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Sensibilité au gluten, ce n'est plus un mythe

Par Le 05/03/2018

Rappel: Qu'est-ce que le gluten ?

Le gluten est un ensemble de protéines que l'on retrouve dans les grains de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, etc.). Les protéines constituant le gluten permettent de stocker des oligo-éléments ou des acides aminés nécessaires au développement de la jeune pousse.

Le gluten est principalement constitué de deux protéines : la prolamine et la gluténine. Ce sont ces protéines, insolubles dans l'eau, qui donnent à la farine des propriétés visco-élastiques, exploitées dans le domaine agroalimentaire pour donner une certaine structure aux produits.

L’histoire se répète. Comme la maladie cœliaque et la fibromyalgie en leur temps, la sensibilité au gluten (SGNC) suscite les railleries d’une partie des professionnels de santé, intimement convaincus qu’il s’agit d’une hystérie collective. Pour eux, si des centaines de milliers de personnes se privent de gluten, c’est pour l’effet de mode et rien d’autre. Et si « ces malades imaginaires » paraissent soulagés après avoir réduit leur consommation de gluten, ça résulte forcément d’un effet placebo. 

Vous connaissez forcément ce discours d'un autre temps ? Vous en avez fait l’expérience ? Sachez qu’il ne durera plus très longtemps. Des chercheurs ont avancé une explication plausible du phénomène et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’a rien de fictif. Accrochez-vous, les mécanismes en jeu sont parfois complexes. 

La sensibilité au gluten, (très) prochainement reconnue par la communauté scientifique ? 

Comme pour la maladie cœliaque, les personnes qui se disent « sensibles au gluten » se plaignent de symptômes après l’ingestion d’aliments contenant du gluten. C’est une combinaison des symptômes de l'affection de l'intestin émotif (A.I.E.), incluant des douleurs abdominales, des ballonnements, des désordres intestinaux (diarrhée ou constipation) et des manifestations systémiques comme des maux de tête, de la fatigue ou des douleurs musculaires. 

Mais contrairement à la maladie cœliaque, on ne retrouve chez eux ni dégradation de la paroi intestinale ni anticorps dirigés contre les molécules de gluten. Faut-il en conclure pour autant que la maladie n’existe pas ?

C’est un débat qui passionne au sein de la communauté scientifique. Et tandis que certains chercheurs préfèrent vérifier si les bienfaits d’une cure sans gluten ne sont pas liés à un effet placebo, d’autres tentent d’avancer sur les mécanismes potentiels. 

Une équipe de scientifiques vient justement de formuler une explication du phénomène qui va faire parler.

D’après eux, la sensibilité au gluten non-cœliaque qui touche plus de 15 % de la population serait la conséquence de deux mécanismes combinés. 

1) Un déséquilibre du microbiote intestinal

Depuis quelques années, on se rend compte avec stupéfaction que le microbiote intestinal (anciennement "Flore intestinale"), c’est-à-dire l’ensemble des bactéries qui vivent en harmonie avec notre organisme, joue un rôle bien plus important sur notre santé qu’on le croyait. 

Dans l’intestin, par exemple, on s’est aperçu que des bactéries produisaient des acides gras à chaîne courte (AGCC), et notamment du butyrate, un nutriment qui agit sur la croissance et le renouvellement des cellules de la muqueuse colique. Sans ce précieux nutriment, les cellules du colon dépérissent et ne produisent plus suffisamment de mucus, cette couche protectrice qui constitue une barrière physique contre les micro-organismes et les substances nocives. En hiver ce mucus se refroidissant à cause des températures extérieures, devient moins performant et entre dans une phase qui crée le lit des maladies comme rhume, gastro-entérites, ...

C’est ce qui arrive vraisemblablement aux personnes dites « sensibles au gluten ». Il semble que chez elles, les bactéries productrices de butyrate (qui appartiennent généralement au phylum Firmicutes) soient en difficulté et ne parviennent pas à maintenir des taux de butyrate adéquats. Soit parce qu’ils sont en nombre insuffisant, soit en raison d’une défaillance de leurs alliés, les bactéries du genre Bifidobacteria. Celles-ci leur procurent de l’acétate et du lactate qu’elles convertissent ensuite en butyrate. Si ces bifidobactéries deviennent rares, les producteurs de butyrate le seront aussi, l’harmonie est précaire. 

La pénurie de butyrate et de mucus qui en résulte favorise le contact entre les cellules intestinales et les antigènes microbiens. Et surtout, elle dérègle l’un des mécanismes fondamentaux de la barrière intestinale : la translocation bactérienne. Il s’agit du passage de bactéries d’origine digestive à travers la barrière de la muqueuse intestinale vers les ganglions mésentériques, le sang et les organes à distance. 

En temps normal, ce passage est rendu impossible par plusieurs mécanismes, comme la phosphatase alcaline intestinale (PAI), une enzyme qui empêche l’adhésion des bactéries pathogènes aux cellules intestinales. Mais le butyrate est justement un inducteur de l’expression de la PAI : lorsqu’il diminue, il entraîne l’activité de la PAI dans sa chute et met en branle la perméabilité de la barrière intestinale. 

2) Une alimentation riche en gluten et en ATIs

Cela fait quelques temps que les chercheurs soupçonnent l’implication d’autres protéines que le gluten (mais présents dans les mêmes aliments) dans la sensibilité au gluten non cœliaque : les inhibiteurs de l’amylase-trypsine (ATIs). 

Ce sont des composants protéiques qui protègent les plantes des parasites et des nuisibles en inhibant les enzymes digestives et qui, par conséquent, résistent également à la dégradation protéolytique de l’homme. Autrement dit, comme la gliadine et la gluténine (qui forment le gluten), ces composés ont une digestibilité très faible et restent pratiquement intacts dans la lumière de l’intestin. 

Et le vrai problème, c’est que ces composés prennent une place de plus en plus importante dans notre alimentation : en sélectionnant des variétés de céréales toujours plus résistantes aux nuisibles, l’homme a augmenté artificiellement leur teneur en ATIs. Quand on mange des aliments riches en gluten comme du pain ou des pâtes, on avale donc également des ATIs. 

En situation normale, l’afflux de ces substances assez inhabituelles pour l’homme ne présente pas de danger pour les cellules intestinales, protégées par le mucus et par des mécanismes détoxifiants complexes. Mais en cas de déséquilibre du microbiote, ces boucliers volent en éclat et permettent aux APIs d’approcher la muqueuse en toute impunité.

Là, on les soupçonne fortement de se lier à des récepteurs situés sur les membranes des entérocytes, les récepteurs TLR4 qui sont normalement en charge de bloquer des molécules toxiques ou appartenant à des bactéries pathogènes. C’est cette fixation qui provoquerait une inflammation intestinale, avec libération de cytokines (IL-1β et TNFα), mais aussi une hausse de la perméabilité intestinale. 

Et ce n’est pas tout puisqu’une fois passées de l’autre côté, au-delà de la barrière intestinale, elles ont tendance à se lier aux mêmes récepteurs présents sur les autres cellules et à amplifier les réponses inflammatoires déjà initiées ailleurs dans l’organisme. Voilà qui expliquerait les symptômes extra-intestinaux (comme la fatigue, les douleurs ou les troubles de l’humeur) et la rapidité avec laquelle ils suivent l’ingestion d’aliments riches en gluten et en ATIs. 

Si rien n’est fait, c’est un cercle vicieux qui s’installe puisque l’inflammation chronique contribue à rendre inefficace la phosphatase alcaline intestinale (PAI), ce qui favorise la multiplication des bactéries pathogènes dans l’intestin. 

3) La solution efficace et pérenne

La bonne nouvelle c’est que si cette hypothèse avancée par les chercheurs est exacte, la sensibilité au gluten non-cœliaque (qu’on pourrait plutôt appeler la « sensibilité au gluten et aux ATIs induite par dysbiose ») se guérit. Elle n’aurait pas de causes génétiques contrairement à la maladie cœliaque. 

Pour s’en débarrasser, il faudrait donc favoriser un retour à l’équilibre du microbiote intestinal. Voici les conseils qui découlent des conclusions des chercheurs et qui permettraient de guérir la « sensibilité au gluten » :

  • Eviter les aliments riches en gluten et en ATIs, le temps de retrouver un meilleur équilibre de la flore intestinale, ou favoriser leur digestion en se supplémentant avec des enzymes capables de dégrader les protéines du blé ou d'en atténuer leur effet (comme ceux inclus dans le Wplants).

WPLANTS

  • Eviter les produits transformés « sans gluten » qui, selon une étude publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, sont plus gras, plus sucrés, plus salés et moins riches en fibres que leurs équivalents traditionnels !

  • Rompre avec les régimes riches en gras (saturés et trans) et en protéines animales qui augmentent les sels biliaires, favorisent le développement des bactéries pathogènes et accentuent la translocation intestinale.

Maux de tête, migraines: une avancée magistrale !

Par Le 28/02/2018

Le mal de tête est un mystère qui ronge ceux qui s’aventurent à en percer les secrets. Interprété par les peuples anciens comme une possession mystique, il trace sa route à travers le temps, laissant derrière lui des centaines de théories et traitements aussi effrayants qu’inefficaces. Aujourd’hui encore, les chercheurs peinent à comprendre les mécanismes d’un fléau qui touche 1,5 milliards de personnes à travers le monde.

Céphalée-migraine

Une étude parue dans Headache : The Journal of Head and Face Pain en juin dernier pourrait bien changer la donne. On y apprend que la majorité des victimes ont de sérieuses carences en certaines vitamines…

Accrochez-vous, migraineux(se), le jeu en vaut la chandelle !

Mal de tête au XXIème siècle ? Vous avez de la chance.

Avant de revenir sur cette découverte importante, vous devez comprendre à quel point vous avez paradoxalement de la chance de souffrir de maux de tête à notre époque. S’il est vrai que les traitements ne sont toujours pas miraculeux de nos jours (les victimes de migraines en savent quelque chose), ils ont au moins le mérite d’être sans (grand) danger. On ne peut pas en dire autant de ceux imaginés et conçus par les chercheurs des siècles précédents. Environ mille ans avant notre ère, les maux de tête signalaient la présence de l’esprit du démon. Pour soulager la victime, une solution s’imposait si les incantations magiques restaient sans effet : ouvrir le crâne pour délivrer l’esprit du mal.

Cette opération dangereuse, qu’on appelle trépanation, connaîtra des hauts et des bas dans l’Histoire mais ne s’éteindra complétement qu’à la fin du XXème siècle. On pense que la douleur intense résultant de l’opération court-circuitait la douleur des migraines qui disparaissaient alors… temporairement.

Plus tard, de l’Antiquité jusqu’au Moyen-Âge, les saignées et scarifications font loi pour « guérir » les migraines désormais reconnues comme des maladies. Le principe est simple : on incise une veine ou une artère du front du côté opposé à celui de la douleur.

Les ventouses en forme de cloche destinés à restaurer l’équilibre des humeurs prennent ensuite le relais à la Renaissance.

Puis, c’est au tour des décharges électriques de connaître leur moment de gloire à la fin du XIXème siècle avant de décliner au profit des interventions psychologiques, comme l’hypnose. On pense alors que les maux de tête sont forcément liés à une situation psychologique instable ou à un événement qui a eu lieu dans l’enfance (ce qui ne concerne en réalité qu’une petite partie des maux de tête).

Cérat de crapaud, castoréum (glande anale de castor), charbon de cervelle de mouton… Fort heureusement, ces méthodes douteuses ont disparu du fait d’une meilleure compréhension du phénomène. Cette nouvelle étude de l’American Headache Society (AHS) s’inscrit dans cette voie du progrès.

Pourquoi cette découverte est importante

Les maux de têtes, qu’il s’agisse de céphalées de tensions ou de migraines, sont les problèmes de santé les plus communs après les caries dentaires. Entre 20 et 37 % de la population aurait des maux de têtes plusieurs fois par mois, 10 % plusieurs fois par semaine et 3 % en ont même de façon chronique. En tout, près de 80 % de la population sera concernée par ce problème de santé un jour ou l’autre et de façon sérieuse. Contrairement aux maladies dégénératives ou aux cancers, les maux de tête ne surviennent pas préférentiellement lorsqu’on vieillit. Tout le monde, enfants comme adultes, est susceptible d’être confronté au problème. 

Pour toutes ces raisons, le mal de tête semble banal. Pourtant, la majorité des personnes qui en souffrent ignorent s’ils souffrent de céphalées de tension ou de migraines. La majorité des personnes qui en souffrent sont incapables de les soulager correctement. La majorité des personnes qui en souffrent apprennent à vivre avec ce mal chronique toute leur vie. Avec le retentissement qui en découle sur le plan professionnel et personnel. 

Voilà pourquoi toute découverte sur le mal de tête est une victoire contre la maladie. A fortiori si elle peut soulager des milliers de personnes.

Migraines et céphalées : mettez un nom sur votre mal

Vous souffrez régulièrement de maux de tête ? Et si vous étiez une victime de migraines qui s’ignorent, comme la moitié des personnes touchées par le fléau ? Pour le savoir, il faut d’abord apprendre à faire la différence entre une migraine et une céphalée de tension. 

De loin le plus fréquent des maux de tête, la céphalée de tension est ressentie comme une vive tension, souvent diffuse, au niveau de la boîte crânienne. Souvent liée au stress, au manque de sommeil, à la faim, à un dérangement intervertébral ou à l’abus d’alcool, elle peut durer de 30 minutes à plusieurs heures, voire quelques jours. Parmi les céphalées de tension, on recense par exemple la céphalée de Poudlard causée par une lecture excessive. Elles sont généralement passagères et leur prévention reste très accessible. 

La migraine quant à elle entraîne un mal de tête intense et lancinant souvent limité à un seul côté de la tête et localisé près d’un œil. La douleur est perçue comme des pulsations dans la boîte crânienne, et se trouve typiquement aggravée par la lumière, l’activité physique et le bruit. Elle s’accompagne parfois d’un signal précurseur, nommé "aura", 20 à 40 minutes avant le début de la migraine : perte de vision temporaire, éclairs lumineux, engourdissements au niveau du visage, difficultés d’élocution… Chaque crise de migraine est associée à plusieurs symptômes comme la nausée, des tremblements, une sensation de froid ou des troubles de la vision. Il est important de préciser que la douleur s’interrompt totalement entre les crises, dont la fréquence varie selon les victimes.

Comment prévenir les crises de maux de tête ?

Aujourd’hui encore, les causes des céphalées de tension et des migraines sont encore mal connues. On sait cependant qu’il existe des déclencheurs (vous trouverez la liste de tous les déclencheurs identifiés par la Science Naturopathique un peu plus bas). 

Malheureusement, on ignore pourquoi certaines personnes ont des céphalées de tension ou des migraines et pourquoi d’autres n’en ont tout simplement jamais alors qu’elles sont exposées aux mêmes déclencheurs. C’est encore une énigme, même si une nouvelle fois, cette dernière étude apporte des éléments supplémentaires.

On sait également que la migraine est une affection à forte composante génétique : c’est la raison pour laquelle on a identifié des familles entières de migraineux et c’est aussi ce qui pourrait expliquer pourquoi les femmes seraient 3 fois plus touchées que les hommes.

Voici la liste des facteurs susceptibles de déclencher des crises de migraines ou de céphalées de tension :

  • Les boissons alcoolisées, et surtout leur abus. 

  • Certains aliments comme le chocolat, les œufs, les yaourts, les fromages forts, l’ail, certains fruits (bananes, raisins, ananas notamment), les aliments frits et les viandes fumées. 

  • L’irrégularité dans la prise des repas ou des heures de sommeil. 

  • Un manque de caféine (un café qui arrive trop tardivement le matin par exemple). 

  • Plusieurs émotions comme la colère, l’état dépressif, l’anxiété et le stress (les crises se déclenchant surtout juste après les périodes de stress). 

  • Les changements de températures ou de pression. 

  • Certains médicaments comme les analgésiques (paradoxalement), la pilule contraceptive et les statines. 

  • Les longs déplacements en voiture, en avion ou en train. 

  • Une carence en coenzyme q10, en vitamine D et en magnésium

Si l’on en juge par plusieurs études scientifiques, les victimes de migraines seraient bien inspirées d’adopter un régime faible en gras tout en tenant un journal alimentaire pour identifier les aliments déclencheurs.

Dès qu’un aliment est suspecté, celui-ci doit être banni pendant quelques semaines, le temps de constater les effets. Plus pratique à adopter, le régime vegan serait tout aussi indiqué. La grande consommation de fruits et légumes associée à ce type d'équilibre alimentaire augmente la capacité anti-inflammatoire tout en réduisant le taux alimentaire de tyramine, un composé que l’on retrouve surtout dans la viande et le fromage et qui s’avère lié aux migraines.

La modération dans la consommation d’alcool semble évidente mais le choix du breuvage serait important également, les mélanges d’alcool et le vin rouge étant des déclencheurs plus systématiques.

Enfin, et c’est la nouveauté, le manque de certaines vitamines, en particulier la vitamine D et la coenzyme Q10, serait associé au mal de tête. L’étude de l’AHS publiée en juin 2016 indique que plus de la moitié des personnes souffrant de migraines auraient des carences graves pour ces deux vitamines (les femmes ayant surtout des carences en coenzyme Q10 tandis que les hommes auraient des carences en vitamine D).

Qu’est-ce que la Coenzyme Q10 et où la trouver ?

Proche parente de la vitamine K, la Coenzyme Q10 agit comme une vitamine dans l’organisme et se montre indispensable pour un grand nombre de processus physiologiques. En théorie, elle est synthétisée en quantité suffisante par l’organisme : les apports alimentaires ne représentent d’ailleurs qu’une infime proportion des taux retrouvés dans l’organisme.

Co-enzyme Q10

On constate cependant chez les personnes souffrant de maux de tête, des niveaux beaucoup trop faibles de coenzyme Q10. Chez eux, et puisque l’apport alimentaire est presque insignifiant, il est recommandé de se supplémenter. La CoQ10 étant considérée comme très sécuritaire, on la trouve facilement en vente libre. Et c’est là qu’il est possible de se faire piéger. En effet, les études démontrent qu’elle est presque 3 fois mieux absorbée lorsqu’elle est conditionnée sous forme de gélules (obtenue par fermentation naturelle). Pour garantir une biodisponibilité maximale (et ne pas jeter de l’argent par les fenêtres !).

Comme je vous le disais, l’étude de l’AHS a également mis en évidence des manques en vitamine D chez les personnes souffrant de migraines. C’est assez alarmant dans la mesure où plusieurs chercheurs trouvent que le taux de recommandation (sur lequel on se base pour parler de carences) est lui-même beaucoup trop bas. Certains, et notamment l’Académie de Médecine, demandent même à ce que taux soit quadruplé !

Pour ces raisons et pour les multiples bienfaits prouvés par la Science, de nombreuses personnes ont décidé de se supplémenter en vitamine D. L’innocuité d’une telle pratique n’étant plus à démontrer, les personnes ayant régulièrement des maux de tête seraient bien avisées de se pencher sur la question… 

Cette nouvelle étude est une étape supplémentaire dans la compréhension du phénomène, mais la route reste longue. Nombreux sont ceux qui devront encore supporter les maux de tête carabinés à coup d’ibuprofène (l’antidouleur le plus recommandé). Sachez cependant que les analgésiques, s’ils sont pris régulièrement, risquent d’interrompre la production d’analgésiques naturels par l’organisme et d’entamer un cycle vicieux (on parle de « céphalées de rebond »).

Relaxation

Préférez plutôt un traitement orienté sur la relaxation, les thérapies physiques comme le yoga, l’ostéopathie ou l’acupuncture, plus efficaces à long terme. Et évidemment, soignez la prévention ! 

Déclin des poumons: Que pouvez-vous faire ?

Par Le 27/02/2018

Saviez-vous que parmi tous vos organes, ce sont les poumons qui étaient les premiers sujets au vieillissement ?

L’émonctoire pulmonaire comprend deux processus d’élimination distinct : l’un gazeux ou ventilatoire, l’autre muqueux ou sécrétoire. Les voies respiratoires, 5ème porte de sortie, éliminent principalement les déchets gazeux (gaz carbonique…) qui résultent des combustions organiques. Lorsqu’une personne est trop sédentaire et/ou ne s’oxygène pas suffisamment, le dioxyde de Carbone n’est pas entièrement éliminé et l’organisme s’asphyxie lentement.

Le drainage du poumon est utile :

  • lorsque le milieu ambiant est malsain : fumeurs et fumée de cigarettes, univers de travail confiné mal aéré et poussières,

  • en période de convalescence,

  • pour les personnes hypersensibles aux pollens, poussières et micro-particules irritantes,

  • pour les personnes ayant une fragilité pulmonaire installée.

Comme la peau, ils ont la particularité d’être exposés à la plus forte pression partielle d’oxygène que l’on puisse trouver dans l’organisme. Or, l’oxygène est un facteur du vieillissement bien connu. 

Tous les animaux ont besoin d’oxygène pour produire de l’énergie, mais le mécanisme est imparfait : il engendre la formation d’espèces réactives de l’oxygène (ERO), des déchets potentiellement toxiques pour l’organisme. Ces déchets ont tendance à altérer tous les composants cellulaires qui les entourent, et il faut constamment une armée de molécules antioxydantes pour les en empêcher. Des antioxydants qui peuvent être synthétisés directement par l’organisme ou bien puisés parmi les aliments consommés. 

Malheureusement, il arrive parfois que les antioxydants soient dépassés par les événements, et que les ERO se retrouvent momentanément ou durablement en surnombre (en cas d’infection, de pollution atmosphérique, de consommation tabagique ou de maladie chronique par exemple). C’est précisément ce déséquilibre qui permet aux ERO d’attaquer les tissus environnants, et autant dire que les tissus pulmonaires sont en première ligne. D’ailleurs, l’épithélium des voies aériennes est particulièrement sensible car les enzymes antioxydantes sont assez faiblement exprimées dans les cellules.

Souvent, ces déséquilibres ne sont que temporaires, mais lorsqu’ils sont mis bout à bout, on s’aperçoit que les dégâts à long terme sont considérables. Et plus les dégâts sont nombreux, moins les défenses antioxydantes sont efficaces (car la « notice » ayant servi à leur fabrication est devenue illisible) et plus le vieillissement s’accélère ! 

Le vieillissement « normal » des poumons commence à 30 ans 

Que se passerait-il si l’homme était exposé à une atmosphère exclusivement composée de dioxygène ?

Les recherches ont montré que des dégâts pulmonaires surviennent rapidement au niveau des barrières alvéolo-capillaires et que 24 heures suffisent pour provoquer un syndrome de détresse respiratoire aiguë. Cette toxicité s’explique principalement par la production d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) à des concentrations qui dépassent les capacités antioxydantes de l’organisme. Ces déchets occasionnent des dégâts insurmontables qui déclenchent une réaction inflammatoire très importante. 

Cependant, à des concentrations atmosphériques normales, les dégâts ne sont jamais très prononcés, d’autant que les systèmes antioxydants de l’organisme parviennent à limiter la casse au maximum.

Mais à long terme, les petits dégâts s’accumulent et deviennent de grands dommages : c’est le vieillissement.

Les télomères (impliqués dans la longévité) sont raccourcis, les mécanismes de réparation ne fonctionnent plus aussi bien, les systèmes antioxydants deviennent défaillants, ce qui augmente encore plus les effets du vieillissement. Les tissus pulmonaires deviennent moins élastiques, plus perméables : à partir de 30 ans, le volume expiratoire maximal par seconde (VEMS) diminue en moyenne de 30 ml tous les ans, mais la vitesse de ce déclin s’accélère avec le temps. Quant à la consommation maximale d’oxygène, elle passe de 45 ml/min/kg à l’âge de 20 ans à 18 ml/min/kg à 80 ans (soit 60 % de moins).

Ces chiffres sont très parlants, mais ils ne reflètent pas la réalité. En vérité, vos poumons ont rarement le même âge que vous. De nombreux autres facteurs vont précipiter et accélérer ce phénomène naturel, si bien que des personnes de 35 ans peuvent se retrouver avec de véritables poumons de « vieillards ». Evidemment, l’aspect génétique rentre en jeu, mais les facteurs les plus importants sont de loin la pollution atmosphérique (les particules diesel et l’ozone notamment) et le tabac : on estime que les espèces réactives de l’oxygène sont augmentées d’un facteur 4 dans les poumons de sujets âgés fumeurs comparés à des non-fumeurs. C’est un chiffre considérable qui contribue au vieillissement rapide des poumons, d’autant que l’activité antioxydante des macrophages alvéolaires est aussi abaissée avec le temps en cas de tabagisme. 

Comment ralentir ce déclin ? 

Outre l’arrêt immédiat de la consommation de tabac, il existe deux grands moyens de s’opposer à ce terrifiant compte à rebours : l’activité physique et la consommation d’antioxydants censés neutraliser les espèces réactives de l’oxygène (ERO). L’activité physique joue, à tout âge, un rôle capital dans le maintien et l’amélioration des capacités respiratoires. Quiconque rompt ses mauvaises habitudes d’inactivité physique en s’adonnant à un sport adapté à son âge améliore immédiatement la condition de ses poumons et en ralentit le déclin. Cependant, il arrive que le déclin de la fonction respiratoire soit tellement avancé que l’activité physique n’est plus possible ou devient particulièrement pénible. C’est ce moment terrible qu’il faut éviter à tout prix sous peine de basculer dans une véritable spirale du vieillissement accéléré. 

L’autre moyen de s’opposer au vieillissement des poumons consiste à augmenter sa consommation d’antioxydants. Une nouvelle étude parue en décembre 2017 montre que la consommation d’au moins 3 portions de fruits frais par jour, et notamment de tomates et de pommes, ralentit significativement le vieillissement naturel des poumons et contribue à réparer certains des dégâts déjà occasionnés. D’après ces travaux, le bénéfice est encore plus marqué chez les fumeurs et les anciens fumeurs. 

Ces conclusions rejoignent les constats effectués par d’autres chercheurs selon lesquels la consommation de polyphénols et de caroténoïdes, les deux grandes classes de phytonutriments à propriétés antioxydantes, est associée à une meilleure fonctionnalité pulmonaire et à un ralentissement du déclin.

Est-ce vraiment une surprise quand on sait que ces phytonutriments sont des molécules antioxydantes produites par les plantes pour se défendre contre les agressions (insectes, maladies, rayons ultra-violets) ou suffisamment intéressantes pour inciter les animaux à manger leurs fruits ?

Il en existe d’ailleurs de très nombreuses sortes. Si l’on se fie à l’étude précédemment citée, deux d’entre eux semblent se détacher pour la protection des tissus pulmonaires :

  • Les flavonoïdes, qui sont une catégorie de polyphénols. Dans l’étude mentionnée, les chercheurs attribuent les effets bénéfiques des pommes à leur teneur en flavonoïdes. On retrouve ces phytonutriments antioxydants dans différents fruits ou dans des suppléments comme WFRUITS (Une synergie de super fruits au pouvoir antioxydant).

  • Les lycopènes, qui sont une catégorie de caroténoïdes. On les retrouve en abondance dans les tomates, qui sont les fruits mentionnés dans l’étude comme étant les plus efficaces contre le déclin respiratoire. Il existe d’ailleurs WPLANTS (Puissance 4 pour ce complexe antioxydant préventif reconnu par la communauté scientifique​) dont la mission principale est de prévenir les maladies et le vieillissement cellulaire.

WfruitsWplants

La recherche a par ailleurs montré combien il était important d’associer les antioxydants entre eux, pour profiter de leurs effets synergiques. En pratique, cela doit évidemment se traduire par une grande consommation de fruits et légumes frais, mais certains suppléments comme REDOX (Antioxydant fort & Efficacité prouvée, indice de protection élevée) s’appuient sur ces données en associant des extraits naturels contenant de nombreux polyphénols et caroténoïdes. 

Redox

Comme vous le voyez, il n’est jamais trop tard pour s’opposer au déclin, surtout lorsqu’il concerne une activité aussi primordiale que la respiration. Une bonne fonction respiratoire est essentielle pour maintenir une activité physique modérée, laquelle influe sur pratiquement toutes les fonctions de l’organisme, y compris la qualité de la réponse immunitaire et la longévité. 

Mes 8 secrets pour ne plus être malade

Par Le 24/01/2018

Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin, sauf pour un bilan annuel et pour cause, je ne suis jamais malade. Je vais vous partager mon secret. N'oubliez pas que le hasard n'existe pas.

Chaque année, les mêmes personnes semblent passer miraculeusement entre les gouttes des épidémies de grippe ou de gastro-entérite. En réalité, la chance n’a rien à voir là-dedans : c’est la qualité de leurs réponses immunitaires qui leur garantit de passer l’hiver sereinement, et cette qualité dépend de 8 secrets bien gardés qu’ils exploitent au maximum. A vous de les mettre en pratique pour faire partie, vous aussi, de ces personnes qui ne sont jamais malades... 

1) J'ai une alimentation riche en micronutriments. 

Dans les pays riches, l’alimentation est devenue si pauvre que la carence en micronutriments est monnaie courante. Or, des études ont montré qu’une déficience en un seul des micronutriments suivants nuit aux fonctions immunitaires : le zinc, le sélénium, le fer, le cuivre, le calcium, l’acide folique ou les vitamines A, B6, C et E. 

C’est prouvé : une supplémentation en micronutriments augmente significativement l’activité du glutathion, de la production d’anticorps et de cytokines immunitaires. 

Mon coup de pouce : augmentez votre consommation de fruits et légumes frais, et laissez-vous tenter par cette formule multivitaminée audacieuse et pratique qui a déjà séduit des millions de personne. 

Formule Multivitamines

2) Je dors suffisamment.

Une nuit de sommeil trop courte ne sape pas uniquement votre efficacité au travail. Lorsque vous dormez 5 heures au lieu des 8 heures habituelles, votre organisme interprète ce manque comme un stress physique et élève considérablement son niveau de cellules immunitaires pour le surmonter. Cette activité inhabituelle perturbe par la suite l’activité des granulocytes (un type de globules blancs) et diminue l’efficacité de votre système immunitaire pour les jours voire les semaines à venir. 

C’est prouvé : une personne qui dort moins de 6 heures par nuit pendant une semaine, aurait 4,2 fois plus de risques d’attraper un rhume que ceux qui bénéficieraient de plus de 7 heures de sommeil durant le même temps.

Et l’effet ne s’arrête pas là : d’autres études ont montré qu’un déficit chronique de sommeil avait un impact sur le système immunitaire beaucoup plus lourd, creusant le lit de maladies chroniques bien plus délétères qu’un simple rhume. 

Mon coup de pouce : retrouvez le sommeil en vous appuyant sur les plantes les plus étudiées pour favoriser l’endormissement (valériane, houblon, rhodiola, etc.) ou choisissant ces compléments, et évitez surtout les médicaments (somnifères, benzodiazépines) qui provoquent effets secondaires et addictions. 

Mélisse + ValérianeRhodiola RoseaMélatonine

3) J'ai trouvé des moyens pour réduire mon niveau de stress. 

Le stress entraîne la libération d’hormones du stress, comme le cortisol et l’adrénaline. Ce sont des molécules très utiles à court terme, mais qui nuisent directement aux défenses immunitaires en inhibant la production de cytokines lorsqu’elles sont produites de façon prolongée.

C’est prouvé : une étude a montré qu’en cas de stress chronique, les leucocytes (globules blancs) devenaient anormalement actifs et pouvaient à terme endommager les tissus sains de l’organisme.

Mon coup de pouce : Le yoga, le tai-chi et toute activité physique de manière générale offrent de très bonnes garanties contre le stress. De nombreuses plantes comme l'ashwagandha, la griffonia ou le jujubier contiennent des composés naturels qui agissent en synergie pour apaiser l’organisme et qui sont injustement délaissés au profit des médicaments. Certains suppléments sont justement étudiés pour rassembler les ingrédients naturels les plus actifs contre le stress : ne manquez pas l’occasion de les essayer et de juger par vous-même les effets qu’ils ont sur votre stress. 

OMÉGA 3  - EPA +AshwagandhaGriffonia Simplicifolia

4) Je suis physiquement actif. 

Les études montrent que l’activité physique stimule certaines composantes immunitaires. Elle entraîne notamment une meilleure répartition des populations cellulaires circulantes impliquées dans la réponse immunitaire à condition que l’exercice ne soit pas trop exténuant pour le muscle. 

C’est prouvé : les fonctions immunitaires sont directement affectées par l’excès de tissu adipeux, lequel augmente spécifiquement le risque de contracter la grippe... 

Mon coup de pouce : reprenez progressivement l’activité physique et aidez-vous d’extraits de plantes reconnues "coupe-faim" par la science comme le konjac ou le guarana et l'acerola présents dans cette formule optimisée pour booster votre énergie et votre cerveau.

KonjacDouble Action ENERGY & MENTAL

5) Je mange des fruits et légumes frais sans pesticides.

L’exposition aux toxines et aux polluants atmosphériques réduit la qualité de la réponse immunitaire. Les pesticides, notamment, inhibent la capacité des cellules NK humaines à sécréter des protéines lytiques et ont un effet néfaste sur les lymphocytes T.

C’est prouvé : des études ont clairement montré que l’exposition chronique aux pesticides jouent un rôle dans le développement de certaines pathologies respiratoires comme l’asthme ou les bronchites.

Mon coup de pouce : Si vous êtes sujet régulièrement à des polluants (en habitant dans une grande ville par exemple), augmentez votre consommation d’antioxydants en achetant davantage de fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ou en profitant de ces formules synergiques contenant plusieurs antioxydants redoutables. 

WFRUITSWPLANTS

6) Je suis heureux.

Voltaire l’avait résumé ainsi : "J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé". Et il avait raison. Être heureux, ça se décrète et ça affecte profondément notre vie, notre bien-être et notre santé.

C’est prouvé : les personnes qui sont plus connectées socialement à leur famille, leurs amis, leur communauté, sont plus heureuses, sont physiquement en meilleure santé, et vivent plus longtemps que celles qui sont moins bien connectées.

Mon coup de pouce : une des conditions pour être heureux, c’est d’être ouvert d'esprit et experimenter encore et encore, de penser ouverture du coeur, être altruiste et moins dans l'égo. Ne croyez pas ceux qui affirment posséder une recette miracle pour atteindre le bonheur. Le bonheur, il faut y travailler, se l’approprier, se le construire, sortir de sa zone de confort, souvent inconfortable, induisant contractions musculaires et douleurs articulaires.

Douleurs articulaires

 

7) Je reste au contact de la nature. 

Vivre en ville a de nombreux avantages, mais le risque de souffrir de dépression y est aussi plus important. Or, il est certain aujourd’hui que les personnes tristes ou déprimées souffrent d’anomalies immunitaires, et notamment d’un excès de cytokines dans le sang qui induisent chez eux un syndrome inflammatoire et une réduction de la qualité des réponses immunitaires.

C’est prouvé : au bout de 90 minutes de marche en pleine nature, le cortex préfrontal, en hyperactivité lorsqu’on ressasse des idées noires, est moins sollicité, ce qui réduit le risque de dépression.

Mon coup de pouce: multipliez les balades au grand air, en forêt ou dans un parc si c’est possible et entourez-vous de verdure ! Une étude a même montré que le simple fait de "voir" la nature accélère le processus de guérison. 

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8) Je ne fume pas. 

Les conséquences du tabac sur l’immunité sont catastrophiques. En plus d’une altération des moyens de défense mécaniques comme les cils bronchiques, la fumée de cigarette augmente drastiquement les niveaux d’inflammation tout en diminuant la qualité de la réponse immunitaire (activité des lymphocytes réduite, production plus faible d’anticorps, inhibition des cytokines). 

C’est prouvé : la probabilité d'attraper la grippe quand on est fumeur, est multipliée par 4. Le tabac double même le risque de contracter une infection respiratoire et favorise les complications.

Mon coup de pouce : Arrêter de fumer est évidemment la solution, mais pour celles et ceux qui n’y parviennent pas immédiatement, une supplémentation en vitamine C devrait être envisagée. La recherche a montré que la cigarette épuisait plus rapidement les réserves de vitamine C, ce qui contribuait à aggraver leur situation immunitaire. Le kudzu vous aidera pendant la période de sevrage. La racine du Kudzu contient des isoflavones (daidzéine, puérarine, daidzine...) et a prouvé son efficacité pour réduire la consommation de nicotine. De plus, ces isoflavones ont un effet anxiolytique qui peut contribuer au traitement d'autres addictions comme l'alcool. 

Acérola bioKudzu

Les indispensables à votre bon coeur

Par Le 05/12/2017

Pourquoi les médicaments pour le cœur sont des pièges

  • Les médicaments anticholestérol (statines) font bel et bien baisser votre taux de cholestérol. Mais ils ne prolongent pas votre vie d’un seul jour. Bien au contraire, ils provoquent des effets néfastes (pertes de mémoire, douleurs musculaires, rhabdomyolyse – une maladie mortelle) qui dégradent la vie quotidienne des patients. Les années qui leur restent à vivre peuvent ainsi être gâchées. 

  • Les médicaments contre l’hypertension (bêtabloquants) réduisent la pression artérielle. Mais ils provoquent simultanément une baisse d’énergie qui fait que votre vie est ralentie. En revanche, ils ne soignent rien du tout. Tout au contraire, vous risquez l’accident à tout moment si vous cessez de les prendre, car ils créent une dépendance. 

  • Les médicaments anticoagulants réduisent le risque de caillot, et donc d’infarctus. Moyennant quoi, ils élèvent fortement celui d’AVC. Car, si votre sang ne coagule plus, la moindre hémorragie dans le cerveau peut devenir fatale. 

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des produits naturels simples et bon marché qui maintiennent votre cœur en pleine forme. 

Des produits naturels efficaces pour le cœur et les artères

Ces produits naturels ne font la fortune de personne. Mais ils peuvent vous assurer une vie plus longue et en meilleure santé. 

Si vous avez eu des décès cardiaques dans votre entourage et que vous ne prenez aucun produit naturel pour le cœur, je vous invite très fortement à vous tourner vers :

1. L’huile de poisson

Les études ont montré que les acides gras oméga-3 présents dans l’huile de poisson pouvaient faire baisser le risque de maladies cardiaques jusqu’à 52 %. 

OMÉGA 3  - EPA +

Les huiles de poisson agissent en réduisant l’inflammation des artères et en assouplissant leur paroi. Car ce sont des chaînes souples qui structurent la paroi des cellules, qui deviennent elles aussi moins rigides. On distingue, parmi les meilleurs oméga-3, l’EPA et la DHA. Pour votre système cardio-vasculaire, choisissez une huile de poisson riche en DHA, à une dose quotidienne de 1 000 à 3 000 mg. 

2. Le CoQ10 (coenzyme Q10)

Cet antioxydant se trouve partout dans le corps. Il sert à la production d’énergie cellulaire. Le cœur étant un des muscles les plus gourmands en énergie, et travaillant en permanence, il a besoin de CoQ10 pour battre efficacement. 

Co-enzyme Q10

Mais le CoQ10 a, lui aussi, un effet anti-inflammatoire. Il ralentit la formation des caillots et aide à réguler le rythme cardiaque (contre l’arythmie et les fibrillations). C’est le complément alimentaire phare de la santé cardio-vasculaire. 

3. Vitamine C

N’oubliez jamais que nous sommes le seul mammifère à avoir perdu notre capacité de produire de la vitamine C. Probablement parce que nos ancêtres mangeaient tant de baies, de feuilles et de végétaux riches en vitamine C qu’il était inutile d’en produire en plus, de façon autonome. 

Acérola bio

Mais aujourd’hui, la malbouffe a remplacé les légumes et fruits frais, la teneur nutritionnelle des produits s’est fortement appauvrie et, sans complément de vitamine C, il est peu probable que vos apports soient suffisants. La vitamine C est, elle aussi, antioxydante et entre dans la synthèse du collagène, nécessaire à la souplesse des artères. 

4. Autres antioxydants

D’une façon générale, vous lutterez contre la sclérose des artères par une forte consommation d’antioxydants comme la vitamine A, C et E et de phytonutriments comme les caroténoïdes, les polyphénols et les flavonoïdes. 

Thé vert Resvératrol & OPC de raisinBiocurcumax™

Vous pouvez, par exemple, prendre des extraits de thé vert (appelés EGCG pour « épigallocatéchine gallate »), de raisin rouge (resvératrol), de pin (pycnogénol), de feuille d’olivier, de la curcumine, etc. 

5. Aubépine

C’est la plante traditionnellement tout indiquée pour l’entretien de la santé du cœur : elle fait baisser la pression sanguine et renforce le muscle du cœur. L’aubépine est pleine de flavonoïdes et assure une protection antioxydante supplémentaire. 

Crises d'asthme: Les 4 compléments efficaces

Par Le 16/10/2017

Contrairement aux idées reçues, l’asthme peut apparaître à n’importe quel âge.

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Cette maladie se manifeste par des crises, durant lesquelles la personne asthmatique ressent des difficultés à respirer. Ces crises peuvent être déclenchées par différents facteurs comme des allergènes présents dans l’air, la fumée de tabac, l’exercice physique ou encore certaines émotions intenses. Bien que l’origine précise de l’asthme ne soit pas totalement connue, plusieurs solutions thérapeutiques ont été mises au point. Parmi les traitements proposés, des remèdes naturels existent.

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Découvrez 4 compléments naturels pour prévenir ou traiter les crises asthmatiques. 

Boswellia: Un anti-inflammatoire naturel puissant issu de la médecine ayurvédique

Le boswellia (Boswellia serrata) est un arbre de la famille des Burseraceae originaire de l'Inde. Il pousse dans les régions montagneuses de l'Inde, de l'Afrique du nord et du Moyen Orient.

Son tronc, s'il souffre d'une blessure, exsude une résine nommée « Salai guggul » ou « Olibanum indio » qui est utilisé en médecine Ayurvédique pour soulager la douleur. Cette résine est collectée en été et en automne, elle est entreposée dans des paniers en bambou pour éliminer l'huile et laisser la résine se solidifier. Une fois traitée, la gomme résine est classée en fonction de son odeur, de sa couleur, de sa forme et de sa taille.

La gomme-résine de la Boswellia serrata contient 30-60% de résine, 5-10% d'huiles essentielles et le reste de polysaccharides (~65 % arabinose, galactose, xylose). La partie résineuse contient des mono-, di- et triterpènes, acides triterpéniques pentacycliques (acides boswelliques) et acides triterpéniques tétracycliques.

Elle possède un arôme agréable grâce à sa teneur en huiles essentielles, et les acides boswelliques sont responsables de ses propriétés antiinflammatoires. L'acide acétyle-11-kéto-béta-BA (AKBA) est un des acides boswelliques les plus efficaces et c'est un puissant inhibiteur de l'enzyme 5-lipoxygénase, enzyme impliquée dans les processus inflammatoires.

Les acides boswelliques présentent une activité antiinflammatoire qui supprime la formation des leucotriènes grâce à l'inhibition de l'enzyme 5-lipoxygénase. Les leucotriènes sont des eïcosanoïdes (molécules à caractère lipidique dérivées de l'acide arachidonique) produites par des leucocytes et qui interviennent dans le processus d'inflammation comme l'asthme bronchique et la colite.

Boswellia

Ces acides agissent aussi sur d'autres molécules pro-inflammatoires comme la cyclo-oxygénase et le système du complément et on a démontré son efficacité sur des maladies inflammatoires comme l'asthme, l'arthrite rhumatoïde ou l'ostéoarthrite. Ils inhibent le facteur nucléaire Kappa-B (NF-KB), un facteur de transcription impliqué dans la réponse inflammatoire et dans les maladies comme l'arthrite rhumatoïde et l'asthme bronchique ; et ils inhibent également l'élastase leucocytaire humaine, une protéase (enzyme qui dégrade les liaisons peptidiques des autres protéines) libérée au cours des processus inflammatoires ou d'hypersensibilité. Ils possèdent en outre une activité antiallergique, associée à une inhibition de la dégranulation des mastocytes, cellules impliquées dans les réactions allergiques.

Ginkgo Biloba: remède pour les poumons efficace contre l'asthme.

Apparu avant les dinosaures et ayant survécu à tous les bouleversements climatiques, et même à la bombe nucléaire, le Gingko biloba (ginkgo venant du chinois yin : argent, kuo : fruit ; biloba venant de la forme caractéristique à deux lobes de ses feuilles) a depuis près de 6 millénaires de nombreuses applications médicales.

Son efficacité est due aux glycosides de flavonol et aux lactones terpéniques qu'il contient.

La médecine chinoise fait de l'extrait de feuilles de gingko biloba un remède pour les poumons efficace contre l'asthme.

Ginkgo Biloba

Plusieurs extraits sur le marché ne sont que de pâles copies de ceux utilisés au cours des études (EGb 761 ou Li 1370) : ils sont généralement normalisés en glucoflavonoïdes, mais pas en terpéno-lactones. Par ailleurs, les capsules ou comprimés contenant uniquement des feuilles séchées, les teintures et les extraits non normalisés ne peuvent fournir de dosages thérapeutiques équivalents à ces extraits.

Levure de sélénium & Vit. C: détoxifiant de l'organisme

Le sélénium, oligo-élément indispensable au corps humain, est un antioxydant majeur de la lutte contre les radicaux libres, tout comme la vitamine C avec laquelle il agit en synergie.

Il contribue à la dépollution de l'organisme des métaux lourds (arsenic, plomb, mercure, cadmium).

Le sélénium active la protéine appelée glutathion-peroxydase, qui bloque elle-même la formation des radicaux hydroxyles, connus pour être les radicaux libres les plus réactifs et les principaux médiateurs des dommages causés par les radicaux libres dans le corps. 

Il participe avec la vitamine C à la protection des membranes cellulaires en luttant contre la peroxydation des lipides grâce à l'enzyme d'Ursini, une autre forme de glutathion-peroxydase. Enfin, toujours grâce à la glutathion-peroxydase, le sélénium favorise le métabolisme des prostaglandines, qui sont des substances synthétisées dans de nombreux tissus et organes et douées d´une très grande activité physiologique, et contribue à contrôler l'hyperactivité plaquettaire.

La réduction des apports en sélénium, des concentrations sériques et érythrocytaires en sélénium, ainsi que la réduction de l'activité de la glutathion peroxydase sélénium dépendante sont des facteurs de risques d'asthme. L'apport en sélénium est inversement corrélé l'incidence de l'asthme. Les asthmatiques et plus généralement les sujets allergiques ont des teneurs basses en sélénium. La carence en sélénium entraîne une réduction de l'activité de la glutathion peroxydase, une élévation en thromboxane A2 (proagrégant et vasoconstricteur), une augmentation de l'agrégation plaquettaire et une diminution de la prostacycline ou prostaglandine I2.

Chez l'asthmatique, la supplémentation en sélénium réduit l'agrégation plaquettaire par augmentation l'activité de la glutathion peroxydase qui joue un rôle capital dans le système de défense antioxydante.

Levure de sélénium & Vit. C

Le sélénium est donc un oligoélément indispensable au corps humain. Ce dernier, pourtant, est incapable de le synthétiser et nous devons donc trouver le sélénium dans la nourriture que nous consommons ou dans des suppléments. Le corps humain n'assimilant qu'une petite quantité de minéraux inorganiques, le mode de production que nous avons retenu consiste à susciter une transformation biochimique du sélénium à travers un produit organique naturel : la levure. La forme du sélénium est alors rendue semblable à celle que l'on trouve dans les plantes (L(+) selenomethionine), dont la bio-disponibilité pour l´organisme humain est entière. Aux 27.5 mcg de sélénium que contient chaque comprimé, ont été ajouté 40 mg de vitamine C naturelle, extraite de cerises acérola, afin de créer une synergie dans la lutte contre les radicaux libres.

Reishi Rouge Bio (Ganoderma lucidum): traitement de l’asthme et des troubles respiratoires

Le reishi rouge (Ganoderma lucidum) est un champignon utilisé en médecine traditionnelle depuis plusieurs milliers d’années pour ses propriétés adaptogènes, immunostimulantes, anti-inflammatoires et antioxydantes. Son nom en chinois (lingzhi) est associé à la longévité et à l’immortalité. 

Le Reishi est riche en nutriments et contient plus de 200 principes actifs, parmi lesquels les ergostérols, polysaccharides et les triterpènes.

Dans le groupe des polysaccharides, on trouve les bêta-glucanes, des composés qui renforcent le système immunitaire. Le reishi contient en outre des triterpènes provenant du lanostane, un groupe de molécules aux propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et pour le traitement de l’allergie.

Reishi Rouge Bio (<em>Ganoderma lucidum</em>)

Ce champignon est également très riche en protéines, nutriments et autres composés bioactifs comme les ergostérols et les nucléotides.
Parmi les polysaccharides, on trouve les bêta-glucanes, molécules qui possèdent une activité immuno-modulatrice stimulant le système phagocytaire, augmentant la libération des cytokines et agissant sur les différentes cellules qui font partie du système immunologique.

Le reishi contient en outre des triterpènes provenant du lanostane, dont les acides ganodériques et les acides ganodermiques, un vaste groupe de composés qui présente diverses structures chimiques et propriétés : antibactériennes, anti-inflammatoires, antioxydantes, hypoglycémiques, neuroprotectrices... Une des propriétés des triterpènes est associée au traitement de l’asthme et de l’allergie, pour ses propriétés anti-inflammatoires puisqu’ils inhibent la libération d’histamine par les mastocytes et rétablissent l’équilibre normal des cytokines TH1 et TH2.

Récupération musculaire: Les nutriments essentiels

Par Le 11/10/2017

Prise en charge globale

En naturopathie, l’alimentation du sportif  doit répondre aux adaptations physiologiques de l’exercice. Elle est d’abord basée sur la prise d’aliments courants dans le cadre d’une alimentation équilibrée et diversifiée, sous forme de repas et de collations.

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La pratique d’une activité sportive se traduit par une augmentation de la dépense énergétique dont l’importance varie notamment avec la nature et la durée de l’activité pratiquée et le degré de préparation de l’individu qui la pratique (avec ou sans entraînement préalable).

CRO® Paleo Bar

Prise en charge en naturopathie

Les soins seront programmés en fonction des besoins de chacun et comprendront :

  • Des conseils de rééquilibrages alimentaires visant à revitaliser, à combler les subcarences et à reconstituer les réserves glucidiques, protéiques et minérales. Un équilibrage de croisière pourra ensuite être constitué.

  • Des conseils ciblés avec utilisation de compléments alimentaires adaptés aux besoins de chacun et à son activité (oligothérapie, lithothérapie, vitaminothérapie, aromathérapie, phytothérapie, boissons de l’effort, de récupération, brûleur, draineurs….)

  • Un rééquilibrage des systèmes nerveux et endocriniens

  • Une stimulation des fonctions immunitaires

  • Une réduction des toxiques et des toxines

  • Des soins manuels (Réflexologie plantaire, massage bien être)

Complémentation et activités physiques

Que vous soyez un sportif amateur ou professionnel, vous vous êtes sûrement déjà interrogé(e) sur comment améliorer votre récupération physique après l’effort. C’est d’ailleurs une question très étudiée en nutrition sportive. Et pour cause, puisque l’alimentation joue un rôle clé dans l’activité et la récupération musculaires. 

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A ce sujet, des chercheurs ont étudié les bienfaits de plusieurs nutriments pour aider l’organisme à récupérer après le sport. Grâce à leur étude, ils sont parvenus à mettre évidence les effets bénéfiques d’une combinaison de protéines et d’antioxydants pour favoriser la récupération musculaire et augmenter la force musculaire. Découvrez les résultats de cette étude.

Une étude pour optimiser les entraînements excentriques 

A travers cette nouvelle étude, les chercheurs avaient pour objectif de trouver une solution pour améliorer la récupération musculaire suite à des exercices physiques de forte intensité. Ils se sont particulièrement intéressés aux entraînements excentriques, qui sont connus pour être très efficaces pour gagner en force musculaire mais également très exigeants au niveau musculaire et articulaire. 

En effet, il est possible de distinguer différents types d’exercices physiques selon la façon dont sont contractés les muscles :

  • l’exercice de contraction isométrique, dit statique ou de gainage, consiste à contracter les muscles sans bouger.

  • l’exercice de contraction concentrique, le plus courant, correspond par exemple au mouvement de contraction nécessaire pour lever un poids ; 

  • l’exercice de contraction excentrique désigne le mouvement contraire à la contraction concentrique et correspond par exemple à l’action des muscles pour retenir une charge en musculation ou ralentir lors d’une course à pieds en descente ; 

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Evaluation des bienfaits de nutriments reconnus en nutrition sportive 

Pour optimiser la récupération post-entraînement, les chercheurs ont souhaité évaluer les bénéfices de nutriments reconnus en nutrition sportive : les protéines et les antioxydants.

Constituées d’une succession d’acides aminés, les protéines sont des éléments participant à la structure des cellules musculaires. 

Isotonic spirulinaL-glutamine en poudre

Très prisées par les sportifs en musculation, elles participent notamment à l’entretien et au renouvellement de la masse musculaire. Elles contribuent également à la réparation des microlésions musculaires. Pour lutter contre les dommages musculaires, les effets protecteurs des antioxydants sont également réputés dans l’univers du sport. 

Ces molécules permettent en effet de limiter les dégâts causés par les radicaux libres. Déchets de la respiration, ces éléments radicalaires sont produits en plus grande quantité lors d’efforts physiques intenses. Comme les protéines, les antioxydants présentent ainsi des atouts non négligeables pour soutenir l’activité musculaire et accélérer la récupération après le sport. 

C’est d’ailleurs pour cette raison que les antioxydants et les acides aminés servant à la synthèse des protéines sont des molécules utilisées dans la formulation de nombreux compléments alimentaires pour le sport. 

Une combinaison bénéfique d’antioxydants et de protéines 

Etant donné les atouts non négligeables des antioxydants et des protéines pour les sportifs, les chercheurs ont étudié les effets d’une combinaison de ces molécules auprès de 60 jeunes adultes sportifs. Ces derniers ont été répartis en trois groupes :

  • le premier groupe, considéré comme le groupe contrôle, a reçu un placebo ; 

  • le second groupe a uniquement été supplémenté en protéines ; 

  • le troisième groupe a reçu une combinaison d’antioxydants et de protéines.

Pour chacun des groupes, la supplémentation a été effectuée en trois prises :

  • une première prise suite à une série d’exercices de contractions musculaires excentriques ; 

  • une seconde prise 6 heures après les exercices musculaires ; 

  • et une dernière prise 22 heures après l’effort.

Les différences entre les trois groupes ont été analysées grâce à la mesure de différents paramètres au niveau de l’extension musculaire du genou. Les chercheurs ont par exemple pris en compte la force maximale isocinétique et de la force maximale isométrique, qui sont deux éléments étudiés lors de l’évaluation de la force musculaire et des performances sportives.

Pour vérifier l’efficacité de la combinaison en protéines et en antioxydants sur la récupération musculaire, ces mesures ont été effectuées avant la supplémentation puis 1 heure, 2 heures, 6 heures et 24 heures après la réalisation des exercices. 

Des résultats positifs pour la récupération après l’effort 

Les mesures effectuées avant la supplémentation ont permis de confirmer la pertinence de l’étude. En effet, pour être pertinente, l’étude devait être menée auprès de personnes partageant plusieurs paramètres en commun tels que la force musculaire et la circonférence de la cuisse. De plus, les exercices de contractions excentriques devaient être suffisamment importants pour pouvoir évaluer les effets de la supplémentation sur la récupération.

Différents points vérifiés par les chercheurs

Une fois ces paramètres vérifiés, les scientifiques ont pu suivre et comparer les effets de la supplémentation au sein des trois groupes. A l’issue de leur étude, ils ont constaté des différences significatives entre les trois groupes. 

En comparaison au groupe contrôle, le groupe recevant uniquement des protéines et celui supplémenté en antioxydants et en protéines présentaient des meilleurs résultats au niveau de la force maximale isocinétique et de la force maximale isométrique. 

Néanmoins, à la différence des deux premiers groupes, le troisième groupe ayant reçu la combinaison en antioxydants et en protéines souffrait de moins de douleurs musculaires. 

Grace à cette étude, les chercheurs ont pu confirmer l’efficacité des exercices de contractions excentriques pour gagner en force musculaire. Ils ont également vérifié l’importance d’un bon apport en protéines pour soutenir l’activité musculaire. 

Enfin et surtout, ils ont démontré l’intérêt d’associer cet apport en protéines à une supplémentation en antioxydants pour favoriser la récupération après l’effort. Cette combinaison a en effet montré des résultats positifs pour limiter les douleurs musculaires. 

Protéine Isolate 1.5 KgProtéine Max Definition 750 gProtéine Max Definition 750 g

Ces nutriments anti-fatigues ont une action psychostimulante et anti-inflammatoire. Ils augmentent la tolérance à la douleur et permettent de poursuivre un effort qui serait insupportable dans des conditions normales.

VO2 XtremeTaurinePre-WorkOut

L-citrulline en poudreBCAA 4:1:1Créatine monohydrate

Pour miser sur cette association bénéfique pour la récupération musculaire, il est possible de retrouver en supplémentation nutritionnelle un isolat de protéines naturelles et des antioxydants extraits de plantes. Pour une efficacité optimale, des concentrés de plusieurs antioxydants sont disponibles dans le catalogue de compléments alimentaires spécial nutrition sportive d'Anastore. 

Cortisol: Tout commence avec le stress

Par Le 10/10/2017

Définition du stress

Ensemble des moyens physiologiques et psychologiques qu'un individu met en oeuvre pour s'adapter à un événement précis.

Composition corporelle et hormones

Face à un stress, l'organisme active une réaction d'alerte et libère de l'adrénaline, de la noradrénaline et du cortisol. 

De petites quantités de cortisol sont bénéfiques mais lorsque sa sécrétion se prolonge, l'hormone du stress peut alors avoir des effets néfastes sur le bon fonctionnement de l'organisme, sur les systèmes cardio-vasculaire, immunitaire, neurologique ou métabolique. 

Ces hormones expédient le sang du centre du corps vers les muscles et les membres pour préparer l'organisme à faire face à une éventuelle attaque. Des réponses physiologiques complémentaires assurent une réaction rapide à la menace :les pupilles se dilatent, la conscience s'intensifie, le pouls s'accélère. Lorsque la perception de la menace disparaît, le corps revient à son homéostasie physiologique, interrompant la libération des hormones jusqu'à ce que la prochaine menace apparaisse. 

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L'hormone du stress peut également interférer avec la sérotonine, un des messagers chimiques de l'humeur de notre cerveau, et conduire à une sensation de dépression et, encore une fois, à encore plus d'envies d'aliments de consolation. Des études récentes montrent que le cortisol a un impact sur les neuromédiateurs de la prise alimentaire. La dexaméthasone stimule la prise alimentaire et conduit à une prise pondérale. Cet effet, associé à l'hyperinsulinémie secondaire et à l'insulinorésistance, stimule la lipogenèse et l'accumulation des graisses. 

De surcroît, l'hormone du stress interfère avec l'hormone de croissance avec pour résultats une perte musculaire et un gain de masse grasse. Enfin, une élévation continuelle de l'hormone du stress peut affaiblir le fonctionnement de la thyroïde et faire en sorte que notre métabolisme ralentisse. 

Ce mécanisme convenait parfaitement à nos ancêtres et leur survie en dépendait. Mais, dans notre monde moderne, notre organisme réagit par cette réponse aussi bien face à l'irritation provoquée par le fait que quelqu'un ait pris notre place de parking que face à un réel danger mettant notre vie en jeu. Elle ne constitue en fait que la première étape de l'adaptation au stress.

La seconde est celle de la résistance où nous apprenons, à notre propre détriment, à nous occuper efficacement de notre stress. Elle peut durer des mois. Au cours de cette étape, les récepteurs hypothalamiques au cortisol deviennent moins sensibles à l'inhibition réactive avec pour résultat une augmentation de la production de cortisol. Une production excessive de cortisol est associée à un grand nombre de désordres métaboliques de l'axe hypothalamo-hypophyso-surénalien incluant une insulino-résistance, une obésité, une augmentation de la pression sanguine, une immuno-suppression ou la perturbation de la guérison des blessures. En fait, une élévation excessive prolongée de cortisol peut conduire à des signes et symptômes ressemblant à la maladie de Cushing.

La troisième et dernière étape de la réaction au stress est l'épuisement des surrénales qui implique une déplétion des réserves d'énergie et une perte de résistance physique conduisant à la fatigue, à l'étouffement du système immunitaire et à une cohorte d'autres symptômes systémiques incluant des pathologies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer ou la dépression.

Ginkgo biloba et niveaux de cortisol

Des chercheurs ont découvert que le ginkgo biloba pouvait soulager les glandes surrénales en abaissant les niveaux élevés de cortisol, indiquant par là que cette plante pouvait prendre place parmi les substances reconnues comme adaptogènes.

Lorsqu'il est soumis à un stress, le corps humain produit du cortisol.

Ginkgo biloba

INGRÉDIENTS :

Pour 1 gélule : 60 mg d'extrait sec de feuilles de ginkgo (Ginkgo biloba L.), titré à 24% en glycosides de flavonol (soit 14.4 mg) et à 6% en lactones terpéniques (soit 3.6 mg).

CONSEILS D'UTILISATION :

1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Consultez votre naturopathe en cas de prise simultanée d'anticoagulants. L'emploi chez les personnes sous tratitement antidépresseur est déconseillé. L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes est déconseillé. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Dans des circonstances normales, les glandes surrénales régulent la production de cortisol et quand la situation responsable du stress est terminée, ses niveaux chutent.

Une épidémie très discrète

Si vous vous sentez fatigué sans raison, que vous avez besoin de litres de café pour tenir tout au long de la journée, si vous vous sentez dépassé et stressé et que vous vous débattez désespérément contre les exigences de la vie quotidienne, si quelques exercices de gymnastique suffisent à vous épuiser pour plusieurs jours et si le moindre incident vous irrite, vous déprime ou vous épuise,… vous souffrez peut-être de fatigue surrénale. Un certain nombre de plantes et de suppléments nutritionnels peuvent aider à surmonter cette fatigue.

Les surrénales sont deux petites glandes en forme de croissant qui coiffent le pôle supérieur de chaque rein. Chacune d'elle est composée de couches internes qui produisent différentes substances. La partie intérieure ou médullosurrénale sécrète l'adrénaline et la noradrénaline. La libération de ces hormones augmente le rythme cardiaque et la pression sanguine et détourne davantage de sang vers le cerveau, le cœur, les muscles squelettiques.

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La corticosurrénale, située à l'extérieur de la médullosurrénale, réagit à différents types de stress. C'est là que sont produites les hormones stéroïdes comme la cortisone, l'hydrocortisone, la testostérone, les oestrogènes, la 17-hydroxy-ketostéroïde, la DHEA, le sulfate de DHEA, la pregnénolone, l'aldostérone, l'androsténédione, la progestérone et d'autres hormones, produits intermédiaires dans la synthèse. Un grand nombre de ces hormones sont également fabriquées dans d'autres parties de l'organisme, mais l'aldostérone, la cortisone et l'hydrocortisone sont uniquement sécrétées par les glandes surrénales.

L'hormone aldostérone, de concert avec les reins, régule l'équilibre du sodium et du potassium dans le corps. Cette régulation est très importante pour de nombreuses fonctions physiologiques incluant la capacité à réagir au stress et le maintien de l'équilibre hydrique. Elle contribue même au maintien de la pression sanguine.

Qu'est-ce que la fatigue surrénale ?

La fatigue surrénale se définit par toute diminution de la capacité des glandes surrénales à fonctionner normalement. Cela se produit lorsque l'organisme est submergé, quand le stress sur-accroît sa capacité à compenser et à récupérer. Les surrénales se fatiguent alors et deviennent incapables de continuer à répondre de façon appropriée à de nouveaux stress.

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A ce stade, la plupart des gens entrent dans un cercle vicieux et s'en remettent au café, au coca cola et à d'autres excitants pour lutter contre la sensation de fatigue et tenir tout au long de la journée. Ils trouvent éventuellement un second souffle et finissent de travailler très tard dans la nuit. Il leur devient alors de plus en plus difficile de commencer le matin et ils boivent davantage de caféine, perpétuant ainsi le cycle.

Mais ce n'est que le commencement

La fatigue surrénale se manifeste par toute une batterie de signes et de symptômes dont le plus important est la fatigue. D'autres pathologies peuvent apparaître y compris des affections respiratoires, de l'asthme, des allergies, un syndrome de fatigue chronique, une fibromyalgie ou d'autres désordres immunitaires.

Le traitement de la fatigue surrénale

Pour que les glandes surrénales puissent travailler efficacement, il faut les soutenir nutritionnellement. Des modifications du style de vie accompagnées de suppléments nutritionnels facilitent grandement le rétablissement. Les règles sont simples et similaires aux principes généraux pour rester en bonne santé. Un style de vie modéré avec des aliments de haute qualité, la pratique régulière d'exercices physiques, beaucoup de repos conjugués avec une attitude mentale saine doivent concourir à conserver des glandes surrénales fortes et résistantes.

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Cependant, le stress de la vie moderne fait que certains suppléments nutritionnels peuvent également être nécessaires pour maintenir les glandes surrénales en bonne santé tout comme pour aider des glandes surrénales épuisées à retrouver un fonctionnement normal.

Dans le cas de la fatigue surrénale, l'un des objectifs donnés aux suppléments nutritionnels est d'aider à restaurer une libération diurne de niveaux normaux de cortisol. Si l'on apporte à l'organisme de petites quantités de substances ressemblant au cortisol, les glandes surrénales prennent du repos et ont la possibilité de se régénérer. Ensuite, une production normale de cortisol sera rétablie.

Les adaptogènes

Je vais vous lister quelques plantes adaptogènes qui peuvent vous aider à diminuer votre taux de cortisol, afin de contrecarrer les effets du stress pour retrouver vos performances intellectuelles.

L'Eleuthéroccocus ou Ginseng sibérien, le Schisandra ou le Tribulus terrestris, entre autres, aident à restaurer la sensibilité des récepteurs hypothalamiques et périphériques aux effets du cortisol et d'autres hormones surrénales. De cette manière, les adaptogènes aident l'organisme à construire une réponse adaptée au stress avec des quantités de cortisol plus faibles que celles qui seraient nécessaires sans leur utilisation. Ils facilitent ainsi un retour à la normale plus rapide des surrénales. Des cliniciens ont montré que ces adaptogènes peuvent agir de façon synergique.

Eleutherococcus ou Ginseng sibérien,

Des études conduites par des chercheurs soviétiques ont montré que l'Eleuthérococcus a des propriétés anti-fatigue encore plus efficaces que celles du Panax ginseng. Leurs travaux ont été réalisés dans le cadre d'un programme massif de tests avec des études cliniques réalisées à travers toute l'ancienne URSS sur des ouvriers d'usines, des conducteurs de camions, des marins au long cours et des personnels militaires soumis à des stress très importants. Ces études sur le stress ont révélé que l'Eleutherococcus améliore la résistance, augmente la consommation d'oxygène, renforce l'énergie physique et la performance et réduit la pression sanguine. En 1962, l'Eleutherococcus a été déclaré par le Ministre de la Santé de l'URSS médicament officiel de phytothérapie et inclus dans le guide national des médicaments, la pharmacopée soviétique. L'Eleutherococcus a rapidement été largement disponible et patients, athlètes, cosmonautes et soldats l'ont régulièrement utilisé comme fortifiant.

Eleutherocoque

INGRÉDIENTS :

Pour 2 gélules : 1000 mg d'extrait sec de racine d'éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus (Rupr. et Maxim.) Maxim.) titré à 0,8% en éleuthérosides (soit 8 mg).

CONSEILS D'UTILISATION :

2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau et à répartir en deux prises, au moment des repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Le Schisandra

Le Schisandra est une herbe largement utilisée dans la Chine ancienne et contemporaine pour traiter un grand nombre de maladies. C'est un puissant antioxydant et un agent anabolisant. Le Schisandra favorise également la glycogenèse, le processus qui convertit les hydrates de carbone en glycogène. Le glycogène est stocké dans le foie et les muscles jusqu'à ce qu'il soit utilisé et converti en glucose.

Ce processus aide à produire l'énergie nécessaire à la revitalisation des cellules «stressées». 

Les recherches indiquent que le Schisandra stimule le système nerveux central, probablement en augmentant la dopamine et ses métabolites dans le striatum et l'hypothalamus. La dopamine, une catécholamine sécrétée par les glandes surrénales, est un précurseur immédiat dans la synthèse de la noradrénaline qui joue un rôle pivot en aidant l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien à s'adapter au stress.

Schisandra chinensis 2

INGRÉDIENTS :

Pour 1 gélule : 200 mg d'extrait sec de fruit de schisandra (Schisandra chinensis (Kurcz.) Baill.) titré à 10% en schisandrines (soit, 20 mg).

CONSEILS D'UTILISATION :

1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Le Tribulus terrestris

Dans une étude, des hommes en bonne santé ont reçu 750 mg de Tribulus terrestris quotidiennement pendant 5 jours. Leurs niveaux d'hormone lutéinisante (LH) ont augmenté de 72% et ceux de testostérone de 40%. Produite par les glandes surrénales chez les hommes comme chez les femmes, la testostérone est une importante hormone anabolisante anti-stress. Elle accélère la croissance dans les tissus, stimule le flux sanguin et affecte un grand nombred'activités métaboliques.

Tribulus terrestris

INGRÉDIENTS :

Pour 1 gélule : 470 mg d'extrait sec de fruit de tribule terrestre (Tribulus terrestris L.) titré à 40 % min. en saponines (soit 188 mg).

CONSEILS D'UTILISATION :

1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et adolescents, ou en cas de traitement anti-hypertenseur ou antidiabétique est déconseillé. Ne pas dépasser de la dose journalière recommandée.

Ashwagandha

L'Ashwagandha est une plante originaire de l'Inde particulièrement utile dans le traitement de la fatigue surrénale. Elle est également considérée comme une substance adaptogène qui normalise les fonctions de l'organisme et l'aide à s'adapter à toute une série de situations stressantes. Des études ont montré que l'Ashwagandha est capable de normaliser les niveaux de cortisol. Ses propriétés anti-inflammatoires permettent de traiter les inflammations des articulations ou les douleurs rhumatismales que l'on voit couramment chez les sujets souffrant de fatigue surrénale.

Ashwagandha

INGRÉDIENTS :

Pour 2 gélules : 800 mg d’extrait sec de racine d’ashwagandha (Withania somnifera (L.) Dunal) titré à 5% en withanolides (soit 40 mg).

CONSEILS D'UTILISATION :

2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d’eau, deux heures avant le coucher.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Le griffonia simplicifolia

Le Griffonia simplicifolia est une plante africaine dont les graines sont naturellement riches en L-5-HTP (Hydroxytriptophane), précurseur direct de la sérotonine, l'un des principaux neurotransmetteurs du cerveau. La sérotonine intervient dans le sommeil ainsi que dans la gestion du stress. Le Griffonia est donc une réponse naturelle extrêmement efficace pour aider à retrouver calme, sérénité et qualité du sommeil.

Le L-5-HTP présent dans le Griffonia simplicifolia ne présente pas les effets secondaires des anti-dépresseurs de synthèse ni de risque d'accoutumance. Il permet de réduire les états anxieux et dépressifs sans aucune violence faite au fonctionnement naturel du cerveau, contrairement aux anti-depresseurs de synthèse.

Griffonia 2

INGRÉDIENTS :

Pour 3 gélules : 510 mg d'extrait sec de graines de griffonia (Griffonia simplicifolia (DC.) Baill.), titré à 30% min en L-5-HTP (soit 153 mg)

CONSEILS D'UTILISATION :

3 gélules par jour, à répartir en 3 prises, avec un demi-verre d'eau avant des repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Le Rhodiola rosea

Le Rhodiola rosea répond à la fatigue intellectuelle et physique; il restaure votre vivacité cérébrale et votre dynamisme naturel. Aussi appelée ”racine d'Or” -  pousse dans les régions très froide de notre planète. Il était utilisé par les Vikings, Inuits et en Sibérie pour leur donner force et courage. Doté de solides capacités régénératrices sur la santé; les propriétés de régulation et d'adaptation à la fatigue intellectuelle font du Rhodiola – titré à 5% en Rosavines –  un composant de choix. 

Le Rhodiola rosea est une plante adaptogène : une substance naturelle complexe et rare qui permet à l’organisme de s’adapter aux différents stress de l’organisme,  quel que soit leurs origines.  Les plantes adaptogènes, apportent une réponse fonctionnelle et variable à l’individu; ils tendent à accroître les capacités homéostatiques de l’organisme.

Rhodiola rosea

INGRÉDIENTS :

Pour 1 gélule : 400 mg d'extrait sec de racine d'orpin rose (Rhodiola rosea L.) titré à 5% en rosavines (soit 20 mg)

CONSEILS D'UTILISATION :

1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Le magnésium marin

En France, près d'une femme sur 4 et un homme sur 6 manquent de magnesium.

Le magnésium est essentiel à de nombreuses fonctions de l'organisme. Présent dans toutes les cellules de l’organisme (au total, le corps d’un adulte a environ 25 g de ce mineral), il participe entre autres à plus de 300 réactions enzymatiques. Il est notamment indispensable au maintien de l'équilibre nerveux et musculaire.

L'organisme n'ayant pas de réserves en magnésium, il lui faut un apport quotidien et régulier pour répondre à ses besoins. La carence en magnésium conduit habituellement à des états de fatigue et de stress. Un apport ajusté en magnésium apporte donc détente, sérénité et énergie. Il est particulièrement indiqué aux sportifs qui de par l’exercice physique ont une grande déperdition de magnésium à l’effort.

Magnesium marin 30 gelules 1

INGRÉDIENTS :

Pour 2 gélules : 600 mg de magnésium marin (óxyde de magnésium, sulfates, oxyde de calcium, chlore et fer) titré à 58.8% en magnésium élément (soit 352.8 mg) (94% VNR*)

*VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.

CONSEILS D'UTILISATION :

2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

D'autres suppléments nutritionnels sont utiles à la santé des glandes surrénales et/ou pour s'opposer à une surproduction de cortisol. 

La prégnénolone est convertie en hormones anti-âge comme la DHEA, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone.

Dhea naturelle

INGRÉDIENTS :

  • DHEA 10 mg: Pour 1 gélule 10 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
  • DHEA 25 mg: Pour 1 gélule 25 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
  • DHEA 50 mg: Pour 1 gélule 50 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)

CONSEILS D'UTILISATION :

1 à 2 gélules par jour, à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas. Utiliser de préférence le matin.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Ne pas utiliser en cas de grossesse ou d'allaitement, ainsi qu'en cas de cancer du sein, des ovaires ou de la prostate.

Des supplémentations en prégnénolone peuvent aider à rectifier le déséquilibre hormonal produit par l'insuffisance surrénale liée à l'âge.

Elles peuvent également s'opposer à une surproduction de cortisol tout comme peut le faire la vitamine C.

Acerola

INGRÉDIENTS :

Pour un comprimé (2265 mg) : 1000 mg d'extrait sec d'acérola (issue de l'agriculture biologique) (Malpighia punicifolia L.) titré à 17% en vitamine C (Acide L-Ascorbique) (soit 170 mg de vitamine C) (212.5% VNR*).

*VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.

CONSEILS D'UTILISATION :

1 comprimé par jour à croquer ou à sucer.

PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.