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  • Quercétine et incontinences urinaires

    • Par vogot
    • Le 17/09/2018

    En France, trois millions de femmes souffrent d'incontinences urinaires.

    L'homme est moins touché par l'incontinence que la femme. Cela est du au fait que le système de continence passif de continence est plus développé chez l’homme que chez la femme. Le système de continence passif repose sur la longueur de l’urètre plus long que chez la femme et sur la présence autour de la portion initiale de l’urètre de la glande prostatique qui quand elle augmente de volume devient source d’obstruction à l’écoulement des urines et de ce fait représente un mécanisme contre une éventuelle incontinence urinaire. De plus le sphincter strié de l’homme est plus puissant que celui de la femme.

    Dans la majorité des cas l'incontinence masculine est une incontinence par regorgement due à une hypertrophie de la prostate. Les cas d'incontinence liés à une insuffisance sphinctérienne sont peu fréquents et souvent dus à une intervention chirurgicale sur les voies urinaires ou la prostate.

    La prostate est un organe en forme de châtaigne situé immédiatement sous la vessie, en arrière de la symphyse pubienne et en avant du rectum. Elle entoure sur 3 à 4 cm l’urètre, canal par lequel les urines sont évacuées de la vessie. Sa partie supérieure (appelée base) est contre la vessie et sa partie inférieure (appelée apex) est en bas en contact avec le sphincter strié. Elle est étroitement intriquée avec les deux sphincters qui assurent une bonne continence urinaire. Le sphincter lisse se situe au niveau du col vésical (donc côté vessie) et le sphincter strié (seul accessible à la commande volontaire) se situe en aval, sur l’urètre, juste sous la partie inférieure de la prostate. L’essentiel de la prostate, constituée de glandes, est entourée par une capsule fibro-élastique appelée coque prostatique.

    Pour traiter cette pathologie handicapante et toujours taboue, de nombreux dispositifs médicaux voient le jour. Je vous mets toutefois en garde : à défaut de recul scientifique, mieux vaut rester vigilants.

    Des envies d'uriner trop fréquentes peuvent vous gâcher la vie et vous mettre dans des situations embarrassantes.

    Si vous avez du mal à vous retenir, alors vous souffrez probablement d'incontinence urinaire.

    Heureusement pour vous, ce n'est pas une fatalité et au lieu de vous parler de traitements médicamenteux, j'ai voulu vous proposer quelques remèdes naturels pour vous aider.

    Analysons tout d'abord les raisons

    Normalement, nous allons uriner 5 à 7 fois par jour, et après 50 ans, une fois par nuit. Si c’est plus, c’est trop !

    Contrairement à ce que l’on a voulu vous faire croire, une envie trop fréquente d’uriner n'est pas due à une vessie trop petite, mais trop sensible. La vessie envoie au cerveau un signal indiquant qu’il est temps d’aller uriner quand elle est pleine. Quand elle est hypersensible (on dit aussi hyperactive), elle envoie ce signal au cerveau même si elle est partiellement vide.

    Quand le cerveau reçoit ce signal, il peut bloquer la contraction de la vessie (qui entraîne le fait d’uriner) pour attendre le moment opportun (la fin de la réunion avec votre patron, la sortie de la personne devant vous qui occupe les toilettes au restaurant, le retour à la maison quand vous revenez des courses…). Si le cerveau n’a pas le temps de contrôler la vessie, c’est la fuite !

    Affaiblissement des muscles du plancher pelvien et du sphincter urinaire

    Cet affaiblissement peut se produire en raison ou conséquence:

    • du traumatisme de l’accouchement par voie vaginale,

    • des maladies qui affectent le cerveau et le système nerveux comme la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le diabète de type 2, un accident vasculaire cérébral,

    • des malformations congénitales,

    • des blessures dues à un accident qui causent très souvent une fracture des os pelviens,

    • des effets liés à la prise de médicaments,

    • d’une chirurgie comme l’ablation chirurgicale de la prostate.

    Ménopause et vieillissement

    L’incontinence peut être causée par les changements associés à la ménopause chez les femmes et les changements qui accompagnent le processus naturel du vieillissement de la vessie, de l’urètre, des muscles du plancher pelvien et des sphincters qui peuvent entraver le processus normal de miction.

    Par exemple, l’hypertrophie normale de la prostate chez l’homme qui vieillit ou le prolapsus du vagin ou de l’utérus qui est fréquent chez les femmes âgées peut provoquer un blocage ou la descente anormale de l’urètre.

    La diminution progressive d’œstrogènes après la ménopause et le vieillissement chez la femme PEUVENT affaiblir les muscles du plancher pelvien et des sphincters. Il est important de souligner que l’incontinence au cours de la vieillesse n’est PAS normale et devrait être traitée par un professionnel de la santé.

    L’hérédité

    L’incontinence tend à être héréditaire et il y a une composante génétique qui joue un rôle dans la faiblesse des muscles du plancher pelvien.

    Réalisez un calendrier… mictionnel

    Pendant 24 heures, de 8 h du matin à 8 h le lendemain matin. Notez sur un carnet l’heure et le volume approximatif, ainsi que celle de votre lever et de votre coucher. Indiquez aussi les épisodes d’envies pressantes et celles d’éventuelles fuites.

    Ce calendrier vous aide à plusieurs niveaux. D’abord, il vous permet de voir quelle quantité vous urinez exactement en 24 heures. Si c’est plus de 2 litres, cela signifie que vous buvez trop. Sachez que votre corps s’habitue : plus vous buvez, moins il retient l’eau et plus vous avez soif. Diminuez progressivement les quantités, en vous contentant d’un demi-verre au lieu d’un verre par exemple. Le calendrier mictionnel vous aidera aussi à suivre vos progrès, si vous le réalisez chaque mois.

    Reprenez le contrôle de votre vessie

    Si vous urinez à toute vitesse, sans vous asseoir et sans vider complètement votre vessie (souvent pour des questions de propreté des toilettes), cela peut aussi expliquer vos envies fréquentes. Prenez le temps de vous asseoir (quitte à utiliser un protège-cuvette de toilettes jetable, ou à mettre du papier hygiénique autour de la cuvette) et de vider totalement votre vessie.

    Imposez-vous aussi un délai entre deux passages aux toilettes et élargissez-le progressivement. Votre calendrier mictionnel vous a indiqué que vous urinez toutes les deux heures ? Obligez-vous à garder ce délai (quitte à mettre une alarme sur votre téléphone), même si vous n’avez pas envie ou que vous urinez seulement quelques gouttes.

    Et si vous avez envie avant, tentez de laisser passer cette envie : pensez à autre chose (comptez à l’envers à partir de 100, faites vos comptes…), prenez 5 respirations profondes. Si ça ne suffit pas, allez aux toilettes, mais d’un pas calme.

    Quand vous arriverez à respecter l’intervalle prévu, après quelques semaines d’exercices, élargissez-le progressivement, de 15 à 30 minutes par semaine, jusqu’à ce que vous puissiez attendre 3 à 4 heures entre deux passages aux toilettes.

    Travaillez votre périnée

    Pour développer la force de vos muscles pelviens, serrez l’anus comme si vous reteniez un gaz. Faites des séries de 5 contractions rapides, laissez passer 10 secondes et recommencez, pendant 5 minutes. Répétez ces exercices deux fois par jour.

    Autre exercice

    Le sphincter de la vessie présente un dysfonctionnement, ce problème peut être traité de manière naturelle. À la fin d’une douche à l’eau chaude, rincez à l’eau tiède vos pieds et votre bas-ventre pendant 1-2 minutes. Ce procédé renforce et entraîne le sphincter de la vessie.

    Alimentation et transit

    Il est essentiel d’équilibrer votre assiette. Pour y parvenir, il suffit d’adopter une alimentation plus riche en aliments alcalinisants. Assurez-vous ainsi de consommer suffisamment de légumes à feuilles ainsi que des fruits et des légumes très colorés, car ils sont à la base d’une saine alimentation alcaline. Chacun de ces aliments est gorgé d’éléments nutritifs extraordinaires tels que du magnésium, du potassium, du calcium ainsi que d’autres minéraux contribuant à maintenir un pH équilibré dans votre métabolisme. Qui voudrait s’en passer ? Si vous souffrez d’incontinence, vous devez surveiller encore plus étroitement votre alimentation et la façon dont les aliments affectent votre état. Mais cela ne doit toutefois pas devenir une tâche lourde et fastidieuse. Tenez-vous en aux conseils prodigués dans le présent article et vous serez à même de constater qu’une diète riche en aliments alcalins améliore non seulement la santé de votre vessie, mais également votre état de santé en général.

    Aliments à teneur alcaline élevée

    Les aliments à teneur alcaline élevée aideront votre métabolisme à retrouver son équilibre acido-basique. Vous l’aiderez en vous assurant d’ajouter fruits, légumes et épices à votre liste d’épicerie.

    Légumes :

    Betterave, brocoli, choux fleur, céleri, concombre, choux frisé, laitue, oignon, pois, piment de Cayenne, épinard, avocat

    Fruits :

    Pomme, banane, baies, cantaloup, raisin, melon, citron, poire, melon d’eau

    Protéines :

    Amandes, châtaignes/marrons, tofu

    Épices :

    Cannelle, cury, gingembre, moutarde, sel marin

    Le surpoids et le tabagisme ne facilitent pas la bonne tenue de votre vessie, donc mieux vaut essayer de perdre quelques kilos (avec l’aide d’un naturopathe, sans régime drastique, mais avec un rééquilibrage alimentaire) et d’arrêter de fumer, si possible.

    A éviter

    • Le chocolat car le cacao va exciter votre vessie.

    • Tout ce qui est agrumes et tomates qui irritent la vessie.

    Dites adieu aux grains et aux sucres raffinés

    Malheureusement, certains aliments les plus courants, comme la farine et le sucre, sont réputés pour leur effet acidifiant dans l’organisme. Faites alors de votre mieux afin de réduire ou de limiter votre consommation de pain blanc, de pâtes, de céréales raffinées, de produits alimentaires déjà cuits et de sucreries. Éviter ces aliments deviendra vite une habitude.

    Moins de viande, moins de produits laitiers

    Remplacez votre repas de viande acidifiante par un repas d’aliments riches en protéines comme le quinoa ou le tofu. Du même coup, mettez de côté les produits laitiers et consommez des substituts comme le lait de soya et le fromage de chèvre.

    Perdre du poids

    L'obésité réduit l'élasticité des sphincters de la vessie ce qui peut entraîner une incontinence. Une perte de poids aide à minimiser cela.

    Evitez autant que possible le café, le thé, l’alcool et les sodas ou du moins, réduisez leur consommation. En effet, la caféine et la théine sont diurétiques, et augmentent donc le volume des urines ainsi que les contractions de la vessie. De même, les sulfites du vin blanc et du champagne, ainsi que la caféine ou les édulcorants des sodas augmentent aussi ces contractions.

    Enfin, constipation et vessie hyperactive étant liées, si vous souffrez de ce trouble du transit, ajoutez des fibres dans votre alimentation grâce au psyllium (Ispaghul) avec un grand verre d’eau froide (pas glacée) le matin à jeun.

    La vitamine C

    Les compléments en vitamine C sont recommandés pour leur efficacité à combattre le stress oxydatif qui peut irriter les nerfs qui entourent la vessie, entraînant une incontinence.

    Homéopathie

    Bon nombre de produits homéopathiques peuvent soulager vos symptômes liés à l'incontinence. Si vous avez un sommeil agité et des envies d'uriner la nuit, songez à la Belladonna 9 CH. Si l'odeur de votre urine est très forte, le Benzoïcum 9 CH aidera à l'atténuer.

    Votre vessie est paralysée par une atonie ? Prenez du Causticum 15 ou 30 CH qui aidera au retour à la normale. Si vous sentez des brûlures au niveau de la vessie, prenez du Staphysagria 15 CH.

    Infusions

    • L'aigremoine est une tisane astringente qui est également utile contre les pertes blanches.

    • La bourse à pasteur est utile pour les règles abondantes et l'hémoptysie.

    • Les noix de cyprès sont astringentes et toniques.

    • Enfin le thuya est un sédatif urinaire qui est utile contre la cystite.

    Toutes ces tisanes purifieront votre système urinaire et vous aideront à gérer vos incontinences.

    Infections respiratoires

    Les infections respiratoires telles que la bronchite, la grippe ou le rhume augmentent le risque d’être touché par l’incontinence en raison qu’une toux persistante et un effort excessif durant les selles augmentent la pression abdominale.

    Infections des voies urinaires

    Les infections des voies urinaires sont une cause fréquente d’incontinence. L’infection de la vessie (la cystite) augmente la sensibilité du muscle de la vessie et sa susceptibilité de se contracter de façon inopportune, ce qui peut causer l’incontinence.

    La quercétine

    Il s'agit d'un anti-inflammatoire naturel souvent utilisé par les naturopathes.

    Définition

    La quercétine ou quercétol est la plus active des flavonoïdes et de nombreuses plantes médicinales doivent leur efficacité à leur fort taux en quercétol. C'est un excellent anti-oxydant.

    Description

    La quercétine fait partie des flavonoïdes. Ce sont des pigments - il en existe plus de 4 000! - qui donnent leurs couleurs aux fleurs, aux fruits et aux légumes. Ces composés naturellement présents dans les végétaux ont de nombreux effets sur l’organisme, le principal étant de renforcer la paroi des capillaires (les plus petits vaisseaux sanguins) et de réduire leur perméabilité.

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    La quercétine ainsi que la rutine sont reconnues pour être parmi les plus actifs des flavonoïdes. C'est à la quercétine que plusieurs plantes médicinales, dont le ginkgo biloba et le millepertuis, doivent une partie de leurs effets thérapeutiques. Souvent associée à la vitamine C dans les suppléments, elle en améliore l’absorption par l’organisme et en retarde l’élimination.

    La quercétine est extraite de diverses sources végétales, notamment de la pelure d’oignon ainsi que du sophora du japon, arbre dont les fleurs contiennent la forme la plus efficace. Puissant capteur de radicaux libres, son action antioxydante est 1000 fois supérieure à celle de la vitamine E.

    Un peu d'histoire

    En 1937, Albert Szent-Gyorgyi recevait un prix Nobel pour avoir découvert la vitamine C et les flavonoïdes, ainsi que pour avoir exploré leurs propriétés biochimiques. À l'origine, il donna aux flavonoïdes le nom de « vitamine P » en raison de leur efficacité à réduire la perméabilité des vaisseaux sanguins. Cette dénomination a été abandonnée lorsqu'on s’est rendu compte que ces substances n’étaient pas vraiment des vitamines.

    A l'état naturel

    La quercétine n'est pas considérée comme un nutriment essentiel. On n'a donc pas établi d'apport nutritionnel recommandé pour cette substance. On estime cependant que la majorité des gens en consomme chaque jour de 25 mg à 50 mg. Comme les dosages nécessaires pour obtenir des effets thérapeutiques sont nettement plus élevés, je vous conseille d'avoir recours à une supplémentation.

    Les câpres et la livèche sont les plus grandes sources de quercétine : elles en fournissent jusqu’à 180 mg par 100 g (environ 2/3 de tasse).

    Vient ensuite l’oignon rouge avec 20 mg par 100 g.

    Une pomme en fournit autour de 4 mg/100 g, mais l'épluchage diminue sa teneur à 1,5 mg/100 g.

    D'autres aliments d’usage courant contiennent de bonnes quantités de quercétine :

    • le raisin,

    • l'ail,

    • le vin rouge (avec modération),

    • les petits fruits (bleuet, myrtille, cassis, mûre, canneberge, groseille, etc.),

    • les cerises,

    • le brocoli,

    • les agrumes (malheureusement, ils excitent la vessie),

    • la laitue,

    • le thé.

    Aide aussi à soutenir les terrains

    Allergiques

    La quercétine stabilise les membranes des cellules responsables de la libération d’histamine : les mastocytes. En diminuant ainsi la production d’histamine, elle agit directement à la source des réactions allergiques et des symptômes qui lui sont liés. La quercétine est donc tout particulièrement conseillée dans le cadre des affections allergiques qu’elles soient digestives ou respiratoires comme l’asthme, le rhume des foins mais aussi l’eczéma et l’urticaire en complément de la prise de vitamine C et de Zinc. Comme la quercétine est avant tout un bon agent préventif, elle sera à utiliser une semaine ou deux avant la saison des pollens et poursuivre jusqu’à la fin de la saison.

    Eczémateux

    La quercétine peut empêcher le système immunitaire de libérer de l’histamine, l’ingrédient chimique responsable de la démangeaison et de l’inflammation qui sont typiques des allergies. La totale innocuité de la quercétine en fait un supplément de choix même chez les plus jeunes enfants victimes de plaques d’eczéma disséminées. Dans ce cas, il est toujours préférable de coupler avec la prise de probiotiques et d’acides gras essentiels.

    Anti-inflammatoires

    Plusieurs recherches ont mis en avant que la quercétine présente dans les oignons peut offrir une certaine protection cardiovasculaire, particulièrement contre l’athérosclérose en agissant sur deux fronts : elle diminue la production des médiateurs inflammatoires en inhibant certaines enzymes et elle réduit l’activité des plaquettes sanguines.

    Ginkgo biloba et quercétine

    Le ginkgo biloba est un arbre dioïque de 40 mètres de haut, d'écorce grisâtre se fendillant en vieillissant. Ses feuilles caduques en forme d’éventail, se divisant deux à deux de manière parallèle, sont vertes au printemps et jaune d'or à l'automne. Ses graines sont entourées d'un fruit charnu jaune. Il fut introduit en France au 17ème siècle. On le cultive aujourd’hui dans le sud-ouest de la France, en Corée et aux Etats-Unis. La feuille est la partie utilisée.

    Composition chimique

    • Terpènes :

    - Sesquiterpènes : bilobalide et dérivés (dihydroatlantone, bilobalone)

    - Lactones diterpèniques : ginkgolides dérivés d'une structure de molécule parmi les plus

    complexes du monde végétal : ginkgolide A, B (premier modèle inhibiteur du PAF-acether), C et J

    • Substances flavonoïdiques :

    - Ginkgoflavonols et dérivés : kaempférol, quercétine, tamarixetine

    - Biflavones : hétérosides de flavonol : apigénol, amentoflavone, bilobétine, 5-methoxybilobétine, ginkgétine, isoginkgétine, sciadopitysine

    - Flavonols libres : ginkgetol iso-bilobetol

    - Flavanols : catéchine, épicatéchine, épigallocatéchine

    - Proanthocyanidines : delphinidine, procyanidine

    • Hydrocarbures et alcools aliphatiques : nonacosane, nonacosanol, pinétol, sequoyol

    • Aldéhydes et cétones : 2-héxenal, nonacosanone

    • Acides organiques nombreux : 6-hydroxykynurénique (principal métabolite du tryptophane pour le ginkgo biloba), shikimique

    • Phénols : 1,4-penthadiène-1,5-diyl-di-phénol, cardol et cardanol

    • Acides anacardiques (acides ginkgoliques)

    • Polysaccharides

    • Cyclitols

    Sophora du japon et quercétine

    Le Sophora du Japon, encore connu sous l’appellation botanique Styphnolobium Japonicum, est un arbre qui se distingue par sa taille imposante. Il possède de multiples bienfaits, touchant de nombreux domaines comme celui de la santé, de la construction et même de la décoration. Aussi appelé arbre à miel, il affectionne particulièrement les plaines arides et est originaire de la région couvrant la Chine ainsi que le Japon. D’ailleurs les japonais le cultivent depuis bien longtemps. Arrivé pour la première fois en Europe en 1747 grâce au Père d'Incarville, cet arbre a été adopté au fil du temps par la royauté. Ceci afin de rendre leurs jardins et parcs plus majestueux. Le sophora du Japon pousse généralement à proximité des pagodes, c’est d’ailleurs un autre de ses surnoms « arbre aux pagodes ». Sa floraison survient au cours de la deuxième moitié de l’été, à condition bien sûr d’avoir des températures assez chaudes pour favoriser ce développement.

    Le Sophora du Japon est principalement composé de flavonoïdes (antioxydants) et de triterpénoïdes, mais aussi de tanins. C’est d’ailleurs un arbre bourré de composés phytochimiques. Parmi les flavonoïdes présents dans l’arbre, nous notons la rutine, la quercétine, le kaempférol et l’isorhamnétine. Les fleurs du Sophora du Japon renferment de nombreux acides gras. Retrouvez ces bienfaits dans la formule REDOXAide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. Accompagne les processus d’antioxydation et préserve l’organisme tout en lui redonnant vitalité et bien-être.

    En conclusion

    Votre vessie joue un rôle déterminant sur votre état de santé général. Et que vous souffriez de fuites inattendues ou pas, il importe de surveiller ce que vous ingérez afin d’en retirer tous les bienfaits pour votre vessie. Rétablir l’équilibre pH de votre métabolisme contribuera à limiter les irritations causées à votre vessie et, par conséquent, à réduire la gravité des problèmes liés à l’incontinence. Et comme les femmes et les hommes souffrant d’incontinence pourraient vous le confirmer, l’inquiétude et le stress causé par ces fuites gênantes sont amplement suffisants. Inutile d’en rajouter.

  • Maladie d’Alzheimer: nouvelle piste thérapeutique

    • Par vogot
    • Le 13/09/2018

    Depuis le mois d'août 2018, les médicaments prescrits à un malade touché par la maladie d'Alzheimer ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale. C'est sûr, cela permet de coquettes économies, car aujourd'hui en France, 800.000 personnes sont touchées par cette maladie qui entraîne une dégénérescence du cerveau.

    Force est de constater qu'ils n'étaient pas très efficaces et entraînaient de lourds problèmes digestifs, cardiovasculaires et neuropsychiatriques.

    Vous n’êtes plus vraiment vous-même

    Ce qui fait le plus peur dans la maladie d’Alzheimer, c’est de perdre son identité. On dit aussi « perdre la tête ». En réalité, les victimes gardent une identité propre mais elle se transforme insidieusement et irrémédiablement. L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes : elle se construit et évolue tout au long de l’existence au fil des souvenirs et du temps. Ce qui vous donne le sentiment d’être la même personne qu’hier, que le mois dernier ou qu’il y a 20 ans, ce sont les souvenirs que vous avez de ces époques comme appartenant à votre passé. C’est la combinaison et l’interprétation de ces souvenirs à la lueur de votre situation présente qui forgent votre identité.

    Chez les personnes victimes de la maladie d’Alzheimer, la disparition progressive de certains souvenirs et l’incapacité d’en former de nouveaux les amènent à construire des identités en décalage avec ce qu’ils étaient auparavant. D’ailleurs, les proches des victimes rapportent souvent qu’elles ne sont plus celles qu’ils ont connues. Elles n’ont pas totalement perdu le sens de qui elles étaient, mais le processus identitaire est restreint à des souvenirs plus anciens et parfois très épars. Normalement, la mise à jour du processus identitaire se fait vers l’avant, de façon à intégrer les nouveaux souvenirs emmagasinés, mais dans le cas de la maladie d’Alzheimer, la mise à jour se fait à l’envers avec la perte progressive des souvenirs.

    Il arrive donc souvent que les victimes ne reconnaissent pas leurs enfants car ils ont perdu les souvenirs correspondant à cette tranche de vie. Pour les mêmes raisons, elles se présentent parfois sous un jour beaucoup plus jeune. Par exemple, certaines patientes sont persuadées d’avoir 17 ans et de devoir rentrer chez leurs parents.

    Deux mots craints par-dessus tout

    D’après un récent sondage, vous seriez plus de 85 % à craindre par-dessus tout cette maladie neurodégénérative dont le nom résonne comme celui d’un savant fou et cruel.

    Il faut dire que "l’épidémie" qui frappe les pays occidentaux est sans précédent : 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année et d’ici 2020, 1 français de plus de 65 ans sur 4 sera touché par la maladie d’Alzheimer.

    65 ans, ça n’est pas un âge très avancé puisque c’est l’âge légal du départ à la retraite dans de nombreux pays d’Europe… A cet âge, vous aimeriez probablement ressembler, comme tout le monde, à cette figure charismatique, sage et respectée, ce vétéran qui a toujours une histoire à raconter et devant lequel on s’incline avec admiration et bienveillance.

    Malheureusement, pour beaucoup, la réalité est autrement plus glaçante

    Souillure, dégénérescence, dépendance, incontinence… Les mots qui surgissent à l’évocation de la maladie d’Alzheimer sont terribles. Tout le monde ou presque s’accorde pour dire que c’est l’une des façons les plus angoissantes et les plus effrayantes de vieillir, mais aussi de mourir : la démence est un naufrage de l’esprit qui empêche d’être maître de son destin, de ses dernières volontés. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique pourquoi elle est en passe de détrôner le cancer au rayon des hantises.

    Vous n’avez plus les mêmes goûts

    La modification progressive de l’identité provoque également des changements au niveau des affinités, des goûts et des centres d’intérêt. Il arrive ainsi que des personnes passionnées par la littérature ou éprises par le monde des arts n’en voient soudainement plus du tout l’intérêt.

    Vous êtes mis à l’écart

    Voilà l’une des pires conséquences de la maladie : un décalage terrible se creuse entre la victime et son entourage. Comme elle n’arrive plus à répondre aux attentes de ses proches (parce qu’elle ne se souvient pas de tel événement, parce qu’elle ne reconnait pas tel visage ou parce qu’elle n’apprécie plus des choses qu’elles partageaient autrefois avec eux), ils perdent en retour la capacité à attendre encore quelque chose d’elle. Peu à peu, elle devient donc une personne étrangère. Et on a forcément moins d’empathie et d’attention pour une personne étrangère…

    Il y a mieux à faire que d’espérer y échapper : soyez actifs

    Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour que ça m’arrive ? La maladie d’Alzheimer est souvent vue comme un mal qui nous tombe dessus, un châtiment injuste qui s’installe sans frapper. Si les mécanismes permettant son développement sont encore largement méconnus, on sait qu’il est possible de réduire le risque, à condition de s’y prendre à l’avance. Car une fois que le ver est dans le fruit, c’est déjà trop tard.

    1) La restriction calorique

    Comment définir le devenir de personnes prédisposées génétiquement à la maladie (tous porteurs du gène ApoE4) ? Avant tout, sachez que les personnes qui ont une alimentation riche en calories sont plus touchées que celles qui en consomment relativement peu. La restriction calorique permet d’augmenter la résistance des neurones à la maladie d’Alzheimer, aux accidents vasculaires cérébraux mais aussi au vieillissement normal de l’organisme. Il y a donc un intérêt réel à réduire les portions alimentaires, autre que la perte de poids et l’aspect esthétique. Pour cela, pas de secret, l’instauration d’une nouvelle habitude, d'excellentes combinaisons alimentaires, une discipline de fer et des aides naturelles pour réduire l’appétit comme Konjac, Nopal et Griffonia simplicifolia (pour augmenter la sensation de satiété).

    2) Une alimentation riche en antioxydants

    L’intérêt des antioxydants pour réduire les effets néfastes des espèces réactives de l’oxygène sur les neurones, est indéniable. Bien que tous les antioxydants semblent être bénéfiques, je met l’accent sur 3 antioxydants : l’acide folique (qu’on trouve surtout dans les abats, les légumineuses et les légumes à feuilles vert foncé, mais aussi dans des suppléments tels que Multivitamines B, la vitamine B6 (qu’on trouve dans les abats, le poisson et les céréales entières, ou dans des suppléments tels que Formule Vitaminéro) et la vitamine B12 (Je vous conseille de lire à ce sujet : Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).

    3) Un entraînement mental

    Les personnes s’adonnant à des activités stimulantes sur le plan mental (lecture, jeux de réflexion, apprentissage, jeux de mémoire) ont moins de risque de souffrir de démence à un âge avancé. C’est le fait de garder un esprit actif et alerte tout au long de sa vie qui favorise le maintien des connexions neuronales et permet de repousser le déclin cognitif et la démence. Si vous ne pratiquez pas ce genre d’activité, vous savez donc ce qui vous reste à faire.

    A l’heure actuelle, il n’existe toujours pas de traitement efficace pour guérir la maladie d’Alzheimer et toutes les formes de démence apparentées. Il est donc logique d’en avoir peur. Mais la peur peut aussi être une arme efficace lorsqu’elle est utilisée à bon escient : ne la laissez pas vous tétaniser et agissez dès maintenant.

    Alors que faire pour enrayer la maladie et contrer les symptômes ?

    Il n’est actuellement pas possible de guérir la maladie d’Alzheimer, mais vous pouvez tout à fait  vous opposer à sa progression et enrayer le déclin qui affecte la mémoire et les fonctions cognitives ! J'ai donc recensé quelques remèdes naturels, très documentés dans la littérature scientifique, et malheureusement trop peu connus du grand public :

    Le Ginkgo Biloba

    • Plusieurs études montrent que la prise d’un supplément naturel à base de feuilles de ginkgo biloba améliore les symptômes de la maladie d’Alzheimer, et notamment la mémoire et la vitesse de traitement cognitif.

    Mécanismes d’action : l’intérêt des feuilles de ginkgo sur la maladie d’Alzheimer s’explique par ses effets positifs sur les protéines beta-amyloïdes qui induisent la mort des cellules. Il est également fort probable qu’elles influencent les niveaux de plusieurs neurotransmetteurs-clés (des composés chimiques libérés par les neurones agissant sur d'autres neurones).

    Le Safran

    • Actuellement, il a été démontré que l'extrait de safran possède un effet antioxydant, anti-inflammatoire, anticonvulsif, antidépresseur, et améliore également la mémoire et l'apprentissage. La crocine, la picrocrocine, la crocétine et le safranal ont des propriétés antioxydantes et ont été utilisés dans la médecine traditionnelle indienne pour le traitement des dysfonctionnements cognitifs. De cette façon, son utilisation pour améliorer la mémoire et l'apprentissage a été décrite du fait que l'effet antioxydant du safran participe à la protection des neurones contre l'oxydation : l'extrait de safran peut éliminer les radicaux libres, plus particulièrement les ions superoxyde.

    Le moringa

    • La feuille de moringa est d’un vert vif, elle contient plus de 90 nutriments, 46 antioxydants, vitamines, minéraux, protéines, ainsi que tous les acides aminés essentiels. Elle est considérée comme un super-aliment. Elle traîte la dégénérescence nerveuse et cellulaire.

    Oméga-3  EPA+ et vitamine E

    • Les omégas-3 EPA+ participent au bon développement du cerveau, des nerfs, de la rétine. Ils sont donc importants. Ils préservent la vue et les fonctions cérébrales. Ils sont bénéfiques à notre équilibre nerveux et émotionnel. Bref, vous avez tout intérêt à en augmenter les quantités en apports de compléments alimentaires.

    Redox

    • REDOX aide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. En effet, de nombreux facteurs favorisent leur production. Cette espèce chimique très instable oxyde les cellules et fragilise le système immunitaire, provoquant l'apparition de certaines maladies comme le cancer. Seuls les antioxydants peuvent alors équilibrer les fonctions naturelles de l’organisme mis à mal. Grâce à sa formule unique en antioxydants végétaux, REDOX est un puissant anti-âge, qui redonne bien-être et vitalité.

  • Rêves lucides: quelle vitamine aide à s'en souvenir ?

    • Par vogot
    • Le 10/09/2018

    Définition

    Le rêve lucide est un rêve contrôlé par un rêveur conscient de sa condition endormie. C’est donc là que la définition du mot « lucide » prend son sens.

    Rêves lucides: explications

    Les rêves lucides se produisent tardivement dans le cycle du sommeil et presque exclusivement durant le sommeil paradoxal. La méditation et les psychothérapies sont connues pour faciliter leur apparition. Il existe même différentes techniques censées augmenter leur fréquence.

    La pratique assidue de certaines de ces techniques permettra à des sujets ayant un bon rappel onirique de bien maîtriser leur lucidité.

    Ces rêves peuvent avoir de multiples bienfaits, notamment pour diminuer les cauchemars, traiter les phobies, résoudre des problèmes créatifs, travailler vos capacités motrices et même aider à surmonter un traumatisme physique.

    Vous avez fait un rêve qui vaut la peine d’être raconté, mais plus vous essayez de vous le remémorer, plus les images deviennent insaisissables. Avez-vous déjà connu cette frustration ? Il vous arrive même de n’avoir aucun souvenir de vos aventures nocturnes ? Je pourrais avoir une solution pour vous.

    Comment réussir à faire des « rêves lucides »

    Pour réussir à faire des « rêves lucides », il faut d’abord être capable de se rappeler de ses rêves. La vitamine B6 pourra constituer une aide crédible pour y parvenir.

    Si vous souhaitez tester l’expérience sur plusieurs jours, sachez que le dosage correspond à 2 gélules Multivitamines B par jour, à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    La vitamine B6 contenue dans Multivitamines B, est une vitamine essentielle à l’organisme qui joue un rôle crucial dans la synthèse de plusieurs neurotransmetteurs comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine et l'acide gamma-aminobutyrique. Elle est d’ailleurs reconnue pour son rôle dans le maintien de l’équilibre psychique.

    Propriétés de la vitamine B6

    La vitamine B6 joue un rôle de cofacteur dans un grand nombre de processus reliés au métabolisme des acides aminés et des protéines. Elle est aussi nécessaire à la production de la vitamine B3, à partir du tryptophane, un acide aminé. Et, comme la majorité des vitamines du groupe B, la vitamine B6 est essentielle à la production d’énergie à partir du glycogène musculaire (forme de stockage des sucres dans le muscle).

    Elle joue un rôle crucial dans la synthèse de certains anticorps, de l'hémoglobine et de certains neurotransmetteurs comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine et l'acide gamma-aminobutyrique. Elle joue, à ce titre, un rôle important dans le maintien de l’équilibre psychique. Elle contribue à la bonne absorption de la vitamine B12 par l'organisme.

    Technique de mise en condition

    Allongez-vous et détendez-vous complètement. Laissez-vous aller, tous les muscles de votre corps doivent être parfaitement relâchés. Il ne doit plus subsister aucune tension.

    Une parfaite détente physique va également vous permettre de maîtriser peu à peu vos pensées, et de mettre l'esprit au repos. Laissez circuler librement vos pensées, laissez-les défiler en images, même si elles vous paraissent bien confuses et agaçantes. Peu à peu, le repos de votre corps va favoriser celui de l'esprit.

    Lorsque vous êtes parvenu(e) à atteindre un état suffisant de relaxation, vous devez éprouver un état d'engourdissement agréable. Puis, quand vous êtes sûr(e) que rien ne viendra troubler cet état de quiétude, vous pouvez débuter le travail de visualisation.

    Au moment où que votre esprit se calme peu à peu, vous allez voir défiler de nombreuses images très confuses devant vos yeux. Vous avez atteint l'état hypnagogique qui précède l'endormissement, désormais la clé de la réussite est de rester parfaitement éveillé(e) durant ce processus d'endormissement.

    Il s'agit de rester parfaitement lucide et éveillé(e), tandis que le corps physique s'endort.

    Technique de visualisation

    Les images qui défilent sous vous yeux, se forment au début comme de sombres luminosités de diverses couleurs, désorganisées, apparaissant, grossissant et disparaissant aussi vite qu'elles ont rétréci. Rien de très significatif, il est rare que vous puissiez y discerner une forme concrète.

    Il s'agit d'un phénomène cérébral, lié à une décharge neuronale du cortex occipital (en relation avec le sens de la vue), tout comme si vous aviez reçu un coup à l'arrière du crâne. En ce cas, vous verriez véritablement 36 chandelles, car le cortex est ainsi stimulé par le coup.

    C'est un phénomène naturel, qui assiste fortement la concentration par le pouvoir de la visualisation.

    Vous allez constater que les images se précisent peu à peu, quelques formes commencent à se dessiner. Alors que vous êtes parfaitement détendu(e), votre corps est en train de s'endormir à tel point que vous pouvez commencer à vous entendre ronfler, votre vision commence à se fixer sur certains détails plus précis. A travers cette brume visuelle, vous distinguez des éléments de décors, des formes, un visage, un arbre...

    Concentrez toute votre attention sur ces détails, en gardant votre calme, sinon vous allez les faire disparaître et réveiller le corps physique, ce qui signifiera la fin de l'expérimentation.

    Si vous êtes en condition optimale de relaxation, les détails que vous observez vont rapidement prendre vie, et votre champ de vision va embrasser un environnement qui vous paraît tout à fait réel et présent. Vous pouvez ainsi contempler un sapin, observer que l'environnement se transforme rapidement en un paysage de montagne, ou encore observer une porte qui vous semble familière, l'ouvrir, et pénétrer dans un environnement aux détails très précis, qui vous rappelle de très près votre domicile.

    Vous venez d'entrer dans un domaine où vous pouvez à loisir évoluer, vous venez de pénétrer consciemment dans un rêve lucide. Si vous progressez dans cette technique, vous pouvez utiliser l'état de relaxation totale afin d'en profiter pour sortir hors de votre corps, et vivre une aventure dans le monde astral.

    Mesurez l’efficacité de la vitamine B6 avec un carnet de rêves

    Pour vérifier l’efficacité de la vitamine B6 et mesurer vos progrès, vous pouvez commencer à tenir un journal des rêves le premier jour de votre supplémentation en Multivitamines B.

    Pour cela rien de plus simple :

    • Trouvez un journal ou un cahier qui vous convient.

    • Posez-le à un endroit situé juste à côté de votre lit (pour que vous n’ayez pas à vous lever pour aller le chercher).

    • Le soir, au moment de vous coucher, notez la date du lendemain.

    • Tracez ensuite une colonne au milieu de la page : à gauche, vous écrirez le déroulé de votre rêve, à droite, vous tenterez de l’interpréter.

    • Au réveil, prenez immédiatement le carnet en main et écrivez tout ce dont vous pouvez vous rappeler. Intégrez-y les couleurs, les impressions, les émotions, les personnages, les échanges et tout ce qui a pu apparaître dans le rêve. Ne cherchez pas à trouver un style particulier : contentez vous d’écrire le plus vite possible avant que les détails du rêve ne deviennent plus flous.

    • Donnez un nom à votre rêve. Vous pouvez également l’illustrer si vous en ressentez le besoin et l’interpréter dans la colonne de droite.

    • Constatez vos progrès au fil du temps.

  • Antidouleurs: à lire avant de consommer des analgésiques

    • Par vogot
    • Le 05/09/2018

    Vous avez sans doute lu, çà et là certains articles sur le paracétamol.

    Des chercheurs montrent un taux de mortalité accru pouvant atteindre jusqu'à 63%, chez les personnes qui consomment des doses importantes de manière répétée.

    Médicament anti-douleur le plus vendu dans le monde, le paracétamol pourrait ne pas être aussi inoffensif que certains l'imaginent et accroître, à haute dose et à long terme, les risques rénaux et cardiovasculaires, selon une étude britannique.

    Alors que l'on connaissait déjà, en cas d'abus, la toxicité du paracétamol pour le foie, des chercheurs britanniques se sont penchés sur les conséquences d'une prise régulière et à long terme du médicament.

    Le paracétamol (ou acétaminophène) est vendu dans le monde, la plupart du temps sans ordonnance, sous des marques diverses (Doliprane ou Efferalgan en France, Tylenol en Amérique du nord).

    La prise régulière de paracétamol augmente également le risque de maladies cardiovasculaires, d'hémorragies digestives et de problèmes rénaux.

    Lorsque vous dépassez 3 grammes par jour pendant deux semaines ou plus vous commencez à rentrer dans un zone à risque plus élevé.

    Toutefois, je  ne remets pas en cause les qualités du paracétamol qui reste un médicament très utile contre la douleur et la fièvre et qui présente moins d'effets secondaires que l'aspirine ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l'ibuprofène. Il n'existe aucun médicament n'ayant pas d'effets indésirables mais il vaut mieux éviter de le prendre en continu pendant plus de deux à trois semaines.

    Au XXIème siècle, il est impensable de subir des douleurs, qu'elles soient, musculaires, articulaires, ou autres.

    Vous avez souvent des douleurs, et de temps à autres, vous êtes tenté(e) comme tout le monde de prendre quelques médicaments analgésiques…

    Si c’est le cas, vous serez certainement intéressé(e) par ces nouvelles découvertes que j'ai listées sous forme d’affirmations. Un petit jeu, sous forme de devinettes est à votre disposition. La pseudo-science a certainement voulu vous faire croire que la vérité était une chose fixe et absolue. Je vous démontre si elles sont vraies ou fausses.

    Certains termes vont vous paraître rébarbatifs ou scientifiques, je vais donc tenter d'utiliser des mots compréhensibles pour tout un chacun.

    Analgésique et alcool

    Avaler machinalement un médicament analgésique le lendemain d’une soirée très arrosée est dangereux.

    C’est vrai.

    Lorsque vous consommez une grande quantité d’alcool, votre foie se charge de le transformer d’abord en acétaldéhyde puis en acétate, un composé parfaitement inoffensif libéré dans la circulation générale.

    Le problème c’est que l’acétaldéhyde, le composé intermédiaire, est un métabolite très toxique qui modifie les propriétés de certaines protéines et favorise la mort cellulaire. Il faut donc que cet intermédiaire soit transformé au plus vite en acétate, pour éviter qu’il ne fasse trop de dégâts dans l’organisme. Cette transformation vitale est assurée par une enzyme qu’on appelle l’ALDH. Elle met en jeu également plusieurs antioxydants endogènes comme le glutathion.

    Le glutathion est une protéine naturelle qui protège les cellules, les tissus et les organes contre la maladie, le vieillissement et le cancer. Il se compose de trois acides aminés: la glycine, le glutamate et la cystéine. Les deux premiers se trouvent facilement et en quantité suffisante dans les cellules. Par contre le troisième, la cystéine, se trouve rarement dans l'alimentation et, pour ajouter au malheur, la cuisson des aliments le dénature, limitant d'autant plus la capacité du corps à produire le glutathion.

    Après une forte alcoolisation, les disponiblités de l'ALDH et les stocks de glutathion sont donc fortement réduits. Or, les deux jouent également un rôle décisif dans la détoxication du paracétamol ! Celui-ci est transformé dans l’organisme en un composé très toxique pour le foie, la NAPQI, qui à son tour est normalement éliminé par les ALDH en conjugaison avec le glutathion.

    Autrement dit, quand vous consommez trop d’alcool, vous épuisez vos chances de détoxifier correctement le paracétamol, au point de détruire des parties entières du foie : ce sont les lyses hépatiques. Je vous avais aussi parlé dans un article de fibrose et stéatose, petit rappel >> LIEN <<

    Paracétamol et système antioxydant

    Le paracétamol nuit au système antioxydant de l’organisme ?

    Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est vrai.

    Vous avez tendance à avaler un ou deux comprimés de paracétamol quand vous êtes malades pour vous sentir mieux. Mais cet automatisme qu’on imagine bénéfique pour améliorer votre état fait tout le contraire en nuisant à l’efficacité du système antioxydant enzymatique de l’organisme.

    Bien que le paracétamol puisse lui-même être un antioxydant temporaire, sa métabolisation par l’organisme fait chuter les taux de glutathion, de glutathion peroxydase (GPx), de superoxyde dismutase ainsi que le statut antioxydant total de l’organisme. Or ces enzymes font partie des antioxydants les plus efficaces pour lutter contre les radicaux libres impliqués dans les maladies et le vieillissement…

    Antidouleurs et informations

    Les antidouleurs troublent le traitement des informations ?

    C’est probablement vrai.

    En fait, le mécanisme d’action complet du paracétamol n’est pas encore élucidé. Plusieurs hypothèses ont été avancées notamment celle selon laquelle certains neurones exerçant un contrôle inhibiteur sur les voies nociceptives (c’est-à-dire de la douleur) seraient potentialisés par la molécule.

    On connaît donc encore bien peu de choses sur son impact sur le système nerveux central (SNC), bien qu’elle soit déjà connue depuis fort longtemps.

    Au cours d’une étude, des volontaires ont pris part à un jeu qui nécessite de prendre des décisions à des moments opportuns. Les chercheurs ont découvert que les personnes ayant pris du paracétamol ont commis plus d’erreurs que ceux qui n’en avaient pas avalé. Cette expérience a conforté les auteurs de l’étude et s’ajoute à d’autres travaux ayant montré que l’usage de ces médicaments pouvait modifier vos émotions et vos modes de pensées.

    Analgésiques et fatigue

    Les médicaments analgésiques ne sont pas efficaces quand on est fatigué ?

    Là encore, il semble que ce soit vrai.

    Les effets des antidouleurs les plus courants sont considérablement réduits en cas de manque de sommeil. Il existerait d’ailleurs une forte relation entre la privation de sommeil et l’exacerbation de la douleur: nous (thérapeutes) sommes capables de prédire l’apparition et l’intensité des douleurs chez des personnes en bonne santé en prenant uniquement en compte la qualité et la durée du sommeil de la nuit précédente, grâce à une anamnèse ou en prenant le temps de discuter avec les patients.

    Autrement dit, plus vous êtes fatigué(e), plus vous avez de chance de souffrir et moins les médicaments antidouleurs vous seront utiles.

    Antidouleurs et effets secondaires

    Les effets secondaires des antidouleurs ne sont pas graves pour la santé lorsqu’ils sont pris à des doses normales ?

    C’est entièrement faux.

    Vous pensez probablement que les antidouleurs ne provoquent que des effets secondaires mineurs. Les effets gastro-intestinaux, en particulier, sont bien connus du grand public. Certains médecins prescrivent des anti-acides pour palier aux effets du Paracétamol, une aubaine pour les grands groupes pharmaceutiques !

    En réalité, les effets peuvent être graves dans de nombreux cas même à des doses thérapeutiques. C’est le cas en particulier chez les sujets âgés, les personnes aux fonctions hépatiques préalablement altérées (à la suite d’une consommation régulière d’alcool par exemple ou d’une alimentation médiocre), les personnes qui prennent d’autres médicaments en parallèle et celles qui présentent des risques sur le plan cardiovasculaire.

    Aux Etats-Unis, par exemple, les chiffres officiels sont effarants : 1,9 millions d’américains sont dépendants aux traitements antidouleurs et 19 000 en meurent chaque année.

    L’association française 60 millions de consommateurs a publié récemment un rapport dans lequel elle recommande de privilégier le paracétamol plutôt que l’ibuprofène (dont l’impact sur la fertilité et le système cardiovasculaire sont connus) et l’aspirine (qui fait courir un risque rénal et hépatique certain). Une étude récente a même indiqué qu’une personne sous ibuprofène avait 77 % de risques suppléments de mourir d’un AVC qu’une personne qui prend un simple placebo. Pour les risques d'A.V.C., je vous suggère la lecture de cet article >> LIEN <<.

    Problème, le paracétamol n’est pas d’une grande utilité lorsque la douleur est d’origine inflammatoire, comme c’est le cas des douleurs arthrosiques… Et lui aussi pose de plus en plus de problèmes hépatiques : un panel de professionnels américains a émis la recommandation de faire passer la dose maximale d’un comprimé de 1 g à 650 mg, alors qu'en France, elle est de 3g maximum par jour toutes les 6h à 8h.

    Douleurs et solutions naturelles

    Pour soulager, il n’existe pas vraiment de solutions naturelles ?

    Heureusement, vous savez que c’est faux.

    C’est d’ailleurs cette voie qui est de plus en plus plébiscitée et conseillée par les naturopathes depuis fort longtemps, même s’il reste beaucoup de chemin à faire. Elle repose sur un principe simple : l’organisme est parfaitement capable de moduler lui-même les douleurs grâce à des composés qu’il fabrique ou qu’il puise dans son alimentation.

    Les solutions naturelles consistent donc à aider l’organisme à mieux construire ces antidouleurs endogènes ou à les lui apporter par l’alimentation. Comme ce sont des composés structurels ou familiers de l’organisme, ils présentent l’avantage considérable de ne pas provoquer d’effets secondaires.

    a) Les endorphines

    Les endorphines sont de petites protéines capables de réduire la propagation du message douloureux jusqu’au cerveau, ce qui provoque un soulagement durable de la douleur. Elles agissent en se fixant sur des récepteurs opioïdes (les mêmes sur lesquels se fixe la morphine) présents à la surface des neurones impliqués dans le message de la douleur.

    Nous connaissons plusieurs moyens de stimuler leur production :

    • La pratique du massage contribue à la production d’enképhaline, un type spécifique d’endorphine.

    • L’introduction des aiguillons d’acupuncture entraîne la libération d’endorphines. Ce sont les microtraumatismes causés par la rotation de l’aiguille effectuée par le praticien qui seraient responsables de cette réaction bénéfique. Bien que cette pratique ne soit pas prise en compte en naturopathie, je vous en parle tout de même.

    • Les exercices physiques augmentent les taux plasmatiques d’endorphines. Ils activent également des fibres sensitives qui augmentent le seuil d’activation des fibres de la douleur.

    b) Les composés endogènes anti-inflammatoires comme le PEA

    L’inflammation est une réponse cellulaire fondamentale qui permet à l’organisme d’initier les processus de réparation et de défense face aux agresseurs. C’est elle qui entraîne l’apparition de douleurs chroniques lorsqu’elle se prolonge trop longtemps et qui pourrait être à l’origine de nombreuses maladies neurodégénératives.

    Pour se protéger de cette inflammation chronique, l’organisme fabrique un acide gras qu’on appelle le PEA (palmitoylethanolamide). C’est une petite molécule très simple fabriquée à la demande au niveau des membranes cellulaires. On le trouve dans toutes les cellules de l’organisme, mais sa concentration augmente dans le tissu cérébral et dans les zones qui sont douloureuses de façon chronique.

    Le PEA exerce ses effets sur les cellules impliquées dans la génération et la transmission de la douleur et module l’activation de deux types de cellules impliquées dans la neuro-inflammation : les cellules de la microglie et les mastocytes.

    Ces propriétés le rendent particulièrement intéressant pour soulager les douleurs neuropathiques et la neuro-inflammation qui joue un rôle crucial dans la pathogénèse des douleurs chroniques.

    Pathogénèse: désigne le ou les processus responsable(s) du déclenchement et du développement d'une maladie donnée. On l'utilise aussi pour désigner les évènements ayant conduit à l'apparition d'une maladie et le déroulement de cette dernière. La pathogenèse peut impliquer les gènes, le mode de vie, l'environnement ainsi que tout autre facteur de risque spécifique à un individu (tant sur le plan physique que psychologique) ou non. L'identification de la pathogenèse d'une maladie insiste donc sur le déroulement et les processus physiopathologiques mis en jeu par l'organisme et le psychisme au cours d'une maladie.

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    Ainsi, plutôt que d’avaler des médicaments complexes dont les mécanismes d’action ne sont toujours pas élucidés, l’intérêt d’une supplémentation en PEA aide naturellement l’organisme à lutter contre les douleurs chroniques d’origine inflammatoire et les douleurs neuropathiques. Comme les oméga-3 EPA+ et vitamine E, les vitamines ou la mélatonine, le PEA est une molécule naturellement présente dans l’organisme et n’est donc pas un médicament.

    Les plus puissants composés naturels contre les douleurs articulaires

    Formule douleurs articulaires contenant l'harpagophytum, l'uncaria tomentosa et le curcuma.

    Harpagophytum

    Si vous recherchez une plante aux vertus antalgiques articulaires, vous serez tenté de prendre quelques gélules de la célèbre griffe du diable (Harpagophytum procumbens). Sans effet secondaire, ni sur la muqueuse de l’estomac, ni sur un quelconque autre endroit du corps, cette plante a connu en trente ans un succès croissant.

    Uncaria tomentosa

    Mais face à des maladies redoutables comme la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique, mieux vaut se tourner vers la griffe du chat (Uncaria tomentosa), elle aussi d’origine amazonienne. Son emploi dans la journée atténuera ou fera disparaître la douleur du colon par un effet anti-inflammatoire. Son effet calmant se double d’une activité immunitaire salvatrice pour tout ce qui touche la sphère colique. Même si dans le principe je déconseille des cures sur de longues durées, la griffe du chat prise pendant une longue période ne présente pas d’inconvénient.

    Curcuma

    En sanscrit, le curcuma se nomme haridra, il est utilisé en cuisine et en médecine Ayurvédique. Traditionnellement recommandé contre les lourdeurs digestives, les problèmes de peau et divers troubles inflammatoires, le curcuma possède de puissantes propriétés thérapeutiques. 

    c) Enfin, il existe d'autres moyens naturels de soulager les douleurs

    Lorsqu’elles deviennent chroniques, les douleurs deviennent complexes : les afférences nociceptives établissent petit à petit des liens directs vers le système limbique et le cortex frontal, deux régions associées à la mémoire et aux émotions. Si bien que les douleurs peuvent persister malgré la disparition totale des stimuli initiaux. Ce type de douleurs ne répond généralement pas aux traitements médicamenteux.

    En revanche, l’ensemble des stratégies mentales et comportementales destinées à gérer la douleur et le stress peuvent être efficaces ! C’est le cas de la méditation de pleine conscience, du yoga et de toutes les disciplines orientales qui favorisent un point de vue calme sur la vie (Qi Gong, Tai-chi…), de la thérapie cognitivo-comportementale, de la sophrologie ou encore des approches créatrices comme la visualisation, les loisirs calmes et sans compétition (peinture, jardinage) …

    Des solutions douces pour souffler

    De nombreuses "bio" thérapies peuvent apporter un soulagement et éviter le recours systématique à ces médicaments aux effets pernicieux. Gemmothérapie, massothérapie, naturopathie... la liste est longue, on y trouve de quoi faire face à l'urgence, ou des traitements de fond pour renforcer le terrain. Sans entrer dans le détail des utilisations (faciles à trouver), retenons :

    Pour les spasmes :

    • Les remèdes homéopathiques donnent parfois de très bons résultats : Colocynthis 5 CH (quand on est plié en deux), Cuprum Metallicum 5 CH associé à belladonna 5 CH et Raphanus 5 CH (quand ballonnements et gaz les accompagnent) ou China Complexe n°107.

    • L'huile essentielle de menthe poivrée a montré une efficacité antispasmodique comparable au Dicetel (un classique de l'allopathie) : sa capacité à soulager les symptômes du SII est reconnue par la Commission E.

    Pour réguler le transit (diarrhée et constipation) :

    • La myrtille est parfaite devant les diarrhées. En décoction (baies) ou jus elle resserre les tissus et enraye (vite) l'emballement intestinal. On en trouve aussi en gélules.

    • L'argile verte apaise les petites inflammations et reminéralise les tissus.

    • Le psyllium adoucit la muqueuse intestinale par son apport en fibres bien toléré, comme les graines de lin (également reconnues par les autorités européennes pour leur effet calmant) et leurs fibres solubles, douces.

    • Certaines familles de probiotiques calment et soutiennent l'intestin tout en diminuant les épisodes douloureux, les ballonnements et les flatulences. Les plus efficaces à l'aune des dernières études seraient : Lactobacillus rhamnosus GG, Lactobacillus plantarum, Bifidobacterium infantis, Streptococcus faecium, Streptococcus thremophilus, Saccharomyces boulardii.

    Pour les ballonements

    • Le charbon activé régularise le transit en nettoyant surtout le conduit intestinal. Il réduit très rapidement la fermentation et la production de gaz. Prenez-le à distance de vos autres médicaments ou compléments.

    Pour l'anxiété et le stress :

    • L'hypnothérapie, les techniques de relaxation, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la sophrologie aident à surmonter les ruminations et l'état anxieux, modifient la perception de la douleur et les habitudes de défécation. Des tests positifs l'ont confirmé.

    Pour le caractère inflammatoire :

    • Une plante traditionnelle, la Boswellia serrata, est connue pour réduire l’inflammation de la muqueuse intestinale. Son extrait doit être titré minimum à 65 % d’acide boswellique et on en prendra 1 à 1,5 g par jour pendant un minimum de trois mois avant de lui associer un probiotique et des prébiotiques. L’aloé vera se révèle aussi efficace (1 cuiller à café de gel deux fois par jour, voire plus après avis spécialisé).

    • Des compléments alimentaires à base de chlorophylle concentrée.  Elle neutralise de plus les toxines de certains germes et stimule fortement la régénération cellulaire.

    Si vous aimez préparer vous-mêmes vos tisanes, pensez aux tisanes à base de plantes amères ! Drainantes, dépuratives, anti-inflammatoires, antispasmodiques (chardon-Marie, camomille, curcuma...), ces tisanes répondent bien au quotidien des troubles digestifs fonctionnels et du SII.

    • Repérer les aliments déclenchants et éviter les repas trop gras ou trop copieux qui ralentissent la digestion.

    Il vous faudrait vous passer des aliments qui contiennent du blé, de l'orge et du seigle: pain, pâtes, céréales, pizzas, viennoiseries, gâteaux, crêpes, produits panés et en croûte, biscottes, semoule, bière et de nombreux plats industriels utilisant le gluten comme liant. Vous pourrez les remplacer par du riz, de la farine de maïs, de la fécule de pomme de terre...

    Les aliments frits, grillés, rôtis, bien que délicieux, sont à limiter. Les hautes températures de cuisson favorisent un phénomène appelé la glycation ou encore la production de protéines glyquées. Des substances pas très recommandables, qui déclenchent une augmentation des cytokines inflammatoires, des ennemies de nos cartilages!

    Il convient aussi de limiter les aliments qui favorisent l'inflammation. Les charcuteries car elles sont très chargées en oméga 6, des graisses pro-inflammatoires; le beurre cuit; les viandes très persillées, reconnaissables aux filaments blancs qui les zèbrent; le sucre et les produits sucrés et cela, d'autant plus qu'ils ont un index glycémique élevé, c'est-à-dire qu'ils font brutalement monter le taux de sucre dans le sang.

    Mais alors....que consommer en cas de douleurs aigües ou chroniques

    Les fruits et légumes sont "basifiants" grâce au potassium. L'idéal pour parvenir à un bon équilibre acide-base: 70% de fruits et légumes, 30% étant réservés à tout le reste. Un conseil pour tendre vers cet objectif: combinez vos repas, le déjeuner (repas du midi) les crudités, les légumes, la viande, le poisson ou le fromage (brebis ou chèvre) et le diner (le repas du soir) les crudités, les féculents, les légumes.

    Les fruits toujours en dehors des repas (au collations par exemple: 10h00 ou 16h00). Principe simple et basique.

    L'eau, la boisson idéale

    Le cartilage des articulations étant composé à 75% d'eau, s'hydrater est primordial. Apprenez à écouter votre corps et à boire chaque fois que vous avez soif. Vous êtes trop nombreux à souvent différer la satisfaction de ce besoin sous prétexte que vous êtes occupés et avez d'autres choses plus urgentes à faire... L'eau reste la boisson idéale.

    Si vous avez du mal à boire, vous pouvez agrémenter l'eau d'un citron pressé, un agrume qui, malgré son goût acide, a des effets "basifiants" dans l'organisme. Le thé vert s'avère également intéressant pour sa richesse en antioxydants.

    Mais, ne jamais boire au cours des repas, privilégiez les boissons 1/4 d'heure avant ou 45 minutes après vos repas (sauf le petit-déjeuner, évidemment). En effet, les boissons diluent les vitamines hydro-solubles contenues dans votre alimentation, entre autres. Quand au café en fin de repas, oubliez-le définitivement.

    Les antioxydants vous veulent du bien

    Vitamines A, C, E, K, caroténoïdes, polyphénols sont des antioxydants qui veulent du bien à vos articulations. Ils ont en effet le mérite de neutraliser les radicaux libres, des substances très agressives contre l'organisme que nos cellules fabriquent au contact de l'oxygène, qui accélèrent le vieillissement des tissus et entraînent de l'oxydation. Encore de la "rouille" pour vos genoux et vos hanches!

    On les trouve dans les fruits et légumes, toujours eux!

    Parmi les fruits, privilégiez les baies et fruits rouges (myrtilles, fraises, framboises, mûres, groseilles, cerises), les agrumes, les prunes, les kiwis, l'ananas et les dattes, tous très riches en antioxydants.

    Parmi les légumes, optez pour les crucifères (chou-fleur, chou rouge et blanc, chou de Bruxelles, chou frisé, brocoli, chou-rave, chou romanesco, radis noir, navet, rutabaga, raifort).

    Les fruits et légumes bio ont une teneur en nutriments protecteurs supérieure à ceux issus de l'agriculture traditionnelle, et ils contiennent beaucoup moins de toxines, notamment de pesticides (le taux 0 est impossible à atteindre, même en agriculture biologique).

    Si, hélas, vous n'aimez pas la saveur des fruits et des légumes, la Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels.

    Formule VitaMinéro aide en période de vie active: physiquement et mentalement. Elle contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.

  • Risques d'A.V.C.: des solutions naturelles et efficaces existent

    • Par vogot
    • Le 03/09/2018

    Qu'est-ce qu'un A.V.C. ?

    L' A.V.C. (accident vasculaire cérébral) est un trouble vasculaire cérébral touchant les vaisseaux sanguins qui amènent le sang au cerveau. Cela survient lorsque le flux sanguin rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) qui bloque son passage vers les différentes parties du cerveau, ce qui prive ces dernières de leur apport vital en oxygène, causant leur disfonctionnement puis leur mort en quelques minutes.

    Les effets dévastateurs d'un accident vasculaire cérébral sont souvent permanents car les cellules cérébrales mortes ne sont pas remplacées.

    Première cause de handicap physique de l'adulte en France

    Les AVC sont souvent responsables de séquelles lourdes, l'accident pouvant toucher des grandes fonctions neurologiques, telles que la motricité (hémiplégie), la sensibilité (anesthésie, douleurs), le langage (apahasie), la vision, ce qui entraîne de nombreuses difficultés de réinsertion.

    Si l’un de vos proches a déjà subi un accident vasculaire cérébral (AVC), alors vous savez que c’est probablement l’un des pires accidents qui peuvent survenir dans une vie. Une personne sur dix seulement récupère intégralement ses capacités physiques et mentales : les autres en gardent des séquelles handicapantes à vie et près de 40 % en meurent dans les mois qui suivent.

    Le plus dur, c’est que rien ne laisse jamais présager un tel drame.

    Processus brutal et imprévisible

    Un beau jour, une plaque de nature graisseuse se détache de la paroi d’un vaisseau sanguin et se laisse porter par le courant du flux sanguin. Elle poursuit sa route paisiblement jusqu’à ce qu’elle se retrouve finalement coincée par le rétrécissement de l’artère. C’est à ce moment-là que tout bascule : l’obstruction du vaisseau par la plaque va interrompre brusquement la circulation sanguine et priver d’oxygène les milliers de cellules nerveuses qui dépendaient littéralement de cette artère pour survivre.

    Si rien n’est fait dans les heures qui suivent, les neurones mourront asphyxiés, supprimant des pans entiers de circuits neuronaux responsables de fonctions complexes comme la sensibilité tactile, l’élocution, l’équilibre… Si les dégâts ne sont pas trop importants et que la victime est encore jeune, les circuits neuronaux pourront être reconstruits grâce à la plasticité neuronale mais il faudra du temps. Dans le cas contraire, le plus fréquent, rien ne sera plus jamais pareil.

    Les conséquences de cet accident ont de quoi glacer le sang et il n’est pas étonnant qu’une majorité de personnes ne veulent pas en entendre parler : elles espèrent secrètement et silencieusement qu’elles passeront entre les mailles du filet. Mais en refusant de voir la réalité en face, elles s’exposent à un risque supplémentaire inutile et dangereux. Les AVC ne frappent pas vraiment « à l’aveugle » : des mesures alimentaires simples permettent de diminuer le risque de 80 %, grâce à une anamnèse réalisée par un professionnel de santé.

    Que représente une diminution du risque de 80 % ?

    Imaginez que vous ayez à piocher une carte " au hasard " dans un paquet de 100 cartes qui contient 1 carte noire et 99 cartes blanches. Vous conviendrez que la probabilité que vous piochiez cette carte est assez faible (1 %). Puis retirez du jeu la carte piochée.

    A v c

    Imaginez à présent, que vous deviez réitérer ce même tirage tous les ans pendant 30 ans. Vous seriez exposé(e) à un risque faible mais répété dans le temps, si bien qu’à l’issue des 30 ans, vous auriez 3 chances sur 10 d’être tombé au moins 1 fois sur la carte noire.

    Si l’on augmente maintenant le risque de tirer la carte noire de 80 % au cours d'un seul tirage, le risque parait toujours aussi faible : moins de 2 chances sur 100 de la piocher (1,8 %). Pourtant, à long terme, cette différence devient colossale : vous aurez désormais près de 5 chances sur 10 d’avoir un jour pioché la carte noire au bout de 30 ans.

    C’est exactement ce qu’il se passe avec l’AVC.
    Les facteurs qui augmentent ou diminuent le risque d’être touché par l’AVC ne modifient que très peu le risque à court terme, et on peut avoir tendance à dire que ça ne change pas grand-chose, que les efforts sont trop élevés par rapport aux résultats et par rapport à la part de hasard qui subsiste.

    Mais en réalité, à long terme, ces facteurs pèsent de tout leur poids.

    Vous avez environ 20 % de chance d’être victime un jour d’un AVC dans notre vie.

    Mais cette statistique est une moyenne : à long terme, les facteurs de risque peuvent faire varier énormément cette « vérité » finale. Et tandis que certains n’ont en réalité que 10 % de chances d’en être victime (grâce à la diminution des facteurs de risque), d’autres peuvent atteindre facilement les 60 % s'ils cumulent des comportements à risque (consommation élevée de sel, inactivité physique, ...).

    De plus, contrairement à l’exemple du jeu de cartes, les probabilités d'avoir un AVC augmentent au fil des tirages : sachez ainsi qu’après 55 ans, le risque d’AVC double à chaque décennie, que le diabète de type 2 multiplie le risque de 200 à 600 % ou encore que l’hypertension multiplie le risque de 1000 % ...

    3 facteurs alimentaires réduisent le risque

    Il existe de nombreux facteurs de risque de l’AVC que vous connaissez déjà comme l’inactivité physique, l’hypertension artérielle ou le diabète de type 2. Mais qu’en est-il des facteurs qui influent positivement sur le risque ?

    Comptez-en au moins 3 qui sont faciles à intégrer et qui présentent, en plus, des intérêts majeurs pour de nombreuses autres pathologies.

    Je vous présente, dès à présent, les 3 mesures principales permettant de diminuer d’au moins 80 % le risque d’AVC.

    1) Des apports élevés en potassium

    C’est certainement la principale mesure à adopter pour lutter contre l’AVC.

    Les apports faibles de potassium favorisent la rigidité des artères et surtout, une élévation de ces apports permet de lutter contre le phénomène de calcification.

    On trouve du potassium dans à peu près tous les fruits et légumes, et malheureusement, la baisse dramatique de la consommation de ces aliments explique sans doute la progression fulgurante des AVC … Tandis que les besoins en potassium sont estimés à 4 700 mg par jour, les apports atteindraient péniblement 2 300 mg chez les femmes et 3 100 mg chez les hommes dans nos sociétés occidentales.

    Aliments riches en potassium

    L’ensemble des fruits, légumes et légumineuses, et notamment les haricots blancs, les courges, les épinards et les bananes.

    Aliments Potassium en mg/100g
    Abricots 281
    Abricots secs 490
    Asperges 278
    Avocat 604
    Banane 569
    Haricots blancs 416
    Haricots verts 189
    Brocoli 267
    Melon 251
    Carottes 341
    Dattes 648
    Pamplemousse 135
    Champignons 414
    Orange 311
    Jus d'Orange 496
    Pêche 202
    Cacahuètes 740
    Pomme de terre 504
    Pruneaux (secs) 940
    Raisins secs 315
    Épinards 291
    Graines de tournesol 920
    Patates douces 367
    Tomates 244

     

    Le supplément de potassium : Formule Vitaminéro (officiellement reconnu pour optimiser et maintenir la pression sanguine

    2) Une alimentation riche en magnésium

    Les personnes dont la consommation de magnésium est élevée ont moins de risque de subir un AVC.

    C’est un minéral essentiel au bon fonctionnement de l’organisme humain et vital pour la fonction cardiaque : il participe directement au métabolisme des lipides et intervient au niveau de la tension artérielle, deux des mécanismes impliqués dans l’AVC. C’est son action dilatante sur les vaisseaux qui serait la plus décisive dans la réduction du risque.

    Les aliments riches en magnésium

    De façon générale, les légumineuses, les graines et les noix, et plus particulièrement les haricots de soja, les amandes, les épinards et le chocolat.

    Aliments Magnesium en mg/100g
    Amandes 80
    Noix 40
    Lentilles 40
    Cacao 410
    Noisettes 150

    Eaux

    Magnesium en mg/litre

    Hépar 110
    Quézac 95
    Badoit 85
    Vittel 36
    Perrier 0.4

    Aliments riches en magnesium

    Les suppléments de magnésium : Formule Vitaminero (qui contient aussi du chrome, du manganèse, du sélénium, du cuivre, du fer...) à prendre pendant les repas.

    3) Des suppléments de vitamine B9

    Les suppléments de vitamine B9 (qu’on appelle aussi les folates) réduisent le risque d’AVC d’environ 20 à 70 %.

    Ce n’est pas vraiment une surprise : le supplément de Vitamine B9 (folate) comme Formule Vitaminéro est déjà officiellement reconnu pour l'optimisation de la formation des cellules sanguines. On en trouve également dans la viande et les légumes, mais la cuisson, la mise en conserve et la congélation diminuent drastiquement leur teneur.

     

    Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels. Aide en période de vie active: physiquement et mentalement. Contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.

    Vous pouvez compléter cette formule avec Force des Incas et Magnésium marin. Ce dernier joue un rôle capital dans la régulation du rythme cardiaque, la contraction musculaire et la transmission nerveuse. Le magnésium favorise le sommeil, et c'est un anti-stress.

    Moringa et A.V.C.

    Ce n’est pas un hasard si la feuille de moringa bio est classée parmi les « super-aliments ». Il est très riche en vitamines A et C, en fer, en potassium et même en protéines, et est utilisé pour traiter les infections, les gonflements, les douleurs d’estomac, l’asthme et l’épilepsie.

    C’est aussi un booster d’énergie, immunostimulant, qui favorise la vue, la santé cardiovasculaire, qui détoxifie et lutte contre le vieillissement de la peau.

    Vous en voulez plus ?

    Il est bon pour la peau, fortifie les os et enfin, peut prévenir du cancer et des A.V.C. … En clair, vous ne pourrez bientôt plus vous en passer !

    Les feuilles de moringa soignent les maladies suivantes : Tumeurs de l’estomac, douleurs de dos, prostatite, trouble de la vessie, douleurs dues aux inflammations, fièvre typhoïde, hernies diverses, constipation, faiblesse sexuelle, troubles digestifs, les infections des yeux, le diabète, l’hypertension et l’hypotension, décalcification dentaire, fatigue générale , protection préventive de la prostate.

    Propriétés

    Hypertension, hypotension, diabète.
    Troubles liés au vih/sida.
    Dégénérescence nerveuse et cellulaire.
    Tumeurs et cancers divers.
    Inflammation glandulaire, prostatite.
    Les A V C.
    Kyste, fibrome myome.

    Témoignage

    " J’ai fait un AVC [accident vasculo-cérébral] en 2009. J’avais eu des vertiges subits qui ont failli me faire tomber en route. A l’hôpital, il a été constaté que ma tension artérielle était élevée et c’est en ce moment que l’AVC a été diagnostiqué. J’ai eu une paralysie faciale, ma bouche s’était tordue et je ne voyais pas bien d’un côté. Je marchais avec des béquilles. Des gens qui avaient connus des cas similaires m’ont recommandé la médecine indienne. J’ai donc été pris en charge dans l’un de ces centres où l’on m’a promis que je serais rétabli au bout d’un an de traitement. Mais le traitement était très cher. Il fallait payer une boîte de comprimés tous les trois jours. C’est alors qu’une de mes connaissances m’a parlé du moringa. Quatre semaines après que j’ai commencé à le prendre, mon visage est redevenu normal. Parallèlement, j’ai été guéri des problèmes de goutte dont je souffrais. Au centre de médecine indienne ils étaient étonnés. A présent ma tension artérielle est normale, je me sens léger. "

  • S’endormir sans somnifères: conseils et traitements naturels oubliés

    • Par vogot
    • Le 31/08/2018

    Le sommeil occupe près d’un tiers de la vie de chacun. Si en plus, il influence négativement les deux autres tiers en provoquant mauvaise humeur, baisse des performances et maladies à long terme, cela vaut décidemment le coup de bien dormir…

    Mélisse et valériane, une excellente combinaison pour le sommeil

    En Europe, les plantes médicinales sont largement utilisées pour les problèmes de sommeil, mais cet usage est encore peu documenté sur le plan scientifique ; toutefois, une équipe suisse a récemment mené une recherche à propos de la combinaison valériane/mélisse (Valeriana officinalis/Melissa officinalis). L'étude clinique randomisée, en double-aveugle avec placébo fut menée auprès de sujets adultes ne présentant pas de problèmes de sommeil, parce qu'elle visait d'abord à observer la tolérance de l'organisme à cette combinaison et l'incidence d'effets secondaires.

    La tolérance au produit a été établie à 93 % dans le groupe valériane/mélisse, et à 91 % dans le groupe placébo. Chose étonnante, 33 % des membres du groupe valériane/mélisse ont dit avoir noté une amélioration de la qualité de leur sommeil - et cela même si, à l'origine, ils ne présentaient aucun problème de ce type ; dans le groupe placébo, seulement 9 % ont dit avoir noté une telle amélioration. En conclusion, les auteurs remarquent que si des sujets sains observent une amélioration de leur sommeil après absorption de ce produit, des patients souffrant d'insomnie sont susceptibles de connaître une amélioration importante de leur condition.

    S'endormir sans somnifère

    Vous faites probablement partie des personnes ayant déjà expérimenté l’horreur de l’insomnie : des draps chauds, une peau moite, des changements de position incessants et cette impression insupportable que vous ne pourrez rien y changer. Que le sommeil vous échappe toujours plus… Peut-être même figurez-vous parmi les 20 à 40 % de la population pour qui le sommeil est devenu un enfer. Dans un cas comme dans l’autre, une question revient sans cesse vous hanter : que faire pour retrouver le sommeil rapidement ? Et si je vous disais qu’il existe un traitement naturel et efficace boudé par les insomniaques ?

    Une société en dette de sommeil

    Les troubles du sommeil touchent tout le monde, à toutes les époques, dans tous les milieux sociaux et dans toutes les cultures. Il semble néanmoins que notre société actuelle soit plus touchée que les autres. Quels sont les effets psychologiques et physiologiques d’un manque chronique de sommeil à long terme ? A quoi sert le sommeil ? Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous ne sommes toujours pas en mesure de répondre à cette question. On sait que le sommeil permet de consolider ce que l’on apprend au cours de la journée, qu’il a un lien avec la restauration des tissus de l’organisme, la croissance et le repos cérébral. On sait aussi qu’il modifie l’organisme en profondeur : après 6 nuits de 4 heures de sommeil, des hommes âgées de 20 ans ont obtenu des bilans sanguins et cognitifs similaires à ceux d’individus diabétiques de 60 ans (pertes de mémoire, hypertension, baisse de la sécrétion d’insuline). Faut-il pour autant s’alarmer de passer une mauvaise nuit de temps à autre ? Quels sont les différents troubles du sommeil ? Comment les résoudre naturellement ?

    Nous ne sommes pas égaux devant le sommeil

    Avant de détailler les différents troubles, intéressons-nous au sommeil lui-même. Le sommeil est un état périodique caractérisé par une perte de la conscience éveillée. Il se trouve sous la dépendance de 3 processus régulateurs : le rythme circadien (contrôlé par l’horloge biologique), le rythme ultradien (réglant l’alternance des phases du sommeil) et le processus homéostatique (le besoin de sommeil s’accumule en fonction des heures d’éveil).

    On a pu observer que le rythme circadien n’était pas le même chez tout le monde. Certains ont une propension maximale au sommeil plus tardive que d’autres. Autrement dit, on peut donc bien être « du matin » ou « du soir ». Dans notre société actuelle, les personnes du soir se trouveraient en situation de privation de sommeil d’une façon presque constante tout en étant moins sujets aux somnolences que les personnes du matin. Rien de plus logique : les personnes du soir doivent en permanence lutter pour s’astreindre à des horaires professionnels qui ne leur sont pas adaptés.

    En marge de cette préférence, on parle beaucoup des 7 à 8 heures de sommeil par nuit nécessaires pour être en forme la journée. Combien de personnes se sont arrachées les cheveux pour s’approcher vainement de ce nombre idéal alors qu’ils n’en avaient pas besoin ?

    En réalité, cette recommandation pseudo-scientifique est à oublier au plus vite. Les chercheurs ont depuis longtemps montré qu’il existait de petits dormeurs, pour lesquels 5 heures étaient amplement suffisantes, et de gros dormeurs, qui ont besoin d’au moins 10 heures.

    A chacun de déterminer son besoin réel. A chacun de déterminer son problème avec le sommeil. En voici une liste non exhaustive :

    • Les troubles de la continuité du sommeil

    Se réveiller plusieurs fois au cours du sommeil donne souvent l’impression de ne pas avoir fermé l’œil de la nuit. Près de 30 % des plus de 65 ans souffriraient de la non-continuité du sommeil. Avec l’âge, les mécanismes de l’horloge biologique s’effritent, ce qui augmente le nombre d’éveils nocturnes (entre 7 et 21 par nuit selon la littérature scientifique).

    • L’insomnie du matin

    On retrouve un réveil trop précoce chez de nombreuses personnes et notamment chez les personnes de plus de 60 ans du fait du vieillissement de l’horloge biologique. Pour les autres, un lien avec la dépression a cependant été retrouvé avec ce trouble du sommeil.

    • Les troubles de l’endormissement

    Il s’agit d’un déséquilibre caractérisé par un endormissement difficile et retardé d’au moins 30 minutes par rapport à un endormissement « normal ».

    • Les troubles du rythme circadien

    Ils affectent des personnes dont l’horloge biologique interne est totalement déréglée. Celles-ci prennent l’habitude de s’endormir très tard (souvent après 2 heures du matin) et s’obligent à se coucher tôt en raison de contraintes professionnelles. Le résultat est souvent catastrophique, caractérisé par des difficultés d’endormissement et des nuits d’angoisse. Se coucher régulièrement après 2 heures, c’est s’infliger une privation du sommeil et perturber gravement les rythmes biologiques.

    • L’insomnie occasionnelle

    Elle résulte la plupart du temps d’un changement notable dans la vie quotidienne : voyage, stress, examen, déménagement, consommation exceptionnelle d’alcool ou de café, arrêt des somnifères, conflits familiaux, mauvaises combinaisons alimentaires… La disparition de la cause conduit logiquement à un retour à la normale. Il arrive cependant que la situation se prolonge, instaurant un véritable cercle vicieux.

    Stress et somnifères : les pièges des dormeurs

    Le stress est une des causes principales d’insomnie : il peut maintenir un individu éveillé toute la nuit. Même lorsque la source du stress diminue, la peur de ne pas dormir peut prendre le relais, constituant un cercle vicieux duquel il est difficile de s’extraire. Plus le temps passe et plus les chances d’en sortir deviennent alors difficiles. Il faut donc agir vite et avec lucidité.

    Malheureusement, la plupart des insomniaques veulent se débarrasser de l’insomnie coûte que coûte et font le choix des somnifères (qu’on appelle plus communément les hypnotiques). Ils ignorent que ces médicaments ont un prix : celui de la liberté.

    Des chercheurs ont montré qu’une fois le traitement d’un hypnotique ou d’une benzodiazépine instauré, 89 % des insomniaques le prennent en continu pendant au moins 8 ans. Et pour cause : en plus de modifier profondément l’architecture du sommeil, les hypnotiques provoquent une véritable dépendance.

    Chassez de votre esprit ce faux-remède et commencez par soigner votre hygiène de vie (activité physique la journée, horaires de coucher réguliers, bannissement des excitants comme l’alcool et le tabac avant de dormir…), évitez les protéines au repas du soir qui produisent des acides par fermentation.

    Réapprécier les plaisirs du sommeil

    Les insomniaques ont perdu le plaisir que suscite le sommeil : pour eux, il n’est plus que cet impitoyable devoir biologique à accomplir sous peine de graves conséquences. D’autres sont angoissés vis-à-vis de la perte de conscience qu’il induit. Dans tous les cas, ils ne prennent plus de plaisir à aller au lit.

    Or, c’est un paramètre fondamental pour bien dormir. Il leur est donc conseillé de favoriser et mettre en scène le plaisir d’aller au lit. On recommande par exemple d’écouter de la musique douce ou New-Age avant de dormir, d’effectuer des exercices de respiration ou de relaxation.

    La relaxation permet de faire le vide, de ne plus penser à rien. Elle empêche également de ne plus chercher spécialement le sommeil : celui-ci vient naturellement lorsque la relaxation est complète sur le plan physique comme sur le plan mental. Essayez donc un exercice pour en constater les effets. Allongez-vous dans le lit de façon confortable puis répétez plusieurs fois la formule « Mon bras droit est tout à fait lourd », tout en imaginant que votre bras est en plomb. Respirez profondément, concentrez-vous et prononcez-le avec conviction et sérénité. Effet garanti.

    Le panier à problèmes pour éviter de ruminer

    Les personnes victimes de troubles du sommeil arrivent parfois au lit avec l’impression de porter un lourd bagage bien désagréable. Un gros lot de problèmes professionnels, relationnels ou familiaux qu’ils ont laissé macérer toute la journée. Il prend tellement de place qu’ils se demandent s’ils vont pouvoir trouver le sommeil. C’est l’occasion d’utiliser le panier à problèmes.

    C’est un panier que l’on place à l’extérieur de la chambre juste devant l’entrée. Sa fonction est de garder les problèmes le temps de la nuit et de les restituer intacts le lendemain pour mieux les résoudre. L’idée est de s’alléger l’esprit, au moins momentanément, pour rejoindre le lit plus détendu.

    Notez tout ce qui vous inquiète sur un papier et déposez-le dans le panier, puis allez vous coucher. La distanciation que l’on prend avec ces problèmes nous fait alors relativiser. Parfois, on a même la sensation de les retrouver considérablement allégés au petit matin ! Comme si, après une bonne nuit de sommeil, on ne les voyait plus de la même manière…

    Vous n’arrivez pas à dormir, et alors ?

    Vous vous retournez encore et encore dans votre lit sans pouvoir dormir ? Vous fulminez intérieurement en pensant que si vous ne dormez pas, votre journée sera perdue ? La période précédant l’endormissement est la plus propice aux messages de vos pensées.

    Cessez donc de penser à des choses anxiogènes et dites-vous que le temps qu’il vous reste à dormir importe peu : votre nuit sera suffisamment réparatrice et vous serez en pleine forme le lendemain quoiqu’il arrive. Ce type d’affirmation est issue d’une technique très connue, appelée la prophétie auto-réalisatrice.

    Si les minutes s’égrainent davantage, quittez le lit pour une activité calme et surtout, dédramatisez. Les effets d’un manque de sommeil chronique sur la santé sont importants mais ça n’est pas le cas lorsqu’il s’agit d’une ou deux nuit(s) isolée(s).

    Le problème des insomniaques est d’exagérer les conséquences d’un sommeil insuffisant, ce qui contribue à dramatiser la situation et à accentuer le phénomène. Si vous avez plus de 50 ans, vous devez également savoir que votre sommeil ne sera plus jamais le même qu’auparavant : l’effritement des mécanismes régulateurs fait apparaître des réveils fréquents et la sensation de connaître des nuits réparatrices n’est plus jamais la même. La disparition d’une des phases du sommeil en serait la cause.

    Un autre mythe consiste à croire que dormir jusqu’à tard le matin peut vous aider à récupérer le manque de la nuit. Cette croyance finit par devenir une règle qui engendre stress et troubles du sommeil.

    Enfin, demandez-vous également si votre fatigue est bien en lien avec votre sommeil. On se dit souvent fatigué mais derrière ce mot, se cache en réalité un ensemble de symptômes n’ayant pas forcément de lien avec le sommeil. Une enquête menée en 2004 auprès d’adultes consultant pour de la fatigue a permis de détecter une dépression majeure pour un tiers d’entre eux.

    Mélatonine : le pouvoir de la lumière

    Si malgré tout, vous ne parvenez pas à résoudre vos problèmes de sommeil, sachez qu’il existe un traitement naturel qui a fait ses preuves et dont vous avez forcément entendu parler : la mélatonine.

    La mélatonine est le neuromédiateur qui règle l’horloge interne de l’organisme. Elle est produite par la glande pinéale (autrefois notre troisième œil) en fonction de la luminosité. Généralement, elle commence à être sécrétée lorsque la lumière décline, aux alentours de 20 heures. Son rôle est de donner l’information des rythmes circadiens au cerveau de manière à coordonner la température interne, l’activité motrice ou l’humeur avec la période de la journée. Elle est capitale dans la quête d’un sommeil continu et réparateur.

    Malheureusement, la lumière artificielle, l’irrégularité des heures de coucher et les perturbations liées aux écrans (lumière bleue) sont autant de facteurs qui perturbent sa sécrétion.

    Pour recaler le cycle de la mélatonine, l’idée d’en administrer à certaines périodes-clés de la journée a germé dans l’esprit de certains chercheurs. C’est ainsi que la recherche a prouvé que la prise orale de mélatonine (de 0,3 à 2 mg par jour) pendant 4 semaines réduisait le temps nécessaire à l’endormissement chez les personnes décalées. Ce n’est pas un hasard si la même prise augmente aussi la vitalité et santé mentale ! La recherche a montré également qu’un tel traitement était garanti sans risque pour une période d’au moins 6 mois et probablement davantage.

    Plus surprenant : des chercheurs allemands ont montré que la mélatonine agissait en tant que neuromodulateur au niveau de la moelle épinière. En pratique, ce que cela signifie est très simple : la mélatonine agit comme la morphine, et si elle est prise avec la morphine, elle renforce son action tout en diminuant ses effets secondaires !

    La mélatonine est donc efficace contre toutes les douleurs liées à la chirurgie et contre les douleurs les plus récalcitrantes :

    • douleurs neuropathiques (diabète, ablation d’un membre),

    • douleurs du cancer et de la chimiothérapie,

    • endométriose ou fibromyalgie, etc.

    Pour couronner le tout, elle peut s’utiliser en conjonction avec les traitements antidouleurs classiques.

    La mélatonine n’a qu’un seul problème : la France fait tout pour qu’il soit de plus en plus difficile de s’en procurer…

    Comment la France essaye d’enterrer la mélatonine ?

    La mélatonine est en vente libre depuis plus de 10 ans dans de nombreux pays du monde et notamment aux Etats-Unis. En France son importation était interdite depuis longtemps, mais c’est en septembre 2011 que son histoire prend un nouveau tournant. Xavier Bertrand, à l’époque ministre de la santé, décide en effet de classer la mélatonine dans la liste II des substances vénéneuses.

    Cette liste contient par définition des molécules dangereuses, des drogues, ou des médicaments aux effets secondaires potentiellement graves.

    Cet ajout par le ministre s’est fait par « arrêté », c’est-à-dire par décision unilatérale et non concertée, mise en application par la simple force du pouvoir coercitif… La conséquence est immédiate : la mélatonine est interdite à la vente libre dès lors que la concentration est de 2 mg ou plus. À partir de ces concentrations, elle devient un médicament, uniquement vendu sur ordonnance.

    Comme vous l’aurez remarqué, ce dosage limite ne doit rien au hasard : c’est à partir de 3 mg au moins que la mélatonine est efficace comme antidouleur.

    Pensant que nous sommes dans un état de droit, plusieurs laboratoires de compléments alimentaires, décident de s’allier et de porter plainte auprès du Conseil d’état pour abus de pouvoir, dans le but de faire suspendre l’arrêté en question. En mars 2014 la haute juridiction rend son jugement : elle estime que le ministre « n’a pas commis d’erreur manifeste d’appréciation en estimant que la mélatonine devait être regardée comme une substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects. » La juridiction affirme également que le ministre a produit des éléments démontrant que « l’absorption de mélatonine peut aboutir à des effets indésirables graves. » Voilà qui a de quoi inquiéter !

    A la recherche des effets secondaires perdus

    En apprenant l’existence de ces « effets secondaires graves », il m'a semblé qu’il était important de les retrouver afin de vous en informer.

    Qui voudrait tomber gravement malade à cause d’un complément alimentaire ?

    La première chose que j'ai faite est donc de lire la liste des effets secondaires de la mélatonine vendue en France en tant que médicament (sous le nom de CIrCADIN, dosée à 2 mg) et la notice est impressionnante :

    Plus de 50 effets secondaires seraient provoqués par la mélatonine 

    Voici environ la moitié des effets secondaires mentionnés :

    Céphalées, rhinopharyngite, mal de dos et arthralgies, herpès zoster, angine de poitrine, palpitations, hypertriglycéridémie, hypocalcémie, hyponatrémie, irritabilité, nervosité, impatience, insomnie, rêves anormaux, anxiété, troubles de l’humeur, agressivité, agitation, pleurs, symptômes de stress, désorientation, réveil tôt le matin, augmentation de la libido, humeur dépressive, dépression, migraine, léthargie, hyperactivité psychomotrice, sensations vertigineuses, somnolence, syncope, altération de la mémoire, baisse de l’acuité visuelle, vue trouble, larmoiement accru, vertige positionnel, vertige, reflux gastro-œsophagien, troubles gastro-intestinaux, cloques au niveau de la muqueuse buccale, ulcération de la langue, gêne gastro-intestinale, vomissements, bruits intestinaux anormaux, flatulence, hypersécrétion salivaire, halitose, gêne abdominale, trouble gastrique, gastrite, dermatite, sueurs nocturnes, prurit, rash, prurit généralisé, sécheresse cutanée, fatigue, douleur, soif.

    Comment expliquer qu’un produit si dangereux soit en vente libre partout à travers le monde ? 

    Pour le savoir, j'ai consulté le site des agences européennes et américaines du médicament, mais..., aussi curieusement que cela puisse paraître, ces deux agences ne listent aucun effet secondaire lié à la prise de mélatonine.

    Pire, l’agence européenne signale, pour le même médicament vendu en France, que « les effets secondaires les plus fréquents sont les maux de tête, la fatigue et les douleurs dorsales, mais de manière comparable au groupe prenant le placebo ». Ne tombez pas de votre chaise, vous avez bien lu !

    Autrement dit : les rares effets secondaires observés ne sont pas liés à la mélatonine.

    De plus, la dose toxique de mélatonine serait très élevée : plus de 160 gr par jour pour un adulte de 70 kg.

    Alors, où sont donc les graves effets secondaires mentionnés par le ministre ?

    Le silence gênant

    Des agences françaises contactées par mes soins pour en savoir plus sur les dangers, l’ANsm (Agence chargée de la sécurité du médicament en France) n’est pas parvenu à me répondre.

    Après plusieurs échanges par mail et par téléphone et de nombreuses recherches, je ne suis pas parvenu à retrouver la liste des effets secondaires graves provoqués par la prise de mélatonine ; et encore moins de la source scientifique qui les aurait découverts.

    Y a-t-il volonté de nous pousser à consommer des antidouleurs classiques, plus lucratifs pour le système de soin ?

    Toujours est-il qu’obtenir de la mélatonine à doses efficaces contre les douleurs est difficile en France.

    Difficile veut-il dire, impossible ?

    Photothérapie et sommeil

    La photothérapie recale également le cycle de la mélatonine par l’augmentation de la dopamine, son antagoniste. Le principe est simple: on s’expose le matin (entre 7 h et 9h) devant une lumière blanche pendant au moins une demi-heure et à moins de 80 cm. Les résultats sont stupéfiants: en 2 à 5 jours, 80 % des personnes déphasées retrouveraient un sommeil réparateur.

    Ces deux traitements s’accompagnent généralement de recommandations basées sur la chronobiologie. Le soir, je recommande ainsi de consommer des aliments riches en tryptophane (un précurseur de la mélatonine):

    Recette mix-trypto

    • Noix de cajou non salées

    • Graines de citrouille ou de melon

    • Boisson végétale au soja (nature ou riche en calcium). Vous pouvez réaliser votre boisson en suivant ce > lien <

    • Levure de bière que vous pouvez retrouver dans la somatropine.

    A l'aide d'un mixer, broyez des noix de cajou, des graines de citrouille, incorporez l'eau végétalisée de soja et la levure de bière. Boire cette préparation 20 minutes avant de vous coucher.

    Que faut-il manger le soir pour mieux dormir?

    Pour favoriser l'endormissement, je recommande de consommer certains nutriments au repas du soir. Les aliments riches en tryptophane, en zinc, en magnésium ou encore les aliments à index glycémique élevé ont un effet très positif sur la qualité du sommeil. Ils permettent, entre autres, d'éviter une carence en sérotonine qui est l'une des premières cause d'un sommeil perturbé.

    Alimentation variée et équilibrée, riche en nutriments

    Plusieurs nutriments , dont le fer, le zinc, le calcium, le magnésium et les vitamines du groupe B, interviennent de façon importante dans l’équilibre chimique du cerveau. Un déficit en l’un ou l’autre de ces nutriments peut entraîner une baisse de la qualité du sommeil. Avant toute chose, si l’on souffre d’insomnie, il est important de faire une analyse sanguine complète afin de déceler des carences en nutriments. Il est, de ce fait, très important d'avoir une alimentation variée et équilibrée qui couvre les besoins de l'organisme en nutriments. Consulter votre thérapeute qui réalisera une anamnèse, peut aussi être utile pour s'assurer du bon équilibrage de l'alimentation et de prendre conscience des mauvaises combinaisons alimentaires.

    Aliments riches en tryptophane

    Les graines de citrouille, les noix de cajou, la levure de bière, le soja peuvent être des aliments intéressants pour ceux qui souffrent d’insomnie. Ils contiennent beaucoup de tryptophane, favorable au sommeil, et d'autres acides aminés. Cela permet une meilleure concentration sanguine de tryptophane. À noter que pour mieux profiter du tryptophane et des graines de citrouille, il vaut mieux les consommer avec une source de glucides, comme les flocons d'avoine qui favorisent le sommeil.

    Beaucoup d’autres aliments sont riches en tryptophane, comme la viande, la volaille et le poisson. Mais ceux-ci contiennent aussi beaucoup d’autres acides aminés qui entrent en compétition avec le tryptophane et, par conséquent, limitent son passage dans le cerveau. A éviter le soir ce genre de protéines, comme je le rappelle souvent.

    Aliments à index glycémique élevé

    Pâtes ou riz complets, pommes-de-terre, en cas d’insomnie, il est bénéfique au repas du soir, d’avoir un bon apport en glucides à index glycémique élevé, c’est-à-dire qui provoque une importante hausse de l’insuline. Ce type de repas devrait être consommé 2 h avant le coucher.

    La Griffonia contient une molécule qui calme l'appétit et améliore l'humeur : le 5-HTP.

    Le 5-HTP est une molécule que l'on trouve en grande quantité, à l'état naturel, dans les graines de la griffonia simplicifolia, un arbuste africain. Il s'agit d'un acide aminé très particulier qui, habituellement, est fabriqué par notre organisme à partir d'un autre acide aminé un peu plus connu : le tryptophane, lui-même très présent dans les aliments protéinés. Mais on peut aussi en fournir directement à notre organisme, pour gagner une étape vers la minceur et la bonne humeur.

    Les antidépresseurs de synthèse, par exemple, agissent sur la sécrétion de sérotonine pour moduler l'humeur ! Eh bien le 5-HTP aussi, avec l'avantage d'être naturel et, par conséquent, de ne pas présenter les mêmes effets indésirables. L'organisme se charge, avec le 5-HTP qu'on lui fournit, de fabriquer de la sérotonine pour retrouver sérénité et sommeil…

    Oméga-3

    Il existe aussi une relation positive entre le taux de sérotonine et le taux d'omega 3 - EPA+ et vitamine E. Les acides gras oméga-3 réduisent la production de certaines substances produites par l'organisme, comme les prostaglandines E2. En excès, ces dernières contribuent au vieillissement des neurones et nuisent à la transmission des messagers chimiques du cerveau. Cela peut évidemment perturber le sommeil. À noter que pour maximiser l’effet d'omega 3 - EPA+ et vitamine E dans l’organisme, il faut éviter l'excès d’oméga-6, d’acides gras saturés et de gras trans.

    RAPPEL: Alimentation déconseillée pour le repas du soir

    Au dîner (repas du soir), certains aliments ne vous rendent pas service et peuvent complètement perturber le sommeil. Un repas du soir copieux, gras et riche en protéines peut par exemple empêcher la sécrétion des neurotransmetteurs et des hormones favorables au sommeil. De plus, certaines boissons comme le café ou l'alcool, doivent être évités en cas d'insomnies en raison de leur caractère excitant.

    Viandes

    Les personnes ayant des problèmes de sommeil, et en règle générale, devraient consommer les viandes, volailles, poissons, fruits de mer, oeufs au repas du midi, plutôt que le soir, car ces aliments sont très riches en protéines. Un repas riche en protéines favorise la synthèse de dopamine et nuit au sommeil.

    Au repas du soir, je recommande donc, en toute logique, d'éviter les aliments suivants qui cumulent (pour la plupart) richesse en protéines et en graisses saturées :

    • Viandes

    • Charcuteries

    • Volailles

    • Bacon, lardons

    • Fromages

    • Poulet pané ou frit

    • Sauces à base de viande

    • Oeufs frits

    • Viandes en sauce au beurre ou à la crème

    Repas copieux et riche en gras

    Pour entrer dans un sommeil profond, la température corporelle doit baisser. Or, les repas trop copieux ou trop riches en gras et en protéines prolongent la digestion et augmentent la thermogenèse. La température corporelle augmente donc. Certaines épices contribuent aussi à élever la température du corps. De plus, les repas pris trop tard en soirée ne permettent par une digestion adéquate avant l’heure du coucher.

    Pour bien dormir le soir, voici quelques aliments à éviter

    • Crème

    • Plats épicés (mexicain, indien, etc.)

    • Fritures et panures

    • Biscuits

    • Frites

    • Pâtisseries grasses

    • Gâteaux

    • Crème glacée

    • Chocolat

    • Pizza

    • Fast-food

    Caféine

    La caféine, on le sait, stimule le système nerveux. Plus précisément, elle bloque l’action de l’adénosine au cerveau et inhibe la sécrétion de mélatonine jusqu’à 6 heures après sa consommation. Or, l’adénosine favorise le sommeil, tandis que la mélatonine est indispensable au sommeil. Prendre un café le matin est généralement bien toléré, sauf pour les personnes très sensibles à la caféine.

    La menthe devrait aussi être évitée en soirée, car c’est une plante stimulante. Les aliments suivants contiennent de la caféine et devraient être évités le soir : café, thé, boissons gazeuses et boissons énergétiques (contenant guarana ou caféine), cacao, chocolat, mate.

    Alcool

    L’alcool, consommé au repas du soir et en soirée provoque l’« insomnie à rebond ». Après avoir aidé à l'endormissement, il entraîne des sécrétions d’adrénaline et bloque l’entrée du tryptophane dans le cerveau. Ces 2 facteurs empêchent le sommeil de passer à la phase profonde. L’alcool fait aussi chuter le taux de mélatonine, hormone nécessaire au sommeil.

    Surpoids et insomnies

    Le surpoids peut causer ronflement et apnée du sommeil. Chez les personnes souffrant d’obésité, la fréquence des apnées du sommeil attribuables à l'obstruction des voies respiratoires est de 12 à 30 fois plus élevée. Une perte de seulement 7 kg dans certains cas peut suffire à réduire le ronflement et, par la même occasion, l’apnée du sommeil.

    Autres habitudes déconseillées :

    • Tabac

    • Stress

    • Ecran de télé et d'ordinateur avant de se coucher

    • Sédentarité

    • Alimentation industrielle

  • Nettoyez votre foie avec des produits naturels approuvés

    • Par vogot
    • Le 30/08/2018

    Il neutralise les toxines, épure les déchets de l'organisme et préside à la bonne activité du cerveau, du cœur ou de la thyroïde. Il souffre le plus des polluants, des pesticides, des additifs, des toxines et des sucres auxquels nous sommes confrontés tous les jours ? Pourtant, c'est un organe que l'on malmène souvent. Qui est-ce ?

    Vous l’avez surement deviné : c’est le foie. Puisqu’il est directement responsable de la dégradation des substances toxiques pour l’organisme, c’est lui qui est en première ligne.

    Et aujourd’hui, son incroyable capacité à se régénérer ne suffit plus à le garder en bonne santé. Plus de 30 % des occidentaux souffrent de pathologies du foie et tout indique que l’épidémie ne fait que commencer. Le problème, c’est que sans un foie en bonne santé, l’organisme ne peut pas fonctionner correctement.

    C’est une chose que vous avez déjà remarquée puisque vous êtes de plus en plus nombreux à vouloir le « nettoyer » régulièrement. Et malheureusement, cela n’a pas échappé non plus aux vendeurs de rêves : on trouve un nombre incalculable de produits naturels sur le marché de la détoxification, la plupart du temps sans la moindre explication scientifique des effets allégués, soit parce qu’ils en sont dépourvus, soit parce qu’on vous estime incapable de les comprendre.

    Pourtant, les mécanismes scientifiques qui entrent en jeu lors d’un nettoyage du foie sont très accessibles et je vais vous le prouver.

    Les aliments que votre foie n’aime pas

    Les céréales blanches

    Le pain, les pâtes, les biscuits à la farine blanche, le riz... doivent être abandonnés car ils entraînent une hausse rapide et brutale des taux de glucose et d'insuline dans le sang, suivis d'une chute de ces taux tout aussi rapide. Au fil du temps, cet "effet montagnes russes" provoque une résistance à l'insuline qui détériore le foie.

    Les acides gras trans

    Ils sont présents dans nombre de produits transformés, de pâtisseries, d'aliments frits : les acides gras trans favorisent la formation de fibrose, des tissus cicatriciels qui, petit à petit, prennent la place des cellules du foie endommagées. Or la fibrose peut provoquer de graves complications : la cirrhose, voire le cancer du foie.

    Le sodium

    Chez les personnes ayant déjà un foie mal en point (hépatite ou maladie du foie gras par exemple) consommer trop de sodium ne fait qu'aggraver les dommages causés à cet organe. Pour réduire votre consommation de sel, remplacez-le par des aromates dans l'eau de cuisson des légumes ou sur la viande, ou par du citron sur le poisson. Pensez aussi aux épices, qui ont en outre des effets bénéfiques sur le foie du fait de leurs propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.

    L'alcool

    Vous pouvez sans souci boire un verre de vin rouge de temps à autre. En revanche, une consommation excessive d'alcool aura des effets délétères sur votre foie. Ne dépassez pas un verre d'alcool par jour pour les femmes et deux verres pour les hommes.

    Le fructose

    Vous avez sans doute cette image du foie qui bataille à longueur de journée contre des milliers de toxines différentes. C’est une image assez juste mais elle occulte le rôle dévastateur d’une molécule bien précise, qui a longtemps gardé une bonne image auprès du grand public : le fructose.

    Le fructose est un glucide présent naturellement dans les fruits : il se distingue du glucose qu’on trouve dans tous les types de plantes.

    Jusqu’à très récemment, notre consommation de fructose était relativement faible mais la découverte du sucre moderne (une association du glucose et du fructose) et la conversion industrielle du glucose en fructose (abondamment utilisée par l’industrie agroalimentaire) ont inondé nos organismes de cette molécule très édulcorante.

    Or, le fructose n’est utilisé que par le foie et son absorption ne subit aucun contrôle. C’est tout le contraire du glucose, utilisé par toutes les cellules et dont les excès sont amortis par l’insuline.

    Cette absorption illimitée entraîne des conséquences tragiques pour le foie. En vérité, il est rapidement dépassé par ce type de glucide loin d’être indispensable pour l’organisme, et doit se résoudre à le stocker sous forme de cellules graisseuses (lipogenèse). Ce faisant, il sécrète en même temps des VLDL, de grosses molécules qui transportent les graisses et qui se transforment dans le sang en « mauvais cholestérol ». Attention, là aussi il y aurait beaucoup à dire sur le mauvais et le bon cholestérol, mais ce n'est pas le sujet qui nous préoccupe dans cet article.

    Avec le temps, le foie se gorge de graisses, au point de provoquer une inflammation chronique et de perturber son fonctionnement.

    Le cercle infernal causé par l’inflammation du foie

    Dans le foie, la réaction inflammatoire est une sorte d’alerte. Elle indique à l’organisme que quelque chose a été abîmé et qu’il faut réagir au plus vite, en l’occurrence remplacer les éléments dégradés par de nouveaux composants tout neufs : c’est la capacité de régénération bien connue du foie.

    Mais si les éléments perturbateurs persistent, par exemple en cas d’alcoolisme ou d’excès de fructose à long terme, l’inflammation devient chronique : l’organisme ne s’arrête plus de synthétiser de nouveaux composants pour remplacer les cellules endommagées. C’est un vrai problème car la fabrication est plus rapide que la dégradation : des composants cellulaires finissent inévitablement par s’accumuler entre les cellules, réduisant les échanges et isolant peu à peu les cellules les unes des autres.

    On appelle ce phénomène la fibrose hépatique. C’est un phénomène irréversible particulièrement destructeur. Elle diminue la capacité du foie à se débarrasser des toxines et expose les cellules du foie à des substances oxydantes qui aggravent le phénomène.

    Pour rétablir la pleine intégrité du foie et enrayer le phénomène, il est donc possible d’agir sur plusieurs étapes que je viens de décrire :

    • la lipogenèse (formation de nouvelles cellules graisseuses par le foie) ;

    • l’inflammation du foie ;

    • la fibrose hépatique ;

    • les dégâts oxydatifs des cellules du foie ;

    • la réparation des dégâts (régénérescence du foie).

    Ces étapes constituent justement les mécanismes d’action de  produits naturels que j'ai sélectionné pour vous.

    1) La Silymarine

    C’est probablement le meilleur produit naturel pour « nettoyer » son foie. L’extrait de chardon-Marie ou silymarine (Silybum marianum) jouit d’une excellente réputation et son utilisation à long terme est considérée comme tout à fait sûre.

    3 mécanismes d’action principaux lui sont attribués :

    • Elle protège les cellules du foie en stabilisant leurs membranes cellulaires et en contribuant à les perméabiliser.

    • Elle empêche le foie de former de nouvelles cellules graisseuses en réduisant notamment l’expression de plusieurs gènes (SREBP-1c, LXRβ et FAS), très stimulés par l’alimentation riche en fructose et indéniablement impliqués dans le stockage des graisses au cœur-même du foie.

    • Elle contribue au système antioxydant de l’organisme.

    Tous ces effets résultent d’une cascade complexe de signaux intracellulaires. Si vous souhaitez en profiter, vérifiez bien que les suppléments de sylimarine contiennent au minimum 30 % de silybine comme c’est le cas de Chardon-marie : il s’agit du principe actif le plus important.

    2) La curcumine

    Elle n’est pas spécialement connue pour améliorer les problèmes de foie et pourtant les faits sont là. Son mécanisme principal repose sur l’inhibition de l’inflammation du foie et sur sa contribution au système antioxydant.

    Elle diminue les niveaux de plusieurs molécules qui propagent l’inflammation (on parle de cytokines pro-inflammatoires) comme le facteur TNF-α et l’Interleukine-1, mais aussi les chimiokines, ou les protéines de la phase aigüe produite par le foie comme le CRP (C-Reactive Protein).

    En parallèle, elle diminue le statut oxydant total, c’est-à-dire le niveau d’agressivité et le nombre des toxines, tout en augmentant l’activité de la Glutahtione Péroxydase, un antioxydant produit naturellement par l’organisme.

    Là encore, pour en profiter, privilégiez davantage les suppléments de super curcuma qui a une teneur forte en curcuminoïdes. Ici je parle de 95% de curcumine, contrairement au curcuma alimentaire qui n'en contient que de 3 à 5% environ, parfois moins.

    3) Les polyphénols et la quercétine

    Comme la curcumine, les polyphénols de thé vert ou de raisin Powergrape (notamment l’acide chlorogénique, les épicatéchines, les rutines et les hyperosides) et la quercétine du sophora japonica modulent l’inflammation du foie et le stress oxydatif en inhibant certaines cytokines pro-inflammatoires (TNF-α, IL-1 et IL-6) et augmentant l’activité des antioxydants produits par l’organisme. Ils semblent même jouer un rôle supplémentaire dans la réparation des dommages infligés aux mitochondries des cellules du foie. Vous pouvez retrouver ces principes actifs dans la formule REDOX.

    4) La racine d'ashwagandha

    L'ashwagandha s’avère importante pour favoriser une digestion facile. D’une part en apaisant le système nerveux, car le mauvais stress interne est surement le premier facteur de dysfonctionnements digestifs, estomac, foie, intestins ; et d’autre part, en apportant des oligo-éléments et antioxydants favorables à une digestion facile.

    Et comment s’y prend-il ? Une étude récente a montré que la plante empêchait la maturation d’un gène (SREBP1c) décisif dans le processus de la lipogenèse du foie (formation de triglycérides et de cellules graisseuses). Ce faisant, elle contribue à rendre le foie moins gras et plus fonctionnel. Dans une étude de 60 jours portant sur des adultes souffrant de stress chronique, le groupe qui prenait la plus forte dose d’ashwagandha (9% de whitanolides) a constaté une diminution de 17 % du cholestérol LDL et de 11 % des triglycérides, en moyenne.

    5) Le resveratrol

    Produit par les plantes (notamment la renouée du Japon) pour se protéger des dommages oxydatifs, le resveratrol semble jouer un rôle bien plus étendu une fois introduit dans les organismes animaux.

    Son rôle est bénéfique vis-à-vis du métabolisme lipidique, des marqueurs de l’inflammation hépatique et de l’intégrité des cellules du foie. Comme la racine d'ashwagandha, il influe sur l’activité du gène SREBP1c impliqué dans la synthèse de triglycérides. C’est donc une piste thérapeutique plutôt complète. Couplé à l'OPC de raisin (Oligomeric Proanthocynadins Complexes qui sont des bioflavonoïdes ou antioxydants produits par les plantes), il renforcera l'activité sur les sirtuines, des protéines impliquées dans l’augmentation de l’espérance de vie de nombreux organismes…Je vous recommande cette formule Resveratrol et OPC de raisin.

    6) Autre formule

    Et si vous ne savez pas quel produit naturel choisir parmi ceux-là, vous pouvez aussi opter pour des formules comme Formule Detox qui contient de la cynarine et d’autres produits que je n'ai pas pu citer comme l’extrait de feuilles d’artichaut, le pissenlit (dent de lion), l'aloe vera ou la damiana.

  • Stéatose/Fibrose : Prise de poids, que deviennent vos cellules graisseuses ?

    • Par vogot
    • Le 29/08/2018

    Le surpoids correspond à une accumulation de graisses dans le tissu adipeux. Il est souvent causé par une alimentation trop calorique, riche en glucides et en graisses, associée à un manque d'exercice physique.

    Le surpoids augmente le risque de développer des maladies chroniques comme le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, certains cancers ou de l'arthrose. Pour retrouver un poids normal et réduire les risques pour la santé, il est conseillé d'agir sur son alimentation, son activité physique et sa supplémentation.

    Si vous êtes en surpoids ou si vous avez ce qu’on appelle un ventre bedonnant, vous êtes probablement victime d’une inflammation chronique du tissu adipeux. Parce que c’est un processus pathologique silencieux qui, tôt ou tard, finira par se manifester comme une bombe à retardement, vous feriez mieux de vous intéresser aux nouvelles découvertes et d’agir rapidement.

    Que se passe-t-il lorsque vous prenez du poids ?

    Prendre du poids est un processus tout à fait naturel pour notre organisme. C’est une astuce qui permet de mettre en réserve l’énergie dont on n’a pas immédiatement besoin. De cette façon, il n’y a jamais de gâchis et l’organisme peut facilement survivre aux périodes de disette. Malheureusement, ce qui était une bénédiction pour nos ancêtres est devenu une véritable malédiction dans nos sociétés d’opulence. La chute de l’activité physique, l’abondance des biens alimentaires, leur forte densité calorique  et parfois leur mauvaise qualité ont parasité le mécanisme et provoqué des épidémies de surpoids spectaculaires.

    Chez ces personnes, les apports caloriques ont été plus élevés que les dépenses pendant un certain temps : il a donc fallu stocker l’énergie en trop dans des cellules spécialisées, les adipocytes. Ce sont ces cellules qui forment l’essentiel du tissu adipeux, le tissu mou responsable des formes disgracieuses. Les réserves sont stockées sous forme de lipides : ils pénètrent dans les adipocytes qui enflent comme des ballons de baudruche à mesure que s’accumulent les graisses.

    Si le déséquilibre calorique se poursuit, le tissu continue de s’étendre, obligeant l’organisme à recruter toujours plus de cellules graisseuses et à réaménager les voies de circulation sanguine pour les alimenter correctement. Mais si les adipocytes sont de trop grande taille, ils finissent par suffoquer et manquer d’oxygène : les vaisseaux sanguins ne parviennent plus jusqu’à eux et la distance de diffusion de l’oxygène peut être dépassée.

    Ce manque d’oxygène, qu’on appelle hypoxie, va semer le chaos dans le tissu adipeux.

    • Il provoque une inflammation chronique du tissu adipeux.

    Cette même inflammation se propage ensuite vers la circulation sanguine, où on est d’ailleurs capable de la mesurer avec un test spécifique. L’inflammation s’accompagne d’une infiltration massive de macrophages, ces cellules immunitaires primitives attirées par certaines cytokines (le MCP-1 notamment) sécrétées par les adipocytes suffocants.

    • Il provoque la formation d’un dépôt de collagène qui piège les adipocytes.

    L’inflammation du tissu adipeux s’accompagne d’un dépôt de collagène (de type VI) qui va rendre le tissu rigide, fibreux. Des bandes fibreuses se forment dans le milieu extracellulaire, ce qui va grandement perturber le tissu. Ces bandes vont empêcher les adipocytes de gonfler et de stocker davantage de lipides excédentaires, les réorientant vers des organes vitaux comme le foie, les muscles et le cœur, ce qui augmente l’accumulation de dépôts lipidiques à des endroits inappropriés. Et c’est précisément cette réorientation des graisses qui est à l’origine de très nombreuses complications comme les troubles cardiovasculaires, l’insulinorésistance, le diabète de type II ou la stéatose hépatique.

    Stéatose et fibrose: Explications

    Important facteur de risque d’accidents cardio-vasculaires, de diabète et de cancers extra-hépatiques, la stéatose est, dans 10 % à 20 % des cas, associée à de l’inflammation et à une souffrance des cellules du foie, les hépatocytes, pouvant aller jusqu’à leur nécrose. Il ne s’agit plus alors de stéatose pure, mais d’une stéato-hépatite non alcoolique, véritable hépatite à la graisse, ou NASH (non alcoolic steatohepatitis) qui associe une inflammation, une nécrose et une fibrose hépatiques. Or la NASH, complètement silencieuse, asymptomatique, peut évoluer dangereusement.

    Lorsque la souffrance hépatique devient chronique, les lésions du foie cicatrisent en formant de la fibrose. Cette fibrose s’installe plus ou moins vite selon les sujets. Dans environ 20 % des cas, elle va progresser jusqu’à la cirrhose. Dès lors, le foie, complètement déstructuré, ne peut plus fonctionner normalement, et des complications très graves peuvent survenir: hémorragies digestives, insuffisance hépatique, encéphalite hépatique, etc.

    • Il complexifie la perte de poids.

    C’est un fait démontré : plus le tissu graisseux contient de la fibrose, moins une personne a de chance de perdre du poids. Voilà pourquoi cette fibrose pathologique pourrait constituer une cible potentielle du traitement de l’obésité !

    Ce phénomène est un véritable cercle vicieux : la réduction du flux sanguin vers le tissu gras fibrosé peut entraîner la nécrose des cellules graisseuses, ce qui attire d’autres macrophages et augmente encore le niveau de l’inflammation. Au final, les cellules du tissu gras progressent vers un état de sénescence très inquiétant.Fibrose et steatose


    Comment savoir si votre tissu adipeux est normal ?

    Cette « fibrose » du tissu graisseux ne survient pas uniquement chez les personnes obèses. Il peut également apparaître chez des personnes minces, ayant très peu de gras sous la peau, mais présentant cette forme de pomme caractéristique qu’on appelle familièrement la bedaine. Chez eux, le gras se dépose au niveau de l’abdomen, dans les couches profondes du ventre et autour de leurs organes internes. Or, c’est un dépôt de graisse particulièrement risqué pour la santé.

    Il existe plusieurs grands dépôts de graisses : le tissu sous-cutané, le tissu viscéral, les hanches et tous ceux associés à des organes comme le cœur ou les reins. Chacun de ces dépôts a un profil endocrinien bien spécifique, c’est-à-dire qu’ils ne sécrètent pas les mêmes messagers, et donc les conséquences ne sont pas les mêmes si les dépôts s’agrandissent ou deviennent malades.

    Par exemple, le tissu sous-cutané ne semble pas lié aux pathologies associées à l’obésité contrairement au tissu viscéral. C’est lui qui serait tout particulièrement sensible à ce phénomène de fibrose.

    Comment savoir si votre tissu gras abdominal est concerné

    Pour être tout à fait sûr, il faudrait mesurer le niveau d’inflammation et détecter ou non le phénomène de fibrose. Plus simplement, si vous avez l’impression d’avoir trop de gras au niveau abdominal, cela peut être un indicateur mais là encore, ça n’est pas systématique : il y a des personnes minces qui peuvent en être victimes et des personnes obèses « métaboliquement saines. »

    Le ressenti, l’écoute du corps, les troubles inflammatoires divers, la fatigue et la difficulté à perdre du poids (même si l’excédent n’est pas énorme) sont donc des repères cruciaux. A partir de cet instant, une anamnèse devient nécessaire auprès de votre thérapeute.

    Que se passe-t-il si rien n’est fait ?

    Il faut savoir que le tissu adipeux n’est pas qu’une simple réserve de graisses : c’est un organe qui sécrète de nombreux messagers chimiques (leptine, adiponectine notamment) ayant des répercussions directes sur l’ensemble de l’organisme. Il intervient notamment dans la réponse immunitaire, la pression sanguine, l’hémostase, la régulation de la masse osseuse, la prise alimentaire, les fonctions assurées par la thyroïde et même la reproduction. Autrement dit, si votre tissu adipeux est fibrosé, c’est votre organisme tout entier qui en pâtit.

    Il est donc urgent d’y remédier avant de voir apparaître le spectre du diabète de type II ou de l’athérosclérose. Plus vous attendez, et plus la fibrose risque de s’installer et gangréner l’ensemble du tissu. Voici quelques pistes d’action à envisager au plus vite pour diminuer le tissu graisseux et le niveau d’inflammation :

    • L’activité physique est la condition indispensable à la fonte des graisses viscérales. C’est un impératif pour accroître et entretenir une masse musculaire souvent très réduite.

    • La sécrétion de cortisol (une hormone produite en excès en cas de stress chronique) est corrélée avec une augmentation de la graisse abdominale. Il s’agit donc de tout mettre en œuvre pour retrouver des moments de détente ainsi qu’une plus grande sérénité.

    • Le recrutement de cellules graisseuses est amplifié par certains facteurs alimentaires, comme un déséquilibre entre les apports en acides gras oméga-6 et en acides gras oméga-3. Veillez donc à diminuer vos apports en oméga-6 (qu’on trouve dans de très nombreux produits transformés) et à augmenter vos apports en oméga-3 (qu’on trouve en très bonne qualité dans l'OMÉGA 3 - EPA + et vitamine E).

    • Le maintien d’une perte de poids passe par un rééquilibrage alimentaire forcément plus faible en calories. Il faut donc tenir le coup et ne pas négliger les stratégies d’accompagnement qu’elles soient psychologiques ou nutritionnelles (par exemple des coupe-faim d’origine naturelle comme les barres paléo).

    • Considérez les produits spécifiquement conçus pour inhiber la formation des cellules graisseuses comme le konjac ou pour faire fondre la graisse viscérale comme MaxiCapsicum. Ne négligez pas non plus l’intérêt de la formule probiotiques dans la perte de poids et l’inflammation. La recherche a montré que le microbiote (flore intestinale) jouait un rôle de contrôle très important sur le tissu viscéral et sur l’inflammation : des souches de bactérie comme Lactobacillus acidophilus, Lactococcus lactis, Lactobacillus casei,  Bifidobacterium bifidum et Lactobacillus delbrueckii bulgaricus aident à combattre l’inflammation et l’excès de poids.

    • Si votre glycémie fait apparaître un « pré-diabète », vous pouvez faire appel au gymnema, sachant qu'il n'existe aucune contre-indication ni aucun effet indésirable connus.  Le chrome est, quant à lui, le principal minéral qui intervient dans la sécrétion d'insuline. Il en accroît également la capacité à se lier aux cellules cibles. Les études cliniques montrent que le chrome peut être bénéfique pour ceux qui souffrent d'intolérance au glucose.

    • La principale propriété du Chitosan est qu'il absorbe très bien les matières graisseuses. En effet, le Chitosan a la particularité, lorsqu'il est ingéré par une personne, de déposer une matière rappelant un gel, sur les parois de l'estomac, laquelle va protéger celui-ci contre les dépôts de graisse. D'un point de vue chimique, le Chitosan va, lorsqu'il entre en contact avec les lipides, se lier avec les graisses et les capter. En fait, il agit véritablement comme un piège à graisse. Le Chitosan peut ainsi attirer jusqu'à 15 fois son poids de matière graisseuse. Lorsque le Chitosan et les lipides se sont liés, ils ne peuvent pas être mélangés dans l'organisme, et de ce fait, ils seront évacués ensemble par les voies naturelles.

    La somatropine naturelle et les cellules graisseuses

    La somatropine permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ses avantages amincissants et pour ses vertus contre le vieillissement.

    Somatropine naturelle bio 1

    Le sport et les aliments sains et équilibrés sont fortement recommandés. Ce n’est pas uniquement pour maigrir mais aussi pour maintenir un poids stable et une bonne santé au quotidien. Parfois, la prise de solutions plus radicales sont nécessaires pour des résultats rapides et convaincants en un rien de temps. Ici la somatropine assure pour perdre du poids rapidement.

    Rôle essentiel:

    La somatropine joue un rôle crucial dans la perte de poids. En effet, cette hormone de croissance synthétique aide à améliorer nettement le métabolisme des lipides, des protéines et d'autres éléments minéraux de l’organisme.

    On pourrait croire qu’elle ferait grossir, mais bien au contraire, elle agit sur les cellules grasses en les éliminant rapidement. Pour les pratiquants de sports fatigants, la somatropine est parfois une incroyable source d’énergie, de nombreux athlètes l’utilisent pour cette raison.

    C’est d’ailleurs l’un des faits qui garantissent l’efficacité de cette hormone durant un régime minceur.

    N’oubliez pas : laisser évoluer le surpoids, c’est entretenir un terrain inflammatoire qui sera forcément source de complications et qui finira tôt ou tard par être irréversible.

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