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Supplémentation du sportif : évaluez la balance risque / bénéfice
- Par vogot
- Le 24/05/2021
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Tout d'abord je rappelle la citation du célèbre médecin alchimiste Paracelse, fondateur de la toxicologie : « Tout est poison, rien n’est poison : c’est la dose qui fait le poison ».
Prenez, avant tout, conscience de votre mode de vie : sommeil, alimentation, activité physique.
Il n’est pas question ici de voir les compléments du sportif comme une opposition ami / ennemi mais plutôt de mettre en garde sur l’éventuelle balance bénéfice / risque et sensibiliser afin de comprendre que ces ajustements se font au cas par cas.
Gardez en tête que deux personnes possèdent des métabolismes bien distincts et que par conséquent, les deux ne vont pas réagir de la même manière.
Supplémentation du sportif : bonne ou mauvaise idée?
L’idée d’une activité physique qui redessine le corps tout en permettant de se défouler et alléger la charge mentale d’une routine sans fin est très séduisante mais de nombreux sportifs s’adonnent à une prise de compléments afin d’augmenter les bénéfices des séances et obtenir des résultats visibles et de manière rapide.
Avant toute chose, l’effet recherché est d’obtenir un bénéfice, tant sur le plan physique que mental.
Quelles supplémentations choisir?
La première question à se poser est déjà de savoir si le corps est en manque d’un élément que vous souhaitez lui apporter. Si la réponse est oui, la supplémentation n’est pas un problème, en revanche si la réponse cette fois-ci est non, vous risquez de provoquer une surcharge dans votre organisme et d’avoir des effets secondaires, parfois indésirables, plus ou moins marqués. Et là je dis STOP !
Bon nombre de sportifs adaptent leur alimentation: apport plus conséquent en eau, en minéraux et en protéines, sans connaissance aucune de la morpho-physiologie du corps humain. Ce dernier change, commence à se sculpter et donne certaines fois envie d’avoir des résultats encore plus probants et rapides après les séances.
C’est précisément là que certains compléments interviennent: vendus en salle de sport, en boutiques spécialisées ou même sur internet, ces produits sont devenus la clé de voûte de l’entraînement pour beaucoup d’individus.
La consommation au début est régulée et occasionnelle puis devient par la suite plus importante et sur des périodes plus longues. Le sportif peut dans certains cas arriver a se convaincre que c’est par le biais de ces produits et non par l’activité en elle-même qu’apparaissent les résultats rapides de sa nouvelle apparence physique ainsi que l’amélioration de ses performances.
Ces derniers apportent en effet des résultats probants sur la musculature dans un laps de temps minime mais ne sont hélas pas sans danger en fonction du métabolisme qui le reçoit.
Le consommateur va avoir tendance à augmenter les doses et voir l’apparition d’effets nocifs sur son corps. Attention à l’effet de surcharge : une trop grosse quantité de protéines à métaboliser peut mettre le système digestif à rude épreuve, mais pas que.
Lorsque le corps se retrouve en surplus ou ne tolère plus cette supplémentation, il commence à s’exprimer : discrètement au début et de manière beaucoup marquée par la suite afin d’alerter sur son état avec l’apparition de :
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Douleur tendineuses
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Ballonnements
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Fatigue en fin de journée
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Sommeil agité
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Irritabilité
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Et même dans certains cas : modification de certains marqueurs hépatiques et/ou hormonaux.
De plus, Il n’est pas évident d’arrêter cette consommation : tout d’abord le sportif voit cette supplémentation comme faisant partie intégrante de son entraînement et d’un côté il a raison : résultat physique, récupération, gain de force etc… mais surtout le corps étant habitué à recevoir ses produits va se voir fondre à vue d’œil à l’arrêt.
Cette perspective est donc peu encourageante pour le consommateur qui souhaiterait arrêter. L’envie et/ou la consigne de limiter voir interrompre cette prise de produits après autant d’heures passées à la salle pour obtenir son « corps parfait » est parfois recommandé voir inéluctable.
Si votre corps ne supporte pas ces substances chimiques et peine à les filtrer n’oubliez pas que vous pouvez vous tourner vers d’autres alternatives, cette fois-ci naturelles : spiruline (Spiruline biologique (poudre, gélules ou comprimés), Spiruline isotonique en poudre), fenugrec, Somatropine naturelle (Poudre pour boisson), OMÉGA 3 + Vitamine E en fonction des résultats recherchés et de vos besoins.
Il est par conséquent utile et recommandé avant de débuter une nouvelle activité physique d’en parler auprès d’un professionnel de santé (naturopathe-hygiéniste) et/ou préparateur physique afin de dessiner les différents contours et adapter au mieux votre pratique physique à vos besoins : (nombres de séances par semaines, équipement adapté, rééquilibrage alimentaire effectué par un naturopathe-hygiéniste, et bilan sanguin si le patient manifeste l’envie de se supplémenter avec les produits comme BCAA 4:1:1, BCAA 4:1:1 + L-Citrulline, Créatine monohydrate, etc…).
Additifs et compléments : quelles différences?
A la différence de l’additif alimentaire (mélangé directement à certains aliments), le complément alimentaire est, pour sa part, une source concentrée (vitamines, minéraux, acides gras, enzymes, acide aminés..) qui est vendue de façon isolée.
Comme son nom l’indique, le complément alimentaire doit apporter des substances ayant un effet sur l’organisme et qui seraient manquantes ou en quantités insuffisantes dans le rééquilibrage alimentaire normal d’un individu!
Mais, comment s’y retrouver parmi tous les produits proposés pour les sportifs?
Points essentiels sur la supplémentation
Premier point : demandez conseils sur le choix des compléments alimentaires à votre conseiller en santé naturopathe-hygiéniste, qui garantira la traçabilité et le contenu des produits. En effet un achat aléatoire de certains compléments alimentaires sur internet expose à des dangers de compositions frauduleuses, non respectées et donc potentiellement dangereuses pour la santé.
Deuxième point : le danger des produits inadaptés au sport. Pour augmenter ses performances, chacun peut y aller de son médicament, son truc, son astuce, son plat, sa boisson fétiche mais attention concernant les médicaments et notamment les anti-douleurs de type aspirine et ibuprofène (les AINS : anti-inflammatoires non stéroïdiens) car ils ne sont pas sans danger.
En effet, ils vont masquer la douleur et conduire à un plus grand risque de blessure au final. Une étude réalisée l’année dernière montre que la prise d’aspirine ou d’ibuprofène permettrait d’augmenter la performance en permettant une plus longue durée d’effort mais cette consommation augmenterait de manière significative le risque de blessure et surtout engendrerait une inhibition des processus de guérison ainsi qu’une inhibition du ressenti.
En retardant la sensation de douleurs, ces produits permettent aux sportifs d’augmenter leurs entraînements au détriment des tissus qui se trouveraient encore plus fragilisés car les coureurs ne reçoivent plus la bonne information musculaire du fait du masquage de la douleur.
Mais surtout ces médicaments de type aspirine et ibuprofène sont très néfastes pour les reins et le système gastro-intestinal, sans oublier le risque engendré sur les perturbations de la coagulation par la prise d’aspirine.
Qu'en est-il du paracétamol?
Certains sportifs restent très accros à leur cachet de paracétamol avant l’effort!
Est considéré comme du dopage? Oui ! Ou tout du moins comme conduites dopantes car le paracétamol va diminuer la chaleur corporelle ce qui peut améliorer le confort du sportif mais le risque reste aussi le masquage d’une blessure et surtout une hépato-toxicité prouvée et dangereuse du paracétamol.
Les différentes catégories de compléments
Pour un sport d’endurance (la course à pied, natation, vélo), les compléments alimentaires ne seront pas les mêmes que pour un sport de force, de vitesse ou de puissance.
Les acides aminés et les protéines
Pour les sportifs d'endurance, la consommation de protéines autres que celles apportées par l'alimentation courante au quotidien n'est généralement pas nécessaire.
Concernant les acides aminés, deux peuvent avoir un intérêt pour le sportif :
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La glutamine : c’est pourtant l’acide aminé le plus abondant dans l’organisme, on peut donc se poser la question de l’intérêt d’en consommer en complément ?
En fait l’activité physique vide les réserves de glutamine plus vite qu’elle ne se reforme, ce qui peut conduire l’organisme à détruire des cellules musculaires. De plus une supplémentation en glutamine peut réduire la vulnérabilité aux infections après de gros entraînements car une diminution de la glutamine dans l’organisme provoque un état de faiblesse du système immunitaire face aux infections post-entraînements. Je vous conseille L-glutamine en poudre.
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Les BCAA : ce sont des acides aminés avec des chaînes ramifiées dans leur structure qui font partie des acides aminés dits essentiels dans notre organisme. Ils présentent un certain intérêt en nutrition sportive, car ce sont les premiers acides aminés dégradés lors d'un effort sportif.
Une supplémentation peut donc être conseillée pour diminuer la dégradation des protéines dans les muscles squelettiques. Ils sont aussi reconnus pour leur action sur la diminution de la production d’acide lactique et ainsi favorisent aussi l’augmentation de l’endurance et la récupération. Mon conseil : BCAA 4:1:1, BCAA 4:1:1 + L-Citrulline, en association : L-Citrulline-DL-Malate (2:1).
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Les minéraux et oligo éléments : en principe, ils sont apportés en quantité suffisante par l'alimentation, en particulier par la consommation de fruits, légumes et eaux de boisson variées.
Cependant, lors des efforts de longue durée avec de fortes sudations, les pertes en minéraux doivent être compensées. Boissons de réhydratation et énergétiques peuvent apporter un supplément de sodium et des différents minéraux éliminés lors de l’effort.
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Les minéraux et oligoéléments essentiels : le fer est un allié (surtout pour les femmes qui sont souvent en déficit de fer) pour la synthèse des globules rouges et l’oxygénation des tissus.
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La spiruline notamment est riche en vitamines et en fer. Elle est connue pour accroître la résistance et prévenir les crampes musculaires. Mon conseil : Spiruline isotonique en poudre.
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Quant au zinc, il est présent dans notre organisme pour assurer le fonctionnement de plus de 200 enzymes qui permettent un métabolisme des glucides, lipides et protéines optimal. Mon conseil : Force des Incas.
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Enfin, le magnésium participe à la transmission de l’influx nerveux et à la contraction musculaire en plus de sa participation à la solidité des os, des dents et au fonctionnement plus général de tous nos organes. Mon conseil : Magnésium Marin + Vitamine B6.
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Les vitamines : elles sont apportées en quantités suffisantes dans le cadre d'un rééquilibrage alimentaire dissocié et équilibré. La consommation de vitamines en compléments alimentaires peut être envisagée en cas de fatigue prononcée ou lors des changements de saison. Mon conseil : Formule VitaMinéro.
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Les acides gras polyinsaturés : pour atteindre les apports conseillés, il est nécessaire en premier lieu de consommer petits poissons gras et huiles qui contiennent ces acides gras polyinsaturés.
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Compléments à effets ergogéniques : les produits, tels que caféine, cola, ginseng (Cerepuls), quinine, taurine (Taurine spécial végétarien), carnitine (Acétyl L-carnitine (ALC)), aux effets excitants restent cependant dans le haut du tableau des compléments alimentaires préférés des sportifs.
Attention toutefois car ces produits consommés en grandes quantités peuvent avoir des effets gênants :
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insomnie,
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irritabilité,
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agressivité,
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trouble du rythme cardiaque,
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hypertension,
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troubles digestifs,
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etc…
Il convient de les utiliser avec parcimonie et toujours en ayant pris conseil précédemment, auprès de votre conseiller en santé, sur les potentiels effets secondaires et/ou indésirables.
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Compléments à effet brûleur de graisses : la consommation de ces compléments est indiquée pour aider l’organisme à « brûler » plus de calories lors d’un effort sportif. Appelés aussi "Fat burner", les brûleurs de graisse déstockent et mobilisent les graisses emmagasinées dans l’organisme.
Accompagnés d’une baisse des apports caloriques et d’une augmentation de l’activité physique, les brûleurs de graisse font maigrir sans risque de fatigue et ils sont également utilisé par les sportifs pour "sécher" c’est à dire perdre du poids sans perte de muscle. Mes conseils : Café vert (Svetol®) + Thé vert, Chitosan, MaxiCapsicum, Cétones de Framboise à libération rapide.
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Compléments à effet anti-inflammatoire et antidouleur : l'effet attendu est de limiter les effets douloureux de certaines pratiques sportives notamment au niveau des articulations et des douleurs musculaires.
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Les oméga-3, acides gras polyinsaturées, permettent de réduire les processus inflammatoires mais comme indiqué plus haut une consommation régulière de poissons gras et huiles adaptées permet d’avoir un apport tout à fait convenable de ces oméga-3. Mon conseil : OMÉGA 3 + Vitamine E.
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L’acide hyaluronique peut aussi être consommé par voie orale, il est naturellement présent dans la peau et il assure une très grand part de l’hydratation, de l’élasticité et de la tonicité des articulations. Mon conseil : Acide hyaluronique.
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Le collagène, lui, garantit la souplesse et l’élasticité des articulations et de la peau. Il est produit naturellement dans l’organisme mais peut aussi être consommé sous forme de complément alimentaire. Mon conseil : Collagène marin.
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La silice permet une régénération du cartilage et est naturellement présent dans les compléments alimentaires à base de bambou ou d’ortie. Mes conseils : Confort articulaire, Bambou Extrait, Ortie racines, Ortie BIO, Arthro-souplesse.
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Veuillez noter que le curcuma, en complément alimentaire est un puissant anti-inflammatoire et antioxydant naturel permettant de maîtriser le phénomène inflammatoire et de lutter contre le vieillissement des articulations. Mes conseils : Super curcuma, Curcuma BIO, Douleurs articulaires.
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Pour rappel, c'est la curcumine contenue dans le curcuma qui est le principe actif, et que dans la poudre de curcuma vendue en rayons épices et herbes aromatiques, vous ne retrouverez que 5% environ de ce principe actif.
En nutrition sportive les compléments alimentaires constituent un appoint pour les sportifs de haut niveau comme pour les sportifs de niveau modeste qui s’entraînent régulièrement dans le but de se maintenir en forme.
Même si une alimentation variée doit assurer l'apport complet des nutriments utiles à une bonne condition physique, le problème peut éventuellement venir de la qualité de l’alimentation souvent appauvrie. Les fameuses calories vides des produits raffinés remplacent les produits naturels (fruits et légumes de saisons par exemple) qui eux sont très riches nutritionnellement.
Alors pensez d’abord au contenu de votre assiette, votre conseiller en santé naturopathe-hygiéniste saura adapter votre alimentation, la dissocier et en cas de carences avérées ou de gros efforts sportifs à venir, il saura bien sur utiliser des compléments alimentaires mais toujours de manière raisonnée et sur une période courte de 15 jours à 3 semaines maximum.
Maintenant, vous savez !
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Arrêt tabagique au naturel
- Par vogot
- Le 15/01/2021
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Ça y est, c'est le moment d'arrêter de fumer. Comme je l'écrivais dans un article, c'est en janvier ou en septembre que vous devriez vous engager dans un sevrage tabagique.
Le tabac entraîne des carences car les nombreuses substances toxiques qui s’en dégagent sont de grandes consommatrices de nutriments indispensables à une bonne santé.
Le fumeur empoisonne non seulement son organisme mais il le prive également de vitamines, minéraux, oligo-éléments ou encore antioxydants…
Ces carences ont comme conséquences directes d’affaiblir l’ensemble de l’organisme notamment les systèmes immunitaire, pulmonaire, cardio-vasculaire ou encore hormonal.
Le tabagisme engendre également le vieillissement cellulaire et rend l’individu dépendant physiquement et psychologiquement.
En effet, la nicotine qui est un poison violent, entraîne l’addiction en agissant directement sur le système nerveux central. La cigarette procure un plaisir à court terme et permet souvent de gérer son stress et ses émotions.
C’est sur l’ensemble des ces phénomènes que le thérapeute va s’appuyer pour aider son consultant à stopper le tabac.
Le plus important passe par l’alimentation
Comme nous l’avons vu ci-dessus, le fumeur est particulièrement carencé. L’alimentation va donc jouer un rôle capital pour combler les manques en vitamines, minéraux et oligo-éléments.
Une alimentation équilibrée, dissociée, vivante, et riche en antioxydants sera ainsi préconisée, elle comportera un apport conséquent en légumes et fruits frais, des céréales complètes et des protéines de bonne qualité.
Les graines germées, la spiruline et le pollen que l’on appelle des super-aliments, seront très intéressants pour leur apport en nutriments essentiels et contribueront à retrouver une belle énergie vitale, le fumeur étant souvent fatigué suite aux carences.
Il faudra également s’intéresser à éviter la prise de poids en conseillant de bien mâcher et en mangeant en pleine conscience dans un environnement calme.
Il sera conseillé d’éviter la consommation des sucres raffinés et de toute alimentation industrielle et raffinée, riche en acides gras saturés, sucres cachés et additifs multiples, et de remplacer par des fruits frais, du chocolat noir à plus de 70 % ou encore des oléagineux.
Enfin, la cigarette est souvent associée à la consommation d’alcool ou de café, il sera indispensable pour éviter une dépendance comportementale de supprimer ces excitants et de proposer à la place des jus de fruits frais ou des tisanes relaxantes comme par exemple le tilleul, la camomille, la mélisse, le coquelicot ou la lavande.
Le drainage du foie est primordial
Le foie est un des cinq émonctoires du corps humain, chargé d’évacuer les toxines. Il est par contre le seul à évacuer les toxiques qui sont des polluants venant de l’extérieur et qui normalement n’ont rien à faire dans l’organisme.
Le drainage du foie sera donc essentiel à préconiser pour aider le foie dans sa lourde tâche.
On s’orientera vers du radis noir, artichaut, romarin … et vers du desmodium, chardon-marie ou du chrysanthellum americanum en cas de fatigue.
Pratiquer une activité physique
La pratique régulière d’un sport adapté à sa condition physique et à son tempérament est indispensable à plusieurs niveaux.
Elle apportera du bien-être, une meilleure gestion du stress et participera à un meilleur sommeil.
Elle évitera également la prise de poids souvent associée à l’arrêt du tabac.
Enfin elle contribuera au nettoyage des poumons en évacuant l’oxyde de carbone et en augmentant la consommation d’oxygène.
Ne pas rester seul et s’attaquer à la cause
Lorsqu’on souhaite arrêter de fumer, le plus important est d’être motivé et de ne pas rester seul, ce qui augmentera considérablement les chances de se libérer de l’emprise du tabac.
Arrêter seul peut être compliqué et il est important de comprendre les raisons qui ont amené à fumer afin de s’attaquer directement à la cause et éviter ainsi les rechutes.
La naturopathie, l’acupression, la pose de ventouses comme en cupping-thérapie, l’ostéopathie ou une écoute thérapeutique sont des techniques qui ont toute leur place dans l’accompagnement de l’arrêt du tabac.
Se relaxer, se détendre
Différentes disciplines peuvent contribuer à aider le patient dans sa démarche. L’hypnose, la sophrologie, la méditation ou toutes autres formes de relaxation sont des aides précieuses. La réflexologie plantaire ou les massages relaxants peuvent venir compléter efficacement ces protocoles. En prenant soin de soi, en se détendant et en se tournant vers d’autres plaisirs, il sera ainsi plus facile de se détourner de la cigarette.
Les fleurs de Bach pourront apporter une aide efficace lorsque les émotions en jeu dans le fait de fumer auront été identifiées.
L'homéopathie pourra également aider dans une autre mesure.
La supplémentation en phytothérapie
Il existe de nombreuses plantes qui pourront apporter une aide précieuse à l’arrêt du tabac, au niveau du stress et de l’addiction.
Des plantes relaxantes comme le millepertuis, la passiflore, la valériane, la synergie mélisse et valériane ou des plantes adaptogènes comme la rhodiola, l’éleuthérocoque (gélules ou sous forme de bourgeons) ou le schisandra, seront appréciables pour réduire les troubles nerveux et contribuer à un sommeil réparateur.
Le kudzu facilitera le sevrage.
Le choix des plantes et les posologies seront à déterminer par votre thérapeute en fonction de son anamnèse, ne jamais se supplémenter sans l’avis d’un professionnel, l’usage de la phytothérapie peut se révéler dangereux si les traitements ne sont pas adaptés ou si les contre-indications ne sont pas respectées.
En conclusion
Vous l’aurez compris, l’arrêt du tabac nécessite pour mettre toutes les chances de son côté de se faire accompagner, de comprendre la cause qui a amené à l’addiction et mettre en œuvre une hygiène de vie globale tout en conservant le plaisir.
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Soigner l'arthrose et ses douleurs: guide complet
- Par vogot
- Le 20/08/2020
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Comme je l'écrivais dans l'article "Les médicaments contre l’arthrose sont prouvés inefficaces !", à quoi bon soulager (plus ou moins) des douleurs avec un produit qui va occasionner d’autres ennuis de santé ?
C’est le gros problème des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
Il y a déjà des centaines d’études qui montrent qu’à long terme, leur utilisation entraîne des effets secondaires (risque accru d’épisode cardiovasculaires, perforations, toxicité gastrique), mais de nouvelles études s’ajoutent chaque semaine à la liste. L’une des dernières en date vient de démontrer qu’à long terme, ces antidouleurs augmentaient significativement le risque de perte auditive (en endommageant les poils minuscules qui tapissent l’oreille et en réduisant son approvisionnement en sang).
L'arthrose est une maladie articulaire fréquente, mais pas inévitable. Quelques règles de santé permettent de garder de bonnes articulations sans médicaments. Mais, si par malheur, le mal progresse, de nombreux traitements naturels le ralentissent pour ne pas passer par la case chirurgie et prothèse. Prenez soin de vos articulations, votre naturopathe peut vous y aider.
L'arthrose est une « maladie articulaire » fréquente. Outre la douleur, elle provoque une gêne au niveau de la mobilité de l'articulation touchée. Sans prise en charge, elle présente un risque d'aggravation nécessitant de la chirurgie et parfois la pose d'une prothèse. Heureusement, la médecine naturopathique propose aujourd'hui des traitements naturels pour prévenir et freiner la progression de la maladie.
Découverte de l'arthrose et des prises en charge naturelles pour éviter le médecin, l'hôpital et l'opération.
L'arthrose, qu'est-ce que c'est ?
L'arthrose est une atteinte chronique des articulations. Elle entraîne la destruction du cartilage et des douleurs. Celles-ci augmentent au cours de la journée. Ce sont principalement les articulations de la hanche, du genou, de la main et de la colonne vertébrale qui sont touchées. Cette maladie invalidante est proche de l'arthrite, caractérisée par des poussées inflammatoires.
Est-ce grave ?
L'arthrose est fréquente, mais pas grave. En effet, comme toutes les maladies invalidantes, elle entrave la qualité de vie du patient, mais n'engage pas son pronostic vital. Certaines améliorations dans l'hygiène de vie et certains traitements ralentissent son évolution. Cependant, au cours du temps, la mobilité du patient se détériore et la chirurgie s'envisage parfois pour mettre fin aux douleurs.
Les risques de l'arthrose
L'arthrose ne provoque pas de risques au niveau de la santé, dans le sens où il ne s'agit pas d'une pathologie par laquelle on peut mourir. Cependant, l'arthrose, comme tous les types de douleurs articulaires, est très invalidante. En effet, en l'absence de prévention, l'arthrose doit se traiter avec des médicaments pour soulager la douleur et, à terme, la chirurgie est souvent indispensable avec le placement d'une prothèse (pour les hanches et les genoux en général).
L'arthrose survient à quel âge ?
Le diagnostic clinique de l'arthrose arrive souvent vers 60 ans. C'est à la décennie suivante que la majorité des patients ont malheureusement recours à la chirurgie pour la pose d'une prothèse.
Cependant, vers 40 ans, l'arthrose commence à apparaître sur les radiographies, et ce, même sans douleurs aux articulations. Elle se dissimule, elle est vicieuse. Dans plus de 70 % des cas, la colonne lombaire est touchée. Les mains représentent 60 % des cas d'arthrose, le genou 30 % et la hanche ne représente que 10 %.
Les dégâts de l'arthrose sur le cartilage sont donc présents avant l'apparition de la douleur et des autres symptômes. La recherche d'une arthrose naissante dès la quarantaine permet alors de corriger les facteurs d'aggravation et d'établir un protocole de prévention de qualité. Cela permet une prise en charge rapide pour soulager les futurs symptômes, mais surtout pour limiter leur apparition. C'est aussi le rôle du naturopathe de déceler cette pathologie avant qu'elle ne survienne, grâce à une anamnèse ciblée, puis d'en diminuer les douleurs voir de l'éviter par un rééquilibrage alimentaire complété dans quelques cas, et selon l'avancée de la « maladie » par une supplémentation.
Quelles sont les causes de l'arthrose ?
L'arthrose, et les « maladies » des articulations en général, ont de multiples causes totalement établies. Les causes principales de la détérioration du cartilage sont souvent d'ordre physiques, métaboliques, environnementales, génétiques et hormonale, mais surtout alimentaires, comme nous allons le voir.
Quelles sont les causes physiques de l'arthrose ?
L'arthrose est une usure anormale du cartilage d'une articulation. En général, cette usure du cartilage se manifeste par des microfissures de surface puis de profondeur. Ces microfissures sont favorisées par des traumatismes répétés ou violents sur l'articulation et son cartilage. Les contraintes physiques, aussi appelées mécaniques, sont alors pleinement mises en cause dans l'apparition des douleurs articulaires.
Quelles sont les causes métaboliques de l'arthrose ?
Selon certaines observations épidémiologiques, le poids physique joue un rôle dans l'apparition des douleurs articulaires. En effet, l'obésité, et plus simplement le surpoids favorisent l'apparition de l'arthrose de la hanche et du genou. En médecine, l'obésité est un trouble métabolique qui doit être soigné dans un hôpital. En naturopathie, un suivi thérapeutique complété par un rééquilibrage alimentaire permet de palier aux carences et aux déséquilibres alimentaires, sources de l'arrivée de cette pathologie invalidante.
En plus de la contrainte physique exercée par le poids, l'obésité engendre l'apparition ou l'aggravation de l'arthrose en raison des adipokines qui se logent autour des articulations.
Les adipokines, ou adipocytokines, sont des cytokines sécrétées par le tissu adipeux. La première adipokine découverte a été la leptine en 1994. Depuis, des centaines d'adipokines ont été découvertes.
Les cytokines sont un ensemble hétérogène de protéines ou des glycoprotéines solubles. Elles jouent le rôle de signaux permettant aux cellules d'agir à distance sur d'autres cellules pour en réguler l'activité et la fonction.
Quelles sont les causes hormonales de l'arthrose ?
Les incidences hormonales de l'arthrose concernent principalement les femmes. En effet, au-delà de la cinquantaine, l'équilibre hormonal féminin change. C'est à ce même moment que l'incidence de l'arthrose augmente de manière exponentielle. Si le mécanisme de protection articulaire n'est pas encore connu par la médecine allopathique, il semble que les œstrogènes et la progestérone puissent avoir un effet protecteur contre la dégradation du cartilage. Or, à la ménopause, leur fabrication diminue. Là encore, le rôle du naturopathe est essentiel.
La prise de poids généralement observée à cet âge doit également être prise en considération dans les données épidémiologiques relatives aux facteurs hormonaux. En effet, la prise de poids accentue les contraintes physiques exercées sur les articulations et le cartilage. Ce qui explique notamment le nombre élevé de personnes âgées porteuses d'une prothèse de hanche ou de genou.
Quels sont les symptômes de l'arthrose ?
Les symptômes de la maladie arthrosique dépendent de l'articulation touchée. Dans tous les cas, elle provoque une douleur et une gêne fonctionnelle.
La douleur de l'arthrose est de type « mécanique ». C'est-à-dire que la douleur se déclenche au moment des mouvements. Dans la phase la plus grave de la pathologie, la douleur peut être permanente et aggravée par l'activité. Il s'agit alors d'une forme invalidante qui doit être traitée par la chirurgie, quand la médecine allopathique a épuisé les solutions chimiques.
D'une manière générale, la douleur apparaît lorsque l'articulation est soumise à un effort, il s'agit alors :
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de la marche pour une arthrose de la hanche ;
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de l'utilisation d'un escalier pour une arthrose du genou ;
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d'un port de charge pour une arthrose de l'épaule.
Au plus fort de la « maladie », la gêne fonctionnelle limite la mobilité de l'articulation touchée par l'arthrose. Cette gêne est variable suivant les cas. Elle est plus ou moins invalidante suivant l'activité du patient.
D'une manière générale, les articulations atteintes d'une maladie arthrosique ne sont ni rouges ni chaudes. En effet, ces deux symptômes traduisent des portées inflammatoires liées à l'arthrite, et non pas à l'arthrose. Cependant, les deux maladies articulaires peuvent être concomitantes dans les articulations des patients.
Comment la prévenir?
Tout d'abord, en prenant rendez-vous avec votre naturopathe qui vous donnera les conseils essentiels afin de diminuer, réduire, voir éviter cette pathologie. Il prendra le temps nécessaire afin de vous suggérer avant tout une modification de votre alimentation qui est, je le rappelle, à 65% la cause des pathologies. Cela n'est plus à démontrer.
L'arthrose est une maladie dégénérative de l'articulation et de son cartilage. Si certains facteurs de risque ne sont pas modifiables, d'autres, en revanche, préviennent l'apparition de la maladie et les traitements qui s'en suivent.
Les facteurs de risques qui peuvent être influencés sont :
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la prise ou la perte de poids ;
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la recherche physique d'une usure anormale d'une articulation et de son cartilage ;
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la pose d'une anamnèse, en prenant le temps nécessaire à la discussion, en cas de douleur ou de gêne (par votre naturopathe ou praticien de santé) ;
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l'observance d'un mode vie sain et d'une alimentation équilibrée, grâce au rééquilibrage alimentaire et dissocié.
Rappel : Les protéines se consomment au repas du midi, avec des légumes verts, et les féculents le soir avec des légumes verts. Ne jamais croiser dans un même repas, protéines et amidons. Quant aux fruits, ils seront consommés en dehors des repas. C'est une règle essentielle. Je vous invite à lire l'article: "Pourquoi consommer les fruits en dehors des repas".
Évitez impérativement, les plats cuisinés industriels ainsi que les « fast-food », trop riches en sucres et lipides en tous genres et souvent mal équilibrés, n'en déplaisent à certains nutritionnistes. Quant au Nutriscore, je n'ai pas la même vision des choses.
Evitez de préparer vos repas à l'avance
Une nouvelle mode venue des Etats-Unis, le Batch Cooking, voudrait vous faire croire que, préparer vos repas le week-end et notamment le dimanche, pour mieux les consommer la semaine serait bénéfique à une meilleure organisation. Sauf que la perte de minéraux et de vitamines de vos plats, même "faits-maison" stockés le plus souvent au réfrigérateur puis réchauffés au micro-onde, c'est un non-sens que je qualifierais d'incompréhensible. Autant acheter des plats cuisinés, le résultat ne serait pas pire.
Quel est le meilleur traitement pour l'arthrose ?
L'arthrose n'est plus une maladie incurable contrairement à ce que l'on voudrait vous faire croire. Il est tout à fait possible de limiter l'usure du cartilage ainsi que les douleurs. Grâce à certains composés naturels, la chirurgie et la prothèse ne sont plus des fatalités.
Voici un tour d'horizon
Quelle alimentation pour freiner la progression de l'arthrose ?
L'alimentation a un rôle essentiel sur la protection de la santé. Les articulations ne font pas exception. Certains aliments sont donc de nature à favoriser la bonne santé des articulations et du cartilage, tandis que d'autres sont délétères.
Retour sur cette alimentation pro-inflammatoire et anti-inflammatoire
Quels aliments à favoriser en cas d'arthrose ?
En cas de « maladie » arthrosique, il convient de favoriser une alimentation riche en minéraux, en vitamines et en antioxydants. Il faut également faire la part belle aux aliments dits « anti-inflammatoires ».
Pour la formation d'os et d'articulations solides, le calcium citrate et la vitamine D3, le magnésium marin et la vitamine B6 et le zinc présent dans la Cannelle de Ceylan sous forme d'aldéhyde ou dans Précurseur TSH sous forme de gluconate de zinc sont indispensables. Les produits laitiers en contiennent de bonnes quantités mais sont à éviter (sauf ceux fabriqués à partir de lait de brebis ou de chèvre, à consommer avec modération, si vous ne pouvez vous en passer). N'oubliez pas que les produits laitiers sont vos ennemis pour la vie et créeront avec le temps de l'ostéoporose. Par contre le "lait d'or" sera un partenaire et un allié essentiel à posséder chez vous. Il présente plus de 150 propriétés thérapeutiques, notamment antioxydantes, anti-inflammatoires et des propriétés anticancéreuses.
Les vitamines du groupe B et les antioxydants préservent les articulations. Ils se trouvent dans les fruits et légumes et dans les céréales complètes.
Du côté des aliments « anti-inflammatoires », il est opportun de consommer suffisamment de poissons gras, riches en oméga 3. Ils luttent contre les inflammations des articulations et contre la douleur. Bien entendu, évitez, là aussi, les gros prédateurs, riches en métaux lourds. Préférez de petits poissons sauvages comme le maquereau, l'anchois ou la sardine non issus d'élevages ou d'exploitations, même biologiques.
Aliments à éviter en cas d'arthrose ?
En cas d'arthrose, il est indispensable d'éviter l'inflammation des articulations. De même, l'alimentation limite l'inflammation générale de l'organisme, comme c'est souvent le cas lors du diabète ou de l'obésité.
Par conséquent, pour les troubles articulaires, l'alimentation sera, autant que possible, dépourvue de sucre blanc, de riz blanc, de farine blanche, de sel blanc, dans la mesure du possible, là encore, évitez tout ce qui est raffiné donc dépourvu de sels minéraux et de vitamines ainsi que les boissons sucrées, les plats transformés ou industriels, les additifs alimentaires, mais également les alcools forts et le café fort et surtout en capsules d'aluminium. Ces aliments, une fois digérés difficilement, créent des inflammations et des déchets pro-inflammatoires qui détruisent vos cellules.
Et les compléments alimentaires efficaces ?
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Le gel d’Arnica, efficace en application pour soulager la douleur et améliorer la mobilité.
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L’extrait de Cayenne (Capsicum frutescens) qui, en raison de sa teneur en capsaïcine fait partie des recommandations internationales pour soulager l’arthrose du genou (sous le nom de MaxiCapsicum).
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L’extrait de Boswellia serrata, qui figure parmi les produits de santé naturels les plus employés à l’heure actuelle (sous le nom de Boswellia serrata).
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L’extrait de griffe du diable (Harpagophytum procumbens), qui démontre une capacité à réduire l’inflammation et à améliorer la mobilité des articulations (sous le nom d'Harpagophytum).
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Le complexe vitamine B est nécessaire au fonctionnement efficace de l'organisme.
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La formule Vitaminéro est une formule dosée et complète qui contient une large sélection d’éléments essentiels. Formule VitaMinéro aide en période de vie active: physiquement et mentalement. Elle contribue à un bon métabolisme énergétique et au bon fonctionnement cognitif.
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Harpagophytum, curcuma, uncaria tomentosa contenus dans le complexe douleurs articulaires, les plus puissants composés naturels, sauront être bien plus efficaces que les médicaments allopathiques, effets secondaires en moins.
Il est possible également de puiser parmi les produits de santé naturels comme les suppléments de chondroïtine.
Associée à la chondroïtine, la glucosamine soigne l'arthrite et les articulations en général en combinant deux actions complémentaires. Elle permet de stopper l'inflammation des tissus, qui cause la douleur et qui participe à la dégénérescence articulaire. De plus, elle a une action directe sur les cartilages, en stoppant leur destruction.
Elle peut donc être utilisée par les personnes souffrant d'arthrite, mais aussi par les sportifs et notamment les haltérophiles ou les pratiquants de musculations, qui mettent leurs articulations à rude épreuve.
La glucosamine HCL fournit 40% de glucosamine en plus, que le sulfate de glucosamine standard.
D'autres compléments alimentaires existent, sans effets secondaires, ni accoutumances, qui sont des éléments majeurs lorsqu'on tombe dans le cercle vicieux des traitements allopathiques.
Une gamme d'anti-inflammatoires sous forme liquide en gemmo-phytothérapie existe également. Elle a le privilège d'être mieux acceptée par les patients qui ont des difficultés à avaler les gélules.
Et le petit nouveau, le CBD...
Vous pourriez être amenés à confondre trop souvent, au sujet du cannabis, le THC et le cannabidiol (CBD). Et pourtant, le second se distingue du premier par ses bénéfices sur la santé et son utilisation dans un cadre paramédical.
Des deux substances actives les plus connues du cannabis, le CBD sous forme de comprimés à sucer, de liquide et de gélules 10mg ou 25 mg est, en effet, la plus intéressante du point de vue des patients qui s’en servent pour apaiser douleurs, angoisses, inflammations, ainsi que de nombreux autres symptômes.
Une sorte de cannabis light, cannabis thérapeutique désormais légalisé par de nombreux pays en raison de ses vertus thérapeutiques.
Je vous suggère la lecture de cet article: "CBD : l'anti-inflammatoire du 21ème siècle".
Les plantes à consommer pour limiter les douleurs de l'arthrose ?
Pour soulager l'arthrose, diminuer la douleur ou favoriser la souplesse des articulations, la nature offre plusieurs traitements.
L’ortie peut être utilisée pour soulager l'arthrose. Reminéralisante, l'ortie favorise la reconstitution du cartilage. Cette plante est également connue pour son effet anti-inflammatoire naturel.
La prêle agit d'une manière similaire à l'ortie pour lutter contre les symptômes de l'arthrose. Elle soulage les douleurs causées par la maladie arthrosique. La plante, aussi appelée « queue de rat », apporte une action anti-inflammatoire tout au long de la journée.
Les feuilles de cassis possèdent aussi une action anti-inflammatoire pour soulager les douleurs d'une articulation. Cette plante est recommandée dans le traitement des douleurs articulaires liées à l'arthrose, au rhumatisme et à l'arthrite.
Enfin, l'harpagophytum, comme nous l'avons vu ci-dessus, diminue la sensibilité des articulations à la douleur. Cette plante apporte une amélioration importante dans la souplesse des mouvements. Le traitement doit être utilisé sur le long cours pour apporter une évolution positive mesurable. Demandez conseil à votre naturopathe.
Maintenant, vous ne pourrez plus dire que vous ne savez pas.
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Stéatose/Fibrose : Prise de poids, que deviennent vos cellules graisseuses ?
- Par vogot
- Le 29/08/2018
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Le surpoids correspond à une accumulation de graisses dans le tissu adipeux. Il est souvent causé par une alimentation trop calorique, riche en glucides et en graisses, associée à un manque d'exercice physique.
Le surpoids augmente le risque de développer des maladies chroniques comme le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, certains cancers ou de l'arthrose. Pour retrouver un poids normal et réduire les risques pour la santé, il est conseillé d'agir sur son alimentation, son activité physique et sa supplémentation.
Si vous êtes en surpoids ou si vous avez ce qu’on appelle un ventre bedonnant, vous êtes probablement victime d’une inflammation chronique du tissu adipeux. Parce que c’est un processus pathologique silencieux qui, tôt ou tard, finira par se manifester comme une bombe à retardement, vous feriez mieux de vous intéresser aux nouvelles découvertes et d’agir rapidement.
Que se passe-t-il lorsque vous prenez du poids ?
Prendre du poids est un processus tout à fait naturel pour notre organisme. C’est une astuce qui permet de mettre en réserve l’énergie dont on n’a pas immédiatement besoin. De cette façon, il n’y a jamais de gâchis et l’organisme peut facilement survivre aux périodes de disette. Malheureusement, ce qui était une bénédiction pour nos ancêtres est devenu une véritable malédiction dans nos sociétés d’opulence. La chute de l’activité physique, l’abondance des biens alimentaires, leur forte densité calorique et parfois leur mauvaise qualité ont parasité le mécanisme et provoqué des épidémies de surpoids spectaculaires.
Chez ces personnes, les apports caloriques ont été plus élevés que les dépenses pendant un certain temps : il a donc fallu stocker l’énergie en trop dans des cellules spécialisées, les adipocytes. Ce sont ces cellules qui forment l’essentiel du tissu adipeux, le tissu mou responsable des formes disgracieuses. Les réserves sont stockées sous forme de lipides : ils pénètrent dans les adipocytes qui enflent comme des ballons de baudruche à mesure que s’accumulent les graisses.
Si le déséquilibre calorique se poursuit, le tissu continue de s’étendre, obligeant l’organisme à recruter toujours plus de cellules graisseuses et à réaménager les voies de circulation sanguine pour les alimenter correctement. Mais si les adipocytes sont de trop grande taille, ils finissent par suffoquer et manquer d’oxygène : les vaisseaux sanguins ne parviennent plus jusqu’à eux et la distance de diffusion de l’oxygène peut être dépassée.
Ce manque d’oxygène, qu’on appelle hypoxie, va semer le chaos dans le tissu adipeux.
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Il provoque une inflammation chronique du tissu adipeux.
Cette même inflammation se propage ensuite vers la circulation sanguine, où on est d’ailleurs capable de la mesurer avec un test spécifique. L’inflammation s’accompagne d’une infiltration massive de macrophages, ces cellules immunitaires primitives attirées par certaines cytokines (le MCP-1 notamment) sécrétées par les adipocytes suffocants.
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Il provoque la formation d’un dépôt de collagène qui piège les adipocytes.
L’inflammation du tissu adipeux s’accompagne d’un dépôt de collagène (de type VI) qui va rendre le tissu rigide, fibreux. Des bandes fibreuses se forment dans le milieu extracellulaire, ce qui va grandement perturber le tissu. Ces bandes vont empêcher les adipocytes de gonfler et de stocker davantage de lipides excédentaires, les réorientant vers des organes vitaux comme le foie, les muscles et le cœur, ce qui augmente l’accumulation de dépôts lipidiques à des endroits inappropriés. Et c’est précisément cette réorientation des graisses qui est à l’origine de très nombreuses complications comme les troubles cardiovasculaires, l’insulinorésistance, le diabète de type II ou la stéatose hépatique.
Stéatose et fibrose: Explications
Important facteur de risque d’accidents cardio-vasculaires, de diabète et de cancers extra-hépatiques, la stéatose est, dans 10 % à 20 % des cas, associée à de l’inflammation et à une souffrance des cellules du foie, les hépatocytes, pouvant aller jusqu’à leur nécrose. Il ne s’agit plus alors de stéatose pure, mais d’une stéato-hépatite non alcoolique, véritable hépatite à la graisse, ou NASH (non alcoolic steatohepatitis) qui associe une inflammation, une nécrose et une fibrose hépatiques. Or la NASH, complètement silencieuse, asymptomatique, peut évoluer dangereusement.
Lorsque la souffrance hépatique devient chronique, les lésions du foie cicatrisent en formant de la fibrose. Cette fibrose s’installe plus ou moins vite selon les sujets. Dans environ 20 % des cas, elle va progresser jusqu’à la cirrhose. Dès lors, le foie, complètement déstructuré, ne peut plus fonctionner normalement, et des complications très graves peuvent survenir: hémorragies digestives, insuffisance hépatique, encéphalite hépatique, etc.
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Il complexifie la perte de poids.
C’est un fait démontré : plus le tissu graisseux contient de la fibrose, moins une personne a de chance de perdre du poids. Voilà pourquoi cette fibrose pathologique pourrait constituer une cible potentielle du traitement de l’obésité !
Ce phénomène est un véritable cercle vicieux : la réduction du flux sanguin vers le tissu gras fibrosé peut entraîner la nécrose des cellules graisseuses, ce qui attire d’autres macrophages et augmente encore le niveau de l’inflammation. Au final, les cellules du tissu gras progressent vers un état de sénescence très inquiétant.
Comment savoir si votre tissu adipeux est normal ?Cette « fibrose » du tissu graisseux ne survient pas uniquement chez les personnes obèses. Il peut également apparaître chez des personnes minces, ayant très peu de gras sous la peau, mais présentant cette forme de pomme caractéristique qu’on appelle familièrement la bedaine. Chez eux, le gras se dépose au niveau de l’abdomen, dans les couches profondes du ventre et autour de leurs organes internes. Or, c’est un dépôt de graisse particulièrement risqué pour la santé.
Il existe plusieurs grands dépôts de graisses : le tissu sous-cutané, le tissu viscéral, les hanches et tous ceux associés à des organes comme le cœur ou les reins. Chacun de ces dépôts a un profil endocrinien bien spécifique, c’est-à-dire qu’ils ne sécrètent pas les mêmes messagers, et donc les conséquences ne sont pas les mêmes si les dépôts s’agrandissent ou deviennent malades.
Par exemple, le tissu sous-cutané ne semble pas lié aux pathologies associées à l’obésité contrairement au tissu viscéral. C’est lui qui serait tout particulièrement sensible à ce phénomène de fibrose.
Comment savoir si votre tissu gras abdominal est concerné
Pour être tout à fait sûr, il faudrait mesurer le niveau d’inflammation et détecter ou non le phénomène de fibrose. Plus simplement, si vous avez l’impression d’avoir trop de gras au niveau abdominal, cela peut être un indicateur mais là encore, ça n’est pas systématique : il y a des personnes minces qui peuvent en être victimes et des personnes obèses « métaboliquement saines. »
Le ressenti, l’écoute du corps, les troubles inflammatoires divers, la fatigue et la difficulté à perdre du poids (même si l’excédent n’est pas énorme) sont donc des repères cruciaux. A partir de cet instant, une anamnèse devient nécessaire auprès de votre thérapeute.
Que se passe-t-il si rien n’est fait ?
Il faut savoir que le tissu adipeux n’est pas qu’une simple réserve de graisses : c’est un organe qui sécrète de nombreux messagers chimiques (leptine, adiponectine notamment) ayant des répercussions directes sur l’ensemble de l’organisme. Il intervient notamment dans la réponse immunitaire, la pression sanguine, l’hémostase, la régulation de la masse osseuse, la prise alimentaire, les fonctions assurées par la thyroïde et même la reproduction. Autrement dit, si votre tissu adipeux est fibrosé, c’est votre organisme tout entier qui en pâtit.
Il est donc urgent d’y remédier avant de voir apparaître le spectre du diabète de type II ou de l’athérosclérose. Plus vous attendez, et plus la fibrose risque de s’installer et gangréner l’ensemble du tissu. Voici quelques pistes d’action à envisager au plus vite pour diminuer le tissu graisseux et le niveau d’inflammation :
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L’activité physique est la condition indispensable à la fonte des graisses viscérales. C’est un impératif pour accroître et entretenir une masse musculaire souvent très réduite.
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La sécrétion de cortisol (une hormone produite en excès en cas de stress chronique) est corrélée avec une augmentation de la graisse abdominale. Il s’agit donc de tout mettre en œuvre pour retrouver des moments de détente ainsi qu’une plus grande sérénité.
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Le recrutement de cellules graisseuses est amplifié par certains facteurs alimentaires, comme un déséquilibre entre les apports en acides gras oméga-6 et en acides gras oméga-3. Veillez donc à diminuer vos apports en oméga-6 (qu’on trouve dans de très nombreux produits transformés) et à augmenter vos apports en oméga-3 (qu’on trouve en très bonne qualité dans l'OMÉGA 3 - EPA + et vitamine E).
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Le maintien d’une perte de poids passe par un rééquilibrage alimentaire forcément plus faible en calories. Il faut donc tenir le coup et ne pas négliger les stratégies d’accompagnement qu’elles soient psychologiques ou nutritionnelles (par exemple des coupe-faim d’origine naturelle comme les barres paléo).
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Considérez les produits spécifiquement conçus pour inhiber la formation des cellules graisseuses comme le konjac ou pour faire fondre la graisse viscérale comme MaxiCapsicum. Ne négligez pas non plus l’intérêt de la formule probiotiques dans la perte de poids et l’inflammation. La recherche a montré que le microbiote (flore intestinale) jouait un rôle de contrôle très important sur le tissu viscéral et sur l’inflammation : des souches de bactérie comme Lactobacillus acidophilus, Lactococcus lactis, Lactobacillus casei, Bifidobacterium bifidum et Lactobacillus delbrueckii bulgaricus aident à combattre l’inflammation et l’excès de poids.
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Si votre glycémie fait apparaître un « pré-diabète », vous pouvez faire appel au gymnema, sachant qu'il n'existe aucune contre-indication ni aucun effet indésirable connus. Le chrome est, quant à lui, le principal minéral qui intervient dans la sécrétion d'insuline. Il en accroît également la capacité à se lier aux cellules cibles. Les études cliniques montrent que le chrome peut être bénéfique pour ceux qui souffrent d'intolérance au glucose.
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La principale propriété du Chitosan est qu'il absorbe très bien les matières graisseuses. En effet, le Chitosan a la particularité, lorsqu'il est ingéré par une personne, de déposer une matière rappelant un gel, sur les parois de l'estomac, laquelle va protéger celui-ci contre les dépôts de graisse. D'un point de vue chimique, le Chitosan va, lorsqu'il entre en contact avec les lipides, se lier avec les graisses et les capter. En fait, il agit véritablement comme un piège à graisse. Le Chitosan peut ainsi attirer jusqu'à 15 fois son poids de matière graisseuse. Lorsque le Chitosan et les lipides se sont liés, ils ne peuvent pas être mélangés dans l'organisme, et de ce fait, ils seront évacués ensemble par les voies naturelles.
La somatropine naturelle et les cellules graisseuses
La somatropine permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ses avantages amincissants et pour ses vertus contre le vieillissement.
Le sport et les aliments sains et équilibrés sont fortement recommandés. Ce n’est pas uniquement pour maigrir mais aussi pour maintenir un poids stable et une bonne santé au quotidien. Parfois, la prise de solutions plus radicales sont nécessaires pour des résultats rapides et convaincants en un rien de temps. Ici la somatropine assure pour perdre du poids rapidement.
Rôle essentiel:
La somatropine joue un rôle crucial dans la perte de poids. En effet, cette hormone de croissance synthétique aide à améliorer nettement le métabolisme des lipides, des protéines et d'autres éléments minéraux de l’organisme.On pourrait croire qu’elle ferait grossir, mais bien au contraire, elle agit sur les cellules grasses en les éliminant rapidement. Pour les pratiquants de sports fatigants, la somatropine est parfois une incroyable source d’énergie, de nombreux athlètes l’utilisent pour cette raison.
C’est d’ailleurs l’un des faits qui garantissent l’efficacité de cette hormone durant un régime minceur.
N’oubliez pas : laisser évoluer le surpoids, c’est entretenir un terrain inflammatoire qui sera forcément source de complications et qui finira tôt ou tard par être irréversible.
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L'anti-inflammatoire naturel qui soulage efficacement les douleurs articulaires
- Par vogot
- Le 06/10/2017
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Les traités de médecine ayurvédique accordent une large place à la résine de boswellia qui est utilisée seule (sous le nom de Salai guggul) ou en complexe associée à d’autres plantes indiennes. Les praticiens la recommandent pour le traitement des douleurs rhumatismales, de l’inflammation du tube digestif et des voies respiratoires. En usage externe, le Salai guggul est prescrit pour les problèmes d’acné, les infections fongiques et les furoncles. On utilise également les fumigations à base de cette résine pour purifier les vêtements, les maisons et les cheveux.
Le boswellia serrata est utilisé dans diverses préparations en cosmétologie et en phytothérapie. Seul ou associé à d'autres plantes, il permet de soulager certains symptômes. À titre individuel, il est surtout utilisé pour ses propriétés anti-inflammatoires.
Je vais vous faire découvrir les propriétés du boswellia ainsi que les précautions d'emploi à observer avant utilisation.
Boswellia serrata : propriétés
Le boswellia ou boswellie est riche en acide boswellique. Grâce à ses principes actifs, le boswellia serrata se révèle un excellent anti-inflammatoire. Ainsi, il est utilisé depuis longtemps en médecine ayurvédique, mais aussi en phytothérapie pour soulager les douleurs dues :
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aux rhumatismes ;
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à l'arthrite ;
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à la polyarthrite rhumatoïde ;
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à l'arthrose ;
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à certaines pathologies des voies respiratoires telles que l'asthme ;
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aux maladies inflammatoires intestinales comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif, ou la maladie cœliaque due à l'intolérance au gluten.
Le pouvoir anti-inflammatoire du boswellia serrata est réputé pour être plus important que celui des AINS (Anti-inflammatoires non stéroïdiens) chimiques.
Mais le boswellia est aussi reconnu pour son action sur :
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le diabète ;
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les maladies cardiovasculaires ;
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la dysenterie ;
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les troubles neurologiques.
Pour amplifier l'action du boswellia, n'hésitez pas à l'associer à la curcumine présente dans le curcuma.
Bon à savoir : des recherches scientifiques sont menées sur les propriétés anticancéreuses du boswellia et sur les effets de l'acide boswellique en cas de chimiothérapie.
Boswellia serrata : effets secondaires et précautions d'emploi
Attention : la résine de Boswellia est à proscrire chez la femme enceinte, car elle peut entraîner un avortement spontané.
En dehors d'un état de grossesse qui interdit l'usage du Boswellia serrata, quelques effets secondaires ont pu être constatés sur des cas isolés. Il peut s'agir :
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d'une légère allergie cutanée ;
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d'un malaise gastro-intestinal sans gravité.
À ce jour, il n'a pas été relevé de risques d'interactions avec des suppléments alimentaires ou d'autres produits de phytothérapie. De même, aucune contre-indication n'est pour l'heure reconnue, en dehors des risques d'avortement spontané.
En aucun cas le boswellia serrata, comme toute plante médicinale d'ailleurs, ne doit être utilisé en remplacement d'un traitement médicamenteux prescrit par un professionnel de la santé, sauf avis contraire.
Au moindre doute, il est vivement recommandé de demander conseil à votre thérapeute. Il est aussi très important de n'acheter que des produits à base de boswellia d'excellente qualité. L'idéal est de se procurer ce type de produit titré à 80 % en acide boswellique biologique, sous forme de gélules uniquement.
Bon à savoir : certaines préparations cosmétiques, ainsi que des pommades analgésiques peuvent contenir des extraits de boswellia.
Les personnes ayant déjà constaté une réaction gastro-intestinale ou cutanée suite à une prise de boswellia doivent demander conseil à leur thérapeute.
Soulager les douleurs articulaires
De plus en plus fréquentes avec l’âge, les douleurs articulaires affectent le quotidien de nombreuses personnes à travers le monde.
Heureusement, plusieurs groupes de recherche travaillent sur le sujet pour proposer des remèdes efficaces contre ces douleurs. Parue en 2016 dans la revue European Journal of Biomedical and Pharmaceutical Sciences, une étude pourrait bien améliorer le confort articulaire de plusieurs milliers de personnes grâce à l’utilisation du Boswellia serrata.
Des effets positifs lors de douleurs articulaires aux genoux
L’étude a été menée sur huit semaines auprès de plusieurs adultes japonais, se plaignant de douleurs articulaires au genou. Les chercheurs ont comparé l’effet d’un traitement à base d’un extrait de la plante Boswellia serrata face à un traitement allopathique. Pour cela, ils ont utilisé différentes mesures standardisées.
Ces analyses permettent de suivre la douleur perçue par le sujet et d’évaluer l’efficacité du traitement. A l’issue de l’étude, le traitement à base de Boswellia serrata a révélé des scores positifs en comparaison au traitement médicamenteux. Cette plante médicinale pourrait ainsi être un atout non négligeable pour diminuer les douleurs articulaires au niveau des genoux.
L’action bénéfique du Boswellia serrata
Pour mieux comprendre l’action de cette plante médicinale, les chercheurs ont également mené d’autres analyses. Ils ont par exemple mesuré les taux en protéine C réactive et en acide hyaluronique dans le sérum des patients. En effet, les taux de ces molécules dans le sérum sont généralement plus élevées lors de douleurs articulaires. Cela s’explique notamment par la dégradation de l’acide hyaluronique qui est naturellement présent dans le fluide synovial pour protéger le cartilage articulaire. Sous l’action de l’enzyme hyaluronidase, l’acide hyaluronique est dégradée et se retrouve en plus grande quantité dans le sérum. De plus, l’acide hyaluronique ne peut plus jouer son rôle protecteur au niveau des articulations, d’où l’apparition de douleurs persistantes. Suite aux travaux des chercheurs, le Boswellia serrata lutte contre ce phénomène en limitant la dégradation d’acide hyaluronique au sein des articulations.
Le Boswellia est en quelque sorte un AINS naturel bien toléré. En réduisant l’inflammation, l’extrait de Boswellia réduit le gonflement, la douleur et la raideur lors de la mise en route matinale. Il est non seulement efficace au cours de l’arthrose quelle que soit sa localisation, mais aussi dans la polyarthrite rhumatoïde.
Dans un cas comme dans l’autre, il permet la réduction significative des médicaments allopathiques. Et dans un certain nombre de cas, il va jusqu’à les remplacer totalement, selon avis thérapeutique.
Cet effet est d’autant plus net que l’extrait de Boswellia est pris régulièrement, en tant que traitement de fond plutôt que comme traitement des crises.
Au niveau intestinal
Tout d’abord au cours des maladies intestinales chroniques inflammatoires (MICI). De toutes les utilisations du Boswellia Serrata, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif (A.I.E.) ou intestin poreux devrait figurer en haut de liste avec la sphère respiratoire. Car son action anti-inflammatoire est très efficace mais surtout n’a pas les effets secondaires de certains AINS. Il est conseillé de faire une cure d’au moins 21 à 45 jours de boswellia avant d’y d’ajouter des probiotiques.
Il faut citer aussi une nouvelle découverte très prometteuse concernant l’utilisation du Boswellia : l’hypertrophie bénigne de la prostate et des prostatites d’une manière générale.
Asthme : 70 % de rémission
Puisque les leucotriènes interviennent spécifiquement dans la bronchoconstriction, des chercheurs ont eu l’idée d’étudier les propriétés du boswellia dans les pathologies respiratoirestelles que l’asthme. Au cours d’un essai clinique mené par l’équipe du Dr Gupta de la Faculté de médecine de Los Angeles, les chercheurs ont constaté une nette amélioration des symptômes de l’asthme chez les patients traités par le Boswellia serrata. Les trois quarts d’entre eux ont vu disparaître ce que l’on appelle « le ronchu », qui est le râle caractéristique de la difficulté à respirer lors d’une crise.
Le volume respiratoire s’est nettement amélioré, le nombre de crises s’est espacé dans le temps et leur intensité a diminué de façon significative. Après six semaines d’un traitement aux acides boswelliques, la rémission de l’asthme a été constatée pour 70 % des patients, dont aucun n’a reçu d’autre traitement médical.
Le Boswellia serrata recèle donc de multiples propriétés thérapeutiques encore trop mal exploitées aujourd’hui très utiles au quotidien.
Les Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La cause principale de cette maladie est le tabagisme. Au niveau respiratoire, la BPCO est caractérisée par une obstruction lente et progressive des voies aériennes et des poumons. Elle diminue la capacité respiratoire de façon souvent irréversible.
Il s'agit principalement de la bronchite chronique et de l'emphysème.
Le boswellia, diminue de façon sensible ces troubles, en apportant une amélioration au niveau de l’essoufflement et de la gène respiratoire, il peut être une aide non négligeable pour ces personnes. Néanmoins il sera nécessaire de prendre des doses continues à raison de 6 fois 300mg par jour.
INGRÉDIENTS :
Pour 3 gélules : 900 mg d'extrait sec de gomme-résine de boswellia (Boswellia serrata Roxb. ex Colebr.) titré à 80 % en acide boswellique (soit 720 mg).
CONSEILS D'UTILISATION :
3 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas.
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Autant dire que cette plante médicinale pourrait rapidement devenir un allié précieux comme anti-inflammatoire et pour soulager les douleurs articulaires !