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Le réveil des sens

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secret

  • Cinquième élément: Le secret dévoilé

    Je vais vous révéler un secret jalousement gardé: comment accéder au cinquième élément.

    Ce n'est pas du Besson !

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    Depuis la nuit des temps, l'être humain est guidé par des lois universelles: attraction, don, ubiquité, spiritualité, moindre effort, etc.

    Ces lois, que vous acceptiez ou pas, sont des lois fondamentales, c'est à dire qu'elles sont le fondement de toutes créations, la base même de la vie, de tous les êtres qui peuplent l'Univers. Elles nous régissent.

    Inévitablement, inconsciemment ou consciemment, votre chemin sera dirigé par ces lois, c'est un fait indéniable.

    Nous venons au monde sous forme de minuscules êtres et nous grandissons au gré des éléments. Sans y être complètement soumis pour autant. Notre libre choix nous pervertis parfois, nous rend malhonnêtes envers nous. Nous sommes créateurs de notre vie. Heureusement, les éléments ont une influence sur celle-ci et nous aident à retourner sur le droit chemin. Si nous savons les écouter...

    Chacun d'entre eux, air, terre, feu et eau est le garant de notre état d'esprit, de notre corps, de nos émotions, de notre énergie intérieure et extérieure en équilibre parfait.

    L'air est l'émotion qui gouverne le mental. La terre nourrit notre cœur, notre corps. L'eau, c'est l'énergie qui coule en nous. Le feu représente nos ressources intérieures, notre mine de minéraux.

    Ces éléments sont et devraient être tous sur la même longueur d'onde afin de nous faire vibrer. L’harmonie des sons sur la portée de notre vie. Est-ce toujours le cas ? Sont-ils toujours en cohérence ?.... Corps errance....

    L’alchimie est notre squelette, notre corps, notre carbone qui en grandissant se façonne, se "facettise", devient diamant. Certaines facettes sont mises en lumière et d'autres dans notre côté sombre. Notre éducation familiale, scolaire, nos expériences de vie parfois nous brident, nous frustrent. Des barrières se mettent en travers de nos rêves d'enfants, de nos idéaux, de notre mission ici-bas et nous déconnecte de notre moi intérieur, nous les acceptions tant bien que mal. Nous sommes responsables consciemment et inconsciemment.

    Revenons aux éléments, puisque c'est le thème de cet article.

    Je vais devoir les énumérer dans un certain ordre, mais celui-ci n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Aucun élément n'est au-dessus d'un autre. Je vous invite à les lire dans l'ordre que vous choisirez.

    L'air est donc en lien étroit avec notre mental, nos pensées positives ou négatives. C'est cet élément qui provoque des idées changeantes dans notre tête, les émotions qui bouleversent notre vie si nous nous laissons à tout vouloir contrôler. Quand nous sommes soumis à l'élément air, les conflits intérieurs provoquent des turbulences. A trop réfléchir nous mettons des barrières devant nos rêves et nos idéaux. Les pensées sont créatrices, l’inhibition mentale est destructrice.

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    La terre est dans notre cœur. Nous l'aimons, la chérissons quand nous sommes connectés avec elle. Dans le cas contraire, nous la détruisons, lui faisons du mal sans savoir qu'en fait nous nous faisons du mal. Tout ce qui touche la terre nous touche radicalement. L'autodestruction serait-elle en action actuellement ? Après la mort vient la vie. Cycle éternel, immuable !

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    Le feu est représenté par nos ressources intérieures. Certaines exploitées, d'autres pas. Une introspection permet de se mettre en lien avec elles, de faire le tri, de regarder plutôt que de voir, pourquoi nous sommes de piètres explorateur de notre vie intérieure, tournée vers le monde virtuel. Le réel est en nous, nous avons les diamants, les rubis, les saphirs, les émeraudes, les outils pour aller les chercher, mais n'avons pas le mode d'emploi pour utiliser ces outils. Que s'est-il passé ? Maladresse, perte de confiance en soi, ignorance, éducation superficielle..... Mise en valeur flouée ? Le volcan est endormi.

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    L'eau correspond à cette énergie que nous avions enfant. L'innocence, la spontanéité, les rêves nourris par une capacité à vouloir créer l'insurmontable. Cet élément flue en abondance dans notre corps et passe, quand nous sommes petits, en nous, autour de nous et à travers nous. L'eau c'est la vie circulante, qui ne peut pas être retenue, stoppée, bien que, au fil du temps, les barrages deviennent si hauts et si grands que cette belle énergie finit pas être bloquée. L'eau croupit et nous rend malade dans notre corps, notre cœur, notre tête. Lymphatiques d’une vie devenue austère. sans odeur, sans saveur.

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    Mais alors qu'en est-il du 5ème élément ? Patience, j'y viens... Je vous sens trépigner. Marquons une pause, prenez la respiration, je vous l'offre. Un grand bol d'air, un relâchement de l'esprit, le cœur ralentit, le feu se dissipe momentanément. Allez on y revient, respiration encore une fois, profonde, de plus en plus profonde.... Nous y sommes presque. Relaxation, méditation, les yeux fermés, de belles images nous viennent. Pardon, acceptation, guérison, ces mots vous parlent, oui, non ?

    Voilà, je vous sens prêtes et prêts... Je continue.

    L’idéal, le but à atteindre, la mission, le rêve d'enfant, tout ce que vous avez mis de côté parce que le regard des autres vous a formaté à leur image. La peur qui vous terrifie et vous garde dans votre zone de confort. Le manque de confiance détruit plus de rêves que l’échec. L'effet miroir qui vous fait réagir, par transfert, sur la personne face à vous, car telle cicatrice non guérie vous met en émoi.

    Lâcher-prise ne veut pas dire laisser-aller.

    Quand les éléments que j'ai cité au-dessus seront en parfaite cohésion, bien connectés à l'Univers, donc à vous, à ce moment-là et UNIQUEMENT à ce moment-là apparaîtra le cinquième élément. Votre âme vibrera en harmonie avec votre monde, vous serez pris d'un frisson si fort que tous vos sens seront mis en action. Une sorte de jouissance, d'orgasme. La sexualité et la spiritualité sont en liens étroits. Faites-en l'expérience, la peur de tout s'évacuera. Vous lâcherez-prise, votre cœur battra à l'unisson, vous comprendrez alors que.....

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    Si cela n’a pas fonctionné, alors vous n’y êtes pas encore, recommencez, insistez, ça en vaut la peine. Prenez votre mal en patience, en attendant j’ai pris mon bien en urgence.

    Le monde s'ouvre à vous. Je n'en dis pas plus !

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    Là, est l'essence-ciel, tout est dit ou presque...

    Avez-vous l'esprit ouvert ?

  • Quel complément prendrait (secrètement) mon médecin ?

    Cela m'arrive parfois d'aller voir le médecin généraliste, non pas pour qu'elle (car c'est une généraliste) me prescrive du médicament à tout va, car je n'en voudrais pas, mais pour un bilan sanguin annuel de routine.

    Pour l'anecdote, l'an passé, suite à un précédent bilan sanguin, j'avais appelé l'analyste du laboratoire, avant qu'il m'envoie les résultats par la Poste, celui-ci me confirmant qu'ils étaient normaux (les résultats), ce dont je ne doutais pas un seul instant, grâce à mon hygiène alimentaire et aux associations alimentaires dont je vous ai déjà parlé dans un article précédent.

    Le lendemain, je me présente, sans rendez-vous, au cabinet de la généraliste, qui, regardant de très près ces-dites analyses, trouva que j'avais du cholestérol, en me donnant un cours sur le pourquoi et le comment attraper ce cholestérol de malheur qui gâcherait la vie de plusieurs personnes parfois bien portantes.

    Je vous transmets au mot près notre dialogue (de sourd sûrement) :

    Elle 

    • Attention à la charcuterie.

    Moi

    • Je n'en mange pas.

    Elle

    • Oui mais attention quand même, le sel ça donne aussi du cholestérol, et les œufs aussi !

    Moi

    • Je vous dis que je n'en mange pas, quant aux œufs, depuis quand donnent-ils du cholestérol, il faudrait que j'en mange une sacrée quantité, je pense (je ne pensais pas, j'en étais certain).

    Elle

    • Et du fromage ?

    Moi

    • Pareil (les fameux produits laitiers, nos ennemis pour la vie).

    Je vous rassure, les œufs ne donnent pas de cholestérol ! Vive les fake-news.

    La regardant droit dans les yeux (tiens, cela me remémore quelqu'un), je lui dit franchement : « Docteur, je suis naturopathe, vous n'allez pas me la jouer STATINES et tout le tralala, j'espère !! ».

    Embêtée car elle aurait bien voulu, comme la majorité de ses patients que j'engloutisse quantité de charcuteries en tous genres et à tous les repas, elle repris mes analyses et après quelques secondes d'hésitation me dit : « Effectivement, vous n'avez pas de cholestérol ». Ce qui confirmait bien ce que m'avait dit l'analyste du laboratoire.

    Heureusement que je connais bien mon corps, du point de vue santé...

    J'ai aussitôt posé cette question à la généraliste : « Docteur, quand vous vous sentez souffrante, que prenez-vous ? ».

    • Des vitamines et des Oméga-3, me dit-elle sans sourciller.

    Je me suis renseigné de-ci de-là, afin de savoir si les médecins en général se soignaient ainsi.

    J'apprends ainsi que les compléments de vitamine A et C, d’oméga-3 et d’acide folique (vitamine B9) sont ceux qui progressent le plus, avec, encore une fois, les compléments vitaminés + minéraux, chez les professionnels de santé.

    Un oublie ou un désir de désinformation

    Ces professionnels de santé auraient-ils tendance à « oublier » de partager leurs précieux conseils à leurs patients ?

    Oui, si l’on en juge par les statistiques : la majorité de la population française prend très peu de compléments alimentaires pour sa santé.

    Elle reste victime de la propagande des grands médias visant à faire croire qu'il suffit de manger « équilibré » pour ne manquer de rien.

    Quant aux autres populations européennes, elles sont encore dans leur quasi-totalité au Moyen-Âge de la nutrition, les personnes prenant des multivitamines étant considérées comme des bêtes curieuses, de doux écologistes voire d'inquiétants individus à tendance sectaire, à faire surveiller de près par la police de la Santé.

    On sait pourtant, et les professionnels de santé d’autant plus, que le mode de vie moderne, le stress, la pollution, l'âge (qui réduit l'absorption des nutriments), la sédentarité, la mondialisation font que même l’alimentation la plus variée ne garantit plus un apport optimal de toutes les vitamines, minéraux, acides aminés et acides gras essentiels.

    Vous consommez probablement encore beaucoup trop d'aliments et de composés inhibiteurs comme le café, le thé, les boissons gazeuses, le soja non fermenté et l’alcool, qui diminuent l’absorption de certains nutriments.

    Les premières victimes de cette hécatombe sont le fer, le zinc, le calcium et l’acide folique. De plus, la fumée du tabac peut aussi détruire les vitamines.

    Enfin, de nombreux médicaments provoquent des pertes en nutriments ou une diminution de leur absorption. Il est pourtant rarissime et presque illusoire qu'un médecin prescrive, en même temps qu'un médicament, la prise de vitamines et de minéraux pour en compenser les effets.

    Est-ce une raison pour ne rien faire, et "oublier" à notre tour de prendre soin de notre propre santé ? De nombreuses études ont démontré l'intérêt de prendre des vitamines et des minéraux quotidiennement. D'abord bien sûr, parce qu'ils aident à réduire le risque de nombreuses maladies, mais aussi parce qu’ils diminuent la perception du stress, de la fatigue et de l'anxiété à hauteur de 30 % environ, selon de très sérieuses études que vous pouvez trouver sur internet, et notamment celle menée par des chercheurs de l'université de Swansea en Angleterre. 

    Prendre des vitamines et des minéraux améliore donc le moral et la qualité de vie, en plus d'avoir des effets bénéfiques contre les maladies.

    Des effets bénéfiques majeurs sur la santé

    La réticence des professionnels de santé à parler à leurs patients de l'importance des vitamines et des minéraux est d'autant plus incompréhensible que cela fait maintenant plus de 15 ans qu'il est établi scientifiquement qu'ils sont précieux pour la santé.

    Une synthèse générale de toutes les études réalisées sur les vitamines a en effet été publiée en 2002 et a conclu que, « par mesure de prudence, tous les adultes devraient prendre quotidiennement des compléments vitaminés et des sels minéraux» pour prévenir certaines maladies comme le cancer, les maladies cardiovasculaires et l'ostéoporose.

    Je vais même aller plus loin encore puisque je considère que la fameuse « pyramide alimentaire » doit inclure, pour être complète et optimiser la santé, la prise quotidienne de vitamines et de sels minéraux.

    Les personnes âgées, les femmes enceintes et les enfants d'abord

    Bien entendu, certaines personnes sont plus concernées encore que les autres. Ce sont les personnes âgées qui ont le plus besoin de prendre des vitamines et des sels minéraux à cause, notamment, d'un régime alimentaire restrictif et inadéquat (manque d'appétit, difficulté de mastication, solitude), et surtout, d'une mauvaise absorption des nutriments et d’une diminution de la production endogènes de nombreuses molécules décisives pour la santé (générées à l'intérieur de votre corps).

    Viennent ensuite les femmes enceintes. Les gynécologues prescrivent en général la prise d'acide folique (vitamine B9), qui est efficace pour réduire la fréquence des malformations du tube neural.

    Mais la consommation de vitamines prénatales (elles contiennent généralement toutes au moins 400 µg d'acide folique) pourrait également prévenir d'autres malformations du fœtus.

    En outre, les auteurs d’une méta-analyse de sept études épidémiologiques ont conclu en 2007 que la prise de vitamines durant la grossesse est associée à un risque moindre de tumeurs au cerveau, de tumeur du système nerveux sympathique (neuroblastome) et de leucémie chez les enfants.

    Chez ceux-ci, la prise de vitamines et de minéraux durant les premières années de vie pourrait réduire le risque de souffrir d’allergies (réduire ce risque grâce aux Oméga-3) à l’âge scolaire, selon une étude épidémiologique et améliorer le Quotient Intellectuel (QI).

    De multiples études confirment l'intérêt des vitamines et des minéraux contre les maladies

    Les autorités médicales des pays occidentaux établissent des apports journaliers recommandés (AJR) qui servent de guide en matière de nutrition et de santé. La manière dont les taux sont déterminés est toutefois hautement contestable, car ils définissent en général le niveau à partir duquel apparaissent des maladies évidentes liées à des carences, comme par exemple le scorbut pour la vitamine C, l'anémie pour le fer ou le rachitisme pour la vitamine D.

    En réalité, prendre des vitamines et des minéraux ne sert pas à éviter les maladies liées aux carences, mais à optimiser l'état de santé, notamment en minimisant les risques de maladies graves. D'où l'art de la prévention!

    On sait par exemple que la prise de vitamines et de minéraux à des doses nutritionnelles contribuerait à diminuer l’incidence du cancer chez les hommes.

    Prendre un supplément de multivitamines et de minéraux pourrait, à long terme, se traduire par une réduction de 40 % du risque de subir un infarctus du myocarde (crise cardiaque).

    C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude suédoise menée auprès d’environ 34 000 femmes de 49 ans et plus, suivies durant une dizaine d’années. Au cours d’un essai clinique mené en Chine, 2 141 personnes âgées de 45 ans à 74 ans ont pris chaque jour durant 5 ans soit un placebo, soit deux capsules de multivitamines et 15 mg de bêta-carotène. Chez les personnes de 65 ans à 74 ans, il y a eu nettement moins de cataractes que chez celles du groupe placebo.

    Il ne fait donc pas de doute que les multivitamines et minéraux devraient figurer aujourd'hui au centre de l'arsenal médical, pour prévenir les maladies graves chez les adultes, et a fortiori chez les personnes âgées.

    Le silence des autorités de santé

    Le silence que les autorités de santé parviennent à maintenir sur ce sujet est donc extrêmement inquiétant sur leur objectivité et leur indépendance vis-à-vis des grandes sociétés pharmaceutiques, qui ont elles, au contraire, intérêt à ce qu'un maximum de personnes « oublient » ce dispositif essentiel dans la prévention des maladies.

    Quelles formules choisir ?

    Il existe pléthore de formules multivitamines avec ou sans minéraux dans le commerce (en pharmacie, grandes surfaces, boutiques en ligne, ...)

    Veillez particulièrement à choisir un complexe multivitamines et minéraux contenant une bonne dose de vitamine B9 (400 microgrammes) sous forme de folates et non d'acide folique. La bonne réputation de l'acide folique est en effet usurpée.

    La Formule Vitaminéro contient en effet pas moins de 23 nutriments, dont bien entendu les vitamines A, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B12, C, D3 et E aux doses physiologiques optimales selon la littérature médicale la plus récente, mais il faut de plus noter la forme avancée de vitamine B9.

    Cette Formule Vitaminéro contient également du fer, magnésium, zinc, cuivre, chrome, manganèse, molybdène, selenium, iode, calcium, phosphore.

    Chacun d’entre eux permet de réduire le risque de certaines pathologies et améliorent les symptômes des troubles les plus classiques (hypertension, hyperglycémie, insuffisance veineuse, hypercholestérolémie, diminution de la production énergétique…).

    Pour chacun de ces micronutriments, ont été sélectionnées les formes les plus adaptées à partir des dernières données scientifiques, garantissant une forte biodisponibilité et un risque minimal d’effets secondaires, ce qui en fait déjà une "Rolls-Royce" des formules multivitaminées + minéraux.

    La protection dans le moteur de la Rolls-Royce

    Formule VitaMinéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels.

    Formule vitaminero

    Formule VitaMinéro aide en période de vie active: physiquement et mentalement

    Elle contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.

    Pour rappel, les mitochondries sont les centrales énergétiques des cellules qui leur permettent de fonctionner à plein rendement. Présentes en quantité importante chez les jeunes personnes, elles disparaissent peu à peu avec l’âge et celles qui restent sont moins efficaces et produisent plus de déchets.

    De ce dysfonctionnement, il résulte un déficit énergétique majeur qui se retrouve impliqué dans la plupart des maladies dégénératives liées au vieillissement : troubles physiques et cognitifs, dégradation cellulaire accélérée, troubles cardiovasculaires...

    Plusieurs composés présents dans la Formule Vitaminéro permettent d'améliorer le fonctionnement des mitochondries existantes. Les divers nutriments contenus dans cette formule n’agissent pas comme de simples médicaments, mais la plupart du temps selon des synergies complexes. D’où l’intérêt de disposer de formules multivitaminées + minéraux.

    Mais ses effets bénéfiques ne s'arrêtent pas là, elle protège remarquablement les cellules du cerveau contre les dommages oxydatifs et la neurotoxicité induite par des toxines y compris le mercure. Elle améliore les performances aux tests de mémoire et interagit de façon positive avec les systèmes de neurotransmetteurs du cerveau.

    Alors, qu'attendez-vous pour vous soigner comme les professionnels de santé avec leur secret vaillamment gardé ?

    Merci de partager aux plus grand nombre.

  • Sensibilité au gluten, ce n'est plus un mythe

    Rappel: Qu'est-ce que le gluten ?

    Le gluten est un ensemble de protéines que l'on retrouve dans les grains de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, etc.). Les protéines constituant le gluten permettent de stocker des oligo-éléments ou des acides aminés nécessaires au développement de la jeune pousse.

    Le gluten est principalement constitué de deux protéines : la prolamine et la gluténine. Ce sont ces protéines, insolubles dans l'eau, qui donnent à la farine des propriétés visco-élastiques, exploitées dans le domaine agroalimentaire pour donner une certaine structure aux produits.

    L’histoire se répète. Comme la maladie cœliaque et la fibromyalgie en leur temps, la sensibilité au gluten (SGNC) suscite les railleries d’une partie des professionnels de santé, intimement convaincus qu’il s’agit d’une hystérie collective. Pour eux, si des centaines de milliers de personnes se privent de gluten, c’est pour l’effet de mode et rien d’autre. Et si « ces malades imaginaires » paraissent soulagés après avoir réduit leur consommation de gluten, ça résulte forcément d’un effet placebo. 

    Vous connaissez forcément ce discours d'un autre temps ? Vous en avez fait l’expérience ? Sachez qu’il ne durera plus très longtemps. Des chercheurs ont avancé une explication plausible du phénomène et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’a rien de fictif. Accrochez-vous, les mécanismes en jeu sont parfois complexes. 

    La sensibilité au gluten, (très) prochainement reconnue par la communauté scientifique ? 

    Comme pour la maladie cœliaque, les personnes qui se disent « sensibles au gluten » se plaignent de symptômes après l’ingestion d’aliments contenant du gluten. C’est une combinaison des symptômes de l'affection de l'intestin émotif (A.I.E.), incluant des douleurs abdominales, des ballonnements, des désordres intestinaux (diarrhée ou constipation) et des manifestations systémiques comme des maux de tête, de la fatigue ou des douleurs musculaires. 

    Mais contrairement à la maladie cœliaque, on ne retrouve chez eux ni dégradation de la paroi intestinale ni anticorps dirigés contre les molécules de gluten. Faut-il en conclure pour autant que la maladie n’existe pas ?

    C’est un débat qui passionne au sein de la communauté scientifique. Et tandis que certains chercheurs préfèrent vérifier si les bienfaits d’une cure sans gluten ne sont pas liés à un effet placebo, d’autres tentent d’avancer sur les mécanismes potentiels. 

    Une équipe de scientifiques vient justement de formuler une explication du phénomène qui va faire parler.

    D’après eux, la sensibilité au gluten non-cœliaque qui touche plus de 15 % de la population serait la conséquence de deux mécanismes combinés. 

    1) Un déséquilibre du microbiote intestinal

    Depuis quelques années, on se rend compte avec stupéfaction que le microbiote intestinal (anciennement "Flore intestinale"), c’est-à-dire l’ensemble des bactéries qui vivent en harmonie avec notre organisme, joue un rôle bien plus important sur notre santé qu’on le croyait. 

    Dans l’intestin, par exemple, on s’est aperçu que des bactéries produisaient des acides gras à chaîne courte (AGCC), et notamment du butyrate, un nutriment qui agit sur la croissance et le renouvellement des cellules de la muqueuse colique. Sans ce précieux nutriment, les cellules du colon dépérissent et ne produisent plus suffisamment de mucus, cette couche protectrice qui constitue une barrière physique contre les micro-organismes et les substances nocives. En hiver ce mucus se refroidissant à cause des températures extérieures, devient moins performant et entre dans une phase qui crée le lit des maladies comme rhume, gastro-entérites, ...

    C’est ce qui arrive vraisemblablement aux personnes dites « sensibles au gluten ». Il semble que chez elles, les bactéries productrices de butyrate (qui appartiennent généralement au phylum Firmicutes) soient en difficulté et ne parviennent pas à maintenir des taux de butyrate adéquats. Soit parce qu’ils sont en nombre insuffisant, soit en raison d’une défaillance de leurs alliés, les bactéries du genre Bifidobacteria. Celles-ci leur procurent de l’acétate et du lactate qu’elles convertissent ensuite en butyrate. Si ces bifidobactéries deviennent rares, les producteurs de butyrate le seront aussi, l’harmonie est précaire. 

    La pénurie de butyrate et de mucus qui en résulte favorise le contact entre les cellules intestinales et les antigènes microbiens. Et surtout, elle dérègle l’un des mécanismes fondamentaux de la barrière intestinale : la translocation bactérienne. Il s’agit du passage de bactéries d’origine digestive à travers la barrière de la muqueuse intestinale vers les ganglions mésentériques, le sang et les organes à distance. 

    En temps normal, ce passage est rendu impossible par plusieurs mécanismes, comme la phosphatase alcaline intestinale (PAI), une enzyme qui empêche l’adhésion des bactéries pathogènes aux cellules intestinales. Mais le butyrate est justement un inducteur de l’expression de la PAI : lorsqu’il diminue, il entraîne l’activité de la PAI dans sa chute et met en branle la perméabilité de la barrière intestinale. 

    2) Une alimentation riche en gluten et en ATIs

    Cela fait quelques temps que les chercheurs soupçonnent l’implication d’autres protéines que le gluten (mais présents dans les mêmes aliments) dans la sensibilité au gluten non cœliaque : les inhibiteurs de l’amylase-trypsine (ATIs). 

    Ce sont des composants protéiques qui protègent les plantes des parasites et des nuisibles en inhibant les enzymes digestives et qui, par conséquent, résistent également à la dégradation protéolytique de l’homme. Autrement dit, comme la gliadine et la gluténine (qui forment le gluten), ces composés ont une digestibilité très faible et restent pratiquement intacts dans la lumière de l’intestin. 

    Et le vrai problème, c’est que ces composés prennent une place de plus en plus importante dans notre alimentation : en sélectionnant des variétés de céréales toujours plus résistantes aux nuisibles, l’homme a augmenté artificiellement leur teneur en ATIs. Quand on mange des aliments riches en gluten comme du pain ou des pâtes, on avale donc également des ATIs. 

    En situation normale, l’afflux de ces substances assez inhabituelles pour l’homme ne présente pas de danger pour les cellules intestinales, protégées par le mucus et par des mécanismes détoxifiants complexes. Mais en cas de déséquilibre du microbiote, ces boucliers volent en éclat et permettent aux APIs d’approcher la muqueuse en toute impunité.

    Là, on les soupçonne fortement de se lier à des récepteurs situés sur les membranes des entérocytes, les récepteurs TLR4 qui sont normalement en charge de bloquer des molécules toxiques ou appartenant à des bactéries pathogènes. C’est cette fixation qui provoquerait une inflammation intestinale, avec libération de cytokines (IL-1β et TNFα), mais aussi une hausse de la perméabilité intestinale. 

    Et ce n’est pas tout puisqu’une fois passées de l’autre côté, au-delà de la barrière intestinale, elles ont tendance à se lier aux mêmes récepteurs présents sur les autres cellules et à amplifier les réponses inflammatoires déjà initiées ailleurs dans l’organisme. Voilà qui expliquerait les symptômes extra-intestinaux (comme la fatigue, les douleurs ou les troubles de l’humeur) et la rapidité avec laquelle ils suivent l’ingestion d’aliments riches en gluten et en ATIs. 

    Si rien n’est fait, c’est un cercle vicieux qui s’installe puisque l’inflammation chronique contribue à rendre inefficace la phosphatase alcaline intestinale (PAI), ce qui favorise la multiplication des bactéries pathogènes dans l’intestin. 

    3) La solution efficace et pérenne

    La bonne nouvelle c’est que si cette hypothèse avancée par les chercheurs est exacte, la sensibilité au gluten non-cœliaque (qu’on pourrait plutôt appeler la « sensibilité au gluten et aux ATIs induite par dysbiose ») se guérit. Elle n’aurait pas de causes génétiques contrairement à la maladie cœliaque. 

    Pour s’en débarrasser, il faudrait donc favoriser un retour à l’équilibre du microbiote intestinal. Voici les conseils qui découlent des conclusions des chercheurs et qui permettraient de guérir la « sensibilité au gluten » :

    • Eviter les aliments riches en gluten et en ATIs, le temps de retrouver un meilleur équilibre de la flore intestinale, ou favoriser leur digestion en se supplémentant avec des enzymes capables de dégrader les protéines du blé ou d'en atténuer leur effet (comme ceux inclus dans le Wplants).

    WPLANTS

    • Eviter les produits transformés « sans gluten » qui, selon une étude publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, sont plus gras, plus sucrés, plus salés et moins riches en fibres que leurs équivalents traditionnels !

    • Rompre avec les régimes riches en gras (saturés et trans) et en protéines animales qui augmentent les sels biliaires, favorisent le développement des bactéries pathogènes et accentuent la translocation intestinale.

  • Mes 8 secrets pour ne plus être malade

    Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin, sauf pour un bilan annuel et pour cause, je ne suis jamais malade. Je vais vous partager mon secret. N'oubliez pas que le hasard n'existe pas.

    Chaque année, les mêmes personnes semblent passer miraculeusement entre les gouttes des épidémies de grippe ou de gastro-entérite. En réalité, la chance n’a rien à voir là-dedans : c’est la qualité de leurs réponses immunitaires qui leur garantit de passer l’hiver sereinement, et cette qualité dépend de 8 secrets bien gardés qu’ils exploitent au maximum. A vous de les mettre en pratique pour faire partie, vous aussi, de ces personnes qui ne sont jamais malades... 

    1) J'ai une alimentation riche en micronutriments. 

    Dans les pays riches, l’alimentation est devenue si pauvre que la carence en micronutriments est monnaie courante. Or, des études ont montré qu’une déficience en un seul des micronutriments suivants nuit aux fonctions immunitaires : le zinc, le sélénium, le fer, le cuivre, le calcium, l’acide folique ou les vitamines A, B6, C et E. 

    C’est prouvé : une supplémentation en micronutriments augmente significativement l’activité du glutathion, de la production d’anticorps et de cytokines immunitaires. 

    Mon coup de pouce : augmentez votre consommation de fruits et légumes frais, et laissez-vous tenter par cette formule multivitaminée audacieuse et pratique qui a déjà séduit des millions de personne. 

    Formule Multivitamines

    2) Je dors suffisamment.

    Une nuit de sommeil trop courte ne sape pas uniquement votre efficacité au travail. Lorsque vous dormez 5 heures au lieu des 8 heures habituelles, votre organisme interprète ce manque comme un stress physique et élève considérablement son niveau de cellules immunitaires pour le surmonter. Cette activité inhabituelle perturbe par la suite l’activité des granulocytes (un type de globules blancs) et diminue l’efficacité de votre système immunitaire pour les jours voire les semaines à venir. 

    C’est prouvé : une personne qui dort moins de 6 heures par nuit pendant une semaine, aurait 4,2 fois plus de risques d’attraper un rhume que ceux qui bénéficieraient de plus de 7 heures de sommeil durant le même temps.

    Et l’effet ne s’arrête pas là : d’autres études ont montré qu’un déficit chronique de sommeil avait un impact sur le système immunitaire beaucoup plus lourd, creusant le lit de maladies chroniques bien plus délétères qu’un simple rhume. 

    Mon coup de pouce : retrouvez le sommeil en vous appuyant sur les plantes les plus étudiées pour favoriser l’endormissement (valériane, houblon, rhodiola, etc.) ou choisissant ces compléments, et évitez surtout les médicaments (somnifères, benzodiazépines) qui provoquent effets secondaires et addictions. 

    Mélisse + ValérianeRhodiola RoseaMélatonine

    3) J'ai trouvé des moyens pour réduire mon niveau de stress. 

    Le stress entraîne la libération d’hormones du stress, comme le cortisol et l’adrénaline. Ce sont des molécules très utiles à court terme, mais qui nuisent directement aux défenses immunitaires en inhibant la production de cytokines lorsqu’elles sont produites de façon prolongée.

    C’est prouvé : une étude a montré qu’en cas de stress chronique, les leucocytes (globules blancs) devenaient anormalement actifs et pouvaient à terme endommager les tissus sains de l’organisme.

    Mon coup de pouce : Le yoga, le tai-chi et toute activité physique de manière générale offrent de très bonnes garanties contre le stress. De nombreuses plantes comme l'ashwagandha, la griffonia ou le jujubier contiennent des composés naturels qui agissent en synergie pour apaiser l’organisme et qui sont injustement délaissés au profit des médicaments. Certains suppléments sont justement étudiés pour rassembler les ingrédients naturels les plus actifs contre le stress : ne manquez pas l’occasion de les essayer et de juger par vous-même les effets qu’ils ont sur votre stress. 

    OMÉGA 3  - EPA +AshwagandhaGriffonia Simplicifolia

    4) Je suis physiquement actif. 

    Les études montrent que l’activité physique stimule certaines composantes immunitaires. Elle entraîne notamment une meilleure répartition des populations cellulaires circulantes impliquées dans la réponse immunitaire à condition que l’exercice ne soit pas trop exténuant pour le muscle. 

    C’est prouvé : les fonctions immunitaires sont directement affectées par l’excès de tissu adipeux, lequel augmente spécifiquement le risque de contracter la grippe... 

    Mon coup de pouce : reprenez progressivement l’activité physique et aidez-vous d’extraits de plantes reconnues "coupe-faim" par la science comme le konjac ou le guarana et l'acerola présents dans cette formule optimisée pour booster votre énergie et votre cerveau.

    KonjacDouble Action ENERGY & MENTAL

    5) Je mange des fruits et légumes frais sans pesticides.

    L’exposition aux toxines et aux polluants atmosphériques réduit la qualité de la réponse immunitaire. Les pesticides, notamment, inhibent la capacité des cellules NK humaines à sécréter des protéines lytiques et ont un effet néfaste sur les lymphocytes T.

    C’est prouvé : des études ont clairement montré que l’exposition chronique aux pesticides jouent un rôle dans le développement de certaines pathologies respiratoires comme l’asthme ou les bronchites.

    Mon coup de pouce : Si vous êtes sujet régulièrement à des polluants (en habitant dans une grande ville par exemple), augmentez votre consommation d’antioxydants en achetant davantage de fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ou en profitant de ces formules synergiques contenant plusieurs antioxydants redoutables. 

    WFRUITSWPLANTS

    6) Je suis heureux.

    Voltaire l’avait résumé ainsi : "J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé". Et il avait raison. Être heureux, ça se décrète et ça affecte profondément notre vie, notre bien-être et notre santé.

    C’est prouvé : les personnes qui sont plus connectées socialement à leur famille, leurs amis, leur communauté, sont plus heureuses, sont physiquement en meilleure santé, et vivent plus longtemps que celles qui sont moins bien connectées.

    Mon coup de pouce : une des conditions pour être heureux, c’est d’être ouvert d'esprit et experimenter encore et encore, de penser ouverture du coeur, être altruiste et moins dans l'égo. Ne croyez pas ceux qui affirment posséder une recette miracle pour atteindre le bonheur. Le bonheur, il faut y travailler, se l’approprier, se le construire, sortir de sa zone de confort, souvent inconfortable, induisant contractions musculaires et douleurs articulaires.

    Douleurs articulaires

     

    7) Je reste au contact de la nature. 

    Vivre en ville a de nombreux avantages, mais le risque de souffrir de dépression y est aussi plus important. Or, il est certain aujourd’hui que les personnes tristes ou déprimées souffrent d’anomalies immunitaires, et notamment d’un excès de cytokines dans le sang qui induisent chez eux un syndrome inflammatoire et une réduction de la qualité des réponses immunitaires.

    C’est prouvé : au bout de 90 minutes de marche en pleine nature, le cortex préfrontal, en hyperactivité lorsqu’on ressasse des idées noires, est moins sollicité, ce qui réduit le risque de dépression.

    Mon coup de pouce: multipliez les balades au grand air, en forêt ou dans un parc si c’est possible et entourez-vous de verdure ! Une étude a même montré que le simple fait de "voir" la nature accélère le processus de guérison. 

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    8) Je ne fume pas. 

    Les conséquences du tabac sur l’immunité sont catastrophiques. En plus d’une altération des moyens de défense mécaniques comme les cils bronchiques, la fumée de cigarette augmente drastiquement les niveaux d’inflammation tout en diminuant la qualité de la réponse immunitaire (activité des lymphocytes réduite, production plus faible d’anticorps, inhibition des cytokines). 

    C’est prouvé : la probabilité d'attraper la grippe quand on est fumeur, est multipliée par 4. Le tabac double même le risque de contracter une infection respiratoire et favorise les complications.

    Mon coup de pouce : Arrêter de fumer est évidemment la solution, mais pour celles et ceux qui n’y parviennent pas immédiatement, une supplémentation en vitamine C devrait être envisagée. La recherche a montré que la cigarette épuisait plus rapidement les réserves de vitamine C, ce qui contribuait à aggraver leur situation immunitaire. Le kudzu vous aidera pendant la période de sevrage. La racine du Kudzu contient des isoflavones (daidzéine, puérarine, daidzine...) et a prouvé son efficacité pour réduire la consommation de nicotine. De plus, ces isoflavones ont un effet anxiolytique qui peut contribuer au traitement d'autres addictions comme l'alcool. 

    Acérola bioKudzu