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Une meilleure mémoire supplémentée

  • Par vogot
  • Le 19/11/2019
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Combien de fois par semaine, par jour, vous êtes-vous demandé où avez-vous posé vos clés de voiture, à quelle heure avez-vous pris ce rendez-vous chez votre naturopathe, qu'avez-vous mangé au repas de midi ce dimanche chez vos beaux-parents, quelle est la date anniversaire de votre petit-fils... ? Tant de questions qui trouvent leurs réponses dans les oubliettes de votre mémoire, dans les méandres de votre cerveau ?

L'apprentissage nécessite deux capacités cognitives, la concentration et la mémoire, qui se complètent.

  • La concentration se définit par le pouvoir de fixer son attention.

  • La mémoire du latin memoria est l'aptitude à se souvenir. C'est l'activité biologique et psychique qui permet d'emmagasiner, de conserver et de restituer des informations.

La mémoire déclinerait régulièrement dès la fin de l'adolescence et même peut-être avant. L'alcool, le stress et le manque de sommeil sont néfastes pour la mémoire. Les nutriments essentiels pour une bonne mémorisation sont les vitamines B, les antioxydants (vitamine E, acide lipoïque), le zinc et certains phospholipides (phosphatidylcholine, phosphatidylsérine). Certains extraits de plantes (Ginkgo biloba, Bacopa monnieri) se montrent efficaces pour prévenir et traiter les troubles de la mémoire.

Les différents types de mémoire

  • La mémoire, à court terme (ou immédiate), nommée également mémoire de travail, permet le stockage transitoire des informations dans une zone tampon de capacité limitée. Elle est utilisée, par exemple, lors de calcul mental ou de la composition d'un numéro de téléphone.

  • La mémoire à long terme implicite ou mémoire procédurale, appelée aussi mémoire du “savoir-faire”, implique les noyaux gris centraux et notamment le striatum (structure du cerveau qui intervient dans la régulation motrice essentiellement pour le contrôle des mouvements lents). Elle est déclenchée de manière automatique et inconsciente. Elle s'améliore par la répétition (manger ou conduire, par exemple) et s'exprime par la mise en évidence d'une compétence.

  • La mémoire à long terme explicite est, quant à elle, composée de 3 types de mémoires : la mémoire épisodique, la mémoire sémantique et la mémoire explicite déclarative.

  • La mémoire épisodique enregistre les informations spécifiquement personnelles et dotées d'une charge affective, dans leur contexte spatio-temporel. Elle est le support de la mémoire biographique et narrative et implique les lobes frontaux.

  • La mémoire sémantique, organisée de façon symbolique, enregistre les informations partagées par les membres d'une même société. Elle permet la mémorisation de faits et de connaissances générales : c'est la mémoire des mots, idées, faits historiques. Elle implique les lobes temporaux.

  • La mémoire explicite déclarative ou mémoire du “savoir dire” est employée, le plus souvent, volontairement. Elle s'exprime par des mots ou des images accessibles à la conscience et s'améliore par la présentation répétée des stimuli à mémoriser.

Les différentes phases de la mémoire

Le mécanisme de mémorisation se compose de différentes étapes qui débutent par l'acquisition (ou apprentissage) : c'est l'encodage des faits, données, émotions. La consolidation de cette acquisition se fait pendant les heures qui la suivent et le sommeil paradoxal. Ces informations sont alors «stockées» dans la mémoire à long terme implicite (procédurale) ou explicite (sémantique, épisodique, déclarative) suivant le cas. Enfin, les informations peuvent, après leur restitution, être utilisées dans la mémoire à court terme.

Les troubles de la mémoire dits troubles mnésiques

Trois types généraux de troubles mnésiques peuvent être distingués.

Les troubles mnésiques d'installation aiguë ou subaiguë et rapidement régressifs, tout d'abord, permettent de distinguer deux formes d'amnésies :

 

  • L'ictus amnésique bénin (ou amnésie transitoire globale) est la plus fréquente des amnésies transitoires. Il provoque une amnésie antérograde (incapacité à fixer une nouvelle information) mais également une amnésie rétrograde (perte des heures voire des jours précédant le début de l'ictus). Des circonstances favorisantes voire déclenchantes sont parfois identifiées : stress, effort physique, coït, prise de benzodiazépines ou de chloroquine, hypertension artérielle, terrain migraineux. Les autres causes les plus fréquentes sont les syndromes confusionnels, l'épilepsie, les intoxications aiguës (alcool, benzodiazépines) et les commotions cérébrales avec perte de connaissance.

Les amnésies psychogènes, secondaires à des chocs affectifs, mettent en avant un événement traumatisant.
 

  • ​​Les troubles mnésiques d'installation aiguë ou subaiguë et durables sont dus soit à des pathologies lésant les circuits impliqués dans les fonctions mnésiques, soit à des accidents vasculaires cérébraux, à des traumatismes crâniens ou, encore, à une carence aiguë en vitamine B1.

  • ​​​​Les troubles mnésiques d'installation progressive comprennent les troubles mnésiques isolés dus à un trouble psychoaffectif (syndrome d'anxiété généralisée ou syndrome dépressif) ou à une pathologie organique (tumeur induisant une démence débutante). ​​

  • Les troubles mnésiques avec perturbations neurologiques peuvent être dus à un syndrome démentiel (démence de type Alzheimer chez les sujets âgés) ou bien au syndrome parkinsonien.

Les facteurs responsables de troubles de la mémoire

  • La consommation excessive d'alcool entraîne des altérations de la mémoire dues à des lésions cérébrales.

  • Le stress intense est responsable d'une altération de l'hippocampe, organe du cerveau qui «orchestre» la mémoire.

  • Les antidépresseurs peuvent également provoquer des amnésies différentes selon leur type et qui cessent à l'arrêt de leur prise.

  • Le manque de la phase de sommeil paradoxal conduit à un mauvais fonctionnement de la mémoire. Un sommeil réparateur est donc indispensable à une bonne mémoire. C'est, en effet, lors des phases de sommeil paradoxal que les neurones organisent les informations reçues dans la journée. Une consommation insuffisante en glucose, en vitamines B ou en antioxydants est responsable de déficits de la mémoire. Un faible statut nutritionnel en vitamines B peut contribuer au déclin neurocognitif, même pour des individus sains.

Le rôle du glucose

Le glucose a un rôle positif parce qu'il est le substrat énergétique de base indispensable au fonctionnement du tissu nerveux. Des études ont également montré que la mémoire est liée à la quantité de glucose disponible pour le cerveau. Les performances cognitives et les tests cognitifs sont donc améliorés par l'ingestion d'une boisson contenant du glucose, surtout vers la fin d'un exercice intellectuel difficile ou si le niveau de glucose à jeun est élevé.

Et si, au contraire, la consommation cérébrale de glucose diminue, des troubles comportementaux et somatiques apparaissent et peuvent se traduire par des lipothymies (formes de malaises sans perte de connaissance. Elle peuvent avoir de nombreuses causes telles que le stress), des altérations de l'humeur ou des manifestations neuromusculaires (démangeaisons, tremblements, myoclonies (contractions musculaires rapides, involontaires, de faibles amplitudes, d'un ou plusieurs muscles)).

Le métabolisme glucidique est fortement influencé par la teneur cérébrale en sérotonine formée à partir du tryptophane. Le glucose exerce un rôle négatif et c'est un risque permanent pour le cerveau chez les sujets diabétiques ou ceux qui ont une résistance à l'insuline : malgré une glycémie à jeun élevée, leur mémoire n'est pas améliorée par la consommation de glucose.

De plus, la formation de pontages glycosilés (dont le taux augmente fortement au cours du diabète), entre les fibres protéiques contribue au vieillissement du tissu nerveux. Chez ces personnes, la meilleure prévention reste donc la surveillance de la glycémie.

Les vitamines B

Le rôle des vitamines dans la mémoire est important : la vitamine B6 est un cofacteur dans la synthèse de neurotransmetteurs essentiels comme l'adrénaline, la noradrénaline, la sérotonine et la gama-aminobutyrate.

La vitamine B9 et la vitamine B12 interviennent dans la synthèse de sérotonine, noradrénaline et myéline et dans le métabolisme de l'acétylcholine via la S-adénosylméthione.

Des sujets âgés ayant des apports excellents en protéines, vitamines C, B1, B2, B6, B3 et/ou en B9 ont obtenu de meilleurs scores aux tests de mémoire que des sujets jeunes ayant de faibles apports.

Si vous devenez carencés en vitamine B9 vous pouvez souffrir d'un retard dans l'apprentissage des techniques d'évasion par exemple.

Cependant, ce retard sera réversible grâce à une supplémentation en folates que vous retrouvez dans la Formule VitaMinero.

Les antioxydants

Les effets d'une supplémentation en antioxydants (12 mg de beta-carotène + 400 mg d'alpha-tocophérol + 500 mg d'acide ascorbique/jour) montrent peu d'effets sur les performances mentales et quelques associations entre les taux plasmatiques de vitamine C et les fonctions mentales.

En revanche, une augmentation des apports en sélénium et vitamine C permet de constater une amélioration de l'humeur, de l'intelligence et une diminution des problèmes de mémoire et d'attention. Une relation existe également entre les apports en vitamine C et l'élévation des scores au MMSE (Mini-Mental State Examination) chez des personnes âgées vivant à domicile.

La vitamine E est le principal antioxydant liposoluble interrupteur de réactions en chaîne de l'organisme. Elle est un facteur de l'inhibition de la lipoperoxydation (oxydation des lipides insaturés, soit par des espèces radicalaires de l'oxygène, soit catalysée par des enzymes), protège ainsi l'intégrité des membranes et permet donc le maintien des structures et fonctions neurologiques. Omega 3 + vitamine E jouent un rôle dans la régénérescence des axones dans les noyaux du tronc cérébral, les cordons postérieurs de la moelle épinière et les nerfs périphériques. Une supplémentation précoce prévient et renverse les symptômes neurologiques.

L'acide alpha-lipoïque est un antioxydant métabolique qui traverse la barrière hémato-encéphalique.

L'acide dihydrolipoïque, sa forme réduite, protège les milieux intra et extra-cellulaires car il est absorbé dans les cellules et les tissus (SNC, nerfs périphériques) et transporté dans les milieux extra-cellulaires.

L'acide alpha-lipoïque améliore également la mémoire à long terme chez la personne âgée alors que cet effet n'est pas retrouvé chez les individus jeunes. Une administration préventive d'acide lipoïque abaisse les risques cérébraux à la suite d'une ischémie cérébrale en diminuant le stress oxydant dû à la reperfusion (réoxygénation rapide).

L'acétyl-L-carnitine

Une baisse du déclin du comportement et des fonctions cognitives a été observée chez les patients atteints d'Alzheimer. Enfin, l'acétyl-L-carnitine augmenterait le métabolisme de l'oxydation cérébrale et cholinergique (se réfère à tout agent qui stimule ou simule l'action de l'acétylcholine. Il s'applique également aux fibres nerveuses qui activent l'acétylcholine.).

Le zinc

Les effets négatifs d'une déficience en zinc sur le comportement se traduisent par une diminution spontanée de l'activité motrice, de la concentration visuelle et de la mémoire à court terme.

La vinpocétine

La vinpocétine est un alcaloïde issu de la petite pervenche, Vinca minor. Elle est, d'un point de vue clinique, la substance la plus prometteuse pour la gestion des insuffisances vasculaires impliquant le cerveau. La vinpocétine améliore aussi le discours et le langage, mais ni l'humeur ni la coordination. Les doses varient entre 15 et 45 mg/jour. Un aspect relativement unique de l'intérêt de la vinpocétine en ce qui concerne le flux sanguin est qu'elle l'augmente préférentiellement au niveau cérébral plutôt qu'à la périphérie, bien que son action vasodilatatrice soit semblable pour tout le corps. Sa capacité d'augmentation sélective du métabolisme cérébral peut expliquer cette discordance, mais en tout cas cette propriété rend la vinpocétine potentiellement plus sûre que beaucoup de vasodilatateurs pharmacologiques.

Avec son action vasodilatatrice très efficace et sa capacité à améliorer la perfusion des petits vaisseaux, la vinpocétine pourrait être le rival de l'extrait de Ginkgo biloba comme thérapie pour l'insuffisance vasculaire.

Le Ginkgo biloba

Le Ginkgo biloba est un arbre d'une grande stabilité puisqu'il est inchangé depuis 250 millions d'années alors que les autres arbres ne le sont que depuis 60 à 80 millions d'années. Il est également doté d'une grande résistance au sel, aux pollutions industrielles et atmosphériques : c'est ainsi le seul végétal ayant survécu après Hiroshima. Les substances importantes (flavonoïdes et tarpénoïdes) se trouvent dans les feuilles. Les doses de supplémentation de Ginkgo biloba conseillées sont de 120 à 160 mg/jour en 3 fois pendant plus de 4 mois.

La Bacopa monniera (“Brahmi”)

La Bacopa (Bacopa monniera) est une plante vieille de plusieurs siècles qui améliore les performances cognitives. En Inde, elle est l'herbe Ayurvédique révérée et populairement acceptée pour son efficacité contre les maladies mentales et l'épilepsie. Son nom populaire “Brahmi” est tiré de “Brahma”, le créateur mystique du panthéon hindou.

La Bacopa a été un constituant important du matériel médical Ayurvédique depuis au moins le VIe siècle après J.-C.. Selon des concepts hindous, le cerveau est le centre de l'activité créatrice : la personne ayant les plus grandes facultés mentales était ainsi baptisée Brahmi que vous pouvez retrouver dans cette fameuse formule Cerepuls.

Les principes actifs de la Bacopa, tirés de ses feuilles, sont des saponines stéroïdiennes, incluant les bacosides. Ces derniers ont la capacité d'augmenter la transmission de l'impulsion nerveuse et de renforcer ainsi la mémoire et les performances cognitives générales.

La Bacopa peut aussi être bénéfique pour les enfants. Elle a traditionnellement été employée pour oindre les nouveau-nés avec l'espoir d'améliorer leur intelligence, “ouvrir la porte de Brahma.” De nos jours, on la donne aux écoliers dans le même but.

La choline

La cytidinediphosphocholine ou CDP-choline est une substance naturellement présente dans l'organisme. Une fois absorbée, la CDP-choline se disperse largement dans tout l'organisme et passe la barrière hémato-encéphalique où elle est incorporée dans la fraction phospholipidique des membranes et des microsomes.

La CDP-choline augmente le métabolisme cérébral et agit sur les niveaux de divers neurotransmetteurs dont la noradrénaline et la dopamine. La CDP-choline améliore la performance cognitive et la mémoire dans les modèles animaux de vieillissement cérébral dont l'être humain fait partie prenante. Elle améliore la capacité de mémorisation et le comportement des sujets âgés présentant des troubles de la mémoire et du comportement.

La pregnénolone

C'est une hormone fabriquée par le corps humain à partir du cholestérol. Dans l'organisme, cette conversion s'opère dans les mitochondries à partir d'enzymes spécifiques. Elle est essentiellement produite par les glandes surrénales, mais également en petites quantités par d'autres organes et tissus de l'organisme humain incluant le foie, le cerveau, la peau, les gonades et même la rétine de l'œil. Sa diminution, due à l'âge, est aussi importante que celle de la DHEA: elle est à son niveau le plus élevé entre 16-17 ans. À 75 ans, notre organisme fabrique généralement 60 % moins de pregnénolone qu'à 35 ans.

La pregnénolone est le précurseur de toutes les hormones stéroïdes. Elle se convertit directement en DHEA (qui se convertit en testostérone et œstrogènes) et/ou en progestérone (convertie en œstrogènes, cortisol et aldostérone). Elle possède des effets indirects par l'intermédiaire de ces hormones stéroïdes : elle permet l'initialisation du processus de stockage de la mémoire et la production de l'énergie cellulaire par la stimulation de l'activité de la cyclase adénylate et par l'activation et la régulation d'enzymes cruciales ; elle est utile également à la détermination de l'encodage des souvenirs par les neurones, grâce à la régulation du flux séquentiel des ions calciques à travers la membrane cellulaire ; enfin, elle permet la modulation des réactions chimiques telles que les liaisons protéine-calcium, l'activation des gènes, le renouvellement des protéines et les réactions enzymatiques pour le stockage et la récupération de la mémoire.

Somatropine naturelle

En plus de développer le physique, elle augmente la libido, agit sur la repousse des cheveux et donne une certaine élasticité à la peau. Ses bienfaits passent aussi par une meilleure résistance à l’effort, un sommeil de plus grande qualité, une diminution de la pression artérielle et une activité cérébrale accrue.

Cette somatropine naturelle est aussi très utilisée pour lutter contre le stress et l’anxiété.

La somatropine naturelle permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ses avantages amincissants et toujours pour ses vertus contre le vieillissement.

 

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