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  • Vinaigre des 4 voleurs

    • Par vogot
    • Le 25/03/2020

    Le vinaigre des 4 voleurs s'obtient par une macération de plantes dans du vinaigre de cidre. Il s'agit d'une vieille recette de macérât vinaigré aux intéressantes propriétés pour la santé.

    Histoire

    La recette de ce vinaigre légendaire est née probablement lorsqu'une importante épidémie de peste ravagea la ville de Toulouse, touchée par la peste de 1628 à 1631, entraînant plus de 50.000 décès parmi la population. Selon les archives du Parlement de Toulouse, quatre brigands avaient trouvé une astuce pour détrousser les victimes et piller les maisons au mépris de toute contagion mortelle, sans contracter la terrible maladie. Lorsqu'ils furent arrêtés et jugés pour leurs méfaits à la fin de l'épidémie, ils livrèrent leur secret pour éviter le bûcher : ils avaient résisté à la peste grâce à un vinaigre dans lequel ils avaient fait macérer de l'ail frais : l'acetum antiseptum. Ils en buvaient et s'en frictionnaient le corps. Il semblerait que cette révélation n'empêcha pas leur pendaison. 

    Vinaigre des 4 voleurs

    >>>  EN VENTE ICI  <<<

    Par la suite, l'idée fut reprise par d'autres voleurs qui détroussaient les pestiférés de la ville de Marseille lors de l'épidémie de 1720 et semblaient miraculeusement épargnés. Pris sur le fait, ils furent jugés, dévoilèrent le secret de leur apparente immunité et eurent la vie sauve. Leur recette fut affichée sur les murs de Marseille.

    Ce macérât au vinaigre blanc, à l'origine, fut inscrit au Codex de la Pharmacopée française sous le nom de Vinaigre antiseptique dès 1748 et jusqu'en 1884 où il en disparut, puis fût à nouveau commercialisé en pharmacie en usage externe pour ses propriétés antiseptiques naturelles. 

    Les recettes actuelles proposent une macération d'ail et diverses plantes aromatiques dans du vinaigre (généralement du vinaigre de cidre) pendant une quinzaine de jours avant filtrage et mise en bouteille. 

    Conservez-le au frais à l'abri de la lumière.

    Propriétés et utilisations

    Ce vinaigre médicinal a de multiples propriétés et utilisations, pur ou dilué:

    • Puissant désinfectant,

    • Naturellement antiseptique,

    • Décontamine et nettoie les blessures, la peau et les cheveux,

    • Favorise la cicatrisation des plaies,

    • S'utilise pour le nettoyage des peaux acnéiques,

    • Peut également servir pour des frictions, des compresses,

    • Adoucit l'eau des bains et fait briller les cheveux,

    • Permet de se protéger de la contagion lors d'épidémie,

    • Purifiant,

    • Combat l'acné juvénile, le feu de rasage et diverses irritations de la peau,

    • Sert d'anti-poux, et éliminer les poux et les lentes,

    • Apaise les démangeaisons des piqûres d'insectes,

    • Réduit les douleurs articulaires, grâce à ses vertus anti-inflammatoires,

    • Soigne les aphtes (utilisé dilué) et les inflammations de la gorge,

    • A des vertus digestives,

    • Apaise les rhumatismes et les douleurs articulaires,

    • Participe au soulagement des maux de tête, utilisé dilué en compresse, posé sur le front et les tempes,

    • S'utilise préventivement lors d'épidémies, il renforce l'immunité naturelle,

    • Est apaisant et adoucissant...

    Recette originale

    Ingrédients du macérat de plantes dans du vinaigre de cidre
    Vinaigre de cidre 1 L
    Absinthe Arthemisia absinthium (sommité fleurie) 20 g
    Lavande Lavandula officinalis (fleur) 20 g
    Menthe poivrée Mentha piperita (feuille) 20 g
    Romarin Rosmarinus officinalis (feuille) 20 g
    Sauge Salvia officinalis (feuille) 20 g
    Cannelle Cinnamomum zeylanicum (écorce) 10 g
    Girofle Eugenia caryophyllata (clou) 3 g
    Ail Allium sativa (bulbe) 20 g
    Acide citrique 20 g
    Camphre 5 g

  • Hyperthermie: la fièvre qui vous veut du bien

    • Par vogot
    • Le 22/03/2020

    Qu'est-ce que l'hyperthermie?

    L’Hyperthermie ou élévation anormale de la température corporelle.

    Certains ne parlent d’hyperthermie que pour les montées en température « accidentelles » : coups de chaleur, déshydratation, efforts musculaires…pour d’autres, dont je suis, l’hyperthermie désigne toutes élévations de la température corporelle que celle-ci soit occasionnée ou non par la maladie, autrement dit c’est la fièvre. 

    Faut-il faire baisser la fièvre, faut-il la combattre?

    La fièvre est un processus utile, elle peut agir de deux manières:

    1. En ayant une action directe sur les agents pathogènes 

    2. De façon indirecte en stimulant les défenses de l'organisme.

    La fièvre apparaît lorsque l'organisme le juge utile ou nécessaire. 

    L'élévation de la température du corps permet de ramener certains dépôts, certaines substances à un état qui permettra leur mobilisation et leur transport par le sang dans le but de leur élimination (dépôts d'acide urique ou d'urates par exemple). 

    De nombreuses expériences ont montré qu'à partir d'une température de 39° ou 39,5°, la majorité des virus (y compris celui de la poliomyélite) sont inhibés ou détruits. 

    Des études sérieuses confirment cette position

    Il a été en effet observé que :

    • L'utilisation d'un « antipyrétique » comme l'aspirine par exemple, provoque des effets secondaires multiples; 

    • La modification de la température ambiante afin de diminuer la réaction fébrile met en jeu certains processus (frissons, mouvements musculaires, réactions hormonales) dont les effets sont défavorables.     

    Une région cérébrale est particulièrement concernée par la température c'est « L'HYPOTHALAMUS », région du diencéphale située sous le « THALAMUS » et reconnue comme un intermédiaire de la glande « PITUITAIRE ». Les informations thermiques concernant l'organisme y sont intégrés, et l'hypothalamus joue le rôle de « THERMOSTAT » pour réguler notre température corporelle.

    Lorsque la température de notre corps devient trop élevée, « L'HYPOTHALAMUS » envoi un message hormonal vers les glandes sudoripares pour que celles-ci sécrètent la sueur dont le processus d'évaporation va entraîner l'abaissement de la température du corps.

    C'est encore « L'HYPOTHALAMUS » qui va régler notre métabolisme pour augmenter ou diminuer : 

    • La production de chaleur interne, déclenchant le frisson (générateur de chaleur) ou

    • Le besoin d'être au chaud ou au frais.

    Les causes déclenchantes de la fièvre

    La fièvre est généralement provoquée par une :

    • infection bactérienne, 

    • infection virale, 

    • une maladie non infectieuse (ex : l'asthme)

    Principe de réaction de l'organisme

    Les «LEUCOCYTES» ou globules blancs de notre organisme réagissent à la présence de molécules se trouvant à la surface des bactéries, «les ENDOTOXINES ».

    Lorsque les leucocytes digèrent ces bactéries, ils fabriquent une petite protéine, « le PYROGENE ENDOGENE », qui circule dans l'organisme et va jusqu'à l'hypothalamus, qui va jouer son rôle de thermostat en déclenchant la fièvre.

    Ce PYROGENE active la production de substances quasi-hormonales, « les PROSTAGLANDINES », qui agissent directement sur le thermostat de l'hypotalamus. L'aspirine qui est souvent donné pour faire baisser la fièvre (action antipyrétique) entraîne une diminution du taux de prostaglandines dans le sang provoquant ainsi une réduction artificielle de la fièvre. La médication chimique opprime, frustre les effets naturels de la fièvre.

    Intervenir en respectant la fièvre 

    La fièvre est-elle ennemie ou amie?

    • Respecter la fièvre, c'est respecter l'énergie vitale de l'organisme face à un trouble de santé. 

    • L'élévation de la température dans le corps permet à celui-ci de mobiliser ses défenses immunitaires et ainsi reconnaître l'ennemi à combattre si le phénomène vient à se reproduire. 

    • La fièvre fait partie des remèdes naturels utilisés en naturopathie. Il faut la respecter dans la majorité des cas sauf si celle-ci intervient pendant un traitement médicamenteux.

    Respecter la fièvre oui, mais pourquoi ?

    • En respectant la fièvre, on respecte la vitalité du consultant, et le mode d'expression de celle-ci, qui à priori va s'exprimer avec sa réaction de défense symptomatique, 

    • Respecter la fièvre permet à l'organisme de choisir son mode de défense sélectivement le plus adapté au trouble à combattre, car cet organisme et lui seul, peut savoir ce qui lui convient le mieux à un instant précis, dans une situation précise, 

    • Le respect de la fièvre permet de respecter le tonus psychologique du consultant en lui ôtant toute peur et toute idée dépréciative vis-à-vis du symptôme qui doit être considéré comme un signe de défense de son organisme.

    La fièvre joue une triple action

    • Métabolique

    • Circulatoire

    • Immunitaire

    La fièvre agit comme stimulant sur les émonctoires

    • Intestins

    • Poumons

    • Peau

    • Reins

    Autres bénéfices de la fièvre

    • La fièvre qui s'accompagne de phénomènes d'asthénie, de soif et d'anorexie est bénéfique en ce sens qu'elle oblige l'organisme à se mettre au repos et à adopter une alimentation correcte. 

    • Elle permet au corps de lutter contre les cellules cancéreuses plus fragiles que les cellules saines. 

    • La fièvre joue le rôle d'antibiothérapie naturelle. 

    • Si la fièvre n'est pas réprimée par des traitements classiques, l'organisme n'aura pas à intervenir en plus du trouble causal, dans la métabolisation de produits chimiques sollicitant le foie et les reins ainsi que d'autres émonctoires déjà actifs dans d'autres tâches plus utiles. 

    • La fièvre permet en quelque sorte de défendre la santé en répondant aux maladies infectieuses par le déclenchement de « CATARRHES » (élimination de substances nocives) parades à la « TOXEMIE ». 

    • La fièvre et ses réactions annexes comme : les éruptions, les expectorations, les sécrétions de mucus sont le signe que le corps tout entier se monopolise pour se défendre et lutter contre l'envahisseur. 

    • HYPOCRATE disait à ce sujet « que la nature est le meilleur des médecins ».

    Action naturopathique dans la fièvre

    • Si la fièvre atteint 40° alors que le consultant à déjà été traité par des médicaments ou subit une vaccination, les processus organiques peuvent se trouver déréglés et de ce fait, le thermostat de l'hypothalamus peut ne plus jouer son rôle correctement. Seulement dans ce cas, une surveillance médicale sera nécessaire mais, le naturopathe pourra l'accompagner par une réforme générale à l'aide des techniques naturelles d'hygiène vitale mise à sa disposition. 

    • La fièvre est le résultat d'une décharge d'énergie.

    • En dehors d'un cas d'urgence ou si la vie du consultant en dépend, le naturopathe ne cherchera jamais à faire baisser la fièvre mais plutôt à l'accompagner par une remise en question de l'hygiène vitale. 

    • Tous les cas seront étudiés dans leur contexte global personnel. 

    • Les « Facteurs de Déstabilisation Psychophysiologiques » seront pris en considération.

    4 mesures principales sont à mettre en application dès l'apparition de la fièvre 

    1. Cesser toute alimentation,

    2. Boire beaucoup pour nettoyer l'organisme et le réhydrater (cette boisson sera composée d'eau plate, de source, peu minéralisée avec un PH approchant la neutralité, ou de tisanes non sucrées), 

    3. Veiller au bon fonctionnement des émonctoires en contrôlant que l'évacuation des déchets se fasse correctement, l'élimination des toxines a un rôle prioritaire,

    4. Se reposer le plus possible afin de reconstituer ses énergies et retrouver sa force vitale.

    Je préconise des bains de pieds chauds et des bains de siège froids selon votre sensibilité. Cherchez à transpirer le plus possible afin d'accélérer le rétablissement. Aucune action brutale ne sera entreprise, l'organisme doit moduler ses actions curatives en fonction de ses capacités du moment.

    Chez les enfants la fièvre est un symptôme courant, nécessitant juste une action complémentaire naturelle.

    On connait les risques de complications de l'élévation de la température chez l'enfant en bas âge, qui peuvent se résumer en trois points:

    1. Les convulsions fébriles qui sont déclenchées directement par la fièvre

    2. Les risques de déshydratation par perte hydrique qui se retrouve surtout chez le nourrisson

    3. L'hyperthermie avec atteinte pluriviscérale et neurologique avec accélération du pouls et de la respiration, frissons.

    Dans tous les cas rencontrés chez le nourrisson, même si le combat de la fièvre n'est pas automatique, elle doit faire l'objet d'une surveillance rigoureuse et doit être maitrisée si l'enfant présente une température de 41° car dans ce cas, les risques de lésions du cerveau sont toujours possibles. 

    Les convulsions apparaissent le plus souvent chez des nourrissons et enfants entre 9 mois et 24 mois.

    Ces risques sont très faibles chez un enfant à partir de 4 ans si ce dernier n'a jamais été sujet aux convulsions auparavant.

    Je citerais l'huile essentielle de pamplemousse en remplacement des antibiotiques, qui est anti-infectieux et l'huile essentielle Thym vulgaire à thymol plante antibactérienne à large spectre d’action, agissant aussi bien sur la sphère ORL, respiratoire et digestive et en particulier au niveau des intestins.

    A RETENIR

    • Surtout ne jamais oublier qu'une élévation de température est un signe de vitalité et que vouloir la combattre tient de la désinformation. 

    • La fièvre est un moyen naturel de défense contre toutes attaques étrangères à la physiologie de l'organisme. 

    • Plus la fièvre est élevée plus le niveau de vitalité est important. 

    • La fièvre est le signe que l'organisme a livré bataille à ses agresseurs et qu'il développe par la même ses propres défenses immunitaires. 

  • Comment se protéger naturellement du virus du COVID19 ?

    • Par vogot
    • Le 19/03/2020

    J'ai mis du temps avant d'écrire un article sur ce virus d'origine asiatique, bien qu'en Europe, il y a fort longtemps que le coronavirus affecte les poumons d'une certaine population sans que cela ne gène en rien le milieu médical. Je vais donc employer le terme de COVID19 qui fait référence au coronavirus déclaré en 2019.

    Comme vous avez dû le voir, tout ou presque (et parfois n'importe quoi) a été dit sur le coronavirus, mais en fait le coronavirus, qu'est-ce que c'est ?

    Avant de développer cet article, je vais vous donner quelques symptômes qui peuvent vous montrer si éventuellement, vous êtes infecté. J'emploierai parfois le conditionnel car rien n'est sur dans cette affaire !

    Quelques symptômes du coronavirus

    Tout d'abord, chez les malades atteints du COVID19, vous pourrez généralement observer l'un ou plusieurs de ces symptômes (signes primaires) :

    • Maux de tête ;

    • Fatigue ;

    • Courbatures...

    Viennent ensuite, deux ou trois jours après, les signes secondaires de cette infection respiratoire.

    • Toux ;

    • Douleurs thoraciques, gêne respiratoire ou autres signes d'infection respiratoire haute ou basse (la forme basse, plus grave, correspond au syndrome de détresse respiratoire aiguë).

    On parle également de pneumonie, un terme qui désigne l'infection aiguë des voies aériennes inférieures.

    Notez : Les symptômes du coronavirus, généralement, ressemblent beaucoup à ceux de la grippe et du rhume.

    Attention : si vous montrez quelques-uns de ces signes d'infection respiratoire, ne vous rendez pas chez votre médecin ou à l'hôpital, pour ne pas répandre davantage la maladie au sein de la population.

    Je vous conseille de contacter rapidement le 15 (le Samu, en France) ou votre médecin, qui vous indiqueront la procédure à suivre pour vous faire dépister. Le test consiste généralement à prélever des cellules nasales à l'aide d'un coton tige, afin de confirmer ou non la présence d'un brin d'ARN spécifique à ce coronavirus.

    Un virus contagieux

    Avec le COVID19, un individu infecté devient contagieux dès le début des symptômes – et parfois même sans que des symptômes n'aient fait leur apparition.

    Sans application de mesures de prévention, on estime que chaque malade va généralement infecter 2 à 5 personnes.

    La durée d'incubation (qui correspond à la durée écoulée entre la contamination et l'apparition des symptômes) est de 5 jours en moyenne.

    En général, elle dure au moins 2 jours et n'en dépasse pas 12, d'où le fait que les quarantaines s'étalent sur 14 jours. On parle donc de « quatorzaines ».

    Plusieurs voies de transmission recensées

    Il existerait plusieurs moyens de contracter un coronavirus, et donc le COVID19, à savoir :

    • Contact direct (poignée de mains, bises, salive...) ;

    • Inhalation de gouttelettes contaminées propulsées par les voies respiratoires, ou le contact avec des surfaces contaminées par ces goutelettes ;

    • Voie orale-fécale, les virus libérés dans les selles pouvant aller contaminer les surfaces (poignées de porte, murs...) avant de parvenir sur les mains puis dans les voies respiratoires d'une personne saine.

    Le COVID19 arrive à survivre pendant quelques heures dans un environnement extérieur (moins longtemps sur des surfaces sèches que sur des surfaces humides, jusqu'à 4 heures sur support papier ou cartonné). Il peut même survivre jusqu'à 9 jours sur du métal, du verre ou du plastique.

    Qu'en est-il des animaux domestiques?

    Jusqu'ici, les animaux domestiques, comme les chats et les chiens, ne semblent pas propager le virus ni contracter de maladie.

    Ne rajoutons pas de la psychose à la psychose, ce n'est pas le moment.

    Mais revenons à nos moutons..... ou plutôt, au COVID19,

    Un virus contenu dans une enveloppe

    Pour rappel, un virus est une particule microscopique infectieuse, qui a besoin d'une cellule hôte pour se développer.

    Les coronavirus constituent un groupe spécifique de virus avec enveloppe, à l'origine de plusieurs pathologies chez les mammifères et les oiseaux.

    Chez l'Homme, ils seraient responsables de 10 à 30 % des infections respiratoires supérieures et d'une grande partie des rhumes. Pour information, chaque année, grippes et rhumes tuent silencieusement.

    Le COVID-19

    Le coronavirus est un virus en forme de couronne, d'où son nom.

    Le coronavirus découvert il y a quelques mois, qui fait trembler la planète entière, est appelé le SRAS-CoV-2.

    Il est responsable d'une nouvelle maladie infectieuse respiratoire : le COVID-19 (abréviation de « Coronavirus Disease 2019 »).

    Un peu de géographie et d'histoire

    Cette épidémie a émergé, comme tout le monde le sait maintenant, début décembre 2019 à Wuhan (Chine), au sein d'un marché local où étaient vendus des animaux sauvages.

    Wuhan est la capitale de la province du Hubei, située en Chine centrale. Avec 8,9 millions d’habitants intra-muros (en 2018) et une municipalité de plus de 11 millions d'habitants, c'est la septième ville la plus peuplée du pays et la deuxième plus grande zone urbaine de l'intérieur, après Chongqing. Wuhan est située dans une plaine alluviale dépourvue de relief. La ville est une plaque tournante du transport, avec des dizaines de lignes de chemin de fer, de routes et d'autoroutes la reliant au reste du pays.

    C'est de cette région que partent souvent vos commandes passées en Chine ou vos achats de produits sur sites en ligne ou boutiques à bas prix qui remplissent vos meubles et placards en tous genres.

    La contamination serait d'origine animale. On soupçonnerait le pangolin d'être l'hôte intermédiaire responsable de la transmission de ce COVID19 à l'homme (ou la chauve-souris), rien n'est moins sur.

    Une pandémie selon l'OMS

    Des milliers de cas se sont rapidement déclarés en Chine puis dans le reste du monde – la maladie ayant été transmise par des voyageurs porteurs du virus. On compte bien vite des cas en Italie, en Corée du Sud, en Iran, en France, aux États-Unis...beaucoup plus en Europe du sud qu'en Europe du nord. A ce sujet je vous invite à signer une pétition que j'ai mise en ligne, chacun ajoutant sa pierre à l'édifice.

    ----> Reconnaissance de la Naturopathie en France (Mise à jour) <----

    Le 9 janvier 2020, les autorités sanitaires chinoises et l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) annoncent officiellement la découverte du SRAS-CoV-2.

    Quelques états, dans un premier temps ne prenant pas la menace trop au sérieux, ont tenté, tant bien que mal, de s'organiser pour endiguer l'expansion du COVID19 : individus ou villes mises peu à peu en quarantaine, annulation de manifestations sportives et culturelles, fermetures d'école... La situation porterait également un coup dur à l'économie mondiale.

    Le 11 mars 2020, l'OMS qualifie pour la première fois l'épidémie de COVID-19 de pandémie (ce qui signifie qu'elle touche une part importante de la population mondiale).

    Nombre de contaminations et de morts du coronavirus

    Le coronavirus en question s'est répandu sur les 5 continents et dans au moins 159 pays.

    Le 19 mars 2020 en début de journée, on comptait 220 000 personnes contaminées par le virus à travers le monde. 9 000 d'entre elles en sont mortes.

    En France, à la même date, on dénombrerait plus de 9 000 cas confirmés et plus de 200 patients décédés du COVID-19. Certaines personnes contaminées sont guéries, d'autres sont toujours prises en charge à ce jour.

    La grippe saisonnière fait, selon l’OMS, de 290 000 à 650 000 décès par an dans le monde entier. En France, pour la saison 2018-2019, elle a fait 8 100 morts. La létalité (le nombre de morts par rapport à la population infectée) de la grippe saisonnière est de 0,2 à 0,5% selon Santé publique France. 

    Concernant la létalité, une étude publiée il y a quelques jours par le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CDC) revient en détail sur l’épidémiologie du virus grâce à des données collectées jusqu’au 11 février. La létalité du COVID19 est de 2,3% (si l’on ne compte que les cas confirmés par des tests de l’ARN viral prélevés dans la gorge), et de 2,6% si l’on compte tous les cas de personnes contaminées. Dix fois plus que pour la grippe saisonnière en France. 

    En clair, si on se fie aux chiffres bruts : la grippe saisonnière tue beaucoup plus de monde que le COVID19 à ce jour (ce qui est logique étant donné le nombre de personnes exposées). Mais la létalité du COVID19 est nettement plus importante que celle de la grippe.

    Taux de mortalité supérieur à celui de la grippe

    Le taux de mortalité associé au coronavirus est plus faible que le chiffre annoncé, les cas bénins n'ayant pas forcément été détectés.

    On estime que cette pneumonie reste bénigne dans quatre cas sur cinq. 

    20 % des patients nécessitent toutefois une hospitalisation, et 5 % requièrent une admission en réanimation.

    Personnes à risque 

    • Les personnes âgées.

    • Les personnes âgées de plus de 65 ans risquent davantage de souffrir des conséquences d'une infection par le coronavirus SRAS-CoV-2. Au-delà de 80 ans, le taux de mortalité passe même à 14,8 %.

    • Les immunodéprimés ou victimes de maladie chronique.

    Le coronavirus peut également avoir des effets plus sévères chez les personnes immunodéprimées ou souffrant de maladie chronique (cancer, diabète...).

    Gestes de prévention

    Lavez-vous les mains, désinfectez les sols, évitez les regroupements...

    Je rappelle rapidement les gestes simples à effectuer pour vous protéger :

    • Lavage régulier des mains (idéalement toutes les heures) avec de l'eau et du savon, ou avec du gel hydroalcoolique. Évitez aussi de vous toucher le visage avec des mains sales ;

    • Nettoyage et désinfection des sols et objets, et évitez de toucher des objets contaminés ;

    • Garder une certaine distance avec d'autres personnes, en évitant notamment de vous regrouper ;

    • Boire beaucoup d'eau ;

    • Éviter tous contacts avec des malades atteints du COVID19 (vous êtes peut-être, vous aussi, porteur sain du virus) ;.

    • Porter un masque, si vous pensez être contaminé ou pas, rester chez soi pour ne pas propager la maladie...

    • Se couvrir la bouche et le nez en cas de toux ou d'éternuements (par exemple avec le pli du coude ou avec un mouchoir, à jeter immédiatement dans une poubelle fermée) ;

    • Rester chez soi en cas de contamination.

    Aucun traitement validé officiellement

    Pour le moment, il n'existe aucun traitement existant qui soit validé par les autorités médicales. Certains produits sont toutefois déjà envisagés, testés voire administrés à certains malades : le Remdesivir (anti-Ebola), le Ritonavir (anti-VIH), la chloroquine (anti-paludisme)... Leur efficacité reste à démontrer, la chloroquine montrerait des signes actifs permettant la rémission.

    Surtout, évitez de prendre des anti-inflammatoires non-stéroïdiens (comme l'ibuprofène, le Nurofen, le naproxène, le diclofenac ou le Voltaren) et des corticostéroïdes (le Cortancyl, la prednisolone ou le Célestène), qui peuvent aggraver la maladie, vous savez ce que je pense de ces « anti » chimiques.

    TRES IMPORTANT

    Surtout ne jamais oublier qu'une élévation de température est un signe de vitalité et que vouloir la combattre tient de la désinformation. La fièvre est votre amie, ne la réprimez pas. En respectant la fièvre, vous respectez votre vitalité, et le mode d'expression de celle-ci, qui à priori va s'exprimer avec sa réaction de défense symptomatique. La fièvre permet en quelque sorte de défendre la santé en répondant aux maladies infectieuses par le déclenchement de « CATARRHES » (élimination de substances nocives) parades à la « TOXEMIE ».

    Absence de vaccin

    Il n'existe pas de vaccin pour prévenir cette maladie. L'institut Pasteur, à Paris, a indiqué que des premiers tests sont menés sur des souris depuis le 11 mars 2020. Selon plusieurs spécialistes, il faudra attendre l'automne 2021 pour qu'un vaccin puisse voir le jour. D'ici là...

    Pensez à renforcer vos défenses immunitaires

    L'importance du système immunitaire pour faire barrage aux infections.

    Au-delà des gestes de prévention que je viens de répéter, veillez à vous assurer du bon état de vos défenses immunitaires, véritables barrières naturelles contre les microbes de toutes sortes.

    Comme le disait encore Didier Raoult, le directeur de l'Institut Méditerranée Infection à Marseille, à propos de la meilleure façon de contrer le COVID19 : « Ce qui fonctionne le mieux, c'est notre système immunitaire » (France Info, 26 janvier 2020). Je ne peux qu'aller dans son sens, bien entendu ! La prévention, la prévention et.... la prévention.

    Alimentation, activité sportive, sommeil...

    Comment s'y prendre pour renforcer nos défenses naturelles ? La recette est bien connue, je ne cesse de la répéter.

    • Opter pour une alimentation équilibrée, variée avec des associations alimentaires logiques;

    • Pratiquer une activité physique régulière ;

    • Dormir suffisamment ;

    • Abaisser votre niveau de stress. Les élixirs floraux et les complexes floraux vous aideront aisément, en privilégiant ceux qui ne contiennent pas d'alcool.

    Les meilleurs produits naturels pour renforcer votre immunité

    Certaines substances disponibles dans la Nature, par ailleurs, sont bien connues pour leur capacité à stimuler notre système immunitaire.

    Je vous donne une liste (non exhaustive) de quelques produits naturels essentiels à une bonne immunité :

    • Vitamine C, disponible dans les goyaves, le poivron jaune, le kiwi ou encore l'orange, est notamment réputée pour stimuler la destruction des agents pathogènes dans l'organisme. Pour bénéficier d'un apport optimal en vitamine C et d'une absorption sans pareille, mieux vaut opter pour un complément alimentaire de type Moringa ou Acerola,

    • Vitamine D, quant à elle, se trouve notamment dans l'huile de foie de morue, les harengs ou les sardines. Les lymphocytes T, ces cellules placées en première ligne pour assurer notre protection, sont uniquement activés en sa présence de Vitamine D3 ;

    • Je vous conseille également d'opter pour un véritable « cocktail » de vitamines, comme la Formule Vitaminero, qui contient pas moins de 12 vitamines et de 8 minéraux : vitamines A, B, C, D, E, magnésium, sélénium, manganèse... Un tel complément multivitaminé vous permettra d'agir sur plusieurs leviers à la fois pour protéger au mieux votre organisme ;

    • Bromeline + Rutine : La bromeline est immunno-stimulante (induit la production de cytokines), stimule l'utilisation par l'organisme de ses propres ressources de guérison. La Broméline a un rôle dans l'activation des réponses immunitaires des  immuno-déficients. Les flavanoïdes de la rutine améliorent aussi l'action de la vitamine C sur l'organisme en augmentant son absorption et en retardant son élimination.

    • La Formule Probiotiques contient des souches probiotiques qui optimisent les fonctions immunitaires naturelles du corps. En optant pour une cure de Formule Probiotiques, vous recevrez à chaque dose pas moins de 12 milliards de micro-organismes positifs pour votre flore intestinale et donc pour votre immunité générale ;

    • Vita Defens est une teinture synergique qui travaille à la fois la personne en boostant son système immunitaire, l’ensemble de ses fonctions physiologiques tout en apportant une aide extérieure qui fera la chasse aux indésirables. On l’utilisera pour lutter contre tout type d’infection (rhume, état grippal, maux de gorge, état de faiblesse, etc..).

    • Un apport en zinc, un élément chimique important pour rétablir un système immunitaire efficace. Disponible dans les huîtres, le germe de blé grillé et le foie de veau, il est plus facile à obtenir en quantité suffisante sous forme de supplément nutritionnel, par exemple avec Force des Incas, immunitaire (stimulation des défenses naturelles), énergie à l'état pur, qui contient Guarana, Maca, Acerola et Cacao.

    • Pensez aussi aux huiles essentielles: Niaouli, Ravintsara, Tea-tree, Eucalyptus radié, Thym vulgaire à linalol.

    Et les extraits liquides:

    Mais vous ne savez pas le plus important. Les compléments suivants sont les plus efficaces contre le coronavirus.

    • Complexe antioxydant: Association de vitamines et d’oligo-éléments antioxydants qui protège les cellules de l'organisme du stress oxydatif à l’origine de dommages et de vieillissement prématuré qui contient Glutathion, Coenzyme Q10, Resvératrol, Vitamine C, Quercétine (contenue dans l'açaï, la grenade, le mangoustan).

    • H.E. Laurier Noble: Antibactérien, antiviral, antifongique, Anti-inflammatoire, Antalgique, Antispasmodique, Mucolytique et expectorant, Stimulant et tonifiant.

    • Argent Colloïdal agit par contact direct sur les bactéries. Des bactéries mises en présence d’argent sont, en 24 heures, 10 fois moins nombreuses, et 100 fois moins nombreuses quelques jours après. Cette action permet un rééquilibrage bactérien en faveur des bactéries saprophytes (nos bonnes bactéries).

    • Vitamine D3 contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.

    Prenez soin de vous!

  • Perdre du poids grâce à la thermogenèse

    • Par vogot
    • Le 24/02/2020

    Qu'est-ce que la thermogenèse ?

    Si vous êtes fibromyalgique ou avez des problèmes articulaires ou digestifs, il peut-être pertinent de lire cet article.

    Que vous soyez en surcharge pondérale ou pas, vous avez sûrement entendu parler de thermogenèse et que vous pouviez compter sur elle pour perdre du poids.

    La thermogenèse est la production de chaleur réalisée par les animaux homéothermes ou "à sang chaud", contrairement aux animaux poïkilothermes ou pœcilotherme.

    Elle permet à ceux-ci de maintenir une température interne constante, nécessaire à leur survie. C’est aussi la thermogenèse qui permet de brûler les graisses et de les transformer en chaleur. Un défaut dans son fonctionnement est donc parfois mis en cause dans le surpoids et l’obésité.

    Enfin, la thermogenèse est stimulée également lorsque l’organisme doit se défendre contre des facteurs de stress comme le froid ou une infection : c’est la thermogenèse adaptative.

    Je vais aborder, maintenant, la thermogenèse chez l’être humain.

    Principaux mécanismes de la thermogenèse

    Il existe trois grandes voies de production de chaleur dans l’organisme humain : la thermorégulation hormonale, l’alimentation et l’activité physique.

    Côté hormonal, tout se passe au niveau de l’hypothalamus, cette glande localisée à la base du cerveau et qui contrôle un certain nombre de processus de l’organisme. Lorsque le corps se refroidit, c’est elle qui reçoit les signaux et déclenche les actions de réchauffement :

    • le frisson, provoqué par des contractions musculaires très rapides et rapprochées permet la libération immédiate de chaleur

    • la vasoconstriction, contraction des vaisseaux sanguins, limite la perte de chaleur au niveau du sang

    • la libération d’adrénaline stimule le métabolisme et augmente les procédés de production de chaleur dans l’organisme

    Du côté de l’alimentation, 40 % de la nourriture ingérée sert de combustible pour la production de chaleur, au cours de la digestion. Cette digestion a d’ailleurs un coût variable en termes d’énergie. Ce sont les lipides qui ont le meilleur rapport “qualité-énergie”, car ce sont eux qui demandent le moins d’effort à l’organisme.

    Inversement, ce sont les protéines (puis les glucides, dans une moindre mesure) qui demandent le plus d’énergie à digérer, et qui favorisent davantage la thermogenèse alimentaire, d'où la plus grande importance à faire attention aux associations alimentaires.

    Pour rappel, ne mélangez JAMAIS au cours d'un même repas, protéines et amidons!

    Tous les aliments ne sont pas égaux

    Il faut d’abord savoir que pour un aliment donné, la totalité des calories ne sera pas nécessairement assimilée. En d’autres termes, pour 100 kcal d’aliments, vous n’allez pas nécessairement assimiler 100 kcal, mais peut-être 90 ou 80 kcal.

    En premier lieu, dans ces calories, il y a une part qui peut ne pas être digérée (les fibres par exemple – bien que certaines peuvent être fermentées dans le colon – ou encore une partie des aliments qui peut se « lier » à ces fibres, etc.).

    Ensuite, pour être digéré et transformé, un aliment va nécessiter de l’énergie, ce que l’on nomme « effet thermique des aliments », ou encore « thermogenèse alimentaire ».

    Ainsi, les protéines sont les macronutriments les plus « gourmands en énergie » pour être digérés, suivi des glucides, et en bons derniers, des lipides.

    Tout cela se résumerait par une équation trop simpliste :

    Calories assimilées = Calories totales – [Calories non digestibles + Effet thermique de l’aliment]

    Le mythe des aliments à calories négatives

    Une simplification de cet effet thermique a entraîné des mythes aussi aberrants que tenaces : celui des aliments qui font maigrir, ou encore, des aliments à calories négatives !

    Ce mythe stipule que certains aliments demandent plus d’énergie au corps pour les digérer qu’ils n’en apportent, en conséquence de quoi… ils feraient maigrir ! ?

    L’aliment de référence à ce sujet est le céleri. En effet, il n’apporte que 16 kcal pour 100 g (ce qui est très peu), et est riche en fibres (qui ne sont pas digérées, donc une partie des calories liées à ces fibres est excrétée).

    Des chercheurs se sont dès lors penchés sur la question : il en résulte que sur 16 kcal ingérées, en retirant les fibres et la perte d’énergie due à l’effet thermique des aliments, 2,24 kcal étaient tout de même absorbés.

    Par ailleurs, il convient également d’éviter au maximum les produits transformés. En effet, à calories égales, les aliments industrialisés semblent induire un effet thermique significativement moins important que leur homologue non raffiné.

    Attention, penser seulement en thermes de calories est donc aberrant, si vous ne faites pas attention aux « cocktails que vous ingérez », c'est plus complexe qu'il n'y paraît.

    Faut-il fractionner au maximum ses repas dans la journée ?

    Là encore, perdure une croyance pourtant réfutée par la science. A calories égales, fractionner ses apports en plus de repas ne génère pas d’augmentation métabolique particulière.

    L’effet thermique des aliments ne dépend pas du nombre de repas, mais de la quantité d’aliments ingérée. Si vous divisez cette quantité, vous diviserez également leur effet thermique.

    Qu'en est-il de l'activité physique ?

    L’activité physique provoque des mouvements musculaires intenses, contractions et décontractions, qui provoquent la libération de chaleur.

    Variations dans la thermogenèse

    Notez aussi que les mécanismes de thermorégulation diffèrent en fonction du sexe et de l’âge.

    Par exemple, chez les femmes en âge de procréer, la température augmente lors de l’ovulation sous l’effet de la progestérone. À l'inverse chez les personnes âgées, la température corporelle tend naturellement à baisser.

    Enfin, l’organisme soumis à un régime trop strict et perdant rapidement des graisses réduit naturellement et durablement sa thermogenèse. C'est ce que l'on appelle familièrement le mode "famine". C’est un mécanisme qui favorise le stockage de lipides, comme ceux-ci sont peu coûteux en énergie. Il est donc responsable d'une reprise de poids rapide lors de l’arrêt du régime, c'est l'effet yo-yo.

    Tissu adipeux brun : rôle dans la thermogenèse et la prise de poids 

    C'est un tissu graisseux, responsable de la production de chaleur et que l’on retrouve donc chez les mammifères qui hibernent (les loirs, les hérissons, les ours (semi-hibernant), les moufettes, les chauves-souris...).

    On le trouve aussi chez les humains, essentiellement les nouveaux-nés. On le croise enfin dans une moindre mesure chez l’adulte, et en moindre quantité encore chez les personnes obèses.

    C'est une protéine spécifique du tissu adipeux brun, UCP1 (ou "thermogénine"), qui est responsable de l'émission de chaleur. Cette protéine dite découplante favorise le dégagement de chaleur au détriment de la production d'énergie.

    Par ailleurs, des chercheurs ont montré que certains acides aminés (valine, leucine et isoleucine que vous pouvez retrouver dans BCAA 4:1:1 + L-Citrulline), présents en excès dans l’organisme, faisaient courir un risque d’obésité et de diabète. Or ces mêmes chercheurs ont mis en évidence qu’il s’agissait des acides aminés utilisés en priorité par le tissu adipeux brun pour la production de chaleur. La stimulation de l’activité du tissu adipeux brun est donc l'une des pistes thérapeutiques les plus prometteuses pour promouvoir la perte de poids. 

    Comment booster naturellement la thermogenèse ? 

    En plus de l’activité physique, il est possible de stimuler la production de chaleur à l’aide d’aliments réputés pour leurs capacités thermogéniques : le piment, le thé et le café.

    Tous trois contiennent des principes actifs (respectivement de la capsaïcine et de la caféine) qui stimulent le système nerveux sympathique, principal moteur de la thermogenèse. Le gingembre augmenterait aussi la thermogenèse, tandis que la cannelle stimulerait le "brunissement" du tissu adipeux. 

    Des compléments alimentaires thermogéniques peuvent aussi vous aider à produire de la chaleur et ainsi augmenter la dépense calorique moyenne.

    C'est le cas des ingrédients naturels tels que l'extrait de café vert et thé vert, le guarana, la garcinia cambogia, l'inuline, la somatropine.

    En conclusion

    Après les conseils et astuces concernant les activités physiques à privilégier au régime, voici ceux qui vous permettront d’utiliser l’effet thermique des aliments à votre avantage :

    Privilégiez les protéines au déjeuner (repas du midi) avec des légumes verts de saison (carotte, chou, oignon, poireau, salade, tomate...), de même que les aliments non raffinés (céréales complètes), satiétogènes, riches en fibres (légumes verts, noix, konjac…) ;

    Ne vous couvrez pas trop et ne mettez pas votre chauffage trop fort (surtout l’hiver) : un peu de froid peut faire du bien (attention, pas chez tout le monde, personnes sensibles soyez vigilants).

    Comme vous le voyez, maintenir son métabolisme n'est pas évident, mais surtout, en dehors de la pratique sportive anaérobie, son effet est assez modeste. Le plus gros du travail se fera dès lors en jouant sur les associations alimentaires et la complémentation

  • Maladie de Crohn: traitements naturels

    • Par vogot
    • Le 07/02/2020

    La maladie de Crohn est une MICI (maladie chronique inflammatoire de l’intestin). C’est également une pathologie auto-immune, elle résulte d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme.

    C'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.

    Elle peut toucher différentes parties du tube digestif, mais est localisée le plus fréquemment au niveau de l’iléon, partie basse de l’intestin grêle à la jonction du gros intestin, ou au niveau du côlon et du rectum.

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    Comment se manifeste-t-elle ?

    Des phases de poussées alternent avec des phases de rémission. Les phases de poussées s’accompagnent de diarrhées aiguës, et les phases de rémission sont de durées variables.

    L’inflammation chronique entraîne un épaississement de la paroi intestinale et peut conduire à des sténoses (rétrécissement du tube digestif), fistules (connexions anormales entre un organe du système gastro-intestinal et un autre organe), ou fissures qui peuvent se compliquer d'un abcès anal.

    Cette pathologie est très invalidante et douloureuse, elle a un grand retentissement sur la qualité de vie des malades.

    Quelles sont les origines ?

    Elles sont multifactorielles, ce qui rend les traitements compliqués. Les traitements conventionnels entraînent des effets secondaires délétères sur le long terme.

    Cette maladie touche aussi bien les hommes que les femmes assez jeunes, entre 20 et 40 ans. On la rencontre aussi chez les enfants.

    Elle peut être héréditaire, en effet, dans environ 20 % des cas, il y a un antécédent de pathologie inflammatoire de l’intestin dans la famille.

    Qu'en est-il des causes ?

    Il existe différents potentiels facteurs de risque, une alimentation pro-inflammatoire, riche en sucre et gras saturés, pauvre en fibres ainsi que le stress psychologique, mais surtout oxydatif.

    Attention, ne confondez pas stress oxydatif, qui s'observe au niveau cellulaire, avec stress psychologique, au niveau de l'organisme.

    Le tabagisme a une influence certaine ainsi que les facteurs environnementaux, on a en effet remarqué que la pathologie touche davantage les personnes vivant en zone urbaine et plutôt dans les climats nordiques, car le froid n'arrange rien, permettant un terrain toxémique.

    La maladie c est 1

    Elle est par ailleurs en constante progression, due à l'ignorance des associations alimentaires. Mise à part la connaissance des naturopathes dans ce domaine, je ne connais pas de professionnels de santé qui vous dirigera sur ce sujet, par ignorance surement.

    La microflore ou microbiote intestinal (anciennement appelée flore intestinale) a également une influence certaine dans la maladie. En effet on trouve dans les flores des personnes atteintes par Crohn une dysbiose (déséquilibre de l'écosystème bactérien) avec des bactéries pathogènes en excès comme Escherichia Coli et une diminution des espèces bénéfiques, notamment Bacteroïdes, Prevotella, Alistipes, Akkermansia, Oscillibacter, Clostridium, Faecalibacterium, Eubacterium, Ruminococcus, Roseburia, et Bifidobacterium, sans oublier Escherichia ,Lactobacillus, Fusobacterium, Lentisphaerae, Spirochaetes et bien d'autres...

    Je vous conseille de prendre cette Formule Probiotiques extrêmement complète.

    Formule probiotiques

    Les symptômes de la maladie

    Ils sont essentiellement de nature digestive, diarrhées chroniques, qui peuvent être sanguinolentes, liquides et abondantes, accompagnées de glaires et de douleurs anales, spasmes et douleurs abdominales, perte d’appétit, vomissements et nausées.

    L’ensemble de ces symptômes conduit à de la fatigue et à une possible anémie suite à la fuite des minéraux dont le fer, les vitamines B9 et B12.

    Ici, la prise de Complexe Vitamines B ou bien de Formule Vitaminero prend tout son sens.

    Multivitamines bFormule vitaminero

     

    Ces symptômes peuvent être associés à :

    • des lésions cutanées (aphtes, érythèmes noueux, ulcères buccaux)

    • oculaires (inflammation de l’iris ou de la sclérotique)

    • des rhumatismes articulaires (arthrite, spondylarthrite)

    • des inflammations du foie et des voies biliaires (hépatite, calculs biliaires, stéatose).

    Les traitements conventionnels de la maladie

    Les traitements actuels ont pour but d’améliorer la qualité des malades en diminuant et en retardant les poussées, par contre, ils ne guérissent pas complètement la maladie.

    Lors des poussées, se produit une augmentation importante du TNF-alpha (Tumor Necrosis Factor), une cytokine impliquée dans le processus inflammatoire, ce qui va produire les différents signes cliniques décrits ci-dessus.

    Des traitements pour diminuer la production de TNF-alpha sont conseillés.

    Sont ainsi proposés des anti-inflammatoires à haute dose comme les corticoïdes, des dérivés aminosalicylés ou l’administration d’anticorps anti-TNF-alpha.

    Ces traitements entraînent malheureusement des effets secondaires indésirables et potentiellement graves comme des infections.

    Est également proposée toute une batterie « d'anti »

    • anti-diarrhéiques pour ralentir le transit intestinal,

    • antibiotiques pour éradiquer les bactéries,

    • antispasmodiques pour diminuer les spasmes et les douleurs

    • immunosuppresseurs pour diminuer l’activité du système immunitaire.

    Parfois, en cas de fistules ou sténoses venant compliquer la pathologie, des traitements chirurgicaux deviennent inévitables.

    Heureusement, il existe des traitements naturels !

    Le premier conseil que je donne, est de suivre un rééquilibrage alimentaire par associations. C'est essentiel et surtout à la portée de TOUTES et TOUS, même à titre préventif !

    L’alimentation

    Une alimentation anti-inflammatoire est fortement conseillée, avec l’éviction des produits laitiers, gras saturés, produits industriels, maïs, alcool, levures et gluten.

    Les aliments qui entraînent des ballonnements ou des flatulences sont à éviter ou à consommer avec modération, notamment les légumineuses, les oignons, les agrumes et les crucifères.

    De manière générale, je recommande de cuisiner de façon simple des produits frais de saison et de les agrémenter d’épices digestives.

    Le romarin, le gingembre, le curcuma, le fenouil, le thym, l’anis ont par exemple des vertus anti-inflammatoires ou/et digestives.

    Consommer des oméga-3, puissants anti-inflammatoires, sous forme de compléments alimentaires (Omega-3 + vitamine E) ou d’huiles de colza, noix, cameline ou chanvre, de petits poissons gras (maquereaux, sardines, harengs…), et des légumes colorés riches en antioxydants (l’épinard, le poivron, les choux, la carotte, le brocoli, la courgette, le navet, le lycopène dans la tomate).

    Il sera indispensable d’observer les réactions de chacun et de tenir un cahier pour évaluer les aliments qui posent problème. En période de poussées, il conviendra d’éviter les aliments contenant des fibres, fruits, légumes, céréales complètes.

    La mastication et manger dans le calme sont des pratiques primordiales pour permettre une meilleure digestion et favoriser une meilleure assimilation. La digestion commence dans la bouche!

    Il est indispensable de boire suffisamment d’eau pour compenser les pertes d’eau occasionnées par les diarrhées, pas d’eau gazeuse pour éviter les ballonnements. Des tisanes antispasmodiques comme la mélisse, ou digestive comme l’anis sont les bienvenues.

    L’exercice physique

    Il est ES-SEN-TIEL, car il améliore la fonction digestive et diminue le stress.

    Gérer son stress

    On ne connaît pas vraiment l’impact du stress psychologique sur la maladie de Crohn, cependant certaines pratiques peuvent aider à mieux gérer la douleur et améliorer la digestion. Toutefois, le stress oxydatif accentue les périodes de crises.

    A chacun de trouver la méthode qui lui correspond le mieux, cohérence cardiaque, yoga, méditation, respiration diaphragmatique …

    Les traitements naturels

    Réparer la muqueuse intestinale se fera à l’aide de différentes plantes, la réglisse anti-inflammatoire des muqueuses, le curcuma puissant anti-inflammatoire et la mélisse antispasmodique ou à l’aide de l’acide aminé glutamine (L-Glutamine). Le psyllium vous permettra de mieux protéger votre tube digestif. C'est un régulateur du transit extrêmement efficace.

    Repeupler la flore intestinale sera utile avec des probiotiques.

    Les champignons, shiitake, reishi, cordyceps sinensis ou maitake, contribueront à moduler le système immunitaire.

    La camomille allemande pourra soulager les troubles digestifs.

    Des études sont en cours pour démontrer l’efficacité associée du Resvératrol et du bêta-carotène, puissants anti-inflammatoires et antioxydants.

    L'utilisation de ce Complexe Antioxydant en traitement de fond me paraît fondamental.

    Complexe antioxydant

  • Pesticides: comment réagir ?

    • Par vogot
    • Le 21/01/2020

    En Naturopathie, on essaie de choisir une alimentation saine, variée et équilibrée. On va privilégier des aliments les moins transformés possible, de préférence bio ou d’agriculture raisonnée, locaux et surtout de saison. Pensez d'abord à l'alimentation de vos enfants.

    Dis monsieur, c'est quoi un pesticide ?

    Nous devons bien reconnaître que la terre est polluée par la négligence de l’Homme (déchets jetés dans la nature n’importe où par exemple), mais aussi par des engrais, des produits chimiques, des nitrates, des déchets azotés…

    Les pesticides sont des xénobiotiques. Un xénobiotique est une molécule étrangère à un organisme vivant (additif alimentaire, par exemple) et considérée comme toxique. Mais ouiiiiii, vous en consommez souvent, ce sont les E..., ceux que vous pouvez lire sur les étiquettes des emballages, de produits vendus souvent en grandes surfaces.

    Les végétaux de l’agriculture intensive reçoivent des traitements (les pesticides) censés détruire certains parasites, mauvaises herbes, nuisibles, champignons etc. Ceci afin d’augmenter la production. Ces produits chimiques, les pesticides, se finissent en -cides. Le suffixe -cide permet de former des mots désignant des agents détruisant / tuant la vie d’organismes vivants (êtres humains, animaux, végétaux…). On trouve donc sous l’appellation pesticides tout ce qui est fongicides, herbicides, insecticides, bactéricides… Mais attention, pesticide ça fait peur, alors disons « Traitements Phytosanitaires ». Je ne tenterai pas le mot « Biocide ».

    Comment agissent les pesticides dans l'organisme ?

    L’un des mécanismes d’action susceptibles d’expliquer ce caractère cancérigène implique le stress oxydatif : une fois dans l’organisme, les pesticides augmenteraient la production d’espèces réactives capables de dénaturer l’ADN des cellules tout en réduisant le système antioxydant qui contribue à les neutraliser. C’est ce même déséquilibre qui serait responsable des troubles de la grossesse désormais bien identifiés tels que la mortalité embryonnaire, l’avortement prématuré, la mortalité fœtale, les malformations fœtales, la prématurité (en constante augmentation), le faible poids à la naissance, mais aussi du développement des cancers ainsi que des maladies neurodégénératives, Alzheimer, Parkinson et autres, sans parler du déséquilibre acido-basique.

    Effet cancérigène non-réservé aux agriculteurs

    Il se produit également lorsque les pesticides sont ingérés par le biais des aliments contaminés. Là encore, plusieurs études ont montré que ça n’était pas une légende : on retrouve des niveaux inquiétants de glyphosate (le pesticide abondamment utilisé par les agriculteurs et qui sera interdit en Europe en 2023) ainsi que certains de ses métabolites dans l’urine de personnes qui ne manipulent pourtant pas ce produit au quotidien en Europe comme aux Etats-Unis. Des chercheurs ont même pu comparer les taux de ce pesticide en 1996 et en 2016 sur une centaine de personnes. Les résultats ? Une hausse d’environ 1200 % en 20 ans (de 0.024 μg/L à 0.314 μg/L). Lire les articles en bas de page.

    Des études portant sur l’animal ont également montré qu’une exposition chronique à des concentrations très faibles de glyphosate entraînait des dommages hépatiques importants, contribuant notamment à augmenter le risque de stéatohépatite non alcoolique (NASH) (syndrome qui se développe chez les patients qui ne sont pas alcooliques; elle provoque des lésions hépatiques qui sont histologiquement impossibles à distinguer de l'hépatite alcoolique) , qui, hasard ou non, poursuit actuellement une folle progression chez l’homme. Je n'ai jamais cru au hasard. On en sait peu en revanche sur l’exposition cutanée à long terme dont les résidents riverains des épandages sont les premiers concernés. Mais là aussi, le dossier ressemble à s’y méprendre à celui de l’amiante … Je vous conseille vivement de prendre le temps de vérifier vos associations alimentaires, c'est une base de votre bien-être et de votre santé (si fragile parfois).

    Évidemment, les pesticides récemment classés cancérigènes risquent d’être interdits dans les années à venir (ce sera normalement le cas du glyphosate en Europe), mais tout porte à croire qu’ils seront remplacés par d’autres produits dont la nocivité devra être démontrée à nouveau…L'exemple du ticket de caisse qui contenait du Bisphénol A, remplacé depuis 2015 par du Bisphénol S, encore plus toxique. Une interdiction d'imprimer ces tickets est envisagée en France...

    Parcours classique d’un pesticide

    • Un produit A est mis sur le marché.

    • Le produit A est soupçonné d’être cancérigène (après remises en question d'études souvent mensongères).

    • Le produit A s’accumule dans les sols, les cours d’eau et les organismes vivants.

    • Des décennies s’écoulent avant qu’un nombre suffisant d’études donne l’alerte.

    • Le produit A bénéficie d’une autorisation temporaire avant d’être progressivement interdit.

    • Le produit A est remplacé par un produit B susceptible de suivre le même cheminement.

    Actions pour se protéger des pesticides

    Tout indique qu’il faut agir vite avant qu’une crise écologique ou sanitaire finisse par nous y contraindre.

    • A l’échelle de la société

    il est urgent de commencer à faire des choix courageux : le véritable pouvoir du changement ne réside pas réellement entre les mains des acteurs principaux mais entre les nôtres. Choisir des aliments issus de l’agriculture biologique, c’est inciter les agriculteurs et les éleveurs à abandonner un système aberrant et toxique mais également les inciter à se convertir à des méthodes de production durables et saines. Et évidemment, c’est aussi le meilleur moyen de minimiser l’ingestion de pesticides dans l’organisme…

    • A l’échelle individuelle

    il est tout aussi urgent d’augmenter ses chances d’échapper aux cancers et à l’ensemble des maladies liées au stress oxydatif. Pour cela, il existe deux méthodes compatibles et richement documentées : augmenter sa consommation de fruits et légumes (bio évidemment), et faire appel à des suppléments antioxydants.

    Des études in vitro et in vivo montrent que les nutriments antioxydants peuvent réduire les dommages infligés par les espèces réactives des pesticides. Ils procurent une véritable protection lorsque le stress oxydatif est anormalement élevé, ce qui survient en cas d’exposition chronique à des pesticides, mais aussi en cas de stress chronique, de mauvaise alimentation ou de mauvais sommeil. J'ai retenu, rien que pour vous, plusieurs suppléments antioxydants qui ont donné satisfaction au cours d’études portant spécifiquement sur le stress oxydatif lié aux polluants environnementaux :

    Certaines formules comme Complexe Antioxydant contiennent plusieurs de ces antioxydants, en plus d’autres composés naturels réputés comme les extraits de pépin de raisin (riches en flavanoïdes) ou le Coenzyme Q10. Elles ne sont pas destinées uniquement à contrer les méfaits des pesticides puisqu’elles visent aussi à réduire les espèces réactives produites par le stress, la pollution, la fumée du tabac, la mauvaise alimentation, l’alcool, les rayons UV du soleil, etc.

    Sachez que nous sommes exposés de plus en plus aux pesticides et la plupart des gens ne sont même pas conscients qu’ils en absorbent dans leur nourriture.

    Vous êtes désormais au courant…

    Lire aussi : Agriculture : le gouvernement veut réduire de moitié l'usage des pesticides, 10 ans, 80 pesticides par jour

     

  • Cheveux longs, idées longues: La vérité sur les cheveux.

    • Par vogot
    • Le 06/01/2020

    Oh, Yeah !
    Ma mère m'a dit: « Antoine, fais-toi couper les cheveux »
    Je lui ai dit: « ma mère, dans vingt ans si tu veux
    Je ne les garde pas pour me faire remarquer
    Ni parce que je trouve ça beau
    Mais parce que ça me plaît »... Oh, Yeah !

    Si vous êtes nés dans les années 1950, vous avez sûrement entendu les élucubrations du chanteur Antoine, qui, en 1962 défendait le principe des cheveux longs, un visionnaire, peut-être inconscient, de ce qui allait arriver plus tard.

    La mode était, à cette époque, une coupe de cheveux à l'opposé des idées selon lesquelles il fallait avoir les cheveux courts pour bien montrer que la tête recelait un trésor de matière grise bien constituée. En fait, avoir une coupe de cheveux bien rangés devait être équivalent à un savoir et une éducation ordonnée, oh yeah!

    En Mai-Juin 1968, la manifestation estudiantine passait par une révolution capillaire, le pacifisme et les beatniks. Ce dernier mot apparaît pour la première fois le 2 avril 1958 sous la plume de Herb Caen dans le journal San Francisco Chronicle.

    Cheveux, extension d'un système

    Lorsque vous pensez aux cheveux, vous les associez instantanément aux salons de coiffure, salons de beauté, aux produits capillaires, au stylisme et à l’image corporelle.

    Peu d’entre vous se sont en fait demandés à quoi pouvaient bien servir les cheveux et pourquoi des cultures aussi anciennes que les Indiens d’Amérique gardaient leurs cheveux longs, même chez les hommes…

    Les cheveux humains peuvent être décrits comme une extension du système nerveux. Les cheveux sont un système de nerfs extériorisés, un type de « palpeurs » ou « d’antennes » extrêmement développés, capables de transmettre d’énormes quantités d’informations au tronc cérébral, au système limbique et au néocortex.

    Curieusement, beaucoup de ces cultures anciennes ont convenu que les cheveux étaient un prolongement de l’âme, et la preuve en est que d’innombrables traditions notamment chez les Amérindiens ont gardé jusqu’à ce jour cette tradition sacrée.

    Pensées erronées et mises à jour

    Généralement, nous pensons que les cheveux sont simplement une question de préférence personnelle, mais c’est beaucoup plus que cela. Tous les poils sur votre corps sont là pour une raison. Les poils sur les jambes régulent le système glandulaire et stabilisent le champ électromagnétique d’une personne. Les poils sous les aisselles protègent la zone très sensible des systèmes nerveux parasympathique et sympathique qui affectent le cerveau et le niveau d’énergie.

    Les sourcils protègent les yeux du soleil et de la sueur. La barbe des hommes couvre le centre de la lune grâce au menton et les protège de la haute énergie de la lune. Les cheveux au-dessus de la tête sont très longs, tandis que les poils sur le corps sont courts.

    S’ils ne servaient que pour la chaleur, les cheveux sur le corps seraient longs aussi. Les cheveux longs sont seulement situés au-dessus du cerveau. Nous sommes pratiquement les seules créatures conçues de cette façon. En effet, les cheveux sont une antenne pour recevoir des images du monde subtil qui nous entoure.

    L’un des nombreux exemples est celui des Navajos, qui ne coupent les cheveux de leurs enfants uniquement au premier anniversaire et évitent de les couper après.

    Dans beaucoup de ces cultures anciennes, les cheveux symbolisaient non seulement une extension de l’âme, mais aussi la force physique et la virilité. Pour de nombreuses anciennes cultures amérindiennes, les cheveux tressés signifiaient l’union avec l’infini.

    La vérité sur les cheveux et sur la raison pour laquelle les Amérindiens avaient les cheveux longs

    Les informations qui suivent au sujet des cheveux ont été cachées au public depuis la guerre du Vietnam.

    Notre culture incite les gens à croire que la coiffure est affaire de goût personnel, que la coiffure est une question de mode ou de commodité, et que la façon dont les gens sont coiffés est simplement une question d’esthétique.

    Cependant, si l’on en revient à la guerre du Vietnam, une image complètement différente surgit, et celle-ci a été soigneusement étouffée et cachée à la vue du public.

    Au début des années 90, Norma (son nom a été changé pour protéger sa vie privée) était mariée à un psychologue professionnel qui travaillait dans un hôpital pour anciens combattants. Il travaillait avec des vétérans qui souffraient de troubles post-traumatiques. La plupart d’entre eux avaient servi au Vietnam.

    Déclarations de Norma

    Je me souviens très bien d’un soir où mon mari est rentré dans notre appartement de fonction avec un gros dossier d’allure officielle dans les mains. Celui-ci contenait des centaines de pages sur certaines études commanditées par le gouvernement. Son contenu l’avait bouleversé.

    Ce qu’il lut dans ces documents changea complètement sa vie. À partir de ce moment-là, mon mari, homme conservateur et conformiste, laissa pousser ses cheveux et sa barbe et ne les coupa plus jamais. De plus, l’hôpital pour anciens combattants le laissa faire, et d’autres hommes très conservateurs du personnel de l’hôpital suivirent son exemple.

    A la lecture des documents, la compréhension

    Au cours de la guerre du Vietnam, des forces spéciales du ministère de la Défense avaient envoyé secrètement des experts, pour passer au peigne fin, les réserves amérindiennes à la recherche d’éclaireurs de talent, de jeunes hommes solides entraînés pour se déplacer furtivement sur tout terrain difficile. Ils cherchaient spécialement des hommes doués de facultés exceptionnelles, presque surnaturelles, pour traquer l’ennemi.

    Avant d’approcher ces hommes triés sur le volet, les enquêteurs avaient recueilli sur ceux-ci d’abondantes informations les qualifiant d’experts dans le domaine de la traque et de la survie.

    Appâtés avec les moyens de séduction habituels – les phrases onctueuses utilisées pour enrôler de nouvelles recrues – certains de ces Amérindiens spécialistes de la traque furent alors embrigadés.

    La suite devient assez étonnante

    Quels qu’eussent été leurs talents et leur habileté lorsqu’ils étaient dans la réserve, ceux-ci semblèrent disparaître mystérieusement : recrue après recrue, une fois sur le terrain, tous échouaient à réaliser ce que l’on attendait d’eux.

    De lourdes pertes et de sérieux échecs dans l’exécution des tâches demandées amenèrent le gouvernement à s’engager dans une série de tests coûteux de ces recrues.

    Voici ce que l’on trouva

    Quand on les questionnait sur leur échec pour faire ce que l’on attendait d’eux, les recrues les plus âgées répondirent régulièrement ceci : après avoir eu la coupe de cheveux militaire réglementaire, ils n’étaient plus capables de ressentir l’ennemi, ils ne pouvaient plus accéder à un sixième sens, leur intuition n’était plus fiable, ils étaient devenus incapables de « lire » aussi distinctement des signes subtils ou d’accéder à une information extrasensorielle subtile.

    Donc, l’institut de tests recruta d’autres Amérindiens spécialistes de la traque, les laissa garder leur longue chevelure, et les testa dans de multiples domaines. Puis, les testeurs firent des groupes de deux hommes qui avaient les mêmes scores à tous les tests. Dans chaque paire, ils laissèrent un homme garder les cheveux longs, et ils firent donner au deuxième une coupe de cheveux militaire. Puis, les deux hommes repassèrent les tests.

    À chaque fois, l’homme qui avait gardé ses cheveux longs continuait à avoir des scores élevés. À chaque fois, l’homme qui avait les cheveux courts échouait aux tests dans lesquels il avait précédemment réalisé des scores élevés.

    Exemples de test

    La recrue est en train de dormir dans les bois. Un « ennemi » armé s’approche de l’homme endormi. L’homme aux longs cheveux sort de son sommeil, réveillé par un sens puissant du danger, et s’éloigne longtemps avant que l’ennemi soit tout près, longtemps avant que l’on puisse entendre le moindre son émis par l’ennemi à son approche.

    Autre version de ce test, l’homme aux longs cheveux ressent une approche et, d’une certaine façon, a l’intuition que l’ennemi va effectuer une attaque physique. Il suit son « sixième sens » et reste silencieux, faisant semblant de dormir, mais, au moment où l’attaquant se penche sur lui pour l’étrangler, il le saisit promptement et le « tue ».

    Le même homme, après avoir passé ces tests et d’autres, eut alors une coupe de cheveux militaire, et échoua régulièrement à ces tests, et à de nombreux autres tests qu’il avait précédemment réussis.

    Donc le document recommandait que tous les Amérindiens spécialistes de la traque soient exemptés de la coupe de cheveux militaire. En fait, il exigeait que les spécialistes de la traque gardent leurs cheveux longs.

    Hypersensibilité et néocortex

    Le corps des mammifères a évolué au cours de millions d’années. L’habileté des humains et des animaux pour survivre semble parfois presque surnaturelle. La science fait constamment des découvertes sur les possibilités étonnantes de l’être humain et de l’animal pour survivre.

    Chaque partie du corps a un rôle de haute sensibilité à jouer pour la survie et le bien-être du corps tout entier. Chaque partie du corps a sa raison d’être.

    Le cheveu est une extension du système nerveux, on peut le considérer comme un nerf extériorisé : ce sont des sortes de « senseurs » ou « d’antennes » hautement évoluées qui transmettent une grande quantité d’informations importantes au système cérébral, au système limbique, et au néocortex.

    Non seulement les cheveux, y compris la barbe chez les hommes, donnent passage aux informations qui vont vers le cerveau, mais ils émettent aussi de l’énergie, l’énergie électromagnétique émise par le cerveau vers l’environnement extérieur.

    C’est ce que l’on a vu dans des photographies Kirlian quand une personne est photographiée avec une longue chevelure, puis photographiée à nouveau après avoir eu ses cheveux coupés.

    Quand les cheveux sont coupés, la réception et l’émission des transmissions vers et en provenance de l’environnement sont fortement entravées. Il en résulte un engourdissement de ces fonctions.

    Le fait de couper les cheveux est un facteur qui contribue à rendre inconscient du danger environnemental dans les écosystèmes locaux. C’est aussi un facteur qui contribue à l’insensibilité dans les relations de toutes sortes. Cela contribue également à la frustration sexuelle.

    Pour conclure

    Dans la recherche de solutions à la détresse dans notre monde, il est peut-être temps pour nous de considérer que beaucoup de nos suppositions les plus fondamentales sur la réalité sont erronées. Il se peut qu’une grande partie de la solution nous regarde en face chaque matin quand nous nous voyons dans le miroir.

    L’histoire de Samson et Dalila, dans la Bible, a beaucoup de vérité encodée à notre intention. Quand Dalila coupa les cheveux de Samson, Samson, précédemment invincible, fut vaincu.

    Je suis certain que, la prochaine fois que vous verrez un homme aux cheveux longs, vous le considèrerez avec une vision différente, sous un nouvel angle, sous un autre jour.

  • Quel complément prendrait (secrètement) mon médecin ?

    • Par vogot
    • Le 09/12/2019

    Cela m'arrive parfois d'aller voir le médecin généraliste, non pas pour qu'elle (car c'est une généraliste) me prescrive du médicament à tout va, car je n'en voudrais pas, mais pour un bilan sanguin annuel de routine.

    Pour l'anecdote, l'an passé, suite à un précédent bilan sanguin, j'avais appelé l'analyste du laboratoire, avant qu'il m'envoie les résultats par la Poste, celui-ci me confirmant qu'ils étaient normaux (les résultats), ce dont je ne doutais pas un seul instant, grâce à mon hygiène alimentaire et aux associations alimentaires dont je vous ai déjà parlé dans un article précédent.

    Le lendemain, je me présente, sans rendez-vous, au cabinet de la généraliste, qui, regardant de très près ces-dites analyses, trouva que j'avais du cholestérol, en me donnant un cours sur le pourquoi et le comment attraper ce cholestérol de malheur qui gâcherait la vie de plusieurs personnes parfois bien portantes.

    Je vous transmets au mot près notre dialogue (de sourd sûrement) :

    Elle 

    • Attention à la charcuterie.

    Moi

    • Je n'en mange pas.

    Elle

    • Oui mais attention quand même, le sel ça donne aussi du cholestérol, et les œufs aussi !

    Moi

    • Je vous dis que je n'en mange pas, quant aux œufs, depuis quand donnent-ils du cholestérol, il faudrait que j'en mange une sacrée quantité, je pense (je ne pensais pas, j'en étais certain).

    Elle

    • Et du fromage ?

    Moi

    • Pareil (les fameux produits laitiers, nos ennemis pour la vie).

    Je vous rassure, les œufs ne donnent pas de cholestérol ! Vive les fake-news.

    La regardant droit dans les yeux (tiens, cela me remémore quelqu'un), je lui dit franchement : « Docteur, je suis naturopathe, vous n'allez pas me la jouer STATINES et tout le tralala, j'espère !! ».

    Embêtée car elle aurait bien voulu, comme la majorité de ses patients que j'engloutisse quantité de charcuteries en tous genres et à tous les repas, elle repris mes analyses et après quelques secondes d'hésitation me dit : « Effectivement, vous n'avez pas de cholestérol ». Ce qui confirmait bien ce que m'avait dit l'analyste du laboratoire.

    Heureusement que je connais bien mon corps, du point de vue santé...

    J'ai aussitôt posé cette question à la généraliste : « Docteur, quand vous vous sentez souffrante, que prenez-vous ? ».

    • Des vitamines et des Oméga-3, me dit-elle sans sourciller.

    Je me suis renseigné de-ci de-là, afin de savoir si les médecins en général se soignaient ainsi.

    J'apprends ainsi que les compléments de vitamine A et C, d’oméga-3 et d’acide folique (vitamine B9) sont ceux qui progressent le plus, avec, encore une fois, les compléments vitaminés + minéraux, chez les professionnels de santé.

    Un oublie ou un désir de désinformation

    Ces professionnels de santé auraient-ils tendance à « oublier » de partager leurs précieux conseils à leurs patients ?

    Oui, si l’on en juge par les statistiques : la majorité de la population française prend très peu de compléments alimentaires pour sa santé.

    Elle reste victime de la propagande des grands médias visant à faire croire qu'il suffit de manger « équilibré » pour ne manquer de rien.

    Quant aux autres populations européennes, elles sont encore dans leur quasi-totalité au Moyen-Âge de la nutrition, les personnes prenant des multivitamines étant considérées comme des bêtes curieuses, de doux écologistes voire d'inquiétants individus à tendance sectaire, à faire surveiller de près par la police de la Santé.

    On sait pourtant, et les professionnels de santé d’autant plus, que le mode de vie moderne, le stress, la pollution, l'âge (qui réduit l'absorption des nutriments), la sédentarité, la mondialisation font que même l’alimentation la plus variée ne garantit plus un apport optimal de toutes les vitamines, minéraux, acides aminés et acides gras essentiels.

    Vous consommez probablement encore beaucoup trop d'aliments et de composés inhibiteurs comme le café, le thé, les boissons gazeuses, le soja non fermenté et l’alcool, qui diminuent l’absorption de certains nutriments.

    Les premières victimes de cette hécatombe sont le fer, le zinc, le calcium et l’acide folique. De plus, la fumée du tabac peut aussi détruire les vitamines.

    Enfin, de nombreux médicaments provoquent des pertes en nutriments ou une diminution de leur absorption. Il est pourtant rarissime et presque illusoire qu'un médecin prescrive, en même temps qu'un médicament, la prise de vitamines et de minéraux pour en compenser les effets.

    Est-ce une raison pour ne rien faire, et "oublier" à notre tour de prendre soin de notre propre santé ? De nombreuses études ont démontré l'intérêt de prendre des vitamines et des minéraux quotidiennement. D'abord bien sûr, parce qu'ils aident à réduire le risque de nombreuses maladies, mais aussi parce qu’ils diminuent la perception du stress, de la fatigue et de l'anxiété à hauteur de 30 % environ, selon de très sérieuses études que vous pouvez trouver sur internet, et notamment celle menée par des chercheurs de l'université de Swansea en Angleterre. 

    Prendre des vitamines et des minéraux améliore donc le moral et la qualité de vie, en plus d'avoir des effets bénéfiques contre les maladies.

    Des effets bénéfiques majeurs sur la santé

    La réticence des professionnels de santé à parler à leurs patients de l'importance des vitamines et des minéraux est d'autant plus incompréhensible que cela fait maintenant plus de 15 ans qu'il est établi scientifiquement qu'ils sont précieux pour la santé.

    Une synthèse générale de toutes les études réalisées sur les vitamines a en effet été publiée en 2002 et a conclu que, « par mesure de prudence, tous les adultes devraient prendre quotidiennement des compléments vitaminés et des sels minéraux» pour prévenir certaines maladies comme le cancer, les maladies cardiovasculaires et l'ostéoporose.

    Je vais même aller plus loin encore puisque je considère que la fameuse « pyramide alimentaire » doit inclure, pour être complète et optimiser la santé, la prise quotidienne de vitamines et de sels minéraux.

    Les personnes âgées, les femmes enceintes et les enfants d'abord

    Bien entendu, certaines personnes sont plus concernées encore que les autres. Ce sont les personnes âgées qui ont le plus besoin de prendre des vitamines et des sels minéraux à cause, notamment, d'un régime alimentaire restrictif et inadéquat (manque d'appétit, difficulté de mastication, solitude), et surtout, d'une mauvaise absorption des nutriments et d’une diminution de la production endogènes de nombreuses molécules décisives pour la santé (générées à l'intérieur de votre corps).

    Viennent ensuite les femmes enceintes. Les gynécologues prescrivent en général la prise d'acide folique (vitamine B9), qui est efficace pour réduire la fréquence des malformations du tube neural.

    Mais la consommation de vitamines prénatales (elles contiennent généralement toutes au moins 400 µg d'acide folique) pourrait également prévenir d'autres malformations du fœtus.

    En outre, les auteurs d’une méta-analyse de sept études épidémiologiques ont conclu en 2007 que la prise de vitamines durant la grossesse est associée à un risque moindre de tumeurs au cerveau, de tumeur du système nerveux sympathique (neuroblastome) et de leucémie chez les enfants.

    Chez ceux-ci, la prise de vitamines et de minéraux durant les premières années de vie pourrait réduire le risque de souffrir d’allergies (réduire ce risque grâce aux Oméga-3) à l’âge scolaire, selon une étude épidémiologique et améliorer le Quotient Intellectuel (QI).

    De multiples études confirment l'intérêt des vitamines et des minéraux contre les maladies

    Les autorités médicales des pays occidentaux établissent des apports journaliers recommandés (AJR) qui servent de guide en matière de nutrition et de santé. La manière dont les taux sont déterminés est toutefois hautement contestable, car ils définissent en général le niveau à partir duquel apparaissent des maladies évidentes liées à des carences, comme par exemple le scorbut pour la vitamine C, l'anémie pour le fer ou le rachitisme pour la vitamine D.

    En réalité, prendre des vitamines et des minéraux ne sert pas à éviter les maladies liées aux carences, mais à optimiser l'état de santé, notamment en minimisant les risques de maladies graves. D'où l'art de la prévention!

    On sait par exemple que la prise de vitamines et de minéraux à des doses nutritionnelles contribuerait à diminuer l’incidence du cancer chez les hommes.

    Prendre un supplément de multivitamines et de minéraux pourrait, à long terme, se traduire par une réduction de 40 % du risque de subir un infarctus du myocarde (crise cardiaque).

    C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude suédoise menée auprès d’environ 34 000 femmes de 49 ans et plus, suivies durant une dizaine d’années. Au cours d’un essai clinique mené en Chine, 2 141 personnes âgées de 45 ans à 74 ans ont pris chaque jour durant 5 ans soit un placebo, soit deux capsules de multivitamines et 15 mg de bêta-carotène. Chez les personnes de 65 ans à 74 ans, il y a eu nettement moins de cataractes que chez celles du groupe placebo.

    Il ne fait donc pas de doute que les multivitamines et minéraux devraient figurer aujourd'hui au centre de l'arsenal médical, pour prévenir les maladies graves chez les adultes, et a fortiori chez les personnes âgées.

    Le silence des autorités de santé

    Le silence que les autorités de santé parviennent à maintenir sur ce sujet est donc extrêmement inquiétant sur leur objectivité et leur indépendance vis-à-vis des grandes sociétés pharmaceutiques, qui ont elles, au contraire, intérêt à ce qu'un maximum de personnes « oublient » ce dispositif essentiel dans la prévention des maladies.

    Quelles formules choisir ?

    Il existe pléthore de formules multivitamines avec ou sans minéraux dans le commerce (en pharmacie, grandes surfaces, boutiques en ligne, ...)

    Veillez particulièrement à choisir un complexe multivitamines et minéraux contenant une bonne dose de vitamine B9 (400 microgrammes) sous forme de folates et non d'acide folique. La bonne réputation de l'acide folique est en effet usurpée.

    La Formule Vitaminéro contient en effet pas moins de 23 nutriments, dont bien entendu les vitamines A, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B12, C, D3 et E aux doses physiologiques optimales selon la littérature médicale la plus récente, mais il faut de plus noter la forme avancée de vitamine B9.

    Cette Formule Vitaminéro contient également du fer, magnésium, zinc, cuivre, chrome, manganèse, molybdène, selenium, iode, calcium, phosphore.

    Chacun d’entre eux permet de réduire le risque de certaines pathologies et améliorent les symptômes des troubles les plus classiques (hypertension, hyperglycémie, insuffisance veineuse, hypercholestérolémie, diminution de la production énergétique…).

    Pour chacun de ces micronutriments, ont été sélectionnées les formes les plus adaptées à partir des dernières données scientifiques, garantissant une forte biodisponibilité et un risque minimal d’effets secondaires, ce qui en fait déjà une "Rolls-Royce" des formules multivitaminées + minéraux.

    La protection dans le moteur de la Rolls-Royce

    Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels.

    Formule vitaminero

    Formule VitaMinéro aide en période de vie active: physiquement et mentalement

    Elle contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.

    Pour rappel, les mitochondries sont les centrales énergétiques des cellules qui leur permettent de fonctionner à plein rendement. Présentes en quantité importante chez les jeunes personnes, elles disparaissent peu à peu avec l’âge et celles qui restent sont moins efficaces et produisent plus de déchets.

    De ce dysfonctionnement, il résulte un déficit énergétique majeur qui se retrouve impliqué dans la plupart des maladies dégénératives liées au vieillissement : troubles physiques et cognitifs, dégradation cellulaire accélérée, troubles cardiovasculaires...

    Plusieurs composés présents dans la Formule Vitaminéro permettent d'améliorer le fonctionnement des mitochondries existantes. Les divers nutriments contenus dans cette formule n’agissent pas comme de simples médicaments, mais la plupart du temps selon des synergies complexes. D’où l’intérêt de disposer de formules multivitaminées + minéraux.

    Mais ses effets bénéfiques ne s'arrêtent pas là, elle protège remarquablement les cellules du cerveau contre les dommages oxydatifs et la neurotoxicité induite par des toxines y compris le mercure. Elle améliore les performances aux tests de mémoire et interagit de façon positive avec les systèmes de neurotransmetteurs du cerveau.

    Alors, qu'attendez-vous pour vous soigner comme les professionnels de santé avec leur secret vaillamment gardé ?

    Merci de partager aux plus grand nombre.

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