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  • Renouveler son stock de neurones fonctionnels grâce aux compléments alimentaires

    • Par vogot
    • Le 03/10/2018

    Saviez-vous que des personnes âgées de plus de 70 ans pouvaient former autant de nouveaux neurones que les plus jeunes ?

    La science a toujours voulu vous faire croire qu’un individu avait un nombre défini de neurones et qu’il ne lui était pas possible d’en former de nouveaux au cours de sa vie...

    La neurogénèse humaine persiste tout au long de la vie.

    Qu’est-ce que la neurogénèse ?

    La neurogénèse est la formation de nouveaux neurones fonctionnels. Elle tourne à plein régime chez l’embryon pendant les 5 premiers mois de grossesse (aboutissant à un stock de 100 milliards de neurones) et se maintient à un rythme plus faible mais stable tout au long de la vie (de 1000 à 1400 nouveaux neurones chaque jour). C’est une étape fondamentale pour la formation de notre système nerveux central.

    Comment ça marche ?

    Concrètement, ces nouveaux neurones sont créés à partir de cellules souches neurales présentes dans l’organisme au niveau de l’hippocampe (plus précisément du gyrus denté). Ces cellules-souches ont la capacité de s’auto-renouveler et de se transformer en différents types de cellules nerveuses dont certaines donneront des neurones.

    Avant chaque transformation, elles prennent le temps de se diviser de façon à maintenir une certaine constance de la population de cellules souches tout au long de la vie.

    Cette transformation se produit en plusieurs étapes :

    • La prolifération cellulaire: la cellule-souche se divise, puis se transforme en un élément intermédiaire, le progéniteur.

    • La migration cellulaire: le progéniteur entre en maturation puis se divise et se différencie progressivement en neurone. Le nombre de progéniteurs intermédiaires reste stable tout au long de la vie.

    • La survie: seule une partie des nouveaux neurones survivent et deviennent fonctionnels. Cette étape semble dépendre de l’exécution de tâches hippocampodépendantes et de la qualité de la vascularisation. Autrement dit, les neurones ne sont gardés que si la personne s’en sert et s’ils peuvent être suffisamment bien nourris en oxygène, en nutriments et en micronutriments.

    • L’intégration: les neurones continuent leur croissance en projetant en avant leurs prolongements cellulaires (axones et dendrites). Ils les font entrer en contact avec les autres neurones et les différentes cellules de soutien (astrocytes, oligodendrocytes…). Cette capacité semble diminuer avec le temps.

    Le cerveau des personnes âgées fonctionne moins bien: pourquoi ?

    Les nouveaux neurones s’avèrent moins vascularisés chez les sujets âgés et semblent avoir du mal à créer des connexions avec les autres neurones. Il est possible que la neurogénèse maintienne une fonction cognitive tout au long de la vie chez l’humain, mais que certains facteurs psychologiques, émotionnels et traumatiques contribuent à son déclin.

    La maladie c est 1

    A quoi sert un neurone ?

    Un neurone est une cellule spécifique du cerveau qui permet à la fois de transmettre, d’analyser et de mémoriser une information. Il communique avec d’autres neurones grâce à de fins prolongements qui peuvent mesurer jusqu’à un mètre dans la moelle épinière.

    Plusieurs travaux récents montrent l’importance des nouveaux neurones vis-à-vis de l’apprentissage de tâches mnésiques complexes et la préservation de leur formation constitue donc une excellente nouvelle.

    Cependant, la formation des neurones est une chose, mais leur capacité à se remodeler et se réorganiser tout au long de la vie, sous l’impulsion de nos expériences et de notre environnement, en est une autre. On appelle cette capacité de reconfiguration la neuroplasticité.

    Et, bien que le nombre de neurones soit associé à la puissance de la fonction cognitive, la neuroplasticité joue un rôle majeur dans la consolidation de la mémoire et le traitement de l’information. Lorsqu’un neurone envoie des messages à un autre neurone de façon répétée, le second neurone devient progressivement plus sensible au premier. De puissants réseaux neuronaux se forment ainsi en fonction de nos comportements et de nos activités habituelles.

    La mauvaise nouvelle, c’est une diminution de cette neuroplasticité avec l’âge.

    Comment stimuler la neuroplasticité ? Peut-on également stimuler la neurogénèse ?

    Puisque la neurogénèse semble étonnement préservée avec le temps, c’est surtout la neuroplasticité qui doit être stimulée, ainsi que la vascularisation des neurones. En effet, ce n’est pas seulement le nombre de neurones qui compte mais aussi la qualité des connexions qu’ils tissent entre eux, la présence de cellules qui les soutiennent et la quantité de vaisseaux sanguins susceptibles de répondre adéquatement à leurs besoins en oxygène, en glycogène et en vitamines…

    La neuroplasticité et la neurogénèse peuvent être améliorées par au moins 5 facteurs

    En ayant des projets, des activités cognitives et sociales abondantes

    L’apprentissage et les exercices mentaux favorisent la phase de survie de la neurogénèse en stimulant l’intégration des neurones dans un circuit existant. Et plus encore, la répétition de ces activités (ou l’augmentation de leur difficulté ou de leur intensité) conduit à une meilleure myélinisation des prolongements neuronaux, ce qui permet à l’information de circuler encore plus rapidement.

    Autrement dit, nous produisons les ressources nécessaires à la réussite de nos apprentissages et de nos actes. Si vous souhaitez apprendre à jouer d’un instrument de musique à 50 ans, vous allez créer de nouveaux neurones et vous devez poursuivre cette activité dans le temps si vous souhaitez que ces neurones s’associent en réseaux. Si vous voulez maintenir vos capacités mémorielles, vous devez continuer à mémoriser le maximum d’informations et ne pas cesser d’apprendre de nouvelles choses. A l’inverse, si vous abandonnez des activités, votre organisme ne s’embarrassera pas à conserver des circuits neuronaux inutiles et encore moins à en recruter de nouveaux.

    En stimulant votre hormone de croissance

    La somatropine permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ses vertus contre le vieillissement.

    Le sport et les aliments sains et équilibrés sont fortement recommandés. La somatropine naturelle est utile pour maintenir un poids stable et une bonne santé au quotidien.

    Parfois, la prise de solutions plus radicales sont nécessaires pour des résultats rapides et convaincants en un rien de temps.

    Rôle essentiel

    La somatropine naturelle synthétique aide à améliorer nettement le métabolisme des lipides, des protéines et d'autres éléments minéraux de l’organisme. Elle régénère les cellules.

    • Stimule la production et le dégagement de la somatropine (hormone de croissance)

    • Améliore la performance sportive et la masse musculaire,

    • Combat la fatigue,

    • Stimule le dégagement de l'hormone du développement,

    • Régule l'activité hormonale.

    La somatropine naturelle peut également contenir de la levure de bière sèche inactive, riche en vitamines B qui participent à la réduction de la fatigue (morale et physique), et à la régulation de l'activité hormonale grâce à son apport en vitamine B6.

    Elle peut comporter également de l'extrait sec de graines de fenugrec (Trigonella foenum-graecum L.) titré en saponines stéroïdiennes, des molécules qui contribuent à augmenter les niveaux de testostérone, complétant ainsi l'effet stimulant et régulateur de la somatropine.

    En plus de développer le physique, elle augmente la libido, agit sur la repousse des cheveux et donne une certaine élasticité à la peau. Ses bienfaits passent aussi par une meilleure résistance à l’effort, un sommeil de plus grande qualité, une diminution de la pression artérielle et une activité cérébrale accrue. Elle aide également à lutter contre le stress et l’anxiété.

    En augmentant vos apports en oméga-3 et en vitamines B

    Les neurones générés chez l’adulte sont des neurones de petite taille qui ont des besoins très élevés en acides gras essentiels, en particulier en acides gras oméga-3, pour construire leur exigeante membrane cellulaire. Ces derniers sont reconnus unanimement par la communauté scientifique et les autorités européennes comme contribuant au maintien des fonctions cognitives, en particulier le DHA (un acide gras d’origine naturelle qu’on trouve en très bonne qualité dans OMÉGA 3 - EPA +).

    De la même manière, les vitamines B2, B6 et B12 (réunies dans Multivitamines B, une formule destinée à apporter les vitamines B sous leur meilleure forme) participent incontestablement à l’optimisation du système nerveux. Malheureusement, bien que des apports adéquats soient indispensables à la neurogénèse, les carences se généralisent de plus en plus, surtout en ce qui concerne la vitamine B12 (Lire cet article: Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).

    En augmentant le niveau de notre activité physique

    L’activité physique augmente la prolifération intervenant dans la neurogénèse. Elle améliore surtout le volume sanguin cérébral conduisant à de meilleures performances cognitives, aussi bien chez l’animal que chez l’homme. Or, la vascularisation décline avec l’âge...

    Les usages du ginkgo biloba en phytothérapie sont très nombreux. Pour certains maux (réduction des symptômes de la maladie d'Alzheimer, amélioration de la cognition, traitement de la démence sénile …) il est considéré par l'Union Européenne comme aussi efficace que de nombreux médicaments.

    En améliorant votre faculté à évacuer le stress

    Le caractère très néfaste du stress sur la prolifération cellulaire et sur la neurogénèse en général, qu’il s’agisse d’un stress physique ou psychosocial, n'est plus à prouver. Il est donc important de s’en prémunir au maximum, ou à défaut, de savoir en réduire les effets (au moyen de pratiques physiques, de plantes adaptogènes, de techniques de respiration, etc.).

    Plantes adaptogènes

    Rhodiola rosea

    La Rhodiola rosea -  aussi appelée ”racine d’Or” -  pousse dans les régions très froide de notre planète. Elle était utilisée par les Vikings, Inuits et en Sibérie pour leur donner force et courage.

    Propriétés

    • Stimule les fonctions cognitives en situation de stress et de fatigue.

    • Atténue l’anxiété et la dépression;

    • Améliore les performances physiques.

    Millepertuis

    Les fleurs et les bourgeons du Millepertuis, contiennent de l'hypéricine et la de pseudohypéricine, deux agents chimiques appartenant à la classe des dianthrones, et de l'hyperforine.

    L'hypericine est le principal principe actif du millepertuis.

    Les feuilles et les tiges contiennent des flavonoïdes, un puissant anti-oxydant.

    Propriétés

    • Améliore la qualité du sommeil

    • Réduit le stress

    • Réduit les symptômes de la ménopause et du syndrome prémenstruel : bouffées de chaleur, palpitations, étourdissements…

    • Traite la dépression légère ou modérée, de plus provoque moins d'effets secondaires que les anti-dépresseurs de synthèse

    Gotu Kola

    Egalement connue sous le nom de Gotu kola, la Centella asiatica est utilisée en Ayurvéda pour stimuler la vivacité intellectuelle et pour ses vertus en cas de stress ou d'intense réflexion (grandes charges de travail, décisions à prendre, etc). Son action apaisante sur le système nerveux permet de garder ses facultés et de rester concentré.

    Revitalisante, elle diminue la sensation de lassitude dans les moments qui nécessitent de gros efforts de raisonnement.

    Propriétés

    • Régénère les cellules nerveuses

    • Revitalise le cerveau

    • Favorise la concentration

    • Améliore la mémoire

    • Stimule les capacités intellectuelles

    • Apaise le système nerveux

    • Diminue le stress et la sensation de surmenage

    Les points à retenir

    • La capacité à créer de nouveaux neurones reste stable tout au long de la vie. Le nombre de cellules qui soutiennent les neurones ne varie pas non plus.

    • L’angiogenèse (la capacité à créer de nouveaux vaisseaux sanguins) et la neuroplasticité (la capacité des neurones à se remodeler en fonction de l’environnement) décline avec l’âge.

  • Epigénétique: les miraculeux pouvoirs de la supplémentation

    • Par vogot
    • Le 02/10/2018

    Une étude récente

    Une étude parue le 21 août 2018 a montré que les bénéfices d’une supplémentation en sélénium et en co-enzyme Q10 continuaient de se manifester, 12 ans après son interruption. Les personnes qui avaient suivi ce traitement pendant 4 ans présentent aujourd’hui un risque de mortalité cardio-vasculaire 40 % plus faible que les personnes du groupe de contrôle initial. Cela signifie que des changements structuraux ont dû se produire chez les personnes supplémentées et que ces changements sont toujours en place aujourd’hui.

    Les effets sont remarquablement persistants, surtout chez les femmes. Ils le sont d’autant plus si vous êtes une personne à risques, par exemple avec du diabète, de l’hypertension ou un dysfonctionnement sévère du cœur. Mais ce qui est fantastique, c’est que les différences entre les personnes traitées et les personnes non traitées continuent à se creuser, et que les bienfaits augmentent avec le temps.

    Quel mécanisme peut expliquer une telle longévité des effets ?

    Il est possible que le sélénium et la co-enzyme Q10 aient modifié de manière irréversible la façon de lire et d’utiliser les gènes sans pour autant les dénaturer. Ces molécules, capables d’indiquer à la cellule les gènes qu’elle doit utiliser ou ceux qu’elle doit laisser de côté, s’appellent des facteurs épigénétiques. Selon cette théorie, le sélénium et la co-enzyme Q10 auraient influencé l’expression des gènes et permis aux personnes supplémentées d’emprunter un autre chemin, moins risqué sur le plan cardiovasculaire et qui s’écarte toujours plus du chemin emprunté par les personnes du groupe contrôle. On les soupçonne ainsi d’avoir modifié l’expression des gènes liés au stress oxydatif, à l’inflammation et à la fonction mitochondriale.

    Manque de sélénium et appauvrissement des terres

    Le sélénium est un minéral indispensable à l’être humain, bien que de très petites quantités suffisent à faire fonctionner le corps de manière optimale. Il faut le puiser dans l’alimentation car l’organisme n’est pas capable de le synthétiser. Cet oligo-élément joue un rôle capital dans le système immunitaire et la glande thyroïde, mais aide surtout l’organisme à produire des antioxydants endogènes comme la glutathion-péroxydase ainsi que diverses sélénoprotéines. Ces derniers travaillent sans relâche pour protéger les cellules de l’oxydation causée par les radicaux libres.

    En Europe, la terre est particulièrement pauvre en sélénium. Or, c’est un problème puisque la teneur en sélénium des céréales et des légumes dépend directement de la teneur en sélénium des sols où ils sont cultivés. Les concentrations sériques des Européens sont donc systématiquement en dessous de 90 μg/L alors que les chercheurs estiment que les concentrations nécessaires pour la production optimale des sélénoprotéines seraient de 90 à 140 μg/L. Voilà pourquoi la Finlande a instauré en 1984 un programme d’enrichissement des engrais en sélénium, permettant de tripler les apports alimentaires dans le pays et réduire l’incidence des maladies du cœur. Au Royaume Uni, les apports en sélénium sont passés de 60 µg/jour à 34 µg/jour en moins de 20 ans.

    De faibles concentrations sériques de sélénium sont associées à des pertes de force musculaire, un niveau plus important d’invalidité et des risques de troubles cardiovasculaires plus élevés.

    Chez les personnes âgées de plus de 75 ans, l’apport conseillé est de 80 µg par jour, prenant en compte l’augmentation du stress oxydatif avec l’avancée en âge et devant permettre de maintenir le bon fonctionnement du système immunitaire.

    Chez le sportif s’entraînant de façon intense, un apport complémentaire de 10 à 30 µg par jour, proportionnel à la dépense énergétique, est proposé compte-tenu des phénomènes oxydatifs occasionnés par le travail musculaire.

    Sources alimentaires de sélénium

    Les aliments les plus riches en sélénium sont les poissons et les fruits de mer. Ensuite, viennent les viandes, les abats, les œufs, les légumes secs, les aliments céréaliers complets et les fruits à coque.

    La levure de bière peut compléter les apports.

    Teneur en sélénium en microgrammes (µg) pour 100 g d’aliment (2)

    Lotte grillée

    425

    Pâtes au blé complet

    131

    Merlu cuit

    119

    Maquereau cuit

    95

    Limande cuite

    73

    Lapin cuit

    73

    Levure de bière

    71

    Thon en boîte

    68

    Moule cuite

    58

    Palourde ou crevette rose cuite

    52

    Sardine en boîte

    48

    Pois chiche cuit

    45

    Lentille cuite

    40

    Rôti de porc cuit

    39

    Canard cuit

    35

    Jambon cru ou cuit

    23 à 24

    Champignon de Paris

    22

    Foie de veau cuit

    22

    Œuf cuit

    20

    Poivron rouge

    19

    Noix

    19

    Poulet cuit

    17

    Chou vert cuit

    15

    Les bienfaits du sélénium

    • Le sélénium entre dans la structure de plusieurs enzymes anti-oxydantes : les glutathions péroxydases et la thiorédoxine réductase. Ces enzymes contribuent à neutraliser l’excédent de radicaux libres présents dans l’organisme, qui accélèrent le vieillissement cellulaire et favorisent la survenue de diverses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires.

    • La thiorédoxine réductase permet de régénérer les vitamines C et E, qui ont également une action anti-oxydante.

    • Le sélénium est un modulateur des réponses immunitaires (notamment antivirales) et anti-inflammatoires.

    • Il participe à la détoxification de certains composés toxiques, métaux lourds et xénobiotiques (molécules étrangères).

    • Il intervient dans le métabolisme thyroïdien.

    Pourquoi manquez-vous aussi de co-enzyme Q10 ?

    Contrairement au sélénium, la co-enzyme Q10 est produit par l’organisme, mais elle n’en reste pas moins vitale pour son bon fonctionnement. C’est un antioxydant puissant qui est déterminant dans la production d’énergie cellulaire et notamment de la fameuse molécule énergétique, l’ATP. Elle a été très étudiée pour son rôle dans la santé cognitive, la santé cardiovasculaire et le vieillissement, même si elle reste considérée comme un complément alimentaire et non comme un médicament parce qu’il s’agit d’une molécule naturelle ne pouvant faire l’objet d’un brevet pharmaceutique.

    L’organisme est en mesure de la synthétiser, mais la production diminue continuellement après l’âge de 20 ans, et elle est même réduite de moitié à l’âge de 80 ans, au niveau du tissu musculaire du cœur.

    De nombreuses recherches ont montré qu’elle pouvait réduire la pression systolique et la pression diastolique sans effet indésirable notable pour des doses variant de 120 à 200 mg par jour. Elle est considérée comme une molécule parfaitement sûre, même à très long terme, en raison de sa présence naturelle dans l’organisme.

    Propriétés de la co-enzyme Q10

    • Stimule le système immunitaire.

    • Augmente la capacité énergétique du corps grâce à son rôle d'oxygénation sur chaque cellule du corps.

    • Prévient les affections cardiaques, palpitations, angine de poitrine et hypertension.

    • Stimule la production d'hormones.

    • Elle se comporte comme un antioxydant soluble dans les graisses

    • Elle peut même réduire les effets toxiques de certaines substances utilisées en chimiothérapie.

    • Elle est aussi utile pour combattre les allergies.

    • Utile dans le traitement du diabète

    • Utile en cas de trouble gingivaux

    Une synergie entre le sélénium et la co-enzyme Q10

    Pour produire des sélénoprotéines fonctionnelles, des quantités suffisantes de coenzyme Q10 sont nécessaires tandis que pour activer les molécules de co-enzyme Q10, vous avez besoin également de sélénium. Si vous vivez vivent en Europe et que vous êtes âgés de plus de 50 ans, donc particulièrement à risque de déficiences en sélénium (ce qui est associé à une mortalité cardiovasculaire plus importante) et de déficiences en co-enzyme Q10 (du fait d’une baisse de la production endogène), vous êtes privés d’une synergie puissante capable de prévenir durablement l’apparition des troubles cardiovasculaires.

    Comment y remédier ?

    Pour prévenir les troubles cardiovasculaires, il n’y a rien de mieux qu’aider le corps à utiliser au mieux ses armes naturelles.

    • Prendre 1 gélule par jour avec un demi-verre d'eau, au moment du repas de Co-enzyme Q10 (40 mg ou 100 mg). C’est un complément conditionné sur support lipidique pour faciliter l’absorption de la molécule par l’organisme. Comme il s’agit d’une molécule difficile à produire et donc souvent onéreuse, il vaut mieux faire en sorte que sa biodisponibilité soit maximale…

    • Prendre 2 comprimés par jour à laisser fondre sous la langue, après le déjeuner et le dîner de Levure de sélénium et Vitamine C. Si vous habitez sur le continent américain, il est possible que vos apports en sélénium soient suffisants, dans ce cas, rapprochez-vous de votre professionnel de santé.

    • Faire en sorte de perdre du poids si vous avez des kilos à perdre, notamment au niveau abdominal : les graisses qui entourent les viscères sont les plus nocives pour le cœur. Idéalement, le tour de taille devrait rester inférieur à 94 cm chez les hommes et à 80 cm chez les femmes. Pour y parvenir, la somatropine naturelle semble être une supplémentation tout à fait intéressante : si elle contribue à prévenir les maladies cardiovasculaires ainsi que les récidives, c’est notamment parce qu’elle atténue le gain de poids associé à l’âge.

    • Se réserver une vingtaine de minutes par jour pour se détendre, respirer et évacuer le stress, idéalement le matin ou une heure avant le coucher.

    • Veiller à fournir au corps des apports suffisants en acides gras oméga-3 et vitamine E. Une supplémentation d’oméga-3 de bonne qualité a un effet bénéfique sur la santé cardiovasculaire.

  • Diabète type 2: Berbérine, arrêtez de vous faire sucrer !

    • Par vogot
    • Le 26/09/2018

    Avec un risque d’accident cardiovasculaire 15 ans avant les personnes non diabétiques, avec un risque accru de problèmes nerveux, d’insuffisance rénale, d’impuissance, de cécité, un risque de surmortalité de 30 à 50 % à 5 ans, ou encore de faire partie des 8000 amputations de membre annuelles liées au diabète…, la France est devenue un pays producteur de diabétiques, avec quelques 3,5 millions de personnes concernées.

    Ce que vous allez lire, ne doit surtout pas être partagé

    Les experts recommandent que l’essentiel des calories glucidiques soit apporté par “le pain, les céréales, pommes de terre, légumes secs".

    Du pain et des patates

    Voilà avec quoi le ministère de la Santé a décidé de vous garder en forme !

    Combien d'entre vous prennent encore un petit-déjeuner composé de pain blanc, de viennoiseries et de céréales ? Des encas faits de biscuits, barres chocolatées ? Des repas entiers de pâtes, de riz, pizzas, et pommes de terre ?

    Ce désastre annoncé est d’autant plus révoltant qu’il est possible de guérir naturellement du diabète, sans médicament.

    Je ne vous ne dit pas que ce sera facile

    Mais si vous devez ne retenir qu’une chose de cet article, c’est qu’il faut en finir avec le mythe du diabète irréversible: de nombreuses études montrent au contraire que vous pouvez en guérir en travaillant sur votre rééquilibrage alimentaire.

    Êtes-vous réellement diabétique ?

    Le diabète provient d’un défaut de fonctionnement de l’insuline. Cette protéine sécrétée par notre pancréas fonctionne un peu comme un gardien du temple, chargé d’ouvrir la porte de nos cellules afin d’y permettre l’entrée des sucres ingérés, véritables carburants pour notre métabolisme.

    Le taux du sucre sanguin (glycémie), qui en principe s’élève doucement après un repas contenant des glucides, revient à son taux normal grâce à l’insuline quelques heures après.

    En cas de défaut de production de l’insuline par le pancréas, ou quand toute cellule devient résistante à son signal, le taux de sucre ne redescend pas suffisamment dans le sang, et reste trop élevé.

    Dans le premier cas, il s’agit d’un diabète de type 1, traité alors par une insuline de substitution (injections, pompes), et dans le deuxième cas – résistance à l’insuline –, la médecine allopatique utilise habituellement des médicaments hypoglycémiants (qui font baisser le taux de sucre dans le sang). Ce dernier cas, représente 90 % environ des diabètes sucrés.

    Dépister le diabète: dosage de la glycémie à jeun

    Aujourd’hui, le diabète est défini par un taux de sucre dans le sang (ou glycémie) supérieur à 1,26 g/l, niveau à partir duquel les complications peuvent apparaître.

    La glycémie normale est comprise entre 0,7 et 1,10 g/l.

    Entre 1,10 et 1,26 g/l nous parlons parfois de prédiabète.

    Le diabète est généralement traité soit par une insuline de substitution (injections, pompes), soit avec des médicaments hypoglycémiants (ceux qui font baisser le taux de sucre dans le sang).

    Ces médicaments ont parfois des effets secondaires très lourds.

    Une grande étude sur les effets des médicaments contre le diabète a dû être interrompue brutalement parce que les scientifiques se sont aperçus que les patients diabétiques qui prenaient le plus de médicaments avaient le plus fort risque d’infarctus, d’accident cardiovasculaire et de mort par maladie cardiaque !

    Mais ce que la médecine allopatique évite soigneusement de dire, c’est que le diabète n’est pas une fatalité vouée aux seuls traitements par les médicaments.

    Faites-le tout de suite !

    Première chose à faire : supprimer de votre alimentation les aliments riches en amidon.

    Concrètement il s’agit d’un réquilibrage alimentaire de type chasseur-cueilleur, sans produits céréaliers (pain, biscottes, viennoiseries, pizza, pâtes, riz etc.), remplacés par des légumes, des fruits (banane et raisin avec parcimonie car leur charge glycémique est élevée), les noix. Les légumes aident à réduire la glycémie et combattent le stress oxydatif, souvent élevé ; c’est notamment le cas des brocolis.

    8 semaines pour en finir avec le diabète

    Pour être efficace, ce rééquilibrage alimentaire doit être peu calorique.

    Durant 8 semaines, vous allez consommer seulement 600 calories (kcal) par jour, sans le moindre amidon. Résultat : votre glycémie à jeun et après un repas, redeviendra normale et votre pancréas retrouvera ses capacités normales de production d’insuline. Trois mois après la fin de ce rééquilibrage alimentaire, vous ne devriez présenter aucun symptôme de la maladie.

    600 calories par jour est un niveau très bas, mais vous pourriez penser qu’un rééquilibrage alimentaire un peu moins restrictif aurait les mêmes effets. Ce mode d'alimentation peut être complété avec du poisson, des coquillages, des crustacés, de la viande.

    Les solutions du placard

    Pour contrôler sa glycémie… il faut commencer par fouiller dans les placards de sa cuisine :

    • La cannelle rendra les cellules du foie ainsi que les cellules musculaires plus sensibles à l’insuline. 2 gélules de cannelle dosées à 400mg, avant chaque repas soit un peu plus de 2g/jour) baisse de 12 à 30 % le taux de sucre dans le sang en 40 jours. En freinant le passage de la nourriture digérée dans l’intestin, la cannelle freine la diffusion du glucose vers le sang, régulant ainsi la glycémie.

    • L'huile essentielle de clou de girofle est connue pour faire baisser le taux de glucose. De plus, elle contribue à prévenir la formation de caillots sanguins, cause potentielle d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

    • Les graines de fenugrec contiennent un acide aminé (4-hydroxyisoleucine) qui peut améliorer la libération d’insuline et diminuer l’absorption des sucres. 2 gélules de 500mg de graines de fenugrec améliorent la glycémie en réduisant l’insulinorésistance. Vous pouvez également vous supplémenter avec cette Somatropine naturelle, contenant des graines de fénugrec et de la vitamine B6.

    • La capsaïcine, contenue dans MaxiCapsicum, responsable du goût piquant du piment de Cayenne, augmente la production d’insuline par les cellules du pancréas. Elle a l’avantage de donner facilement la sensation de satiété.

    • L’ajout d’un peu de vinaigre (acide acétique) au cours d’un repas comprenant des glucides permet de diminuer la glycémie dans les heures qui suivent, d’améliorer la réponse à l’insuline et d’augmenter la satiété. Il suffit de préparer une vinaigrette avec 1 cuillerée à soupe de vinaigre de cidre, pour 2 d'huile d'olive, afin d'accompagner une entrée de crudités, à chaque repas.

    Je vous conseille de supprimer tous les vinaigres à base de raisin (riches en sucres). Le vinaigre balsamique désigne un ensemble de produits comprenant une part de moût de raisin concentré et d'acide acétique.

    Le vinaigre balsamique traditionnel résulte d'une cuisson de moût de raisin qui est porté à ébullition en chaudron ouvert jusqu'à réduction d'environ 60 %. Le moût ainsi traité est longuement décanté puis est élevé en fût de chêne rouvre dans une acetaie jusqu'à sa piqûre acétique. Il est ensuite maturé dans un chai aéré où il continue de se concentrer, puis la moitié du fût est reversée dans un autre plus petit (en principe du merisier), le fût originel étant complété d'un nouveau moût cuit et ainsi de suite durant une très longue période. Ce mode "d'élevage" se poursuit dans des fûts de plus en plus petits et dont l'essence de bois diffère : mûrier, châtaignier, genévrier, frêne...

    Mariage d’un sucre et d’une protéine 

    Prenez un verre d’eau et ajoutez-y une cuillerée de sucre. Touillez ce mélange avec votre doigt. Résultat : ça colle !

    Imaginez maintenant l’état du réseau artériel soumis à un mélange saturé de sucre pendant des années, et vous comprendrez l’ensemble des complications que peut engendrer un diabète trop longtemps déséquilibré.

    Ce principe de chimie s’appelle la glycation (caramélisation): le mariage d’un sucre et d’une protéine. Quand votre doigt colle avec l’eau sucrée, ce sont les protéines de votre peau qui se sont liées avec le sucre du mélange.

    Une glycation… et la fonction protéique se corrompt, ouvrant la porte à une cascade de dysfonctionnements dans votre métabolisme cellulaire.

    Trop de sucre circulant et trop longtemps, c’est l’altération fonctionnelle assurée. Les protéines visées en premier lieu seront celles de l’arbre vasculaire et notamment celles de la microcirculation des reins, des yeux et du cerveau.

    L’ail : le témoin qui dit non au mariage

    Lail peut contribuer à empêcher la glycation. Vous pouvez l’utiliser dans vos recettes ou encore utiliser un extrait d’ail désodorisé, si son goût vous dérange. Vous pouvez aussi manger une à deux gousses d’ail cru hachées par jour, en supprimant le germe pour améliorer la digestion.

    Oligo-éléments

    Surveillez aussi vos apports de l’oligo-élément chrome, essentiel pour prévenir l’intolérance au glucose. Les levures, le foie, le jaune d’œuf, le poivre, le thym ou encore les feuilles de myrtilles en sont de bonnes sources alimentaires. En cas de diabète débutant ou installé, la consommation, sous forme de complément alimentaire, de Gymnéma et chrome est absolument bénéfique. Vous pouvez prendre 1 capsule par jour, avec un demi-verre d'eau, au moment des repas. Cette dose peut être doublée si l’action n’est pas suffisante.

    Le zinc, que vous retrouvez dans l'extrait de Cannelle de Ceylan, est un composant de l’insuline, donc essentiel pour sa synthèse.

    Or, les carences en zinc ne sont pas rares. Votre médecin peut faire doser votre taux de zinc. S’il est inférieur à 10 µmol/litre, je vous conseille d'envisager de vous supplémenter.

    D’autant plus que le zinc a une action sur beaucoup d’enzymes impliquées dans le métabolisme du sucre. Vous constaterez que, si vous êtes diabétique, vos carences en zinc sont importantes.

    On trouve du zinc dans les fruits de mer, mais il sera souvent nécessaire de se supplémenter avec des compléments alimentaires. Un apport de 15 à 30 mg de zinc par jour permet de réguler les taux de sucre dans le sang à condition de surveiller son taux sanguin de zinc pour ne pas dépasser les normes.

    Antioxydants

    L’hyperglycémie est indirectement génératrice de radicaux libres. Par conséquent, votre organisme a un besoin renforcé en micronutriments antioxydants. Le thé vert, en supplémentation si vous n'aimez pas son goût, possède des propriétés très intéressantes car il est à la fois antioxydant et antiglycation.

    Pour pallier le manque probable en vitamines C, E, en sélénium, zinc et caroténoïdes, flavonoïdes, consommez des fruits et légumes : brocoli, citron, kiwi, luzerne, persil, huile de germe de blé, algues, aubergine, betterave rouge, ananas… La Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels. Elle contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.

    D'autres plantes et compléments alimentaires aident à réguler la glycémie

    • Le Gymnema sylvestris

    Le Gymnema sylvestris est utilisé par la médecine ayurvédique : il calme l’appétit et facilite la perte de poids, il anesthésie le goût du sucre et vous aide à vous libérer de la saveur sucrée. Après 18 mois de supplémentation avec 400 mg de gymnema, vous pourrez constater une amélioration du contrôle de la glycémie et la stimulation des cellules du pancréas productrices d’insuline.

    • La berbérine

    La berbérine, un alcaloïde tiré des baies de l’épine-vinette, améliore la sensibilité à l’insuline et facilite le transport du glucose dans les cellules. Son efficacité est comparable à la Metformine, le médicament allopathique du diabète, effets secondaires en moins. En bonus, elle agit aussi sur la régulation des lipides sanguins. Posologie : 500 mg 2 à 3 fois par jour avant les repas. Pas de stress, je vais vous donner de plus amples détails sur cette plante qui donne des résultats très surprenants !

    Alors concrètement, comment guérir du diabète ?

    Rappel du fonctionnement

    Au cours des repas ou des collations, vous apportez à votre organisme un afflux massif de nutriments en tous genres qui vont servir de carburant à l’ensemble de vos cellules. Sans ces nutriments, les cellules ne seraient pas capables de survivre bien longtemps : elles y puisent l’énergie qui leur permet d’assurer toutes leurs fonctions physiologiques. Mais pour cela, il est impératif que les apports en énergie soient constants : la moindre période de disette leur serait fatale !

    Une machine à laver fonctionne tant qu’elle est parcourue par un courant électrique en continu. Si vous débranchez le câble qui la relie à la prise électrique, vous la privez immédiatement d’énergie et la machine s’arrête. C’est un peu ce qui arriverait aux cellules si les apports énergétiques n’étaient pas continuels. A une différence près : lorsque vous rebranchez la machine, elle se remet en marche normalement tandis que la cellule, privée trop longtemps d’énergie, ne se relève jamais.

    L’organisme a donc imaginé un système de régulation qui lui permet d’apporter toujours la même quantité de carburant aux cellules via la circulation sanguine. C’est un système parfaitement rôdé qui va stabiliser la teneur en glucose dans le sang.

    Pourquoi en glucose ? Parce que c’est l’un des nutriments les plus énergétiques et que les enzymes digestives transforment de nombreuses grosses molécules en glucose.

    Quand les quantités de glucose dans le sang augmentent, par exemple après un repas, un groupe de cellules situées dans le pancréas (les cellules bêta-pancréatiques) libère une substance qui va ordonner son absorption dans les cellules musculaires et les cellules graisseuses et permettre ainsi de retrouver un taux de sucre sanguin normal.

    Cette substance, c’est l’insuline

    Quant au sucre, stocké sous forme de graisses ou de glycogène, il pourra être réintroduit plus tard dans le sang, en cas de besoin.

    Chez les personnes atteintes de diabète de type 2, ce système devient progressivement défaillant. Au départ, c’est vraisemblablement un problème d’alimentation. Des apports trop riches ou trop déséquilibrés entraînent régulièrement de fortes quantités de sucres dans le sang. L’organisme réagit, comme convenu, en libérant massivement de l’insuline, ce qui conduit au stockage des sucres excédentaires sous forme de graisses.

    Si ces mauvais choix alimentaires sont occasionnels, ils ne poseront aucun problème, mais s’ils deviennent récurrents, les surprises ne tarderont pas à arriver. Lentement mais sûrement, les cellules graisseuses enflent comme des ballons de baudruche, poussant l’aiguille de la balance toujours plus loin sur l’axe des kilogrammes. Au bout d’un moment, ces réserves inutiles commencent sérieusement à devenir gênantes, surtout au niveau de l’abdomen. Elles devraient normalement inciter les personnes à se reprendre en main au plus vite, mais si ce signal est ignoré, la pathogénèse du diabète se poursuit.

    A mesure qu’elles grossissent, les cellules graisseuses rechignent à faire entrer de nouvelles réserves énergétiques. On dit qu’elles deviennent petit à petit résistantes à l’insuline : la molécule n’arrive plus à se faire obéir aussi efficacement qu’avant. Conséquence inévitable, le sucre qui devrait normalement être stocké dans les cellules de réserve reste dans la circulation sanguine, ce qui conduit logiquement à une augmentation du taux de sucre sanguin.

    Situation d’hyperglycémie chronique

    C’est une situation dangereuse qui peut entraîner la dégradation progressive des nerfs, des vaisseaux sanguins, des yeux et des reins. D’ailleurs, elle est si dangereuse que l’organisme met rapidement en place une stratégie de défense : il fait libérer davantage d’insuline par les cellules béta-pancréatiques du pancréas. Puisque les cellules graisseuses n’obéissent plus aussi bien qu’avant à l’insuline, elles seront désormais confrontées à des quantités encore plus importantes de la même molécule.

    C’est une stratégie pertinente, mais elle doit être constamment réajustée pour compenser la résistance toujours plus forte des cellules graisseuses. Il arrive un moment où la résistance devient presque une insurrection. Pour parvenir à faire entrer du sucre dans les cellules et garder une glycémie acceptable, il faut libérer des quantités astronomiques d’insuline, ce qui demande aux cellules béta-pancréatiques un rythme de production effréné, impossible à tenir dans le temps.

    Au bout d’un certain temps, elles capitulent

    Les cellules bêta qui ont survécu aux doses élevées de glucose sanguin perdent progressivement leur capacité à sécréter de l’insuline. C’est un moment particulièrement dramatique car l’insuline est la seule hormone de l’organisme capable de réduire la glycémie. Sans elle, la glycémie devient très aléatoire et conduit à des troubles de la santé qui peuvent être très graves.

    C’est cette incapacité à produire des quantités normales d’insuline que vous pensiez irréversible. Or, les conclusions d'une étude récente sont formelles : à condition que le diabète ne soit pas installé depuis plus de 10 ans, les cellules béta-pancréatiques peuvent réapprendre à produire de l’insuline et redevenir « normales ». Pour cela, il faut que les facteurs qui ont conduit à la transformation des cellules béta-pancréatiques disparaissent. Autrement dit, il faut agir sur les trois grands mécanismes qui entrent en jeu dans le développement du diabète :

    • La mauvaise alimentation qui conduit à un excès de poids.

    • L’excès de poids qui conduit à une résistance des cellules à l’insuline.

    • La résistance des cellules à l’insuline qui conduit d’abord à une augmentation de la production d’insuline, puis une à diminution progressive liée à la perte de sécrétion des cellules béta-pancréatiques.

    3 plans d’action à mener pour y parvenir

    • Agir sur l’excès de poids, en particulier au niveau abdominal pour améliorer l’insulino-résistance.

    • Agir sur la glycémie pour ne pas que les cellules béta-pancréatiques s’épuisent à produire de l’insuline.

    • Agir sur les complications du diabète pour éviter l’apparition de nouveaux problèmes de santé.

    Pendant des années, les chercheurs ont tenté d’identifier un médicament capable d’agir sur les trois fronts en même temps. Ils ont cru y parvenir plusieurs fois mais chacune des substances mises sur le marché du médicament provoquaient des effets secondaires importants ou n’étaient pas adaptés à certaines personnes. Depuis peu, c’est un produit naturel qui est dans le viseur : la berbérine.

    C’est une substance extraite de l’épine-vinette, un arbuste pouvant atteindre 2 à 3 mètres de haut, qui est utilisé traditionnellement depuis des millénaires pour « purifier le sang » et traiter les affections inflammatoires. Une fois de plus, la communauté scientifique s’est donc tournée vers la médecine traditionnelle. Une fois de plus, avec raison.

    Des études récentes démontrent que la berbérine est un candidat de rêve au traitement du diabète. Elle présente des effets anti-hyperglycémiants et anti-hyperlipidémiques remarquables tout en influençant positivement le poids. La seule raison qui explique pourquoi elle n’est pas encore connue de tous c’est que son mécanisme d’action précis échappe toujours à la recherche.

    En fait, contrairement aux médicaments, il semble qu’elle puisse influer sur de nombreux mécanismes associés au contrôle de la glycémie, à la lipogenèse (le processus de réserve énergétique des cellules graisseuses) ou à la sensibilité à l’insuline.

    Un anti-hyperglycémique

    La berbérine agit sur le métabolisme du glucose en augmentant la sécrétion d’insuline (ce qui stimule l’entrée du glucose dans les cellules), en améliorant la sensibilité des cellules à l’insuline et en stimulant la glycolyse (utilisation du glucose). Elle interfère également dans le petit intestin avec la glycosidase, une enzyme chargé du transport du glucose à travers l’épithélium intestinal. Elle ralentit donc probablement l’absorption du glucose dans l’organisme.

    Un anti-adipogénique

    Ce n’est pas parce que la berbérine réduit la glycémie qu’elle augmente le volume des cellules graisseuses. Au contraire : elle diminue l’expression de plusieurs gènes (par la diminution de certains facteurs de transcription) directement liés au tissu graisseux et à l’adipogénèse.

    Un puissant antioxydant

    Des études récentes ont montré que la génération de radicaux libres, associée à l’insulinorésistance, provoquait des dommages et des suicides massifs des cellules béta-pancréatiques. Le stress oxydatif contribue d’ailleurs directement au développement des complications chroniques du diabète telles que les néphropathies, les rétinopathies ou les neuropathies. Or, la berbérine est reconnue également pour sa capacité à atténuer l’oxydation, notamment en régulant à la hausse plusieurs antioxydants endogènes comme la superoxyde dismutase (SOD) et la glutathione, principalement au niveau du foie. Son effet bénéfique sur le stress oxydatif a été observé chez l’homme, une baisse spectaculaire des marqueurs de l’oxydation après une supplémentation d’un mois en berbérine, a été constatée.

    Un excellent anti-inflammatoire

    Le rôle de l’inflammation dans la pathogénèse du diabète est très bien document. Nous savons que de nombreuses cytokines pro-inflammatoires participent au développement de la résistance à l’insuline. Et là encore, la berbérine semble intervenir en réduisant l’activité de ces cytokines.

    Constatations indéniables

    Dans certaines études, les effets anti-diabétiques de la berbérine ont même été supérieurs aux traitements médicamenteux habituels tout en provoquant moins d’effets secondaires. Ces travaux récents confirment que la biodisponibilité par voie orale de la berbérine est bien réelle, contrairement à ce que pensaient initialement certains chercheurs. Si la concentration sanguine de berbérine est faible après son administration orale, c’est parce qu’elle est rapidement distribuée vers les organes comme le foie ou le pancréas, où elle est métabolisée en plusieurs métabolites actifs.

    En fait, le succès populaire de la berbérine s’explique par son efficacité mesurable. Comme la glycémie est quelque chose qui se contrôle fréquemment chez les diabétiques, l’action de la berbérine est immédiatement vérifiable.

    Personne ne peut dire que « c’est dans la tête », comme je l'entends souvent, de la bouche même de certains médecins, au sujet de la fibromyalgie. C’est quelque chose de strictement « objectif »: quelque chose qui apparait noir sur blanc sur les bulletins d’analyse.

    5 astuces naturelles pour combattre et renverser le diabète

    La nécessité de perdre du poids pour se débarrasser définitivement du diabète, est primordiale. Comment réussir à perdre plus de 10 kg de façon saine et durable tout en réduisant progressivement sa glycémie, sans bénéficier d’un tel encadrement ? En s’entourant de professionnels de santé naturopathe, en s’appuyant sur des aides naturelles et en respectant des consignes simples.

    1) (Re)mettez-vous à la cuisine

    C’est le conseil le plus important pour parvenir à perdre du poids abdominal : cessez de consommer ces aliments hyper-transformés qui contiennent ce qu’il y a de pire pour votre diabète : du sel, des acides gras saturés, des sucres cachés (du fructose notamment), des sources de radicaux libres… Cuisinez tous vos plats avec des produits bruts, en faisant la part belle aux légumes, et vous aurez déjà franchi un pas énorme vers votre objectif.

    2) Appuyez-vous sur la berbérine

    Les effets de la berbérine sur la glycémie et sur les processus de la lipogenèse sont suffisamment impressionnants pour l’intégrer à un programme de plusieurs mois (500 à 1000 mg par jour). C’est une aide précieuse à court terme (les épisodes d’hyperglycémie sont dangereux) comme à long terme (elle contribue à réduire la résistance à l’insuline).

    3) Misez sur les aliments à faible index glycémique

    Il est reconnu aujourd’hui que la prise en compte de l’index glycémique (IG) des aliments apporte des bénéfices chez les personnes diabétiques. Une alimentation à faible index glycémique permet d’avoir une glycémie moins élevée, un meilleur taux de lipides sanguin et un meilleur contrôle du poids.

    4) Réconciliez-vous avec les fibres alimentaires

    Les fibres solubles, que nous consommons de moins en moins, sont incontournables pour quiconque souhaite renverser le diabète. Elles permettent de retarder l’absorption du glucose et contribue à la fois à réduire les excès de poids et à diminuer la glycémie. Je recommande aux personnes diabétiques de consommer entre 25 et 50 g de fibres par jour, par le biais des fruits et légumes (navets, asperges, brocolis, choux, haricots, oignons, artichaut, orange, pêche, poire, pomme…) soit par le biais des suppléments en fibres (le psyllium à consommer avec un verre d’eau au moment des repas est redoutable : il diminue les taux de glucose et d’insuline de 10 à 20 %).

    5) Faites confiance aux antioxydants

    Les antioxydants qu’on trouve dans tous les fruits et légumes (et surtout les plus colorés) ne déçoivent jamais. Ils sont indispensables pour combattre de nombreuses pathologies et le diabète ne déroge pas à la règle : le stress oxydatif qui se manifeste au cours de cette pathologie entraîne des complications bien connues comme l’athérosclérose, l’insuffisance rénale ou encore la rétinopathie.

  • Compléments alimentaires: DDM

    • Par vogot
    • Le 24/09/2018

    Petite mise au point, au sujet de la DDM (anciennement DLUO), des compléments alimentaires.

    Qu'est-ce que la DDM ?

    La date indiquée sur les compléments alimentaires correspond à la Date de Durabilité Minimale (DDM), anciennement appelée Date Limite d’Utilisation Optimale (DLUO).

    Il ne s’agit pas d’une date de péremption (DLC), limite au-delà de laquelle le produit ne doit plus être consommé, mais d’une date à partir de laquelle les qualités gustatives et/ou nutritionnelles peuvent être modifiées. 

    La date de durabilité minimale est une date indicative

    Une fois la date passée, les produits restent consommables mais peuvent avoir perdu une partie de leurs qualités spécifiques, sans pour autant constituer un danger pour la personne qui les consommerait.

    Le cadre réglementaire des compléments alimentaires s’est largement étoffé depuis quelques années, permettant de réguler les différents acteurs du marché.

    Compléments alimentaires

    Les compléments alimentaires, sont des produits qui s’inscrivent dans une démarche micronutritionnelle. Comme l’indique la Directive Européenne 2002/46/CE, les compléments alimentaires "sont des denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d'autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique […]".

    Ils se composent de différents actifs : vitamines, minéraux, oligo-éléments, ferments lactiques, acides gras essentiels et/ou extraits de plantes.

    Vente de produits avec DDM dépassée

    Un produit peut être proposé à la vente avec une DDM dépassée. Cela ne constitue pas une infraction.

    La DDM informe le client sur la période de temps pendant laquelle un aliment conserve toutes ses propriétés spécifiques (teneur en nutriments, vitamines, salubrité, …). Tout comme le faisait la DLUO.

    Cette période de temps varie en fonction du type d’aliment, du traitement de conservation qu’il a subi et des conditions de conservation dans lesquelles il est conservé.

    Ce délai est beaucoup plus court pour les aliments fragiles (extraits de plantes, gemmothérapie); il sera beaucoup plus long pour certains compléments alimentaires (poudres, gélules).

    Les aliments ayant une DDM avec la mention obligatoire de « à consommer de préférence avant le » seront accompagnés :

    • « du jour et du mois » pour les aliments dont la durabilité est inférieure à 3 mois (« A consommer de préférence avant le 18-02»),

    • « du mois et de l’année » pour les aliments d’une durabilité supérieure à 3 mois mais n’excédant pas 18 mois (« A consommer de préférence avant fin mai 2002 »),

    • « de l’année » pour les produits ayant une durabilité supérieure à 18 mois (« A consommer de préférence avant fin 2003»).

    L’objectif de modifier la DLUO par la DDM est de réduire le gaspillage alimentaire. En effet, de très nombreux clients/patients confondent la DLC avec la DLUO.

  • Stress oxydatif et radicaux libres

    • Par vogot
    • Le 23/09/2018

    Définition

    Le stress oxydatif ou stress oxydant correspond à une agression des cellules par des radicaux libres, aussi appelés "espèces réactives de l'oxygène" (ERO).

    Ne confondez pas stress oxydatif, qui s'observe au niveau cellulaire, et stress psychologique, au niveau de l'organisme.

    Radicaux libres et antioxydants

    Les radicaux libres sont produits en permanence par l'organisme, à partir d'oxygène dans la cellule, notamment au niveau de la mitochondrie, dans la chaîne respiratoire.

    Le mot mitochondrie dérive du grec mitos, « filament », et chondros, « graine » en raison de l'aspect de cet organite.

    La mitochondrie naquit lorsque deux bactéries, archéobactérie anaérobie (hôte) d'une part et protobactérie aérobie (symbionte) d'autre part, fusionnèrent (il y a quelques milliards d'années) pour donner un eucaryote primitif duquel tous les eucaryotes actuels dériveraient.

    Les ERO sont des substances réactives et très toxiques. Le stress oxydatif est causé par un déséquilibre entre les radicaux libres pro-oxydants et les antioxydants.

    Stress oxydatif et vieillissement

    Lorsque les ERO s'accumulent dans la cellule, ils peuvent être neutralisés par des molécules antioxydantes, comme les vitamines E et C, ou des enzymes, comme la superoxyde dismutase. La production élevée de radicaux libres peut être liée à l'inflammation, au tabagisme, à une alimentation trop riche en graisses, à l'alcool...

    La superoxyde dismutase (SOD) est une enzyme produite par les cellules des organismes vivants, animaux et végétaux. Sa fonction est de piéger les radicaux libres produits par le métabolisme. La superoxyde dismutase est un antioxydant puissant. Il en existe quatre formes selon le métal contenu dans sa molécule : fer, manganèse, cuivre ou zinc.

    L'accumulation des agressions par les radicaux libres favorise le vieillissement.

    Pour lutter contre les radicaux libres et le stress oxydatif qui menacent l'organisme, il faut faire le plein d'antioxydants ! Vous avez peut-être déjà entendu cette affirmation, mais que signifie-elle exactement ?

    Comment protéger votre corps sans vous tromper

    Lors de son fonctionnement habituel, notre organisme produit des substances assez agressives pour les cellules (des dérivés de l'oxygène notamment). Ces substances sont baptisées radicaux libres, car d'un point de vue chimique, elles ont une partie contenant un électron "libre", capable d'aller réagir avec d'autres molécules.

    Si ces substances toxiques sont produites en permanence, notre corps fabrique en contrepartie des composés capables de les "détoxifier", de réparer les dégâts et de protéger les cellules.

    De plus, on trouve dans l'alimentation des antioxydants, baptisés ainsi car ils luttent contre les composés qui "oxydent", donc les radicaux libres. Un équilibre naturel se créée, et le corps fonctionne normalement, les cellules restent protégées.

    Les radicaux libres attaquent

    Le problème, c'est quand un déséquilibre se crée, avec une formation en excès de radicaux libres. On parle alors de "stress" oxydatif.

    De nombreux facteurs vont favoriser cette atteinte. Il s'agit notamment de certaines maladies : les troubles cardiovasculaires, le cancer ou certaines maladies chroniques qui entraînent des problèmes inflammatoires.

    Le stress, au sens "psychologique", peut aussi favoriser les déséquilibres.

    Des causes extérieures sont également en cause : pollution, tabagisme… Et bien sûr, le déséquilibre peut aussi exister à cause d'un manque d'apports en antioxydants dans l'alimentation.

    Les radicaux libres peuvent alors faire de nombreux dégâts : ils vont notamment favoriser l'apparition de mauvaises graisses dangereuses pour les vaisseaux, augmenter le vieillissement cellulaire ou s'attaquer à l'ADN, augmentant les risque de cancer.

    Quels sont les principaux radicaux libres ?

    • Le radical hydroxyl : quand ils ne sont pas arrêtés par la couche d’ozone, les rayons gamma du rayonnement solaire cassent les molécules d’eau contenues dans le corps, pour donner le redoutable radical hydroxyl. Qui peut aussi apparaître lors de l’exposition aux rayons X et aux radiations nucléaires.

    • Le radical superoxyde : 5% de l’oxygène que nous absorbons pour brûler les aliments, s’échappe sous la forme du radical superoxyde. Les globules blancs du système immunitaire utilisent également ce radical pour éliminer bactéries et virus. Au total, nous en fabriquons pas loin de 2 kg. tous les ans !

    • Le radical peroxynitrite: il est produit par les globules blancs, lors de leur rencontre avec le radical superoxyde.

    • Le monoxyde d’azote: il est généré par les parois des vaisseaux sanguins et par certaines cellules cérébrales.

    • Le peroxyde d’hydrogène(H202) : le superoxyde est décomposé en peroxyde d’hydrogène, qui n’est pas un radical libre, mais qui, en présence de fer, peut créer un radical hydroxyle.

    • L’oxygène singulet : cette forme activée de l’oxygène est produite par les rayons ultraviolets. Elle peut s’attaquer à l’ensemble des constituants de la cellule. Elle est à l’origine des rides, mais aussi des cancers de la peau.

     Quelles sont nos défenses naturelles ?

    Pour freiner la libération dans les cellules de ces agents destructeurs, notre corps dispose des antioxydants :

    • Primaires : ils sont fabriqués par notre organisme, comme par exemple : le gluthation, l’acide alpha-lipoïque, l’acide urique, le coenzyme Q10, la mélatonine, la DHEA;  les enzymes que sont la catalase, la glutathion réductase, la superoxyde dismutase, etc..

    • Secondaires : ils sont présents dans notre assiette. Ce sont :

    – certaines vitamines (C,E, complexe des vitamines B etc)
    – des oligo-éléments (Zn, Cu,Se,Fe)
    – des composés des fruits et des légumes (caroténoïdes, polyphénols, isothiocyanates)
    – des composés des épices et des aromates (les terpènes).

    Le plein d'antioxydants

    Pour prévenir tout stress oxydatif, il est donc essentiel de limiter les facteurs qui le favorisent, notamment le tabagisme. Mais il faut aussi être sûr de faire le plein en antioxydants. On peut distinguer plusieurs familles :

    Les vitamines

    Les vitamines antioxydantes sont notamment les vitamines A, C et E et les précurseurs de la vitamine A (betacarotènes notamment), avec la Formule Vitaminéro.

    Les oligo-éléments

    Sélénium, Zinc, Cuivre… Ils sont incontournables pour luter contre les radicaux libres, contenus également dans la Formule Vitaminéro.

    Les polyphénols

    Ces composés sont présents naturellement dans de nombreux fruits et légumes. Ils sont notamment responsables du pouvoir antioxydant du vin ou du thé. Grâce à sa formule unique en antioxydants végétaux, REDOX est un puissant anti-âge, qui redonne bien-être et vitalité.

    DHEA Naturelle

    La prise de DHEA naturelle diminue le risque de cancer du sein et de la prostate, ralentit le vieillissement cutané, augmente la masse du calcium dans les os, diminue le risque de diabète et la résistance à l’insuline, diminue la masse graisseuse abdominale, diminue l’hypertension artérielle pulmonaire, améliore la sensation de bien-être. De plus, le risque de décès chez les fumeurs ayant un taux élevé de DHEA est sept fois plus bas par rapport aux fumeurs qui ont un taux faible de DHEA.

    Autres Supplémentations

    La prise de mélatonine, de co-enzyme Q10, de pregnénolone, et des éventuels manques, révélés par une analyse de sang, est également nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme.

    La curcumine, contenue dans le curcuma, est un puissant antioxydant qui prévient la maladie d’Alzheimer, et traite les douleurs rhumatismales.

    Sarcopénie et somatropine

    • Sarcopenie : mécanismes et prévention

    Le vieillissement est caractérisé par une diminution de la masse et la force musculaire entraînant une détérioration des performances physiques, appelée sarcopénie. L'atrophie musculaire peut être expliquée par un turnover protéique négatif, une détérioration des dynamiques mitochondriales, une diminution de la capacité de régénération du muscle ainsi que par l'apoptose des noyaux musculaires.

    La diminution de la sécrétion d'hormones anabolisantes et un stress oxydant (OS) chronique conduisant à des dommages oxydatifs excessifs, sont impliqués dans ces modifications.

    • Rôle de l'exercice et de l'hormone de croissance : implication du stress oxydant

    Un traitement à l'hormone de croissance, somatropine naturelle, prévient la sarcopénie via un effet antioxydant et myogénique.

    Avec une bonne hygiène de vie, une supplémentation parfaite et de bonnes habitudes alimentaires, vous protégez votre organisme de l'intérieur et préservez ainsi votre capital santé.

  • Somatropine et perte de poids

    • Par vogot
    • Le 17/09/2018

    La somatropine, aussi connue sous le nom de HGH, est une hormone métabolique puissante jouant un rôle important dans le métabolisme des lipides, des glucides et des protéines.

    Somatropine naturelle bio 1

    Métabolisme: définition

    Le métabolisme est l'ensemble des réactions chimiques qui se déroulent au sein d'un être vivant, lui permettant notamment de se maintenir en vie, de se reproduire, de se développer et de répondre aux stimuli de son environnement. Certaines de ces réactions chimiques se déroulent en dehors des cellules de l'organisme, comme la digestion ou le transport de substances entre cellules. Cependant, la plupart de ces réactions a lieu dans les cellules elles-mêmes et constitue le métabolisme intermédiaire.

    Différents métabolismes

    Métabolisme lipidique

    La somatropine est un inducteur des récepteurs hépatiques du LDL (Low-Density Lipoprotein) cholestérol, et modifie le profil des lipides et des lipoprotéines sériques.

    Métabolisme glucidique

    La somatropine augmente le taux d'insuline mais la glycémie à jeun est généralement inchangée.

    Métabolisme hydroélectrolytique

    Le déficit en hormone de croissance s'accompagne d'une diminution des volumes plasmatique et extracellulaire, qui augmentent rapidement avec un traitement par la somatropine.

    Métabolisme osseux

    La somatropine stimule le renouvellement osseux. Le contenu minéral osseux et la densité osseuse au niveau des sites de charge corporelle augmentent après une administration à long terme de somatropine à des patients ayant un déficit en hormone de croissance et ayant une ostéopénie (baisse de la densité de l'os). Il s'agit d'un état physiologique, précurseur de l'ostéoporose.

    En ce qui concerne la capacité physique : la force musculaire et la capacité à l'exercice physique sont améliorées après un traitement à long terme avec la somatropine. La somatropine augmente aussi le débit cardiaque. Une diminution de la résistance périphérique vasculaire peut contribuer à cet effet.

    Les signes de manque de somatropine

    Lorsque l’hypophyse ne sécrète plus autant d’hormones de croissance qu’il le devrait, plusieurs changements physiques et psychologiques se font ressentir. Pour commencer, vos cheveux deviennent fins et cassants, ils repoussent moins vite. Votre peau se déshydrate plus facilement et du gras apparaît au niveau du ventre, des genoux et des hanches. La fatigue se fait sentir plus souvent, l’humeur joue aux montagnes russes et l’endurance diminue.

    Si vous ressentez tous ces modifications, alors surement, vous manquez de somatropine. Il est donc temps de se prendre en main et de stimuler sa production grâce à des conseils très simples à suivre, qui auront de nombreux bienfaits sur votre organisme.

    Acides gras essentiels

    Les oméga-3 EPA+ boostent la production d’hormone de croissance et aide notamment à la croissance musculaire. Les acides gras aident à produire des prostaglandines, molécules qui luttent contre l’inflammation musculaire. En mettant à votre "menu" ce type de supplément, vous allez assurer à votre corps la force nécessaire pour se régénérer et lutter plus facilement contre les signes du temps. Après un effort, vous pourrez récupérer plus rapidement.

    Exemples d'aliments contenant des oméga-3

    La somatropine permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ces avantages amincissants et pour ses vertus contre le vieillissement.

    Le sport et les aliments sains et équilibrés sont fortement recommandés. Ce n’est pas uniquement pour maigrir mais aussi pour maintenir un poids stable et une bonne santé au quotidien. Parfois, la prise de solutions plus radicales sont nécessaires pour des résultats rapides et convaincants en un rien de temps. Ici la somatropine naturelle assure pour perdre du poids rapidement.

    Rôle essentiel

    La somatropine naturelle joue un rôle crucial dans la perte de poids. En effet, cette hormone de croissance synthétique aide à améliorer nettement le métabolisme des lipides, des protéines et d'autres éléments minéraux de l’organisme.

    On pourrait croire qu’elle ferait grossir, mais bien au contraire, elle agit sur les cellules grasses en les éliminant rapidement. Pour les pratiquants de sports fatigants, la somatropine est parfois une incroyable source d’énergie, de nombreux athlètes l’utilisent pour cette raison.

    C’est d’ailleurs l’un des faits qui garantissent l’efficacité de cette hormone durant une recherche de perte de poids.

    • Stimule la production et le dégagement de la somatropine (hormone de croissance)

    • Améliore la performance sportive et la masse musculaire,

    • Combat la fatigue,

    • Stimule le dégagement de l'hormone du développement,

    • Régule l'activité hormonale.

    La somatropine naturelle peut également, contenir de la levure de bière sèche inactive, riche en vitamines B qui participe à la réduction de la fatigue (morale et physique), et à la régulation de l'activité hormonale grâce à son apport en vitamine B6.

    Elle peut comporter également de l'extrait sec de graines de fenugrec (Trigonella foenum-graecum L.) titré en saponines stéroïdiennes, des molécules qui contribuent à augmenter les niveaux de testostérone, complétant ainsi l'effet stimulant et régulateur de la somatropine.

    En plus de développer le physique, elle augmente la libido, agit sur la repousse des cheveux et donne une certaine élasticité à la peau. Ses bienfaits passent aussi par une meilleure résistance à l’effort, un sommeil de plus grande qualité, une diminution de la pression artérielle et une activité cérébrale accrue. Elle aide également à lutter contre le stress et l’anxiété.

  • Quercétine et incontinences urinaires

    • Par vogot
    • Le 17/09/2018

    En France, trois millions de femmes souffrent d'incontinences urinaires.

    L'homme est moins touché par l'incontinence que la femme. Cela est du au fait que le système de continence passif de continence est plus développé chez l’homme que chez la femme. Le système de continence passif repose sur la longueur de l’urètre plus long que chez la femme et sur la présence autour de la portion initiale de l’urètre de la glande prostatique qui quand elle augmente de volume devient source d’obstruction à l’écoulement des urines et de ce fait représente un mécanisme contre une éventuelle incontinence urinaire. De plus le sphincter strié de l’homme est plus puissant que celui de la femme.

    Dans la majorité des cas l'incontinence masculine est une incontinence par regorgement due à une hypertrophie de la prostate. Les cas d'incontinence liés à une insuffisance sphinctérienne sont peu fréquents et souvent dus à une intervention chirurgicale sur les voies urinaires ou la prostate.

    La prostate est un organe en forme de châtaigne situé immédiatement sous la vessie, en arrière de la symphyse pubienne et en avant du rectum. Elle entoure sur 3 à 4 cm l’urètre, canal par lequel les urines sont évacuées de la vessie. Sa partie supérieure (appelée base) est contre la vessie et sa partie inférieure (appelée apex) est en bas en contact avec le sphincter strié. Elle est étroitement intriquée avec les deux sphincters qui assurent une bonne continence urinaire. Le sphincter lisse se situe au niveau du col vésical (donc côté vessie) et le sphincter strié (seul accessible à la commande volontaire) se situe en aval, sur l’urètre, juste sous la partie inférieure de la prostate. L’essentiel de la prostate, constituée de glandes, est entourée par une capsule fibro-élastique appelée coque prostatique.

    Pour traiter cette pathologie handicapante et toujours taboue, de nombreux dispositifs médicaux voient le jour. Je vous mets toutefois en garde : à défaut de recul scientifique, mieux vaut rester vigilants.

    Des envies d'uriner trop fréquentes peuvent vous gâcher la vie et vous mettre dans des situations embarrassantes.

    Si vous avez du mal à vous retenir, alors vous souffrez probablement d'incontinence urinaire.

    Heureusement pour vous, ce n'est pas une fatalité et au lieu de vous parler de traitements médicamenteux, j'ai voulu vous proposer quelques remèdes naturels pour vous aider.

    Analysons tout d'abord les raisons

    Normalement, nous allons uriner 5 à 7 fois par jour, et après 50 ans, une fois par nuit. Si c’est plus, c’est trop !

    Contrairement à ce que l’on a voulu vous faire croire, une envie trop fréquente d’uriner n'est pas due à une vessie trop petite, mais trop sensible. La vessie envoie au cerveau un signal indiquant qu’il est temps d’aller uriner quand elle est pleine. Quand elle est hypersensible (on dit aussi hyperactive), elle envoie ce signal au cerveau même si elle est partiellement vide.

    Quand le cerveau reçoit ce signal, il peut bloquer la contraction de la vessie (qui entraîne le fait d’uriner) pour attendre le moment opportun (la fin de la réunion avec votre patron, la sortie de la personne devant vous qui occupe les toilettes au restaurant, le retour à la maison quand vous revenez des courses…). Si le cerveau n’a pas le temps de contrôler la vessie, c’est la fuite !

    Affaiblissement des muscles du plancher pelvien et du sphincter urinaire

    Cet affaiblissement peut se produire en raison ou conséquence:

    • du traumatisme de l’accouchement par voie vaginale,

    • des maladies qui affectent le cerveau et le système nerveux comme la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le diabète de type 2, un accident vasculaire cérébral,

    • des malformations congénitales,

    • des blessures dues à un accident qui causent très souvent une fracture des os pelviens,

    • des effets liés à la prise de médicaments,

    • d’une chirurgie comme l’ablation chirurgicale de la prostate.

    Ménopause et vieillissement

    L’incontinence peut être causée par les changements associés à la ménopause chez les femmes et les changements qui accompagnent le processus naturel du vieillissement de la vessie, de l’urètre, des muscles du plancher pelvien et des sphincters qui peuvent entraver le processus normal de miction.

    Par exemple, l’hypertrophie normale de la prostate chez l’homme qui vieillit ou le prolapsus du vagin ou de l’utérus qui est fréquent chez les femmes âgées peut provoquer un blocage ou la descente anormale de l’urètre.

    La diminution progressive d’œstrogènes après la ménopause et le vieillissement chez la femme PEUVENT affaiblir les muscles du plancher pelvien et des sphincters. Il est important de souligner que l’incontinence au cours de la vieillesse n’est PAS normale et devrait être traitée par un professionnel de la santé.

    L’hérédité

    L’incontinence tend à être héréditaire et il y a une composante génétique qui joue un rôle dans la faiblesse des muscles du plancher pelvien.

    Réalisez un calendrier… mictionnel

    Pendant 24 heures, de 8 h du matin à 8 h le lendemain matin. Notez sur un carnet l’heure et le volume approximatif, ainsi que celle de votre lever et de votre coucher. Indiquez aussi les épisodes d’envies pressantes et celles d’éventuelles fuites.

    Ce calendrier vous aide à plusieurs niveaux. D’abord, il vous permet de voir quelle quantité vous urinez exactement en 24 heures. Si c’est plus de 2 litres, cela signifie que vous buvez trop. Sachez que votre corps s’habitue : plus vous buvez, moins il retient l’eau et plus vous avez soif. Diminuez progressivement les quantités, en vous contentant d’un demi-verre au lieu d’un verre par exemple. Le calendrier mictionnel vous aidera aussi à suivre vos progrès, si vous le réalisez chaque mois.

    Reprenez le contrôle de votre vessie

    Si vous urinez à toute vitesse, sans vous asseoir et sans vider complètement votre vessie (souvent pour des questions de propreté des toilettes), cela peut aussi expliquer vos envies fréquentes. Prenez le temps de vous asseoir (quitte à utiliser un protège-cuvette de toilettes jetable, ou à mettre du papier hygiénique autour de la cuvette) et de vider totalement votre vessie.

    Imposez-vous aussi un délai entre deux passages aux toilettes et élargissez-le progressivement. Votre calendrier mictionnel vous a indiqué que vous urinez toutes les deux heures ? Obligez-vous à garder ce délai (quitte à mettre une alarme sur votre téléphone), même si vous n’avez pas envie ou que vous urinez seulement quelques gouttes.

    Et si vous avez envie avant, tentez de laisser passer cette envie : pensez à autre chose (comptez à l’envers à partir de 100, faites vos comptes…), prenez 5 respirations profondes. Si ça ne suffit pas, allez aux toilettes, mais d’un pas calme.

    Quand vous arriverez à respecter l’intervalle prévu, après quelques semaines d’exercices, élargissez-le progressivement, de 15 à 30 minutes par semaine, jusqu’à ce que vous puissiez attendre 3 à 4 heures entre deux passages aux toilettes.

    Travaillez votre périnée

    Pour développer la force de vos muscles pelviens, serrez l’anus comme si vous reteniez un gaz. Faites des séries de 5 contractions rapides, laissez passer 10 secondes et recommencez, pendant 5 minutes. Répétez ces exercices deux fois par jour.

    Autre exercice

    Le sphincter de la vessie présente un dysfonctionnement, ce problème peut être traité de manière naturelle. À la fin d’une douche à l’eau chaude, rincez à l’eau tiède vos pieds et votre bas-ventre pendant 1-2 minutes. Ce procédé renforce et entraîne le sphincter de la vessie.

    Alimentation et transit

    Il est essentiel d’équilibrer votre assiette. Pour y parvenir, il suffit d’adopter une alimentation plus riche en aliments alcalinisants. Assurez-vous ainsi de consommer suffisamment de légumes à feuilles ainsi que des fruits et des légumes très colorés, car ils sont à la base d’une saine alimentation alcaline. Chacun de ces aliments est gorgé d’éléments nutritifs extraordinaires tels que du magnésium, du potassium, du calcium ainsi que d’autres minéraux contribuant à maintenir un pH équilibré dans votre métabolisme. Qui voudrait s’en passer ? Si vous souffrez d’incontinence, vous devez surveiller encore plus étroitement votre alimentation et la façon dont les aliments affectent votre état. Mais cela ne doit toutefois pas devenir une tâche lourde et fastidieuse. Tenez-vous en aux conseils prodigués dans le présent article et vous serez à même de constater qu’une diète riche en aliments alcalins améliore non seulement la santé de votre vessie, mais également votre état de santé en général.

    Aliments à teneur alcaline élevée

    Les aliments à teneur alcaline élevée aideront votre métabolisme à retrouver son équilibre acido-basique. Vous l’aiderez en vous assurant d’ajouter fruits, légumes et épices à votre liste d’épicerie.

    Légumes :

    Betterave, brocoli, choux fleur, céleri, concombre, choux frisé, laitue, oignon, pois, piment de Cayenne, épinard, avocat

    Fruits :

    Pomme, banane, baies, cantaloup, raisin, melon, citron, poire, melon d’eau

    Protéines :

    Amandes, châtaignes/marrons, tofu

    Épices :

    Cannelle, cury, gingembre, moutarde, sel marin

    Le surpoids et le tabagisme ne facilitent pas la bonne tenue de votre vessie, donc mieux vaut essayer de perdre quelques kilos (avec l’aide d’un naturopathe, sans régime drastique, mais avec un rééquilibrage alimentaire) et d’arrêter de fumer, si possible.

    A éviter

    • Le chocolat car le cacao va exciter votre vessie.

    • Tout ce qui est agrumes et tomates qui irritent la vessie.

    Dites adieu aux grains et aux sucres raffinés

    Malheureusement, certains aliments les plus courants, comme la farine et le sucre, sont réputés pour leur effet acidifiant dans l’organisme. Faites alors de votre mieux afin de réduire ou de limiter votre consommation de pain blanc, de pâtes, de céréales raffinées, de produits alimentaires déjà cuits et de sucreries. Éviter ces aliments deviendra vite une habitude.

    Moins de viande, moins de produits laitiers

    Remplacez votre repas de viande acidifiante par un repas d’aliments riches en protéines comme le quinoa ou le tofu. Du même coup, mettez de côté les produits laitiers et consommez des substituts comme le lait de soya et le fromage de chèvre.

    Perdre du poids

    L'obésité réduit l'élasticité des sphincters de la vessie ce qui peut entraîner une incontinence. Une perte de poids aide à minimiser cela.

    Evitez autant que possible le café, le thé, l’alcool et les sodas ou du moins, réduisez leur consommation. En effet, la caféine et la théine sont diurétiques, et augmentent donc le volume des urines ainsi que les contractions de la vessie. De même, les sulfites du vin blanc et du champagne, ainsi que la caféine ou les édulcorants des sodas augmentent aussi ces contractions.

    Enfin, constipation et vessie hyperactive étant liées, si vous souffrez de ce trouble du transit, ajoutez des fibres dans votre alimentation grâce au psyllium (Ispaghul) avec un grand verre d’eau froide (pas glacée) le matin à jeun.

    La vitamine C

    Les compléments en vitamine C sont recommandés pour leur efficacité à combattre le stress oxydatif qui peut irriter les nerfs qui entourent la vessie, entraînant une incontinence.

    Homéopathie

    Bon nombre de produits homéopathiques peuvent soulager vos symptômes liés à l'incontinence. Si vous avez un sommeil agité et des envies d'uriner la nuit, songez à la Belladonna 9 CH. Si l'odeur de votre urine est très forte, le Benzoïcum 9 CH aidera à l'atténuer.

    Votre vessie est paralysée par une atonie ? Prenez du Causticum 15 ou 30 CH qui aidera au retour à la normale. Si vous sentez des brûlures au niveau de la vessie, prenez du Staphysagria 15 CH.

    Infusions

    • L'aigremoine est une tisane astringente qui est également utile contre les pertes blanches.

    • La bourse à pasteur est utile pour les règles abondantes et l'hémoptysie.

    • Les noix de cyprès sont astringentes et toniques.

    • Enfin le thuya est un sédatif urinaire qui est utile contre la cystite.

    Toutes ces tisanes purifieront votre système urinaire et vous aideront à gérer vos incontinences.

    Infections respiratoires

    Les infections respiratoires telles que la bronchite, la grippe ou le rhume augmentent le risque d’être touché par l’incontinence en raison qu’une toux persistante et un effort excessif durant les selles augmentent la pression abdominale.

    Infections des voies urinaires

    Les infections des voies urinaires sont une cause fréquente d’incontinence. L’infection de la vessie (la cystite) augmente la sensibilité du muscle de la vessie et sa susceptibilité de se contracter de façon inopportune, ce qui peut causer l’incontinence.

    La quercétine

    Il s'agit d'un anti-inflammatoire naturel souvent utilisé par les naturopathes.

    Définition

    La quercétine ou quercétol est la plus active des flavonoïdes et de nombreuses plantes médicinales doivent leur efficacité à leur fort taux en quercétol. C'est un excellent anti-oxydant.

    Description

    La quercétine fait partie des flavonoïdes. Ce sont des pigments - il en existe plus de 4 000! - qui donnent leurs couleurs aux fleurs, aux fruits et aux légumes. Ces composés naturellement présents dans les végétaux ont de nombreux effets sur l’organisme, le principal étant de renforcer la paroi des capillaires (les plus petits vaisseaux sanguins) et de réduire leur perméabilité.

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    La quercétine ainsi que la rutine sont reconnues pour être parmi les plus actifs des flavonoïdes. C'est à la quercétine que plusieurs plantes médicinales, dont le ginkgo biloba et le millepertuis, doivent une partie de leurs effets thérapeutiques. Souvent associée à la vitamine C dans les suppléments, elle en améliore l’absorption par l’organisme et en retarde l’élimination.

    La quercétine est extraite de diverses sources végétales, notamment de la pelure d’oignon ainsi que du sophora du japon, arbre dont les fleurs contiennent la forme la plus efficace. Puissant capteur de radicaux libres, son action antioxydante est 1000 fois supérieure à celle de la vitamine E.

    Un peu d'histoire

    En 1937, Albert Szent-Gyorgyi recevait un prix Nobel pour avoir découvert la vitamine C et les flavonoïdes, ainsi que pour avoir exploré leurs propriétés biochimiques. À l'origine, il donna aux flavonoïdes le nom de « vitamine P » en raison de leur efficacité à réduire la perméabilité des vaisseaux sanguins. Cette dénomination a été abandonnée lorsqu'on s’est rendu compte que ces substances n’étaient pas vraiment des vitamines.

    A l'état naturel

    La quercétine n'est pas considérée comme un nutriment essentiel. On n'a donc pas établi d'apport nutritionnel recommandé pour cette substance. On estime cependant que la majorité des gens en consomme chaque jour de 25 mg à 50 mg. Comme les dosages nécessaires pour obtenir des effets thérapeutiques sont nettement plus élevés, je vous conseille d'avoir recours à une supplémentation.

    Les câpres et la livèche sont les plus grandes sources de quercétine : elles en fournissent jusqu’à 180 mg par 100 g (environ 2/3 de tasse).

    Vient ensuite l’oignon rouge avec 20 mg par 100 g.

    Une pomme en fournit autour de 4 mg/100 g, mais l'épluchage diminue sa teneur à 1,5 mg/100 g.

    D'autres aliments d’usage courant contiennent de bonnes quantités de quercétine :

    • le raisin,

    • l'ail,

    • le vin rouge (avec modération),

    • les petits fruits (bleuet, myrtille, cassis, mûre, canneberge, groseille, etc.),

    • les cerises,

    • le brocoli,

    • les agrumes (malheureusement, ils excitent la vessie),

    • la laitue,

    • le thé.

    Aide aussi à soutenir les terrains

    Allergiques

    La quercétine stabilise les membranes des cellules responsables de la libération d’histamine : les mastocytes. En diminuant ainsi la production d’histamine, elle agit directement à la source des réactions allergiques et des symptômes qui lui sont liés. La quercétine est donc tout particulièrement conseillée dans le cadre des affections allergiques qu’elles soient digestives ou respiratoires comme l’asthme, le rhume des foins mais aussi l’eczéma et l’urticaire en complément de la prise de vitamine C et de Zinc. Comme la quercétine est avant tout un bon agent préventif, elle sera à utiliser une semaine ou deux avant la saison des pollens et poursuivre jusqu’à la fin de la saison.

    Eczémateux

    La quercétine peut empêcher le système immunitaire de libérer de l’histamine, l’ingrédient chimique responsable de la démangeaison et de l’inflammation qui sont typiques des allergies. La totale innocuité de la quercétine en fait un supplément de choix même chez les plus jeunes enfants victimes de plaques d’eczéma disséminées. Dans ce cas, il est toujours préférable de coupler avec la prise de probiotiques et d’acides gras essentiels.

    Anti-inflammatoires

    Plusieurs recherches ont mis en avant que la quercétine présente dans les oignons peut offrir une certaine protection cardiovasculaire, particulièrement contre l’athérosclérose en agissant sur deux fronts : elle diminue la production des médiateurs inflammatoires en inhibant certaines enzymes et elle réduit l’activité des plaquettes sanguines.

    Ginkgo biloba et quercétine

    Le ginkgo biloba est un arbre dioïque de 40 mètres de haut, d'écorce grisâtre se fendillant en vieillissant. Ses feuilles caduques en forme d’éventail, se divisant deux à deux de manière parallèle, sont vertes au printemps et jaune d'or à l'automne. Ses graines sont entourées d'un fruit charnu jaune. Il fut introduit en France au 17ème siècle. On le cultive aujourd’hui dans le sud-ouest de la France, en Corée et aux Etats-Unis. La feuille est la partie utilisée.

    Composition chimique

    • Terpènes :

    - Sesquiterpènes : bilobalide et dérivés (dihydroatlantone, bilobalone)

    - Lactones diterpèniques : ginkgolides dérivés d'une structure de molécule parmi les plus

    complexes du monde végétal : ginkgolide A, B (premier modèle inhibiteur du PAF-acether), C et J

    • Substances flavonoïdiques :

    - Ginkgoflavonols et dérivés : kaempférol, quercétine, tamarixetine

    - Biflavones : hétérosides de flavonol : apigénol, amentoflavone, bilobétine, 5-methoxybilobétine, ginkgétine, isoginkgétine, sciadopitysine

    - Flavonols libres : ginkgetol iso-bilobetol

    - Flavanols : catéchine, épicatéchine, épigallocatéchine

    - Proanthocyanidines : delphinidine, procyanidine

    • Hydrocarbures et alcools aliphatiques : nonacosane, nonacosanol, pinétol, sequoyol

    • Aldéhydes et cétones : 2-héxenal, nonacosanone

    • Acides organiques nombreux : 6-hydroxykynurénique (principal métabolite du tryptophane pour le ginkgo biloba), shikimique

    • Phénols : 1,4-penthadiène-1,5-diyl-di-phénol, cardol et cardanol

    • Acides anacardiques (acides ginkgoliques)

    • Polysaccharides

    • Cyclitols

    Sophora du japon et quercétine

    Le Sophora du Japon, encore connu sous l’appellation botanique Styphnolobium Japonicum, est un arbre qui se distingue par sa taille imposante. Il possède de multiples bienfaits, touchant de nombreux domaines comme celui de la santé, de la construction et même de la décoration. Aussi appelé arbre à miel, il affectionne particulièrement les plaines arides et est originaire de la région couvrant la Chine ainsi que le Japon. D’ailleurs les japonais le cultivent depuis bien longtemps. Arrivé pour la première fois en Europe en 1747 grâce au Père d'Incarville, cet arbre a été adopté au fil du temps par la royauté. Ceci afin de rendre leurs jardins et parcs plus majestueux. Le sophora du Japon pousse généralement à proximité des pagodes, c’est d’ailleurs un autre de ses surnoms « arbre aux pagodes ». Sa floraison survient au cours de la deuxième moitié de l’été, à condition bien sûr d’avoir des températures assez chaudes pour favoriser ce développement.

    Le Sophora du Japon est principalement composé de flavonoïdes (antioxydants) et de triterpénoïdes, mais aussi de tanins. C’est d’ailleurs un arbre bourré de composés phytochimiques. Parmi les flavonoïdes présents dans l’arbre, nous notons la rutine, la quercétine, le kaempférol et l’isorhamnétine. Les fleurs du Sophora du Japon renferment de nombreux acides gras. Retrouvez ces bienfaits dans la formule REDOXAide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. Accompagne les processus d’antioxydation et préserve l’organisme tout en lui redonnant vitalité et bien-être.

    En conclusion

    Votre vessie joue un rôle déterminant sur votre état de santé général. Et que vous souffriez de fuites inattendues ou pas, il importe de surveiller ce que vous ingérez afin d’en retirer tous les bienfaits pour votre vessie. Rétablir l’équilibre pH de votre métabolisme contribuera à limiter les irritations causées à votre vessie et, par conséquent, à réduire la gravité des problèmes liés à l’incontinence. Et comme les femmes et les hommes souffrant d’incontinence pourraient vous le confirmer, l’inquiétude et le stress causé par ces fuites gênantes sont amplement suffisants. Inutile d’en rajouter.

  • Maladie d’Alzheimer: nouvelle piste thérapeutique

    • Par vogot
    • Le 13/09/2018

    Depuis le mois d'août 2018, les médicaments prescrits à un malade touché par la maladie d'Alzheimer ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale. C'est sûr, cela permet de coquettes économies, car aujourd'hui en France, 800.000 personnes sont touchées par cette maladie qui entraîne une dégénérescence du cerveau.

    Force est de constater qu'ils n'étaient pas très efficaces et entraînaient de lourds problèmes digestifs, cardiovasculaires et neuropsychiatriques.

    Vous n’êtes plus vraiment vous-même

    Ce qui fait le plus peur dans la maladie d’Alzheimer, c’est de perdre son identité. On dit aussi « perdre la tête ». En réalité, les victimes gardent une identité propre mais elle se transforme insidieusement et irrémédiablement. L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes : elle se construit et évolue tout au long de l’existence au fil des souvenirs et du temps. Ce qui vous donne le sentiment d’être la même personne qu’hier, que le mois dernier ou qu’il y a 20 ans, ce sont les souvenirs que vous avez de ces époques comme appartenant à votre passé. C’est la combinaison et l’interprétation de ces souvenirs à la lueur de votre situation présente qui forgent votre identité.

    Chez les personnes victimes de la maladie d’Alzheimer, la disparition progressive de certains souvenirs et l’incapacité d’en former de nouveaux les amènent à construire des identités en décalage avec ce qu’ils étaient auparavant. D’ailleurs, les proches des victimes rapportent souvent qu’elles ne sont plus celles qu’ils ont connues. Elles n’ont pas totalement perdu le sens de qui elles étaient, mais le processus identitaire est restreint à des souvenirs plus anciens et parfois très épars. Normalement, la mise à jour du processus identitaire se fait vers l’avant, de façon à intégrer les nouveaux souvenirs emmagasinés, mais dans le cas de la maladie d’Alzheimer, la mise à jour se fait à l’envers avec la perte progressive des souvenirs.

    Il arrive donc souvent que les victimes ne reconnaissent pas leurs enfants car ils ont perdu les souvenirs correspondant à cette tranche de vie. Pour les mêmes raisons, elles se présentent parfois sous un jour beaucoup plus jeune. Par exemple, certaines patientes sont persuadées d’avoir 17 ans et de devoir rentrer chez leurs parents.

    Deux mots craints par-dessus tout

    D’après un récent sondage, vous seriez plus de 85 % à craindre par-dessus tout cette maladie neurodégénérative dont le nom résonne comme celui d’un savant fou et cruel.

    Il faut dire que "l’épidémie" qui frappe les pays occidentaux est sans précédent : 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année et d’ici 2020, 1 français de plus de 65 ans sur 4 sera touché par la maladie d’Alzheimer.

    65 ans, ça n’est pas un âge très avancé puisque c’est l’âge légal du départ à la retraite dans de nombreux pays d’Europe… A cet âge, vous aimeriez probablement ressembler, comme tout le monde, à cette figure charismatique, sage et respectée, ce vétéran qui a toujours une histoire à raconter et devant lequel on s’incline avec admiration et bienveillance.

    Malheureusement, pour beaucoup, la réalité est autrement plus glaçante

    Souillure, dégénérescence, dépendance, incontinence… Les mots qui surgissent à l’évocation de la maladie d’Alzheimer sont terribles. Tout le monde ou presque s’accorde pour dire que c’est l’une des façons les plus angoissantes et les plus effrayantes de vieillir, mais aussi de mourir : la démence est un naufrage de l’esprit qui empêche d’être maître de son destin, de ses dernières volontés. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique pourquoi elle est en passe de détrôner le cancer au rayon des hantises.

    Vous n’avez plus les mêmes goûts

    La modification progressive de l’identité provoque également des changements au niveau des affinités, des goûts et des centres d’intérêt. Il arrive ainsi que des personnes passionnées par la littérature ou éprises par le monde des arts n’en voient soudainement plus du tout l’intérêt.

    Vous êtes mis à l’écart

    Voilà l’une des pires conséquences de la maladie : un décalage terrible se creuse entre la victime et son entourage. Comme elle n’arrive plus à répondre aux attentes de ses proches (parce qu’elle ne se souvient pas de tel événement, parce qu’elle ne reconnait pas tel visage ou parce qu’elle n’apprécie plus des choses qu’elles partageaient autrefois avec eux), ils perdent en retour la capacité à attendre encore quelque chose d’elle. Peu à peu, elle devient donc une personne étrangère. Et on a forcément moins d’empathie et d’attention pour une personne étrangère…

    Il y a mieux à faire que d’espérer y échapper : soyez actifs

    Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour que ça m’arrive ? La maladie d’Alzheimer est souvent vue comme un mal qui nous tombe dessus, un châtiment injuste qui s’installe sans frapper. Si les mécanismes permettant son développement sont encore largement méconnus, on sait qu’il est possible de réduire le risque, à condition de s’y prendre à l’avance. Car une fois que le ver est dans le fruit, c’est déjà trop tard.

    1) La restriction calorique

    Comment définir le devenir de personnes prédisposées génétiquement à la maladie (tous porteurs du gène ApoE4) ? Avant tout, sachez que les personnes qui ont une alimentation riche en calories sont plus touchées que celles qui en consomment relativement peu. La restriction calorique permet d’augmenter la résistance des neurones à la maladie d’Alzheimer, aux accidents vasculaires cérébraux mais aussi au vieillissement normal de l’organisme. Il y a donc un intérêt réel à réduire les portions alimentaires, autre que la perte de poids et l’aspect esthétique. Pour cela, pas de secret, l’instauration d’une nouvelle habitude, d'excellentes combinaisons alimentaires, une discipline de fer et des aides naturelles pour réduire l’appétit comme Konjac, Nopal et Griffonia simplicifolia (pour augmenter la sensation de satiété).

    2) Une alimentation riche en antioxydants

    L’intérêt des antioxydants pour réduire les effets néfastes des espèces réactives de l’oxygène sur les neurones, est indéniable. Bien que tous les antioxydants semblent être bénéfiques, je met l’accent sur 3 antioxydants : l’acide folique (qu’on trouve surtout dans les abats, les légumineuses et les légumes à feuilles vert foncé, mais aussi dans des suppléments tels que Multivitamines B, la vitamine B6 (qu’on trouve dans les abats, le poisson et les céréales entières, ou dans des suppléments tels que Formule Vitaminéro) et la vitamine B12 (Je vous conseille de lire à ce sujet : Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).

    3) Un entraînement mental

    Les personnes s’adonnant à des activités stimulantes sur le plan mental (lecture, jeux de réflexion, apprentissage, jeux de mémoire) ont moins de risque de souffrir de démence à un âge avancé. C’est le fait de garder un esprit actif et alerte tout au long de sa vie qui favorise le maintien des connexions neuronales et permet de repousser le déclin cognitif et la démence. Si vous ne pratiquez pas ce genre d’activité, vous savez donc ce qui vous reste à faire.

    A l’heure actuelle, il n’existe toujours pas de traitement efficace pour guérir la maladie d’Alzheimer et toutes les formes de démence apparentées. Il est donc logique d’en avoir peur. Mais la peur peut aussi être une arme efficace lorsqu’elle est utilisée à bon escient : ne la laissez pas vous tétaniser et agissez dès maintenant.

    Alors que faire pour enrayer la maladie et contrer les symptômes ?

    Il n’est actuellement pas possible de guérir la maladie d’Alzheimer, mais vous pouvez tout à fait  vous opposer à sa progression et enrayer le déclin qui affecte la mémoire et les fonctions cognitives ! J'ai donc recensé quelques remèdes naturels, très documentés dans la littérature scientifique, et malheureusement trop peu connus du grand public :

    Le Ginkgo Biloba

    • Plusieurs études montrent que la prise d’un supplément naturel à base de feuilles de ginkgo biloba améliore les symptômes de la maladie d’Alzheimer, et notamment la mémoire et la vitesse de traitement cognitif.

    Mécanismes d’action : l’intérêt des feuilles de ginkgo sur la maladie d’Alzheimer s’explique par ses effets positifs sur les protéines beta-amyloïdes qui induisent la mort des cellules. Il est également fort probable qu’elles influencent les niveaux de plusieurs neurotransmetteurs-clés (des composés chimiques libérés par les neurones agissant sur d'autres neurones).

    Le Safran

    • Actuellement, il a été démontré que l'extrait de safran possède un effet antioxydant, anti-inflammatoire, anticonvulsif, antidépresseur, et améliore également la mémoire et l'apprentissage. La crocine, la picrocrocine, la crocétine et le safranal ont des propriétés antioxydantes et ont été utilisés dans la médecine traditionnelle indienne pour le traitement des dysfonctionnements cognitifs. De cette façon, son utilisation pour améliorer la mémoire et l'apprentissage a été décrite du fait que l'effet antioxydant du safran participe à la protection des neurones contre l'oxydation : l'extrait de safran peut éliminer les radicaux libres, plus particulièrement les ions superoxyde.

    Le moringa

    • La feuille de moringa est d’un vert vif, elle contient plus de 90 nutriments, 46 antioxydants, vitamines, minéraux, protéines, ainsi que tous les acides aminés essentiels. Elle est considérée comme un super-aliment. Elle traîte la dégénérescence nerveuse et cellulaire.

    Oméga-3  EPA+ et vitamine E

    • Les omégas-3 EPA+ participent au bon développement du cerveau, des nerfs, de la rétine. Ils sont donc importants. Ils préservent la vue et les fonctions cérébrales. Ils sont bénéfiques à notre équilibre nerveux et émotionnel. Bref, vous avez tout intérêt à en augmenter les quantités en apports de compléments alimentaires.

    Redox

    • REDOX aide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. En effet, de nombreux facteurs favorisent leur production. Cette espèce chimique très instable oxyde les cellules et fragilise le système immunitaire, provoquant l'apparition de certaines maladies comme le cancer. Seuls les antioxydants peuvent alors équilibrer les fonctions naturelles de l’organisme mis à mal. Grâce à sa formule unique en antioxydants végétaux, REDOX est un puissant anti-âge, qui redonne bien-être et vitalité.

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