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  • La cuisson affecte-t-elle le profil nutritionnel des aliments ?

    • Par vogot
    • Le 20/06/2020

    La cuisson est une pratique si ancienne dans l’inconscient collectif et si répandue dans les sociétés occidentales, qu’il ne viendrait à quiconque l’idée de considérer ce procédé comme potentiellement néfaste pour l’organisme.

    Pourtant, les études fleurissent pour souligner les problèmes qu’engendre la cuisson par rapport au crudivorisme, la consommation d’aliments crus.

    Encourager la consommation d’aliments crus

    S’il est vrai que cette pratique alimentaire est de plus en plus répandue en France, elle engendre parfois des déficits en vitamines B12. Elle est toutefois plus bénéfique pour l’organisme que la consommation d’aliments cuits.

    Aussi étonnant que cela puisse paraître, de nombreuses études scientifiques mettent en lumière les effets positifs du crudivorisme sur l’évolution d’un certain nombre de maladies chroniques ou mentales et sur l’atténuation de nombreux facteurs de risques impliqués dans les maladies cardiovasculaires.

    Ces bénéfices ne s’arrêtent pas à la prévention puisque d’autres études ont montré que l’adoption de cette pratique en cas d’arthrite rhumatoïde diminuait les douleurs.

    Manger des aliments riches en nutriments peut aider à améliorer votre santé et à vous donner plus d’énergie.

    Alors faut-il arrêter de manger des aliments cuits ?

    Évidemment, non ! Il n'empêche que réintroduire des aliments crus dans l'alimentation paraît être un choix judicieux de santé. Je vous suggère de consommer des aliments crus au repas du midi (déjeuner) et des aliments cuits au repas du soir (diner), quand cela est possible. Votre digestion s'en fera ressentir, et n'oubliez pas que les protéines et légumineuses se consomment à midi avec des légumes verts, et les amidons (pomme-de-terre, riz, pâtes, haricots blancs, flageolets et rouges, ...) au repas du soir avec des légumes verts. Par légumes verts, j'entends aubergine, courgette, carotte, haricot vert, navet, oignon, divers choux, salade, champignon, betterave, amarante, bambou, épinard, blette, ail, céléri, rutabaga, scorsonère, radis, ... Vous voyez, le choix est vaste et la liste non exhaustive. (RAPPEL: la tomate et les olives sont des fruits, à consommer avec modération dans un repas) - Les fruits toujours en dehors des repas ! -.

    Parfois, la cuisson des légumes peut réellement améliorer la biodisponiblité de certains nutriments ou réduire l’action de composés néfastes. C’est le cas pour ces 4 types de légumes, qui, évidemment, restent très bon pour la santé lorsqu’ils sont consommés crus: la carotte, la tomate, les légumes crucifères (brocoli, chou, chou-fleur, radis, etc.) et les légumes verts à feuilles (épinards, blettes).

    Attention : la technique de cuisson va tout de même influer sur la teneur en nutriments!

    Au-delà d’un certain seuil, elle va logiquement décroître...

    La manière dont vous cuisez vos repas peut donc avoir un impact majeur sur le profil nutritionnel des aliments qu’ils contiennent.

    Nous allons faire le point sur les différentes manières de cuire vos aliments afin qu'elles affectent, le moins possible, leur profil nutritionnel.

    Profil nutritionnel des aliments et changements durant la cuisson

    Cuire les aliments aide à mieux digérer, cela peut aider l’absorption de certains nutriments et n'est plus à démontrer.

    Par exemple, les protéines contenues dans les œufs sont 80% plus digestes quand l’œuf est cuit que lorsqu’il est cru.

    Toutefois, plusieurs nutriments clés peuvent être réduits avec certaines méthodes de cuisson, ce qui affecte le profil nutritionnel des aliments.

    Les nutriments qui peuvent en partie disparaître

    Les nutriments suivants peuvent souvent en partie disparaître pendant la cuisson:

    • Les vitamines hydrosolubles (solubles dans l’eau) : la vitamine C et les vitamines du groupe B : la vitamine B1 (thiamine, ou aneurine), la vitamine B2 (riboflavine, ou lactoflavine), B3 (niacine ou nicotinamide), B5 (acide pantothénique), B6, B7 (acide folique) et B8.

    • Les vitamines liposolubles (solubles dans les graisses) : les vitamines A, D, E et K.

    • Certains minéraux : majoritairement le potassium, le magnésium, le sodium et le calcium.

    A retenir: même si la cuisson aide à mieux digérer et à absorber certains nutriments, elle peut aussi changer le profil nutritionnel des aliments en réduisant leur teneur en certains minéraux et vitamines.

    Bouillir, mijoter ou pocher

    Faire bouillir, mijoter ou pocher un aliment sont toutes des méthodes de cuisson qui se ressemblent et qui sont à base d’eau.

    La différence est que l’eau n’est pas à la même température selon la méthode choisie:

    • Pocher : température de l’eau (à moins de 80°C).

    • Mijoter : l’eau doit être comprise entre 85 et 93°C.

    • Bouillir : l’eau doit être à 100°C.

    Les légumes sont une très bonne source de vitamine C en général, mais une grande partie de ce nutriment important est perdue quand ils sont cuits dans l’eau.

    En fait, bouillir est la méthode qui change le plus le profil nutritionnel des aliments, en faisant perdre le plus de vitamine C. Le brocoli, les épinards et la salade peuvent perdre jusqu’à 50% de leur vitamine C, voire plus, quand ils sont bouillis.

    Comme la vitamine C est hydrosoluble et sensible à la chaleur, elle peut s’échapper des légumes quand ils sont immergés dans l’eau, surtout si elle est brûlante.

    Les vitamines du groupe B ont une sensibilité à la chaleur similaire. Jusqu’à 60% des vitamines B, telles que la thiamine et la niacine peuvent être perdues lorsque la viande mijote et que son jus s’échappe.

    Toutefois, quand on consomme le liquide dans lequel a baigné la viande comme un bouillon, 100% des minéraux et de 70 à 90% des vitamines B sont conservées.

    D’un autre côté, le fait de bouillir du poisson a montré son efficacité pour préserver les acides gras, oméga-3, de manière significative, par rapport à le passer au micro-ondes ou le faire frire. Le profil nutritionnel des aliments n’est donc pas toujours affecté de la même manière.

    A retenir: alors que les méthodes de cuisson à base d’eau causent la perte la plus importantes des vitamines hydrosolubles, elles n’ont que très peu d’impact sur les acides gras, oméga-3.

    Griller

    Griller un aliment signifie le cuire avec une chaleur très sèche. Quand on grille quelque chose, la chaleur peut soit venir d’en dessous, soit d’au-dessus.

    Griller est l’une des manières les plus populaires de préparer les aliments, parce que cette méthode leur donne toujours un très bon goût.

    Toutefois, jusqu’à 40% des vitamines du groupe B et des minéraux qui se trouvent dans ce que vous cuisez risquent de disparaître si vous le faites griller. Cela s’explique par le fait que les vitamines sont emprisonnées dans le jus de la viande, qui s’écoule lentement pendant qu’elle grille.

    Certaines personnes, dont je suis, ont aussi émis des inquiétudes sur les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), qui pourraient être des substances cancérigènes qui se forment lorsque la viande est grillée et que la graisse s’échappe et atterrit sur une surface chaude.

    Les hydrocarbures aromatiques polycycliques baissent de 41 à 89% si les gouttes de graisses sont enlevées, et que du coup, il y a moins de fumée. Mais pour cela, vous devriez privilégier la cuisson verticale au barbecue, par exemple.

    La cuisson des viandes augmente la teneur de la majorité des minéraux (fer, zinc, sélénium, phosphore), sauf dans le cas d’une cuisson humide où le sodium, le potassium et le magnésium tendaient à diminuer.

    Les teneurs en protéines, matières grasses et cholestérol augmentent quels que soient le niveau et le mode de cuisson contrairement aux teneurs en vitamines B1 et B6 (qui sont thermosensibles), qui diminuent pour toutes les cuissons, et notamment pour celles qui sont humides.

    Par ailleurs, au-delà de 75°C, les cuissons durables entraînent une augmentation de la teneur en acides gras saturés et une baisse des teneurs en acides gras polyinsaturés, reconnues pour prévenir les maladies cardio-vasculaires.

    A retenir: griller donne un très bon goût aux aliments mais réduit aussi la quantité de vitamines B qu’ils contiennent, changeant du coup le profil nutritionnel des aliments. Griller de la viande pourrait aussi potentiellement générer des substances cancérigènes.

    Cuire au micro-ondes

    Faire de la cuisson au micro-ondes est une manière facile et pratique de cuire les aliments.

    Malheureusement ce mode de cuisson est loin d’être anodin, c'est la pire solution que vous pourriez trouver.

    Il diminue notamment considérablement le profil nutritionnel des aliments, en réduisant la teneur en vitamines.

    Par exemple, lorsqu’il est préparé au four à micro-ondes, le brocoli perd, entre 70% et 90% des antioxydants. 

    La chaleur intense générée par le four à micro-ondes serait vraisemblablement responsable du phénomène, à fortiori, du brocoli cuit à la vapeur perd environ entre 10% et 66% de ses antioxydants, puisque ceux-ci sont solubles dans l’eau. On relève que le processus de blanchiment auquel sont soumis les légumes avant d’être congelés peut réduire du tiers leur teneur en antioxydants. Une congélation ne durant que sept jours détruirait quant à elle environ 60% des flavonoïdes contenus dans le brocoli.

    Les micro-ondes provoquent un niveau plus élevé de «déploiement de protéines» que le chauffage conventionnel.

    De l'ail chauffé 60 secondes dans un micro-ondes peut rendre sa substance active (alliinase) comme inutile.

    Les micro-ondes ont également détruit les stimulants immunitaires qui se trouvent dans le lait maternel. Ce sont des éléments nutritifs qui sont essentiels à la santé et au développement de l’enfant.

    Par exemple, du lait maternel chauffé au micro-ondes provoque une diminution de l’activité du lysozyme et des anticorps, et favorise la croissance de bactéries plus pathogènes. Plus de dommages sont causés au lait chauffé au micro-ondes par rapport à toute autre méthode de chauffage.

    6 minutes de chauffage par micro-ondes diminue d’environ 40% la vitamine B12 trouvée dans le lait et la vide complètement de toute valeur nutritionnelle.

    La cuisson au micro-ondes provoque des baisses de 40% dans certains des minéraux couramment trouvés dans les produits frais, ainsi que dans certaines sources de protéines.

    La cuisson des asperges dans les micro-ondes entraîne une réduction des vitamines.

    Les personnes qui consomment des aliments cuits ou réchauffés au micro-ondes présentent une augmentation rapide de leur taux de cholestérol, de leurs leucocytes et une diminution de l’hémoglobine.

    Rôtir ou cuire au four

    Pour ces deux méthodes de cuisson, les aliments passeront au four, avec une chaleur sèche.

    Bien que les deux impliquent la même méthode de cuisson, on utilise souvent le terme « rôtir » pour les viandes, mais ce mot n’est pas utilisé pour parler des gâteaux, du pain et de ce type d’aliments cuits au four.

    La plupart des pertes de vitamines sont minimes avec cette méthode de cuisson, y compris pour ce qui est de la vitamine C.

    Toutefois, à cause de la durée de cuisson qui est beaucoup plus longue qu’avec un micro-ondes et les températures très élevées, la présence de vitamine B dans la viande rôtie peut baisser jusqu’à 40%. Cette méthode impacte donc également le profil nutritionnel des aliments.

    A retenir: cuire au four ou rôtir n’a pas un effet négatif significatif sur la plupart des vitamines et des minéraux, à part les vitamines du groupe B.

    Faire sauter à la poêle

    Avec une méthode de cuisson comme faire sauter les aliments à la poêle, les aliments sont cuits avec une chaleur moyenne à intense, généralement dans une petite quantité d’huile ou de beurre.

    Vous pouvez mélanger souvent ou faire sauter littéralement les aliments et mettre la température plus forte pour faire cuire moins longtemps. La cuisson à la plancha peut-être une meilleure solution, si les aliments sont rapidement cuits, l'inconvénient c'est que ce mode de cuisson est souvent mal géré !

    Mais en général, c’est une façon saine de préparer les aliments.

    Cuire pendant une courte durée et sans eau permet de ne pas perdre les vitamines du groupe B, et ajouter des manières grasses aide le corps à absorber plus facilement certains composés organiques présents dans les fruits et les légumes ainsi que des antioxydants.

    L’absorption de béta-carotène est en moyenne 6,5 fois plus importante lorsqu’on consomme des carottes frites dans une matière grasse plutôt que crues. Mais la perte en vitamines est importante.

    Le taux de lycopènes présents dans le sang augmenterait de 80% chez les personnes qui consomment des tomates sautées dans de l’huile d’olive par rapport aux personnes qui n’ajoutaient pas l’huile d’olive.

    D’un autre côté, faire sauter à la poêle avec une température élevée, même si c’est pour une courte durée pourrait réduire de manière significative la vitamine C présente dans le brocoli et le chou rouge.

    A retenir: faire sauter à la poêle permet de mieux absorber les vitamines solubles dans la graisse et certains composés organiques mais fait baisser la quantité de vitamine C présente dans les légumes.

    Frire

    Faire frire un aliment implique de le faire cuire dans une grande quantité de matières grasses, en général de l’huile, à une température très élevée. La nourriture est en général trempée dans de la pâte, des miettes de pain ou de la panure.

    C’est une façon très populaire de préparer des plats puisque la peau ou l’extérieur de l’aliment permet de créer une barrière pour s’assurer que l’intérieur reste moelleux et hydraté et cuise uniformément.

    La graisse utilisée pour faire frire donne aussi bon goût, généralement. Toutefois, tous les aliments ne sont pas faits pour être frits.

    Comme nous l'avons vu, les poissons gras sont les meilleures sources d’acides gras, oméga-3, qui ont de nombreux bienfaits sur la santé. Ces matières grasses sont très délicates et risquent de disparaître ou d’être moins actives si le poisson est cuit à très haute température.

    Lorsque vous faites frire du poisson, vous dégradez ses acides gras oméga-3 de 70 à 85%, cela a été prouvé par une étude scientifique. Par contre, si vous le faites cuire au four, les pertes sont minimes.

    Au contraire, faire frire permet de préserver les vitamines C et B, et pourrait aussi augmenter le taux de fibres contenues dans les pommes de terre en transformant l’amidon qu’elles contiennent en amidon résistant.

    Lorsque l’huile est chauffée à une température élevée pendant une longue période, des substances toxiques appelées aldéhydes se forment. Les aldéhydes ont été associées à un risque plus important de cancer et d’autres maladies.

    Le type d’huile, la température et la durée de cuisson affectent tous la quantité d’aldéhydes qui sont produites. Faire chauffer une huile qui a déjà servi peut aussi augmenter la formation d’aldéhydes.

    Si vous avez l’intention de faire frire de la nourriture, pour ne pas trop impacter le profil nutritionnel des aliments, ne les faites pas trop cuire et utilisez une huile saine.

    A retenir: faire frire donne un très bon goût à la nourriture et cela peut aussi permettre d’avoir plus de bienfaits sur la santé si l’huile utilisée est saine. Il faut quand même essayer d’éviter de faire frire des poissons gras et de minimiser le temps de cuisson des autres aliments.

    Cuire à la vapeur

    Cuire à la vapeur est l’une des meilleures manières de cuisiner pour préserver les nutriments car cette méthode n’a que peu d’impact sur le profil nutritionnel des aliments. Mêmes les vitamines solubles dans l’eau, qui sont sensibles à la chaleur et à l’eau n’en souffrent pas.

    Faire cuire du brocoli, des épinards et de la salade à la vapeur ne réduit leur taux de vitamine C que de 9 à 15%.

    L’inconvénient est que les légumes cuits à la vapeur sont généralement plutôt fades, sauf s'ils sont issus de l'agriculture biologique. Toutefois, il est facile de remédier à ce problème en ajoutant du sel, des herbes aromatiques, des épices (poivre, gingembre, curry, noix de muscade râpée, ...), de l’huile et/ou du beurre une fois que la cuisson est terminée.

    A retenir: cuire à la vapeur est l’une des meilleures manières de cuisiner car elle permet de préserver les nutriments, y compris les vitamines hydrosolubles.

    Mes conseils pour maximiser la rétention de nutriments pendant la cuisson

    Voici 10 conseils pour préserver le profil nutritionnel des aliments et ne pas perdre trop de nutriments pendant la cuisson:

    • Utilisez aussi peu d’eau que possible si vous pochez, mijotez ou faites bouillir.

    • Consommez le liquide qui reste dans la poêle comme une sauce après avoir fait sauter des légumes.

    • Ajoutez le jus de viande qui reste dans la poêle à votre assiette.

    • N’épluchez les légumes qu’après la cuisson. Ou, mieux encore, utilisez des légumes issus de l'agriculture biologique et ne les épluchez pas du tout pour maximiser votre consommation de nutriments et de fibres.

    • Cuisez les légumes dans de petites quantités d’eau pour réduire la perte de vitamines C et B.

    • Essayez de manger tous les légumes cuits en un jour, ou deux maximum puisque le taux de vitamine C qu’ils contiennent continue de décliner lorsqu’un aliment cuit est exposé à l’air et plus si vous les stockez dans votre réfrigérateur une fois cuits.

    • Coupez les aliments après la cuisson plutôt qu’avant, si c’est possible. Lorsque les aliments sont cuits entiers, une partie moindre est exposé à la chaleur et à l’eau, et la perte de nutriments est donc réduite.

    • Cuisez les légumes pendant une durée aussi courte que possible, seulement quelques minutes, de préférence.

    • Lorsque vous cuisez de la viande, de la volaille ou du poisson, suivez le temps de cuisson indiqué le plus court, juste pour qu’il n’y ait pas de danger à les consommer, mais pas plus longtemps.

    • N’utilisez pas de bicarbonate de soude alimentaire quand vous cuisez des légumes. Même si cela aide à conserver la couleur des aliments, la vitamine C sera perdue dans l’environnement alcalin que le bicarbonate de soude alimentaire produit.

    A retenir: il existe de nombreuses manières de préserver le profil nutritionnel des aliments sans que le goût ou d’autres aspects de la nourriture aient à en pâtir.

    Bon à savoir

    Ne pas tremper les aliments

    Le trempage des fruits et légumes favorise grandement la dissolution des nutriments dans l’eau, même si cela ne dure que quelques minutes.

    Néanmoins, pour déloger la terre, les pesticides et autres fertilisants, le nettoyage est indispensable. Pour cela, il suffit de passer les aliments sous l'eau froide, excepté les fruits et légumes qui possèdent une étiquette (concombres, pommes, oranges, etc.) qu’on lave à l’eau chaude pour dissoudre la cire.

    Qu'en est-il des petites baies telles que les fraises, les cerises ou les framboises ? Mieux vaut les mettre dans une passoire et plonger celle-ci dans l’eau durant quelques secondes.

    Ne pas les éplucher trop souvent

    Une grande partie des nutriments des fruits et légumes réside souvent dans la pelure ou juste en dessous. Voilà pourquoi, lorsque c’est possible, il est préférable d’éviter de les éplucher ou de ne retirer qu’une mince couche à l’aide d’un couteau éplucheur.

    De plus, cette pelure exerce un effet de barrière lors de la cuisson et ralentit la perte des nutriments : si elle n’est pas supportée (ce qui est souvent le cas pour les carottes ou les pommes de terre), mieux vaut la peler après la cuisson.

    Il est important de sélectionner la bonne manière de cuire l’aliment pour maximiser ses qualités nutritionnelles.

    Toutefois, il n’existe aucune manière de cuire qui soit parfaite et n’impacte pas du tout le profil nutritionnel des aliments.

    En général, cuire pendant une courte durée ou à températures plutôt basses avec peu d’eau permet d’avoir le meilleur résultat.

    Ne laissez plus les nutriments que vos aliments contiennent partir à la poubelle !

  • Pourquoi consommer les fruits en dehors des repas ?

    • Par vogot
    • Le 08/06/2020

    Dans quel monde vit-on, le nouveau ou l'ancien ?

    Une crise économique, crise sanitaire, ou bien simplement crise alimentaire ?

    Sont-ce les mêmes qui prêchaient la bonne parole en certifiant que les enfants pouvaient transmettre un certain virus, puis quelques jours plus tard affirmaient le contraire ?

    Sont-ce les mêmes qui disaient que le masque était difficile à mettre et à garder et ne servait à rien, puis plus tard confirmaient qu'il était nécessaire, voir obligatoire dans certaines situations ?

    Sont-ce les mêmes qui affirment que des quantités raisonnables ne causent pas de désagréments alimentaires, qui pensent que les naturopathes font fausse route avec les associations alimentaires, car en plus de vous empêcher de manger des repas intéressants qui associent généralement viandes et substituts avec pains et substituts, ces combinaisons peuvent conduire à des carences alimentaires ?

    J'ai pu lire sur quelques blogs de « spécialistes » de la nutrition que ces associations alimentaires étaient d'un autre temps et même dépassées.

    D'un côté, la médecine symptômatique vous parle d'immunités, et de l'autre, aucune éducation ou hygiène alimentaire n'est proposée. Pire, les médias vous harcèlent avec des "Comme j'aime" PAS en "Montreurs de Poids" (voir traduction originale).

    Oui, dans quel monde vit-on ?

    Ces associations alimentaires tirent leur origine d’un certain Herbert Shelton qui, au début des années 1900, proposa des astuces nutritionnelles en vue de faciliter la digestion, nettoyer l’organisme et améliorer la santé. Par la suite, plusieurs auteurs ont repris les principes de Shelton et ont proposé des régimes sur ces bases combinatoires. Celui de Montignac, un peu plus récent, comprend aussi certaines combinaisons alimentaires. 

    Je vais peut-être en décevoir plusieurs, mais les fondements scientifiques sur lesquels reposent les principes des associations alimentaires sont prouvés et inaliénables. En effet, la compréhension de la physiologie digestive est suffisamment avancée depuis l’époque où ces combinaisons ont été proposées aux gens en quête de la meilleure alimentation possible et il ne viendrait pas à une personne sensée de les remettre en doute.

    Comme je l'affirme depuis longtemps, les protéines sont à consommer au repas du midi (à cause des acides circulants), le déjeuner avec des légumes de saison, crus ou cuits et les féculents ou sucres composés sont à combiner aux légumes cuits au repas du soir. Je vous recommande de ne jamais croiser dans un même repas, protéines et féculents sous peine d'une digestion difficile et d'une destruction cellulaire. Une alimentation dissociée et équilibrée procure une énergie stable et constante sans se priver de précieux nutriments. Nous allons voir cela en détail.

    Mais qu'en est-il des fruits ?

    La saison idéale pour consommer des fruits est l'été. En effet quand il fait chaud ils sont particulièrement appropriés car riches en eau et rafraîchissants.

    De plus, c’est quand les températures extérieures sont élevées que l’apport d’acides naturellement présents dans les fruits est le mieux géré par l’organisme. D’ailleurs on trouve la grande majorité des fruits pendant la saison chaude ou importés d’un pays chaud, le hasard n'existe pas….

    C’est le moment d’en profiter. Mais si on consomme habituellement les fruits en dessert, en entrée comme le melon ou encore en salade comme la tomate (qui est un fruit) est ce le bon moment pour notre organisme ?

    Fruits aux repas, l'estomac-alambic fonctionne

    La question de la prise des fruits aux repas est débattue depuis longtemps et scientifiquement prouvée, mais peu de personnes savent vraiment pourquoi l’association d’un fruit avec un repas contenant céréales, graines germées, protéines est déconseillée.

    Il est souvent évoqué la différence de temps de digestion des fruits, plutôt rapide (environ 2 heures) et celle des céréales, graines germées, viandes, poissons beaucoup plus lente (environ 4 heures).

    Certaines personnes consomment alors tous leurs fruits en début de repas plutôt qu’en dessert. Les fruits étant alors en dessous du bol alimentaire, puisque consommés en premiers, pourraient alors être évacués dès la fin de leur digestion au lieu de fermenter en attendant. Sauf que la différence de durée de digestion n’est pas la seule incompatibilité entre les fruits et les protéines.

    Une question de Ph et de fermentation

    Pour bien digérer, notre système digestif prend en compte plusieurs facteurs :

    • Le temps de digestion

    • La mobilisation d’énergie nécessaire pour digérer certains aliments

    • Le milieu acido-basique digestif

    Or, en associant certains aliments avec des durées de digestion différentes, c’est l’ensemble de notre système digestif qui en pâtit avec, à la clé, des fermentations, des putrescences, de l’acidité et des problèmes digestifs.

    Les fruits mettront donc entre 30 et 60 minutes avant d’être digérés, les légumes, les céréales et les graines 2 h, la viande et le poisson entre 3 et 4 h et les crustacés de 4 à 8 h. Si vous associez des crustacés avec un fruit au cours de votre repas, celui-ci se digérant plus rapidement que les crustacés, il restera plus longtemps dans l’estomac que s’il avait été consommé seul. Les sucres du fruit vont par conséquent fermenter et entraîner des gaz intestinaux, une fatigue et des ballonnements. Une personne n'ayant jamais consommé une goutte d'alcool de sa vie, pourra développer à long terme des problèmes cardiovasculaires, digestifs ou psychiques et dans certains cas graves une cirrhose du foie.

    J'ai ainsi le souvenir d'une patiente m'ayant interpellé un jour en me disant que son mari était décédé de cette pathologie bien qu'il ait été, selon ses dires, sobre comme un dromadaire. Après avoir décortiqué leur alimentation réciproque, elle s'est aperçu, non sans mal, qu'elle avait fait de leurs estomacs, des alambics, souffrant elle-même de problèmes digestifs.

    Manger les fruits crus à distance des repas, au petit-déjeuner (sauf l'orange ou la pomme qui peuvent créer des remontées acides, dues à une fermentation importante), ou en collations (10h ou 16h), car ils sont digérés en quelques minutes. Je suggère 2/3 de fruits frais et 1/3 de fruits secs au petit-déjeuner.

    Le citron a un goût acide mais devient basique après digestion et fermentation.

    Les légumes cuits ou crus se mélangent entre eux et s’associent favorablement avec tout, sont essentiels à une bonne digestion et doivent être présents à tous les repas, excepté le miel, la pastèque et le melon incompatibles qui doivent être consommés seuls au cours d'un repas …

    De quelles protéines parle-t-on ?

    Les protéines

    Elles sont contenues dans la viande, le poisson, les oeufs, le yaourt, les fromages, le soja, les noix, les noisettes et les amandes (oléagineux).

    Elles ne subissent pas d'action chimique buccale.

    Après mastication, ces aliments parviennent dans l'estomac.

    Dans ce dernier, l'organisme libère de l'acide chlorhydrique (HCI) d'un pH 2 à 4, donc très acide.
    Une fois transformées en acides aminés, les protéines passeront dans l'intestin grêle pour être à leur tour assimilées sous forme d'acides aminés. La principale transformation chimique des protéines se fait dans l'estomac en milieu acide.

    On voit donc que le mélange féculent-protéine est incompatible : nous n'avons qu'un seul estomac et on ne peut réclamer à celui-ci un milieu à la fois basique d'un pH 7 à 8 pour les féculents et un milieu acide d'un pH 2 à 4 pour les protéines.

    Ceci va à l'encontre de la démarche alimentaire actuellement très courante, qui est d'associer presque systématiquement poisson ou viande avec riz, jambon avec purée, steak avec frites, etc...

    Viandes et poissons

    Pour les inconditionnels, la viande et le poisson apportent des protéines nobles. Oui, mais ces aliments apportent également beaucoup de déchets appelés purines, urée et acide urique. Si ces aliments sont ingérés le soir, ces acides peuvent circuler toute la nuit dans votre corps.

    Consommer quotidiennement de la viande et / ou du poisson est un excès regrettable et favorable au dépôt d'acide urique dans les articulations. La porte est ainsi ouverte à un grand nombre de maladies comme : arthrite, arthrose, poly- et périarthrite, goutte, rhumatisme... (liste non exhaustive).

    Un cocktail quotidien de viande + produits laitiers devient explosif au fil des années.

    Pour les grands "mangeurs de viande", en ramener la consommation à trois ou quatre fois par semaine, dans un premier temps, sera une étape transitoire, nécessaire à une diminution de leur toxémie et donc un pas vers la santé.

    Pour les végétariens, la consommation de soja et d'oléagineux (noix, noisette, amande) remplacera favorablement la viande et le poisson.

    Et pour ceux qui prennent conscience de la nécessité de supprimer ces aliments, la transition peut se faire en utilisant les viandes blanches, poulet, dinde, de meilleure qualité (si élevage "bio" dans de bonnes conditions) que la viande rouge car elles contiennent moins de purines au départ.

    Le poisson "sauvage" (non issu d'élevage) est de meilleure qualité biologique (mis à part la présence éventuelle de mercure et autres "métaux lourds") car il n'a pas reçu d'antibiotiques, de vaccins, d'hormones de croissance ni de nourriture inadaptée à son espèce (comme c'est le cas pour un grand nombre d'animaux et poissons d'élevage).

    Mais il a un inconvénient majeur : c'est un aliment qui rentre très vite en décomposition et fabrique rapidement des poisons. Son ultra-fraîcheur avant consommation est obligatoire.

    Sa surconsommation entraîne les mêmes problèmes que la viande car le taux de protéines est équivalent.

    Les légumineuses

    Elles comprennent les petits pois (parfois classés à tort dans les féculents: contenants la glutéline, la globuline et l'albumine qui sont des protéines), les lentilles, le soja, les haricots blancs et rouges (légumes secs en général).

    Elles sont très riches à la fois en protéines et en féculents.

    Malgré leur apport nutritionnel important, ces aliments sont difficiles à digérer car féculents et protéines sont incompatibles entre eux.

    Les légumineuses ne sont pas conseillées aux personnes à faible vitalité.

    Les fruits

    De digestion très rapide, contenant beaucoup de sucres rapides, ils sont quasiment incompatibles avec toutes les autres familles d'aliments sauf avec les fruits secs sucrés : les raisins secs, dattes, figues, abricots secs, pruneaux, et les protéines maigres acides : yaourt, petit suisse, lait caillé.

    Les fruits, bien que considérés comme essentiels, peuvent devenir dangereux consommés en mauvaise association.

    C'est le cas du fruit (et des traditionnelles salades de fruits) en fin de repas : son transit dans l'intestin est bloqué au niveau de l'estomac par la présence des autres aliments, quelle que soit leur nature (et a fortiori les protéines).

    Le fruit contenant beaucoup de sucre rapide, ce dernier va fermenter et sera transformé en alcool. Je rappelle que c'est à partir de pommes que l'on fabrique le cidre et le calvados, à partir du raisin que l'on fabrique le vin, l'eau-de-vie, etc.

    Fruits et salades de fruits ne devraient JAMAIS être consommés en dessert.

    Nous retrouvons parfois des personnes âgées qui n'ont jamais bu une goutte d'alcool de leur vie, et qui présentent une cirrhose du foie !

    Elles n'avaient pas besoin de boire puisqu'elles avaient transformé leur estomac en alambic pendant des dizaines d'années en consommant régulièrement des fruits en fin de repas.

    Une association très répandue, particulièrement désastreuse pour les enfants et qui provoque des désordres ORL importants et récidivants, comme les otites, rhinites, bronchites, bronchiolites, angines : un repas de féculents (riz ou purée par exemple) et un yaourt sucré en dessert.

    Le mélange féculent / yaourt (protéine acide) est incompatible et le mélange féculent / sucre du yaourt (sucre rapide) est également incompatible. Cela nous donne une double incompatibilité majeure et des rendez-vous réguliers chez le pédiatre.

    Tout se joue dans l’estomac : explications

    Bien entendu, pas de mélanges, non plus, de féculents et de fruits au souper (repas du soir).

    Au cours de la digestion, le pH y subit de fortes variations, très acide au début, grâce à la sécrétion naturelle d’acide chlorhydrique, il remonte progressivement au cours de la digestion pour devenir nettement alcalin pendant la dernière partie du processus.

    Les féculents et tous les aliments en contenant (pain, pâtes, riz, pommes de terre, biscottes, gâteaux, galettes de céréales…etc) sont des aliments dont la digestion nécessite un pH plutôt alcalin (c’est-à-dire au dessus de 7). Ils seront donc digérés plutôt en fin de processus, quand le pH a pu remonter.

    Les fruits, eux, sont des aliments franchement acides. Leur présence dans l’estomac va augmenter l’acidité du milieu, s’opposant donc à la baisse naturelle du pH au cours de la digestion. Les féculents ne bénéficieront donc pas de conditions optimales pour leur digestion.

    C’est pourquoi la prise des fruits en début de repas ne peut pas résoudre à elle seule le problème : même s’ils sont éliminés plus rapidement, ils auront eu le temps d’augmenter l’acidité de l’estomac.

    Pour les mêmes raisons, il faut éviter de les consommer trop tôt après un repas : il faut respecter un délai d’au moins 4 heures, pour être sûr qu’ils arriveront dans un estomac vide et qu’ils n’interféreront donc plus avec la digestion du repas précédent.

    Des conséquences au niveau intestinal

    La prise des fruits aux repas va d’abord occasionner une sensation de lourdeur digestive, de ventre gonflé, des ballonnements, des brûlures d’estomac, des remontées acides… etc. Mais dans un deuxième temps, elle aura des répercussions sur l’équilibre intestinal.

    En effet, comme on l’a vu les fruits gênent la digestion des protéines ou des féculents quand ils sont associés ensemble. Ces derniers, s’ils sont digérés de façon incomplète ne seront pas utilisable tels quels par l’organisme.

    L’intestin, lui, ne peut que terminer le travail commencé dans l’estomac et non remplacer celui-ci s’il n’a pu effectuer sa part… Avec pour résultat des molécules alimentaires mal digérées qui vont perturber la flore intestinale, voir irriter la muqueuse de l’intestin.

    Un des nombreux rouages de l’hyperperméabilité intestinale, que l’on sait aujourd’hui responsable de divers problèmes de santé… La perturbation de l’équilibre intestinal aura également des répercussions sur le travail du foie.

    Alors comment et quand manger les fruits ?

    Tout dépend s’ils sont cuits ou crus. La cuisson détruisant les acides, aucune restriction concernant les compotes, gelées, confitures, clafoutis, crumbles, tartes aux fruits cuits ; vous pouvez continuer à cuisiner toutes ces recettes traditionnelles sans problème.

    S’ils sont crus, tous les fruits doivent plutôt être consommés en dehors des repas, idéalement au goûter. C’est l’horaire où ils seront le mieux tolérés par l’organisme, et ils pourront ainsi être consommés entre deux digestions. Idem pour les jus de fruits. Suivant les tolérances digestives, l’organisme pourra évidement tolérer quelques écarts, mais le mieux est de s’abstenir au quotidien en s’accordant des jokers lors de sorties ou des week-ends.

    La tomate, traditionnellement considérée et consommée comme un légume, est pourtant bel et bien un fruit. Là encore la cuisson détruit les acides, mais la sauce tomate maison, bien cuite, est préférable à celle du commerce, qui garde d’ailleurs toujours un goût légèrement acidulé car cuite trop rapidement.

    Lire également: "La restauration extérieure et les risques pour votre santé", "Fake News répandues par les lobbies et cautionnées par les autorités", "Mangez des féculents le soir", "Comment se faire une maladie !"

  • Masse musculaire et Protéine Naked Whey

    • Par vogot
    • Le 04/06/2020

    La whey ou lactosérum est un complexe de protéines en poudre très connu dans le monde de la nutrition sportive, depuis plusieurs années : elle permet de maintenir et d’accroître votre masse musculaire et surtout d'en diminuer les douleurs.

    Que ce soit après la séance d'entraînement, pour démarrer le plus vite possible la reconstruction musculaire, ou au petit déjeuner pour casser le jeûne dû à la nuit, la Protéine Naked Whey est la plus anabolisante et populaire de toutes les sources de Protéines !

    Proteine naked whey / Vente en Cyberboutique

    Faisons le point sur l'efficacité de ces protéines et sur leur rôle dans la construction d’une silhouette athlétique et performante.

    Whey protein et masse musculaire

    La whey : des protéines issues du lait ou de végétaux

    La whey est un complexe protéiné que l'on extrait du lactosérum (ou « petit lait »), cette partie liquide obtenue lors de la fabrication du fromage. Pour devenir de la whey, le lactosérum est débarrassé de ses lipides et de ses glucides, avant d'être déshydraté.

    La protéine de lactosérum, ou Protéine Naked Whey, est de loin la plus consommée dans le monde. Elle est souvent considérée comme la meilleure protéine pour les muscles en raison de son profil en acides aminés et sa qualité d’assimilation.

    En parallèle, il existe des protéines végétaliennes comme la protéine de soja, protéine de riz ou protéine de chanvre. La protéine de soja tire son épingle du jeu en intégrant tous les acides aminés essentiels.

    Il n’est pas rare que les fabricants mélangent différentes sources de protéines végétales pour en tirer le meilleur.

    Disons-le sans plus tarder : la réputation de la whey n’est pas usurpée. Ce complexe protéique permet bien de faciliter efficacement la prise de masse musculaire. Mais apprécions cela de plus près...

    Davantage de masse musculaire grâce à la whey

    Petit rappel: comment le corps se muscle-t-il rapidement?

    Tout d'abord, un effort physique (comme celui causé par la musculation) provoque des microtraumatismes au niveau des fibres musculaires.

    En se reconstruisant, le muscle forme des fibres plus solides et volumineuses. Et c'est ainsi qu'il grossit peu à peu, au fil des séances.

    La Proteine Naked Whey agit à plusieurs niveaux pour favoriser la reconstruction et donc le développement des muscles :

    • elle fournit des acides aminés et des protéines essentiels à la construction des fibres musculaires,

    • elle est notamment riche en BCAA, des acides aminés protéinogènes à chaîne ramifiée (la leucine, l'isoleucine et la valine) qui stimulent la synthèse protidique,

    • elle favorise la production d’hormones anabolisantes, qui aident à la production tissulaire et donc à la croissance des muscles.

    De plus, elle est absorbée plus rapidement que bon nombre de complexes protéiques. Elle exerce ainsi une action complète pour vous garantir une «charpente» solide.

    Comment bien prendre la whey ?

    Il existe plusieurs types de whey. Les principaux sont l’hydrolisat, le concentré et l’isolat :

    • le premier est rapide à digérer mais rare, car cher à produire et très désagréable au goût

    • le concentré de whey ou Naked Whey, pour sa part, contient en moyenne de 70 à 80 % de protéines

    • l’isolat, de son côté, en contient au moins 90 %, et est très pur. C’est d’ailleurs celui que l’on conseille aux allergiques aux produits laitiers, car il est complètement débarrassé de son lactose. On le recommande plutôt non dénaturé, c’est-à-dire obtenu avec une méthode douce pour les protéines, pour un résultat de meilleure qualité. 

    En tant que débutant, on peut se demander pourquoi prendre de la whey ? Quelle quantité ? Et à quelle fréquence ?

    Une prise quotidienne est recommandée pour vous assurer une prise de masse régulière. Je conseille généralement de prendre la Proteine Naked Whey juste avant ou pendant votre séance d’entraînement, pour plus d'efficacité.

    Proteine naked whey / Vente en Cyberboutique

    Cette protéine en poudre permet de compléter un apport journalier. Pour un pratiquant de musculation, on estime à 2g / kg de poids de corps ses besoins en protéines. Pour un sportif d’endurance, la dose journalière se situe à 1,5g / kg de poids de corps.

    Ainsi, un individu pratiquant la musculation, hommes ou femmes, et pesant 70kg a besoin de 140g de protéines par jour. Il en trouvera dans les œufs, la viande, le poisson, et pour les végétariens dans la spiruline, notamment la Spiruline isotonique en poudre, le soja, le chanvre, les graines de courges, le fénugrec, les noix, le chia, le quinoa ... mais ceci ne suffira pas. C’est à ce moment là que la Proteine Naked Whey intervient pour l’aider à construire du muscle. Habituellement, la protéine en poudre est consommée, en pré-workout, post-workout, ainsi qu’en collation.

    30 min avant l’entraînement, la Proteine Naked Whey vous permettra d’augmenter la synthèse protéique et de réduire le catabolisme dû à l’entraînement. Il existe également pour une séance de sport optimale, Pre-WorkOut conçu pour booster le corps, améliorer la qualité de votre séance d’entraînement et idéalement augmenter vos performances.

    Pre workout / Vente en Cyberboutique

    Immédiatement après l’entraînement, la protéine en poudre améliore la récupération et participe à l’anabolisme. Associé à une dose de glucides, vous mettez toutes les chances de votre côté pour construire du muscle et réduire la fatigue musculaire.

    En collation, le shaker de Proteine Naked Whey est une solution de facilité. En quelques secondes, vous disposez des acides aminés dont votre corps a besoin. Outre un aspect économique, la Proteine Naked Whey vous apportera un sentiment de satiété jusqu’au prochain repas.

    Concernant le dosage, comme nous l'avons vu ci-dessus, référez-vous à vos besoins ou par défaut aux recommandations du fabricant, noté sur l'emballage.

    Habituellement, une dose de 25 g de poudre (1 cuillère doseuse) avec 250 ml d'eau permet d’apporter environ 25g de protéines.

    Avec quoi associer la whey pour améliorer vos performances ?

    La Proteine Naked Whey est un complexe très complet pour améliorer les performances physiques et gagner en masse musculaire. Vous pouvez toutefois l’associer à d’autres compléments pour une efficacité redoutable :

    • la créatine est un dérivé protéique qui augmente la masse musculaire, apporte de l’énergie et permet d’optimiser les performances sportives. Vous pouvez ainsi opter pour le supplément Créatine Monohydrate,

    • les BCAA peuvent aussi être pris sous forme de compléments alimentaires, par exemple BCAA 4:1:1 (spécial végan) ou BCAA 4:1:1 + L-Citrulline (haute performance), afin d’optimiser les effets protéinogènes de la Proteine Naked Whey et de limiter la dégradation des fibres pendant l’effort,

    • l'Acétyl L-carnitine (ALC) (pureté garantie supérieure à 99 %)  et la L-glutamine (précurseur de l’antioxydant glutathion), de leur côté, améliorent la récupération après l’exercice. Je vous conseille aussi la prise de compléments VO² Mega ou Taurine spéciale végétariens, synthétique, ce qui garantit sa pureté et le non-recours à des substances animales.

    • La Somatropine naturelle joue un rôle crucial dans la perte de poids. Pour les pratiquants de sports fatigants, la somatropine est parfois une incroyable source d’énergie, de nombreux athlètes l’utilisent pour cette raison.

    Rappelez-vous : la pratique sportive et une alimentation riche en protéines sont indispensables à une bonne santé musculaire. Pour gagner en masse et améliorer vos performances, tournez-vous donc vers Proteine Naked Whey, une forme facile à absorber, pure et très riche en protéines. Un complément nutritionnel qui sera un excellent allié pour obtenir un corps athlétique.

    En résumé, la Protéine Naked Whey est un excellent complément alimentaire pour favoriser l’hypertrophie musculaire et améliorer la récupération. 

    Si vous privilégiez la qualité, soyez attentif à l’origine des matières premières, les contrôles de fabrication ainsi que la garantie d’un apport en protéines et acides aminés assimilables par l’organisme.

    Enfin, pour maximiser vos gains musculaires, je vous rappelle qu'une dose de protéines avant/après votre entraînement ainsi qu’en collation pourra satisfaire vos besoins représentés par 25 g de poudre (1 cuillère doseuse) à ajouter à 250 ml d'eau. Bien mélanger et attendre quelques minutes avant de consommer.

  • Vos cheveux tombent ? Des solutions naturelles existent

    • Par vogot
    • Le 25/05/2020

    Notre corps est programmé pour avoir des cheveux jusqu’à l’âge de 120 ans.

    Souvent les chutes ne doivent pas inquiéter, mais dans tous les cas, mieux vaut rester vigilants et traiter avant que cela ne dure.

    Si on emploie le mot de calvitie pour l’homme, on parle plutôt d’alopécie pour la femme. Que la chute de cheveux soit passagère ou durable, visible ou pas, elle doit toujours être “écoutée”, car elle signifie un changement dans notre corps, petit ou plus important qu’il serait dommage de négliger.

    En dehors des cas de chimiothérapie, nos cheveux peuvent tomber pour diverses raisons souvent explicables par des événements bénins du quotidien.

    Un peu d'histoire

    La calvitie fut pour les hommes un sujet de préoccupation constant au cours de l'histoire.

    Dès l'Antiquité, des traitements empiriques et naturels sont utilisés. On peut citer notamment la salive de cheval, le fumier d'oie, la fiente de pigeon ou les toiles d'araignée appliquées sur le crâne et qui étaient censées faire repousser les cheveux.

    Au XIXe siècle, le filon est largement exploité par la « médecine de troisième vitesse », au sein de laquelle se trouvent ce que l'on appelle dans le langage courant les charlatans.

    Avant de pouvoir cerner le problème, et y trouver des solutions, il est important de connaître les causes principales et parfois improbables de la perte de cheveux.

    Dans de nombreux cas, il existe des moyens de traiter la perte de cheveux chez les hommes et les femmes. Tout dépend de la cause, et la cause en naturopathie est essentielle.

    Voici quelques raisons courantes et pas si courantes pour lesquelles vous pourriez voir moins de cheveux sur votre tête.

    Il existe cinq types d'alopécies et différentes causes

    • Alopécie androgénétique héréditaire

    La plus fréquente, elle se manifeste par une diminution du volume des cheveux, voire une calvitie, et touche 70 % des hommes (20 % des hommes entre 20 et 30 ans, la chute de cheveux débutant généralement vers 20 ans et se stabilisant à 30 ans.

    La perte de cheveux chez la femme, appelée alopécie androgénique ou androgénétique, est fondamentalement la version féminine de la calvitie masculine. Si vous venez d’une famille où les femmes ont commencé à perdre leurs cheveux à un certain âge, vous pourriez être plus enclin à le faire. Contrairement aux hommes, les femmes n’ont pas tendance à avoir une ligne de cheveux qui se dégarnit, mais leur partie peut s’élargir et elles peuvent avoir des cheveux qui s’amincissent.

    Que faire : Comme les hommes, les femmes peuvent bénéficier de supplémentation pour les aider à faire pousser leurs cheveux ou, à tout le moins, pour entretenir les cheveux que vous avez. Une gamme de complément alimentaire disponible en CYBERBOUTIQUE, est approuvée pour les femmes avec ce type de perte de cheveux.

    • Alopécie aiguë

    Elle peut être liée à un traitement par chimiothérapie, un stress, des carences ou des déséquilibres alimentaires importants, une carence en fer, des troubles hormonaux, une irradiation aiguë.

    Tout type de traumatisme physique, un accident de voiture, ou une maladie grave, peuvent causer la perte temporaire de cheveux. Cela va déclencher un type de perte de cheveux appelé effluve de télogène. Le cheveu a un cycle de vie programmé : une phase de croissance, une phase de repos et une phase de mue. Quand vous avez un événement vraiment stressant, cela peut choquer le cycle du cheveu, (pousser) plus de cheveux dans la phase de chute. La perte de cheveux devient souvent perceptible de trois à six mois après le traumatisme.

    Que faire : La bonne nouvelle, c’est que les poils recommenceront à repousser à mesure que votre corps récupère.

    • Autre type de stress, les menstruations

    Les femmes qui ont des règles abondantes ou qui ne mangent pas assez d’aliments riches en fer peuvent être sujettes à une carence en fer, dans laquelle le sang n’a pas assez de globules rouges.

    Les globules rouges transportent l’oxygène vers les cellules de votre corps, ce qui vous donne l’énergie dont vous avez besoin.

    En plus de la perte de cheveux, l’anémie provoque une fatigue extrême, une faiblesse et une peau pâle. Vous pourriez avoir de la difficulté à vous concentrer et remarquer des maux de tête, des mains et des pieds froids et la perte de cheveux. Tout type d’effort peut vous couper le souffle.

    Un test sanguin pour mesurer la ferritine, la protéine qui stocke le fer dans votre corps, est habituellement nécessaire pour diagnostiquer l’anémie. Votre médecin peut également vérifier votre taux sanguin d’hématocrite, qui mesure la quantité de sang composé de globules rouges.

    Solutions naturelles : Mangez des aliments riches en fer comme le bœuf, le porc, le poisson.

    Pour les végans, les légumes-feuilles, les céréales enrichies et les haricots, de préférence avec des aliments riches en vitamine C, ce qui améliore l’absorption du fer.

    Mesdames, vous avez besoin de 18 milligrammes de fer par jour et de 8 milligrammes après la ménopause ; demandez à votre thérapeute de vous conseiller une supplémentation de fer.

    • Ensuite, vient la grossesse

    La grossesse est un autre exemple de stress physique qui peut causer la perte de cheveux (cela et les hormones). La perte de cheveux liée à la grossesse est plus souvent observée après l’accouchement plutôt qu’au cours de la grossesse. L’accouchement est assez traumatisant.

    Que faire : Si vous perdez vos cheveux, soyez assuré que ils repousseront dans quelques mois. C’est une chose normale qui devrait s’arranger.

    • Au niveau des déséquilibres alimentaires, nous trouvons le «Trop de vitamine A»

    La surconsommation de suppléments ou de médicaments contenant de la vitamine A peut déclencher la chute des cheveux. La valeur quotidienne de la vitamine A est de 5 000 unités internationales (UI) par jour pour les adultes et les enfants de plus de 4 ans ; les suppléments peuvent contenir de 2 500 à 10 000 UI.

    Que faire : C’est une cause réversible de perte de cheveux et une fois que l’excès de vitamine A est arrêté, les cheveux devraient pousser normalement.

    • Pas assez de protéines

    Les personnes vivant dans les pays développés ont tendance à créer une carence en protéines.

    Si vous êtes récemment devenu végétarien ou végétalien et que vous n’avez pas fait d’efforts pour intégrer les protéines végétales dans votre alimentation, il est possible que vous n’ayez pas assez d’éléments nutritifs.

    Lorsque cela se produit, votre corps peut rationner n’importe quelle protéine qui se trouve déjà dans votre corps en arrêtant la croissance des cheveux. Cela se produit généralement deux à trois mois après la diminution des protéines.

    En plus de la perte de cheveux, une carence en protéines peut causer des ballonnements, des ongles cassants, de la fatigue et de la faiblesse.

    Quand vos cheveux se cassent, vous ne verrez pas ces bulbes télogènes en forme de club aux extrémités.

    Si votre thérapeute craint qu’un manque de protéines soit à blâmer pour vos cheveux clairsemés, demandez une prise de sang pour un test de protéine totale, qui mesure toutes les protéines de votre sang.

    Solutions naturelles : Manger plus de protéines arrêtera probablement la perte de cheveux. Les viandes, les œufs et le poisson sont d’excellentes sources de protéines.

    Pour les végans, de nombreux aliments d’origine végétale, notamment le tofu, les haricots, le riz sauvage, les noix et la farine d’avoine. Pensez également à la vitamine B12.

    • La perte de poids

    La perte de poids soudaine est une forme de traumatisme physique qui peut entraîner l’amincissement des cheveux.

    Cela pourrait se produire même si la perte de poids est finalement bonne pour vous. Il est possible que la perte de poids elle-même stresse votre corps ou que le fait de ne pas bien manger peut entraîner des carences en vitamines ou en minéraux.

    La perte de cheveux et une perte de poids notable peuvent également être le signe d’un trouble de l’alimentation comme l’anorexie ou la boulimie.

    Que faire : La perte de poids soudaine semble choquer le système et vous aurez une période de six mois de perte de cheveux, puis elle se corrigera d’elle-même.

    • Alopécie localisée

    Elle peut être provoquée par des problèmes de peau (tumeur, brûlure, pelade), une radiothérapie ou des parasites (teigne, lichen).

    • Alopécie congénitale ou alopécie areata

    L'alopécie areata semble être d'origine auto-immune (mécanisme de médiation cellulaire) qui se caractérise par une atteinte en « patch » plus ou moins gros et à un ou plusieurs endroits. Cette forme de pelade peut atteindre toute la tête et on parle d'alopécie totalis et parfois l'ensemble du corps : c'est l'alopécie universalis, et dans ce cas, il n'y a plus aucun poil ni cheveu sur l'ensemble du corps.

    Les principes actifs

    • La vitamine B8 (Biotine)

    Elle est essentielle au renouvellement des cellules de la peau, des ongles et des cheveux. Grâce à son rôle dans la synthèse des acides aminés, elle permet par extension la synthèse de la kératine qui constitue le cheveu. Elle contribue ainsi à donner aux cheveux une meilleure texture et plus d'élasticité. Les cheveux poussent plus vite, en meilleure santé et les chutes sont atténuées. De plus, la biotine agit sur la santé des ongles en contribuant à épaissir les cuticules qui peuvent aider à prévenir la casse.

    • La vitamine B6

    Elle renforce l'action des autres vitamines et est essentielle à la santé des cheveux et des ongles. Elle métabolise aussi les acides aminés (ces protéines qui servent à créer la structure du cheveu et la kératine), et participe donc à renforcer la fibre capillaire.

    • L’acide hyaluronique

    C'est une molécule naturellement présente dans notre organisme : elle est l’un des composants majoritaires du derme et le l’épiderme. Elle permet d’hydrater la peau et de la protéger des agressions extérieures. Grâce à ses capacités d’élasticité et sa richesse en eau, l’acide hyaluronique assure une peau lisse, souple et forte. Elle améliore le teint du visage, rend la peau plus rayonnante et plus résistante.

    Acide hyaluronique / Vente en Cyberboutique

    • Le zinc

    Il contribue au bon équilibre de l’organisme, intervenant dans le métabolisme des aliments et participant au renforcement des défenses naturelles et au renouvellement des tissus. Intervenant directement dans la synthèse de la kératine et du collagène, le zinc permet notamment une bonne croissance des cheveux, mais aussi d'améliorer leur résistance, de limiter la casse, ralentir la chute et limiter le vieillissement.

    • Le collagène

    Le collagène, ce n'est pas que pour se faire gonfler les lèvres ou repulper sa peau. Son pouvoir lissant, hydratant et réparateur en fait aussi un véritable produit miracle pour les cheveux fins, ternes et abîmés.

    Grâce à lui, on peut ainsi espérer retrouver rapidement une chevelure souple, dense, soyeuse et lumineuse.

    Une cure de jouvence pour les cheveux en perte de volume et de matière

    Sauveteur des cheveux en détresse, le collagène répare la fibre capillaire (cellules qui forment le cheveu) en y injectant de l'eau à l'intérieur, gaine la cuticule (couche externe du cheveu) et épaissit la matière grâce aux protéines protectrices qu'il contient afin de booster au maximum leur volume.

    Comme il n’est pas possible de doper la production de collagène, il faut alors envisager un apport extérieur. Les compléments alimentaires santé, riches en collagène, peuvent par conséquent être une solution pour restaurer la beauté de la peau et des cheveux, et stimuler la pousse de ces derniers. Il y en a deux types: les compléments alimentaires qui proposent du collagène issu du cartilage de poulet et ceux qui proposent du collagène marin provenant du cartilage de raie. Des atouts beauté sans effet indésirable.

    Je vous conseille le collagène marin

    Le collagène marin naturel d’une extrême pureté est un complément alimentaire bio. Tous les ingrédients qui intègrent la composition de ce complément alimentaire sont d’origine naturelle ou issus de l’agriculture bio.

    Les produits cosmétiques bio et les compléments alimentaires contenant du collagène marin naturel et pur ne présentent pas de risque majeur pour la santé.

    Collagène marin poudre ou gélules / Vente en Cyberboutique

    C'est une molécule de type fibreuse. Caractérisé par un faible poids moléculaire, il est constitué de peptides de collagène dérivés de poisson. Ainsi, il se présente sous une forme hydrolysée dont les molécules sont divisées en particules plus fines.

    Il est caractérisé par une biodisponibilité supérieure et se distingue par une pénétration plus rapide dans le sang ou une absorption plus efficace. Il est rapidement absorbé par les cellules de l’intestin et distribué dans la circulation sanguine. Il pénètre dans la circulation sanguine plus rapidement que les autres types de collagène.

    Avec une structure plus proche du collagène humain, il est compatible avec l’organisme des hommes et est mieux adapté pour pénétrer profondément dans la peau. Il est constitué d’acides aminés très spécifiques avec une concentration importante de glycine, d’hydroxyproline et de proline.

    Le collagène marin, également appelé hydrolysat de collagène marin, est entièrement naturel. C’est une protéine qui aide à maintenir la force et la souplesse de la peau, des ligaments, des tendons, des articulations, des structures osseuses, des muscles, des vaisseaux sanguins, des gencives, des yeux, des ongles et des cheveux, etc.

    Lire aussi : Le soin naturel des cheveux, Cheveux et ongles, Shampoing maison pour cheveux secs, Astuces contre la perte de cheveuxCheveux longs, idées longues: La vérité sur les cheveux.

  • Des champignons au secours de votre système immunitaire

    • Par vogot
    • Le 15/05/2020

    Riches en composés bioactifs, les champignons sont utilisés comme aliments et médicaments depuis des millénaires. Sans plus tarder, découvrez ces champignons médicinaux capables de renforcer votre système immunitaire.

    Le reishi: champignon multifonction

    Relativement rare dans la nature, le ganoderme luisant est plus connu sous le nom de reishi. Ce champignon aux nombreuses vertus thérapeutiques est couramment utilisé dans la médecine traditionnelle japonaise et chinoise. Et il n’usurpe pas son titre de «champignon de l’immortalité»: de multiples études ont permis de mettre en lumière ses différents effets pharmaceutiques.

    Reishi rouge / Vente en CyberboutiqueSes principes actifs principaux sont en fait les triterpénoïdes et les polysaccharides. On attribue aux triterpénoïdes des effets hépatoprotecteurs, antihypertenseurs et antihistaminiques. Les polysaccharides, quant à eux, sont connus pour avoir des propriétés anti-tumorales, par immunomodulation et anti-angiogenèse. Ils réduisent aussi les dommages cellulaires causés par les agents mutagènes.

    Afin d'optimiser votre prise de reishi, démarrez donc une cure d'extrait de « champignon de l'immortalité ».

    Le maïtake : source exceptionnelle de bêta-glucanes

    Le maïtake est également appelé Grifola frondosa ou poule des bois. Il pousse au pied des châtaigniers, des ormes, des érables et des chênes, à la fin de l’été. Ce champignon en forme de corail peut produire des efflorescences pesant jusqu’à 11 kilos. Notez que son nom japonais, qui signifie «champignon-danse», viendrait de la danse joyeuse qu'effectuaient les cueilleurs de champignons lorsqu'ils tombaient sur ce superaliment d'exception.

    Maitake bio / Vente en CyberboutiqueUtilisé depuis des milliers d'années dans la médecine traditionnelle asiatique, le maïtake est une source considérable de bêta-glucanes. Ces fibres alimentaires sont capables de stimuler l'activité des macrophages et donc de renforcer les défenses immunitaires.

    Une autre étude a également conclu que ce champignon pourrait jouer un rôle contre le cancer et le diabète.

    Le shiitake : le parfait antimicrobien

    Doté d'un chapeau brun et charnu, le shiitake dégage un parfum agréable. Utilisé depuis bien longtemps dans la médecine asiatique, il présente de puissantes propriétés antibactériennes et antifongiques, comme l'a révélé une étude britannique.

    En quête d’alternatives aux antibiotiques classiques, ces chercheurs ont en effet testé un extrait aqueux de shiitake sur un panel de 29 bactéries et 10 champignons pathogènes. Les résultats sont impressionnants : l’extrait de shiitake a exercé une activité antimicrobienne étendue sur plus de 85 % des agents pathogènes testés.

    Shiitake bio ou naturel / Vente en CyberboutiqueUne fois fermenté, le shiitake donne un produit baptisé l'AHCC, pour Active Hexose Correlated Compound. Ce composé hautement immunostimulant est disponible en complément alimentaire, sous forme de gélules.

    Cordyceps sinensis : l'adaptogène majeur

    Le cordyceps est un champignon dont le mycélium se développe normalement dans l’organisme de la chenille Hepialus fabricius. Sa partie aérienne (le carpophore), qui a la forme d'un doigt (de 4 cm à 11 cm de long), se développe après la mort de l’insecte en une sorte de prolongement de son corps.

    Le cordyceps sinensis stimule la fonction sexuelle, augmente l’énergie physique (effet adaptogène), améliore les performances sportives des athlètes et traite l’asthme et la bronchite chronique.

    Cordyceps Sinensis / Vente en CyberboutiqueAdaptogène majeur, il offre une meilleure résistance au stress et aux maladies.

    Puissant tonique, il favorise l’augmentation de l'énergie physique, améliore significativement les performances sportives chez les athlètes. C'est un aphrodisiaque qui contribue à la vigueur sexuelle tant chez l'homme que chez la femme.

    Levure de bière : colonie de champignons riches en acides aminés, vitamines et minéraux.

    Les bénéfices se voient sur les cheveux et les ongles. La levure de bière est riche en micro-organismes. Elle permet d’aider les personnes souffrant de troubles intestinaux en renforçant le système digestif et en améliorant ces performances. Elle a pour effet de réduire les douleurs et ballonnements.

    La levure de bière est un aliment naturel d'une exceptionnelle teneur en nombreux éléments vitaux essentiels.

    Levure de biere poudre / Vente en CyberboutiqueL'analyse en laboratoire a montré que la levure de bière est riche en protéines de haute valeur biologique et en vitamines du groupe B.

    Très riche en vitamine B12, elle convient très bien pour combler les potentielles carences dues à une absence de consommation de produits d’origine animale. En effet, une consommation supplémentaire de vitamine B12 est fondamentale lorsqu’on choisit d’exclure les aliments d’origine animale de son alimentation (viande, poissons, oeufs et produits laitiers). Présente dans ces produits, la vitamine B12 ne figure pas en quantité suffisante dans les végétaux.

    Une carence en vitamine B12 peut être dangereuse pour la santé et s’accompagner de nombreux symptômes. Parmi eux, on compte des troubles émotionnels ainsi que des problèmes physiques. En effet, la vitamine B12 est fondamentale pour l’entretien de la bonne fonction du cerveau et du système nerveux, mais également dans l’entretien du sang.

  • Allergies en consultation naturopathique

    • Par vogot
    • Le 06/05/2020

    Qu'est-ce que l'allergie ?

    L'allergie est avec l'obésité, le trouble qui connaît la plus forte progression.

    On estime que près de 15% de la population mondiale est touchée.

    En France, plus de deux millions de personnes sont concernées, et l'allergie représente environ 12% des consultations naturopathiques.

    L'allergie est une réaction anormale, exagérée voire excessive du système immunitaire de l'organisme, consécutive à un contact avec une substance étrangère à l'organisme nommée « allergène ».

    Cette substance habituellement bien supportée est considérée dans ce cas comme dangereuse par nos cellules.  

    Allergies et Allergènes

    Les allergies se manifestent lorsque les défenses immunitaires de l'organisme réagissent à des agents de sensibilisation extérieurs (pollens, piqûres d'insectes, certaines plantes) ou à certaines substances ingérées (aliments, médicaments etc.) de manière inattendue et intense . 

    Les allergènes déclenchent une réaction chez des sujets prédisposés.

    Pour qu'il y ai allergie, il faut que les barrières de protection de notre corps (peau et muqueuses des voies respiratoires et digestives) aient été franchies par l'allergène.

    L'antigène (Ag) ou allergène est un agent reconnu comme adversaire par le corps.

    Notions d'antigènes et d'anticorps

    L'organisme secrète des grosses protéines que l'on nomme immunoglobulines (Ig) ou anticorps (Ac).

    Ces anticorps ont pour mission de se fixer sur l'antigène afin de l'identifier, pour le combattre si nécessaire grâce à son système immunitaire composé d'un type de cellules sanguines: les globules blancs et par les différents produits qu'ils sécrètent.

    On compte 5 types d'Ig : Ig G, Ig A, Ig M, Ig D et Ig E.

    Chacun de ces anticorps possède une structure chimique différente et joue un rôle biologique précis.

    • Ig G : Favorise la phagocytose (processus cellulaire par lequel certaines cellules regroupées sous la dénomination générale de phagocytes peuvent ingérer des particules étrangères solides d'échelle micrométrique),

    • Ig A :  Protection localisée aux muqueuses,

    • Ig M : Très efficace contre les microbes,

    • Ig D : Joue probablement un rôle dans la stimulation des lymphocytes B (cellules synthétisées dans la moelle osseuse, et qui circulent dans le sang et la lymphe pour participer aux défenses naturelles de l'organisme),

    • Ig E : Joue un rôle contre les allergies.

    Un terrain prédisposé ou génétiquement déterminé peut développer une allergie, dans ce cas ce terrain est dit atopique.

    L'allergie va prendre des formes diverses et se manifester par différents symptômes comme: un eczéma, une rhinite, une crise d'urticaire ou une crise d'asthme lorsque le trouble est contré par une médication.

    Plusieurs types d'allergies peuvent se succéder ou se développer en même temps.

    Principaux symptômes respiratoires:

    • Eternuements en salves,

    • Écoulement nasal aqueux,

    • Obstruction nasale,

    • Démangeaisons nasales, palatines (situées de part et d'autre de la luette), pharyngiennes (végétations), auriculaires,

    • Rougeur des yeux,

    • Démangeaisons oculaires,

    • Larmoiements permanents,

    • Trachéite,

    • Asthme,

    Allergies respiratoires:

    • Rhinites, 

    • Asthme, 

    • Alvéolites allergiques (inflammation généralement compliqué de nécrose d'un tissus), 

    • Pneumallergènes (allergènes dont l'inhalation provoque des manifestations respiratoires).

    Allergies cutanées:

    • Eczéma atopique (prédisposition familiale génétique), 

    • Eczéma de contact allergique, 

    • Urticaire allergique (papules roses ou blanchâtres ressemblant à des piqûres d'ortie).

    Allergies oculaires

    Conjonctivite 

    Allergies alimentaires

    Chocs anaphylactiques (réactions allergiques exacerbées, entraînant dans la plupart des cas, de graves conséquences et pouvant engager le pronostic vital)

    Réaction inflammatoire soudaine et violente accompagnée de sensation d'étouffement, exemple: œdème de Quincke seul ou associé.

    Quelques causes d'allergies 

    Animaux

    Pollens

    Arachide

    Crustacés

    Herbe à poux

    Acariens

    Contacts avec un antigène chez le sujet normal

    L'introduction de l'antigène, ou encore de l'allergène à l'intérieur du corps, déclenche la production d'anticorps par les lymphocytes B. 

    Ces anticorps vont avoir une réaction favorable, protectrice de l'organisme contre l'agent agresseur et réaliseront l'immunité.

    Réponse de l'organisme d'un sujet allergique

    Chez l'individu allergique, l'organisme va répondre exagérément en fabriquant en excès des immunoglobulines « IgE » qui dans un premier temps vont se fixer sur une catégorie de globules blancs appelés mastocytes, créant ainsi un état dit de sensibilisation.

    Un deuxième contact ultérieur avec le même allergène va déclencher un phénomène dit de dégranulation des mastocytes et provoquer la libération d'histamine.

    La libération de cette histamine va provoquer des réactions fortes et immédiates d'hypersensibilité.

    Pour un même allergène, les sujets allergiques produisent 4 fois plus d' IgE spécifiques que les non allergiques, ce qui traduit un conflit antigène- anticorps.

    Phase de sensibilisation

                   

                       

    Histamine

    Mastocytes

    Anticorps

    représentée en jaune

    représentés en bleu

    représentés en noir 

    Phase de reactions allergiques

    Allergènes représentés en orange

     

    L'histamine (médiateur chimique) favorise :

    • La broncho-constriction qui conduit à l'asthme 

    • La vaso-perméabilité des capillaires qui amène les processus inflammatoires.

     

    Anamnèse et traitements naturopathiques

    Méthodes anamniques

    • Anamnèse, 

    • Tests cutanés, 

    • Tests biologiques, 

    • Tests de provocation. 


    Certaines allergies peuvent passer inaperçues car celles-ci vont revêtir des aspects différents comme :

    • Constipation, 

    • Troubles du comportement chez l'enfant, 

    • Irritabilité, 

    • Insomnies, 

    • Migraines.

    Traitements

    Eviction de l'allergène en évitant le contact. 
    Aliments, médicaments, etc... pouvant en être responsables.

     

    Approche naturopathique

    A) Cure préparatoire

    Au cours de cette cure, une attention particulière devra porter sur:

    1. Caractère héréditaire du trouble, 

    2. Type d'associations alimentaires pratiquées, 

    3. Facteur stress sous-jacent.

    Questions à poser sur la présence de « troubles associés » et des traitements médicaux déjà prescrits qui pourraient venir aggraver l'allergie installée.

    L'allergie sous toutes ses formes découle de métabolites colloïdaux (encrassement basique). 

    Mucus abondant

    Localisé à différents endroits de l'organisme. Ce trouble présente donc une surcharge colloïdale. 

    Ces résidus du métabolisme vont se déposer sur les tissus qui leur opposeront la moindre résistance.

    Cause des déchets colloïdaux

    Sucres, céréales, lipides, produits chimiques de synthèse et dégradation de la flore intestinale.

    Penser à l'incidence d'un mauvais fonctionnement hépato-biliaire.  

    B) Cure de désincrustement tissulaire

    Drainage des émonctoires les plus sollicités par le trouble, en s'assurant de l'état de vitalité du patient.

    Les soins seront établis en fonction du type et de la localisation de l'allergie ainsi que de son ancienneté.

    Actions pouvant être entreprises sur les émonctoires (la peau, les poumons, les reins, le foie / la vésicule biliaire et les intestins).

    Travailler avec des élixirs floraux, sur les émotions qui sont à l'origine d'une baisse de l'énergie et vont conditionner de manière négative le mental.

    C) Cure d'harmonisation

    • Une alimentation désordonnée et carencée augmente les risques et la gravité de l'allergie chez une personne prédisposée. 

    • Une priorité aux compléments anti-carences (levure de bière, glutathion et papaïne, calcium citrate + vitamine D3)

    • Une assise alimentaire faisant place aux aliments de tolérance (Poissons riches en Oméga-3, pommes, raisin noir riche en resvératrol, boissons chaudes - thés, soupes, bouillons, ...). 

    Je conseille la prise de compléments alimentaires à action anti-inflammatoire:

    Produits utilisés dans la prévention des troubles

    Oligothérapie

    • Mn, Mn-Cu, Mn-Co : prendre le matin à jeun par voie sublinguale 1 à 2 doses en cure de 2 à 6 mois.

    Suspension intégrale de plantes fraiches (extrais fluides sans alcool)

    Gemmothérapie

    Vita Defens, propolis, euphraise, cassis, échinacée: prendre 15 gouttes de chaque à prendre le matin.

    Homéopathie

    Allergies ORL  

    • Histaminum en 5CH, 

    • Euphrasia en 5CH, 

    • Sabadilla en 5CH, 

    • Allium cepa en 5CH. 

    ​Prendre 3 granules 3x/j.

    Allergies respiratoires

    • Poumon histamine en 5CH

    • Antimonium tartaricum en 5CH. 

    Prendre 3 granules 3x/j 

    Allergies cutanées 

    • Belladona 

    • Apis mellifica 

    • Cantharis 

    • Urtica urens 

    A prendre en 5 CH, 3 granules 3x/j.

    L'utilisation des poconéols est vivement envigeasable puisqu'ils permettent d'intervenir sur le terrain.

    Dans ce cas je conseille en particulier pour les allergies respiratoires:

    • Le n°9 anti-inflammatoire des muqueuses respiratoires. 

    • Le n°16 remède des allergies, rhume des foins, bronchite asthmatiforme. 

    • Le n°20 toux spasmodique avec dyspnée.

    Prendre 5 gouttes de chaque 3 fois/jour.

    Plantes atténuant les réactions allergiques

    En traitement de base

    • L'ortie (urtica dioica), 

    • Le sureau noir (sambucus nigra),

    Prendre alternativement en infusion, 1 cuillère à café pour 1 tasse d'eau pendant 3 mois. 

    • La camomille allemande ( chamomilla recutita ), en complément sous forme d'infusion, 2 tasses par jour.

    En cas de rhinite allergique (infusions)

    • Euphraise (euphrasia officinalis), 

    • Plantain (plantago majeur), 

    • Verge d'or (solidago virgaurea), 

    • Herbe parfaite (eupatorium perfoliatum). 

    En infusion une de ces plantes ou en mélange à raison de 3 tasses par jour.

    En cas de mucosités abondantes et aqueuses (teintures)

    ½ cuillère à café du mélange des 4 teintures 3x/j, dans de l'eau chaude.

    En cas d'Eczéma

    • Menthe poivrée ( mentha piperita ), en lotion en faisant infuser 1 c. à c. dans 1 tasse d'eau. Laver délicatement la zone affectée 2 à 3 x/j. 

    • Mouron blanc ( stellaria media ), à appliquer en onguent ou en crème jusqu'à 5 x/j.

    En cas d'Eczéma suintant

    • Hamamélis ( hamamelis virginiana ), appliquer sous forme de crème, en lotion, ou en infusion 5x/j.(2c.à.c de feuilles par tasse).

    En cas d'asthme et de difficultés respiratoires

    • Grande ortie et thym, en infusion prendre 15 grammes de chaque plante pour 750 ml d'eau et consommer pendant la journée. 

    • Camomille allemande, en infusion 1 c.à.c. pour 1 tasse d'eau. 

    • En option, utiliser en inhalation, ou respirer 2 gouttes d'huile essentielle d'Eucalyptus globuleux ou Eucalyptus radié, pure, inbibée sur un mouchoir. 

    En conclusion

    La phytothérapie offre une grande variété de plantes sous des formes galéniques différentes pour assurer la prise en charge de l'allergie en général, que celle-ci soit respiratoire, cutanée ou digestive. 

    L'allergie est d'abord un trouble de terrain. Il faudra donc intervenir en fonction des différents terrains, des différents profils psychologiques et bien évidemment tenir compte du stress sous-jacent.

    Le drainage des différents émonctoires est indispensable afin de renforcer le système immunitaire et ainsi pouvoir permettre une efficacité maximum dans toutes prises en charge quelque soit la forme galénique retenue.

  • Exercices physiques, sport et naturopathie

    • Par vogot
    • Le 05/05/2020

    Comme toujours, je vais essayer d'utiliser des termes compréhensibles, et expliquer au mieux certains autres termes un peu plus techniques. J'espère que vous arriverez jusqu'à la fin de l'article.

    Le sport, un leitmotiv pour beaucoup d'entre vous

    L’exercice physique est un des 3 piliers de la naturopathie, il est indispensable à une bonne hygiène de vie, lorsqu’il est pratiqué régulièrement, adapté à la condition physique et associé à une alimentation saine et à des émotions bien gérées.

    La pratique d’une activité physique doit être adaptée à l’âge, aux possibilités physiologiques et également aux tempéraments.

    Un tempérament nerveux préférera des sports individuels de plein air, qui s’appuient sur la concentration, type escalade, golf, marche ou encore yoga.

    Le lymphatique sera attiré par les sports aquatiques, natation, aquagym, pêche ou les sports stimulant la lymphe comme le trampoline.

    Les sports collectifs générant de la compétition, de la vitesse enthousiasmeront les tempéraments sanguins, surtout s'ils sont suivis d’une troisième mi-temps.

    Enfin les bilieux seront entraînés vers des sports individuels avec dépassement de soi et maîtrise, tels les arts martiaux, le tennis, le squash et tous les sports de l’extrême.

    Sport et alimentation

    Sédentarité, stress, perte de poids après grossesse, après des années de repas d'affaire, des mois de confinement, etc... Certains reprennent le sport en se disant: c'est la solution. Oui c'est en partie la solution, mais l'alimentation aussi et j'ajouterai, SURTOUT !

    Pour optimiser les performances sportives il existe plusieurs solutions.

    L'alimentation est primordiale pour le sportif et contrairement aux idées reçues... Parfois manger cru avant une compétition peut-être plus que bénéfique!

    Pas nécessaire de connaître toute la physiologie de l’exercice pour être capable d’accompagner un sportif quand on est naturopathe.

    Il faut juste être capable d’optimiser la santé de cet adepte de l’exercice intensif et de performances.

    Bien sûr, certains sportifs viennent me voir pour que je leur conseille des plantes ou d’autres substances naturelles capables de booster leurs performances (sauter plus haut, porter plus lourd, courir plus vite…plus longtemps,…).

    À ceux-là, je dois leur expliquer que le seul moyen naturel (et bénéfique à long terme) de booster leurs performances est d’optimiser leur santé.

    D’autres, en revanche, prennent contact avec moi, bien conscients que leurs problèmes de santé (troubles digestifs, affection de l'intestin émotif…très fréquent chez les sportifs, problèmes ostéo-articulaires, cutanés, fatigue, infections à répétition, manque d’entrain…de motivation,…) affectent leurs performances, en plus d’être inconfortables, voire douloureux.

    Je leur conseille de se restaurer 3 heures avant une épreuve sportive, ainsi la digestion est bien amorcée et les aliments ont eu le temps de se transformer en énergie. Les glucides à index glycémique bas, voire modéré, seront à privilégier tant pour leur rapidité de digestion, limitant ainsi les perturbations digestives, que pour leur disponibilité énergétique.

    A contrario, les lipides ne sont pas conseillés, car leur digestion nécessite au moins 3 heures et peut entraîner des troubles digestifs.

    Les protéines, quant à elles devront être consommées en quantité réduite, uniquement pour se rassasier, car elles sont en général acidifiantes pour l’organisme.

    Le sport en excès ou mal géré fragilise l’écosystème intestinal, si un (ou plusieurs) acteur de cet écosystème est déjà en souffrance sans pratique sportive, cette agression supplémentaire liée à l’exercice va engendrer des perturbations du système immunitaire local, qui va lui-même générer des troubles digestifs et/ou extra-digestifs (cutanés et/ou ostéo-articulaires et/ou inflammatoire et/ou fatigue chronique,…), qui reflète donc aussi d’une altération de santé, et donc une perte de potentiel athlétique.

    L’optimisation de l’écosystème intestinal est au cœur de la stratégie thérapeutique du sportif.

    En fait, durant l’effort, l’épithélium intestinal (entérocytes / mucine) subit une adaptation circulatoire plutôt agressive.

    Explication de texte

    Au repos, quelques émonctoires (le foie, les reins et les intestins) sont vascularisés au maximum, afin d’assurer leur travail d’assimilation et d’élimination.

    Pendant ce temps, la circulation dans les muscles et la peau est limitée.

    Durant l’effort, les muscles reçoivent jusqu’à 20 fois plus de sang.

    Pendant ce temps, le foie, les reins et les intestins ont une irrigation sanguine nettement diminuée. Cette action est appelée ischémie intestinale.

    Si l’effort est en plus associé à la chaleur, l’irrigation de la peau est augmentée afin d’assurer le refroidissement (via les mécanismes de transpiration).

    Cet apport supplémentaire de sang à la peau se fait aussi au détriment de l’irrigation du foie, des intestins (10% de moins que lorsque il ne fait pas chaud) et du cerveau.

    Durant l’effort, et encore plus s’il fait chaud, l’ischémie intestinale est accentuée s’il y a un manque d’hydratation (par diminution du volume général sanguin).

    Suite à cette ischémie, quand l’effort est terminé, on se retrouve face à la reperfusion locale qui dure quelques heures.

    Reperfusion: revascularisation du foie, des intestins et des reins

    Cette reperfusion est elle-même agressive pour la muqueuse locale car ce retour soudain de sang chargé d’oxygène est une source excessive de radicaux libres qui vont agresser les entérocytes (par oxydation de leur membrane, de leurs villosités, de leur noyau, de leurs mitochondries, de leurs jonctions serrées,…).

    Les entérocytes sont les cellules les plus internes de l'intestin grêle, celles qui sont en contact avec le chyme ( une sorte de bouillie laiteuse provenant des premières transformations du bol alimentaire).

    Leur principale fonction est de permettre le transit sélectif des nutriments de la lumière (intérieur) de l'intestin grêle vers le milieu intérieur en passant par le sang.

    Ces cellules forment un épithélium dans lequel les cellules sont liées par des jonctions étanches.

    Tant que le système immunitaire intestinal est fort, il y a une prise en charge des différents éléments indésirables qui tentent de traverser la muqueuse, et ceci sans qu’il y ait de manifestations cliniques locales ou à distance.

    Mais si le système immunitaire intestinal ou général est déjà perturbé (intolérances alimentaires, A.I.E., alimentation inadaptée…raffinée, pathologies digestives, infections, inflammation,…), il va s’emballer et générer trop d’inflammation intestinale, ce qui va accentuer la porosité intestinale, puis la perturbation du microbiote, et finir par engendrer des pathologies aiguës ou chroniques, locales ou à distance, comme des problèmes intestinaux et/ou des douleurs ostéo-articulaires et/ou des troubles cutanés et/ou de la fatigues et/ou des troubles auto-immuns et/ou autres troubles inflammatoires et/ou de la fatigue chronique et/ou des troubles du sommeil et/ou une perte de motivation, etc.

    Le message au système immunitaire pouvant être modulé (et/ou renforcé) grâce au microbiote, c’est par la prise de certaines souches probiotiques qu’on peut moduler l’inflammation locale, et donc aussi extra-digestive (quand cette dernière est une conséquence de l’emballement du système immunitaire intestinal).

    Selon les souches, on peut aussi renforcer le système immunitaire et contrer les épisodes infectieux.

    En ce qui concerne la santé de la muqueuse, il est intéressant d’ajouter un produit cicatrisant (L-glutamine, zinc, vitamine A…).

    En plus de cette complémentation, le naturopathe ne devrait pas oublier de vérifier les intolérances alimentaires, grâce à une anamnèse.

    Il faudrait aussi qu'il incite le sportif à limiter le gluten et les produits laitiers bovins, d’autant plus si ses intestins sont poreux.

    Vérifier s'il prend des anti-inflammatoires chimiques.

    Le stress, accentue fortement la porosité intestinale, et réprime le système immunitaire (et consomme une grosse quantité de magnésium, ce qui cultive aussi les états émotionnels d'angoisse et d'anxiété).

    Radicaux libres et sport

    Lorsque les radicaux libres sont produits en quantité raisonnable, ils participent «positivement» à la vie de la cellule. À l’inverse, quand ils sont produits en trop grande quantité, ils peuvent entraîner des dommages cellulaires importants, notamment au niveau des muscles, des articulations.

    Lors de la réalisation d’un exercice ou d’une compétition de forte intensité, et qui plus est, quand il est pratiqué de façon occasionnelle, on observe une augmentation importante des radicaux libres qui entraîne des dommages structurels au niveau des cellules musculaires.

    Les conséquences directes sont une force musculaire diminuée et une apparition de la fatigue plus précoce (associée ou non à des crampes, troubles digestifs,…), à l’origine de contre-performances délétères pour les sportifs.

    Il est à noter que le simple fait d’augmenter les capacités de défense, notamment en antioxydants, de notre organisme et de nos muscles induit une protection envers ces derniers et réduit la fatigue.

    La complémentation en antioxydants chez le sportif, qu’il soit amateur ou professionnel, est donc intéressante en particulier en période d’entraînement intensif et en compétition, mais également pour ses loisirs.

    Cependant, il est important de souligner que les radicaux libres produits pendant l’exercice agissent comme un véritable signal permettant l’apparition de phénomènes adaptatifs de l’organisme.

    D’où la question de la complémentation en antioxydants avant un exercice modéré ou intense qui pourrait empêcher l’apparition de ces mêmes adaptations. Toujours la question du juste milieu ou de l’équilibre.

    Le stress oxydatif : quand les ERO prennent les devants et menacent gravement notre santé

    Le stress oxydatif ou stress oxydant correspond à une agression des cellules par des radicaux libres, aussi appelés "espèces réactives de l'oxygène" (ERO).

    Ne confondez pas stress oxydatif, qui s'observe au niveau cellulaire, et stress psychologique, au niveau de l'organisme.

    L’acide alpha lipoïque, le plus efficace de tous

    Vous ne le connaissez peut-être pas et pourtant il s’agit certainement de l’antioxydant le plus efficace. Il est naturellement produit par l’organisme mais on le trouve également dans l’alimentation (en petites quantités dans les légumes feuillus comme les épinards).

    Les chercheurs continuent d’explorer les pouvoirs insoupçonnés de l’acide alpha-lipoïque. Avec beaucoup de difficulté comme pour tous les complexes antioxydants. L’intérêt de ces substances est d’empêcher le développement de pathologies associées au stress oxydatif et de ralentir le vieillissement.

    Ils ont aussi montré que l’acide lipoïque aidait à maintenir un rythme circadien normal. Or, on sait que cette « horloge biologique », qui se dérègle en vieillissant, influe sur un nombre insoupçonnable de fonctions biologiques comme la résistance au stress, la fonction cardiaque, la balance hormonale, la performance musculaire, le sport, le métabolisme du glucose.

    Équilibre acido-basique chez les sportifs

    90 % des sportifs que je consulte, pour ne pas dire 100% souffrent à un moment donné, d’hyper-perméabilité intestinale ou «leaky gut syndrome» (LGS).

    Or, ils ne s’alertent que rarement de signes digestifs devenus leur quotidien et qu’ils ont tendance du coup à banaliser, comme s’il n’y avait rien à y faire!

    Pire, ils ne font pas non plus le lien entre des troubles périphériques qui les touchent et l’état de leur tube digestif:

    • douleurs articulaires et/ou tendineuses

    • éruption cutanée ou aggravation d’un eczéma chronique

    • troubles visuels

    • maux de tête

    • troubles du sommeil

    A leur décharge, le corps médical ne les aide pas toujours, parle souvent d’intestin irritable, terme médical auquel je préfère Affection de l'Intestin Émotionnel (A.I.E.), ou se contentera un peu facilement d’un conseil d’arrêt du sport momentané ou définitif (quelle frustration allez vous ressentir?), ou d’un bilan sanguin standard sans marqueurs micro-nutritionnels plus pointus, des faiblesses de l’intestin, du foie, du cœur:

    • dosages de la Myélopéroxydase,

    • de la SOD,

    • GPX (Glutathion peroxydase) ,

    • lpa (ingrédients pharmaceutiques actifs),

    • CRP ultrasensible.

    La myéloperoxydase est une enzyme de forme sphérique.

    La superoxyde dismutase (SOD) est une enzyme produite par les cellules des organismes vivants, animaux et végétaux. Sa fonction est de piéger les radicaux libres produits par le métabolisme. La superoxyde dismutase est un antioxydant puissant. Il en existe quatre formes selon le métal contenu dans sa molécule: fer, manganèse, cuivre ou zinc.

    Le GPX est une enzyme activée par le sélénium et qui oxyde le glutathion, (passage du glutathion réduit au glutathion oxydé).

    Cette oxydation du glutathion permet « d'éponger » de nombreux radicaux libres.

    Une enzyme inverse, la glutathion réductase, permet de transformer le glutathion oxydé en glutathion réduit (elle le régénère...).

    Son dosage n’est pas systématique.

    La CRP est l’une des protéines dites de phase aiguë, dont le taux dans le sérum ou le plasma augmente lors d’une réponse systémique non spécifique à des processus inflammatoires infectieux et non infectieux. La CRP est synthétisée dans le foie et est normalement présente à l’état de trace dans le sérum ou le plasma. Dans le cas de divers états pathologiques engendrant une lésion tissulaire, une infection ou une inflammation aiguë, les valeurs de CRP peuvent être supérieures à la normale et atteindre entre 20 et 500 mg/L.

    Le ph urinaire étant un marqueur imparfait de l’acidité du corps, en plus des signes cliniques, mieux vaut s’appuyer sur une cinétique de variation du ph, au cours de la journée, ou de plusieurs journées enchaînées, pour voir si l’on rééquilibre correctement son déséquilibre «acide-base» interne, par l’alimentation, et le repos notamment, après un compétition importante.

    Les industriels ne se «gênent pas» pour mettre du sucre, des protéines de lait ou de blé partout.

    Si, si même dans le gras du jambon que vous achetez sous cellophane!

    Vous vous êtes sûrement faits piéger un jour, à consommer une soupe en brique «vite préparée», par manque de temps, et vous ramenant son lot de sel et sucre.

    Vous avez donc «toutes les chances», de vous retrouver tôt ou tard, en terrain acide interne, et tout l’art est de mettre en place une stratégie de «tamponnement» qui vous rééquilibre en permanence.

    Rééquilibrage acido-basique grâce à l'alimentation

    Je l’ai dit et je le répète, il y a des causes connues, visibles, d’acidification de l’organisme, que vous pouvez facilement repérer, si vous gardez votre «acuité»: votre hygiène de vie globale, votre rythme de travail-repos, vos alternances entraînement-récupération, votre consommation d’aliments acidifiants contre balancée par des aliments ou liquides «alcalinisants» ou anti-inflammatoires:

    • eaux minérales variées à ph supérieur à 7,

    • légumes de toutes couleurs,

    • petits poissons (sardines, maquereaux, anchois, ...,

    • viandes blanches, évitez les viandes rouges et ses barbecues l'été!

    • céréales complètes bio et légumineuses,

    • huiles riches en oméga 3,

    • épices comme le poivre, le paprika, le curry, le cumin, le curcuma (attention: le curcuma vendu au rayon épices ne contient en général que 5% de curcumine qui est un anti-inflammatoire naturel),

    • herbes aromatiques (en remplacement du sel),

    ou encore des aliments diététiques pour l’effort, sans gluten, sans lactose, à faible index glycémique.

    Supplémentation nutritionnelle adaptée

    Il existe de nombreux complexes riches en minéraux pour compenser les pertes, comme par exemple des sérums à base d’eau de mer, type sérum de Quinton, riches en minéraux et oligo-éléments bio-disponibles, l’eau de mer ayant de nombreuses similitudes avec celles du plasma sanguin. Ces solutions existent en hypertonic, utilisée avant, pendant et après l’effort. En isotonic, elles contribuent à réparer et à nettoyer l’organisme après l’effort.

    Le pollen frais, riche en acides aminés essentiels, glucides, vitamines, minéraux, oligo-éléments et antioxydants est tout indiqué pour la récupération sportive.

    La spiruline isotonique est particulièrement indiquée pour les sportifs en raison de sa haute teneur en protéines, en fer, en caroténoïdes, en chlorophylle et en acides gras essentiels.

    Enfin, le magnésium marin associé à de la vitamine B6 contribue à rétablir des fonctions physiologiques normales et participe à la réduction de la fatigue. Cette synergie vous sera d'une aide précieuse pour un retour serein à la détente.est souvent indispensable à la fois pour compenser les pertes dans les urines et pour sa grande contribution à la contraction musculaire.

    Il peut être dangereux de se supplémenter soi-même, il est essentiel de demander conseil à un spécialiste.

    Parfois c’est tout notre organisme qui est «encrassé», et doit être «nettoyé», aidé, côté intestin foie, rein, en fin de saison sportive, après nos excès de fêtes, proches des solstices, ou avant tout réinvestissement notoire dans un entraînement au long cours, pour un objectif majeur quelques mois après.

    C’est là, toute la place de plantes comme le Desmodium nettoyant et régénérant du foie, de l’aubier de tilleul, de l’artichaut, romarin à camphre ou cinéole, chicorée en elixirs floraux.

    Glutamine, curcuma, argile verte, antioxydants pour l’intestin.

    Après un rééquilibrage alimentaire nécessaire (et une complémentation spécifique en fonction des carences), l’éventuelle mise en place d’outils de gestion du stress (magnésium, plantes adaptogènes, oméga-3, complexe vitamines B, sophrologie, EFT, sommeil,…), je conseille une complémentation « anti-inflammation intestinale » en fonction des besoins (Formule probiotiques, cicatrisant de la muqueuse, mais aussi oméga-3 pour leurs vertus anti-inflammatoires, magnésium et vitamine B6..)

    Hydratation suffisante et nécessaire

    L’apport de boissons énergétiques (riches en glucides + du sodium), lors de l’effort (et juste après), permet d’éviter l’utilisation des acides aminés (AA) pour faire de l’énergie (épargne d’AA), limite donc aussi la montée du cortisol (effectivement, la création d’énergie à partir d’autres molécules que le glucose est dépendante du cortisol), limite l’inflammation intestinale, permet aussi d’optimiser le statut de CoQ10, dont j'ai déjà parlé dans un autre article et qui est aussi un élément clé de la fabrication de l’énergie.

    Le stress est oxydant, il va donc être nécessaire de pallier à l’excès de radicaux libres en utilisant différentes techniques comme la relaxation, le massage, la méditation, le yoga ou encore la sophrologie.

    Une complémentation en CoQ10 ou coenzyme Q10 sous forme réduite d’ubiquinol peut être intéressante. En effet son rôle est à la fois de fournir de l’énergie à l’organisme et d’empêcher l’activité des radicaux libres.

    Influence de la somatropine naturelle liée aux exercices physiques

    Cette hormone assez puissante a une rôle important dans le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides. Par conséquent, elle intervient dans:

    • la prise de masse musculaire: on peut remarquer que chez les sportifs, les muscles sont plus accentuées. De plus, sa présence permet d’accumuler de la vitalité et améliorer la performance physique.

    • la perte du poids: la somatropine naturelle possède des capacités à réduire efficacement le stockage de la masse graisseuse existant dans notre organisme.

    • Le ralentissement du vieillissement prématuré du corps: elle lutte contre la désuétude de la peau tout en lui offrant une certaine élasticité, en régénérant les cellules.

    Autres rôles secondaires des hormones de croissance: elles agissent sur la pousse de cheveux, elles permettent de diminuer la pression artérielle ou encore atténuer les sensations de fatigue.

    A la naissance, le taux de sécrétion de l’hormone de croissance atteint un pic de 30 – 70 ng/ml de sang. Mais au bout de 30 ans, cette concentration plasmatique basale est faible, elle chute à 1 – 4 ng/ml de sang.

    Des scientifiques ont cherché à compenser cette dégradation progressive, qui surgit après la puberté. Ils ont conçu des compléments alimentaires telles que les protéines, la vitamine D et d’autres gélules. Entre autres, il existe des stratégies, simples et naturelles, à adopter dans la vie quotidienne, pour favoriser la production de ces somatropines.

    Faire du sport permet au corps de booster l’énergie et gagner du muscle. Il aide à optimiser la sécrétion de la somatropine naturelle.

    Si le niveau de concentration de la HG est élevé, la sensation de fatigue diminue, ce qui vous rendra plus endurant et productif. En plus, pratiquer des exercices intensifs permet de baisser le taux de graisse corporelle.

    Après tous ces conseils, je vous souhaite une reprise d’entraînements physiques en toute sérénité. 

  • Bois bandé : un puissant aphrodisiaque naturel

    • Par vogot
    • Le 24/04/2020

    Impuissance, dysfonctionnements érectiles, troubles de l'érection… Autant d'expressions qui décrivent un même problème, touchant 6 hommes sur 10 au moins une fois au cours de leur vie. En France, 3,5 millions d'hommes de plus de 40 ans déclarent avoir des troubles de l'érection mais seulement un sur quatre va prendre l'initiative de consulter ; soit seulement 450 000 hommes traités. N'épargnant aucune tranche d'âge, ils sont cependant plus fréquents après 50 ans. Savoir que cette condition n'est pas exceptionnelle permet bien souvent de lever un tabou.

    Une détérioration de la vie sexuelle peut affecter le quotidien des victimes de troubles de l'érection. Craignant la panne, l'homme a tendance à se sentir dévalorisé ou coupable face à une impuissance même passagère. Cette attitude peut conduire à une dégradation de la vie de couple. Or, même en cas de problème d'érection, il est possible de ressentir du désir, un orgasme et d'éjaculer. La perte de libido est aussi un facteur aggravant chez la femme.

    À noter : on évoque un problème d'érection lorsque les troubles durent plus de trois mois ou qu'ils se répètent à chaque relation sexuelle. La panne d'érection temporaire est banale et ne doit pas susciter de l'inquiétude au sein de l'homme et du couple. 

    Aujourd'hui, des solutions thérapeutiques naturelles et efficaces existent et permettent de retrouver une bonne qualité de vie, il ne faut pas hésiter à en parler à votre thérapeute. Votre naturopathe ayant reçu une formation dans ce domaine, saura vous conseiller au mieux après avoir pratiqué une anamnèse.

    Comme vous le voyez, les problèmes d’érection touchent pas mal d’hommes, c’est un souci qui peut vite devenir un fléau dans une vie de couple. Et y remédier est aujourd’hui devenu l’une des principales préoccupations de la médecine allopathique. Cependant, prendre des cachets et se ruiner tant le portefeuille que la santé n’est pas la seule et unique solution qui s’offre à vous. Il existe des solutions naturelles à privilégier et le bois bandé pour améliorer l’érection est une alternative qui a démontré son efficacité.

    Contrairement à ce que l'on peut lire un peu partout, bois bandé et muira puama ne sont pas le même produit, mais entre malgré tout dans sa confection. Ce dernier est en effet tiré d'un autre arbre tropical appelé Ptychopetalum Olacoides.

    Il semble que la première utilisation de bois bandé ait été faite par les Indiens d'Amérique du Sud, dans la forêt amazonienne de l'actuel Brésil.

    Il faudra attendre les années 1950 pour que l'écorce entre officiellement dans la pharmacopée brésilienne. Parmi les manières les plus courantes de consommer le bois bandé, on retrouve le Cuatama, une boisson tonique traditionnelle brésilienne à base de Muira puama, de guarana, de gingembre et de Trichilia catigua.

    En Europe, on découvre le bois bandé dans les années 1920, où il devient très en vogue, notamment dans les quartiers "chauds" de Paris.

    En France on connaît bien le bois bandé car cet aphrodisiaque vient, à l'origine, des Antilles Françaises et la forte communauté Antillaise présente en métropole a grandement fait connaître et popularisé ce philtre d'amour.

    Les Antillais le consomment traditionnellement macéré dans de l'alcool - du rhum - ou sous forme d'infusion (à consommer avec modération).

    Ce savant mélange est souvent constitué de :

    NOUVEAU: Sous forme d'inhaleur, contient un complexe de plantes dont les huiles essentielles de gingembrecannelle, orange douce, ylang-ylang et d'essence naturelle de santal.

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    Le muira puama est originaire des forêts brésiliennes et notamment des régions du Rio Négro et de l'Amazonie.

    Originaire d'Asie, le gingembre est une plante vivace tropicale cultivée de nos jours sous tous les climats tropicaux. Dès le début du XVIème siècle, les Espagnols implantèrent le gingembre dans les caraïbes et le cultivèrent intensivement afin d'alimenter les marchés européens. Encore de nos jours, la Jamaïque compte parmi les principaux producteurs mondiaux, après l'Inde et la Chine.

    Le tribulus est originaire d’Inde, de Chine, du Japon et de Corée. Il est aujourd’hui également cultivé en Afrique saharienne, dans le sud de l’Europe et dans les régions chaudes d’Amérique. C’est une plante vivace à fleurs jaunes qui recherche la chaleur et la sécheresse. Il existe différentes espèces, mais la plus commune est le Tribulus Terrestris. Cette plante est surtout recherchée pour ses fruits qui sont petits et verts avec des épines épaisses en forme de croix de Malte.

    Le ginseng est une plante forestière vivace à croissance lente originaire de l'Asie du nord-est (Chine, Corée, régions extrême-orientales de l'ancienne union soviétique) ainsi que du nord des États-Unis et du sud du Canada. Le ginseng est une plante qui doit être cultivée pendant des années avant que sa racine acquiert toutes ses qualités. C'est une plante de sous-bois qui s'installe naturellement sous couvert de grands feuillus dans un sol acide et léger pour y développer plus facilement sa racine. La chine, la Corée, les États-Unis et le Canada sont les principaux pays producteurs.

    Le bois bandé, aussi appelé « bois d'homme », se présente sous forme d'extrait sec, de poudre, de boissons aqueuses ou alcoolisées déjà préparées dans des flacons ressemblant beaucoup au flacon de sirop contre la toux (à consommer avec modération!).

    A quoi sert le bois bandé

    Comme son nom l'indique, le bois bandé sert à avoir une érection durable et une éjaculation importante chez l'homme et des désirs intenses chez la femme.

    Pour les hommes

    Le bois bandé est vasodilatateur et antidépresseur léger. C’est un aphrodisiaque naturel. Il est plus fort que la petite pilule bleue. Il dilate fortement les vaisseaux sanguins de la verge.

    Pour les femmes

    Beaucoup de personnes ne savent pas que le bois bandé peut aussi être profitable pour la femme comme stimulant sexuel car il procure des poussées intenses de désir chez elles et cette fois-ci, ce sont les hommes qui seront heureux.

    Ce produit a d'autres nombreuses vertus

    • Soulager les douleurs

    • Réduire la fatigue

    • Améliorer la mémoire

    • Empêcher les ulcères

    • Abaisser la tension artérielle

    • Amélioration de la résistance physique et mentale

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    Combien de temps l'utiliser

    L´attrait du bois bandé s'explique par plusieurs facteurs. Outre son prix et une réputation bâtie au fil du temps, le bois bandé possède un atout non négligeable : son origine naturelle.

    En effet, dès que le consommateur entend parler de produit naturel, il est vite rassuré, puisqu'il s'agit après tout d'une zone très sensible et les effets catastrophiques tels que l'impuissance sont à craindre, avec la consommation de produits chimiques. Ces cas sont notamment issus d'une réaction allergique aux produits chimiques. Ce risque n'est donc pas présent lors de l'absorption du bois bandé.

    Pour une action complète et efficace, il faut plutôt partir sur une prise plus régulière de plusieurs jours. Ainsi, vous obtiendrez les pleins effets de ce fabuleux booster sexuel.

    La consommation du bois bandé doit être utilisé avec modération afin de fuir les résultats contraires comme l’impuissance. Bien lire les étiquettes sur les emballages sans jamais dépasser les doses prescrites. En effet, consommé à fortes doses, il engendre le priapisme, érection persistante plus de 4 heures en dépit de l'absence de stimulation sexuelle. Habituellement, l'érection devient douloureuse et, surtout, des lésions irréversibles peuvent se produire dans le pénis au niveau des corps caverneux si l'on n'intervient pas rapidement.

    Afin de jouir des bienfaits du fondement actif, il faut retenir que sous forme de gélules ou de poudre, les résultats sont plus utiles comparativement à l’infusion parce que la section de la plante qui est employée est l’écorce qui est moins fine et plus consistante que les feuilles. Vous pouvez consommer du bois bandé quand vous voulez mais il est déconseillé de prendre ce type de produit naturel pour les personnes qui font de l'hypertension. Afin d'être sur de son coup, il est préférable de demander l'avis d'un praticien de santé.

    Utilisation de l'inhaleur

    Conseils d'utilisation

    Porter l'inhaleur à l'entrée de la narine, boucher l'autre narine et inhaler profondément les arômes des huiles essentielles. 

    Précautions d'emploi

    • Ne pas dépasser 5 prises par jour.

    • Éviter le contact avec les yeux.

    • Ne pas avaler.

    • Bien se laver les mains si elles ont été en contact avec les huiles essentielles.

    • En cas d’irritation, rincer avec une huile végétale.

    • En cas d'ingestion, consulter immédiatement un médecin et lui montrer l'emballage ou l'étiquette.

    • Conserver à l'écart des aliments et boissons, y compris ceux pour animaux.

    • Conserver hors de la portée des enfants.

    • Ne pas utiliser pour un usage autre que celui pour lequel il est destiné.

    • Inflammable.

    • Tenir à l’abri de la lumière et de la chaleur.

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