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Déclin des poumons: Que pouvez-vous faire ?
- Par vogot
- Le 27/02/2018
Saviez-vous que parmi tous vos organes, ce sont les poumons qui étaient les premiers sujets au vieillissement ?
L’émonctoire pulmonaire comprend deux processus d’élimination distinct : l’un gazeux ou ventilatoire, l’autre muqueux ou sécrétoire. Les voies respiratoires, 5ème porte de sortie, éliminent principalement les déchets gazeux (gaz carbonique…) qui résultent des combustions organiques. Lorsqu’une personne est trop sédentaire et/ou ne s’oxygène pas suffisamment, le dioxyde de Carbone n’est pas entièrement éliminé et l’organisme s’asphyxie lentement.
Le drainage du poumon est utile :
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lorsque le milieu ambiant est malsain : fumeurs et fumée de cigarettes, univers de travail confiné mal aéré et poussières,
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en période de convalescence,
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pour les personnes hypersensibles aux pollens, poussières et micro-particules irritantes,
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pour les personnes ayant une fragilité pulmonaire installée.
Comme la peau, ils ont la particularité d’être exposés à la plus forte pression partielle d’oxygène que l’on puisse trouver dans l’organisme. Or, l’oxygène est un facteur du vieillissement bien connu.
Tous les animaux ont besoin d’oxygène pour produire de l’énergie, mais le mécanisme est imparfait : il engendre la formation d’espèces réactives de l’oxygène (ERO), des déchets potentiellement toxiques pour l’organisme. Ces déchets ont tendance à altérer tous les composants cellulaires qui les entourent, et il faut constamment une armée de molécules antioxydantes pour les en empêcher. Des antioxydants qui peuvent être synthétisés directement par l’organisme ou bien puisés parmi les aliments consommés.Malheureusement, il arrive parfois que les antioxydants soient dépassés par les événements, et que les ERO se retrouvent momentanément ou durablement en surnombre (en cas d’infection, de pollution atmosphérique, de consommation tabagique ou de maladie chronique par exemple). C’est précisément ce déséquilibre qui permet aux ERO d’attaquer les tissus environnants, et autant dire que les tissus pulmonaires sont en première ligne. D’ailleurs, l’épithélium des voies aériennes est particulièrement sensible car les enzymes antioxydantes sont assez faiblement exprimées dans les cellules.
Souvent, ces déséquilibres ne sont que temporaires, mais lorsqu’ils sont mis bout à bout, on s’aperçoit que les dégâts à long terme sont considérables. Et plus les dégâts sont nombreux, moins les défenses antioxydantes sont efficaces (car la « notice » ayant servi à leur fabrication est devenue illisible) et plus le vieillissement s’accélère !
Le vieillissement « normal » des poumons commence à 30 ans
Que se passerait-il si l’homme était exposé à une atmosphère exclusivement composée de dioxygène ?
Les recherches ont montré que des dégâts pulmonaires surviennent rapidement au niveau des barrières alvéolo-capillaires et que 24 heures suffisent pour provoquer un syndrome de détresse respiratoire aiguë. Cette toxicité s’explique principalement par la production d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) à des concentrations qui dépassent les capacités antioxydantes de l’organisme. Ces déchets occasionnent des dégâts insurmontables qui déclenchent une réaction inflammatoire très importante.
Cependant, à des concentrations atmosphériques normales, les dégâts ne sont jamais très prononcés, d’autant que les systèmes antioxydants de l’organisme parviennent à limiter la casse au maximum.
Mais à long terme, les petits dégâts s’accumulent et deviennent de grands dommages : c’est le vieillissement.
Les télomères (impliqués dans la longévité) sont raccourcis, les mécanismes de réparation ne fonctionnent plus aussi bien, les systèmes antioxydants deviennent défaillants, ce qui augmente encore plus les effets du vieillissement. Les tissus pulmonaires deviennent moins élastiques, plus perméables : à partir de 30 ans, le volume expiratoire maximal par seconde (VEMS) diminue en moyenne de 30 ml tous les ans, mais la vitesse de ce déclin s’accélère avec le temps. Quant à la consommation maximale d’oxygène, elle passe de 45 ml/min/kg à l’âge de 20 ans à 18 ml/min/kg à 80 ans (soit 60 % de moins).
Ces chiffres sont très parlants, mais ils ne reflètent pas la réalité. En vérité, vos poumons ont rarement le même âge que vous. De nombreux autres facteurs vont précipiter et accélérer ce phénomène naturel, si bien que des personnes de 35 ans peuvent se retrouver avec de véritables poumons de « vieillards ». Evidemment, l’aspect génétique rentre en jeu, mais les facteurs les plus importants sont de loin la pollution atmosphérique (les particules diesel et l’ozone notamment) et le tabac : on estime que les espèces réactives de l’oxygène sont augmentées d’un facteur 4 dans les poumons de sujets âgés fumeurs comparés à des non-fumeurs. C’est un chiffre considérable qui contribue au vieillissement rapide des poumons, d’autant que l’activité antioxydante des macrophages alvéolaires est aussi abaissée avec le temps en cas de tabagisme.
Comment ralentir ce déclin ?
Outre l’arrêt immédiat de la consommation de tabac, il existe deux grands moyens de s’opposer à ce terrifiant compte à rebours : l’activité physique et la consommation d’antioxydants censés neutraliser les espèces réactives de l’oxygène (ERO). L’activité physique joue, à tout âge, un rôle capital dans le maintien et l’amélioration des capacités respiratoires. Quiconque rompt ses mauvaises habitudes d’inactivité physique en s’adonnant à un sport adapté à son âge améliore immédiatement la condition de ses poumons et en ralentit le déclin. Cependant, il arrive que le déclin de la fonction respiratoire soit tellement avancé que l’activité physique n’est plus possible ou devient particulièrement pénible. C’est ce moment terrible qu’il faut éviter à tout prix sous peine de basculer dans une véritable spirale du vieillissement accéléré.
L’autre moyen de s’opposer au vieillissement des poumons consiste à augmenter sa consommation d’antioxydants. Une nouvelle étude parue en décembre 2017 montre que la consommation d’au moins 3 portions de fruits frais par jour, et notamment de tomates et de pommes, ralentit significativement le vieillissement naturel des poumons et contribue à réparer certains des dégâts déjà occasionnés. D’après ces travaux, le bénéfice est encore plus marqué chez les fumeurs et les anciens fumeurs.
Ces conclusions rejoignent les constats effectués par d’autres chercheurs selon lesquels la consommation de polyphénols et de caroténoïdes, les deux grandes classes de phytonutriments à propriétés antioxydantes, est associée à une meilleure fonctionnalité pulmonaire et à un ralentissement du déclin.
Est-ce vraiment une surprise quand on sait que ces phytonutriments sont des molécules antioxydantes produites par les plantes pour se défendre contre les agressions (insectes, maladies, rayons ultra-violets) ou suffisamment intéressantes pour inciter les animaux à manger leurs fruits ?
Il en existe d’ailleurs de très nombreuses sortes. Si l’on se fie à l’étude précédemment citée, deux d’entre eux semblent se détacher pour la protection des tissus pulmonaires :
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Les flavonoïdes, qui sont une catégorie de polyphénols. Dans l’étude mentionnée, les chercheurs attribuent les effets bénéfiques des pommes à leur teneur en flavonoïdes. On retrouve ces phytonutriments antioxydants dans différents fruits ou dans des suppléments comme WFRUITS (Une synergie de super fruits au pouvoir antioxydant).
- Les lycopènes, qui sont une catégorie de caroténoïdes. On les retrouve en abondance dans les tomates, qui sont les fruits mentionnés dans l’étude comme étant les plus efficaces contre le déclin respiratoire. Il existe d’ailleurs WPLANTS (Puissance 4 pour ce complexe antioxydant préventif reconnu par la communauté scientifique) dont la mission principale est de prévenir les maladies et le vieillissement cellulaire.
La recherche a par ailleurs montré combien il était important d’associer les antioxydants entre eux, pour profiter de leurs effets synergiques. En pratique, cela doit évidemment se traduire par une grande consommation de fruits et légumes frais, mais certains suppléments comme REDOX (Antioxydant fort & Efficacité prouvée, indice de protection élevée) s’appuient sur ces données en associant des extraits naturels contenant de nombreux polyphénols et caroténoïdes.
Comme vous le voyez, il n’est jamais trop tard pour s’opposer au déclin, surtout lorsqu’il concerne une activité aussi primordiale que la respiration. Une bonne fonction respiratoire est essentielle pour maintenir une activité physique modérée, laquelle influe sur pratiquement toutes les fonctions de l’organisme, y compris la qualité de la réponse immunitaire et la longévité.
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Mes 8 secrets pour ne plus être malade
- Par vogot
- Le 24/01/2018
Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin, sauf pour un bilan annuel et pour cause, je ne suis jamais malade. Je vais vous partager mon secret. N'oubliez pas que le hasard n'existe pas.
Chaque année, les mêmes personnes semblent passer miraculeusement entre les gouttes des épidémies de grippe ou de gastro-entérite. En réalité, la chance n’a rien à voir là-dedans : c’est la qualité de leurs réponses immunitaires qui leur garantit de passer l’hiver sereinement, et cette qualité dépend de 8 secrets bien gardés qu’ils exploitent au maximum. A vous de les mettre en pratique pour faire partie, vous aussi, de ces personnes qui ne sont jamais malades...
1) J'ai une alimentation riche en micronutriments.
Dans les pays riches, l’alimentation est devenue si pauvre que la carence en micronutriments est monnaie courante. Or, des études ont montré qu’une déficience en un seul des micronutriments suivants nuit aux fonctions immunitaires : le zinc, le sélénium, le fer, le cuivre, le calcium, l’acide folique ou les vitamines A, B6, C et E.
C’est prouvé : une supplémentation en micronutriments augmente significativement l’activité du glutathion, de la production d’anticorps et de cytokines immunitaires.
Mon coup de pouce : augmentez votre consommation de fruits et légumes frais, et laissez-vous tenter par cette formule multivitaminée audacieuse et pratique qui a déjà séduit des millions de personne.
2) Je dors suffisamment.
Une nuit de sommeil trop courte ne sape pas uniquement votre efficacité au travail. Lorsque vous dormez 5 heures au lieu des 8 heures habituelles, votre organisme interprète ce manque comme un stress physique et élève considérablement son niveau de cellules immunitaires pour le surmonter. Cette activité inhabituelle perturbe par la suite l’activité des granulocytes (un type de globules blancs) et diminue l’efficacité de votre système immunitaire pour les jours voire les semaines à venir.
C’est prouvé : une personne qui dort moins de 6 heures par nuit pendant une semaine, aurait 4,2 fois plus de risques d’attraper un rhume que ceux qui bénéficieraient de plus de 7 heures de sommeil durant le même temps.
Et l’effet ne s’arrête pas là : d’autres études ont montré qu’un déficit chronique de sommeil avait un impact sur le système immunitaire beaucoup plus lourd, creusant le lit de maladies chroniques bien plus délétères qu’un simple rhume.
Mon coup de pouce : retrouvez le sommeil en vous appuyant sur les plantes les plus étudiées pour favoriser l’endormissement (valériane, houblon, rhodiola, etc.) ou choisissant ces compléments, et évitez surtout les médicaments (somnifères, benzodiazépines) qui provoquent effets secondaires et addictions.
3) J'ai trouvé des moyens pour réduire mon niveau de stress.
Le stress entraîne la libération d’hormones du stress, comme le cortisol et l’adrénaline. Ce sont des molécules très utiles à court terme, mais qui nuisent directement aux défenses immunitaires en inhibant la production de cytokines lorsqu’elles sont produites de façon prolongée.
C’est prouvé : une étude a montré qu’en cas de stress chronique, les leucocytes (globules blancs) devenaient anormalement actifs et pouvaient à terme endommager les tissus sains de l’organisme.
Mon coup de pouce : Le yoga, le tai-chi et toute activité physique de manière générale offrent de très bonnes garanties contre le stress. De nombreuses plantes comme l'ashwagandha, la griffonia ou le jujubier contiennent des composés naturels qui agissent en synergie pour apaiser l’organisme et qui sont injustement délaissés au profit des médicaments. Certains suppléments sont justement étudiés pour rassembler les ingrédients naturels les plus actifs contre le stress : ne manquez pas l’occasion de les essayer et de juger par vous-même les effets qu’ils ont sur votre stress.
4) Je suis physiquement actif.
Les études montrent que l’activité physique stimule certaines composantes immunitaires. Elle entraîne notamment une meilleure répartition des populations cellulaires circulantes impliquées dans la réponse immunitaire à condition que l’exercice ne soit pas trop exténuant pour le muscle.
C’est prouvé : les fonctions immunitaires sont directement affectées par l’excès de tissu adipeux, lequel augmente spécifiquement le risque de contracter la grippe...
Mon coup de pouce : reprenez progressivement l’activité physique et aidez-vous d’extraits de plantes reconnues "coupe-faim" par la science comme le konjac ou le guarana et l'acerola présents dans cette formule optimisée pour booster votre énergie et votre cerveau.
5) Je mange des fruits et légumes frais sans pesticides.
L’exposition aux toxines et aux polluants atmosphériques réduit la qualité de la réponse immunitaire. Les pesticides, notamment, inhibent la capacité des cellules NK humaines à sécréter des protéines lytiques et ont un effet néfaste sur les lymphocytes T.
C’est prouvé : des études ont clairement montré que l’exposition chronique aux pesticides jouent un rôle dans le développement de certaines pathologies respiratoires comme l’asthme ou les bronchites.
Mon coup de pouce : Si vous êtes sujet régulièrement à des polluants (en habitant dans une grande ville par exemple), augmentez votre consommation d’antioxydants en achetant davantage de fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ou en profitant de ces formules synergiques contenant plusieurs antioxydants redoutables.
6) Je suis heureux.
Voltaire l’avait résumé ainsi : "J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé". Et il avait raison. Être heureux, ça se décrète et ça affecte profondément notre vie, notre bien-être et notre santé.
C’est prouvé : les personnes qui sont plus connectées socialement à leur famille, leurs amis, leur communauté, sont plus heureuses, sont physiquement en meilleure santé, et vivent plus longtemps que celles qui sont moins bien connectées.
Mon coup de pouce : une des conditions pour être heureux, c’est d’être ouvert d'esprit et experimenter encore et encore, de penser ouverture du coeur, être altruiste et moins dans l'égo. Ne croyez pas ceux qui affirment posséder une recette miracle pour atteindre le bonheur. Le bonheur, il faut y travailler, se l’approprier, se le construire, sortir de sa zone de confort, souvent inconfortable, induisant contractions musculaires et douleurs articulaires.
7) Je reste au contact de la nature.
Vivre en ville a de nombreux avantages, mais le risque de souffrir de dépression y est aussi plus important. Or, il est certain aujourd’hui que les personnes tristes ou déprimées souffrent d’anomalies immunitaires, et notamment d’un excès de cytokines dans le sang qui induisent chez eux un syndrome inflammatoire et une réduction de la qualité des réponses immunitaires.
C’est prouvé : au bout de 90 minutes de marche en pleine nature, le cortex préfrontal, en hyperactivité lorsqu’on ressasse des idées noires, est moins sollicité, ce qui réduit le risque de dépression.
Mon coup de pouce: multipliez les balades au grand air, en forêt ou dans un parc si c’est possible et entourez-vous de verdure ! Une étude a même montré que le simple fait de "voir" la nature accélère le processus de guérison.
8) Je ne fume pas.
Les conséquences du tabac sur l’immunité sont catastrophiques. En plus d’une altération des moyens de défense mécaniques comme les cils bronchiques, la fumée de cigarette augmente drastiquement les niveaux d’inflammation tout en diminuant la qualité de la réponse immunitaire (activité des lymphocytes réduite, production plus faible d’anticorps, inhibition des cytokines).
C’est prouvé : la probabilité d'attraper la grippe quand on est fumeur, est multipliée par 4. Le tabac double même le risque de contracter une infection respiratoire et favorise les complications.
Mon coup de pouce : Arrêter de fumer est évidemment la solution, mais pour celles et ceux qui n’y parviennent pas immédiatement, une supplémentation en vitamine C devrait être envisagée. La recherche a montré que la cigarette épuisait plus rapidement les réserves de vitamine C, ce qui contribuait à aggraver leur situation immunitaire. Le kudzu vous aidera pendant la période de sevrage. La racine du Kudzu contient des isoflavones (daidzéine, puérarine, daidzine...) et a prouvé son efficacité pour réduire la consommation de nicotine. De plus, ces isoflavones ont un effet anxiolytique qui peut contribuer au traitement d'autres addictions comme l'alcool.
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Les indispensables à votre bon coeur
- Par vogot
- Le 05/12/2017
Pourquoi les médicaments pour le cœur sont des pièges
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Les médicaments anticholestérol (statines) font bel et bien baisser votre taux de cholestérol. Mais ils ne prolongent pas votre vie d’un seul jour. Bien au contraire, ils provoquent des effets néfastes (pertes de mémoire, douleurs musculaires, rhabdomyolyse – une maladie mortelle) qui dégradent la vie quotidienne des patients. Les années qui leur restent à vivre peuvent ainsi être gâchées.
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Les médicaments contre l’hypertension (bêtabloquants) réduisent la pression artérielle. Mais ils provoquent simultanément une baisse d’énergie qui fait que votre vie est ralentie. En revanche, ils ne soignent rien du tout. Tout au contraire, vous risquez l’accident à tout moment si vous cessez de les prendre, car ils créent une dépendance.
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Les médicaments anticoagulants réduisent le risque de caillot, et donc d’infarctus. Moyennant quoi, ils élèvent fortement celui d’AVC. Car, si votre sang ne coagule plus, la moindre hémorragie dans le cerveau peut devenir fatale.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des produits naturels simples et bon marché qui maintiennent votre cœur en pleine forme.
Des produits naturels efficaces pour le cœur et les artères
Ces produits naturels ne font la fortune de personne. Mais ils peuvent vous assurer une vie plus longue et en meilleure santé.
Si vous avez eu des décès cardiaques dans votre entourage et que vous ne prenez aucun produit naturel pour le cœur, je vous invite très fortement à vous tourner vers :
1. L’huile de poisson
Les études ont montré que les acides gras oméga-3 présents dans l’huile de poisson pouvaient faire baisser le risque de maladies cardiaques jusqu’à 52 %.
Les huiles de poisson agissent en réduisant l’inflammation des artères et en assouplissant leur paroi. Car ce sont des chaînes souples qui structurent la paroi des cellules, qui deviennent elles aussi moins rigides. On distingue, parmi les meilleurs oméga-3, l’EPA et la DHA. Pour votre système cardio-vasculaire, choisissez une huile de poisson riche en DHA, à une dose quotidienne de 1 000 à 3 000 mg.
2. Le CoQ10 (coenzyme Q10)
Cet antioxydant se trouve partout dans le corps. Il sert à la production d’énergie cellulaire. Le cœur étant un des muscles les plus gourmands en énergie, et travaillant en permanence, il a besoin de CoQ10 pour battre efficacement.
Mais le CoQ10 a, lui aussi, un effet anti-inflammatoire. Il ralentit la formation des caillots et aide à réguler le rythme cardiaque (contre l’arythmie et les fibrillations). C’est le complément alimentaire phare de la santé cardio-vasculaire.
3. Vitamine C
N’oubliez jamais que nous sommes le seul mammifère à avoir perdu notre capacité de produire de la vitamine C. Probablement parce que nos ancêtres mangeaient tant de baies, de feuilles et de végétaux riches en vitamine C qu’il était inutile d’en produire en plus, de façon autonome.
Mais aujourd’hui, la malbouffe a remplacé les légumes et fruits frais, la teneur nutritionnelle des produits s’est fortement appauvrie et, sans complément de vitamine C, il est peu probable que vos apports soient suffisants. La vitamine C est, elle aussi, antioxydante et entre dans la synthèse du collagène, nécessaire à la souplesse des artères.
4. Autres antioxydants
D’une façon générale, vous lutterez contre la sclérose des artères par une forte consommation d’antioxydants comme la vitamine A, C et E et de phytonutriments comme les caroténoïdes, les polyphénols et les flavonoïdes.
Vous pouvez, par exemple, prendre des extraits de thé vert (appelés EGCG pour « épigallocatéchine gallate »), de raisin rouge (resvératrol), de pin (pycnogénol), de feuille d’olivier, de la curcumine, etc.
5. Aubépine
C’est la plante traditionnellement tout indiquée pour l’entretien de la santé du cœur : elle fait baisser la pression sanguine et renforce le muscle du cœur. L’aubépine est pleine de flavonoïdes et assure une protection antioxydante supplémentaire.
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Crises d'asthme: Les 4 compléments efficaces
- Par vogot
- Le 16/10/2017
Contrairement aux idées reçues, l’asthme peut apparaître à n’importe quel âge.
Cette maladie se manifeste par des crises, durant lesquelles la personne asthmatique ressent des difficultés à respirer. Ces crises peuvent être déclenchées par différents facteurs comme des allergènes présents dans l’air, la fumée de tabac, l’exercice physique ou encore certaines émotions intenses. Bien que l’origine précise de l’asthme ne soit pas totalement connue, plusieurs solutions thérapeutiques ont été mises au point. Parmi les traitements proposés, des remèdes naturels existent.
Découvrez 4 compléments naturels pour prévenir ou traiter les crises asthmatiques.
Boswellia: Un anti-inflammatoire naturel puissant issu de la médecine ayurvédique
Le boswellia (Boswellia serrata) est un arbre de la famille des Burseraceae originaire de l'Inde. Il pousse dans les régions montagneuses de l'Inde, de l'Afrique du nord et du Moyen Orient.
Son tronc, s'il souffre d'une blessure, exsude une résine nommée « Salai guggul » ou « Olibanum indio » qui est utilisé en médecine Ayurvédique pour soulager la douleur. Cette résine est collectée en été et en automne, elle est entreposée dans des paniers en bambou pour éliminer l'huile et laisser la résine se solidifier. Une fois traitée, la gomme résine est classée en fonction de son odeur, de sa couleur, de sa forme et de sa taille.
La gomme-résine de la Boswellia serrata contient 30-60% de résine, 5-10% d'huiles essentielles et le reste de polysaccharides (~65 % arabinose, galactose, xylose). La partie résineuse contient des mono-, di- et triterpènes, acides triterpéniques pentacycliques (acides boswelliques) et acides triterpéniques tétracycliques.
Elle possède un arôme agréable grâce à sa teneur en huiles essentielles, et les acides boswelliques sont responsables de ses propriétés antiinflammatoires. L'acide acétyle-11-kéto-béta-BA (AKBA) est un des acides boswelliques les plus efficaces et c'est un puissant inhibiteur de l'enzyme 5-lipoxygénase, enzyme impliquée dans les processus inflammatoires.
Les acides boswelliques présentent une activité antiinflammatoire qui supprime la formation des leucotriènes grâce à l'inhibition de l'enzyme 5-lipoxygénase. Les leucotriènes sont des eïcosanoïdes (molécules à caractère lipidique dérivées de l'acide arachidonique) produites par des leucocytes et qui interviennent dans le processus d'inflammation comme l'asthme bronchique et la colite.
Ces acides agissent aussi sur d'autres molécules pro-inflammatoires comme la cyclo-oxygénase et le système du complément et on a démontré son efficacité sur des maladies inflammatoires comme l'asthme, l'arthrite rhumatoïde ou l'ostéoarthrite. Ils inhibent le facteur nucléaire Kappa-B (NF-KB), un facteur de transcription impliqué dans la réponse inflammatoire et dans les maladies comme l'arthrite rhumatoïde et l'asthme bronchique ; et ils inhibent également l'élastase leucocytaire humaine, une protéase (enzyme qui dégrade les liaisons peptidiques des autres protéines) libérée au cours des processus inflammatoires ou d'hypersensibilité. Ils possèdent en outre une activité antiallergique, associée à une inhibition de la dégranulation des mastocytes, cellules impliquées dans les réactions allergiques.
Ginkgo Biloba: remède pour les poumons efficace contre l'asthme.
Apparu avant les dinosaures et ayant survécu à tous les bouleversements climatiques, et même à la bombe nucléaire, le Gingko biloba (ginkgo venant du chinois yin : argent, kuo : fruit ; biloba venant de la forme caractéristique à deux lobes de ses feuilles) a depuis près de 6 millénaires de nombreuses applications médicales.
Son efficacité est due aux glycosides de flavonol et aux lactones terpéniques qu'il contient.
La médecine chinoise fait de l'extrait de feuilles de gingko biloba un remède pour les poumons efficace contre l'asthme.
Plusieurs extraits sur le marché ne sont que de pâles copies de ceux utilisés au cours des études (EGb 761 ou Li 1370) : ils sont généralement normalisés en glucoflavonoïdes, mais pas en terpéno-lactones. Par ailleurs, les capsules ou comprimés contenant uniquement des feuilles séchées, les teintures et les extraits non normalisés ne peuvent fournir de dosages thérapeutiques équivalents à ces extraits.
Levure de sélénium & Vit. C: détoxifiant de l'organisme
Le sélénium, oligo-élément indispensable au corps humain, est un antioxydant majeur de la lutte contre les radicaux libres, tout comme la vitamine C avec laquelle il agit en synergie.
Il contribue à la dépollution de l'organisme des métaux lourds (arsenic, plomb, mercure, cadmium).
Le sélénium active la protéine appelée glutathion-peroxydase, qui bloque elle-même la formation des radicaux hydroxyles, connus pour être les radicaux libres les plus réactifs et les principaux médiateurs des dommages causés par les radicaux libres dans le corps.
Il participe avec la vitamine C à la protection des membranes cellulaires en luttant contre la peroxydation des lipides grâce à l'enzyme d'Ursini, une autre forme de glutathion-peroxydase. Enfin, toujours grâce à la glutathion-peroxydase, le sélénium favorise le métabolisme des prostaglandines, qui sont des substances synthétisées dans de nombreux tissus et organes et douées d´une très grande activité physiologique, et contribue à contrôler l'hyperactivité plaquettaire.
La réduction des apports en sélénium, des concentrations sériques et érythrocytaires en sélénium, ainsi que la réduction de l'activité de la glutathion peroxydase sélénium dépendante sont des facteurs de risques d'asthme. L'apport en sélénium est inversement corrélé l'incidence de l'asthme. Les asthmatiques et plus généralement les sujets allergiques ont des teneurs basses en sélénium. La carence en sélénium entraîne une réduction de l'activité de la glutathion peroxydase, une élévation en thromboxane A2 (proagrégant et vasoconstricteur), une augmentation de l'agrégation plaquettaire et une diminution de la prostacycline ou prostaglandine I2.
Chez l'asthmatique, la supplémentation en sélénium réduit l'agrégation plaquettaire par augmentation l'activité de la glutathion peroxydase qui joue un rôle capital dans le système de défense antioxydante.
Le sélénium est donc un oligoélément indispensable au corps humain. Ce dernier, pourtant, est incapable de le synthétiser et nous devons donc trouver le sélénium dans la nourriture que nous consommons ou dans des suppléments. Le corps humain n'assimilant qu'une petite quantité de minéraux inorganiques, le mode de production que nous avons retenu consiste à susciter une transformation biochimique du sélénium à travers un produit organique naturel : la levure. La forme du sélénium est alors rendue semblable à celle que l'on trouve dans les plantes (L(+) selenomethionine), dont la bio-disponibilité pour l´organisme humain est entière. Aux 27.5 mcg de sélénium que contient chaque comprimé, ont été ajouté 40 mg de vitamine C naturelle, extraite de cerises acérola, afin de créer une synergie dans la lutte contre les radicaux libres.
Reishi Rouge Bio (Ganoderma lucidum): traitement de l’asthme et des troubles respiratoires
Le reishi rouge (Ganoderma lucidum) est un champignon utilisé en médecine traditionnelle depuis plusieurs milliers d’années pour ses propriétés adaptogènes, immunostimulantes, anti-inflammatoires et antioxydantes. Son nom en chinois (lingzhi) est associé à la longévité et à l’immortalité.
Le Reishi est riche en nutriments et contient plus de 200 principes actifs, parmi lesquels les ergostérols, polysaccharides et les triterpènes.
Dans le groupe des polysaccharides, on trouve les bêta-glucanes, des composés qui renforcent le système immunitaire. Le reishi contient en outre des triterpènes provenant du lanostane, un groupe de molécules aux propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et pour le traitement de l’allergie.
Ce champignon est également très riche en protéines, nutriments et autres composés bioactifs comme les ergostérols et les nucléotides.
Parmi les polysaccharides, on trouve les bêta-glucanes, molécules qui possèdent une activité immuno-modulatrice stimulant le système phagocytaire, augmentant la libération des cytokines et agissant sur les différentes cellules qui font partie du système immunologique.Le reishi contient en outre des triterpènes provenant du lanostane, dont les acides ganodériques et les acides ganodermiques, un vaste groupe de composés qui présente diverses structures chimiques et propriétés : antibactériennes, anti-inflammatoires, antioxydantes, hypoglycémiques, neuroprotectrices... Une des propriétés des triterpènes est associée au traitement de l’asthme et de l’allergie, pour ses propriétés anti-inflammatoires puisqu’ils inhibent la libération d’histamine par les mastocytes et rétablissent l’équilibre normal des cytokines TH1 et TH2.
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Récupération musculaire: Les nutriments essentiels
- Par vogot
- Le 11/10/2017
Prise en charge globale
En naturopathie, l’alimentation du sportif doit répondre aux adaptations physiologiques de l’exercice. Elle est d’abord basée sur la prise d’aliments courants dans le cadre d’une alimentation équilibrée et diversifiée, sous forme de repas et de collations.
La pratique d’une activité sportive se traduit par une augmentation de la dépense énergétique dont l’importance varie notamment avec la nature et la durée de l’activité pratiquée et le degré de préparation de l’individu qui la pratique (avec ou sans entraînement préalable).
Prise en charge en naturopathie
Les soins seront programmés en fonction des besoins de chacun et comprendront :
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Des conseils de rééquilibrages alimentaires visant à revitaliser, à combler les subcarences et à reconstituer les réserves glucidiques, protéiques et minérales. Un équilibrage de croisière pourra ensuite être constitué.
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Des conseils ciblés avec utilisation de compléments alimentaires adaptés aux besoins de chacun et à son activité (oligothérapie, lithothérapie, vitaminothérapie, aromathérapie, phytothérapie, boissons de l’effort, de récupération, brûleur, draineurs….)
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Un rééquilibrage des systèmes nerveux et endocriniens
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Une stimulation des fonctions immunitaires
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Une réduction des toxiques et des toxines
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Des soins manuels (Réflexologie plantaire, massage bien être)
Complémentation et activités physiques
Que vous soyez un sportif amateur ou professionnel, vous vous êtes sûrement déjà interrogé(e) sur comment améliorer votre récupération physique après l’effort. C’est d’ailleurs une question très étudiée en nutrition sportive. Et pour cause, puisque l’alimentation joue un rôle clé dans l’activité et la récupération musculaires.
A ce sujet, des chercheurs ont étudié les bienfaits de plusieurs nutriments pour aider l’organisme à récupérer après le sport. Grâce à leur étude, ils sont parvenus à mettre évidence les effets bénéfiques d’une combinaison de protéines et d’antioxydants pour favoriser la récupération musculaire et augmenter la force musculaire. Découvrez les résultats de cette étude.
Une étude pour optimiser les entraînements excentriques
A travers cette nouvelle étude, les chercheurs avaient pour objectif de trouver une solution pour améliorer la récupération musculaire suite à des exercices physiques de forte intensité. Ils se sont particulièrement intéressés aux entraînements excentriques, qui sont connus pour être très efficaces pour gagner en force musculaire mais également très exigeants au niveau musculaire et articulaire.
En effet, il est possible de distinguer différents types d’exercices physiques selon la façon dont sont contractés les muscles :
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l’exercice de contraction isométrique, dit statique ou de gainage, consiste à contracter les muscles sans bouger.
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l’exercice de contraction concentrique, le plus courant, correspond par exemple au mouvement de contraction nécessaire pour lever un poids ;
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l’exercice de contraction excentrique désigne le mouvement contraire à la contraction concentrique et correspond par exemple à l’action des muscles pour retenir une charge en musculation ou ralentir lors d’une course à pieds en descente ;
Evaluation des bienfaits de nutriments reconnus en nutrition sportive
Pour optimiser la récupération post-entraînement, les chercheurs ont souhaité évaluer les bénéfices de nutriments reconnus en nutrition sportive : les protéines et les antioxydants.
Constituées d’une succession d’acides aminés, les protéines sont des éléments participant à la structure des cellules musculaires.
Très prisées par les sportifs en musculation, elles participent notamment à l’entretien et au renouvellement de la masse musculaire. Elles contribuent également à la réparation des microlésions musculaires. Pour lutter contre les dommages musculaires, les effets protecteurs des antioxydants sont également réputés dans l’univers du sport.
Ces molécules permettent en effet de limiter les dégâts causés par les radicaux libres. Déchets de la respiration, ces éléments radicalaires sont produits en plus grande quantité lors d’efforts physiques intenses. Comme les protéines, les antioxydants présentent ainsi des atouts non négligeables pour soutenir l’activité musculaire et accélérer la récupération après le sport.
C’est d’ailleurs pour cette raison que les antioxydants et les acides aminés servant à la synthèse des protéines sont des molécules utilisées dans la formulation de nombreux compléments alimentaires pour le sport.
Une combinaison bénéfique d’antioxydants et de protéines
Etant donné les atouts non négligeables des antioxydants et des protéines pour les sportifs, les chercheurs ont étudié les effets d’une combinaison de ces molécules auprès de 60 jeunes adultes sportifs. Ces derniers ont été répartis en trois groupes :
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le premier groupe, considéré comme le groupe contrôle, a reçu un placebo ;
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le second groupe a uniquement été supplémenté en protéines ;
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le troisième groupe a reçu une combinaison d’antioxydants et de protéines.
Pour chacun des groupes, la supplémentation a été effectuée en trois prises :
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une première prise suite à une série d’exercices de contractions musculaires excentriques ;
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une seconde prise 6 heures après les exercices musculaires ;
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et une dernière prise 22 heures après l’effort.
Les différences entre les trois groupes ont été analysées grâce à la mesure de différents paramètres au niveau de l’extension musculaire du genou. Les chercheurs ont par exemple pris en compte la force maximale isocinétique et de la force maximale isométrique, qui sont deux éléments étudiés lors de l’évaluation de la force musculaire et des performances sportives.
Pour vérifier l’efficacité de la combinaison en protéines et en antioxydants sur la récupération musculaire, ces mesures ont été effectuées avant la supplémentation puis 1 heure, 2 heures, 6 heures et 24 heures après la réalisation des exercices.
Des résultats positifs pour la récupération après l’effort
Les mesures effectuées avant la supplémentation ont permis de confirmer la pertinence de l’étude. En effet, pour être pertinente, l’étude devait être menée auprès de personnes partageant plusieurs paramètres en commun tels que la force musculaire et la circonférence de la cuisse. De plus, les exercices de contractions excentriques devaient être suffisamment importants pour pouvoir évaluer les effets de la supplémentation sur la récupération.
Différents points vérifiés par les chercheurs
Une fois ces paramètres vérifiés, les scientifiques ont pu suivre et comparer les effets de la supplémentation au sein des trois groupes. A l’issue de leur étude, ils ont constaté des différences significatives entre les trois groupes.
En comparaison au groupe contrôle, le groupe recevant uniquement des protéines et celui supplémenté en antioxydants et en protéines présentaient des meilleurs résultats au niveau de la force maximale isocinétique et de la force maximale isométrique.
Néanmoins, à la différence des deux premiers groupes, le troisième groupe ayant reçu la combinaison en antioxydants et en protéines souffrait de moins de douleurs musculaires.
Grace à cette étude, les chercheurs ont pu confirmer l’efficacité des exercices de contractions excentriques pour gagner en force musculaire. Ils ont également vérifié l’importance d’un bon apport en protéines pour soutenir l’activité musculaire.
Enfin et surtout, ils ont démontré l’intérêt d’associer cet apport en protéines à une supplémentation en antioxydants pour favoriser la récupération après l’effort. Cette combinaison a en effet montré des résultats positifs pour limiter les douleurs musculaires.
Ces nutriments anti-fatigues ont une action psychostimulante et anti-inflammatoire. Ils augmentent la tolérance à la douleur et permettent de poursuivre un effort qui serait insupportable dans des conditions normales.
Pour miser sur cette association bénéfique pour la récupération musculaire, il est possible de retrouver en supplémentation nutritionnelle un isolat de protéines naturelles et des antioxydants extraits de plantes. Pour une efficacité optimale, des concentrés de plusieurs antioxydants sont disponibles dans le catalogue de compléments alimentaires spécial nutrition sportive d'Anastore.
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Cortisol: Tout commence avec le stress
- Par vogot
- Le 10/10/2017
Définition du stress
Ensemble des moyens physiologiques et psychologiques qu'un individu met en oeuvre pour s'adapter à un événement précis.
Composition corporelle et hormones
Face à un stress, l'organisme active une réaction d'alerte et libère de l'adrénaline, de la noradrénaline et du cortisol.
De petites quantités de cortisol sont bénéfiques mais lorsque sa sécrétion se prolonge, l'hormone du stress peut alors avoir des effets néfastes sur le bon fonctionnement de l'organisme, sur les systèmes cardio-vasculaire, immunitaire, neurologique ou métabolique.
Ces hormones expédient le sang du centre du corps vers les muscles et les membres pour préparer l'organisme à faire face à une éventuelle attaque. Des réponses physiologiques complémentaires assurent une réaction rapide à la menace :les pupilles se dilatent, la conscience s'intensifie, le pouls s'accélère. Lorsque la perception de la menace disparaît, le corps revient à son homéostasie physiologique, interrompant la libération des hormones jusqu'à ce que la prochaine menace apparaisse.
L'hormone du stress peut également interférer avec la sérotonine, un des messagers chimiques de l'humeur de notre cerveau, et conduire à une sensation de dépression et, encore une fois, à encore plus d'envies d'aliments de consolation. Des études récentes montrent que le cortisol a un impact sur les neuromédiateurs de la prise alimentaire. La dexaméthasone stimule la prise alimentaire et conduit à une prise pondérale. Cet effet, associé à l'hyperinsulinémie secondaire et à l'insulinorésistance, stimule la lipogenèse et l'accumulation des graisses.
De surcroît, l'hormone du stress interfère avec l'hormone de croissance avec pour résultats une perte musculaire et un gain de masse grasse. Enfin, une élévation continuelle de l'hormone du stress peut affaiblir le fonctionnement de la thyroïde et faire en sorte que notre métabolisme ralentisse.
Ce mécanisme convenait parfaitement à nos ancêtres et leur survie en dépendait. Mais, dans notre monde moderne, notre organisme réagit par cette réponse aussi bien face à l'irritation provoquée par le fait que quelqu'un ait pris notre place de parking que face à un réel danger mettant notre vie en jeu. Elle ne constitue en fait que la première étape de l'adaptation au stress.
La seconde est celle de la résistance où nous apprenons, à notre propre détriment, à nous occuper efficacement de notre stress. Elle peut durer des mois. Au cours de cette étape, les récepteurs hypothalamiques au cortisol deviennent moins sensibles à l'inhibition réactive avec pour résultat une augmentation de la production de cortisol. Une production excessive de cortisol est associée à un grand nombre de désordres métaboliques de l'axe hypothalamo-hypophyso-surénalien incluant une insulino-résistance, une obésité, une augmentation de la pression sanguine, une immuno-suppression ou la perturbation de la guérison des blessures. En fait, une élévation excessive prolongée de cortisol peut conduire à des signes et symptômes ressemblant à la maladie de Cushing.
La troisième et dernière étape de la réaction au stress est l'épuisement des surrénales qui implique une déplétion des réserves d'énergie et une perte de résistance physique conduisant à la fatigue, à l'étouffement du système immunitaire et à une cohorte d'autres symptômes systémiques incluant des pathologies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer ou la dépression.
Ginkgo biloba et niveaux de cortisol
Des chercheurs ont découvert que le ginkgo biloba pouvait soulager les glandes surrénales en abaissant les niveaux élevés de cortisol, indiquant par là que cette plante pouvait prendre place parmi les substances reconnues comme adaptogènes.
Lorsqu'il est soumis à un stress, le corps humain produit du cortisol.
INGRÉDIENTS :
Pour 1 gélule : 60 mg d'extrait sec de feuilles de ginkgo (Ginkgo biloba L.), titré à 24% en glycosides de flavonol (soit 14.4 mg) et à 6% en lactones terpéniques (soit 3.6 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Consultez votre naturopathe en cas de prise simultanée d'anticoagulants. L'emploi chez les personnes sous tratitement antidépresseur est déconseillé. L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes est déconseillé. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Dans des circonstances normales, les glandes surrénales régulent la production de cortisol et quand la situation responsable du stress est terminée, ses niveaux chutent.
Une épidémie très discrète
Si vous vous sentez fatigué sans raison, que vous avez besoin de litres de café pour tenir tout au long de la journée, si vous vous sentez dépassé et stressé et que vous vous débattez désespérément contre les exigences de la vie quotidienne, si quelques exercices de gymnastique suffisent à vous épuiser pour plusieurs jours et si le moindre incident vous irrite, vous déprime ou vous épuise, vous souffrez peut-être de fatigue surrénale. Un certain nombre de plantes et de suppléments nutritionnels peuvent aider à surmonter cette fatigue.
Les surrénales sont deux petites glandes en forme de croissant qui coiffent le pôle supérieur de chaque rein. Chacune d'elle est composée de couches internes qui produisent différentes substances. La partie intérieure ou médullosurrénale sécrète l'adrénaline et la noradrénaline. La libération de ces hormones augmente le rythme cardiaque et la pression sanguine et détourne davantage de sang vers le cerveau, le cœur, les muscles squelettiques.
La corticosurrénale, située à l'extérieur de la médullosurrénale, réagit à différents types de stress. C'est là que sont produites les hormones stéroïdes comme la cortisone, l'hydrocortisone, la testostérone, les oestrogènes, la 17-hydroxy-ketostéroïde, la DHEA, le sulfate de DHEA, la pregnénolone, l'aldostérone, l'androsténédione, la progestérone et d'autres hormones, produits intermédiaires dans la synthèse. Un grand nombre de ces hormones sont également fabriquées dans d'autres parties de l'organisme, mais l'aldostérone, la cortisone et l'hydrocortisone sont uniquement sécrétées par les glandes surrénales.
L'hormone aldostérone, de concert avec les reins, régule l'équilibre du sodium et du potassium dans le corps. Cette régulation est très importante pour de nombreuses fonctions physiologiques incluant la capacité à réagir au stress et le maintien de l'équilibre hydrique. Elle contribue même au maintien de la pression sanguine.
Qu'est-ce que la fatigue surrénale ?
La fatigue surrénale se définit par toute diminution de la capacité des glandes surrénales à fonctionner normalement. Cela se produit lorsque l'organisme est submergé, quand le stress sur-accroît sa capacité à compenser et à récupérer. Les surrénales se fatiguent alors et deviennent incapables de continuer à répondre de façon appropriée à de nouveaux stress.
A ce stade, la plupart des gens entrent dans un cercle vicieux et s'en remettent au café, au coca cola et à d'autres excitants pour lutter contre la sensation de fatigue et tenir tout au long de la journée. Ils trouvent éventuellement un second souffle et finissent de travailler très tard dans la nuit. Il leur devient alors de plus en plus difficile de commencer le matin et ils boivent davantage de caféine, perpétuant ainsi le cycle.
Mais ce n'est que le commencement
La fatigue surrénale se manifeste par toute une batterie de signes et de symptômes dont le plus important est la fatigue. D'autres pathologies peuvent apparaître y compris des affections respiratoires, de l'asthme, des allergies, un syndrome de fatigue chronique, une fibromyalgie ou d'autres désordres immunitaires.
Le traitement de la fatigue surrénale
Pour que les glandes surrénales puissent travailler efficacement, il faut les soutenir nutritionnellement. Des modifications du style de vie accompagnées de suppléments nutritionnels facilitent grandement le rétablissement. Les règles sont simples et similaires aux principes généraux pour rester en bonne santé. Un style de vie modéré avec des aliments de haute qualité, la pratique régulière d'exercices physiques, beaucoup de repos conjugués avec une attitude mentale saine doivent concourir à conserver des glandes surrénales fortes et résistantes.
Cependant, le stress de la vie moderne fait que certains suppléments nutritionnels peuvent également être nécessaires pour maintenir les glandes surrénales en bonne santé tout comme pour aider des glandes surrénales épuisées à retrouver un fonctionnement normal.
Dans le cas de la fatigue surrénale, l'un des objectifs donnés aux suppléments nutritionnels est d'aider à restaurer une libération diurne de niveaux normaux de cortisol. Si l'on apporte à l'organisme de petites quantités de substances ressemblant au cortisol, les glandes surrénales prennent du repos et ont la possibilité de se régénérer. Ensuite, une production normale de cortisol sera rétablie.
Les adaptogènes
Je vais vous lister quelques plantes adaptogènes qui peuvent vous aider à diminuer votre taux de cortisol, afin de contrecarrer les effets du stress pour retrouver vos performances intellectuelles.
L'Eleuthéroccocus ou Ginseng sibérien, le Schisandra ou le Tribulus terrestris, entre autres, aident à restaurer la sensibilité des récepteurs hypothalamiques et périphériques aux effets du cortisol et d'autres hormones surrénales. De cette manière, les adaptogènes aident l'organisme à construire une réponse adaptée au stress avec des quantités de cortisol plus faibles que celles qui seraient nécessaires sans leur utilisation. Ils facilitent ainsi un retour à la normale plus rapide des surrénales. Des cliniciens ont montré que ces adaptogènes peuvent agir de façon synergique.
Eleutherococcus ou Ginseng sibérien,
Des études conduites par des chercheurs soviétiques ont montré que l'Eleuthérococcus a des propriétés anti-fatigue encore plus efficaces que celles du Panax ginseng. Leurs travaux ont été réalisés dans le cadre d'un programme massif de tests avec des études cliniques réalisées à travers toute l'ancienne URSS sur des ouvriers d'usines, des conducteurs de camions, des marins au long cours et des personnels militaires soumis à des stress très importants. Ces études sur le stress ont révélé que l'Eleutherococcus améliore la résistance, augmente la consommation d'oxygène, renforce l'énergie physique et la performance et réduit la pression sanguine. En 1962, l'Eleutherococcus a été déclaré par le Ministre de la Santé de l'URSS médicament officiel de phytothérapie et inclus dans le guide national des médicaments, la pharmacopée soviétique. L'Eleutherococcus a rapidement été largement disponible et patients, athlètes, cosmonautes et soldats l'ont régulièrement utilisé comme fortifiant.
INGRÉDIENTS :
Pour 2 gélules : 1000 mg d'extrait sec de racine d'éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus (Rupr. et Maxim.) Maxim.) titré à 0,8% en éleuthérosides (soit 8 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau et à répartir en deux prises, au moment des repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Le Schisandra
Le Schisandra est une herbe largement utilisée dans la Chine ancienne et contemporaine pour traiter un grand nombre de maladies. C'est un puissant antioxydant et un agent anabolisant. Le Schisandra favorise également la glycogenèse, le processus qui convertit les hydrates de carbone en glycogène. Le glycogène est stocké dans le foie et les muscles jusqu'à ce qu'il soit utilisé et converti en glucose.
Ce processus aide à produire l'énergie nécessaire à la revitalisation des cellules «stressées».
Les recherches indiquent que le Schisandra stimule le système nerveux central, probablement en augmentant la dopamine et ses métabolites dans le striatum et l'hypothalamus. La dopamine, une catécholamine sécrétée par les glandes surrénales, est un précurseur immédiat dans la synthèse de la noradrénaline qui joue un rôle pivot en aidant l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien à s'adapter au stress.
INGRÉDIENTS :
Pour 1 gélule : 200 mg d'extrait sec de fruit de schisandra (Schisandra chinensis (Kurcz.) Baill.) titré à 10% en schisandrines (soit, 20 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Le Tribulus terrestris
Dans une étude, des hommes en bonne santé ont reçu 750 mg de Tribulus terrestris quotidiennement pendant 5 jours. Leurs niveaux d'hormone lutéinisante (LH) ont augmenté de 72% et ceux de testostérone de 40%. Produite par les glandes surrénales chez les hommes comme chez les femmes, la testostérone est une importante hormone anabolisante anti-stress. Elle accélère la croissance dans les tissus, stimule le flux sanguin et affecte un grand nombred'activités métaboliques.
INGRÉDIENTS :
Pour 1 gélule : 470 mg d'extrait sec de fruit de tribule terrestre (Tribulus terrestris L.) titré à 40 % min. en saponines (soit 188 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et adolescents, ou en cas de traitement anti-hypertenseur ou antidiabétique est déconseillé. Ne pas dépasser de la dose journalière recommandée.
Ashwagandha
L'Ashwagandha est une plante originaire de l'Inde particulièrement utile dans le traitement de la fatigue surrénale. Elle est également considérée comme une substance adaptogène qui normalise les fonctions de l'organisme et l'aide à s'adapter à toute une série de situations stressantes. Des études ont montré que l'Ashwagandha est capable de normaliser les niveaux de cortisol. Ses propriétés anti-inflammatoires permettent de traiter les inflammations des articulations ou les douleurs rhumatismales que l'on voit couramment chez les sujets souffrant de fatigue surrénale.
INGRÉDIENTS :
Pour 2 gélules : 800 mg d’extrait sec de racine d’ashwagandha (Withania somnifera (L.) Dunal) titré à 5% en withanolides (soit 40 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d’eau, deux heures avant le coucher.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Le griffonia simplicifolia
Le Griffonia simplicifolia est une plante africaine dont les graines sont naturellement riches en L-5-HTP (Hydroxytriptophane), précurseur direct de la sérotonine, l'un des principaux neurotransmetteurs du cerveau. La sérotonine intervient dans le sommeil ainsi que dans la gestion du stress. Le Griffonia est donc une réponse naturelle extrêmement efficace pour aider à retrouver calme, sérénité et qualité du sommeil.
Le L-5-HTP présent dans le Griffonia simplicifolia ne présente pas les effets secondaires des anti-dépresseurs de synthèse ni de risque d'accoutumance. Il permet de réduire les états anxieux et dépressifs sans aucune violence faite au fonctionnement naturel du cerveau, contrairement aux anti-depresseurs de synthèse.
INGRÉDIENTS :
Pour 3 gélules : 510 mg d'extrait sec de graines de griffonia (Griffonia simplicifolia (DC.) Baill.), titré à 30% min en L-5-HTP (soit 153 mg)
CONSEILS D'UTILISATION :
3 gélules par jour, à répartir en 3 prises, avec un demi-verre d'eau avant des repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Le Rhodiola rosea
Le Rhodiola rosea répond à la fatigue intellectuelle et physique; il restaure votre vivacité cérébrale et votre dynamisme naturel. Aussi appelée ”racine d'Or” - pousse dans les régions très froide de notre planète. Il était utilisé par les Vikings, Inuits et en Sibérie pour leur donner force et courage. Doté de solides capacités régénératrices sur la santé; les propriétés de régulation et d'adaptation à la fatigue intellectuelle font du Rhodiola – titré à 5% en Rosavines – un composant de choix.
Le Rhodiola rosea est une plante adaptogène : une substance naturelle complexe et rare qui permet à l’organisme de s’adapter aux différents stress de l’organisme, quel que soit leurs origines. Les plantes adaptogènes, apportent une réponse fonctionnelle et variable à l’individu; ils tendent à accroître les capacités homéostatiques de l’organisme.
INGRÉDIENTS :
Pour 1 gélule : 400 mg d'extrait sec de racine d'orpin rose (Rhodiola rosea L.) titré à 5% en rosavines (soit 20 mg)
CONSEILS D'UTILISATION :
1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Le magnésium marin
En France, près d'une femme sur 4 et un homme sur 6 manquent de magnesium.
Le magnésium est essentiel à de nombreuses fonctions de l'organisme. Présent dans toutes les cellules de l’organisme (au total, le corps d’un adulte a environ 25 g de ce mineral), il participe entre autres à plus de 300 réactions enzymatiques. Il est notamment indispensable au maintien de l'équilibre nerveux et musculaire.
L'organisme n'ayant pas de réserves en magnésium, il lui faut un apport quotidien et régulier pour répondre à ses besoins. La carence en magnésium conduit habituellement à des états de fatigue et de stress. Un apport ajusté en magnésium apporte donc détente, sérénité et énergie. Il est particulièrement indiqué aux sportifs qui de par l’exercice physique ont une grande déperdition de magnésium à l’effort.
INGRÉDIENTS :
Pour 2 gélules : 600 mg de magnésium marin (óxyde de magnésium, sulfates, oxyde de calcium, chlore et fer) titré à 58.8% en magnésium élément (soit 352.8 mg) (94% VNR*)
*VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.
CONSEILS D'UTILISATION :
2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
D'autres suppléments nutritionnels sont utiles à la santé des glandes surrénales et/ou pour s'opposer à une surproduction de cortisol.
La prégnénolone est convertie en hormones anti-âge comme la DHEA, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone.
INGRÉDIENTS :
- DHEA 10 mg: Pour 1 gélule 10 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
- DHEA 25 mg: Pour 1 gélule 25 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
- DHEA 50 mg: Pour 1 gélule 50 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
CONSEILS D'UTILISATION :
1 à 2 gélules par jour, à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas. Utiliser de préférence le matin.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Ne pas utiliser en cas de grossesse ou d'allaitement, ainsi qu'en cas de cancer du sein, des ovaires ou de la prostate.
Des supplémentations en prégnénolone peuvent aider à rectifier le déséquilibre hormonal produit par l'insuffisance surrénale liée à l'âge.
Elles peuvent également s'opposer à une surproduction de cortisol tout comme peut le faire la vitamine C.
INGRÉDIENTS :
Pour un comprimé (2265 mg) : 1000 mg d'extrait sec d'acérola (issue de l'agriculture biologique) (Malpighia punicifolia L.) titré à 17% en vitamine C (Acide L-Ascorbique) (soit 170 mg de vitamine C) (212.5% VNR*).
*VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.
CONSEILS D'UTILISATION :
1 comprimé par jour à croquer ou à sucer.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
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L'anti-inflammatoire naturel qui soulage efficacement les douleurs articulaires
- Par vogot
- Le 06/10/2017
Les traités de médecine ayurvédique accordent une large place à la résine de boswellia qui est utilisée seule (sous le nom de Salai guggul) ou en complexe associée à d’autres plantes indiennes. Les praticiens la recommandent pour le traitement des douleurs rhumatismales, de l’inflammation du tube digestif et des voies respiratoires. En usage externe, le Salai guggul est prescrit pour les problèmes d’acné, les infections fongiques et les furoncles. On utilise également les fumigations à base de cette résine pour purifier les vêtements, les maisons et les cheveux.
Le boswellia serrata est utilisé dans diverses préparations en cosmétologie et en phytothérapie. Seul ou associé à d'autres plantes, il permet de soulager certains symptômes. À titre individuel, il est surtout utilisé pour ses propriétés anti-inflammatoires.
Je vais vous faire découvrir les propriétés du boswellia ainsi que les précautions d'emploi à observer avant utilisation.
Boswellia serrata : propriétés
Le boswellia ou boswellie est riche en acide boswellique. Grâce à ses principes actifs, le boswellia serrata se révèle un excellent anti-inflammatoire. Ainsi, il est utilisé depuis longtemps en médecine ayurvédique, mais aussi en phytothérapie pour soulager les douleurs dues :
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aux rhumatismes ;
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à l'arthrite ;
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à la polyarthrite rhumatoïde ;
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à l'arthrose ;
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à certaines pathologies des voies respiratoires telles que l'asthme ;
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aux maladies inflammatoires intestinales comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif, ou la maladie cœliaque due à l'intolérance au gluten.
Le pouvoir anti-inflammatoire du boswellia serrata est réputé pour être plus important que celui des AINS (Anti-inflammatoires non stéroïdiens) chimiques.
Mais le boswellia est aussi reconnu pour son action sur :
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le diabète ;
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les maladies cardiovasculaires ;
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la dysenterie ;
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les troubles neurologiques.
Pour amplifier l'action du boswellia, n'hésitez pas à l'associer à la curcumine présente dans le curcuma.
Bon à savoir : des recherches scientifiques sont menées sur les propriétés anticancéreuses du boswellia et sur les effets de l'acide boswellique en cas de chimiothérapie.
Boswellia serrata : effets secondaires et précautions d'emploi
Attention : la résine de Boswellia est à proscrire chez la femme enceinte, car elle peut entraîner un avortement spontané.
En dehors d'un état de grossesse qui interdit l'usage du Boswellia serrata, quelques effets secondaires ont pu être constatés sur des cas isolés. Il peut s'agir :
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d'une légère allergie cutanée ;
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d'un malaise gastro-intestinal sans gravité.
À ce jour, il n'a pas été relevé de risques d'interactions avec des suppléments alimentaires ou d'autres produits de phytothérapie. De même, aucune contre-indication n'est pour l'heure reconnue, en dehors des risques d'avortement spontané.
En aucun cas le boswellia serrata, comme toute plante médicinale d'ailleurs, ne doit être utilisé en remplacement d'un traitement médicamenteux prescrit par un professionnel de la santé, sauf avis contraire.
Au moindre doute, il est vivement recommandé de demander conseil à votre thérapeute. Il est aussi très important de n'acheter que des produits à base de boswellia d'excellente qualité. L'idéal est de se procurer ce type de produit titré à 80 % en acide boswellique biologique, sous forme de gélules uniquement.
Bon à savoir : certaines préparations cosmétiques, ainsi que des pommades analgésiques peuvent contenir des extraits de boswellia.
Les personnes ayant déjà constaté une réaction gastro-intestinale ou cutanée suite à une prise de boswellia doivent demander conseil à leur thérapeute.
Soulager les douleurs articulaires
De plus en plus fréquentes avec l’âge, les douleurs articulaires affectent le quotidien de nombreuses personnes à travers le monde.
Heureusement, plusieurs groupes de recherche travaillent sur le sujet pour proposer des remèdes efficaces contre ces douleurs. Parue en 2016 dans la revue European Journal of Biomedical and Pharmaceutical Sciences, une étude pourrait bien améliorer le confort articulaire de plusieurs milliers de personnes grâce à l’utilisation du Boswellia serrata.
Des effets positifs lors de douleurs articulaires aux genoux
L’étude a été menée sur huit semaines auprès de plusieurs adultes japonais, se plaignant de douleurs articulaires au genou. Les chercheurs ont comparé l’effet d’un traitement à base d’un extrait de la plante Boswellia serrata face à un traitement allopathique. Pour cela, ils ont utilisé différentes mesures standardisées.
Ces analyses permettent de suivre la douleur perçue par le sujet et d’évaluer l’efficacité du traitement. A l’issue de l’étude, le traitement à base de Boswellia serrata a révélé des scores positifs en comparaison au traitement médicamenteux. Cette plante médicinale pourrait ainsi être un atout non négligeable pour diminuer les douleurs articulaires au niveau des genoux.
L’action bénéfique du Boswellia serrata
Pour mieux comprendre l’action de cette plante médicinale, les chercheurs ont également mené d’autres analyses. Ils ont par exemple mesuré les taux en protéine C réactive et en acide hyaluronique dans le sérum des patients. En effet, les taux de ces molécules dans le sérum sont généralement plus élevées lors de douleurs articulaires. Cela s’explique notamment par la dégradation de l’acide hyaluronique qui est naturellement présent dans le fluide synovial pour protéger le cartilage articulaire. Sous l’action de l’enzyme hyaluronidase, l’acide hyaluronique est dégradée et se retrouve en plus grande quantité dans le sérum. De plus, l’acide hyaluronique ne peut plus jouer son rôle protecteur au niveau des articulations, d’où l’apparition de douleurs persistantes. Suite aux travaux des chercheurs, le Boswellia serrata lutte contre ce phénomène en limitant la dégradation d’acide hyaluronique au sein des articulations.
Le Boswellia est en quelque sorte un AINS naturel bien toléré. En réduisant l’inflammation, l’extrait de Boswellia réduit le gonflement, la douleur et la raideur lors de la mise en route matinale. Il est non seulement efficace au cours de l’arthrose quelle que soit sa localisation, mais aussi dans la polyarthrite rhumatoïde.
Dans un cas comme dans l’autre, il permet la réduction significative des médicaments allopathiques. Et dans un certain nombre de cas, il va jusqu’à les remplacer totalement, selon avis thérapeutique.
Cet effet est d’autant plus net que l’extrait de Boswellia est pris régulièrement, en tant que traitement de fond plutôt que comme traitement des crises.
Au niveau intestinal
Tout d’abord au cours des maladies intestinales chroniques inflammatoires (MICI). De toutes les utilisations du Boswellia Serrata, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif (A.I.E.) ou intestin poreux devrait figurer en haut de liste avec la sphère respiratoire. Car son action anti-inflammatoire est très efficace mais surtout n’a pas les effets secondaires de certains AINS. Il est conseillé de faire une cure d’au moins 21 à 45 jours de boswellia avant d’y d’ajouter des probiotiques.
Il faut citer aussi une nouvelle découverte très prometteuse concernant l’utilisation du Boswellia : l’hypertrophie bénigne de la prostate et des prostatites d’une manière générale.
Asthme : 70 % de rémission
Puisque les leucotriènes interviennent spécifiquement dans la bronchoconstriction, des chercheurs ont eu l’idée d’étudier les propriétés du boswellia dans les pathologies respiratoirestelles que l’asthme. Au cours d’un essai clinique mené par l’équipe du Dr Gupta de la Faculté de médecine de Los Angeles, les chercheurs ont constaté une nette amélioration des symptômes de l’asthme chez les patients traités par le Boswellia serrata. Les trois quarts d’entre eux ont vu disparaître ce que l’on appelle « le ronchu », qui est le râle caractéristique de la difficulté à respirer lors d’une crise.
Le volume respiratoire s’est nettement amélioré, le nombre de crises s’est espacé dans le temps et leur intensité a diminué de façon significative. Après six semaines d’un traitement aux acides boswelliques, la rémission de l’asthme a été constatée pour 70 % des patients, dont aucun n’a reçu d’autre traitement médical.
Le Boswellia serrata recèle donc de multiples propriétés thérapeutiques encore trop mal exploitées aujourd’hui très utiles au quotidien.
Les Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La cause principale de cette maladie est le tabagisme. Au niveau respiratoire, la BPCO est caractérisée par une obstruction lente et progressive des voies aériennes et des poumons. Elle diminue la capacité respiratoire de façon souvent irréversible.
Il s'agit principalement de la bronchite chronique et de l'emphysème.
Le boswellia, diminue de façon sensible ces troubles, en apportant une amélioration au niveau de l’essoufflement et de la gène respiratoire, il peut être une aide non négligeable pour ces personnes. Néanmoins il sera nécessaire de prendre des doses continues à raison de 6 fois 300mg par jour.
INGRÉDIENTS :
Pour 3 gélules : 900 mg d'extrait sec de gomme-résine de boswellia (Boswellia serrata Roxb. ex Colebr.) titré à 80 % en acide boswellique (soit 720 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
3 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Autant dire que cette plante médicinale pourrait rapidement devenir un allié précieux comme anti-inflammatoire et pour soulager les douleurs articulaires !
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La protodioscine influence positivement les paramètres de la sexualité
- Par vogot
- Le 05/10/2017
Le tribulus terrestris
Il s'agit d'une herbe mesurant de 30 à 100 cm de long. Son nom vient du grec tribolos qui désigne un fruit épineux à trois pics (alors que le fruit du tribulus en a 5).
Pousse au soleil en zone sèche, on trouve le tribulus dans le sud ouest de l'Europe, en Asie, aux USA depuis peu, dans le nord de l'Afrique et jusqu'au Sénégal.
La protodioscine, le composant le plus actif
Les substances actives du tribulus sont la saponine et la protodioscine (un cousin de la DHEA - dehydroépiandrostérone).Ces deux composés ont une structure moléculaire lui attribuant une activité biologique unique. Outre ces deux constituants, des phytostérols dont le bêta-sitostérol font aussi office de principes actifs présents dans la plante. De ce fait, l’action du Tribulus terrestris est semblable à celle d’une hormone stéroïde.
Le tribulus influence l’érection mieux que la testostérone elle-même, grâce à la protodioscine.
Traditions et usages
Le Tribulus terrestris est utilisé depuis des siècles comme plante médicinale dans les médecines chinoise et ayurvédique et, peut-être, même en Europe depuis presque aussi longtemps.
Dans la tradition chinoise, le Tribulus trouve sa place dans le traitement de problèmes comme une irritation de la peau, une production insuffisante de lait, des démangeaisons oculaires ou des troubles du système urinaire ou reproducteur de l'homme comme de la femme.
En Inde, il est apprécié comme aphrodisiaque et pour ses effets bénéfiques sur le système urinaire. Il est également considéré comme un tonique et, dans une étude, entrant dans une préparation ayurvédique, le Tribulus a été utilisé pour traiter 50 patients se plaignant de léthargie, de fatigue et de manque d'intérêt pour les activités quotidiennes. Les résultats ont montré une amélioration globale de ces symptômes de 45 %.
Le Tribulus terrestris est utilisé pour traiter les problèmes sexuels des femmes et des hommes. Son efficacité à augmenter les niveaux de testostérone, à renforcer la qualité et la motilité des spermatozoïdes ainsi qu'à augmenter la libido et les performances sexuelles a fait l'objet de nombreuses études chez l'être humain. Il doit ses effets bénéfiques essentiellement à la protodioscine, l'un de ses principes actifs.
Le Tribulus terrestris contient :
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des stéroïdes saponines de type furostanol comme la dioscine, la diosgénine et la protodioscine. Cette dernière est considérée comme ayant la plus forte activité biologique ; le Tribulus terrestris lui doit probablement la majeure partie de son efficacité, notamment, celle d'augmenter les niveaux de testostérone et d'améliorer la fertilité;
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des phytostérols comme les bêta-sitostérols, importants pour la bonne santé de la prostate.
Les indications :
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Amélioration de la fertilité.
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Traitement les dysfonctions sexuelles (homme et femme).
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Ralentissement de la chute des cheveux due à la testostérone
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Régulation des troubles du système cardiovasculaire.
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Augmentation des performances sexuelles et sportives.
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Traitement des troubles du système urinaire
Augmente les niveaux de testostérone
Dans le milieu des années 1970, des chercheurs d'un institut de recherche de Sofia en Bulgarie ont démontré que le Tribulus augmentait indirectement les niveaux de testo-stérone en élevant ceux d'une autre hormone, l'hormone lutéinisante (LH). Celle-ci est produite par la glande pituitaire et joue un rôle de régulation de la production de la testostérone.
250 mg d'un extrait de Tribulus terrestris ont été donnés trois fois par jours à 8 femmes et 8 hommes apparemment en bonne santé.
Les résultats ont montré :
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des niveaux de testostérone trois fois plus élevés chez les hommes ;
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des niveaux d'estradiol multipliés par 5 chez les hommes. Ils ont beaucoup moins augmenté chez les femmes mais la différence était toutefois significative ;
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l'hormone lutéinisante (LH) avait augmenté de façon substantielle chez les femmes et les hommes ;
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l'hormone stimulant le follicule (la FSH) s'était élevée de façon importante chez les femmes.
La supplémentation ne semble pas avoir perturbé le mécanisme normal de régulation hormonal et les niveaux des hormones étudiées ne pas avoir dépassé des niveaux physiologiques. Lorsqu'au début de l'étude les niveaux de testostérone sérique étaient en dessous de la normale, la supplémentation les a ramenés à des niveaux physiologiques. Par contre, chez les sujets ayant des niveaux initiaux normaux, le traitement n'a provoqué aucun changement.
Stimule la libido
Le Tribulus terrestris agit en relâchant les muscles lisses et en augmentant le flux sanguin dans le corps caverneux. Le corps caverneux est une boule spongieuse constituée de tout petits nerfs entourés de vaisseaux sanguins. Le corps caverneux devient actif lorsqu'il est gorgé de sang au cours de l'excitation sexuelle. Sa stimulation est dépendante de la relaxation des muscles génitaux. L'oxyde nitrique et son métabolite, le GMP cyclique, jouent un rôle prédominant dans la relaxation des muscles génitaux et, par suite, dans l'augmentation du flux sanguin vers le corps caverneux.
L'effet relaxant du Tribulus terrestris, observé, est dû à une libération d'oxyde nitrique par les terminaisons nerveuses. Le Tribulus est un aphrodisiaque efficace. Le comportement sexuel et la pression intracaverneuse (flux sanguin à l'intérieur du corps caverneux) ont été étudiés pour comprendre de quelle manière le Tribulus stimule l'excitation sexuelle.Le poids de la prostate et la pression intracaverneuse ont augmenté. Le comportement sexuel était légèrement à modérément amélioré, les preuves étaient apportées par une augmentation de la fréquence des rapports sexuels. Les chercheurs en ont conclu que l'extrait de Tribulus semblait posséder une action aphrodisiaque probablement due à sa capacité à augmenter les niveaux de testostérone.
Dans le cadre d'une étude ouverte, lorsque l'on donne 750 mg par jour d'un extrait de Tribulus terrestris à 212 patients avec une libido diminuée, 85 % d'entre eux constatent une augmentation de leur désir sexuel au bout de 30 jours et 94 % après 60 jours. 1 500 mg quotidiens d'un extrait de Tribulus terrestris ont considérablement amélioré en 30 jours la libido affaiblie de 12 sujets. Dans une autre étude, des résultats similaires sont obtenus chez 27 sujets d'un groupe de 36 patients avec une prostatite chronique et une libido diminuée.
Améliore la fertilité de l'homme
Le Tribulus favorise une amélioration de la motilité des spermatozoïdes, renforçant ainsi la fertilité. Une étude en double aveugle contrôlée contre placebo a été conduite en Indonésie sur 30 sujets. Ils ont reçu pendant 60 jours 500 mg de Tribulus trois fois par jour ou un placebo. Le volume d'éjaculation, la concentration en spermatozoïdes et d'autres paramètres ont été évalués avant et après la supplémentation.
Dans le groupe traité, le pourcentage de spermatozoïdes avec une réaction normale de l'acrosome (partie antérieure du spermatozoïde qui pénètre dans l'ovule) a augmenté, de même que celui de spermatozoïdes sans motilité a diminué. Les sujets prenant du Tribulus terrestris ont également ressenti une augmentation de leur désir sexuel et ont eu des rapports plus fréquents. Aucun effet secondaire n'a été rapporté. Les scientifiques en ont conclu que la prise de 500 mg de Tribulus terrestris trois fois par jour pendant deux mois restaurait efficacement les fonctions des spermatozoïdes telles que la motilité.
Chez des hommes auxquels des varicocèles avaient été enlevées chirurgicalement, 90 jours de traitement avec 1 500 mg d'un extrait de Tribulus terrestris ou 60 jours avec 750 mg ont également amélioré de façon significative la motilité des spermatozoïdes. Chez les sujets prenant la plus forte dose, une augmentation du volume d'éjaculation a également été observée. Chez des hommes avec une oligospermie modérée à sévère, une supplémentation de 60 jours avec 1500 mg quotidiens d'un extrait de Tribulus terrestris a augmenté le volume d'éjaculation, le nombre et la motilité des spermatozoïdes.
Stimule la fertilité de la femme
Dans une étude ouverte, un groupe de 36 femmes avec un cycle menstruel dépourvu d'ovulation a reçu quotidiennement 750 à 1 500 mg d'un extrait de Tribulus terrestris entre les 5e et 14e jours de leur cycle. Le traitement a normalisé l'ovulation chez 67% des femmes traitées et des grossesses se sont produites chez 6% d'entre elles. Dans un groupe parallèle de 62 femmes testant un médicament ciblant le même problème d'absence d'ovulation, 39% d'entre elles ont vu leur ovulation se normaliser et sont devenues enceintes et 35% ont normalisé leur ovulation sans être enceintes. Il est clair que l'effet du Tribulus est plus modéré que celui du médicament.
Cependant, il n'a provoqué aucun effet secondaire indésirable alors que le médicament en a causé chez 38 % des sujets.
Soulage les symptômes liés à la ménopause
Dans la même étude, 50 femmes d'un autre groupe - 26 naturellement ménopausées et 24 à la suite de l'ablation des ovaires - ont reçu 500 à 750 mg d'un extrait standardisé de Tribulus terrestris, en traitement d'entretien après des doses plus élevées. Le protocole de cette étude était croisé, chaque femme prenant tour à tour l'extrait ou le placebo de telle sorte qu'à la fin de l'étude les 50 femmes avaient expérimenté les deux traitements.
Toutes les femmes de ce groupe d'étude souffraient des symptômes classiques de la ménopause, incluant bouffées de chaleur, suées, dépression, hyperexcitabilité, insomnies, anxiété, modification de la pression sanguine et de l'électrocardiogramme ainsi que des problèmes de libido chez la majeure partie d'entre elles.
Le Tribulus terrestris a apporté des améliorations tangibles chez 98 % des femmes alors que le placebo n'apportait aucun soulagement.
Pour les sportifs: les preuves réalisables sur vous-même
Pour avoir des résultats palpables avec la prise de Tribulus terrestris, il faut respecter exactement sa posologie quotidienne.
Plus précisément, la dose normale est de 750 à 1500 mg par jour réparties sur deux prises. La première ingestion devra se faire le matin, juste avant le petit déjeuner et la deuxième sera effectuée une heure avant les entraînements.
Pendant la période de cure, évitez de prendre du Tribulus terrestris durant les jours sans exercices. Cette cure doit durer au maximum huit semaines pour être effective et ne peut être continuée ou reprise qu’après trente jours.
Etant donné que la prise de masse chez les hommes dépend d’un bon niveau du taux de testostérone, une vérification de votre taux de testostérone est nécessaire avant de vous lancer.
Effectivement, si vous souffrez d'un faible taux de cette hormone, vos entraînements ne donneront que peu (ou pas) de résultats. D'où l'intérêt d'utiliser le Tribulus terrestris.
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INGRÉDIENTS :
Pour 1 gélule : 470 mg d'extrait sec de fruit de tribule terrestre (Tribulus terrestris L.) titré à 40 % min. en saponines (soit 188 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
1 à 2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas. Demandez conseil à votre thérapeute.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et adolescents, ou en cas de traitement anti-hypertenseur ou antidiabétique est déconseillé. Ne pas dépasser de la dose journalière recommandée.
Attention: Le tribulus décuple la sécrétion 100% naturelle de testostérone et donc la libido. Pourtant, tous les Tribulus n’ont pas les mêmes capacités : plusieurs variétés de Tribulus sont pratiquement inefficaces.