Sinusite
On peut distinguer 2 types de sinusites :
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La sinusite aiguë qui va guérir en 3 semaines et ne réapparaîtra pas plus de 3 fois au cours de l'année. Apparition de céphalées augmentant au cours de la journée et s'atténuant le soir. La douleur est continue ou pulsatile en fonction de la localisation du sinus atteint.
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La sinusite chronique se caractérise par la répétition des crises de sinusite aiguë, c'est-à- dire qu'elle dure plus de 4 semaines et se répète plus de 4 fois dans l' année.
Une sinusite aiguë mal soignée ou qui réagit mal à un traitement risque de se transformer en sinusite chronique.
La sinusite chronique peut répondre à d' autres facteurs :
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Réaction allergique,
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Tabagisme,
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Faiblesse du système immunitaire,
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Fibrose kystique,
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Anomalie anatomique,
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Présence de polypes dans les cavités nasales,
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Natation,
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Usage de la cocaïne par voie nasale,
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Traumatisme facial qui pourrait être à l'origine de l'obstruction d'un ou plusieurs sinus.
La sinusite est une inflammation catarrhale d'une ou plusieurs cavités muqueuses situées dans les os du visage, plus connues sous le nom de « sinus ».
Ceux-ci sont au nombre de 4 et communiquent avec les fosses nasales par de petits conduits appelés « méat » ou encore « pertuis » qui assurent le libre passage de l'air.
Lorsque l'inflammation se produit, les ouvertures sont obstruées et empêchent l'écoulement normal des sécrétions.
Le mucus n'étant plus drainé normalement, il va se produire dans ce milieu fermé, une prolifération de microbes qui vont développer l'infection. Cette infection pourra avoir des origines virales ou bactériennes.
4 Origines connues
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La sinusite peut être d'ordre infectieuse, déclenchée à la suite d'un rhume.
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La sinusite peut trouver son origine dans les manifestations allergiques par sensibilisation de la muqueuse des voies respiratoires supérieures à un allergène.
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La sinusite peut être d'ordre traumatique. Cette dernière est appelée « baro - traumatique » et se retrouve plus particulièrement chez les aviateurs ou les plongeurs sous- marins.
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On peut également avoir à faire à une sinusite d'origine dentaire, au droit d'une dent infectée suite à une carie ou à la suite d'une extraction dentaire.
Localisation
La sinusite porte un nom différent en fonction de la localisation de l'inflammation.
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Maxillaire (sinus maxillaire),
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Frontale (sinus frontal),
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Sphénoïdale (sinus sphénoïdal),
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Ethmoïdale (sinus ethmoïdal)
La sinusite maxillaire
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C'est la plus fréquente. Les sinus maxillaires se situant au dessus des dents de la mâchoire supérieure à droite et à gauche du nez, les douleurs ressenties sont sous-orbitaire. La douleur est provoquée à la pression de la joue et provoque également des céphalées frontales.
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Si la douleur est unilatérale et qu'il existe une sensation de mauvaise odeur, celle-ci peut trouver son origine au niveau dentaire. Le plancher des sinus maxillaires est en rapport étroit avec les racines des prémolaires et des molaires.
La sinusite frontale
Plus rare que la maxillaire, la douleur est sus-orbitaire. Les sinus responsables droit et gauche se situent dans le front entre les sourcils et s'ouvrent dans le nez. Elle se rencontre chez des sujets âgés de plus de 10 ans car avant cet âge, les sinus frontaux n'existent pas.
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La sinusite frontale provoque des douleurs au niveau du front et des céphalées frontales.
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La douleur peut être provoquée par la pression exercée sur l'angle supérieur et interne de l'orbite.
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Lorsqu'une sinusite frontale est bloquée, elle peut se compliquer d'abcès cérébral ou de méningite.
La sinusite sphénoïdale
Plus rare encore que la frontale, se projette vers la région frontale ou occipitale. Des malaises peuvent être ressentis. Présence de céphalées tenaces et profondes.
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Il peut y avoir présence de fièvre et de frissons indiquant que l'infection s'étend au-delà des sinus.
La sinusite ethmoïdale
Fréquente et souvent dangereuse chez l'enfant de moins de 6 ans .
Elle s'accompagne d'une fièvre plutôt aux alentours de 39°- 40°, d'un écoulement purulent et surtout d'un œdème péri- orbitaire (paupières, racine du nez).
ATTENTION : Du fait de la proximité des méninges, les sinusites frontales, sphénoïdales et ethmoïdales peuvent conduire à des complications.
Symptômes apparents
Les symptômes ou signes cliniques seront directement liés :
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au sinus infecté,
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au caractère aiguë ou chronique de la sinusite.
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aux douleurs spontanées et provoquées par la pression .
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à l'écoulement de pus immédiatement après assèchement (de haut en bas dans les sinusites frontales ; lorsque l'on penche la tête en avant dans les sinusites maxillaires ).
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au mouchage continu jaunâtre ou verdâtre, épais et purulent. Diminution ou perte de l'odorat.
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aux douleurs qui se reproduisent à horaires fixes principalement lorsqu'il s'agit d'une sinusite frontale.
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à une toux grasse qui peut apparaître car les sécrétions non mouchées ont tendance à descendre dans la gorge.
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à une fièvre (légère dans la sinusite chronique) et un malaise général qui peuvent survenir.
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à une mauvaise haleine.
Causes générales du point de vue de l'hygiéniste
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Extension du catarrhe des poumons et des organes digestifs ; propagation d'une infection nasale ou dentaire à la muqueuse des sinus.
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parmi les causes retenues on peut parler de « facteurs de risques ».
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terrain allergique,
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immunodépression,
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mauvais état dentaire,
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mauvaise hygiène générale.
D'un point de vue étiologique, on peut parler
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d'inflammation,
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d'œdème,
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de muqueuse épaissie,
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de présence de polypes,
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d'ulcérations.
Approche naturopathique – les 3 cures
Type d'encrassement auquel appartient le trouble de la sinusite.
Il s'agit de « dépôts liposolubles » qui entrent dans la catégorie des troubles COLLOÏDAUX c'est-à-dire des colles ou bases.
Les toxines engendrées par ce trouble répondent à des maladies respiratoires.
Les émonctoires à solliciter sont:
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Intestins,
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Poumons,
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Peau (par les glandes sébacées)
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et le Vagin chez la femme.
1) La cure PREPARATOIRE
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Choix d'un bilan (iridologie, onychologie, morphologie etc.)
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Au cours de cette cure on va se contenter de réduire l'alimentation et de modifier sa composition afin d'alléger le travail du système digestif.
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On va évaluer les dispositions psychiques et les rééquilibrer si nécessaire.
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Le travail consistera d'une façon globale à diminuer les dépenses énergétiques de l'organisme afin de recharger le système de défenses immunitaire et le rendre plus efficace .
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En principe, cette première cure ne comportera pas de traitement à base de plantes, compléments alimentaires ou autres produits naturels mis à part les fleurs de BACH si on relève une quelconque incidence émotionnelle dans le trouble de la sinusite .
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Grâce à cette première cure qui va permettre une réduction des surcharges toxiniques, je vais amorcer l'action de drainage que l'on va vraiment entreprendre dans la cure n°2 de DESINCRUSTATION TISSULAIRE.
2) La cure de DESINCRUSTATION TISSULAIRE
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Au cours de cette seconde cure, je vais procéder à l'élimination des TOXINES et résidus issus du métabolisme, incrustés dans la profondeur des tissus.
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Pour cela, je vais conseiller des plantes adaptées à l'action à mener dans le cas de la sinusite.
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Je vais faire appel à des plantes dites « émonctorielles » qui vont stimuler les organes à fonctions éliminatoires comme les intestins, les poumons, les reins, la peau et le vagin (chez la femme non ménopausée).
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L'installation de la sinusite témoigne d'une surcharge de déchets colloïdaux qui n'ont pu être évacués de façon naturelle et régulière par les organes émonctoires, conduisant à un affaiblissement du système immunitaire.
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Les plantes auront une action plus spécifiques sur le foie, les intestins et les reins, tandis que la respiration et les exercices physiques par le biais de la sudation agiront mieux sur la peau.
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Pour l'émonctoire pulmonaire , je ferai appel aux exercices physiques et à l'hygiène respiratoire, en utilisant par exemple: "le bol d'air Jacquier" ou "les diffuseurs d'huiles essentielles".
3) La cure de REVITALISATION
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Au cours de cette troisième cure, il s'agit de combler les carences et de revitaliser l'organisme par :
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des plantes vitaminiques,
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des plantes à minéraux,
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des plantes à diastases ou ferments qui vont jouer un rôle dans la régulation du métabolisme grâce à leur action sur les organes de la digestion.
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Au cours de cette cure on se chargera de rétablir l'équilibre entre la personne et son environnement.
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Il sera tenu compte de ses faiblesses et de ses réactions aussi bien physiques que psychologiques.
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Un « plan d'hygiène vitale » sera mis en œuvre. .
Techniques naturopathiques mises en oeuvre
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Dans le cas de la sinusite, les techniques à envisager seront:
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Bromatologie (revoir les compositions alimentaires),
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Hydrologie (bains, inhalation, lavage du nez),
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Phytologie (par l'utilisation des plantes),
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Aromatologie (par l'utilisation des Huiles essentielles),
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Points d'acupressure ou points de digi-puncture (voir points de KNAP),
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Argilothérapie (par l'application de compresses sur les sinus infectés)
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Magnétologie ou aimantologie.
Place des compléments alimentaires (formes galéniques, mise en oeuvre)
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Les compléments alimentaires vont apporter le soutien nécessaire aux rétablissement de la santé réclamé par l'organisme tout entier en agissant sur « le terrain » puis sur la ou « les causes » et enfin sur « le symptôme » qui en dernier ressort apportera à la personne le soulagement attendu (douleurs, mal être..).
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Les compléments alimentaires agissent tantôt de manière spécifique, tantôt de façon élargie afin de relancer l'ensemble des "composants vitaux" de la machine humaine.
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Ceci s'applique à tous les troubles de santé quelque soit l'origine ou la localisation anatomique auxquels ils appartiennent, susceptibles de dérégler la physiologie ou d'altérer la structure même des organes concernés.
Oligothérapie
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L'association cuivre, or, argent reste incontournable en tant que catalyseur des fonctions immunitaires.
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Le zinc qui va stimuler le « système endocrinien » permettant la sécrétion suffisante d'hormones nécessaires à la réactivation du « système immunitaire » au moment de l'infection.
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On pourra conseiller également le manganèse-cuivre ainsi que le soufre et la silice (pour les inflammations ou ostéites et cicatrisations osseuses).
Homéopathie
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Hepar sulfuris calcareum,
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Kalium bichromicum,
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Mercurius solubilis,
Prendre en 5CH, 3 granules de chaque en alternance 3 fois par jour jusqu'à amélioration.
Poconéol
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n° 3, qui est le remède de "la sycose". Il s'adresse aux organismes intoxinés par la prise prolongée de médicaments (surtout, antibiotiques, anti- inflammatoires) mais également les vaccinations répétées), l'abus de viande et la mauvaise qualité des produits alimentaires.
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n°7, qui est un draineur hépato-drainal. Agit sur les maladies infectieuses.
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et le n°25 qui va intervenir sur le foie.
En effet, si le foie est incapable de nettoyer le sang de ses impuretés, les déchets vont aller se fixer dans les reins et les encombrer. Ainsi, l'organisme devra alors éliminer ces déchets en les entraînant vers des émonctoires de compensation que sont les muqueuses du nez et de l'arrière gorge.
Gemmologie
Je conseille le cassis, l'aulne ou le charme en extraits de bourgeons à raison de 5 gttes 3x/jour.
Les plantes comme l'eucalyptus, le niaouli, le ravinsare, le pin, le romarin et le thym utilisées en inhalation seront souvent conseillées. On peut utiliser ces mêmes plantes sous forme d'huiles essentielles ou conditionnées en gélules.
On recherchera une éventuelle lésion ostéopathique crânienne ou des vertèbres cervicales (la C2 par exemple).
On fera une large place aux « plantes adaptogènes » dont la sphère d'action est élargie. Elles viendront jouer un rôle important dans les troubles inflammatoires et participeront au renforcement du système immunitaire.
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