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Blé moderne et alimentation, attention danger
- Par vogot
- Le 09/02/2021
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Supprimer la consommation de blé moderne?!?!
Paracelse, médecin et alchimiste suisse du XVI siècle, disait, en son temps «Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison»
A son époque, les aliments étaient sains. Il n'existait pas, encore, de produits phytosanitaires, ni de laboratoires et encore moins d'instituts de recherches agro-alimentaires.
Si aucun aliment n’est mauvais en soi et que son abus est néfaste à notre santé, malgré tout, je vais vous expliquer pourquoi il est important pour votre santé de limiter, voir de supprimer définitivement, la consommation du blé moderne, je dis bien, supprimer!
Évidemment, les grincheux vous diront que le gluten est essentiel dans votre alimentation, qu'il a des propriétés, des bienfaits, etc, etc...
Le gluten, qu'est-ce?
Dans les articles Sensibilité au gluten, ce n'est plus un mythe, GLUTEN, 14 signes cachés, je décrivais ce que représentait, actuellement le blé. Il comporte un certain nombre de constituants dont le fameux gluten. Gliadine, alpha-gliadine, zénine, aveline, panicine, sécaline, prolamine sont en quelques sortes des sous unités du gluten et ce sont elles qui sont souvent la cause d’allergies ou d’intolérance au gluten. Le raffinage des céréales accentue encore les réactions allergiques. On trouve du gluten dans un certain nombre de céréales, le blé, l’épeautre, le seigle, l’avoine, l’orge et le kamut. On trouve également du gluten dans de nombreux additifs alimentaires. Il est beaucoup trop présent dans la ration quotidienne de la plupart des consommateurs.
Le latin afin de mieux cerner
Le mot gluten signifie en latin «colle, glu ou encore gomme». C’est en effet une matière collante qui est utile dans la panification du pain, c’est elle qui le fait gonfler, qui lui donne de la consistance et qui lui confère son élasticité. Il se trouve que du gluten est souvent rajouté à la farine pour faciliter le travail du boulanger. Qui n’a pas fabriqué de la colle maison avec de la farine lorsqu’il était petit … Les importations de gluten en France ont augmenté de façon vertigineuse en un temps record.
Pourquoi devient-on sensible au blé moderne?
Pour des questions de rendement, le génome du blé a été modifié depuis quelques dizaines d’années, à l’aide de manipulations génétiques. Résultat, le blé d’aujourd’hui comprend 42 chromosomes, contre 14 à l’origine. C’est-à-dire que le patrimoine génétique du blé a été multiplié par trois de façon totalement artificielle. Je vous laisse imaginer ce que cela aurait comme conséquence sur l’homme si on procédait à de telles manipulations quand on voit déjà ce qu’il se passe quand il y a un chromosome en plus …
Quelles sont les conséquences sur la santé?
Le blé a été tellement transformé que notre organisme ne le reconnaît plus et devient donc allergisant ou intolérant. On imagine, aisément, les répercussions que cette substance collante peut avoir sur notre muqueuse intestinale, lorsqu’elle est absorbée de façon massive.
Vous trouverez de surcroît du gluten partout dans l’alimentation. Il provoque l’encrassement de l’organisme, on dit qu’il est muco-producteur, c’est-à-dire qu’il favorise les glaires, la toux grasse ou encore l‘acné, autrement dit "les colles", mot cher aux naturopathes. Par ailleurs, cela entraîne aussi une digestion plus difficile et donc une baisse d’énergie et des ballonnements.
En période de virus, est-ce réellement un plus pour votre organisme? J'en doute fortement.
Nos ancêtres n’étaient donc pas concernés, comme nous le sommes, par toutes ces maladies qui ont comme origine un intestin irritable ou poreux.
En revanche aujourd’hui l’abus de gluten favorise grandement les maladies inflammatoires qui prennent naissance à cause d’une hyper-perméabilité intestinale. On peut citer bien sûr les maladies digestives comme le côlon irritable, la maladie de Crohn, la candidose mais aussi l’eczéma, l’acné, le psoriasis, l’arthrose, l’autisme, la spondylarthrite ankylosante ou encore la fibromyalgie…
Et le cerveau dans tout ça …
Cela n’est plus un secret pour personne. Le cerveau et les intestins sont reliés par le nerf vague, ensemble de connexions neuronales qui sert de moyen de communication entre ces deux organes. Environ 80 % des informations vont dans le sens ascendant c’est-à-dire des intestins vers le cerveau. On peut donc en déduire que si les intestins sont englués par trop de gluten, le cerveau le sera aussi.
Quelle est donc la bonne attitude
Face aux nombreuses répercussions sur la santé, encore une fois retrouvons du bon sens. Si on consomme du gluten de temps en temps, l’organisme saura gérer tant bien que mal, sauf si bien sûr on est intolérant (maladie cœliaque).
En revanche si au quotidien nous absorbons du gluten en masse, l’inflammation pointera son nez avec son cortège d’ennuis. Cuisiner soi-même des produits frais est un préalable incontournable pour éviter les nombreux additifs à base de gluten.
Préférer des céréales complètes et variez avec les céréales ou pseudo-céréales sans gluten. Sarrasin, fonio, amarante, quinoa, sorgho, riz complet, tapioca sauront régaler vos papilles par leurs saveurs variées.
Par ailleurs ces céréales sont en général riches en acides aminés essentiels, en fibres et en minéraux. Vous pouvez les trouver sous forme de farine, semoule, graines et parfois pâtes. Le petit épeautre qui ne contient que 12 à 14 % d’alphagliadine est une céréale que je conseille sous certaines conditions car elle est assez proche en goût du blé et n’a pas été mutée, elle est souvent très bien tolérée.
Si pour le moment, vous ne pouvez vous en passer, il est essentiel de consommer du pain au levain. La fabrication au levain est ancestrale, elle est plus longue qu’avec de la levure et permet donc aux levures et aux bactéries de prendre le temps de digérer une partie du gluten contenu dans la farine, même si ce n'est pas la panacée.
Une dernière précaution
Je vous conseille de bien lire les étiquettes, de nombreux produits dits «sans gluten» sont constitués de farines de riz blanc et de maïs.
Ces deux céréales ont un index glycémique élevé et entraînent une absorption rapide du sucre dans le sang. Le sucre contenu dans ces aliments est donc rapidement assimilable et favorise à terme les mêmes problèmes de santé.
Pour les gourmands
Voici quelques recettes que j'ai perfectionnées et que j'utilise.
Pour la petite info, je fabrique moi-même les farines avec un moulin à café.
Cookies au chocolat sans gluten, ni lactose.
Pain brioché sans gluten, ni lactose.
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Maladies auto-immunes et lupus
- Par vogot
- Le 14/08/2020
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Les maladies auto-immunes représentent aujourd’hui la 3e cause de morbidité après les affections cardio-vasculaires et les cancers.
Ces maladies résultent d’un dérèglement du système immunitaire qui va attaquer l’organisme de l’intérieur comme s’il s’agissait d’un corps étranger.
Elles sont en recrudescence et on en parle de plus en plus. C’est un fait inquiétant, mais révélateur du fait qu’elles s’installent malheureusement de plus en plus dans notre paysage santé et bien-être.
Comprendre la maladie auto-immune
Les maladies auto–immunes résultent d’un dysfonctionnement du système immunitaire qui va alors s’attaquer aux constituants normaux de l’organisme.
Il existe deux types de maladies auto-immunes :
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systémiques
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spécifiques d’organes et parmi elles :
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Lupus érythémateux disséminé
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Polymyosite
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Sclérodermie
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Artérite temporale
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Syndrome de Sharp
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Polyarthrite rhumatoïde
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Syndrome de CREST
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Thyroïdite de Hashimoto
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Maladie de Basedow
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Diabète de type 1
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Maladie d’Addison
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Anémie hémolytique
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Hépatite auto-immune
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Gastrite de type 1 et Anémie de Biermer
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Myasthénie
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Pemphigus
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Syndrome de Gougerot-Sjögren
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Maladie Coeliaque
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Maladie de Biermer
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Syndrome de Goodpasture
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Cirrhose biliaire primitive
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Dermatite herpétiforme
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Maladie de Wegener
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Vitiligo
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Maladie de Crohn
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Rectocolite hémorragique
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Cystite interstitielle
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Maladie de Behçet
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Neuromyotonie
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Psoriasis
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Sclérose en plaque
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Eczéma
Parmi cette liste, certaines sont plus courantes que d’autres.
Une même maladie auto-immune peut attaquer différents organes
En effet, le syndrome de Gougerot-Sjögren qui est une maladie auto-immune qui s’attaque aux glandes qui produisent des sécrétions (lacrymales, salivaires, sébacées) peut également toucher les articulations, les reins, les poumons, etc. Deux mêmes personnes peuvent avoir des symptômes complètement différents, tout en ayant la même maladie.
Bien qu’une maladie auto-immune touche le système immunitaire, elle s’exprime sous différentes formes.
L’évolution de la maladie est très complexe. Elle dépendra de l’individu, de sa génétique, mais aussi par son comportement selon les organes visés, son environnement et surtout son alimentation, principe qui ne peut plus être mis en doute.
La médecine allopathique dans l’impasse
Les solutions que propose la médecine allopathique n’ont pas toujours les effets escomptés et les effets secondaires sont inquiétants.
La naturopathie aurait à l’inverse des pistes.
Le système immunitaire défend notre corps contre les infections et les cellules cancéreuses. Cette défense peut être défectueuse par insuffisance, à un ou plusieurs niveaux, de son fonctionnement. On parle alors de déficit immunologique.
Elle peut aussi être défectueuse par excès : le système immunitaire s’attaque aux cellules ou constituants de notre propre corps. Il s’agit alors de maladies auto-immunes.
Un système immunitaire défaillant peut en être la cause
Normalement, le système immunitaire reconnaît les constituants de l’organisme dans lequel il exerce ses fonctions et ne l’attaque pas. Lorsque il se dérègle par excès, il y a production d’auto-anticorps dirigés contre l’organisme auquel il appartient, provoquant l’apparition de maladies auto-immunes.
Parmi les autres causes probables: médicaments et vaccins, mais également alimentation déséquilibrée, ou mal associée.
Origines multiples
Elles peuvent être provoquées par certains médicaments qui dérèglent le système immunitaire.
Elles peuvent aussi être induites par les vaccinations massives.
Autre paramètre à prendre en considération: l’alimentation.
Notre mode de nutrition actuel favorise en effet une perméabilité anormale de l’intestin grêle et la formation de déchets alimentaires et bactériens dangereux qui, en franchissant les « mailles élargies » de la muqueuse intestinale, comme les LGS (Leaky gut syndrome), peuvent provoquer des réactions immunologiques néfastes.
On distingue deux types de maladies auto-immunes
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Les Maladies auto-immunes spécifiques d’organes
Le diabète insulino-dépendant. Il est causé par un dérèglement du système immunitaire. Et s’attaque aux cellules pancréatiques qui fabriquent l’insuline.
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La thyroïdite d’Haschimoto: La glande thyroïde ainsi que les glandes surrénales peuvent être atteintes de la même façon ainsi que les surrénales.
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Ménopause précoce: Ce sont les ovaires qui sont atteints.
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Stérilité: Le dérèglement touche les testicules.
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Maladies sanguines auto-immunes: Ces maladies détruisent les globules rouges, les globules blancs ou les plaquettes.
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Certaines maladies neurologiques (comme la sclérose en plaques), respiratoires, rénales, cutanées et digestives (maladie de Crohn, recto-colite hémorragique) sont également dues à un dérèglement du système immunitaire.
2. les maladies auto-immunes non spécifiques d’organes
Ces maladies auto-immunes systémiques touchent plusieurs parties du corps.
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L’arthrite rhumatoïde: Atteinte des principales articulations.
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Le syndrome de Sjögren: Atteinte des glandes salivaires, lacrymales et vaginales.
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Les polymyosites. Atteinte des muscles.
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La sclérodermie: Atteinte de la peau et des tissus conjonctifs.
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Le lupus érythémateux disséminé: Ce cas est encore plus typique car la maladie touche les articulations, la peau, les vaisseaux, les reins, les poumons, le cœur et le tube digestif.
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Le lupus érythémateux fixe: Ce lupus cutané est une maladie cutanée bénigne, elle se soigne plutôt facilement. Quant au lupus systémique ou érythémateux disséminé (LS, LEAD), c’est une maladie malheureusement complexe et imprévisible qui peut disparaître ou récidiver d’un seul coup.
Lupus érythémateux
L’allopathique n’a aucun moyen réellement efficace pour le soigner définitivement, les traitements médicamenteux actuels permettent uniquement d’empêcher “l’explosion” des symptômes, de les contenir.
Néanmoins, à la longue, le lupus érythémateux peut entraîner une dégénérescence progressive de l’état général qui peut indirectement conduire, lorsqu’un organe vital est fortement touché, dans certains cas à la mort.
Les solutions qui vous sont proposées ici concernent les deux formes de lupus érythémateux.
Si vos traitements médicaux sont sans effet, cela vaut la peine d’essayer alors des méthodes naturelles.
Le lupus en général signifie que le système immunitaire va attaquer vos propres tissus.
Cette attaque va se manifester par une inflammation de la peau ( le visage se couvre d’une trace rouge qui fait ressembler à un loup…d’où Lupus), des vaisseaux sanguins et des articulations et provoquera une sorte de dermatite aussi bien sur la poitrine, que sur les bras, les épaules, les mains… ou le corps.
L’origine
Difficile à démontrer, la médecine allopathique évoque un virus méconnu ou des hormones sexuelles.
Il y a deux sortes de Lupus : le lupus érythémateux disséminé (SLE) et le lupus érythémateux discoîde (DLE).
Anamnèse naturopathique
Lupus érythémateux disséminé (LES)
Arthrite avec inflammation des articulations, puis éventuellement une fièvre soudaine qui sera suivie par l’inévitable irruption rouge sur les joues. On peut aussi souffrir d’aphtes dans la bouche, voir la gorge. 50% des patients de LES souffriront de néphrite (inflammation des reins). Dans les cas les plus sérieux, le cerveau, les poumons et la rate peuvent être affectés, ainsi que le système nerveux central (avec psychoses, paralysie, amnésie, dépression, maux de tête etc…)
Lupus érythémateux discoïde (DLE)
Moins grave, il se manifeste plus par l’irruption sur les joues et le nez (en forme de papillon) qui donne une tête de loup !
Possiblement aussi des lésions sur le cuir chevelu, les oreilles, sous forme de petites cloques jaunâtres : elles laissent des cicatrices en disparaissant.
Dans les deux cas, il y a des périodes de crise et des périodes de rémission.
Attention à l’exposition aux ultra-violets et aux rayons du soleil cela peut déclencher une crise.
Anamnèse naturopathique sur Lupus
Pour être certain de diagnostiquer le Lupus, 4 de ces 8 symptômes doivent être identifiés, dont quelques-uns par votre médecin et d'autres par votre naturopathe en complément, par anamnèse :
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Cellules anormales dans les urines,
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Faible densité en globules blancs, faible densité en plaquettes,
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Présence d’un anticorps trouvé dans 50% des personnes atteintes de Lupus,
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Arthrite
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Éruption en forme de papillon sur le visage
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Aphtes dans la bouche
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Psychose
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Sensibilité au soleil
Le traitement classique a des effets secondaires notoires
Quand le Lupus n’est pas grave, pour atténuer les symptômes avec de l’Ibuprofène, de l’aspirine, des crèmes à la cortisone…. Et si c’est un Lupus grave, sous perfusion de corticostéroïdes, d’immunodépresseurs…
Mais c’est une question de survie avant tout !
Bien qu’il soit connu que les corticostéroïdes rendent plus sujets aux infections, à la hausse de pression artérielle et à l’ostéoporose. Les immunosuppresseurs accroissent aussi les risques d’infection, affaiblissent le foie, favorisent la fertilité et augmentent les risques de cancer.
Pour les cas moins graves, les corticostéroïdes en crème, les stéroïdes oraux, et les médicaments anti-malaria comme par exemple le Plaquenil qui donne des problèmes de vue et d’affaiblissement musculaire.
Des solutions naturelles sont aussi possibles
Une politique des étapes, d’abord nettoyer votre organisme, pour rétablir votre immunité, changer votre façon de vous alimenter, grâce à votre naturopathe qui est un expert dans cette catégorie et prendre de l’aromathérapie.
L’alimentation
Le terrain et uniquement le terrain
A privilégier:
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L’ail, l’oignon et les œufs qui contiennent du sulfure, ce qui vous aidera à la réparation des os, du cartilage et des tissus conjonctifs.
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Des oméga3, pour prévenir l’arthrite et protéger la peau
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De l’ananas frais pour sa bromelaïne connue pour réduire l’inflammation
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Du fer, sous forme de supplément qui va contribuer à la douleur, à l’inflammation et à la destruction des articulations. On trouve du fer dans les fruits secs (figues, dates, amandes, noix etc …), le foie, le tofu, les légumes secs., la mélasse .
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Des fibres issues de grains complets tout en évitant le blé en général, des légumes verts frais, des fruits non acides (pas d’agrumes).
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De l’huile d’olive et de colza de première pression à froid , des sardines.
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Des jus de fruits et de légumes frais, un mélange carotte-céleri pour soutenir les reins.
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De la racine de réglisse en infusion peut fournir des résultats comparables à ceux des immunodépresseurs, mais pas plus de sept jours de suite. N’en prenez pas si vous avez une pression artérielle élevée.
Consommer des huiles vierges, obtenues par première pression à froid. L’huile d’olive du commerce est nécessaire, car elle est riche en acides gras mono-insaturés, mais elle n’est pas suffisante, comme nous l'avons vu dans l'article Où trouver les Oméga-3 et les Oméga-6. Elle sera complétée par d’autres huiles que l’on trouve dans les magasins spécialisés en diététique. Ainsi, l’huile de lin, riche en acide gras de type oméga-3 (54 % pour 14 % d’oméga-6) est parfaite en cas de maladie auto-immune.
Opter pour des aliments de qualité : produits de l’agriculture et de l’élevage biologiques.
A proscrire:
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Le sucre, et dérivés.
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les mauvaises huiles, les fritures, les produits laitiers, les viandes rouges, la caféine, le sel non iodé, le tabac, et certains légumes : pommes de terre, aubergine, tomates, poivrons, parce qu’ils contiennent de la Solanine, substance qui contribue à la douleur et à l’inflammation.
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Le four à micro-ondes est à proscrire, nous l'avons vu dans l'article: «La cuisson affecte-t-elle le profil nutritionnel des aliments?».
L’Aromathérapie peut aider à alléger les multiples symptômes
La douleur articulaire ( les huiles essentielles)
Massez vos articulations avec le mélange suivant : dans 5 ml d’huile de base, faites tomber
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3 gouttes l’huile essentielle de camomille romaine
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2 gouttes d’huile essentielle de Ciste ladanifère, la meilleure pour les maladies auto-immunes.
Pour traiter la peau
Afin de soulager les démangeaisons, du gel d’aloes additionné d’arbre à thé, de camomille bleue (ou marocaine) ou d’Achilée et de Palmarosa.
Pour booster le système immunitaire
Massez vous le ventre avec de l’huile essentielle de Palmarosa, d’épinette noire, de Ravensara et de citron.
Pour soigner humeur et sommeil
Massez vous le ventre et la poitrine avec de l’huile essentielle de Litsée citronnée, de Mandarine, de Néroli et de Lavande officinale.
En conclusion pour faire face à la maladie, il conviendra d’adopter une hygiène de vie assez saine où il n’y aurait plus de place pour les émotions toxiques, la malbouffe, le stress ou la sédentarité.
Car pour vous, il s’agit de vivre au quotidien l’équilibre anti douleur pour pouvoir apprendre à cohabiter sereinement avec la maladie.
Une alimentation saine, exempte d’éléments allergènes, aidera à construire un solide système de défense.
De plus, purifiez régulièrement votre système immunitaire avec des jeûnes, qu’ils soient complets ou à base de jus.
Pour renforcer votre système immunitaire, faites appel aux super-plantes tous usages comme le ginseng, la sauge ou l'harpagophytum (la griffe du diable), ainsi qu'au complexe Douleurs articulaires.
Ouvrez votre esprit et pensez Cannabidiol (sans THC).
Sophrologie et méditation du sport peuvent aussi vous aider
Il faut corriger toutes les causes habituelles de votre fatigue. Contrôlez l’anémie ou le manque de fer, qui sont très fréquents chez les femmes.
Respectez vos rythmes naturels
Pour retrouver la forme, faites de l’exercice. Cultivez un sommeil réparateur, il faut savoir se déconnecter des choses de la vie courante.
Pour cela, la relaxation, la sophrologie, l’hypnose peuvent avoir des effets bénéfiques.
Les somnifères de type benzodiazépine sont à proscrire. Ils ne donnent, en général, pas un bon sommeil réparateur. Préférez, la mélatonine ou un complexe Mélisse et valériane, tout aussi efficace sans les effets indésirables.
Je vous suggère, également, de :
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reprendre une activité physique régulière, progressive, comme la marche, la bicyclette, la natation.
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avoir une alimentation équilibrée, en évitant de consommer trop de sucres car, ces derniers, stimulent les pics d’insuline et provoquent une chute brutale de la glycémie. L’hypoglycémie donne des « coups de pompe ». Il faut aussi éviter de consommer du chocolat le soir qui peut avoir l’effet d’une tasse de café.
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maîtriser votre espace de travail, en limitant les contraintes quotidiennes liées au transport, au stress des relations professionnelles, à l’ordinateur…
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Dérèglement de la thyroïde: stress et émotions fortes
- Par vogot
- Le 14/08/2020
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Comme je l'ai écrit dans les articles Solutions naturelles aux problèmes thyroïdiens, et La thyroïde en médecine traditionnelle chinoise, il est dit qu’un choc émotionnel peut être à la source de n’importe quelle maladie.
Les troubles de la glande thyroïde, peuvent résulter d'une forte émotion due au stress.
Les émotions, racine de la maladie
Petit rappel: nos émotions ont un impact sur nos organes de manière ciblée :
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les poumons sont liés à la tristesse,
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le foie à la colère,
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les reins à la peur,
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l’estomac à l’inquiétude…
Chez certaines personnes dont le corps est génétiquement prédisposé à réagir ainsi, le stress peut engendrer un désordre hormonal susceptible de modifier à la baisse leur système immunitaire et d’accélérer l’apparition d’un dérèglement thyroïdien, voire d’une maladie auto-immune.
Les facteurs de stress les plus connus ayant un impact suffisamment forts pour impacter sur la thyroïde sont :
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la perte d’un conjoint (décès ou divorce),
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un licenciement,
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des conflits familiaux,
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un déménagement,
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des problèmes professionnels,
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des soucis financiers.
A l’apparition de la maladie s’ajoute alors la peur de vivre avec… puis de vivre avec les troubles psychologiques qui y sont associés.
En cas d’hyperthyroïdie, le futur patient peut présenter de l’anxiété, de la tension, de l’irritabilité, de la nervosité, de la dépression, de l’impatience, une sensibilité accrue au bruit ainsi que des troubles du sommeil (tout ou partie).
En cas d’hypothyroïdie, il peut avoir le plus souvent des idées lentes ou confuses, un manque d’intérêt, une détérioration intellectuelle et/ou un processus mental ralenti (tout ou partie).
Dans un cas comme dans l’autre, le stress est le chaînon qui entraîne le patient dans le cercle vicieux des thérapies allopathiques ne faisant qu’aggraver son état.
Les thérapies contre le stress
Si l’efficacité de la naturopathie n’est plus à démontrer pour la gestion des troubles liés à un dysfonctionnement de la thyroïde, elle ne l’est plus non plus en ce qui concerne le stress.
Phytothérapie
Les plantes du stress sont le romarin, l’extrait de pépin de pamplemousse, la rhodiola rosea.
Aromathérapie
Les huiles essentielles de petit grain bigaradier et de lavande aspic sont recommandées sur un coin de l’oreiller ou en brumisation.
Sophrologie
Elle permet d’aider le cerveau à lâcher le stress, à retrouver une certaine sérénité en induisant une “reprogrammation” de codes en place. Chaque séance doit être uniquement rédigée pour le malade en fonction des troubles qu’il présente et de ses attentes personnelles.
Reiki
Les soins Reiki (soins énergétiques) permettent du rétablir l’énergie dans les corps, de l’harmoniser. Ils génèrent une véritable relaxation dont l’effet est profond et immédiat.
Pour en savoir davantage et surtout savoir ce qui vous est le plus adapté, n’hésitez pas à prendre contact avec votre naturopathe.
Il ne remplacera en aucun cas une consultation avec votre médecin ou votre endocrinologue, mais il peut par son (ou ses) action(s) venir en complémentarité vous apporter la détente et le bien-être dont vous avez besoin pour vous sentir mieux, et vous aider pour renouveler votre stock de neurones fonctionnels et pour un rééquilibrage alimentaire par associations, qui est la base, le terrain favorable au réensemencement d'une thérapie redoutablement efficace.
Impacter de manière positive sur le stress dans un dérèglement de la thyroïde, c’est faire le choix d’inverser la vapeur, de reprendre le contrôle de soi, de son corps, ne plus laisser l’émotionnel aux commandes.
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Maladie de Crohn: traitements naturels
- Par vogot
- Le 07/02/2020
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La maladie de Crohn est une MICI (maladie chronique inflammatoire de l’intestin). C’est également une pathologie auto-immune, elle résulte d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme.
C'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.
Elle peut toucher différentes parties du tube digestif, mais est localisée le plus fréquemment au niveau de l’iléon, partie basse de l’intestin grêle à la jonction du gros intestin, ou au niveau du côlon et du rectum.
Comment se manifeste-t-elle ?
Des phases de poussées alternent avec des phases de rémission. Les phases de poussées s’accompagnent de diarrhées aiguës, et les phases de rémission sont de durées variables.
L’inflammation chronique entraîne un épaississement de la paroi intestinale et peut conduire à des sténoses (rétrécissement du tube digestif), fistules (connexions anormales entre un organe du système gastro-intestinal et un autre organe), ou fissures qui peuvent se compliquer d'un abcès anal.
Cette pathologie est très invalidante et douloureuse, elle a un grand retentissement sur la qualité de vie des malades.
Quelles sont les origines ?
Elles sont multifactorielles, ce qui rend les traitements compliqués. Les traitements conventionnels entraînent des effets secondaires délétères sur le long terme.
Cette maladie touche aussi bien les hommes que les femmes assez jeunes, entre 20 et 40 ans. On la rencontre aussi chez les enfants.
Elle peut être héréditaire, en effet, dans environ 20 % des cas, il y a un antécédent de pathologie inflammatoire de l’intestin dans la famille.
Qu'en est-il des causes ?
Il existe différents potentiels facteurs de risque, une alimentation pro-inflammatoire, riche en sucre et gras saturés, pauvre en fibres ainsi que le stress psychologique, mais surtout oxydatif.
Attention, ne confondez pas stress oxydatif, qui s'observe au niveau cellulaire, avec stress psychologique, au niveau de l'organisme.
Le tabagisme a une influence certaine ainsi que les facteurs environnementaux, on a en effet remarqué que la pathologie touche davantage les personnes vivant en zone urbaine et plutôt dans les climats nordiques, car le froid n'arrange rien, permettant un terrain toxémique.
Elle est par ailleurs en constante progression, due à l'ignorance des associations alimentaires. Mise à part la connaissance des naturopathes dans ce domaine, je ne connais pas de professionnels de santé qui vous dirigera sur ce sujet, par ignorance surement.
La microflore ou microbiote intestinal (anciennement appelée flore intestinale) a également une influence certaine dans la maladie. En effet on trouve dans les flores des personnes atteintes par Crohn une dysbiose (déséquilibre de l'écosystème bactérien) avec des bactéries pathogènes en excès comme Escherichia Coli et une diminution des espèces bénéfiques, notamment Bacteroïdes, Prevotella, Alistipes, Akkermansia, Oscillibacter, Clostridium, Faecalibacterium, Eubacterium, Ruminococcus, Roseburia, et Bifidobacterium, sans oublier Escherichia ,Lactobacillus, Fusobacterium, Lentisphaerae, Spirochaetes et bien d'autres...
Je vous conseille de prendre cette Formule Probiotiques extrêmement complète.
Les symptômes de la maladie
Ils sont essentiellement de nature digestive, diarrhées chroniques, qui peuvent être sanguinolentes, liquides et abondantes, accompagnées de glaires et de douleurs anales, spasmes et douleurs abdominales, perte d’appétit, vomissements et nausées.
L’ensemble de ces symptômes conduit à de la fatigue et à une possible anémie suite à la fuite des minéraux dont le fer, les vitamines B9 et B12.
Ici, la prise de Complexe Vitamines B ou bien de Formule Vitaminero prend tout son sens.
Ces symptômes peuvent être associés à :
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des lésions cutanées (aphtes, érythèmes noueux, ulcères buccaux)
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oculaires (inflammation de l’iris ou de la sclérotique)
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des rhumatismes articulaires (arthrite, spondylarthrite)
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des inflammations du foie et des voies biliaires (hépatite, calculs biliaires, stéatose).
Les traitements conventionnels de la maladie
Les traitements actuels ont pour but d’améliorer la qualité des malades en diminuant et en retardant les poussées, par contre, ils ne guérissent pas complètement la maladie.
Lors des poussées, se produit une augmentation importante du TNF-alpha (Tumor Necrosis Factor), une cytokine impliquée dans le processus inflammatoire, ce qui va produire les différents signes cliniques décrits ci-dessus.
Des traitements pour diminuer la production de TNF-alpha sont conseillés.
Sont ainsi proposés des anti-inflammatoires à haute dose comme les corticoïdes, des dérivés aminosalicylés ou l’administration d’anticorps anti-TNF-alpha.
Ces traitements entraînent malheureusement des effets secondaires indésirables et potentiellement graves comme des infections.
Est également proposée toute une batterie « d'anti »
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anti-diarrhéiques pour ralentir le transit intestinal,
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antibiotiques pour éradiquer les bactéries,
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antispasmodiques pour diminuer les spasmes et les douleurs
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immunosuppresseurs pour diminuer l’activité du système immunitaire.
Parfois, en cas de fistules ou sténoses venant compliquer la pathologie, des traitements chirurgicaux deviennent inévitables.
Heureusement, il existe des traitements naturels !
Le premier conseil que je donne, est de suivre un rééquilibrage alimentaire par associations. C'est essentiel et surtout à la portée de TOUTES et TOUS, même à titre préventif !
L’alimentation
Une alimentation anti-inflammatoire est fortement conseillée, avec l’éviction des produits laitiers, gras saturés, produits industriels, maïs, alcool, levures et gluten.
Les aliments qui entraînent des ballonnements ou des flatulences sont à éviter ou à consommer avec modération, notamment les légumineuses, les oignons, les agrumes et les crucifères.
De manière générale, je recommande de cuisiner de façon simple des produits frais de saison et de les agrémenter d’épices digestives.
Le romarin, le gingembre, le curcuma, le fenouil, le thym, l’anis ont par exemple des vertus anti-inflammatoires ou/et digestives.
Consommer des oméga-3, puissants anti-inflammatoires, sous forme de compléments alimentaires (Omega-3 + vitamine E) ou d’huiles de colza, noix, cameline ou chanvre, de petits poissons gras (maquereaux, sardines, harengs…), et des légumes colorés riches en antioxydants (l’épinard, le poivron, les choux, la carotte, le brocoli, la courgette, le navet, le lycopène dans la tomate).
Il sera indispensable d’observer les réactions de chacun et de tenir un cahier pour évaluer les aliments qui posent problème. En période de poussées, il conviendra d’éviter les aliments contenant des fibres, fruits, légumes, céréales complètes.
La mastication et manger dans le calme sont des pratiques primordiales pour permettre une meilleure digestion et favoriser une meilleure assimilation. La digestion commence dans la bouche!
Il est indispensable de boire suffisamment d’eau pour compenser les pertes d’eau occasionnées par les diarrhées, pas d’eau gazeuse pour éviter les ballonnements. Des tisanes antispasmodiques comme la mélisse, ou digestive comme l’anis sont les bienvenues.
L’exercice physique
Il est ES-SEN-TIEL, car il améliore la fonction digestive et diminue le stress.
Gérer son stress
On ne connaît pas vraiment l’impact du stress psychologique sur la maladie de Crohn, cependant certaines pratiques peuvent aider à mieux gérer la douleur et améliorer la digestion. Toutefois, le stress oxydatif accentue les périodes de crises.
A chacun de trouver la méthode qui lui correspond le mieux, cohérence cardiaque, yoga, méditation, respiration diaphragmatique …
Les traitements naturels
Réparer la muqueuse intestinale se fera à l’aide de différentes plantes, la réglisse anti-inflammatoire des muqueuses, le curcuma puissant anti-inflammatoire et la mélisse antispasmodique ou à l’aide de l’acide aminé glutamine (L-Glutamine). Le psyllium vous permettra de mieux protéger votre tube digestif. C'est un régulateur du transit extrêmement efficace.
Repeupler la flore intestinale sera utile avec des probiotiques.
Les champignons, shiitake, reishi, cordyceps sinensis ou maitake, contribueront à moduler le système immunitaire.
La camomille allemande pourra soulager les troubles digestifs.
Des études sont en cours pour démontrer l’efficacité associée du Resvératrol et du bêta-carotène, puissants anti-inflammatoires et antioxydants.
L'utilisation de ce Complexe Antioxydant en traitement de fond me paraît fondamental.
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Maladie d’Alzheimer: nouvelle piste thérapeutique
- Par vogot
- Le 13/09/2018
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Depuis le mois d'août 2018, les médicaments prescrits à un malade touché par la maladie d'Alzheimer ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale. C'est sûr, cela permet de coquettes économies, car aujourd'hui en France, 800.000 personnes sont touchées par cette maladie qui entraîne une dégénérescence du cerveau.
Force est de constater qu'ils n'étaient pas très efficaces et entraînaient de lourds problèmes digestifs, cardiovasculaires et neuropsychiatriques.
Vous n’êtes plus vraiment vous-même
Ce qui fait le plus peur dans la maladie d’Alzheimer, c’est de perdre son identité. On dit aussi « perdre la tête ». En réalité, les victimes gardent une identité propre mais elle se transforme insidieusement et irrémédiablement. L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes : elle se construit et évolue tout au long de l’existence au fil des souvenirs et du temps. Ce qui vous donne le sentiment d’être la même personne qu’hier, que le mois dernier ou qu’il y a 20 ans, ce sont les souvenirs que vous avez de ces époques comme appartenant à votre passé. C’est la combinaison et l’interprétation de ces souvenirs à la lueur de votre situation présente qui forgent votre identité.
Chez les personnes victimes de la maladie d’Alzheimer, la disparition progressive de certains souvenirs et l’incapacité d’en former de nouveaux les amènent à construire des identités en décalage avec ce qu’ils étaient auparavant. D’ailleurs, les proches des victimes rapportent souvent qu’elles ne sont plus celles qu’ils ont connues. Elles n’ont pas totalement perdu le sens de qui elles étaient, mais le processus identitaire est restreint à des souvenirs plus anciens et parfois très épars. Normalement, la mise à jour du processus identitaire se fait vers l’avant, de façon à intégrer les nouveaux souvenirs emmagasinés, mais dans le cas de la maladie d’Alzheimer, la mise à jour se fait à l’envers avec la perte progressive des souvenirs.
Il arrive donc souvent que les victimes ne reconnaissent pas leurs enfants car ils ont perdu les souvenirs correspondant à cette tranche de vie. Pour les mêmes raisons, elles se présentent parfois sous un jour beaucoup plus jeune. Par exemple, certaines patientes sont persuadées d’avoir 17 ans et de devoir rentrer chez leurs parents.
Deux mots craints par-dessus tout
D’après un récent sondage, vous seriez plus de 85 % à craindre par-dessus tout cette maladie neurodégénérative dont le nom résonne comme celui d’un savant fou et cruel.
Il faut dire que "l’épidémie" qui frappe les pays occidentaux est sans précédent : 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année et d’ici 2020, 1 français de plus de 65 ans sur 4 sera touché par la maladie d’Alzheimer.
65 ans, ça n’est pas un âge très avancé puisque c’est l’âge légal du départ à la retraite dans de nombreux pays d’Europe… A cet âge, vous aimeriez probablement ressembler, comme tout le monde, à cette figure charismatique, sage et respectée, ce vétéran qui a toujours une histoire à raconter et devant lequel on s’incline avec admiration et bienveillance.
Malheureusement, pour beaucoup, la réalité est autrement plus glaçante
Souillure, dégénérescence, dépendance, incontinence… Les mots qui surgissent à l’évocation de la maladie d’Alzheimer sont terribles. Tout le monde ou presque s’accorde pour dire que c’est l’une des façons les plus angoissantes et les plus effrayantes de vieillir, mais aussi de mourir : la démence est un naufrage de l’esprit qui empêche d’être maître de son destin, de ses dernières volontés. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique pourquoi elle est en passe de détrôner le cancer au rayon des hantises.
Vous n’avez plus les mêmes goûts
La modification progressive de l’identité provoque également des changements au niveau des affinités, des goûts et des centres d’intérêt. Il arrive ainsi que des personnes passionnées par la littérature ou éprises par le monde des arts n’en voient soudainement plus du tout l’intérêt.
Vous êtes mis à l’écart
Voilà l’une des pires conséquences de la maladie : un décalage terrible se creuse entre la victime et son entourage. Comme elle n’arrive plus à répondre aux attentes de ses proches (parce qu’elle ne se souvient pas de tel événement, parce qu’elle ne reconnait pas tel visage ou parce qu’elle n’apprécie plus des choses qu’elles partageaient autrefois avec eux), ils perdent en retour la capacité à attendre encore quelque chose d’elle. Peu à peu, elle devient donc une personne étrangère. Et on a forcément moins d’empathie et d’attention pour une personne étrangère…
Il y a mieux à faire que d’espérer y échapper : soyez actifs
Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour que ça m’arrive ? La maladie d’Alzheimer est souvent vue comme un mal qui nous tombe dessus, un châtiment injuste qui s’installe sans frapper. Si les mécanismes permettant son développement sont encore largement méconnus, on sait qu’il est possible de réduire le risque, à condition de s’y prendre à l’avance. Car une fois que le ver est dans le fruit, c’est déjà trop tard.
1) La restriction calorique
Comment définir le devenir de personnes prédisposées génétiquement à la maladie (tous porteurs du gène ApoE4) ? Avant tout, sachez que les personnes qui ont une alimentation riche en calories sont plus touchées que celles qui en consomment relativement peu. La restriction calorique permet d’augmenter la résistance des neurones à la maladie d’Alzheimer, aux accidents vasculaires cérébraux mais aussi au vieillissement normal de l’organisme. Il y a donc un intérêt réel à réduire les portions alimentaires, autre que la perte de poids et l’aspect esthétique. Pour cela, pas de secret, l’instauration d’une nouvelle habitude, d'excellentes combinaisons alimentaires, une discipline de fer et des aides naturelles pour réduire l’appétit comme Konjac, Nopal et Griffonia simplicifolia (pour augmenter la sensation de satiété).
2) Une alimentation riche en antioxydants
L’intérêt des antioxydants pour réduire les effets néfastes des espèces réactives de l’oxygène sur les neurones, est indéniable. Bien que tous les antioxydants semblent être bénéfiques, je met l’accent sur 3 antioxydants : l’acide folique (qu’on trouve surtout dans les abats, les légumineuses et les légumes à feuilles vert foncé, mais aussi dans des suppléments tels que Multivitamines B, la vitamine B6 (qu’on trouve dans les abats, le poisson et les céréales entières, ou dans des suppléments tels que Formule Vitaminéro) et la vitamine B12 (Je vous conseille de lire à ce sujet : Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).
3) Un entraînement mental
Les personnes s’adonnant à des activités stimulantes sur le plan mental (lecture, jeux de réflexion, apprentissage, jeux de mémoire) ont moins de risque de souffrir de démence à un âge avancé. C’est le fait de garder un esprit actif et alerte tout au long de sa vie qui favorise le maintien des connexions neuronales et permet de repousser le déclin cognitif et la démence. Si vous ne pratiquez pas ce genre d’activité, vous savez donc ce qui vous reste à faire.
A l’heure actuelle, il n’existe toujours pas de traitement efficace pour guérir la maladie d’Alzheimer et toutes les formes de démence apparentées. Il est donc logique d’en avoir peur. Mais la peur peut aussi être une arme efficace lorsqu’elle est utilisée à bon escient : ne la laissez pas vous tétaniser et agissez dès maintenant.
Alors que faire pour enrayer la maladie et contrer les symptômes ?
Il n’est actuellement pas possible de guérir la maladie d’Alzheimer, mais vous pouvez tout à fait vous opposer à sa progression et enrayer le déclin qui affecte la mémoire et les fonctions cognitives ! J'ai donc recensé quelques remèdes naturels, très documentés dans la littérature scientifique, et malheureusement trop peu connus du grand public :
Le Ginkgo Biloba
- Plusieurs études montrent que la prise d’un supplément naturel à base de feuilles de ginkgo biloba améliore les symptômes de la maladie d’Alzheimer, et notamment la mémoire et la vitesse de traitement cognitif.
Mécanismes d’action : l’intérêt des feuilles de ginkgo sur la maladie d’Alzheimer s’explique par ses effets positifs sur les protéines beta-amyloïdes qui induisent la mort des cellules. Il est également fort probable qu’elles influencent les niveaux de plusieurs neurotransmetteurs-clés (des composés chimiques libérés par les neurones agissant sur d'autres neurones).
Le Safran
- Actuellement, il a été démontré que l'extrait de safran possède un effet antioxydant, anti-inflammatoire, anticonvulsif, antidépresseur, et améliore également la mémoire et l'apprentissage. La crocine, la picrocrocine, la crocétine et le safranal ont des propriétés antioxydantes et ont été utilisés dans la médecine traditionnelle indienne pour le traitement des dysfonctionnements cognitifs. De cette façon, son utilisation pour améliorer la mémoire et l'apprentissage a été décrite du fait que l'effet antioxydant du safran participe à la protection des neurones contre l'oxydation : l'extrait de safran peut éliminer les radicaux libres, plus particulièrement les ions superoxyde.
Le moringa
- La feuille de moringa est d’un vert vif, elle contient plus de 90 nutriments, 46 antioxydants, vitamines, minéraux, protéines, ainsi que tous les acides aminés essentiels. Elle est considérée comme un super-aliment. Elle traîte la dégénérescence nerveuse et cellulaire.
Oméga-3 EPA+ et vitamine E
- Les omégas-3 EPA+ participent au bon développement du cerveau, des nerfs, de la rétine. Ils sont donc importants. Ils préservent la vue et les fonctions cérébrales. Ils sont bénéfiques à notre équilibre nerveux et émotionnel. Bref, vous avez tout intérêt à en augmenter les quantités en apports de compléments alimentaires.
Redox
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REDOX aide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. En effet, de nombreux facteurs favorisent leur production. Cette espèce chimique très instable oxyde les cellules et fragilise le système immunitaire, provoquant l'apparition de certaines maladies comme le cancer. Seuls les antioxydants peuvent alors équilibrer les fonctions naturelles de l’organisme mis à mal. Grâce à sa formule unique en antioxydants végétaux, REDOX est un puissant anti-âge, qui redonne bien-être et vitalité.