Risques d'A.V.C.: des solutions naturelles et efficaces existent
- Par vogot
- Le 03/09/2018
- 0 commentaire
Qu'est-ce qu'un A.V.C. ?
L' A.V.C. (accident vasculaire cérébral) est un trouble vasculaire cérébral touchant les vaisseaux sanguins qui amènent le sang au cerveau. Cela survient lorsque le flux sanguin rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) qui bloque son passage vers les différentes parties du cerveau, ce qui prive ces dernières de leur apport vital en oxygène, causant leur disfonctionnement puis leur mort en quelques minutes.
Les effets dévastateurs d'un accident vasculaire cérébral sont souvent permanents car les cellules cérébrales mortes ne sont pas remplacées.
Première cause de handicap physique de l'adulte en France
Les AVC sont souvent responsables de séquelles lourdes, l'accident pouvant toucher des grandes fonctions neurologiques, telles que la motricité (hémiplégie), la sensibilité (anesthésie, douleurs), le langage (apahasie), la vision, ce qui entraîne de nombreuses difficultés de réinsertion.
Si l’un de vos proches a déjà subi un accident vasculaire cérébral (AVC), alors vous savez que c’est probablement l’un des pires accidents qui peuvent survenir dans une vie. Une personne sur dix seulement récupère intégralement ses capacités physiques et mentales : les autres en gardent des séquelles handicapantes à vie et près de 40 % en meurent dans les mois qui suivent.
Le plus dur, c’est que rien ne laisse jamais présager un tel drame.
Processus brutal et imprévisible
Un beau jour, une plaque de nature graisseuse se détache de la paroi d’un vaisseau sanguin et se laisse porter par le courant du flux sanguin. Elle poursuit sa route paisiblement jusqu’à ce qu’elle se retrouve finalement coincée par le rétrécissement de l’artère. C’est à ce moment-là que tout bascule : l’obstruction du vaisseau par la plaque va interrompre brusquement la circulation sanguine et priver d’oxygène les milliers de cellules nerveuses qui dépendaient littéralement de cette artère pour survivre.
Si rien n’est fait dans les heures qui suivent, les neurones mourront asphyxiés, supprimant des pans entiers de circuits neuronaux responsables de fonctions complexes comme la sensibilité tactile, l’élocution, l’équilibre… Si les dégâts ne sont pas trop importants et que la victime est encore jeune, les circuits neuronaux pourront être reconstruits grâce à la plasticité neuronale mais il faudra du temps. Dans le cas contraire, le plus fréquent, rien ne sera plus jamais pareil.
Les conséquences de cet accident ont de quoi glacer le sang et il n’est pas étonnant qu’une majorité de personnes ne veulent pas en entendre parler : elles espèrent secrètement et silencieusement qu’elles passeront entre les mailles du filet. Mais en refusant de voir la réalité en face, elles s’exposent à un risque supplémentaire inutile et dangereux. Les AVC ne frappent pas vraiment « à l’aveugle » : des mesures alimentaires simples permettent de diminuer le risque de 80 %, grâce à une anamnèse réalisée par un professionnel de santé.
Que représente une diminution du risque de 80 % ?
Imaginez que vous ayez à piocher une carte " au hasard " dans un paquet de 100 cartes qui contient 1 carte noire et 99 cartes blanches. Vous conviendrez que la probabilité que vous piochiez cette carte est assez faible (1 %). Puis retirez du jeu la carte piochée.
Imaginez à présent, que vous deviez réitérer ce même tirage tous les ans pendant 30 ans. Vous seriez exposé(e) à un risque faible mais répété dans le temps, si bien qu’à l’issue des 30 ans, vous auriez 3 chances sur 10 d’être tombé au moins 1 fois sur la carte noire.
Si l’on augmente maintenant le risque de tirer la carte noire de 80 % au cours d'un seul tirage, le risque parait toujours aussi faible : moins de 2 chances sur 100 de la piocher (1,8 %). Pourtant, à long terme, cette différence devient colossale : vous aurez désormais près de 5 chances sur 10 d’avoir un jour pioché la carte noire au bout de 30 ans.
C’est exactement ce qu’il se passe avec l’AVC.
Les facteurs qui augmentent ou diminuent le risque d’être touché par l’AVC ne modifient que très peu le risque à court terme, et on peut avoir tendance à dire que ça ne change pas grand-chose, que les efforts sont trop élevés par rapport aux résultats et par rapport à la part de hasard qui subsiste.
Mais en réalité, à long terme, ces facteurs pèsent de tout leur poids.
Vous avez environ 20 % de chance d’être victime un jour d’un AVC dans notre vie.
Mais cette statistique est une moyenne : à long terme, les facteurs de risque peuvent faire varier énormément cette « vérité » finale. Et tandis que certains n’ont en réalité que 10 % de chances d’en être victime (grâce à la diminution des facteurs de risque), d’autres peuvent atteindre facilement les 60 % s'ils cumulent des comportements à risque (consommation élevée de sel, inactivité physique, ...).
De plus, contrairement à l’exemple du jeu de cartes, les probabilités d'avoir un AVC augmentent au fil des tirages : sachez ainsi qu’après 55 ans, le risque d’AVC double à chaque décennie, que le diabète de type 2 multiplie le risque de 200 à 600 % ou encore que l’hypertension multiplie le risque de 1000 % ...
3 facteurs alimentaires réduisent le risque
Il existe de nombreux facteurs de risque de l’AVC que vous connaissez déjà comme l’inactivité physique, l’hypertension artérielle ou le diabète de type 2. Mais qu’en est-il des facteurs qui influent positivement sur le risque ?
Comptez-en au moins 3 qui sont faciles à intégrer et qui présentent, en plus, des intérêts majeurs pour de nombreuses autres pathologies.
Je vous présente, dès à présent, les 3 mesures principales permettant de diminuer d’au moins 80 % le risque d’AVC.
1) Des apports élevés en potassium
C’est certainement la principale mesure à adopter pour lutter contre l’AVC.
Les apports faibles de potassium favorisent la rigidité des artères et surtout, une élévation de ces apports permet de lutter contre le phénomène de calcification.
On trouve du potassium dans à peu près tous les fruits et légumes, et malheureusement, la baisse dramatique de la consommation de ces aliments explique sans doute la progression fulgurante des AVC … Tandis que les besoins en potassium sont estimés à 4 700 mg par jour, les apports atteindraient péniblement 2 300 mg chez les femmes et 3 100 mg chez les hommes dans nos sociétés occidentales.
Aliments riches en potassium
L’ensemble des fruits, légumes et légumineuses, et notamment les haricots blancs, les courges, les épinards et les bananes.
Aliments | Potassium en mg/100g |
Abricots | 281 |
Abricots secs | 490 |
Asperges | 278 |
Avocat | 604 |
Banane | 569 |
Haricots blancs | 416 |
Haricots verts | 189 |
Brocoli | 267 |
Melon | 251 |
Carottes | 341 |
Dattes | 648 |
Pamplemousse | 135 |
Champignons | 414 |
Orange | 311 |
Jus d'Orange | 496 |
Pêche | 202 |
Cacahuètes | 740 |
Pomme de terre | 504 |
Pruneaux (secs) | 940 |
Raisins secs | 315 |
Épinards | 291 |
Graines de tournesol | 920 |
Patates douces | 367 |
Tomates | 244 |
Le supplément de potassium : Formule Vitaminéro (officiellement reconnu pour optimiser et maintenir la pression sanguine
2) Une alimentation riche en magnésium
Les personnes dont la consommation de magnésium est élevée ont moins de risque de subir un AVC.
C’est un minéral essentiel au bon fonctionnement de l’organisme humain et vital pour la fonction cardiaque : il participe directement au métabolisme des lipides et intervient au niveau de la tension artérielle, deux des mécanismes impliqués dans l’AVC. C’est son action dilatante sur les vaisseaux qui serait la plus décisive dans la réduction du risque.
Les aliments riches en magnésium
De façon générale, les légumineuses, les graines et les noix, et plus particulièrement les haricots de soja, les amandes, les épinards et le chocolat.
Aliments | Magnesium en mg/100g |
Amandes | 80 |
Noix | 40 |
Lentilles | 40 |
Cacao | 410 |
Noisettes | 150 |
Eaux |
Magnesium en mg/litre |
Hépar | 110 |
Quézac | 95 |
Badoit | 85 |
Vittel | 36 |
Perrier | 0.4 |
Les suppléments de magnésium : Formule Vitaminero (qui contient aussi du chrome, du manganèse, du sélénium, du cuivre, du fer...) à prendre pendant les repas.
3) Des suppléments de vitamine B9
Les suppléments de vitamine B9 (qu’on appelle aussi les folates) réduisent le risque d’AVC d’environ 20 à 70 %.
Ce n’est pas vraiment une surprise : le supplément de Vitamine B9 (folate) comme Formule Vitaminéro est déjà officiellement reconnu pour l'optimisation de la formation des cellules sanguines. On en trouve également dans la viande et les légumes, mais la cuisson, la mise en conserve et la congélation diminuent drastiquement leur teneur.
Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels. Aide en période de vie active: physiquement et mentalement. Contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.
Vous pouvez compléter cette formule avec Force des Incas et Magnésium marin. Ce dernier joue un rôle capital dans la régulation du rythme cardiaque, la contraction musculaire et la transmission nerveuse. Le magnésium favorise le sommeil, et c'est un anti-stress.
Moringa et A.V.C.
Ce n’est pas un hasard si la feuille de moringa bio est classée parmi les « super-aliments ». Il est très riche en vitamines A et C, en fer, en potassium et même en protéines, et est utilisé pour traiter les infections, les gonflements, les douleurs d’estomac, l’asthme et l’épilepsie.
C’est aussi un booster d’énergie, immunostimulant, qui favorise la vue, la santé cardiovasculaire, qui détoxifie et lutte contre le vieillissement de la peau.
Vous en voulez plus ?
Il est bon pour la peau, fortifie les os et enfin, peut prévenir du cancer et des A.V.C. … En clair, vous ne pourrez bientôt plus vous en passer !
Les feuilles de moringa soignent les maladies suivantes : Tumeurs de l’estomac, douleurs de dos, prostatite, trouble de la vessie, douleurs dues aux inflammations, fièvre typhoïde, hernies diverses, constipation, faiblesse sexuelle, troubles digestifs, les infections des yeux, le diabète, l’hypertension et l’hypotension, décalcification dentaire, fatigue générale , protection préventive de la prostate.
Propriétés
Hypertension, hypotension, diabète.
Troubles liés au vih/sida.
Dégénérescence nerveuse et cellulaire.
Tumeurs et cancers divers.
Inflammation glandulaire, prostatite.
Les A V C.
Kyste, fibrome myome.
Témoignage
" J’ai fait un AVC [accident vasculo-cérébral] en 2009. J’avais eu des vertiges subits qui ont failli me faire tomber en route. A l’hôpital, il a été constaté que ma tension artérielle était élevée et c’est en ce moment que l’AVC a été diagnostiqué. J’ai eu une paralysie faciale, ma bouche s’était tordue et je ne voyais pas bien d’un côté. Je marchais avec des béquilles. Des gens qui avaient connus des cas similaires m’ont recommandé la médecine indienne. J’ai donc été pris en charge dans l’un de ces centres où l’on m’a promis que je serais rétabli au bout d’un an de traitement. Mais le traitement était très cher. Il fallait payer une boîte de comprimés tous les trois jours. C’est alors qu’une de mes connaissances m’a parlé du moringa. Quatre semaines après que j’ai commencé à le prendre, mon visage est redevenu normal. Parallèlement, j’ai été guéri des problèmes de goutte dont je souffrais. Au centre de médecine indienne ils étaient étonnés. A présent ma tension artérielle est normale, je me sens léger. "
vogot vitamine avc moringa bio
Ajouter un commentaire