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  • La pleine lune, ses effets sur l'homme: mythe et réalités

    • Par vogot
    • Le 28/01/2015

    Même si l'on ne craint plus sorcières et loups-garous, on sait que la  pleine lune a de vrais effets sur l'homme et ses rythmes biologiques.

    Insomnies, enfants excités, menstruations, accouchements... La  pleine lune rythme inévitablement nos vies. Le corps médical, sans pour  autant donner de vraies explications, constate les effets de l'astre  nocturne sur les hommes. La lune ne fait pas seulement partie de notre  imaginaire, son influence est inscrite dans nos cellules et nous ramène  inexorablement à notre appartenance à un rythme universel.

    Lune: mythe ou realite

    La lune dans les mythes fondateurs de l'humanité

    Dans toutes les cultures et religions, les astres instaurent un  rythme. Cette scansion génère un mouvement dans l'univers, promesse de  vie, contrairement à l'immobilité, contexte de mort et de néant.

    «Que des luminaires apparaissent dans l'étendue des cieux pour  séparer le jour et la nuit, et ils devront servir de signes pour les  époques, les jours et les années... Et Dieu vit que cela était bon.» (Genèse, I:14, 4e jour de la création)

    «L'alternance Yin/Yang des saisons est le fondement de la création. Ne voilà-t-il pas des mots forts, lourds de signification?» (Nei Jin Su Wen - le Traité de l'Empereur Jaune). Pour les taoïstes, les saisons sont rythmées par la lune.

    «Dans la tradition védique, Chandra est le nom du dieu antique de  la lune, surnommé le lumineux. Dans les représentations personnifiées  Chandra est le symbole traditionnel des énergies mystérieuses  vitalisantes de la nature.» (Gregorian Bivolaru)

    Du mythe à la réalité

    Le quotidien des hommes, du temps où l'électricité n'existait pas, ni  les 35 heures, ni les rythmes artificiels créés de toute pièce par le  monde moderne, était scandé par les différentes étapes de la lune.  L'agriculture notamment, respectait un calendrier lunaire, que ce soit  pour les semailles ou les récoltes.

    La durée des cycles lunaires étant globalement la même que celle des  cycles féminins, le sujet a donné lieu à toute une exégèse sur la  question de la correspondance entre pleine lune et menstruations. S'il  est évident que toutes les femmes d'une même latitude n'ont pas leurs  règles le même jour, l'imaginaire n'a pas tardé, cependant, à associer  la femme, la lune et la nuit, dans un mystère porteur d'une aura  ténébreuse, qui fut lourd de conséquences pour les femmes durant des  siècles. Conséquences parfois amusantes: la légende de la mayonnaise qui  tourne si une femme indisposée la prépare. Conséquences parfois  dramatiques: bon nombre de «sorcières» brûlées à cause de cet amalgame  superstitieux entre sexe, nuit, lune noire et pleine lune.

    Agressions, insomnies et accouchement, une légende autour de la pleine lune ?

    Impossible de connaître le fin mot de l'histoire si l'on s'en tient  aux «études» scientifiques. Les statistiques tendent à démontrer que  toutes les légendes ne sont nées que de la superstition. Pourtant, en  matière d'agressions et de violence et concernant les insomnies et le  nombre des accouchements durant la pleine lune, les professionnels  tiennent un tout autre discours: les maternités sont débordées les nuits  de pleine lune, et les policiers sortent plus souvent en intervention.  Pourquoi de telles contradictions?

    Un article paru sur le site du National Geographic  propose l'hypothèse d'une mémoire sélective. Lorsque des événements  particuliers surviennent durant la pleine lune, nous les mémorisons  mieux en associant la cause et l'effet. Par la suite, nous ne  conserverions que les souvenirs qui soutiennent l'idée de l'influence  lunaire sur les comportements.

    Une réalité pourtant indéniable

    Certaines observations découragent cependant les études les plus objectives et les hypothèses «rationalisantes». Telles ces manifestations observées  sur les barrières de corail, ou sur le comportement des crabes rouges  de l'île de Christmas. Que dire également des insomnies ou des nuits  agitées des enfants qui n'ont aucune notion du calendrier, ou même de  ces insomnies «collectives» constatées les lendemains de pleine lune,  parmi des personnes qui ne se connaissaient pas la veille, et qui donc,  n'ont pas pu avoir une influence quelconque les unes sur les autres?

    La réponse se trouve peut-être dans une étude – fort heureusement scientifique – parue dans le quotidien Le Matin  de Lausanne (11 février 2004), effectuée par un musée zoologique sur le  comportement des animaux. Cette étude démontre qu'au cours des  millénaires, les animaux ont adapté leur comportement en fonction de la  lune et des marées, pour des raisons purement pratiques: plus de  nourriture à marée basse, davantage de lumière pour chasser, etc. Des  animaux (crustacés en l'occurrence) élevés en laboratoire, donc loin de  leurs conditions naturelles de vie, réagissent pourtant de la même  manière aux phases lunaires.

    «Donc ces animaux sont clairement influencés par les cycles  lunaires au point d’intégrer ces aspects dans leur patrimoine génétique  et de les reproduire même lorsque les conditions, comme celles du  laboratoire, ont radicalement changé», dit l'étude.

    Pour éviter d'entrer «en religion» et de défendre un ésotérisme  absolu, tout autant qu'un scientifisme obtus, on peut, à partir de cette  étude réalisée par ces zoologues, imaginer que l'être humain possède  lui aussi la mémoire ancestrale d'une ère où toute sa vie était  conditionnée par la nourriture et la lumière. La pleine lune  réveillerait alors chaque mois les souvenirs enfouis dans ses gènes d'un  temps où l'homme devenait soit prédateur (violence et agressions) ou  proie (insomnie et angoisse).

    Cycles lunaires, restons dans le rythme...

    Lutter contre l'insomnie, vouloir fixer artificiellement la date d'un  accouchement, consiste à s'extraire de lois contre lesquelles on ne  peut lutter qu'au détriment d'un certain équilibre. Le stress de  l'insomnie est directement lié à un conditionnement, à une société qui  assène que l'on doit dormir toutes les nuits de la même manière. Dès  lors que l'insomnie est débarrassée de l'angoisse, elle peut se vivre de  manière plus sereine, et être utilisée pour passer certaines heures de  la nuit avec profit.

    Si vos enfants sont énervés ces jours-là, prévoyez de plus longues  sorties, des activités plus toniques, qui assouviront leur besoin de se  défouler.

    Mythes, légendes et sagesses populaires trouvent tous racine dans  quelque vérité transcendante, dont le sens peut nous échapper, que ce  soit d'un point de vue ésotérique ou scientifique. Le mieux est encore  de se mettre au diapason.

  • Sélection naturelle

    • Par vogot
    • Le 27/01/2015

    J’ai commencé à lire des livres sur la Sélection Naturelle, découverte et analysée par Darwin. Alors, je pense que la plupart des gens ne voient en elle que ce filtre qui a sélectionné les individus et les espèces les plus aptes à se reproduire dans un environnement donné. Mais ce n’est pas que cela. Certes, la Nature invente, grâce aux mutations et à l’adaptation des formes de vie, et la Nature trie, éliminant ce qui ne marche pas.

     

     

    La maladie c est 1

     

    Mais la Sélection Naturelle n’agit pas QUE sur la constitution physique des individus : pattes, ailes, nageoires, mains, plumes, poils, becs, museaux, etc. Elle agit aussi sur des composants plus cachés, plus discrets mais tous, aussi importants : les instincts. Nous, femmes et hommes sommes des animaux.

     

    Nous l’oublions trop souvent. Notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, grâce à ses avantages (mains, station debout, gros cerveau, …), a pris le dessus sur toutes les autres espèces, les faisant disparaître, peu à peu, ou les asservissant à ses besoins. Mais nous sommes toujours des animaux. Nous sommes toujours cet animal fait pour la chasse et la cueillette dans un environnement hostile. Et nous avons toujours en nous ces instincts, sélectionnés eux-aussi par l’environnement dans lequel nos ancêtres ont vécu. Et, alors que, dans ce monde moderne, nous nous croyons libres, nous obéissons à des instincts qui ont aidé nos ancêtres à survivre et à croître en nombre.

     

    Nous sommes des pantins, agités par des besoins animaux qui nous dirigent, et formatés par la culture dans laquelle nous avons été élevés. Notre libre arbitre n’est qu’une illusion. Je vois le monde comme mes sens me le permettent, comme mon cerveau me le représente, et comme ma culture me le fait comprendre.

     

    Ainsi les enfants sont programmés pour croire : croire en ce que disent les parents et les adultes de leur groupe, et leur obéir (au moins dans la petite enfance). Pourquoi ? Tout simplement parce que les enfants qui n’obéissaient pas et ne voulaient pas croire leurs parents et apprendre d’eux n’ont pas transmis leurs gênes ! Mangés par les bêtes féroces. Alors, les enfants croient, par instinct sélectionné pendant des milliers de générations. Nous ne soupçonnons pas combien ces instincts, qui ont bien servi à aider nos ancêtres à survivre et se reproduire, nous dominent.

     

    Ainsi, Mesdames, lorsque vous vous pâmez devant un beau mâle musclé (alors que notre société complexe requiert de l’intelligence plus que de la force), vous êtes encore la femelle qui recherche le mâle qui pourra la protéger et l’aider à nourrir et élever son petit pendant la grossesse et les 4 à 5 années de son éducation. D’ailleurs, il paraît que les enfants ressemblent D’ABORD à la mère, avant de prendre les traits du père : ainsi, même si le mâle choisi n’est pas le géniteur, il sera trompé et s’en occupera malgré tout !

     

    Les lions n’ont pas cet instinct : le lion qui a conquis une femelle commence d’abord par tuer ses petits. Notre cerveau, dès avant la naissance, est pré-câblé pour de multiples fonctions, des plus simples et reptiliennes, aux plus complexes (comme le langage). Mais il semble toujours incroyable que la Sélection Naturelle ait pu aboutir à des êtres d’exception comme les Mathématiciens (Gauss, Erdos, Euler, …) qui construisent des univers de complexité : notre évolution continue ; mais la Nature résistera-t-elle ?

     

    Alors, il y a un débat pour savoir si la morale est une caractéristique de l’Homme, ou si, même sous une forme plus simple, elle n’a pas été sélectionnée par la Nature et que d’autres animaux la partage avec nous, comme les grands singes, les éléphants et les dauphins. La compassion et l’empathie sont à la base de la morale. La compassion est l’émotion qui nous étreint lorsqu’un autre individu souffre.

     

    L’empathie est notre capacité à nous mettre à sa place et à ressentir sa souffrance. Chez l’Homme, ces mécanismes sont basés sur des signaux universels qu’envoie notre corps (rictus, larme, position du corps, cris, …) et sur notre capacité à les interpréter.

     

    Mais les grands singes aussi sont capables de compassion et d’empathie. Ils sont même capables d’imaginer les conséquences d’actes et de vouloir sauver leurs congénères même sans profit pour eux-mêmes.

  • Les bienfaits du BIO sur notre santé

    • Par vogot
    • Le 27/01/2015

    52% des fruits et légumes commercialisés en France contiennent des traces de pesticides, et 7,6% dans des proportions supérieures aux limites maximales autorisées. Or certains pesticides peuvent avoir des impacts sur votre santé.

    En achetant des produits bio, vous avez la garantie que ce que vous mangez a été cultivé sans produit chimique de synthèse (incluant les pesticides).

     

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    Le bio : un potentiel de création d'emplois

     

    Actuellement, nous continuons à importer 40% de nos produits bio.

    En plus des bienfaits sur votre santé, savez-vous que la surface agricole française cultivée de manière biologique a augmenté de 25% entre 2009 et 2010 ? Privilégiez le bio français et contribuez à la création d'emplois en France !

    Consultations

    Mais comment faire mon choix ?

     

    Le label Agriculture biologique certifie que l'aliment est composé d’au moins 95 % d’ingrédients issus du mode de production biologique, mettant en œuvre des pratiques agronomiques et d’élevage respectueuses des équilibres naturels, de l’environnement et du bien-être animal.

    Le label Demeter labellise les produits biodynamiques. Il est plus exigeant que le label AB car il certifie que 100% du produit est biologique. Les agriculteurs produisent eux-mêmes leur engrais biologique.

  • Pourquoi mange-t-on ?

    • Par vogot
    • Le 27/01/2015

    Parce qu’on a faim, répondez-vous. Oui, mais pas seulement, et c’est bien là que les problèmes de poids commencent. On mange, sans faim, sous la pression sociale, sous le coup des émotions, lorsqu’on s’ennuie...

     

     

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    Comment perdre du poids quand l'ennui vous assaille et que le buffet vous tente ?

    Emmanuel se retrouve à une énième conférence liée à son travail, il n’est pas vraiment passionné par la teneur des débats. En revanche, un grand buffet est à la disposition des participants. Il a beau avoir pris un petit-déjeuner, ne ressentir aucun creux dans son estomac et souhaiter perdre du poids,  il se dirige vers le buffet et mange. La sensation d’ennui conjuguée à la disponibilité de la nourriture provoque cette réaction.

    La sensation de faim exprime un besoin physiologique, qu’il faut assouvir. C’est pour cela qu’on mange. Mais pas seulement ! Le plaisir, la frustration, les émotions en règle générale, mais aussi la pression sociale nous font manger. Et dans ces moments-là, nous avalons des calories dont notre corps n’a pas forcément besoin, ce qui peut provoquer des kilos en trop. Je distingue ainsi le mangeur biologique, qui mange pour assouvir une faim physiologique, et le mangeur social soumis aux influences diverses exercées par son environnement.

     

    Si vous ne pouvez résister à la tentation de manger, peut-être faut-il en rechercher la cause ?

     

    Rappelez-vous que nous sommes tous, adultes, des mangeurs autonomes. C’est-à-dire que notre libre arbitre peut intervenir à tout moment : nous pouvons arrêter de manger alors que nous ne sommes pas arrivés à satiété comme nous pouvons manger sans appétit. Le fonctionnement du cerveau prend alors le pas sur les facteurs physiologiques. La régulation du poids qui en découle peut être compliquée pour certaines personnes, ce qui conduit à des cas de maigreur ou au contraire d’obésité.

    Parfois, la multiplication des régimes trop stricts mène à ce genre de comportement : une personne se met d’abord dans un état de contrôle extrême pour ensuite perdre le contrôle et tomber dans la compulsion alimentaire.

     

    Le cercle vicieux des régimes alimentaires et des craquages est finalement très classique. Pour le comprendre, il faut noter que le régime restrictif va à l’encontre du phénomène de plaisir qu’apporte le fait de manger. La faim provoque une anxiété que le fait de manger apaise. Mais les restrictions empêchent ce phénomène de plaisir. La contrainte alors suscitée peut déboucher sur l’inverse du but recherché : on craque et mange plus encore pour se consoler !

     

    Sur ces réflexions cela mène à une conclusion assez évidente : sur le long terme, le régime restrictif ne fonctionne pas. En consultation, je préfère ainsi aborder votre comportement alimentaire et détecter ces fameuses émotions ou contextes sociaux qui vous poussent à manger trop plutôt que de vous interdire des aliments.

     

    Progressivement, vous apprenez à réguler votre appétit, à manger moins, seulement selon vos besoins, et ainsi vous mincissez durablement.

     

    Au plaisir de vous conseiller.

  • Alimentation et émotions

    • Par vogot
    • Le 08/01/2015

    Votre alimentation a un impact sur vos émotions !

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    Oui, bien entendu, vos aliments servent avant tout à vous nourrir mais en fonction de vos choix alimentaires, votre humeur risque d’en pâtir !

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    Votre alimentation joue sur votre humeur au quotidien !

    Vous êtes-vous déjà posé les questions suivantes ?

    Quels sont les aliments que je consomme ?

    De la viande, du poisson, des légumes, des fruits, des oléagineux, des légumineuses, des sodas, des excitants comme le café, le thé, le chocolat, des produits industriels, des plats tout prêts…?

    Quelle est leur qualité ? leur fraîcheur ?

    De grande surface, bio, du marché, de la ferme en direct, local, du jour ou emballés depuis x temps …?

    Comment les préparez-vous ?

    Au four, au micro-ondes, à la vapeur, à l’eau bouillante, en friture, en grillade….?

    Dans quel état d’esprit ?

    Avec plaisir et envie, avec joie, avec impatience, avec indifférence, avec “ras-le-bol” ?

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    Votre état d’esprit lorsque vous cuisinez est déterminant pour une meilleure digestibilité.

    Dans quelle ambiance les mangez-vous ?

    Dans le silence, dans un endroit bruyant : bavardages, cris, musique forte, devant la télé, en lisant son journal ou son courrier…?

    Tous ces éléments seront déterminants pour votre santé physique ET psychique !!

    Les naturopathes ont compris depuis longtemps le lien entre la santé physique et psychique et l’alimentation.

    Observez maintenant votre humeur dans la journée : irritable ? fatigué ? colérique ? déprimé ? ou …joyeux, souriant, heureux ? Dans ce dernier cas, tout va bien pour vous mais…je doute que la majorité ne réponde cela.

    Il est important de comprendre que ce que vous mettez dans votre assiette et donc dans votre corps va créer toute une série de réponses hormonales qui influeront alors sur votre comportement.

    Les additifs chimiques se cachent partout et ont des conséquences sur votre comportement. Ici, « arômes » veut dire « glutamates » !

    Les enfants, si sensibles, en sont l’illustration 

    Pourquoi croyez-vous qu’il y ait tant d’enfants énervés, hyperactifs ou au contraire autistes de nos jours ? Mis à part certains facteurs chimiques et médicamenteux qui peuvent en être la cause, l’alimentation (en cause ici surtout gluten, glutamates et aspartam) est de toute façon à modifier dans tous ces cas pour espérer une amélioration !

    Certains diront : “oui, mais j’aime trop ce que je mange, je ne pourrai pas m’en passer”.

    Je répondrai alors “aïe, êtes-vous déjà si dépendant(e) ! cela prendra plus de temps”. Mais tout est possible à celui qui VEUT que sa situation change.

    D’autres questionneront “mais qu’est-ce qui prouve que ça va changer quelque chose ?”

    –"eh bien, faites-en l’expérience et vous comprendrez ! de toute façon vous ne risquez rien, si ce n’est le mieux-être."

    Seule l'expérience compte

    “oui mais comment faire alors ?” 

    “en commençant doucement, par étapes. En diminuant puis supprimant l’aliment le plus nocif suivant votre situation, puis continuez jusqu’à ce que vous vous sentiez assez fort pour changer autre chose dans votre alimentation”.

    Quelques effets d’aliments sur le comportement, surtout quand ils sont pris quotidiennement.

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    Le café influe sur votre humeur... Diminuez, stoppez ce poison mortel !

    Les excitants : il s’agit de la caféine, de la théine, de la théobromine (dans le chocolat), des excito-toxines présentes dans l’aspartame ou les glutamates si utilisés dans les aliments industriels. Ils ont une incidence sur le système nerveux et rendent donc irritables, agités ou dépressifs.

    Les sucres en général : le sucre blanc est le plus nocif car il acidifie fortement l’organisme, créant beaucoup de fatigues et diverses pathologies. Les sucres fatiguent le pancréas et rendent dépendants. Ils ont tendance à rendre les consommateurs nostalgiques, avec un sentiment inconscient d’insécurité et besoin de réconfort.

    Tranchez pour une viande de premier choix

    Manger de la viande rouge régulièrement rend agressif !

    La viande : surtout la viande rouge, rend agressif, violent, impulsif. Les gros consommateurs de viande rouge sont souvent des personnes colériques. Il est important aussi d’être conscient que dans la viande se trouvent les résidus médicamenteux (antibiotiques, anti inflammatoires, vaccins) qui influent sur les sécrétions hormonales et donc sur le comportement.

    Les produits laitiers : ces aliments pro inflammatoires (c’est à dire qui favorisent les inflammations dans le corps, comme dans le cas de rhumatismes) sont acidifiants et rendent aussi les consommateurs très émotifs.

    Le gluten (donc le pain, les pâtes, les gâteaux…) : sa consommation a des impacts sur le cerveau et les consommateurs sensibles peuvent ressentir une grande fatigue allant jusqu’à la dépression ou une grande tristesse.

    Quelle alimentation privilégier pour retrouver le moral ?

    Tout simplement une alimentation VIVANTE !! C’est ce qui manque le plus dans le quotidien de la majorité des gens.

    C’est quoi une alimentation vivante ?

    C’est une alimentation qui vous apporte de la vie, des vitamines, des minéraux, des oligo-éléments, des ENZYMES, de la chlorophylle…Or pour avoir tous ces nutriments, il ne faut pas cuire vos aliments au-delà de 40°C !

    Les solutions concrètes

    La vitalité, la bonne humeur, ne peuvent être apportées que par les aliments vivants.

    Privilégiez une alimentation essentiellement végétale, qui contient une bonne quantité de CRU :

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    • légumes crus (crudités) assaisonnés avec de bonnes huiles première pression à froid de qualité BIO *
    • des graines oléagineuses : soit mise à tremper la veille, soit très légèrement et rapidement grillées dans une poêle à sec
    • des fruits secs que vous pouvez réhydrater 
    • des fruits frais
    • des graines germées : céréales (épeautre, blé…), plantes (luzerne, fenugrec…), oléagineux (tournesol…), légumineuses (lentilles blondes ou brunes, pois chiches), des légumes (radis, chou rouge, brocoli…)
    • des légumes lacto-fermentés (choucroute, carottes, betteraves, radis noir…)
    • autres produits lacto-fermentés (tempeh, miso, tofu, tamari, shoyu, boissons comme le kéfir ou le kombucha)

       

      Les aliments séchés à basse température conservent tous leurs nutriments.

    • les algues 
    • les plantes sauvages (ortie, feuilles de pissenlit, chénopode…)

    Vous pouvez sécher certains légumes ou fruits pour varier vos préparations. Le soleil peut vous y aider, surtout en été. Dans les périodes moins ensoleillées ou si cette solution ne vous convient pas, je conseille d’utiliser un déshydrateur.

    Pensez également aux délicieux smoothies (préparés avec un bon blender).

    Bien entendu, cela peut se compléter avec quelques aliments cuits à basse-température, comme avec l’omnicuiseur (vapeur douce). En mangeant les aliments crus en premier lors du repas, ils vous apporteront les enzymes nécessaires à une bonne assimilation

    *Saviez-vous que les huiles du commerce traditionnel sont traitées en 6 étapes pour être jugées correctes à la consommation? (après avoir été quasiment carbonisées, elles sont désodorisées, décolorées puis à nouveau colorées…).

  • Le manque de sommeil : les dangers auxquels on s’expose

    • Par vogot
    • Le 21/12/2014

    Une bonne nuit de sommeil est très importante, car elle permet à votre corps de se recharger en énergie après une journée de stress.

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    Outre cela, dormir est indispensable à la croissance, car c’est à ce moment-là que l’hormone de croissance est activée.

    Precursor GH

    Le sommeil permet à nos fonctions et organes vitaux de se régénérer !

    Hélas, la plupart néglige le rôle prépondérant que joue le sommeil, et préfèrent rester éveillés à chatter ou devant la télé.

    Malheureusement, le manque de sommeil engendre de nombreuses séquelles, il est donc impérieux d’écouter son corps et le reposer quand celui-ci le réclame.

    Lorsque nous ne dormons pas assez, nous empêchons notre corps de se reposer, et entravons la régénération de nos organes vitaux. 

    Assurément, le manque de sommeil pourrait avoir des conséquences très graves, et plusieurs recherches scientifiques en sont une preuve. Voici une liste de maladies que le manque de sommeil peut provoquer !

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    PROBLÈMES DE MÉMOIRE

    Le sommeil influence l’activité du lobe temporal où se situe l’hippocampe, lieu de la mémoire. Le sommeil contribut à la consolidation de nouveaux apprentissages. Pendant que vous dormez, les informations enregistrées durant la journée sont rejouées, ce qui permet leurs ancrages dans le temps.

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    Dans des conditions de privation de sommeil, vos capacités se voient donc altérées à ce niveau et les conséquences en sont parfois graves.Nous le savons, dormir est essentiel à notre organisme. Mais dormir suffisamment l’est aussi, et ce sommeil que l’on néglige pour différentes raisons n’est pas sans effets.

    Pourtant, combien de nous ne s’accordent même pas un minimum de 7 heures de repos par nuit ?

    PLUS ÉMOTIF

    Le centre des émotions du cerveau surréagit aux expériences négatives lorsqu’on manque de sommeil. La désactivation du lobe préfrontal, une région qui intervient habituellement dans le contrôle des émotions, explique cette réponse accrue. Le sommeil restaure les circuits des émotions et prépare ainsi aux défis du lendemain et aux interactions sociales.

    Résultat de recherche d'images pour "MEMOIRE et manque de sommeil"

    Le manque de sommeil fracture les mécanismes cérébraux qui régulent des aspects clés de la santé mentale. En extrapolant, le pas à faire pour sombrer dans la dépression est parfois bien court. Il ne faut pas le négliger.

    AUGMENTATION DES RISQUES D’ATTRAPER DIVERS VIRUS

    Le temps et la qualité du sommeil sont très importants. Durant cette période, le cerveau sécrète des hormones qui aident le système immunitaire à lutter contre les infections bactériennes et virales. Une seule nuit blanche suffit à troubler notre système immunitaire. Imaginez alors les effets de nuits écourtées cumulatives.

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    Après une nuit de sommeil perdue, l'organisme réagit en mobilisant ses cellules immunitaires, comme il le ferait s'il était soumis à un stress physique. On devient alors plus vulnérable à diverses infections, comme le rhume ou la grippe par exemple.

    L’APPARENCE ET L’HUMEUR SE DÉTÉRIORENT

    Le fait de ne pas dormir suffisamment entraîne aussi des conséquences sur notre apparence physique et notre humeur. D’une part, on a l’air épuisé, des cernes apparaissent sous nos yeux, même la couleur de notre peau change, adoptant tout à coup une teinte verdâtre ou grisâtre peu attirante. Du côté de l’humeur ce n’est guère mieux… On devient irritable et impatient.

    Rien de bien agréable pour notre entourage, ou lorsqu’on souhaite faire de nouvelles rencontres. Prenez-en bien note !

    ELEVATION DU RISQUE DE SOUFFRIR DE SURPOIDS

    Le manque de sommeil ouvre l’appétit et nous incite à manger plus de nourriture calorique. Cela s’explique par le fonctionnement du cerveau. Privées de sommeil, des perturbations au niveau de la satiété sont visibles dans le cortex cérébral, de même qu’une forte stimulation des zones associées aux envies irrésistibles.

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    Vous avez alors tendance à vous rabattre sur de la nourriture calorique et rapide à préparer, d’où le risque réel de finir par souffrir de surpoids, voir d’obésité, si on ne rétablit pas la situation.

    AUGMENTATION DU RISQUE D’AVOIR UN ACCIDENT

    Lorsque vous êtes privé(e)s d’une quantité suffisante de sommeil, votre vigilance et votre attention diminuent. Votre temps de réaction s’allonge, augmentant les risques d’accident. De plus, ce manque de sommeil perturbe aussi votre motricité. Vos réflexes s’affaiblissent, affectant la rapidité et la précision de vos gestes. Vous vous exposez alors à toutes sortes de mésaventures, comme une vilaine chute, un accident de voiture ou un accident de travail.

    MOINS DE SPERMATOZOÏDES

    Une autre conséquence peu agréable du manque de sommeil est la diminution de la qualité du sperme. Les hommes qui disent avoir des problèmes de sommeil ont un sperme dont la concentration en spermatozoïdes est 29% moins importante. Ces hommes ont aussi plus de chances d’avoir des spermatozoïdes dits « morphologiquement anormaux », en comparaison avec des hommes dont le sommeil n’est pas troublé.

    Les femmes ne sont pas à l’abri non plus, car le fait de ne pas dormir suffisamment a un impact sur la régulation de l’ovulation.

    AUGMENTATION DU RISQUE DE MALADIES CARDIOVASCULAIRES

    Le manque de sommeil a plus d’incidence sur les maladies cardiovasculaires que tous les autres phénomènes réunis. En effet, dormir moins de 6h par nuit augmente de 48% le risque de subir ou de succomber à une maladie cardiaque et de 15% pour un AVC. Le fait de dormir sept heures par nuit en moyenne est le moyen le plus sûr pour lutter sur le long terme contre les maladies cardiovasculaires.

    AUGMENTATION DU RISQUE DE SOUFFRIR DE DIABÈTE

    La carence de sommeil favorise l’apparition du diabète ou l’aggravation des symptômes chez les personnes déjà atteintes. Le phénomène qui se produit alors consiste à une dérégulation du métabolisme glucidique (baisse de 50% de l’action de l’insuline et baisse de 30% de la quantité d’insuline produite). Le sommeil est donc impératif pour réguler ce type de fonctions métaboliques.

    PERTE DE MASSE CÉRÉBRALE

    La privation de sommeil entraîne aussi la perte de masse cérébrale. Après avoir passé une mauvaise nuit, des signes de perte de masse cérébrale sont détectés grâce à la mesure dans les niveaux sanguins de deux molécules qui augmentent habituellement après une lésion cérébrale.

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    Ce phénomène se produit normalement lorsqu’on gagne en âge. Mais lorsque vous négligez votre sommeil, vous propulsez alors vos facultés intellectuelles vers un vieillissement prématuré.

    ELEVATION DES RISQUES DE CONTRACTER CERTAINS CANCERS

    Le manque de sommeil intervient directement comme cause du cancer colorectal. Ne pas négliger le rôle du manque de sommeil dans le cancer du sein, qui peut parfois même être très virulent. Une autre excellente raison de se montrer raisonnable et de s’accorder des nuits de sommeil de qualité !

    HYPERTENSION

    Toutes les nuits, votre pression sanguine retombe. Lorsque vous manquez de sommeil, vous empêchez ce phénomène naturel et vous favorisez du même coup les risques d’hypertension. Et cette hypertension peut alors endommager différents organes comme le cœur, le cerveau, les reins, les vaisseaux sanguins et les yeux, qui y sont particulièrement vulnérables.

    ANXIÉTÉ ET STRESS

    La privation de sommeil amplifit de façon significative l’activité d’anticipation dans l’amygdale, une partie du cerveau associé à la réponse aux expériences négatives et désagréables. L’anticipation en soi est un mécanisme cérébral fondamental qui sert à nous préparer à des situations de danger, mais lorsqu’elle est exacerbée par le manque de sommeil, elle se transforme en hyperréactivité, en stress, voire en anxiété sévère pouvant entraîner toutes sortes de problèmes de santé.

    MOINS PRODUCTIF

    Le manque de sommeil coûte financièrement aux entreprises en affectant directement la productivité des travailleurs.

    Certaines entreprises commencent à investir même dans la création de lieux "cocooning" afin d'y faire des siestes ou des massages bien-être et s'y reposer afin de réguler le taux de mélatonine, l’hormone responsable du sommeil dans l’organisme !

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    Mais ce n’est pas tout. En situation de carence de sommeil, vous ne serez pas seulement moins productifs, mais aussi moins créatifs. Cela s’explique par le fait que le manque de sommeil affecte le cortex préfrontal du cerveau, soit la région contrôlant l’innovation et la créativité.

    TAUX DE MORTALITÉ PLUS ÉLEVÉ

    Après avoir pris conscience de ces risques, il est presque inutile de le préciser, mais le manque de sommeil fait augmenter dangereusement le taux de mortalité. Je souligne que vous dormez de moins en moins, et trop peu par rapport à vos besoins. Depuis les 50 dernières années, vous avez perdu près d’une heure trente de sommeil par nuit. N’oubliez pas que le sommeil est plaisant et bénéfique, il ne faut surtout pas en priver votre organisme, c’est une question de survie !

    Lien utile: Vita Somn

  • Les pièges du développement personnel

    • Par vogot
    • Le 19/12/2014

    On veut tous s’améliorer, chacun à sa manière, pour des raisons qui sont propres à chacun.

    Certains pour la sécurité, d’autres pour le confort, d’autres encore, pour la reconnaissance. Cette tendance forte est exacerbée par le stress grandissant auquel nous sommes soumis ; et c’est probablement la raison pour laquelle de plus en plus de blogs voient le jour, consacrés au développement personnel.

    Il en existe de très bons. J’aime beaucoup, à l’occasion, me rendre sur ces blogs, et lire quelques articles. La plupart du temps, j’y trouve des réflexions intelligentes et pleines de sagesse, qui font échos à mes propres interrogations.

    Cependant, une tendance dans les sites de développement personnel m’ennuie un peu : cet accent mis sur l’efficacité personnelle. Cette volonté affichée de gommer tous ses défauts pour tendre vers la perfection. Vous savez, ces articles aux titres du genre « 10 conseils pour devenir plus productif », « 5 conseils pour développer votre mémoire », « Comment être plus efficace ».

    Ok, la promesse de ces articles semble alléchante ; et leur lecture se révèle souvent intéressante… Tant que cela reste intuitif et spontanné dans le désir de modifier uniquement un état perturbant.

    Devenir un robot ne m’intéresse pas

    J’ai du mal avec cette impression que le développement personnel me donne parfois, que je dois VOULOIR devenir efficace, productif – parfait, dans un sens.

    Je ne veux pas devenir un robot.

    D’abord, parce que c’est impossible. Et surtout, parce qu’il n’est pas nécessaire de tout contrôler pour être heureux.

    Le mieux est l’ennemi du bien

    Bien sûr, je veux pouvoir identifier mes défauts majeurs et les surmonter pour progresser dans ma vie; bien sûr, je sais que je dois me battre et lutter contre moi-même pour me tailler la vie dont je rêve.

    Mais pas au prix de me perdre dans cette course. Je veux aussi rester moi-même, je ne veux pas me laisser derrière sous prétexte de vouloir devenir une personne « meilleure ».

    Car orienter tous ses efforts vers la perfection, est selon moi un développement personnel qui se trompe de sens. Ne serait-il pas mille fois préférable d’essayer de s’améliorer, bien sûr, mais aussi, d’apprendre à vivre avec ses petits défauts ?

    Laissez-vous être !

    Je trouve incroyablement stressant, oppressant, voire, violent, de m’infliger cette espèce de course perpétuelle à la perfection et à l’amélioration. Par moment, sous couvert de développement personnel, j’ai l’impression qu’on en viendrait à s’infliger une espèce de tyrannie personnelle (ok, j’exagère probablement un peu, mais j’ai rencontré des gens qui ne vivaient plus que dans une optique de "dev perso", et croyez moi : c’est à la fois triste et effrayant).

    Je retrouve la même chose, chez certaines personnes qui, peut être parce qu’elles ont une revanche à prendre sur elles-mêmes, se lancent de toutes leurs forces dans la séduction et le Game pour devenir des "players" capables de séduire tous les êtres qu’ils désirent. Est-ce une volonté de développement personnel, ou une chimère ? Et surtout, est-ce bénéfique ? Est-ce une démarche saine et salutaire ?

    La perfection ne m’intéresse pas

    C’est tentant, mais non merci. Le prix à payer est trop élevé, et la récompense, douteuse au mieux. Après tout, réussir sa vie, est-ce être parfait ? J’en doute – et vous aussi certainement. Alors ?

    Je préfère vivre, quitte à faire des erreurs, que de vouloir me transformer en quelqu’un de parfait, 100% rationnel, efficace. Aucune envie de devenir une espèce de Bree Van de Kampf. (C.F. Série américaine "Desperate Housewives")

    A l’occasion, j’aime perdre du temps

    A l’occasion, j’aime traîner, et faire passer des choses futiles avant les choses importantes (et non, il ne s’agit pas de procrastination).

    Et non, il ne s’agit pas d’auto-complaisance non plus.

    Il y a, je pense, un juste milieu à trouver.

    Et, j’en suis sûr, il est sain d’accepter de se trouver à ce juste milieu, plutôt qu’à l’un des extrêmes que l’on a tendance à vouloir nous vendre sur les blogs de développement personnel.

    Je ne serai jamais parfait – et ça me va

    J’ai de nombreux défauts, et un certain nombre d’entre eux, je ne m’en débarrasserai jamais – même si je mets un point d’honneur à essayer. Mais je ne veux avoir ni la prétention, ni la naïveté de croire que je peux inscrire mes défauts et défaillances sur une check-list, pour m’y attaquer et les rayer un à un.

    Le développement personnel tel que je le conçois, n’est pas une course à la perfection, mais cultiver la volonté d’être bon et heureux (et peu importe sa productivité !), et la sagesse d’accepter que l’on ne gagnera pas toutes les batailles.

    Le développement personnel ne doit pas devenir une espèce de fordisme de l’Être. Ne tombons pas dans l’excès !

    Mon humble conseil : veuillez être meilleurs, mais avant tout, désirez être bons et heureux. Pour cela, apprenez à accepter que vous ne serez jamais parfait. Je crois que la clé du bonheur n’est pas loin.

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  • Effet miroir et perversion

    • Par vogot
    • Le 19/12/2014

    Les neurones miroirs sont probablement à l'origine du malaise.

    Le pervers narcissique joue avec une qualité intrinsèque de l'être humain, sa capacité à se mettre à la place de l'autre et à projeter des émotions, des qualités , des défauts sur autrui. Souvent pour mieux le comprendre, mais dans le cas présent, il s'agit pour le PN de blesser, retrousser, choquer, déstabiliser sa victime et surtout se déculpabiliser lui-même.

    En effet, il est connu que le pervers narcissique ne peut en aucun cas assumer un conflit intérieur, comme le remords ou les scrupules ! Il est donc vital pour lui de renvoyer à l'autre ce qui le dérange chez lui.

    Il va donc extérioriser ses conflits en en imputant la responsabilité à l'autre.

    Il affuble sa victime des défauts, actes pervers, intentions qu'il a en lui et qu'il ne peut gérer.

    Plus ces sentiments sont puissants, plus la projection est forte, et plus l’agressivité croît en conséquence.

    Il le fera tellement bien, de manière tellement naturelle et automatique, que la victime va finir par accepter la paternité du problème.

    De faire culpabiliser sa victime lui permet de ne jamais se remettre en cause.

    Le système des neurones miroirs est la mise en réseau de perceptions sensorielles qui se répercutent en de multiples comportements sociaux et interpersonnels: imitation, communication non verbale, empathie...

    La victime n'est pas reconnue comme un individu à part entière, mais seulement en un reflet.

    Toute situation qui remettrait en question ce système de miroirs, masquant le vide et les peur refoulées, l'éloignant ainsi de la source d'un conflit intérieur ingérable, ne peut qu'entraîner une réaction en chaîne de fureur destructrice.

    Le pervers narcissique est constamment à la recherche de leur image, sublimée dans le regard de l'autre.

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