à jouer dans la diminution du stress, l’estime de soi et les bénéfices apportés à la peau.

    Le soleil est souvent favorable à l’eczéma à partir du moment où on s’expose avec modération avant onze heures et après 17 h.

    Eczéma sec ou suintant

    Votre naturopathe adaptera les associations et les posologies en fonction de votre terrain. Cette approche est essentielle. Elle sera étudiée grâce à une anamnèse.

    Enfin pour soulager la sécheresse de la peau et apporter de l’apaisement au niveau local des crèmes à base de bardane, de calendula, de violette, de chanvre ou des huiles de bourrache, d’avocat ou de calophylle seront largement appréciées.

    Des cataplasmes d’argile verte, des bains d’avoine ou encore de l’Aloe Vera seront également très utiles et réconfortants.

    L'Elixir du suédois est le breuvage par excellence permettant de rétablir les fonctions digestives et ainsi agir sur tout le corps. Ce complexe de plantes digestives va agir en synergie afin d'éliminer les toxines accumulées dans l’organisme en stimulant le transit et le foie, pour purifier en profondeur.

    Encore une fois, le traitement devra être adapté en fonction de nombreux paramètres qu’il sera important d’identifier pour obtenir des améliorations satisfaisantes sur la durée et réconforter le patient.

  • Ester-C - Renforcement du système immunitaire

    • Par vogot
    • Le 03/11/2020

    Qu'est-ce que l'Ester-C

    Mis au point dans le début des années 80, l’ester-C est synthétisé par un procédé aqueux (sans solvant), à partir d’un produit de bio-fermentation naturelle.

    Ester-C est un complexe breveté contenant la vitamine C sous la forme ascorbate de calcium (non acide) et de petites quantités de métabolites de la vitamine C. Ces petites quantités de métabolites de la vitamine C permettent d’augmenter la biodisponibilité de l’Ester-C.

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    Bio-fermentation naturelle

    C'est une ancienne méthode utilisée par de nombreux peuples à travers le monde pour conserver les aliments. Même avant l’agriculture, l’homme fermentait des plantes sauvages. Aujourd’hui, le procédé a pris un pas de recul en raison de la réfrigération. Cependant, plusieurs l’utilisent encore pour ses bienfaits sur la santé, dont l’amélioration de la flore intestinale. La bio-fermentation naturelle est donc un procédé scientifique exclusif, mettant en œuvre des bactéries lactiques, ce qui amplifie certaines qualités souhaitées que l'on trouve à l'état naturel. Utilisé également pour la papaye, la Coenzyme Q10 ou Ubiquinol-10 ou l'Acide Hyaluronique.

    Métabolite : Définition

    Un métabolite est un composé organique intermédiaire ou issu du métabolisme. On réserve ce terme en général aux petites molécules et aux monomères, par opposition aux macromolécules. Ainsi, le glucose est un métabolite, contrairement au glycogène, qui est un polysaccharide de poids moléculaire très élevé. Pour la vitamine C, ce sont les acides L-thréonique, L-lyxonique et L-xylonique.

    Renforcement du système immunitaire

    Aucune étude n’a démontré une meilleure absorption de l’Ester-C par rapport aux autres vitamines C synthétiques ou la vitamine C naturelle.

    Certains fabricants stipulent que cette vitamine C est 4 fois mieux assimilée. Ils expliquent cette biodisponibilité, car l'Ester-C contient des métabolites actifs de vitamine C, tels que du L-thréonate, comme nous l'avons vu ci-dessus.

    Or, l'étude à laquelle cette affirmation fait référence conclue qu'il n'y a pas de différence significative entre les concentrations sanguines de vitamine C pour les 2 formes. C'est le taux de vitamine C dans les leucocytes qui est 4 fois supérieur, et non le taux sanguin. Donc, cela indique que l'ester-C est 4 fois mieux assimilée par une partie du système immunitaire, mais pas par l'ensemble de l'organisme.

    Ainsi, on peut dire aujourd'hui que l'intérêt principal de cette formule réside dans sa capacité à renforcer plus efficacement le système immunitaire.

    Quel intérêt de prendre de l'Ester-C ?

    L'ester C est une forme de vitamine C qui a en partie démontré son intérêt sur 2 aspects:

    • elle renforce le système immunitaire de façon accrue;

    • elle est très bien tolérée par les personnes aux muqueuses digestives sensibles.

    En dehors de ces particularités, elle a les mêmes propriétés que la vitamine C classique.

    Parfois, vous pouvez trouver des comprimés Vitamine C renforcée renfermant une forme unique et brevetée de vitamine C couplée à de la vitamine E. La vitamine C contribue au fonctionnement normal du système immunitaire tandis que la vitamine E contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif.

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    Selon l'EFSA‌, la vitamine C et la vitamine E sont bénéfiques pour :

    • fonctionnement normal des os, des cartilages, de la peau, des tissus en général

    • métabolisme énergétique normal

    • fonctionnement normal du système nerveux

    • fonctions mentales et psychologiques normales

    • fonctionnement normal du système immunitaire

    • réduction de la fatigue

    • protection des cellules contre les radicaux libres (effet antioxydant), dû au stress oxydatif

    • absorption de fer

    Système immunitaire renforcé

    Un essai clinique a démontré que le niveau de rétention d’Ester-C dans les leucocytes du système immunitaire est supérieur à la vitamine C naturelle. L’Ester-C est capable de rester jusqu’à 24 heures dans les leucocytes. D'autres études ont montré que les métabolites présents dans l’Ester-C pourraient augmenter l'utilisation de la vitamine C par les leucocytes.

    Confort digestif

    La vitamine C sous forme Ester-C préserve les estomacs sensibles, elle est moins acide et plus douce pour l’estomac par rapport à l’acide ascorbique. Elle peut être mieux tolérée par les personnes souffrant de reflux acide, comme le montre une étude menée auprès de personnes sensibles aux aliments acides.

    En effet, les scientifiques ont montré que l'Ester-C par rapport à l’acide ascorbique provoque moins d'effets indésirables gastriques chez les participants sensibles aux aliments acides. En raison de son pH neutre, les effets secondaires épigastriques sont significativement diminués, comparativement à une consommation de vitamine C classique.

    L’Ester-C est plus efficace contre le scorbut (carence en vitamine C) et pour diminuer les taux d’oxalate (un métabolite de la vitamine C). Tout comme la vitamine C naturelle, la prise d’Ester-C en prévention réduit la durée des rhumes. Le calcium de l’Ester-C apporte une partie des besoins quotidiens en calcium.

    Posologie

    Réservé à l'adulte : une gélule par jour à avaler de préférence pendant le repas, ou sur recommandation d'un thérapeute.

    Précautions particulières

    • Respecter le mode d'utilisation et la dose recommandée.

    • Consultez votre praticien de santé avant de l’utiliser en cas de grossesse, allaitement, maladie, d'insuffisance rénale ou usage de médicaments.

    • Tenir hors de portée des enfants.

    • Conserver à température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité.

    • Les compléments alimentaires ne remplacent pas une alimentation équilibrée et dissociée.

    • Un mode de vie sain est préconisé.

    La prise du soir n'empêche normalement pas de dormir, mais il peut y avoir des sensibilités individuelles. Suivre les conseils de votre praticien de santé, qui respecte les dispositions légales pour les dosages d'apport journalier en vitamine C.

  • Cinquième élément: Le secret dévoilé

    • Par vogot
    • Le 28/10/2020

    Je vais vous révéler un secret jalousement gardé: comment accéder au cinquième élément.

    Ce n'est pas du Besson !

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    Depuis la nuit des temps, l'être humain est guidé par des lois universelles: attraction, don, ubiquité, spiritualité, moindre effort, etc.

    Ces lois, que vous acceptiez ou pas, sont des lois fondamentales, c'est à dire qu'elles sont le fondement de toutes créations, la base même de la vie, de tous les êtres qui peuplent l'Univers. Elles nous régissent.

    Inévitablement, inconsciemment ou consciemment, votre chemin sera dirigé par ces lois, c'est un fait indéniable.

    Nous venons au monde sous forme de minuscules êtres et nous grandissons au gré des éléments. Sans y être complètement soumis pour autant. Notre libre choix nous pervertis parfois, nous rend malhonnêtes envers nous. Nous sommes créateurs de notre vie. Heureusement, les éléments ont une influence sur celle-ci et nous aident à retourner sur le droit chemin. Si nous savons les écouter...

    Chacun d'entre eux, air, terre, feu et eau est le garant de notre état d'esprit, de notre corps, de nos émotions, de notre énergie intérieure et extérieure en équilibre parfait.

    L'air est l'émotion qui gouverne le mental. La terre nourrit notre cœur, notre corps. L'eau, c'est l'énergie qui coule en nous. Le feu représente nos ressources intérieures, notre mine de minéraux.

    Ces éléments sont et devraient être tous sur la même longueur d'onde afin de nous faire vibrer. L’harmonie des sons sur la portée de notre vie. Est-ce toujours le cas ? Sont-ils toujours en cohérence ?.... Corps errance....

    L’alchimie est notre squelette, notre corps, notre carbone qui en grandissant se façonne, se "facettise", devient diamant. Certaines facettes sont mises en lumière et d'autres dans notre côté sombre. Notre éducation familiale, scolaire, nos expériences de vie parfois nous brident, nous frustrent. Des barrières se mettent en travers de nos rêves d'enfants, de nos idéaux, de notre mission ici-bas et nous déconnecte de notre moi intérieur, nous les acceptions tant bien que mal. Nous sommes responsables consciemment et inconsciemment.

    Revenons aux éléments, puisque c'est le thème de cet article.

    Je vais devoir les énumérer dans un certain ordre, mais celui-ci n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Aucun élément n'est au-dessus d'un autre. Je vous invite à les lire dans l'ordre que vous choisirez.

    L'air est donc en lien étroit avec notre mental, nos pensées positives ou négatives. C'est cet élément qui provoque des idées changeantes dans notre tête, les émotions qui bouleversent notre vie si nous nous laissons à tout vouloir contrôler. Quand nous sommes soumis à l'élément air, les conflits intérieurs provoquent des turbulences. A trop réfléchir nous mettons des barrières devant nos rêves et nos idéaux. Les pensées sont créatrices, l’inhibition mentale est destructrice.

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    La terre est dans notre cœur. Nous l'aimons, la chérissons quand nous sommes connectés avec elle. Dans le cas contraire, nous la détruisons, lui faisons du mal sans savoir qu'en fait nous nous faisons du mal. Tout ce qui touche la terre nous touche radicalement. L'autodestruction serait-elle en action actuellement ? Après la mort vient la vie. Cycle éternel, immuable !

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    Le feu est représenté par nos ressources intérieures. Certaines exploitées, d'autres pas. Une introspection permet de se mettre en lien avec elles, de faire le tri, de regarder plutôt que de voir, pourquoi nous sommes de piètres explorateur de notre vie intérieure, tournée vers le monde virtuel. Le réel est en nous, nous avons les diamants, les rubis, les saphirs, les émeraudes, les outils pour aller les chercher, mais n'avons pas le mode d'emploi pour utiliser ces outils. Que s'est-il passé ? Maladresse, perte de confiance en soi, ignorance, éducation superficielle..... Mise en valeur flouée ? Le volcan est endormi.

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    L'eau correspond à cette énergie que nous avions enfant. L'innocence, la spontanéité, les rêves nourris par une capacité à vouloir créer l'insurmontable. Cet élément flue en abondance dans notre corps et passe, quand nous sommes petits, en nous, autour de nous et à travers nous. L'eau c'est la vie circulante, qui ne peut pas être retenue, stoppée, bien que, au fil du temps, les barrages deviennent si hauts et si grands que cette belle énergie finit pas être bloquée. L'eau croupit et nous rend malade dans notre corps, notre cœur, notre tête. Lymphatiques d’une vie devenue austère. sans odeur, sans saveur.

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    Mais alors qu'en est-il du 5ème élément ? Patience, j'y viens... Je vous sens trépigner. Marquons une pause, prenez la respiration, je vous l'offre. Un grand bol d'air, un relâchement de l'esprit, le cœur ralentit, le feu se dissipe momentanément. Allez on y revient, respiration encore une fois, profonde, de plus en plus profonde.... Nous y sommes presque. Relaxation, méditation, les yeux fermés, de belles images nous viennent. Pardon, acceptation, guérison, ces mots vous parlent, oui, non ?

    Voilà, je vous sens prêtes et prêts... Je continue.

    L’idéal, le but à atteindre, la mission, le rêve d'enfant, tout ce que vous avez mis de côté parce que le regard des autres vous a formaté à leur image. La peur qui vous terrifie et vous garde dans votre zone de confort. Le manque de confiance détruit plus de rêves que l’échec. L'effet miroir qui vous fait réagir, par transfert, sur la personne face à vous, car telle cicatrice non guérie vous met en émoi.

    Lâcher-prise ne veut pas dire laisser-aller.

    Quand les éléments que j'ai cité au-dessus seront en parfaite cohésion, bien connectés à l'Univers, donc à vous, à ce moment-là et UNIQUEMENT à ce moment-là apparaîtra le cinquième élément. Votre âme vibrera en harmonie avec votre monde, vous serez pris d'un frisson si fort que tous vos sens seront mis en action. Une sorte de jouissance, d'orgasme. La sexualité et la spiritualité sont en liens étroits. Faites-en l'expérience, la peur de tout s'évacuera. Vous lâcherez-prise, votre cœur battra à l'unisson, vous comprendrez alors que.....

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    Si cela n’a pas fonctionné, alors vous n’y êtes pas encore, recommencez, insistez, ça en vaut la peine. Prenez votre mal en patience, en attendant j’ai pris mon bien en urgence.

    Le monde s'ouvre à vous. Je n'en dis pas plus !

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    Là, est l'essence-ciel, tout est dit ou presque...

    Avez-vous l'esprit ouvert ?

  • Glandes surrénales et cortisol: stress, épuisement, conséquences

    • Par vogot
    • Le 27/10/2020

    Les surrénales sécrètent différentes hormones dont le cortisol, qui aide à maintenir les grandes fonctions de l’organisme comme la pression artérielle ou l’équilibre glycémique. Il favorise la dégradation des protéines et du glucose. Il agit comme un anti-inflammatoire et réprime la réponse immunitaire. Face à un stress, il mobilise les ressources en énergie et réduit les fonctions non essentielles de l’organisme.

    Les surrénales produisent également l'adrénaline et la noradrénaline qui procurent au corps un supplément d’énergie vitale en augmentant la fréquence et le débit cardiaque. Elles élèvent la pression artérielle, augmentent la concentration du glucose et des acides gras dans le sang pour la production d’ATP, dilatent les voies respiratoires et intensifient la réaction d’alarme pendant la réponse au stress.

    Qu'est-ce que l'ATP ?

    L'ATP ou adénosine triphosphate est un composé énergétique de la cellule.
    Cette molécule est composée:

    • d'une base azotée: l'adénine
    • d'un pentose (sucre): le ribose
    • de 3 groupements phosphate.

    L'ensemble adénine et ribose est l'adénosine. L'ATP libère son énergie en se convertissant en ADP (adénosine-diphosphate).

    Où se situent les surrénales ?

    Les surrénales sont deux glandes en forme de pyramide situées au-dessus de chaque rein. Elles pèsent entre 4 et 5 grammes et sont divisées en deux régions, la corticosurrénale et la médullosurrénale. Ces glandes extrêmement sensibles au stress servent à nous adapter aux conditions extérieures ou aux changements. Le manque de relaxation, les conflits ou encore une anxiété chronique entraîneront leur déséquilibre.

    Glandes surrenales

    Nous avons donc deux glandes surrénales, qui sont formées de deux parties : La médulla et le cortex

    • La médulla déclenche la réaction instinctive de lutte ou de fuite, qui entraîne l'augmentation du taux de sucre dans le sang, accélère la respiration, le débit cardiaque et la circulation du sang au cerveau, aux poumons et aux muscles.
    • Le cortex produit des hormones essentielles pour régulariser le système immunitaire, le métabolisme, l'équilibre des minéraux et les fonctions reproductrices. Le cortex secrète aussi les corticostéroïdes en réaction au stress.

    Par ailleurs, les surrénales augmentent leur activité au fur et à mesure du vieillissement et prennent le relais des ovaires à la ménopause quand celles-ci fabriquent moins d’œstrogènes et de progestérone.

    Fatigue surrénalienne

    La fatigue surrénalienne répond à une insuffisance en cortisol. Elle est la conséquence d’un mode de vie stressant qu’il soit physique ou émotionnel.

    En effet, si le stress devient chronique, il y aura dans un premier temps une hypertrophie des surrénales qui devront répondre à une demande croissante de cortisol car l’organisme tente par ce phénomène de neutraliser le stress. Le cortisol est très efficace pour lutter contre l’inflammation mais son excès entraîne l’effet inverse. Il est alors préjudiciable à l’organisme.

    Dans un deuxième temps on constatera une atrophie de ces mêmes glandes qui n’arrivent plus à satisfaire cette demande excessive et produiront de moins en moins de cortisol. Les surrénales perdent alors leur capacité à produire des hormones. Elles réagissent de moins en moins aux diverses sollicitations quotidiennes et cela entraîne fatigue physique et psychique.

    Cette production exagérée de cortisol peut aussi entraîner d’une part une baisse de progestérone et donc un déséquilibre dans le rapport œstrogène/progestérone. D’autre part une hypothyroïdie car le corps ralentit son métabolisme, la thyroïde réduit donc la production de ses hormones.

    Le stress est donc la cause principale de la fatigue surrénalienne.

    Comment les soutenir naturellement?

    Le stress étant particulièrement inflammatoire, il peut être nécessaire de réparer la muqueuse intestinale devenue poreuse. Le foie est un organe particulièrement sensible au stress, il est par conséquent souvent utile de mettre en place une protection. Il est aussi nécessaire de conseiller une alimentation antioxydante, le stress favorisant la présence de radicaux libres.

    Il est bien sûr important d’instaurer une alimentation qui nourrisse le système nerveux, c’est à dire riche en Magnésium, en oméga-3 et en vitamines du groupe B, hypotoxique, bio et naturelle, la plus exempte possible de pesticides, additifs et autres polluants. Supprimer par conséquent l’alimentation industrielle, les fast-food et conserves, qui ont des impacts délétères sur l’organisme.

    Ne pas sauter de repas car cela fait augmenter le niveau de cortisol en entraînant de l’anxiété. Un petit déjeuner protéiné le matin sera tout indiqué en cas de fatigue surrénalienne pour accompagner le rythme du cortisol et donner de l’énergie à notre corps, rappelons que les protéines sont les briques de l’organisme.

    On privilégiera par conséquent :

    • Les bons acides gras et on éliminera les graisses de mauvaise qualité comme les margarines ou les graisses hydrogénées.

    • Les céréales complètes ou semi-complètes pour leur richesse en magnésium et vitamines B.

    • Les légumes en quantité, riches en potassium, essentiels à la transmission des impulsions nerveuses et qui participe au bon fonctionnement des glandes surrénales. Préférer les légumes colorés plein d’antioxydants.

    • Les fruits à consommer entier, en dehors des repas. Privilégier les fruits rouges riches en antioxydants.

    • Les graines oléagineuses et les noix (amandes, lin, tournesol, noix du Brésil…) pour leurs richesses en magnésium, le stress favorisant la fuite du magnésium dans les urines.

    • Des protéines en quantité raisonnable pour l’énergie, surtout les petits poissons comme les sardines ou les maquereaux, l’huile de poisson favorise la baisse du cortisol.

    • Du sel gris marin non raffiné, de type sel de Guérande, en cas de fatigue surrénalienne importante, ajouter une pincée dans chaque verre d’eau, pour éviter l’œdème.

    • Du vin rouge riche en polyphénols avec modération, en fin de repas du midi.

    • Une eau de bonne qualité et peu minéralisée, à boire un quart d'heure avant le repas ou 45 minutes après. Évitez l’eau du robinet trop chargés en polluants divers.

    • Éviter la prise de caféine, que l’on trouve dans les boissons énergétiques, les boissons gazeuses et le café, elles contribuent à l’élévation du cortisol.

    • Éviter les périodes de jeûne qui peuvent accentuer la fatigue des surrénales et préférer faire quatre petits repas par jour. Manger dans le calme en mâchant et en se concentrant sur le repas, le stress bloque la digestion. Profiter de ce moment pour se détendre et ne plus penser à ce qui occasionne le stress.

    Lien entre surrénales et psychisme

    Les surrénales symbolisent le courage et la confiance. Quand les surrénales fonctionnent correctement, elles ont une bonne capacité à gérer le stress, ce qui favorise l’estime de soi et le sentiment de fierté. Lors d’un stress, les glandes surrénales vont travailler en excès dans un premier temps. Le comportement risque alors de devenir agressif, colérique ou impatient. Dans un second temps, après ces décharges émotionnelles qui ont entraîné un trop plein de cortisol, elles se retrouvent en hypo-fonctionnement. Ceci peut aboutir à ne plus bouger, à devenir passif par peur du danger. L’individu devient alors immobile et se résigne jusqu’à parfois la dépression. Il pourra également ressentir un sentiment d’incapacité ou de honte.

    Le repos physique sera indispensable pour se ressourcer.

    Réguler son rythme de vie

    La première des choses à faire est donc de réformer son hygiène de vie, son alimentation bien sûr mais aussi une meilleure gestion de son stress. Une supplémentation éventuelle en minéraux, vitamines ou en phytothérapie pourra être proposée si besoin.

    La gestion du stress :

    • Prioriser tout d’abord le repos. Se coucher avant 23 heures, au-delà un pic de cortisol peut maintenir en éveil pendant 1 à 2 heures.

    • Éviter les écrans deux heures avant le coucher, la lumière bleue fait croire à l’organisme qu’il fait jour et empêche la mélatonine, de faire son travail.

    • Préférer des activités calmes.

    • Exercer des activités qui ressourcent et apportent de la détente, qu’elles soient physiques comme le qi gong, le yoga, la marche, le stretching, la méditation … ou manuelles comme la peinture, la couture, le dessin, le coloriage, les puzzles qui favorisent la concentration.

    • Les promenades en forêt sont apaisantes, il est prouvé que les personnes qui s’y promènent régulièrement ont un taux de cortisol plus bas.

    • Le shiatsu peut apporter une grande détente en appliquant des pressions sur des points d’acupuncture, ainsi que la réflexologie, qu'elle soit palmaire ou plantaire.

    • Rire en regardant des films comiques par exemple. Le rire apporte énormément de détente, il produit à lui seul de la sérotonine et de la dopamine, le simple fait de sourire, même avec un rictus forcé apporte de la détente.

    • Écouter de la musique permet de réduire le taux de cortisol en apportant une grande détente.

    • Choisir des activités physiques adaptées, la méthode pilâtes, le yoga, les étirements, la cohérence cardiaque, la méditation ou encore la sophrologie…

    • Travailler l’estime de soi et la posture, être dans une posture confiante peut avoir des incidences sur les niveaux de cortisol, enfin une aide thérapeutique avec un naturopathe peut s’avérer indispensable.

    Se supplémenter en vitamines, minéraux et phytothérapie:

    • Des antioxydants pour lutter contre les radicaux libres amenés par le stress, à l’aide de vitamines A, B, sélénium, manganèse et zinc, molybdène, cuivre et iode que l'on retrouve dans la Formule Vitaminéro.

    • Du lithium orotate prescrit en médecine dans le traitement de la psychose maniacodépressive, encore nommée dépression bipolaire, où il se révèle redoutablement efficace. 

    • De la Griffonia simplicifolia, antidépresseur naturel qui contient une molécule qui calme l'appétit et améliore l'humeur : le 5-HTP.

    • De la vitamine C, un des constituants de l'acérola.

    • Du cassis, très bon stimulant des surrénales et anti-inflammatoire.

    • Des vitamines B, du magnésium marin et vitamine B6 et des oméga-3 et vitamine E pour le bon fonctionnement du système nerveux.

    • De l’éphédra qui contient de l’éphédrine, sorte d’adrénaline naturelle.

    • Des plantes adaptogènes comme le schisandra chinensis, l’éleuthérocoque, la rhodiola rosea, le ginseng ou encore le gingembre.

    • Du ginkgo biloba, plante stimulante des fonctions cognitives.

    • De la réglisse, plante incontournable pour les surrénales car elle ralentit le métabolisme du cortisol.

    • De la L-glutamine qui contribue à limiter la montée du cortisol, assure un bon fonctionnement de l’immunité, préserve l’équilibre acido-basique et est un bon antioxydant.

    Lire également: "Fibromyalgie, cortisol, somatropine naturelle et adaptogènes", "Somatropine naturelle", "La mastication et ses bienfaits", "Burn out, dépression et surmenage essayez la "slow life"", "Quelles sont les causes de l'acidose ?".

  • Rééquilibrage alimentaire dissocié: conseils éclairés

    • Par vogot
    • Le 26/10/2020

    Souvent, dans mes articles, je vous encourage à manger les protéines au repas du midi, et les féculents au repas du soir. Faisons le point sur cette pratique logique tant au point de vue digestion qu'au point de vue alimentation, et mes conseils pour le pratiquer en toute sécurité.

    En cas de digestion difficile, ou pour retrouver du dynamisme, dissociez les protéines et les féculents en les mangeant à deux repas différents. Le "régime" dissocié ou rééquilibrage alimentaire dissocié séduit un grand nombre de personnes. Basé sur des combinaisons d’aliments, il permet, entre autres, de maigrir rapidement et durablement.

    En fait il existe deux types de "régimes" dissociés:

    • Le "régime" dissocié horizontal (du lundi au dimanche)

    • Le "régime" dissocié vertical (du petit-déjeuner au diner)

    Régime dissocié horizontal

    Il consiste à consommer chaque jour un à deux aliments différents. Par exemple lundi : fruits, mardi : légumes avec exceptions, mercredi : légumes à volonté, jeudi : bananes et boisson végétale, vendredi : poulet/dinde et tomates, samedi : viande, etc. pendant une semaine.

    Regime dissocie hebdomadaire

    Historique et principes

    On retrouve les principes du "régime" dissocié dans l'ayurveda, la médecine traditionnelle indienne. C’est au début du 20e siècle que les américains s’emparent du sujet. Le Dr Hay en formalise les règles principales, avant que le Dr Shelton n'en propose une vision plus poussée dans un ouvrage paru en 1951.

    Le "régime" dissocié repose sur deux grands principes :

    • les aliments sont digérés à l'aide d'enzymes gastriques : celles-ci ont besoin d’un milieu au PH spécifique pour fonctionner de façon optimale. Combiner des aliments qui n’ont pas le même effet sur l’acidité du milieu rend plus difficile leur assimilation,

    • les aliments ne sont pas tous assimilés par l'organisme à la même vitesse: combiner ces aliments complique donc le processus de digestion 

    Bienfaits

    Pratiquer le "régime" dissocié permet donc d'optimiser la digestion, et d’en limiter les manifestations désagréables. Cela diminue aussi la putréfaction néfaste des aliments dans l’estomac. En réduisant les efforts dédiés à la digestion, l’organisme peut par ailleurs accorder davantage de temps aux autres fonctions naturelles.

    Le "régime" dissocié permet aussi de perdre du poids rapidement, avec un sentiment de légèreté marqué et un gain d'énergie non négligeable.

    Enfin, ce rééquilibrage alimentaire permet d'éviter les mauvaises combinaisons d’aliments, qui libérent des toxines dans l’organisme et peuvent être à l'origine de pathologies. Plusieurs troubles peuvent être évités. Ce n'est pas une théorie, c'est un fait indéniable !

    Le rééquilibrage alimentaire dissocié, en pratique...

    Comment mettre en œuvre le régime dissocié au quotidien ? Il convient de respecter plusieurs principes de base :

    • Ne pas combiner les glucides avec les protéines animales au cours du même repas. En effet la digestion des protéines rend celles des féculents beaucoup plus compliquée. Cela signifie notamment renoncer à certaines pratiques bien ancrées dans le mode de vie occidental. Adieu, jambon coquillettes et saucisse purée !

    • Consommer les fruits en dehors des repasLa digestion de leurs sucres rapides se voit dégradée si l’organisme a déjà mobilisé ses ressources pour digérer d’autres éléments comme des protéines.

    • Ne pas consommer de féculents avec des aliments qui acidifient le milieu, comme les produits laitiers, les condiments, les épinards, les agrumes... En effet, la salive joue un rôle essentiel dans la digestion des glucides complexes, comme les pâtes, le riz ou les pommes de terre. Et cette digestion est seulement optimale dans un milieu au PH neutre.

    • Les produits laitiers doivent être consommés seuls, ou éventuellement avec des légumes. Cela exclut d’office l’association pain et fromage.

    • Prendre le temps de bien digérer entre les repas. Laisser passer au moins quatre heures après un repas de protéines, et au moins sept heures après un repas particulièrement gras.

    Régime dissocié vertical

    Ce type de rééquilibrage alimentaire est plus facile à suivre. Ces principes peuvent être appliqués au quotidien, en réservant un ou deux types d'aliments par repas, par exemple.

    Journée type avec 3 repas possibles

    • au petit déjeuner: des fruits (2/3 de fruits frais et 1/3 de fruits secs)

    • au déjeuner: de la viande ou du poisson, et des légumes verts

    • au dînerdes féculents et des légumes verts

    Dans quels cas pratiquer ?

    Plusieurs situations peuvent vous encourager à vouloir suivre efficacement un "régime" dissocié.

    • En cas de grosse fatigue

    Ce "régime" peut vous donner un coup de fouet en dispersant moins d'énergie dans le processus de digestion.

    Au cas où votre baisse de vitalité serait due à une carence nutritionnelle, vous pouvez aussi vous tourner vers un complément multivitaminé et riche en minéraux, comme Formule Vitaminéro. Notez que ce complexe de vitamines, de minéraux et de composés antioxydants est disponible sous la forme de gélules à libération prolongée : une prise par jour suffit pour profiter de ses bienfaits tout au long de la journée.

    • Pour les sportifs

    Ce "régime" dissocié est souvent cité. Il consiste à réduire fortement les glucides et à augmenter les protéines et les lipides plusieurs jours avant une épreuve d’endurance. Puis, trois jours avant cette épreuve, à inverser complètement la tendance. Cette pratique permet d’optimiser le taux de glycogène dans l’organisme, ce sucre étant directement utilisable pendant l’effort.

    Ami(e)s sportives et sportifs, je vous invite également à vous pencher sur les caractéristiques des compléments Cordyceps Sinensis, Somatropine naturelle ou Rhodiola rosea. Riches en actifs naturels, ces suppléments nutritionnels sont idéaux pour tous ceux qui exercent une activité physique.

    • Pour une cure détox

    Les vertus "détox" de ce mode d'alimentation sont avérées. Le "régime" dissocié, en effet, diminue le phénomène de fermentation des aliments, qui est agressif pour la muqueuse intestinale et pour le microbiote. Toute personne ayant développé une maladie coeliaque ou une A.I.E. devrait suivre ce principe.

    N'hésitez pas à combiner rééquilibrage alimentaire dissocié et compléments, comme Formule Detox, afin de bénéficier de tous les effets potentiellement détoxifiants des glucosinolates.

    Précautions à prendre avec ce type de régime

    Le "régime" dissocié, en général est tentant, car il est relativement simple à suivre si l’on parvient à bien compartimenter ses repas et ses journées. Par ailleurs, la perte de poids rapide est un argument convaincant.

    Je vous conseille de suivre le rééquilibrage alimentaire dissocié vertical sur le long terme. Il est en effet très bien équilibré pour être adapté à l’organisme. Il n'est pas difficile à suivre socialement, même si, ponctuellement, vous prenez un repas au restaurant ou en cantine collective, car vous pourrez reprendre cette pratique dès le repas suivant, sans contrainte aucune.

    En conclusion, si vous décidez de suivre un rééquilibrage alimentaire dissocié, soyez attentifs aux signaux que vous envoie votre corps. Il est important de rester à l'écoute de vos sensations mais aussi de vos besoins corporels dissociés. Un repas équilibré n'est pas la panacée si les aliments sont consommés avec de mauvaises associations toxinantes.

    Lire également: "Associations alimentaires", "Alimentation et émotions", "Alimentation et manque d'énergie", "Pourquoi consommer les fruits en dehors des repas ?", "Intestins poreux, troués et collagène", "Bombe à retardement dans vos intestins".

  • Alimentation et manque d'énergie

    • Par vogot
    • Le 16/10/2020

    Comme je le répète souvent, et cela n'est plus à démontrer, l'alimentation représente 65% de vos pathologies. Mais alors, quand on manque d'énergie, me direz-vous, que faut-il manger ?

    Je vous répondrai, bien évidemment, des aliments riches en vitamines C, D, B9, mais aussi riches en fer et en magnésium. C'est la base !

    Attention toutefois, pour rappel, les fruits sont à consommer en dehors des repas.

    Aliments riches en vitamine C

    L’acide ascorbique, plus connu sous le nom de vitamine C, est indispensable à la bonne santé de l’organisme et est reconnu comme un puissant antioxydant. Mais c’est aussi une vitamine importante pour être en forme puisqu’elle contribue:

    • à la réduction de la fatigue

    • au fonctionnement normal du système immunitaire

    • au fonctionnement normal du système nerveux

    • au métabolisme énergétique normal 

    Si vous souffrez de fatigue permanente, il est donc primordial de consommer beaucoup d’aliments riches en vitamine C. Et si les plus connus sont les agrumes, d’autres aliments contiennent beaucoup plus d’acide ascorbique que n’importe quelle orange :

    • le kiwi 

    • l’acérola 

    • le poivron

    • le cassis

    • le persil 

    Il est également possible d’opter pour une complémentation en vitamine C, avec Levure de sélénium et vitamine C par exemple.

    Aliments riches en vitamine D

    Les calciférols, plus connus sous le nom de vitamines D (D2 ou D3 principalement) sont indispensables à la bonne santé, notamment à la santé musculaire et osseuse. Or, selon l’Académie nationale de médecine, une grande partie de la population souffre d’une carence en vitamine D (80 % de la population française, par exemple). Cette dernière se manifeste notamment par une fatigue chronique.

    Consommer fréquemment des aliments riches en vitamine D vous aidera donc à lutter contre la fatigue:

    • les poissons gras (saumon, maquereau, sardine, etc.) 

    • les produits laitiers à base de lait de chèvre ou de brebis 

    • les huîtres 

    • les champignons 

    • le foie gras 

    • le foie de veau

    Cependant, comme le précise l’Académie nationale de médecine, l’alimentation, dans les pays développés, ne suffit pas à apporter les doses journalières nécessaires en vitamine D. Vous avez donc tout intérêt à opter pour une complémentation en Vitamine D3, ainsi que Calcium citrate et vitamine D3.

    Aliments riches en vitamine B9

    La vitamine B9, que l’on rencontre également sous la désignation d’acide folique (bien connue des femmes enceintes), est apportée à l’organisme par les aliments, sous forme de polyglutamates, que l’on appelle également les folates.

    Cette vitamine B9 est essentielle à la multiplication des cellules, à la régulation des gènes, à la fabrication des globules rouges et des globules blancs, etc. Et comme aucun surdosage n’est possible, il peut être très intéressant d’en consommer en grandes quantités car cette dernière contribue notamment à la réduction de la fatigue.

    On retrouve essentiellement la vitamine B9 dans les aliments suivants :

    • la levure de bière (également appelée levure diététique) 

    • le foie 

    • les asperges 

    • les oranges 

    • les légumes secs 

    • les légumes à feuille vert foncé comme le chou, la roquette, la mâche, les blettes, les épinards, etc.

    Il est à noter cependant que certains de ces aliments peuvent provoquer des effets indésirables s’ils sont consommés en trop grandes quantités. Levure de bière et choux provoquent des flatulences inconfortables tandis que les blettes et autres épinards favorisent les calculs rénaux chez les personnes déjà sujettes à ce type de pathologie.

    Pour éviter ces soucis, vous pouvez aussi entamer une cure de vitamine B9 sous forme de compléments alimentaires, comme Complexe de vitamines B.

    Aliments riches en fer 

    Alors que plus de 30 % de la population mondiale souffre d’anémie, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le fer est indispensable, comme de nombreux autres micronutriments, à la bonne santé de l’organisme. Intervenant dans la synthèse de l’hémoglobine et de la myoglobine, le fer contribue:

    • à la réduction de la fatigue

    • au métabolisme énergétique normal 

    • aux fonctions intellectuelles normales

    Il est donc important d’avoir une alimentation riche en fer afin d’éviter les problèmes d’anémie, en particulier pour certaines personnes (enfants, adolescentes, femmes en âge de procréer, femmes enceintes, femmes allaitantes, sportives de haut niveau) mais aussi les végétariens et les vegans.

    En effet, le fer d’origine végétale est 5 fois moins absorbé par l’organisme que le fer d’origine animale. À noter sur ce point qu’une complémentation en vitamine C permet de compenser potentiellement ce défaut en favorisant l’absorption du fer. Voici quelques aliments riches en fer :

    • abats 

    • viande rouge 

    • volaille 

    • poissons 

    • fruits de mer 

    • légumes secs 

    • fruits séchés 

    • graines et noix 

    • spiruline 

    Et si l’alimentation ne suffit pas, après avis thérapeutique, il est possible de pallier une carence avérée par une complémentation en fer, par exemple avec Chlorella et Spiruline ou Wakamé.

    Aliments riches en magnésium

    Intervenant dans la production d’énergie au niveau cellulaire, le magnésium est un sel minéral essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. D’ailleurs, les premiers signes d’une carence en magnésium sont une fatigue persistante, des maux de tête, des maux de ventre et, évidemment, des crampes.

    Les aliments les plus riches en magnésium sont les suivants :

    • les légumes verts 

    • la levure de bière

    • les céréales complètes

    • les oléagineux

    • les légumes secs

    • le chocolat

    • les eaux minérales riches en magnésium

    Et bien sûr, il est possible de subvenir à ses besoins en magnésium avec des compléments alimentaires tels que Magnésium Marin + Vitamine B6 ou Magnésium marin.

    Pour conclure, une alimentation riche, équilibrée et bien associée faisant la part belle à tous les types d’aliments – légumes, fruits frais, céréales complètes, légumineuses, oléagineux, viandes, poissons, etc. est essentielle pour être en forme et moins ressentir la fatigue. En plus de ça, vous pouvez miser sur des compléments alimentaires qui vous aideront à retrouver toute votre vitalité.

    Mais alors, me direz-vous, si malgré tout vous tombez malade.

    Qu'est-ce que la maladie ?

    Face à la maladie, deux attitudes sont possibles:

    • D’un côté se dire que c’est le total fruit du hasard, la faute à pas de chance, pourtant le hasard n'existe pas…

    • De l’autre se poser la question de son origine et de ce que vous auriez pu mettre en place pour l’éviter.

    En effet, lorsque nous observons le langage populaire, celui-ci nous révèle que nous envisageons la maladie comme une sorte de fatalité. Un certain nombre d’expressions viennent d’ailleurs l’attester comme par exemple « tomber malade », « attraper un virus » ou encore « être frappé par la maladie ». Vous considérez probablement que c’est la maladie qui vous agresse et fait de vous des victimes innocentes. Serait-ce uniquement de la malchance? Je n'y ai jamais cru, cela serait tentant pourtant. La facilité serait d'attendre la maladie arriver et de soigner les symptômes. Je n'ai jamais plié devant la facilité.

    C'est donc surement la faute à certains dysfonctionnements. Seriez-vous donc totalement dépendants de micro-organismes extérieurs ?

    Le sort s’acharnerait-il contre vous ? L’hérédité serait-elle aussi un facteur inéluctable ? Et si au contraire vous y aviez une part de responsabilité ? Et si votre mode de vie y était pour quelque chose, hérédité ou pas…

    La maladie c'est un style de vie

    HIPPOCRATE, père de la médecine disait déjà en 400 ans avant JC : « Si tu es malade, recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir. » Il nous a transmis une façon différente d’appréhender la maladie, malheureusement souvent occultée par la médecine moderne.

    Nous observons que dans de nombreux cas la maladie est le résultat d’un non-respect des lois naturelles qui entraine des dysfonctionnements au sein de notre organisme.

    La maladie montre le plus souvent un encrassement du corps et cherche ainsi à se débarrasser d’un trop plein de déchets. Il est donc important d’identifier les causes de ce mauvais fonctionnement afin de modifier vos divers comportements, qu’ils soient alimentaires, physiques ou psychiques. C’est ainsi que l’hygiène de vie globale est au cœur des valeurs de la naturopathie.

    Quels sont ces déchets qui ne devraient pas se trouver dans l’organisme et qui lorsqu’ils sont en excès mènent à la maladie ?

    Ils sont un certain nombre et de natures différentes. Il y en a certains sur lesquels il reste compliqué d’intervenir, comme les divers polluants issus de la terre, de l’air et de l’eau.

    Cependant, nous avons le choix de devenir acteur de notre santé et de réduire, voire de supprimer un certain nombre de substances nocives, comme par exemple les additifs alimentaires, un excès de tabac ou d’alcool ou encore de médicaments, être très attentifs aux associations alimentaires. A vous de prendre la responsabilité de ce que vous ingérez. 

    Mettre un masque sur la bouche n'évitera pas le microbe ou le virus de vous parler. Par contre il risque de vous rendre muet devant l'adversité.

    Voici quelques exemples

    L’excès de sucre est à l’origine du diabète de type II. Hors, le diabète n'est pas une fatalité. Je vous suggère la lecture de ces articles:

    Diabète : des plantes pour dominer les effets du sucreBerbérine: Le diabète n'est pas une fatalitéDiabète type 2: Berbérine, arrêtez de vous faire sucrer !Diabète et pancréatite.

    Les acides gras saturés comme la charcuterie, les frites, les produits gras transformés… se transforment au sein de l’organisme en « mauvais » cholestérol et en triglycérides, ces derniers vont aller encrasser nos artères, les détériorer puis les boucher, amenant progressivement aux pathologies cardio-vasculaires.

    Une alimentation pro-inflammatoire entraînera la production d’acides et de cristaux qui enflammeront les articulations et conduiront aux maladies rhumatismales.

    Une consommation excessive de produits laitiers entrainera la production de mucus, de colles qui génèreront des maladies de la sphère ORL.

    Dans un article, j'avais évoqué en détail les colles, les cristaux, les déchets et les toxines: Comment rester en bonne santé ?

    Une alimentation industrielle apportera son lot de substances nocives, pesticides, conservateurs, hormones, herbicides et autres.

    Et puis, il y a tous ces médicaments que vous consommez en excès de vous-même et parfois sans avis médical, que ce soit des anti-inflammatoires, somnifères ou autres antidouleurs. Votre corps ne possède pas la capacité de les absorber en masse, ces substances l’agressent petit à petit, entrainent de l’inflammation et finissent par entrainer la maladie.

    Il est important d’écouter ce que la maladie vous dit et d’en comprendre la cause. En effet, si elle n’est pas comprise, elle pourra évoluer vers une baisse d’énergie vitale, un trop plein de toxines, une inflammation et pourra aller jusqu’à la cancérisation. Il est donc capital de comprendre ce qui se cache derrière les maux. N'oubliez pas que la naturopathie est une démarche de l'intelligence. Votre naturopathe saura vous expliquer en détail ce que la médecine allopathique met tant de mal à vous cacher.

    La maladie, c’est également l’expression de mots qui n’ont pas été verbalisés et qui vont évoluer en maux. Ainsi la « maladie » peut devenir le « mal-à-dit ». En effet, lorsqu’une émotion, une blessure ou une inquiétude n’a pas été exprimée et qu’elle est restée confinée dans votre corps, celui-ci va chercher à l’exprimer par des maux. C’est la solution que l’organisme a mis en place pour s’adapter. L'article Comment se faire une maladie! pourra vous éclairer sur le sujet.

    Ces maux vont toucher la partie du corps dont la fonction correspond le plus au trouble en question.

    Par exemple la gorge pourra être touchée s’il y a une difficulté à s’exprimer et l’estomac quand la capacité à digérer une émotion s’est avérée difficile. Une crise de foie pourra exprimer de la colère ou de la rancune et des douleurs cervicales une certaine rigidité au niveau du comportement. Les reins sont le foyer de la peur, les intestins symbolisent l'anxiété et les angoisses, la fameuse boule au ventre. Quant à la rate, elle est le siège de la rumination et des pensées excessives.

    On comprend donc que la maladie est là pour vous faire progresser, vous inciter à vous remettre en question et à vous apporter des réponses. Elle se manifeste pour vous maintenir en vie, aussi curieux que cela puisse paraitre. En ce sens elle peut être positive, dans la mesure où vous en comprenez ses intentions. Elle vous permet ainsi d’avancer, de vous remettre en question et de faire évoluer vos agissements.

  • Berbérine: Le diabète n'est pas une fatalité

    • Par vogot
    • Le 09/10/2020

    Comme je l'écrivais dans l'article Berbérine, des études récentes démontrent que la berbérine est un candidat de rêve au traitement du diabète. Elle présente des effets anti-hyperglycémiants et anti-hyperlipidémiques remarquables tout en influençant positivement le poids. La seule raison qui explique pourquoi elle n’est pas encore connue de tous c’est que son mécanisme d’action précis échappait toujours à la recherche, mais des avancées récentes en ce domaine ont été faites. En naturopathie, voici ce que l'on sait depuis longtemps.

    Nouvelle arme anti-âge, la berbérine est une substance d'origine végétale qui aiderait à améliorer la sensibilité à l’insuline et à faciliter le transport du glucose dans les cellules de l’organisme. Elle contribuerait ainsi à abaisser très efficacement la glycémie et à augmenter la longévité...

    Dans cet autre article, Diabète type 2: Berbérine, arrêtez de vous faire sucrer !, je vous révélais qu'une grande étude sur les effets des médicaments contre le diabète a dû être interrompue brutalement parce que les scientifiques se sont aperçus que les patients diabétiques qui prenaient le plus de médicaments avaient le plus fort risque d’infarctus, d’accident cardiovasculaire et de mort par maladie cardiaque !

    Contrairement à ce que l'on voudrait vous faire croire, et comme c'est souvent le cas dans les expertises, les contradictions sont nombreuses, la berbérine n'agit pas comme un médicament tant qu'elle est prise à des doses inférieures à 400 mg en principes actifs.

    Les uns disent que la berbérine a une action pharmacologique, réelle, importante et diverse. Elle a des effets établis sur le système nerveux central (anticonvulsion, antidouleur), sur le système cardiaque (antihypertenseur) et réduit le taux de certains lipides dans le sang. Elle agit particulièrement sur le métabolisme avec un effet hypoglycémiant (qui fait baisser le taux de sucre dans le sang). Les vendeurs de ces compléments alimentaires promeuvent leurs produits avec des mentions telles que « Maintien d’une glycémie normale » ou « Zéro sucres » voire en les recommandant comme traitement antidiabète.

    Ce serait ennuyeux, d'après eux, à double titre. D’une part ce genre d’allégations santé n’a pas été autorisé. D’autre part elles masquent une réalité autre : en fait, la berbérine ne maintient pas la glycémie (effet physiologique) mais elle la fait baisser (effet thérapeutique), comme plusieurs études cliniques l’ont démontré. La nuance peut sembler subtile mais c’est précisément ce qui fait la différence entre un aliment et un médicament.

    D'autres études sérieuses démontreraient qu'en régulant une protéine appelée AMPK qui à son tour régule le métabolisme énergétique, la berbérine jouerait un rôle primordial dans certaines pathologies métaboliques comme le diabète, l’insulino-résistance, l’obésité ou les complications liées au diabète. Nous y reviendrons...

    Les quatre atouts principaux de la berbérine :

    • abaissement notable de la glycémie

    • réduction des niveaux d’hémoglobine glyquée

    • rééquilibrage des taux circulants d’insuline

    • baisse des triglycérides, du LDL-cholestérol et du cholestérol total sanguins

    Les études les plus représentatives portent d’ailleurs sur l’efficacité de la berbérine permettant de se rapprocher de celle de la metformine, substance très utilisée en thérapeutique pour le traitement du diabète de type 2 et du surpoids lié au métabolisme du glucose.

    Alors qui croire ? Comme je le dis souvent, c'est vous et vous seul-e qui avez la réponse. Faites vous une idée PERSONNELLE en essayant, en utilisant, bien entendu, avec l'aide d'un praticien de santé ouvert d'esprit, qui, après anamnèse saura vous guider efficacement.

    Mais alors, la berbérine, c'est quoi ?

    Les médecines chinoises et ayurvédiques utilisent de nombreuses plantes encore méconnues de la médecine occidentale. Parmi elles, la Berberis vulgaris, encore nommée épine-vinette, contient en ses baies un alcaloïde végétal puissant : la berbérine.

    Cette substance se retrouve également dans d’autres plantes : Coptis chinensis, Berberis aquifolium et aristata, Hydrastis canadensis. Elle est employée traditionnellement depuis plus de 2 500 ans pour aider à soutenir l'organisme ou encore à calmer les troubles intestinaux.

    Mais depuis une décennie, les chercheurs lui portent un intérêt croissant pour ses effets sur les problèmes métaboliques et cardiovasculaires, en constante augmentation dans les sociétés occidentales, et sur son rôle crucial dans l’activation d’une enzyme clé du métabolisme : l’AMPK.

    Son mécanisme d'action relève essentiellement de l’activation de l’AMPK

    L’AMPK (Adenosine Monophosphate activated Protein Kinase) est une enzyme ubiquitaire fondamentale, qui joue un rôle dans l'homéostasie énergétique cellulaire. L’activation de l'AMPK a principalement pour effet :

    • de stimuler l’oxydation des acides gras hépatiques et la cétogenèse ;

    • d’inhiber la synthèse du cholestérol, la lipogénèse (formation de graisses) et la synthèse des triglycérides ;

    • de stimuler l'oxydation des acides gras dans les muscles squelettiques et l’absorption du glucose par les muscles ;

    • de moduler la sécrétion d'insuline par les cellules bêta du pancréas.

    L’AMPK est exprimée dans un certain nombre de tissus, y compris le foie, le cerveau et les muscles squelettiques, où elle agit comme un « interrupteur général métabolique » qui régule plusieurs systèmes intracellulaires, y compris l'absorption cellulaire du glucose, la bêta-oxydation des acides gras et la biogenèse du transporteur de glucose 4 (GLUT-4).

    L’AMPK : cette enzyme cellulaire qui favorise la longévité et aide à réduire le stockage des graisses

    Cette enzyme participe donc à la normalisation du métabolisme énergétique, à la régulation de la prise alimentaire et à la sensibilité des tissus. Elle possède ainsi un rôle clé dans la gestion de certains troubles métaboliques.

    Avec les années, l’activation de l’AMPK cellulaire diminue, entraînant entre autre un gain de poids - puisque c’est elle qui détermine la composition corporelle en graisses – et prédispose donc aux maladies qui lui sont liées. La plupart des humains des sociétés occidentales souffrent aujourd'hui d’une consommation excessive chronique de calories, perturbant des fonctions vitales comme la bonne absorption du glucose et des graisses sanguines, une accumulation de déchets cellulaires et une altération des gènes de longévité.

    Cela se traduit par un gain de poids non désiré, des troubles de la glycémie, des décès prématurés, etc. Peu de personnes étant capables de s’astreindre à une restriction calorique, les scientifiques ont heureusement identifié cette enzyme cellulaire, l’AMPK, qui lorsqu'elle est activée, mime les effets bénéfiques observés pendant une restriction calorique, y compris la perte de graisse corporelle excédentaire.

    Des recherches approfondies montrent qu'en augmentant l'activation de l'AMPK, bon nombre des facteurs du vieillissement peuvent être réduits, permettant aux cellules de retrouver leur vitalité juvénile.

    En recherche préclinique, le renforcement de l’activité de l'AMPK a été associé à :

    • une augmentation de 20 à 30 % de la durée de vie

    • une réduction du stockage des graisses (celles du ventre étant particulièrement dangereuses)

    • une augmentation de la sensibilité à l'insuline

    • la réduction du cholestérol et des triglycérides

    • une meilleure activation de l’enzyme SIRT1 (à la manière du resvératrol), etc.

    Berbérine et prostate

    Depuis quelques temps, les recherches scientifiques ont rajouté une nouvelle corde à son arc:  dans le traitement du syndrome des ovaires polykystiques. Les études ont indiqué un réel bénéfice de la berbérine sur le niveau d’androgènes et de testostérone, améliorant la santé et la fertilité des femmes malades. Autre argument de taille en faveur de notre plante surdouée, sa faculté à ralentir la progression du cancer de la prostate par son action bénéfique sur les récepteurs à la testostérone. Cette action spécifique sur les récepteurs permet d’obtenir un effet thérapeutique sans faire chuter les taux de cette hormone, déjà souvent trop basse avec l’âge.

    Effet sur la santé des femmes

    Le SOPK (syndrome des ovaires polykystiques) est une affection hormonale qui entraîne des difficultés de reproduction. Elle concerne environ 10 % des femmes et représente la première cause d’infertilité féminine. La metformine est un traitement communément administré afin de rétablir des rapports hormonaux corrects.

    Plusieurs études randomisées en double aveugle ont mis en évidence une plus grande efficacité suite à la prise régulière de berbérine, notamment dans le cadre de la procréation médicalement assistée. Elle présente en outre moins d’effets secondaires que la metformine.

    C’est aussi lors de la période délicate qu’est la ménopause que la berbérine se fait utile. Elle améliore le profil lipidique comme on l’a déjà constaté, mais elle apaise aussi les sautes d’humeur.‌

    Elle serait aussi une alternative thérapeutique d’avenir pour l’ostéoporose, cette affection qui fragilise les os, fréquente lors de la ménopause. Cette molécule équilibre l’activité des ostéoclastes et des ostéoblastes, des cellules qui respectivement détruisent et reconstruisent le capital osseux.

    Comment la berbérine contribuerait à réduire la glycémie (entre autres...)

    La berbérine, aux propriétés traditionnellement reconnues au niveau immunitaire et intestinal, apparaît comme un excellent supplément nutritionnel anti-âge, très facile d'emploi, relativement peu coûteux et parfaitement toléré. Elle est disponible sous la forme de complément alimentaire (par exemple le complément Berberine).

    La berbérine aiderait à induire, comme la restriction calorique, un stress minimal modéré au niveau cellulaire, favorable sur le long terme. En effet, quand une cellule subit un stress ponctuel, elle synthétise l’AMPK qui prévient ou répare les dégâts cellulaires en priorité, mettant de côté la synthèse de protéines, lipides ou glucides qui nécessitent beaucoup d’énergie. Ainsi, l’énergie disponible est en priorité affectée aux processus de prévention et de réparation cellulaires au détriment des autres fonctions accessoires qui sont mises au ralenti. Ce passage en « mode survie » oblige les cellules à retarder leurs fonctions non essentielles et à orienter les ressources vers la protection et la réparation.

    En aidant à activer l’AMPK, la berbérine pourrait donc agir à plusieurs niveaux :

    • en augmentant la production de GLUT4, un transporteur de glucose, qui ne se rencontre que dans les muscles et les cellules graisseuses, et en améliorant la sensibilité à l’insuline, elle faciliterait le transport du glucose intracellulaire, aidant ainsi l’organisme à mieux utiliser à la fois le glucose et l'insuline, et à abaisser la glycémie et l'hémoglobine glyquée (HbA1c) ;

    • en stimulant le métabolisme des acides gras dans les mitochondries, elle aiderait à réduire les niveaux sanguins des lipides circulants : triglycérides et LDL-cholestérol ;

    • en augmentant la combustion des graisses, elle contribuerait à la diminution du poids corporel ;

    • elle pourrait également favoriser une augmentation de la biogenèse mitochondriale et une meilleure évacuation des déchets de l’organisme (protéines non fonctionnelles par exemple) ;

    • en mimant la restriction calorique, elle prolongerait enfin la durée de vie de 20 à 30 %.

    La berbérine pourrait aussi imiter l’action de l’insuline

    La berbérine semble aussi imiter l'action de l'insuline en augmentant la capacité d'absorption du glucose par les adipocytes 3T3-L1 (cellules graisseuses) et les myocytes L6 (cellules musculaires) d'une manière indépendante de l'insuline. La berbérine aiderait à inhiber l'activité de la protéine tyrosine phosphatase 1B (un important régulateur négatif de signalisation de l'insuline et de la leptine in vivo).

    Elle aiderait également à augmenter la phosphorylation dans les adipocytes 3T3-L1. Chez les souris souffrant de troubles de la glycémie, elle contribuerait à réduire l'hyperglycémie et à améliorer la tolérance au glucose.

    La berbérine aiderait à lutter contre le surpoids

    L'obésité est une cause majeure du syndrome métabolique et est due à une augmentation du nombre et de la taille des adipocytes. Mais si la différenciation et la prolifération des adipocytes sont inhibées, alors le syndrome métabolique peut être traité et prévenu. Une nouvelle étude a examiné les effets de préparations de plantes traditionnelles chinoises sur la différenciation des pré-adipocytes 3T3-L1 à la recherche d'un médicament «anti-obésité».

    Parmi ces plantes, deux d’entre elles, le Coptidis rhizome et le Phellodendri cortex, contenant tous deux de la berbérine, ont montré une inhibition de la différenciation des adipocytes. En fait, la berbérine inhiberait l'ARNm et l'expression de la protéine du récepteur PPARy aussi bien que le C/EBPα (nécessaire à la fois pour l'adipogenèse, à savoir la création de cellules de graisse, et le fonctionnement normal des adipocytes) et elle inhiberait l'accumulation de lipides dans les adipocytes.

    Ces résultats suggèrent que la berbérine pourrait réduire la taille et le nombre des cellules graisseuses et ainsi posséder des effets «anti-obésité».

    Elle contribuerait à améliorer la mémoire

    Selon une récente étude effectuée chez les rats, la prise de berbérine serait efficace pour aider à améliorer la mémoire. Des recherches effectuées en Inde signalent que la berbérine inhibe l’activité de la cholinestérase et augmente la libération de glucagon-like peptide (GLP-1).

    La cholinestérase est l’enzyme qui décompose l'acétylcholine, un neurotransmetteur crucial pour la mémoire et la concentration. Le GLP-1, joue quant à lui un rôle essentiel dans le dysfonctionnement cognitif, l'apprentissage, et la neuroprotection. Lors de cette étude, la peroxydation lipidique, les niveaux de glutathion et l'activité de la cholinestérase ont été évalués dans le cortex cérébral et l'hippocampe. 30 jours après l'induction de troubles glycémiques, les rats ont montré un déficit sévère dans l'apprentissage et la mémoire, associé à une peroxydation lipidique accrue, une diminution du glutathion réduit et une élévation de l’activité de la cholinestérase.

    En revanche, une fois traités avec la berbérine, les rats ont augmenté leurs performances cognitives, réduit les hyperglycémies, le stress oxydatif et l'activité de la cholinestérase. Elle bloque l’activité de l’acétylcholinestérase, une enzyme qui empêche la transmission des messages nerveux. Un effet optimisé par les propriétés antioxydantes de l'alcaloïde.

    La berbérine est aussi porteuse de promesses en termes de protection du système nerveux. L’une de ses cibles thérapeutiques est la démence sénile, incluant la maladie d’Alzheimer.

    Elle protège notamment les neurones en empêchant la formation des plaques amyloïdes néfastes. Ses côtés anti-inflammatoires, hypolipémiant et hypoglycémiant permettent de réduire naturellement le risque de développer la maladie d’Alzheimer.

    C’est aussi le cas pour la maladie de Parkinson. Chez des souris, la berbérine diminue la mort des cellules nerveuses dopaminergiques, essentiels pour le contrôle des mouvements du corps. Des résultats à prendre avec précautions, le modèle de souris utilisé n’étant pas transposable de façon sûre à tous les mammifères pour cette pathologie.

    Enfin, cette dernière aurait un rôle protecteur vis-à-vis de la dépression, comme le suggèrent des études conduites sur des rongeurs.

    Plusieurs études ont été menées in vitro sur des lignées cellulaires de cancer (sein, foie, poumon, prostate…), afin de comprendre les mécanismes anti-tumoraux de la berbérine. Celle-ci a la capacité de bloquer le cycle cellulaire des cellules tumorales et empêche leur prolifération.

    Via son action sur l’AMPK ainsi que sa stimulation de la protéine P53, elle induit également l’apoptose, ou suicide des cellules cancéreuses. La berbérine inhibe aussi la formation de métastases en bloquant la réalisation des métalloprotéinases, qui en sont à l’origine, en partie. Elle bloque en outre l’angiogénèse, c’est-à-dire la formation des vaisseaux qui alimentent les tumeurs formées. 

    Enfin, elle a montré son efficacité en association avec la radiothérapie sur des cellules de cancer du foie.

    La posologie efficace

    D’après les recherches effectuées sur la berbérine, la posologie moyenne recommandée est d'environ 50 à 100 mg (en principes actifs) par jour, soit 1500 à 2500 mg (en composition totale) répartis en plusieurs prises suivant les formulations, avant les trois repas principaux.

    Pour en ressentir pleinement les effets, il est souhaitable d’effectuer une cure de trois mois minimum, puisque son action optimale s’observe après deux semaines de prise régulière. Mis à part quelques utilisateurs ayant noté une légère constipation temporaire en tout début de traitement ou des effets indésirables gastro-intestinaux transitoires, la berbérine est totalement dénuée d’effets secondaires, certifier le contraire est absolument faux.

    Démarrer une prise de berbérine pourrait donc vous aider à lutter :

    • contre le vieillissement

    • contre les troubles liés à la glycémie

    • contre les facteurs de risques des problèmes cardiovasculaires (LDL-cholestérol et triglycérides élevés)

    • et contre le surpoids abdominal

    Veillez à opter pour un complément de berbérine hautement qualitatif, comme le supplément Berberine.

    Toutefois, il existe quelques contre-indications

    Il recommandé de ne consommer que de la berbérine purifiée, d’une part. D’autre part, au vu de ses effets thérapeutiques puissants, il est fortement déconseillé d’en prendre si vous êtes sous traitement :

    • antidiabétique

    • anticoagulant

    • antihypertenseur artériel

    • sédatif (benzodiazépines, fentanyl…) 

    • immunosuppresseur (cyclosporines)

    Tout traitement ciblant les cytochromes P450 doit également empêcher la prise de cet alcaloïde. En effet, cette association représente un danger: la berbérine peut supprimer ou accélérer les effets des médicaments avec lesquels elle interagit. Aucun des deux cas n’est souhaitable.

    Usage déconseillé également aux femmes enceintes et allaitantes, aux enfants et adolescents.

    Il est donc recommandé de consulter un professionnel de santé avant toute prise de berbérine. Un naturopathe peut aussi vous aiguiller quant à vos besoins en compléments alimentaires. À consommer dans le cadre d'une alimentation variée, respectueuse des associations alimentaires et d'un mode de vie sain.

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