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  • Astragale: LA plante de l'immunité à avoir chez vous

    Vous avez peut-être déjà entendu parler des bienfaits de l’astragale pour la santé ?

    Beaucoup d'entre vous me demandent quelle est la meilleure plante pro-immunité.

    Bien entendu, il n'existe pas de plante médicinale ultime, capable de répondre à tous vos besoins.

    La supplémentation, tout comme l'alimentation, est plus bénéfique quand elle est variée.

    Mais tout de même...

    De plus en plus étudiée, cette plante a suscité l’intérêt de la communauté scientifique en raison de ses nombreuses activités biologiques. En réalité, il faut savoir qu’il existe plusieurs milliers d’espèces d’astragales dont les caractéristiques et les propriétés sont très variables. Parmi ces nombreuses espèces, l’Astragalus membranaceus est connue depuis plusieurs millénaires pour ses vertus thérapeutiques.

    En effet, les propriétés médicinales de cette plante ont été décrites pour la première fois dans le Shennong bencao jing, qui n’est autre que le plus ancien ouvrage de pharmacopée chinoise. C’est pourquoi l’Astragalus membranaceus est une plante médicinale très réputée et très utilisée en Asie.

    Elle est préconisée dans de nombreuses situations, notamment dans le cadre de traitements contre des troubles cardiovasculaires, hépatiques, rénaux et dermatologiques ainsi que pour les patients cancéreux ou sidéens. Pour comprendre et confirmer le potentiel thérapeutique de cette plante, de nombreux chercheurs se sont intéressés à ses effets et à sa composition. Leurs travaux ont permis de confirmer les vertus médicinales de l’Astragalus membranaceus et de mettre en évidence de puissants principes actifs naturels.

    Si vous deviez choisir une plante en priorité pour booster vos défenses immunitaires... misez sur l'astragale.

    Utilisée depuis des millénaires, la racine d'Astragalus membranaceus est riche en composés actifs : polysaccharides, saponines, isoflavonoïdes...

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    ... à l'origine de ses propriétés antivirales, immunomodulatrices et antioxydantes (toutes démontrées par la science).

    Cette plante vivace, source naturelle de bienfaits pour l'organisme, est ainsi employée pour :

    • stimuler le système immunitaire

    • prévenir le rhume, la grippe et les affections des voies respiratoires

    • revitaliser l'organisme et soulager le stress

    • protéger le système cardio-vasculaire

    • ralentir le vieillissement

    • réduire la leucopénie (l'insuffisance immunitaire), etc.


    Pour optimiser son action, je vous conseille également d'opter pour des compléments synergiques, comme :

    L’intérêt d’une supplémentation en Astragalus membranaceus

    Une étude in vivo pour évaluer les effets de l’astragale

    Malgré les nombreux usages thérapeutiques traditionnels de l’espèce Astragalus membranaceus, il existait jusqu’à présent peu d’études in vivo sur cette plante. C’est pourquoi une équipe de recherche américaine a voulu évaluer les effets d’une supplémentation en astragale chez l’Homme.

    Pour cela, cette étude a été menée auprès de plusieurs individus ne présentant pas de troubles connus. Tandis que ces derniers recevaient des doses différentes en Astragalus membranaceus, les chercheurs évaluaient différents paramètres dont la réponse en leucocytes, en plaquettes et en cytokines, ainsi que la température corporelle et la pression sanguine.

    Le pouvoir immunostimulant de l’Astragalus membranaceus

    Publiées en 2016 dans la revue Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, les conclusions de cette étude ont mis en évidence des résultats positifs. Les premiers effets constatés sont apparus quatre heures après la supplémentation, avec une augmentation des plaquettes circulantes. Les chercheurs ont également mesuré une augmentation significative de certains leucocytes, qui sont connus pour leur rôle essentiel dans la défense de l’organisme.

    Parmi ces leucocytes ou globules blancs, des monocytes, des lymphocytes et des neutrophiles sont apparus dans un délai de 8 à 12 heures après l’administration. De la même façon, les scientifiques ont observé un changement dynamique des taux de cytokines circulantes, comme le TNF-alpha, l’IL-6 ou l’interféron gamma.

    Ces éléments interviennent dans le système immunitaire, ce qui confirme le pouvoir immunostimulant de l’Astragalus membranaceus. L’intérêt thérapeutique de cette plante a d’ailleurs été confirmé par l’apparition de signes physiologiques comme une baisse de la pression sanguine ainsi qu’une élévation de la température corporelle. Ces deux phénomènes sont caractéristiques d’une activation du système immunitaire, d’où l’efficacité d’une supplémentation en Astragalus membranaceus pour améliorer les défenses naturelles de l’organisme.

    Une fraction active aux propriétés anti-inflammatoires

    Si l’activité immunostimulante de l’Astragalus membranaceus a été récemment confirmée, des propriétés anti-inflammatoires avaient été mises en évidence dès 2014.

    Une équipe de recherche chinoise est en effet parvenue à identifier et à extraire une fraction active de l’astragale. Les propriétés de cette fraction ont été évaluées en utilisant des cellules immunitaires spécifiques. Les chercheurs ont constaté que l’extrait d’astragale permettrait d’inhiber l’expression d’une enzyme spécifique : l’oxyde nitrique synthase.

    Celle-ci est impliquée dans la vasodilatation, un phénomène caractéristique de l’inflammation. En approfondissant leurs recherches, les scientifiques ont mis en évidence que la fraction active de l’astragale agirait sur de nombreuses molécules impliquées dans le processus inflammatoire, comme la cyclo-oxygénase-2, le NFκB, la prostaglandine E2, des régulateurs de la voie MAPK ou encore des cytokines comme l’IL-1β, l’IL-6 et le TNF-alpha.

    D’après les chercheurs, l’activité de ces molécules a été globalement réduite de moitié grâce à l’utilisation d’un extrait d’Astragalus membranaceus.

    Pour expliquer cette activité anti-inflammatoire, les auteurs de l’étude ont ensuite travaillé à l’identification des principes actifs de cette plante. Publiés dans la revue Phytotherapy Research, les résultats de leurs travaux ont mis en évidence 13 composés actifs dont 5 isoflavonoïdes et 8 saponines.

    L’activité de ces molécules pourrait expliquer les propriétés anti-inflammatoires de l’Astragalus membranaceus. Cette plante pourrait ainsi avoir un grand intérêt pour prévenir ou soulager des inflammations.

    Identification d’antioxydants naturels au sein de l’astragale

    En plus de ses propriétés anti-inflammatoires, l’Astragalus membranaceus présente d’autres atouts pour protéger l’organisme. Ses effets protecteurs ont d’ailleurs été confirmées par une étude parue en 2015 dans la revue scientifique spécialisée chinoise Zhongguo Zhong yao za zhi. Lors de leurs travaux, les chercheurs sont parvenus à confirmer le pouvoir antioxydant de trois principes actifs de l’Astragalus membranaceus : l’astragaloside IV, la formononétine et le groupe des calycosines.

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    L’activité anxtioydante de ces molécules a été évaluée sur des cellules Chang Liver. Ces dernières constituent un genre de cellules du foie normales, auxquelles les chercheurs ont induit un stress oxydatif par ajout de H2O2. Pour suivre l’activité des principes actifs de l’astragale, les chercheurs ont analysé le taux de stress oxydatif en mesurant la quantité intracellulaire d’espèces réactives de l’oxygène (ERO), ainsi que l’expression du cytochrome P450 2E1.

    Aussi connu sous les initiales CYP2E1, ce dernier est considéré pour induire un stress oxydatif responsable de complications pour la santé. Après avoir confirmé la pertinence de leur étude grâce à un test contrôle, les chercheurs ont montré que les composants identifiés au sein de l’Astragalus membranaceus permettait de réduire le stress oxydatif, dont celui induit par CYP2E1.

    Par conséquent, les principes actifs de cette espèce d’astragale pourraient être particulièrement efficaces pour lutter contre les dommages causés par les radicaux libres.

    Ces études confirment le potentiel thérapeutique de l’Astragalus membranaceus. Ses propriétés antioxydantes, immunostimulantes et anti-inflammatoires lui confèrent un effet protecteur pour l’organisme. Une supplémentation en astragale pourrait ainsi permettre de prévenir ou de lutter contre certaines pathologies dont celles liées à l’âge. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’astragale est désormais utilisée dans la formulation de fortifiants et de suppléments anti-âge.

    Lire également: "Cortisol: Tout commence avec le stress", "Microbiote et niveaux de stress", "Des champignons au secours de votre système immunitaire", "Ail noir: Stimulez efficacement votre système immunitaire", "Défenses immunitaires : et si le virus était un ami?".

  • Epigénétique: les miraculeux pouvoirs de la supplémentation

    Une étude récente

    Une étude parue le 21 août 2018 a montré que les bénéfices d’une supplémentation en sélénium et en co-enzyme Q10 continuaient de se manifester, 12 ans après son interruption. Les personnes qui avaient suivi ce traitement pendant 4 ans présentent aujourd’hui un risque de mortalité cardio-vasculaire 40 % plus faible que les personnes du groupe de contrôle initial. Cela signifie que des changements structuraux ont dû se produire chez les personnes supplémentées et que ces changements sont toujours en place aujourd’hui.

    Les effets sont remarquablement persistants, surtout chez les femmes. Ils le sont d’autant plus si vous êtes une personne à risques, par exemple avec du diabète, de l’hypertension ou un dysfonctionnement sévère du cœur. Mais ce qui est fantastique, c’est que les différences entre les personnes traitées et les personnes non traitées continuent à se creuser, et que les bienfaits augmentent avec le temps.

    Quel mécanisme peut expliquer une telle longévité des effets ?

    Il est possible que le sélénium et la co-enzyme Q10 aient modifié de manière irréversible la façon de lire et d’utiliser les gènes sans pour autant les dénaturer. Ces molécules, capables d’indiquer à la cellule les gènes qu’elle doit utiliser ou ceux qu’elle doit laisser de côté, s’appellent des facteurs épigénétiques. Selon cette théorie, le sélénium et la co-enzyme Q10 auraient influencé l’expression des gènes et permis aux personnes supplémentées d’emprunter un autre chemin, moins risqué sur le plan cardiovasculaire et qui s’écarte toujours plus du chemin emprunté par les personnes du groupe contrôle. On les soupçonne ainsi d’avoir modifié l’expression des gènes liés au stress oxydatif, à l’inflammation et à la fonction mitochondriale.

    Manque de sélénium et appauvrissement des terres

    Le sélénium est un minéral indispensable à l’être humain, bien que de très petites quantités suffisent à faire fonctionner le corps de manière optimale. Il faut le puiser dans l’alimentation car l’organisme n’est pas capable de le synthétiser. Cet oligo-élément joue un rôle capital dans le système immunitaire et la glande thyroïde, mais aide surtout l’organisme à produire des antioxydants endogènes comme la glutathion-péroxydase ainsi que diverses sélénoprotéines. Ces derniers travaillent sans relâche pour protéger les cellules de l’oxydation causée par les radicaux libres.

    En Europe, la terre est particulièrement pauvre en sélénium. Or, c’est un problème puisque la teneur en sélénium des céréales et des légumes dépend directement de la teneur en sélénium des sols où ils sont cultivés. Les concentrations sériques des Européens sont donc systématiquement en dessous de 90 μg/L alors que les chercheurs estiment que les concentrations nécessaires pour la production optimale des sélénoprotéines seraient de 90 à 140 μg/L. Voilà pourquoi la Finlande a instauré en 1984 un programme d’enrichissement des engrais en sélénium, permettant de tripler les apports alimentaires dans le pays et réduire l’incidence des maladies du cœur. Au Royaume Uni, les apports en sélénium sont passés de 60 µg/jour à 34 µg/jour en moins de 20 ans.

    De faibles concentrations sériques de sélénium sont associées à des pertes de force musculaire, un niveau plus important d’invalidité et des risques de troubles cardiovasculaires plus élevés.

    Chez les personnes âgées de plus de 75 ans, l’apport conseillé est de 80 µg par jour, prenant en compte l’augmentation du stress oxydatif avec l’avancée en âge et devant permettre de maintenir le bon fonctionnement du système immunitaire.

    Chez le sportif s’entraînant de façon intense, un apport complémentaire de 10 à 30 µg par jour, proportionnel à la dépense énergétique, est proposé compte-tenu des phénomènes oxydatifs occasionnés par le travail musculaire.

    Sources alimentaires de sélénium

    Les aliments les plus riches en sélénium sont les poissons et les fruits de mer. Ensuite, viennent les viandes, les abats, les œufs, les légumes secs, les aliments céréaliers complets et les fruits à coque.

    La levure de bière peut compléter les apports.

    Teneur en sélénium en microgrammes (µg) pour 100 g d’aliment (2)

    Lotte grillée

    425

    Pâtes au blé complet

    131

    Merlu cuit

    119

    Maquereau cuit

    95

    Limande cuite

    73

    Lapin cuit

    73

    Levure de bière

    71

    Thon en boîte

    68

    Moule cuite

    58

    Palourde ou crevette rose cuite

    52

    Sardine en boîte

    48

    Pois chiche cuit

    45

    Lentille cuite

    40

    Rôti de porc cuit

    39

    Canard cuit

    35

    Jambon cru ou cuit

    23 à 24

    Champignon de Paris

    22

    Foie de veau cuit

    22

    Œuf cuit

    20

    Poivron rouge

    19

    Noix

    19

    Poulet cuit

    17

    Chou vert cuit

    15

    Les bienfaits du sélénium

    • Le sélénium entre dans la structure de plusieurs enzymes anti-oxydantes : les glutathions péroxydases et la thiorédoxine réductase. Ces enzymes contribuent à neutraliser l’excédent de radicaux libres présents dans l’organisme, qui accélèrent le vieillissement cellulaire et favorisent la survenue de diverses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires.

    • La thiorédoxine réductase permet de régénérer les vitamines C et E, qui ont également une action anti-oxydante.

    • Le sélénium est un modulateur des réponses immunitaires (notamment antivirales) et anti-inflammatoires.

    • Il participe à la détoxification de certains composés toxiques, métaux lourds et xénobiotiques (molécules étrangères).

    • Il intervient dans le métabolisme thyroïdien.

    Pourquoi manquez-vous aussi de co-enzyme Q10 ?

    Contrairement au sélénium, la co-enzyme Q10 est produit par l’organisme, mais elle n’en reste pas moins vitale pour son bon fonctionnement. C’est un antioxydant puissant qui est déterminant dans la production d’énergie cellulaire et notamment de la fameuse molécule énergétique, l’ATP. Elle a été très étudiée pour son rôle dans la santé cognitive, la santé cardiovasculaire et le vieillissement, même si elle reste considérée comme un complément alimentaire et non comme un médicament parce qu’il s’agit d’une molécule naturelle ne pouvant faire l’objet d’un brevet pharmaceutique.

    L’organisme est en mesure de la synthétiser, mais la production diminue continuellement après l’âge de 20 ans, et elle est même réduite de moitié à l’âge de 80 ans, au niveau du tissu musculaire du cœur.

    De nombreuses recherches ont montré qu’elle pouvait réduire la pression systolique et la pression diastolique sans effet indésirable notable pour des doses variant de 120 à 200 mg par jour. Elle est considérée comme une molécule parfaitement sûre, même à très long terme, en raison de sa présence naturelle dans l’organisme.

    Propriétés de la co-enzyme Q10

    • Stimule le système immunitaire.

    • Augmente la capacité énergétique du corps grâce à son rôle d'oxygénation sur chaque cellule du corps.

    • Prévient les affections cardiaques, palpitations, angine de poitrine et hypertension.

    • Stimule la production d'hormones.

    • Elle se comporte comme un antioxydant soluble dans les graisses

    • Elle peut même réduire les effets toxiques de certaines substances utilisées en chimiothérapie.

    • Elle est aussi utile pour combattre les allergies.

    • Utile dans le traitement du diabète

    • Utile en cas de trouble gingivaux

    Une synergie entre le sélénium et la co-enzyme Q10

    Pour produire des sélénoprotéines fonctionnelles, des quantités suffisantes de coenzyme Q10 sont nécessaires tandis que pour activer les molécules de co-enzyme Q10, vous avez besoin également de sélénium. Si vous vivez vivent en Europe et que vous êtes âgés de plus de 50 ans, donc particulièrement à risque de déficiences en sélénium (ce qui est associé à une mortalité cardiovasculaire plus importante) et de déficiences en co-enzyme Q10 (du fait d’une baisse de la production endogène), vous êtes privés d’une synergie puissante capable de prévenir durablement l’apparition des troubles cardiovasculaires.

    Comment y remédier ?

    Pour prévenir les troubles cardiovasculaires, il n’y a rien de mieux qu’aider le corps à utiliser au mieux ses armes naturelles.

    • Prendre 1 gélule par jour avec un demi-verre d'eau, au moment du repas de Co-enzyme Q10 (40 mg ou 100 mg). C’est un complément conditionné sur support lipidique pour faciliter l’absorption de la molécule par l’organisme. Comme il s’agit d’une molécule difficile à produire et donc souvent onéreuse, il vaut mieux faire en sorte que sa biodisponibilité soit maximale…

    • Prendre 2 comprimés par jour à laisser fondre sous la langue, après le déjeuner et le dîner de Levure de sélénium et Vitamine C. Si vous habitez sur le continent américain, il est possible que vos apports en sélénium soient suffisants, dans ce cas, rapprochez-vous de votre professionnel de santé.

    • Faire en sorte de perdre du poids si vous avez des kilos à perdre, notamment au niveau abdominal : les graisses qui entourent les viscères sont les plus nocives pour le cœur. Idéalement, le tour de taille devrait rester inférieur à 94 cm chez les hommes et à 80 cm chez les femmes. Pour y parvenir, la somatropine naturelle semble être une supplémentation tout à fait intéressante : si elle contribue à prévenir les maladies cardiovasculaires ainsi que les récidives, c’est notamment parce qu’elle atténue le gain de poids associé à l’âge.

    • Se réserver une vingtaine de minutes par jour pour se détendre, respirer et évacuer le stress, idéalement le matin ou une heure avant le coucher.

    • Veiller à fournir au corps des apports suffisants en acides gras oméga-3 et vitamine E. Une supplémentation d’oméga-3 de bonne qualité a un effet bénéfique sur la santé cardiovasculaire.

  • Messieurs, allez-vous enfin prendre soin de votre prostate ?

    L'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) constitue un obstacle sous-vésical à l'écoulement des urines (signes obstructifs) et peut entraîner une réaction de la paroi vésicale (hyperactivité vésicale).

    L'HBP est une affection bénigne fréquente occasionnant des symptômes urinaires du bas appareil (SBAU) altérant la qualité de vie et pouvant être à l'origine de complications potentiellement graves. Elle correspond à une hyperplasie des glandes de la prostate péri-urétrale (zone de transition de la prostate).

    L'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est une pathologie fréquente favorisée par le vieillissement et liée au développement d'un adénome prostatique responsable d'un obstacle chronique à la vidange vésicale.

    L'évolution de l'HBP peut entraîner un retentissement sur :

    • le bas appareil urinaire : vessie de lutte,

    • le haut appareil urinaire : insuffisance rénale chronique obstructive.

    L'anamnèse repose sur l'interrogatoire et la recherche des problèmes urinaires du bas appareil (SBAU) qui sont des signes fonctionnels urinaires :

    • retard au démarrage, dysurie, jet faible, gouttes retardataires ;

    • pollakiurie, urgenturie, impériosité, brûlures mictionnelles.

    Parmi les compléments reconnus pour limiter l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) s’érigent en maîtres incontestés des extraits de plantes et des nutriments ayant fait l’objet de multiples études.

    Focus sur ces incontournables et sur les autres substances prometteuses.

    Depuis de nombreuses années, des extraits de baies de sabal sont utilisés avec beaucoup de succès en Europe et Outre-Atlantique pour soulager durablement les symptômes de l’hypertrophie bénigne de la prostate (adénome prostatique) et dégager les voies urinaires.

    Le sabal palmetto ou serenoa repens, encore nommé palmier nain, est en effet riche en phytostérols et en acides gras spécifiques capables de bloquer les hormones qui influent sur la taille de la prostate. La prise de tels extraits, standardisés en acides gras libres, agissent à plusieurs niveaux :

    • Ils inhibent la 5-alpha-réductase et limitent la liaison de la dihydrotestostérone (DHT) – la forme active de la testostérone qui stimule la croissance des cellules prostatiques - aux récepteurs androgéniques,

    • Ils diminuent la prolifération des cellules prostatiques et induiraient même l’apoptose des cellules cancéreuses,

    • Ils réduisent l’inflammation et les envies pressantes d’uriner,

    • Ils augmentent le flux urinaire et favorisent les vidanges complètes.

    Les extraits de sabal palmetto seraient donc aussi efficaces que le finastéride ou la tamsulosine, deux médicaments couramment prescrits pour traiter l’HBP.

    Ces extraits sont souvent associés dans les études cliniques à un extrait de racine d’ortie (Urtica dioica), pour leurs actions synergiques et dépourvues d’effets secondaires. Ce dernier inhibe également la liaison de la DHT sur les cellules prostatiques et selon les études effectuées, il procure un soulagement significatif des symptômes. Il est d’ailleurs recommandé par la commission E allemande pour soulager naturellement les troubles urinaires associés à l’HBP.

    Parmi les plantes, on peut citer également le Pygeum africanum, un prunier d’Afrique utilisé en Europe depuis le milieu des années soixante. Les phytostérols qu’il contient améliorent la contractilité de la vessie, possèdent un effet anti-inflammatoire en inhibant la production de prostaglandines, préviennent la croissance des cellules prostatiques, réduisent les levées nocturnes et augmentent le flux urinaire de façon à favoriser une vidange complète.

    Le Moringa Oleifera est un arbre très résistant à la sécheresse et originaire de l’Inde, du Pakistan et de l’Afghanistan. Facile à cultiver, bon marché et très riche en vitamines, on se sert de ses feuilles depuis près de 5 000 ans pour pallier à la malnutrition. C’est également un excellent médicament naturel, capable de soigner bien des maux. Tout comme le sabal palmetto et le soja, il renferme du bêta-sitostérol ayant fait ses preuves lors de diverses études et contient plus de 90 nutriments, 46 antioxydants, vitamines, minéraux, protéines, ainsi que tous les acides aminés essentiels. 

    Il est considéré comme un super-aliment et montre en effet clairement que ce phytostérol est capable d’augmenter le flux urinaire et de diminuer l’urine résiduelle dans la vessie.

    De plus, ses bénéfices perdurent plusieurs mois après l’arrêt de la supplémentation. Les feuilles de moringa soignent les maladies suivantes : Tumeurs de l’estomac, douleurs de dos, prostatite, trouble de la vessie, douleurs dues aux inflammations, fièvre typhoïde, hernies diverses, constipation, faiblesse sexuelle, troubles digestifs, les infections des yeux, le diabète, l’hypertension et l’hypotension, décalcification dentaire, fatigue générale , protection préventive de la prostate.

    Ces extraits de plantes sont couramment utilisés seuls ou en association avec :

    • Un extrait hydrophile et lipophile de pollen qui inhibe la formation de DHT, diminue légèrement les symptômes urinaires associés à l’HBP et notamment la nycturie, c’est à dire les levées nocturnes pour uriner.

    • Le zinc, qui est LE minéral spécifique de la prostate. En effet, les cellules épithéliales prostatiques l’accumulent et les recherches montrent qu’il inhibe la croissance cellulaire ainsi que l’activité de la DHT et empêche l’activité de la 5-alpha-réductase. Les cellules prostatiques hypertrophiées en sont d’ailleurs quasiment dépourvues, limitant ainsi la fonction d’autorégulation du zinc sur la croissance.

    • Le bore qui favorise également un développement sain des cellules prostatiques.

    Parmi les formules prometteuses, le Precurseur TST, a spécialement été conçu pour augmenter la quantité de testostérone dans le corps. Il est constitué d’extraits de végétaux et présente un taux élevé de principes actifs très utiles pour la synthèse hormonale.

    Precurseur TST contient des extraits d'origine végétale (Tribulus terrestris, Trigonella foenum-graecum, Serenoa repens, Coleus forskohlii, Passiflora incarnata y Trifolium pratense) qui garantissent une efficacité optimale.

    Le Précurseur TST contient aussi de la Foskoline agissant sur l’hypothalamo-hypophysaire pour que ce dernier libère les neuro-hormones indispensables à la spermatogenèse et à la formation de testostérone.

    La consommation de ce produit permet de réduire les troubles prostatiques et de minimiser les signes de féminisation en inhibant l’aromatase, l’enzyme responsable de la transformation de la testostérone en œstrogène.

    Pour mieux comprendre l’HBP

    La prostate peut tripler de volume sous l’action de deux enzymes clés :

    • La 5-alpha-réductase qui convertit la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), la forme la plus active,

    • L’aromatase qui convertit la testostérone en œstrogènes. L’excès d’œstrogènes exacerbe non seulement l’HBP mais accroit également le risque d’une évolution vers un cancer prostatique.

    La DHT et les œstrogènes sont responsables de la prolifération des cellules prostatiques par activation de certains facteurs de croissance (IGF-1 – Insulin growth factor). Ainsi, toutes les substances agissant sur ces deux enzymes, ou limitant la liaison de la DHT ou des œstrogènes aux récepteurs prostatiques, limitent l’HBP.

    Parmi les facteurs de risque de l’HBP il y a bien évidemment l’âge puisqu’il va engendrer des modifications dans la production hormonale mais aussi la sédentarité et certains médicaments.
     

    De la broméline contre les prostatites

    La broméline tire son nom de « broméliacées », la famille botanique à laquelle appartient l'ananas. Elle peut être extraite du jus de l'ananas frais ou, ce qui est le cas de celle qui se trouve sous forme de supplément, de la tige de la plante. On s'en sert comme additif alimentaire pour attendrir la viande ou comme agent de texture. En tant que supplément alimentaire, elle est offerte soit seule, soit en association avec d'autres enzymes ou des plantes digestives.

    Contrairement à d’autres enzymes qui sont dégradées dans le système digestif, la broméline est partiellement absorbée par l'organisme et passe dans le sang. Elle exerce ainsi une activité systémique : elle inhiberait la production des prostaglandines qui causent l'inflammation, éclaircirait le sang et aurait un effet bénéfique sur le système immunitaire. En combinaison avec la myrtille elle peut soulager les symptômes d'infection de l'appareil urinaire.


    Pour prévenir ou contrer le développement des cellules cancéreuses à ce niveau, d’autres extraits doivent faire partie de l’arsenal.

    Parmi les substances reconnues, le lycopène, un puissant caroténoïde antioxydant abondamment présent dans les tomates, possède un effet protecteur contre ce type de cancer. Les études montrent en effet qu’il est capable d’inhiber la croissance des cellules prostatiques cancéreuses.

    La vitamine D3 également, très peu présente dans l'alimentation comparée au lycopène, à part dans les poissons gras. Essentiellement synthétisée par l’organisme aux beaux jours sous les effets des UVB à partir d’un dérivé du cholestérol, la plupart des européens en manquent pourtant cruellement, exposant l’organisme à des risques de cancers, dont celui de la prostate. Il est donc nécessaire d’octobre à mars d’avoir recours à une supplémentation quotidienne de vitamine D3.

    Parmi les polyphénols, un composé se dégage pour lutter contre la croissance des cellules prostatiques cancéreuses : Le resvératrol. Cette substance peut constituer une alternative plus efficace et moins toxique que la chimiothérapie.

    L’extrait de grenade, et plus particulièrement la punicalagine et l’acide ellagique, sont également reconnus pour leurs effets protecteurs, ainsi que des alcaloïdes, des triterpènes. Ils évitent en effet le déclenchement de mutations et exercent in vitro une activité antiproliférative. Plus encore, l’acide ellagique est capable d’inhiber deux protéines essentielles (VEGF et PDGF) nécessaires à la formation du réseau sanguin des tumeurs ; elles interférent le plus souvent avec le processus d’angiogenèse, une caractéristique clé de la gravité de l’évolution tumorale.

    L'extrait de grenade inhibe la croissance cellulaire, induisait l'apoptose dans une lignée cellulaire hautement agressive de cancer de la prostate et réduisait la sécrétion de PSA.

    D’autres ingrédients scientifiquement étudiés s’avèrent intéressants :

    • La chrysine est un composé flavonique extrait de la passiflore bleue (Passiflora caerulea) qui inhibe la conversion de la testostérone en œstrogènes, que l'on retrouve dans Precurseur TST.

    • La naringine, extrait du pamplemousse qui est aujourd’hui un inhibiteur oestrogénique parfaitement reconnu (cytochrome P 450).

    • La génistéine extraite du Sophora japonica (plus active que celle extraite du soja) qui inhibe fortement l’aromatisation.

    • L’Epilobium parviflorum (épilobe à petites fleurs) qui, de par sa richesse en terpènes, phytostérols, flavonoïdes, tannins, et plus particulièrement en oenothéine B, inhibe conjointement les deux enzymes clés que sont l’aromatase et la 5-alpha réductase.

    • Le sélénium, qui selon certaines études, diminuerait le risque de cancer de la prostate et ralentirait sa progression.

    • L'acide boswellique, extrait de la boswellia serrata. Il faut citer aussi une nouvelle découverte très prometteuse concernant l’utilisation de la Boswellia : l’hypertrophie bénigne de la prostate et des prostatites d’une manière générale.

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  • Prévention cancer : quelques mesures simples et efficaces

    Le terme « cancer » englobe un groupe de maladies se caractérisant par la multiplication et la propagation anarchiques de cellules anormales. Si les cellules cancéreuses ne sont pas éliminées, l’évolution de la maladie va mener plus ou moins rapidement au décès de la personne touchée.

    Un cancer peut être dû à des facteurs externes (mode de vie, facteurs environnementaux ou professionnels, infections), ou internes (mutations héréditaires, hormones, dérèglement du système immunitaire, etc.). Ces facteurs de risque peuvent agir ensemble ou de façon successive, et enclencher ou favoriser le développement du cancer.

    La maladie c'est un style de vie

    Souvent, plusieurs dizaines d’années séparent l’exposition à des facteurs externes et le déclenchement de la maladie.

    Un cancer débute quand de nombreux dégâts microscopiques se sont accumulés sans être réparés dans une cellule. Devenue cancéreuse, la cellule va se multiplier de façon incontrôlée. Une tumeur maligne (masse de cellules cancéreuses) se constitue petit à petit dans l’organe de départ du cancer. La tumeur grandit et envahit les tissus voisins de proche en proche.

    Plus de 5 millions de cancers pourraient être évités chaque année en adoptant quelques mesures simples et efficaces, Ces changements devraient être encouragés par les politiques de santé publique pour réduire drastiquement le nombre de diagnostics annuels. D’autant que certains d’entre eux vous sont plutôt méconnus.

    1) Arrêter de fumer

    Le tabagisme garde toujours la triste première place au classement des facteurs de risque du cancer. Néanmoins, les mesures de prévention commencent à payer puisque le nombre de fumeurs diminue lentement dans les pays occidentaux. Il faut dire que les statistiques sont effrayantes : le risque d'être atteint d'un cancer est de 10 à 50 fois supérieur pour un fumeur que pour un non-fumeur. En moyenne, il vit 10 ans de moins que les non-fumeurs tout en vieillissant moins bien : l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, les bronchites chroniques et la dysfonction érectile font généralement partie de son quotidien.

    Le mécanisme : la fumée brûlante du tabac altère progressivement la muqueuse bronchique et paralyse les cils protecteurs. A terme, ces cils disparaissent et l’évacuation des particules polluantes devient très difficile. L’irritation chronique perturbe alors les cellules de la muqueuse qui s’empilent au lieu de rester sur une seule couche.

    2) Perdre du poids

    L’excès de poids est le deuxième plus gros responsable des cancers dans le monde. Les auteurs de l’étude estiment que c’est une menace publique énorme compte tenu de l’épidémie d’obésité qui touche actuellement le monde occidental. Malheureusement, les gens ne réalisent pas à quel point ils mettent leur santé en danger.

    Le mécanisme : un excès de tissu adipeux (notamment près de l’abdomen) dérègle un nombre incalculable de mécanismes qui conduisent à un état d’inflammation chronique, une accélération du vieillissement, une résistance à l’insuline, une plus grande susceptibilité aux troubles cardiovasculaires et à un risque augmenté de cancers. Plus de 13 types de cancer seraient concernés, en particulier ceux de l’intestin, du sein, de l’utérus et du rein.

    3) Mieux préparer son corps au soleil et augmenter sa consommation d’antioxydants

    On estime à au moins 130 000 le nombre de mélanomes malins qui sont diagnostiqués chaque année dans le monde. Ce sont des tumeurs cancéreuses qui se forment au niveau des mélanocytes, les cellules de la peau qui produisent de la mélanine. Ils font partie des cancers qui progressent le plus rapidement et qui génèrent facilement des métastases. D’après les auteurs de l’étude, c’est l’exposition aux rayons UV du soleil qui serait le principal responsable de cette épidémie.

    Le mécanisme : en réalité, ce n’est pas l’exposition aux rayons du soleil en tant que telle qui est condamnable, mais notre façon de nous exposer. Comme nous passons le plus clair de notre temps dans des bureaux, notre peau ne s’habitue pas à la montée en puissance des rayons du soleil pendant le printemps. Sous l’action des rayons ultraviolets, les mélanocytes libèrent normalement de la mélanine, un pigment chargé de filtrer les rayons lors de la prochaine exposition. C’est le bronzage bien connu. Malheureusement, la plupart du temps, nous exposons notre corps insuffisamment préparé à des rayons UV très agressifs qui, en l’absence de mélanine, vont provoquer des mutations génétiques graves au niveau des cellules souches cutanées. Au fil des expositions imprudentes, les mutations s’accumulent jusqu’au jour où un simple coup de soleil provoque la mutation de trop et le développement d’un mélanome.

    Le conseil complémentaire : consommer régulièrement des aliments riches en quercétine (comme le raisin et les fruits rouges), en lycopène (la tomate), en lutéine (légumes à feuilles vert foncé comme le chou et les épinards) et en caroténoïdes (comme l’abricot, le melon, la carotte ou le poivron), surtout au printemps et en été. Ce sont des pigments qui vont contribuer à filtrer les rayons UV du soleil.

    Des suppléments de curcumine (Super curcuma), de flavonoïde et caféine (Café vert et thé vert), de Co-enzyme Q10, de Broméline + Rutine et d'antioxydant (Redox) sont également disponibles pour compenser la faible quantité et la qualité de plus en plus pauvre des fruits et légumes que nous consommons.

    4) Se protéger d’Helicobacter Pylori et du Papilloma Virus

    Helicobacter pylori colonise l’estomac d’une personne sur deux dans le monde. Aux dernières nouvelles, elle provoquerait la mort de plus de 600 000 personnes chaque année par l’intermédiaire du cancer de l’estomac.

    Le Papilloma virus, quand à lui, représente un groupe de virus extrêmement courants dans le monde qui se transmettent principalement par contact sexuel. Les plus agressifs d’entre eux sont les principaux responsables du cancer du col de l’utérus qui tue chaque année plus de 270 000 femmes.

    Les mécanismes : la plupart des infections au Papilloma virus sont inoffensives et disparaissent spontanément en moins de 2 ans. Mais il arrive que certaines souches agressives parviennent à s’intégrer dans les chromosomes de la cellule hôte et provoquent une mutation des cellules du col de l’utérus conduisant à l’apparition d’une tumeur.

    Helicobacter pylori sécrète une enzyme capable de couper les liaisons qui attachent les cellules de la muqueuse gastrique entre elles. L’imperméabilité de la couche protectrice de l’estomac n’est donc plus assurée et la bactérie peut s’immiscer dans les couches les plus profondes. C’est là-bas qu’elle libère une toxine, la protéine Cag A, capable de reprogrammer le fonctionnement génétique des cellules pour empêcher le système immunitaire de les détecter. Malheureusement, ce tour de passe-passe dérègle aussi une multitude de signaux secondaires dont certains sont associés au cancer.

    Le conseil complémentaire : en plus des traitements conventionnels, une supplémentation en Lactobacillus reuteri (H.E. de girofle), une huile essentielle inhibitrice d’Helicobacter pylori, L - Glutathion et Papaïne, Moringa, L-Glutamine, peut favoriser le renforcement de la barrière épithéliale et contribuer à accélérer sa réparation.

    5) Boire moins d’alcool

    La consommation d’alcool, même modérée, augmenterait le risque de cancer. Evidemment, plus on boit et plus ce risque augmente : au-delà de 10 verres par semaine, par exemple, l’espérance de vie est réduite en moyenne de deux ans.

    Le mécanisme : Quand vous buvez de l’alcool, l’organisme produit de l’acétaldéhyde, un produit chimique dangereux qui endommage les brins d’ADN des cellules souches. Certaines enzymes (les aldéhydes déhydrogénases) peuvent limiter la casse en transformant rapidement l’acétaldéhyde en acétate, mais il arrive fréquemment qu’elles soient défectueuses ou en nombre limité (chez les populations asiatiques notamment). Il existe également des mécanismes de réparation de l’ADN, mais les gènes qui s’occupent de les mettre en place peuvent à leur tour être endommagés. C’est la consommation d’alcool à long terme et l’accumulation des dégradations au niveau de l’ADN qui finissent par déclencher un cancer.

    6) Manger plus de fibres

    Pas de doute, les personnes qui consomment de grandes quantités de fibres alimentaires ont moins de risque de développer un cancer, notamment celui du sein et celui du côlon.

    Le mécanisme : les aliments riches en fibres aideraient à réduire les taux élevés d’œstrogènes sanguins qui sont fortement associés au cancer du sein. D’autres mécanismes sont avancés pour expliquer son effet préventif sur l’un des cancers les plus meurtriers, le cancer colorectal : diminution du temps de transit des déchets, favorisation de bactéries spécifiques qui produisent du butyrate, une source d’énergie pour les cellules du côlon qui aiderait à prévenir les tumeurs…

    Le conseil complémentaire : choisissez systématiquement des céréales à grains complets ou semi-complets, augmentez vos apports en fruits, en légumes et en légumineuses, et jetez votre dévolu sur des suppléments de fibres végétales comme le Psyllium Bio, conçu à partir de graines de psyllium.

    Sept autres mesures complémentaires :

    • Réduire fortement sa consommation de viandes transformées

    • Fuir la pollution de l’air

    • Eviter l’exposition à certaines substances (comme l’amiante)

    • Privilégier l’allaitement

    • Augmenter son niveau d’activité physique

    • Se montrer vigilant avec l'hormonothérapie de remplacement (HRT)

    • Eviter les rayons X non nécessaires

    Les points essentiels :

    • Environ 40 % des cancers sont liés à des facteurs de risque facilement évitables.

    • La consommation de tabac, l’excès de poids et l’exposition insuffisamment préparée aux rayons UV sont les 3 principaux facteurs de risque.

  • Gènes anti-cancer: Activez !

    Les gènes considérés comme responsables de l'allongement de vie sont présents chez l'être humain, où ils jouent des rôles de prolongation de la durée de vie de 45%. 

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    Ce qui signifie qu’un humain pourrait vivre, sous certaines conditions, jusqu’à un âge proche de 125 ans.

    Bloquer l'apparition des cancers

    Cette stratégie repose sur deux actions :

    1. bloquer l'apparition de tumeurs cancéreuses 

    2. retarder le vieillissement

    Pour empêcher l'apparition de cancers, dont le risque augmente avec l'âge, il est nécessaire d'activer le gène P53, dit "Tumor Suppressor Gene" (en français gène suppresseur de tumeur), et le gène P16 qui, lui aussi, contrôle les mitoses (divisions) cellulaires anarchiques. 

    Résultat de recherche d'images pour "gene p16"

    Je vais vous indiquer tout de suite comment activer ces gènes. 

    Mais pour profiter d'une longue vie, éviter le cancer ne suffit pas. Il faut aussi ralentir le vieillissement.

    Allonger la durée de vie

    De nombreuses études avaient déjà montré la possibilité d'allonger la durée de vie de différentes espèces, dont des mammifères, en agissant sur des gènes spécifiques. Cependant, jusqu'à présent, ces techniques consistaient à intervenir sur l'embryon, pour modifier définitivement son patrimoine génétique, une approche évidemment impraticable chez l'être humain.

    Une  équipe du Centre national espagnol de recherche sur le cancer (CNIO), dirigée par María Blasco, a démontré que la durée de vie de souris pouvait être augmentée à l'âge adulte par un traitement unique intervenant directement sur les gènes de l'animal adulte. Cette thérapie s'est révélée efficace et sans danger chez les souris. 

    Cette thérapie génique consistait à introduire de nouveaux gènes d'enzymes de la télomérase. La télomérase répare les extrémités des chromosomes, appelées télomères, qui s'usent à chaque division cellulaire. Ce faisant, la télomérase fait "remonter dans le temps" l'horloge biologique, en retardant le vieillissement cellulaire et l'apoptose (mort cellulaire). 

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    Cette étude montre qu'il est possible de développer une thérapie génique anti-vieillissement agissant sur la télomérase, sans augmenter l'incidence du cancer.

    Favoriser naturellement votre télomérase et vos gènes suppresseurs de tumeur

    Activer les gènes suppresseurs de tumeur et la télomérase peut se faire aujourd'hui chez les souris par des thérapies géniques. 

    Peut-être cela sera-t-il possible bientôt chez l'être humain, à l'heure actuelle je n'en sais rien. 

    Cependant, il se trouve qu'il existe des produits naturels qui peuvent contribuer à obtenir les mêmes effets, à savoir :

    • le buplèvre (Bupleurum falcatum), une plante qui appartient à la famille des Apiaceae, qui a la propriété d'activer le gène P16 suppresseur de tumeur ; 

    • le resvératrol, un composé protecteur produit par le raisin rouge (et quelques autres plantes) pour se défendre contre les parasites, active le gène P53 ;

    • l’astragaloside IV, un composé présent en quantité infinitésimale dans la racine d'astragale (Astragalus membranaceus), utilisée en médecine traditionnelle chinoise, a la capacité très particulière d'activer la télomérase et ainsi, de ralentir le raccourcissement des télomères, allongeant par ce biais la durée de vie cellulaire.

    • Wplants, puissance 4 pour ce complexe antioxydant préventif reconnu par la communauté scientifique. Dotée d’un titrage optimal en principes actifs, cette synergie naturelle fait l’unanimité dans la communauté scientifique pour ses vertus médicinales reconnues et très prometteuses dans la prévention des maladies dégénératives.

    Le Bupleurum falcatum activateur du gène P16

    Le Bupleurum falcatum, ou buplèvre à feuilles en faux, est couramment considéré comme un détoxiquant cellulaire qui aide à lutter contre les infections chroniques et les états inflammatoires (en particulier les hépatites).

    Résultat de recherche d'images pour "buplevre falcatum"

    Plus récemment, le Bupleurum a vu sa popularité augmenter au vu des résultats obtenus dans le traitement du cancer. Ses principes actifs sont les saikosaponines A, B, C et D. 

    Parmi elles, c’est la forme A qui s’avère particulièrement intéressante mais rarissime. En effet, ce glycoside triterpénoïde est une forme très rare et coûteuse à obtenir puisqu’il faudrait consommer 50 g de Bupleurum pour obtenir 4 mg de saikosaponine A. C’est donc pour activer ce gène P16, le gène suppresseur de tumeur, qu’a été sélectionnée et isolée cette nouvelle substance d’origine végétale. 

    Plusieurs études ont démontré l’effet immunosuppresseur de la saikosaponine A3. En effet, de façon dose-dépendante, elle inhibe significativement la prolifération et l’activation des cellules T et induit l’apoptose (mort cellulaire) des cellules cancéreuses par voie mitochondriale. 

    Des chercheurs chinois ont également remarqué que les souris porteuses de cancers variables, dont le régime était enrichi en saikosaponine A, avaient une plus grande longévité que les souris saines ! 

    Cette recherche animale enthousiasmante a déjà permis le développement de traitements sur l’homme dans les services oncologiques de plusieurs hôpitaux chinois.

    Le resvératrol pour activer le gène P53

    Le resvératrol et ses dérivés activent le gène P53. Le resvératrol est un composé protecteur produit par le raisin rouge (et quelques autres plantes) pour se défendre contre les parasites. 

    Le resvératrol active dans la levure un "gène de longévité", augmentant la durée de vie de 80 %. Ses effets imitent ceux de la restriction calorique, la seule voie démontrée pour augmenter la durée de vie maximale. Le resvératrol active, comme la restriction calorique, des gènes "sirtuins" (SIR ou silent information regulator proteins). De la levure traitée avec du resvératrol vivait environ 38 générations contre seulement 19 pour la levure non traitée. 

    Le resvératrol bloque le développement de métastases osseuses dans certains types de cancers. 

    Resvératrol & OPC de raisin

    Contrairement à beaucoup de médicaments et à la chimiothérapie notamment, le resvératrol ne détruit pas les cellules saines mais il les protège. 

    Attention toutefois, il n'y a presque plus de resvératrol dans le vin rouge du fait de l'utilisation généralisée des pesticides, alors qu'il y en avait auparavant 8 à 10 mg par litre. Vous pouvez toutefois acheter du resvératrol extrait directement de raisin rouge de culture biologique, ayant conservé l'équilibre naturel de tous ses composés actifs : polyphénols, flavonoïdes, anthocyanes et oligoproanthocyanes (OPC). 

    L'astragaloside IV pour activer la télomérase

    L’astragaloside IV est présent en quantité infinitésimale dans la racine d'astragale (Astragalus membranaceus), une plante bien connue dans la médecine traditionnelle chinoise, prescrite depuis des centaines d'années comme tonique pour prévenir l'affaiblissement des malades et les protéger contre les infections. 

    Or, de récentes recherches ont montré que l'astragaloside IV a la capacité très particulière d'activer la télomérase et ainsi, de ralentir le raccourcissement des télomères, allongeant par ce biais la durée de vie cellulaire. 

    Une étude pilote récemment publiée a examiné les effets d'un extrait d'Astragalus membranaceus, activateur de la télomérase. Cette étude a duré un an. Les sujets ont reçu un "pack" de suppléments nutritionnels en plus de l'activateur de la télomérase. 

    Astragale

    L'activité de la télomérase a été mesurée dans des cultures de cellules. Les résultats ont montré que l'astragale biologique active modérément la télomérase dans les kératinocytes, les fibroblastes et les cellules immunitaires en culture. 

    Dans un sous-groupe de sujets, la distribution de la longueur des télomères dans les leucocytes a été mesurée au début de l'étude et au bout de douze mois. Bien que la longueur moyenne des télomères n'ait pas augmenté, une réduction significative du pourcentage de télomères courts a été observée .

    Wplants

    WPLANTS est une association d’éléments naturels antioxydants formulée à partir des études scientifiques les plus récentes et les plus renommées dans le domaine de la prévention de maladies neurodégénératives grâce à l'extrait de rhizome de curcuma (Curcuma longa) composé à 95 % de curcuminoïdes.

    WPLANTS

    Il réduit le stress oxydatif grâce à l'extrait de grenade (Punica granatum) composé à 40 % d’ellagitanins, améliore le système immunitaire grâce à la levure enrichie présente dans le sélénium (permet de protéger les cellules et aide au bon fonctionnement de la tyroïde), un micronutriment, à 0,22 % (Saccharomyces cerevisiae) et prévient du cancer  d'un point de vue alimentaire et nutritionnel. Il peut être utilisé en complément d'une alimentation variée et équilibrée et d'un style de vie sain grâce à l'effet de l'extrait de sophora du Japon (Styphnolobium japonicum) composé à 95 % de quercetine. 

    Utilisation

    Même si je ne dispose pas du recul nécessaire pour établir une utilisation stricte, je peux me baser sur :

    • une prise quotidienne de 60 mg de resvératrol (1 gélule titrée à 95 % en proanthocyanidines et à 50 % en resvératrol)

    • une prise quotidienne de Wplants (2 gélules au moment des repas)

    • une prise de saikosaponine A dosée à 4 mg le soir et d’astragaloside IV le matin.

    * Précaution d’emploi : comme la saikosaponine A est un vasodilatateur, comparable à la niacine, les personnes utilisant des vasodilatateurs coronariens, les femmes enceintes et allaitantes devraient s’abstenir d’utiliser la saikosaponine A.