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Zone de confort

Par Le 03/02/2015

Notre zone de confort, est notre « prison dorée ». On y est bien, on la cherche, et une fois atteinte, elle nous bride, nous empêche de continuer notre croissance et notre épanouissement.

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C’est une notion importante car elle est notre « garantie de sécurité » tout en étant une des principales causes de notre "souffrance et de notre malheur".

La pyramide des besoins 

La pyramide des besoins de Maslow

Pour chacun de ces besoins, il nous faut donc mettre en place des « formes » pour nous apporter la garantie de l’obtention de ces besoins et la sérénité qui en résulte. C’est le côté positif de notre zone de confort et sa raison d’être.

Il nous faut donc :

  • un toit et de la nourriture,
  • un environnement sécurisé et connu,
  • recevoir et donner de l’amour,
  • nous aimer,
  • nous reconnaître, 
  • nous accomplir et rayonner ce que nous sommes véritablement.

Passage obligé

Une zone de confort est donc un passage obligé, comme des étapes nécessaires à notre croissance sur lesquelles nous-nous appuyons pour faire le pas suivant.

En effet, une fois atteinte, la tentation de considérer cette zone de confort comme acquise et de ne plus vouloir s’en séparer est grande !

Et c’est ce qui se passe pour beaucoup !

Ce ne serait pas grave si cet arrêt ne nous empêchait pas de poursuivre notre évolution !

Il nous faut donc bien faire attention à ce que cette même zone de confort ne soit pas synonyme de « non évolution ». C’est le côté négatif !

Une nécessité

Une zone de confort est donc nécessaire pour passer des caps, des paliers, et pour nous construire progressivement tout en étant notre pire ennemi en nous envoûtant de son chant de sirène hypnotisant.

De la sorte, il est simple de comprendre que le problème n’est pas la zone de confort en elle-même ou la forme que va prendre cette zone, mais bien le fait de rester attaché à une forme définie, en excluant toutes les autres formes.

C’est en cela que la zone de confort est à double tranchant. Se contenter d’avoir un travail sécurisant, (premier besoin) ne fera pas de vous une personne heureuse !

Se « contenter » simplement de fonder une famille, de faire des enfants, ne fera pas de vous une personne heureuse.

Se contenter d’être reconnue et appréciée des autres, ne fera pas de vous une personne heureuse.., et ainsi de suite…

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Prison dorée

La zone de confort est un palier sécurisant afin de pouvoir continuer sa progression

C’est pour cela et comme cela que certaines personnes auront en apparence tout ce qu’il faut pour être heureux(se) : Travail, mari ou femme, enfant, maison, voiture, animaux de compagnie…etc, et vous diront qu’ils ne sont pas épanouis…

Ces personnes sont (parfois sans même s’en rendre compte), attachées à leur zone de confort sans pouvoir s’en défaire. « La prison dorée » leur apporte, en apparence, tous les besoins fondamentaux, tout en les empêchant de s’épanouir.

La psychologie positive, la pyramide des besoins, le développement personnel ont tous ce même but « d’épanouissement humain ». Nous sommes là pour cela et ne seront épanouis qu’en acceptant de faire ce chemin d’épanouissement.

Hélas, la très grande majorité choisit de ne pas « s’éveiller » au bénéfice des privilèges financiers et matériels du domaine des conditions de vie.

Cette même majorité n’est donc hélas pas épanouie. Des plaisirs certes, un peu de bonheur sûrement, mais certainement pas de l’épanouissement !

Personne ne se lève le matin en souhaitant souffrir. Tout le monde recherche le bonheur et cherche à s’épanouir.

Les paliers, les barreaux de l'échelle

Les zones de conforts ne sont que des paliers pour nous permettre d’y parvenir et non nécessairement d’y rester.

Grandir, évoluer et s’épanouir ne signifie pas non plus de quitter systématiquement sa ou ses zones de conforts. Sortir ou entrer dans une zone de confort est un phénomène naturel et continuel.

Vous ne perdez donc rien en quittant une zone de confort. C’est une croissance logique et évidente qui nous pousse à nous positionner, à faire des choix, à prendre des orientations. Et donc, par conséquent, à changer d’environnement, de façon de faire, de penser… En somme, de s’ouvrir à autre chose.

Et nous faisons cela en permanence et de façon naturelle. Nous ne perdrons jamais nos acquis, nous ajoutons simplement de nouvelles données. On ne change rien, on ajoute seulement.

Inutile donc d’en avoir peur

D’autant plus que si vous trouvez mieux, vous n’aurez aucune difficulté à changer et donc à sortir de votre zone de confort actuelle pour une autre encore plus confortable et ce jusqu’à ce que tous les domaines de votre vie soient parfaits (selon vous), c’est là l’épanouissement.

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Que seriez-vous prêt à faire pour une vie meilleure ?

C’est un peu comme un enfant, prêt à défendre « bec et ongle » son jouet jusqu’au jour où ses parents lui en offrent un nouveau plus intéressant ! Le jouet passe alors de l’état de pierre précieuse à celui de vulgaire gravier en quelques secondes ! Et finira dans le coffre à jouets sans aucun remords !

Avoir peur de changer ou de faire autrement que d’habitude est une réaction normale. C’est la peur de l’inconnu, la peur de se tromper, la peur d’échouer, la peur de trouver moins bien… Et c’est en même temps la seule façon de s’ouvrir et de s’épanouir.

« On sait ce qu’on perd, on ne sait pas ce qu’on retrouve » ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire !!

Bien au contraire, en faisant ce qu’on ressent, ce qu’on trouve est systématiquement mieux que ce qu’on laisse. Non pas que ce que nous avions était mauvais, mais plutôt qu’il ne correspondait plus à notre évolution.

En étant honnête envers vous-même, si vous pensiez à changer ou à faire autrement, c’est bien que quelque chose dans votre situation actuelle vous dérange ou que vous sentez intuitivement que vous n’êtes pas pleinement à votre place, ou pire, que vous ressentez clairement de la douleur ou de la souffrance en faisant ce que vous faites aujourd’hui.

Il suffit parfois de faire le point sur votre vie. Dans la très grande majorité des cas, les changements opérés dans nos vies (plus ou moins agréables sur le coup), nous ont été profitables à terme !

Le changement n’est donc pas à craindre mais plutôt à solliciter. La seule chose qui nous retienne n’est autre que cette peur irrationnelle, principalement liée à notre égo, cherchant lui-même à tout contrôler !

La peur de nous-même, de notre façon de réagir, la peur du jugement des autres, la peur de l’inconnu…etc

Et pourtant, si vous ne faites rien, vous connaissez les conséquences. C’est ce que vous vivez déjà aujourd’hui… « Si vous ne changez rien, rien ne changera ! », c’est le principe du schéma de répétition.

Tout n’est sans doute pas noir

Il y a certainement des avantages à ne pas changer et à rester dans cette situation actuelle, sûrement.., mais vous ne pouvez pas nier que cette même situation génère suffisamment de frustration et d’insatisfaction pour avoir envie de changer, n’est-ce pas ?

Si votre zone de confort est devenue inconfortable, c’est qu’il est l’heure de changer ! Si vous ne changez pas, cherchez les avantages que vous trouvez à rester dans cette situation !

  • Si malgré les évidences vous ne changez pas, c’est que quelque chose vous en empêche.
  • Si vous persistez dans cette situation non épanouissante, vous souffrirez.
  • Si vous vous résignez, vous ne pouvez plus vous plaindre !

Viennent ensuite les notions de respect de soi, de choix, de vision de la vie, de croire en la vie, d’estime de soi….

Demandez à vos amis, votre famille ou à une personne ayant un regard extérieur, en qui vous pouvez avoir confiance, un coup de main si vous avez besoin d’aide, de conseils ou tout simplement d’être reboosté

Rester « accroché » à quelque chose ou à quelqu’un qui ne nous correspond plus est source de profondes souffrances. Tôt ou tard, vous ne pourrez pas lutter contre votre évolution.

La plupart du temps, plus on attend et plus c’est dur, mais ce n’est JAMAIS trop tard !

Conclusion

Comparez les zones de confort à des paliers menant à l’épanouissement. La vie nous veut du bien et elle ne nous laissera pas stagner dans des conditions de vie médiocres.

N’hésitez pas à changer de jouet, notre croissance ne se fait qu’au travers de nos expériences.

Agriculture : le gouvernement veut réduire de moitié l'usage des pesticides

Par Le 02/02/2015

Une bonne nouvelle pour les consommateurs qui s'inquièteraient de leur alimentation. Le gouvernement a décidé de réduire de moitié l'utilisation de pesticides dans l'agriculture d'ici 2025.


Réduire l'utilisation de pesticides dans l'agriculture

Le gouvernement aime le bio !

Vendredi 30 janvier 2015, le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a présenté un nouveau plan de réduction de l'usage de pesticides dans l'agriculture. L'objectif de ce programme est de réduire de moitié l'usage de ces produits chimiques dans les cultures d'ici à 2025. En attendant cette date, le gouvernement a néanmoins prévu un palier intermédiaire de réduction à 20% d'ici 2020.

Augmenter les fermes expérimentales Delphy

Pour tenter d'arriver à un tel résultat, le ministre veut s'appuyer sur un réseau de fermes expérimentales, des exploitations appelées Delphy, qui ont déjà réduit leur utilisation de pesticides de 12%, en moyenne, en 2013. On en compte actuellement 2.000 sur toute la France et Stéphane Le Foll voudrait faire passer ce chiffre à 3.000.

Des pénalités financières pour les distributeurs de pesticides

Outre ce point, le ministre de l'Agriculture veut également s'appuyer sur la bonne foi des distributeurs de produits phytosanitaires, l'autre nom pour ces pesticides. Pour contraindre les centres à cette transition écologique, Stéphane Le Foll compte sur la mise en place de certificats d'économies de produits phytosanitaires, qui les obligeront " à baisser de 20 % le nombre de doses utilisées sur cinq ans sous peine d'une pénalité financière".

Le don d'empathie

Par Le 28/01/2015

Tout d'abord je tiens à dire que je possède le don d'empathie, je fais donc cet article pour toutes les personnes qui auraient du mal à  gérer ce don... merveilleux don mais qui peut être très dur à contrôler si vous n'arrivez pas à vous contenir, et à faire la différence entre  vos ressentiments, et les sentiments des autres....

-L'empathie est une notion complexe désignant le mécanisme psychologique par lequel un individu peut comprendre les sentiments et les émotions d'une autre personne, en "se mettant à sa place" sans toutefois les ressentir lui-même.

Mais l'effet d'empathie et de mimétisme peut vous faire ressentir les choses, les sentiments, les émotions d'une personne.

Selon Carl Rogers: L'empathie consiste à saisir avec autant d'exactitude que possible, les références internes et les composantes  émotionnelles d'une autre personne et à les comprendre comme si l'on était cette autre personne.

-Contrairement à ce qu'on croit trop souvent,  l'empathie n'est pas la sympathie et l'on ne doit pas employer un mot pour l'autre. La  sympathie est une empathie augmentée qui, comme l'indique l'étymologie grecque, revient à "souffrir avec". Dans ce cas, la participation est spontanée, effective et bien sûr affective. Dans l'empathie elle est tout aussi sincère mais plus distanciée et souvent motivée par la  volonté de communiquer.

Boris Cyrulnik nous donne une juste idée de l'empathie et de son importance: "En tant qu'homme j'appartiens à la seule espèce vivante  capable de me figurer les représentations de l'autre. Je suis alors contraint à partir à la découverte du monde mental de l'autre, de ses  théories, de ses représentations et de ses émotions. Je suis donc forcé à ne pas vivre dans un seul monde – sinon je me transforme en dictateur – et si par malheur le pouvoir politique m'est accordé, je peux imposer ma vision du monde qui va détruire la société au nom d'une vision cohérente qui est la mienne. Ce qui signifie au fond que l'empathie propose peut-être la seule justification morale à être ensemble. Cette morale fondée sur le plaisir, le désir de découvrir des théories et les représentations des valeurs de l'autre s'opposent aux morales perverses."

-L'empathe est une « éponge » des émotions. Il est capable de ressentir les émotions les plus profondes comme les plus éphémères et  superficielles, et de même il est capable d'imposer aux autres ses propres émotions, volontairement lorsqu'il maîtrise son Don mais aussi  involontairement, d'où le double tranchant de ce Don. Un bouclier mental est indispensable pour pouvoir résister à ce Don, car le risque  est de se fondre parmi les autres et d'y perdre ses propres émotions et  sa personnalité. L'empathie peut être déclenchée par un contact direct ou simplement par  a proximité d'une personne. Une personne qui vous est chère ou que vous avez longtemps fréquentée est liée à vous et vous gardez un lien avec elle (ex : membres de sa famille, amis très proches, amour etc...) ou même vous pouvez décider de créer un lien volontairement avec quelqu'un mais c'est une opération plus délicate. Notons aussi que l'Empathe peut fonctionner avec certains animaux (parmi les plus évolués) et végétaux  (parmi les plus âgés). Enfin l'Empathie peut être couplée à un Don de Guérison, on parle alors de Guérison mentale ou Guérison par l'esprit.

Conclusion :

L’empathie est un don, parfois très difficile à assumer, mais magnifique car ressentir les émotions des autres est un pouvoir énorme...

Je conseillerai à tous les "empathes" d'accepter leur don, et pour moins souffrir essayer de "réguler" la réception des émotions, pour cela je conseille la méditation, il vous suffira alors de fermer les yeux et respirer lentement quand vous vous sentirez submergé par les  sentiments, émotions...

Personnellement aujourd'hui je me sers de cela dans ma vie quotidienne, j' aide mes ami(e)s quand je sens qu'ils (elles) se sentent mal, je "manipule" certaines personnes, car en étant "empathe" mon pouvoir de persuasion est amplifié.

 

Je vous souhaite une belle santé et un esprit ouvert !

La pleine lune, ses effets sur l'homme: mythe et réalités

Par Le 28/01/2015

Même si l'on ne craint plus sorcières et loups-garous, on sait que la  pleine lune a de vrais effets sur l'homme et ses rythmes biologiques.

Insomnies, enfants excités, menstruations, accouchements... La  pleine lune rythme inévitablement nos vies. Le corps médical, sans pour  autant donner de vraies explications, constate les effets de l'astre  nocturne sur les hommes. La lune ne fait pas seulement partie de notre  imaginaire, son influence est inscrite dans nos cellules et nous ramène  inexorablement à notre appartenance à un rythme universel.

Lune: mythe ou realite

La lune dans les mythes fondateurs de l'humanité

Dans toutes les cultures et religions, les astres instaurent un  rythme. Cette scansion génère un mouvement dans l'univers, promesse de  vie, contrairement à l'immobilité, contexte de mort et de néant.

«Que des luminaires apparaissent dans l'étendue des cieux pour  séparer le jour et la nuit, et ils devront servir de signes pour les  époques, les jours et les années... Et Dieu vit que cela était bon.» (Genèse, I:14, 4e jour de la création)

«L'alternance Yin/Yang des saisons est le fondement de la création. Ne voilà-t-il pas des mots forts, lourds de signification?» (Nei Jin Su Wen - le Traité de l'Empereur Jaune). Pour les taoïstes, les saisons sont rythmées par la lune.

«Dans la tradition védique, Chandra est le nom du dieu antique de  la lune, surnommé le lumineux. Dans les représentations personnifiées  Chandra est le symbole traditionnel des énergies mystérieuses  vitalisantes de la nature.» (Gregorian Bivolaru)

Du mythe à la réalité

Le quotidien des hommes, du temps où l'électricité n'existait pas, ni  les 35 heures, ni les rythmes artificiels créés de toute pièce par le  monde moderne, était scandé par les différentes étapes de la lune.  L'agriculture notamment, respectait un calendrier lunaire, que ce soit  pour les semailles ou les récoltes.

La durée des cycles lunaires étant globalement la même que celle des  cycles féminins, le sujet a donné lieu à toute une exégèse sur la  question de la correspondance entre pleine lune et menstruations. S'il  est évident que toutes les femmes d'une même latitude n'ont pas leurs  règles le même jour, l'imaginaire n'a pas tardé, cependant, à associer  la femme, la lune et la nuit, dans un mystère porteur d'une aura  ténébreuse, qui fut lourd de conséquences pour les femmes durant des  siècles. Conséquences parfois amusantes: la légende de la mayonnaise qui  tourne si une femme indisposée la prépare. Conséquences parfois  dramatiques: bon nombre de «sorcières» brûlées à cause de cet amalgame  superstitieux entre sexe, nuit, lune noire et pleine lune.

Agressions, insomnies et accouchement, une légende autour de la pleine lune ?

Impossible de connaître le fin mot de l'histoire si l'on s'en tient  aux «études» scientifiques. Les statistiques tendent à démontrer que  toutes les légendes ne sont nées que de la superstition. Pourtant, en  matière d'agressions et de violence et concernant les insomnies et le  nombre des accouchements durant la pleine lune, les professionnels  tiennent un tout autre discours: les maternités sont débordées les nuits  de pleine lune, et les policiers sortent plus souvent en intervention.  Pourquoi de telles contradictions?

Un article paru sur le site du National Geographic  propose l'hypothèse d'une mémoire sélective. Lorsque des événements  particuliers surviennent durant la pleine lune, nous les mémorisons  mieux en associant la cause et l'effet. Par la suite, nous ne  conserverions que les souvenirs qui soutiennent l'idée de l'influence  lunaire sur les comportements.

Une réalité pourtant indéniable

Certaines observations découragent cependant les études les plus objectives et les hypothèses «rationalisantes». Telles ces manifestations observées  sur les barrières de corail, ou sur le comportement des crabes rouges  de l'île de Christmas. Que dire également des insomnies ou des nuits  agitées des enfants qui n'ont aucune notion du calendrier, ou même de  ces insomnies «collectives» constatées les lendemains de pleine lune,  parmi des personnes qui ne se connaissaient pas la veille, et qui donc,  n'ont pas pu avoir une influence quelconque les unes sur les autres?

La réponse se trouve peut-être dans une étude – fort heureusement scientifique – parue dans le quotidien Le Matin  de Lausanne (11 février 2004), effectuée par un musée zoologique sur le  comportement des animaux. Cette étude démontre qu'au cours des  millénaires, les animaux ont adapté leur comportement en fonction de la  lune et des marées, pour des raisons purement pratiques: plus de  nourriture à marée basse, davantage de lumière pour chasser, etc. Des  animaux (crustacés en l'occurrence) élevés en laboratoire, donc loin de  leurs conditions naturelles de vie, réagissent pourtant de la même  manière aux phases lunaires.

«Donc ces animaux sont clairement influencés par les cycles  lunaires au point d’intégrer ces aspects dans leur patrimoine génétique  et de les reproduire même lorsque les conditions, comme celles du  laboratoire, ont radicalement changé», dit l'étude.

Pour éviter d'entrer «en religion» et de défendre un ésotérisme  absolu, tout autant qu'un scientifisme obtus, on peut, à partir de cette  étude réalisée par ces zoologues, imaginer que l'être humain possède  lui aussi la mémoire ancestrale d'une ère où toute sa vie était  conditionnée par la nourriture et la lumière. La pleine lune  réveillerait alors chaque mois les souvenirs enfouis dans ses gènes d'un  temps où l'homme devenait soit prédateur (violence et agressions) ou  proie (insomnie et angoisse).

Cycles lunaires, restons dans le rythme...

Lutter contre l'insomnie, vouloir fixer artificiellement la date d'un  accouchement, consiste à s'extraire de lois contre lesquelles on ne  peut lutter qu'au détriment d'un certain équilibre. Le stress de  l'insomnie est directement lié à un conditionnement, à une société qui  assène que l'on doit dormir toutes les nuits de la même manière. Dès  lors que l'insomnie est débarrassée de l'angoisse, elle peut se vivre de  manière plus sereine, et être utilisée pour passer certaines heures de  la nuit avec profit.

Si vos enfants sont énervés ces jours-là, prévoyez de plus longues  sorties, des activités plus toniques, qui assouviront leur besoin de se  défouler.

Mythes, légendes et sagesses populaires trouvent tous racine dans  quelque vérité transcendante, dont le sens peut nous échapper, que ce  soit d'un point de vue ésotérique ou scientifique. Le mieux est encore  de se mettre au diapason.

Sélection naturelle

Par Le 27/01/2015

J’ai commencé à lire des livres sur la Sélection Naturelle, découverte et analysée par Darwin. Alors, je pense que la plupart des gens ne voient en elle que ce filtre qui a sélectionné les individus et les espèces les plus aptes à se reproduire dans un environnement donné. Mais ce n’est pas que cela. Certes, la Nature invente, grâce aux mutations et à l’adaptation des formes de vie, et la Nature trie, éliminant ce qui ne marche pas.

 

 

La maladie c est 1

 

Mais la Sélection Naturelle n’agit pas QUE sur la constitution physique des individus : pattes, ailes, nageoires, mains, plumes, poils, becs, museaux, etc. Elle agit aussi sur des composants plus cachés, plus discrets mais tous, aussi importants : les instincts. Nous, femmes et hommes sommes des animaux.

 

Nous l’oublions trop souvent. Notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, grâce à ses avantages (mains, station debout, gros cerveau, …), a pris le dessus sur toutes les autres espèces, les faisant disparaître, peu à peu, ou les asservissant à ses besoins. Mais nous sommes toujours des animaux. Nous sommes toujours cet animal fait pour la chasse et la cueillette dans un environnement hostile. Et nous avons toujours en nous ces instincts, sélectionnés eux-aussi par l’environnement dans lequel nos ancêtres ont vécu. Et, alors que, dans ce monde moderne, nous nous croyons libres, nous obéissons à des instincts qui ont aidé nos ancêtres à survivre et à croître en nombre.

 

Nous sommes des pantins, agités par des besoins animaux qui nous dirigent, et formatés par la culture dans laquelle nous avons été élevés. Notre libre arbitre n’est qu’une illusion. Je vois le monde comme mes sens me le permettent, comme mon cerveau me le représente, et comme ma culture me le fait comprendre.

 

Ainsi les enfants sont programmés pour croire : croire en ce que disent les parents et les adultes de leur groupe, et leur obéir (au moins dans la petite enfance). Pourquoi ? Tout simplement parce que les enfants qui n’obéissaient pas et ne voulaient pas croire leurs parents et apprendre d’eux n’ont pas transmis leurs gênes ! Mangés par les bêtes féroces. Alors, les enfants croient, par instinct sélectionné pendant des milliers de générations. Nous ne soupçonnons pas combien ces instincts, qui ont bien servi à aider nos ancêtres à survivre et se reproduire, nous dominent.

 

Ainsi, Mesdames, lorsque vous vous pâmez devant un beau mâle musclé (alors que notre société complexe requiert de l’intelligence plus que de la force), vous êtes encore la femelle qui recherche le mâle qui pourra la protéger et l’aider à nourrir et élever son petit pendant la grossesse et les 4 à 5 années de son éducation. D’ailleurs, il paraît que les enfants ressemblent D’ABORD à la mère, avant de prendre les traits du père : ainsi, même si le mâle choisi n’est pas le géniteur, il sera trompé et s’en occupera malgré tout !

 

Les lions n’ont pas cet instinct : le lion qui a conquis une femelle commence d’abord par tuer ses petits. Notre cerveau, dès avant la naissance, est pré-câblé pour de multiples fonctions, des plus simples et reptiliennes, aux plus complexes (comme le langage). Mais il semble toujours incroyable que la Sélection Naturelle ait pu aboutir à des êtres d’exception comme les Mathématiciens (Gauss, Erdos, Euler, …) qui construisent des univers de complexité : notre évolution continue ; mais la Nature résistera-t-elle ?

 

Alors, il y a un débat pour savoir si la morale est une caractéristique de l’Homme, ou si, même sous une forme plus simple, elle n’a pas été sélectionnée par la Nature et que d’autres animaux la partage avec nous, comme les grands singes, les éléphants et les dauphins. La compassion et l’empathie sont à la base de la morale. La compassion est l’émotion qui nous étreint lorsqu’un autre individu souffre.

 

L’empathie est notre capacité à nous mettre à sa place et à ressentir sa souffrance. Chez l’Homme, ces mécanismes sont basés sur des signaux universels qu’envoie notre corps (rictus, larme, position du corps, cris, …) et sur notre capacité à les interpréter.

 

Mais les grands singes aussi sont capables de compassion et d’empathie. Ils sont même capables d’imaginer les conséquences d’actes et de vouloir sauver leurs congénères même sans profit pour eux-mêmes.

Les bienfaits du BIO sur notre santé

Par Le 27/01/2015

52% des fruits et légumes commercialisés en France contiennent des traces de pesticides, et 7,6% dans des proportions supérieures aux limites maximales autorisées. Or certains pesticides peuvent avoir des impacts sur votre santé.

En achetant des produits bio, vous avez la garantie que ce que vous mangez a été cultivé sans produit chimique de synthèse (incluant les pesticides).

 

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Le bio : un potentiel de création d'emplois

 

Actuellement, nous continuons à importer 40% de nos produits bio.

En plus des bienfaits sur votre santé, savez-vous que la surface agricole française cultivée de manière biologique a augmenté de 25% entre 2009 et 2010 ? Privilégiez le bio français et contribuez à la création d'emplois en France !

Consultations

Mais comment faire mon choix ?

 

Le label Agriculture biologique certifie que l'aliment est composé d’au moins 95 % d’ingrédients issus du mode de production biologique, mettant en œuvre des pratiques agronomiques et d’élevage respectueuses des équilibres naturels, de l’environnement et du bien-être animal.

Le label Demeter labellise les produits biodynamiques. Il est plus exigeant que le label AB car il certifie que 100% du produit est biologique. Les agriculteurs produisent eux-mêmes leur engrais biologique.

Pourquoi mange-t-on ?

Par Le 27/01/2015

Parce qu’on a faim, répondez-vous. Oui, mais pas seulement, et c’est bien là que les problèmes de poids commencent. On mange, sans faim, sous la pression sociale, sous le coup des émotions, lorsqu’on s’ennuie...

 

 

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Comment perdre du poids quand l'ennui vous assaille et que le buffet vous tente ?

Emmanuel se retrouve à une énième conférence liée à son travail, il n’est pas vraiment passionné par la teneur des débats. En revanche, un grand buffet est à la disposition des participants. Il a beau avoir pris un petit-déjeuner, ne ressentir aucun creux dans son estomac et souhaiter perdre du poids,  il se dirige vers le buffet et mange. La sensation d’ennui conjuguée à la disponibilité de la nourriture provoque cette réaction.

La sensation de faim exprime un besoin physiologique, qu’il faut assouvir. C’est pour cela qu’on mange. Mais pas seulement ! Le plaisir, la frustration, les émotions en règle générale, mais aussi la pression sociale nous font manger. Et dans ces moments-là, nous avalons des calories dont notre corps n’a pas forcément besoin, ce qui peut provoquer des kilos en trop. Je distingue ainsi le mangeur biologique, qui mange pour assouvir une faim physiologique, et le mangeur social soumis aux influences diverses exercées par son environnement.

 

Si vous ne pouvez résister à la tentation de manger, peut-être faut-il en rechercher la cause ?

 

Rappelez-vous que nous sommes tous, adultes, des mangeurs autonomes. C’est-à-dire que notre libre arbitre peut intervenir à tout moment : nous pouvons arrêter de manger alors que nous ne sommes pas arrivés à satiété comme nous pouvons manger sans appétit. Le fonctionnement du cerveau prend alors le pas sur les facteurs physiologiques. La régulation du poids qui en découle peut être compliquée pour certaines personnes, ce qui conduit à des cas de maigreur ou au contraire d’obésité.

Parfois, la multiplication des régimes trop stricts mène à ce genre de comportement : une personne se met d’abord dans un état de contrôle extrême pour ensuite perdre le contrôle et tomber dans la compulsion alimentaire.

 

Le cercle vicieux des régimes alimentaires et des craquages est finalement très classique. Pour le comprendre, il faut noter que le régime restrictif va à l’encontre du phénomène de plaisir qu’apporte le fait de manger. La faim provoque une anxiété que le fait de manger apaise. Mais les restrictions empêchent ce phénomène de plaisir. La contrainte alors suscitée peut déboucher sur l’inverse du but recherché : on craque et mange plus encore pour se consoler !

 

Sur ces réflexions cela mène à une conclusion assez évidente : sur le long terme, le régime restrictif ne fonctionne pas. En consultation, je préfère ainsi aborder votre comportement alimentaire et détecter ces fameuses émotions ou contextes sociaux qui vous poussent à manger trop plutôt que de vous interdire des aliments.

 

Progressivement, vous apprenez à réguler votre appétit, à manger moins, seulement selon vos besoins, et ainsi vous mincissez durablement.

 

Au plaisir de vous conseiller.

Alimentation et émotions

Par Le 08/01/2015

Votre alimentation a un impact sur vos émotions !

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Oui, bien entendu, vos aliments servent avant tout à vous nourrir mais en fonction de vos choix alimentaires, votre humeur risque d’en pâtir !

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Votre alimentation joue sur votre humeur au quotidien !

Vous êtes-vous déjà posé les questions suivantes ?

Quels sont les aliments que je consomme ?

De la viande, du poisson, des légumes, des fruits, des oléagineux, des légumineuses, des sodas, des excitants comme le café, le thé, le chocolat, des produits industriels, des plats tout prêts…?

Quelle est leur qualité ? leur fraîcheur ?

De grande surface, bio, du marché, de la ferme en direct, local, du jour ou emballés depuis x temps …?

Comment les préparez-vous ?

Au four, au micro-ondes, à la vapeur, à l’eau bouillante, en friture, en grillade….?

Dans quel état d’esprit ?

Avec plaisir et envie, avec joie, avec impatience, avec indifférence, avec “ras-le-bol” ?

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Votre état d’esprit lorsque vous cuisinez est déterminant pour une meilleure digestibilité.

Dans quelle ambiance les mangez-vous ?

Dans le silence, dans un endroit bruyant : bavardages, cris, musique forte, devant la télé, en lisant son journal ou son courrier…?

Tous ces éléments seront déterminants pour votre santé physique ET psychique !!

Les naturopathes ont compris depuis longtemps le lien entre la santé physique et psychique et l’alimentation.

Observez maintenant votre humeur dans la journée : irritable ? fatigué ? colérique ? déprimé ? ou …joyeux, souriant, heureux ? Dans ce dernier cas, tout va bien pour vous mais…je doute que la majorité ne réponde cela.

Il est important de comprendre que ce que vous mettez dans votre assiette et donc dans votre corps va créer toute une série de réponses hormonales qui influeront alors sur votre comportement.

Les additifs chimiques se cachent partout et ont des conséquences sur votre comportement. Ici, « arômes » veut dire « glutamates » !

Les enfants, si sensibles, en sont l’illustration 

Pourquoi croyez-vous qu’il y ait tant d’enfants énervés, hyperactifs ou au contraire autistes de nos jours ? Mis à part certains facteurs chimiques et médicamenteux qui peuvent en être la cause, l’alimentation (en cause ici surtout gluten, glutamates et aspartam) est de toute façon à modifier dans tous ces cas pour espérer une amélioration !

Certains diront : “oui, mais j’aime trop ce que je mange, je ne pourrai pas m’en passer”.

Je répondrai alors “aïe, êtes-vous déjà si dépendant(e) ! cela prendra plus de temps”. Mais tout est possible à celui qui VEUT que sa situation change.

D’autres questionneront “mais qu’est-ce qui prouve que ça va changer quelque chose ?”

–"eh bien, faites-en l’expérience et vous comprendrez ! de toute façon vous ne risquez rien, si ce n’est le mieux-être."

Seule l'expérience compte

“oui mais comment faire alors ?” 

“en commençant doucement, par étapes. En diminuant puis supprimant l’aliment le plus nocif suivant votre situation, puis continuez jusqu’à ce que vous vous sentiez assez fort pour changer autre chose dans votre alimentation”.

Quelques effets d’aliments sur le comportement, surtout quand ils sont pris quotidiennement.

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Le café influe sur votre humeur... Diminuez, stoppez ce poison mortel !

Les excitants : il s’agit de la caféine, de la théine, de la théobromine (dans le chocolat), des excito-toxines présentes dans l’aspartame ou les glutamates si utilisés dans les aliments industriels. Ils ont une incidence sur le système nerveux et rendent donc irritables, agités ou dépressifs.

Les sucres en général : le sucre blanc est le plus nocif car il acidifie fortement l’organisme, créant beaucoup de fatigues et diverses pathologies. Les sucres fatiguent le pancréas et rendent dépendants. Ils ont tendance à rendre les consommateurs nostalgiques, avec un sentiment inconscient d’insécurité et besoin de réconfort.

Tranchez pour une viande de premier choix

Manger de la viande rouge régulièrement rend agressif !

La viande : surtout la viande rouge, rend agressif, violent, impulsif. Les gros consommateurs de viande rouge sont souvent des personnes colériques. Il est important aussi d’être conscient que dans la viande se trouvent les résidus médicamenteux (antibiotiques, anti inflammatoires, vaccins) qui influent sur les sécrétions hormonales et donc sur le comportement.

Les produits laitiers : ces aliments pro inflammatoires (c’est à dire qui favorisent les inflammations dans le corps, comme dans le cas de rhumatismes) sont acidifiants et rendent aussi les consommateurs très émotifs.

Le gluten (donc le pain, les pâtes, les gâteaux…) : sa consommation a des impacts sur le cerveau et les consommateurs sensibles peuvent ressentir une grande fatigue allant jusqu’à la dépression ou une grande tristesse.

Quelle alimentation privilégier pour retrouver le moral ?

Tout simplement une alimentation VIVANTE !! C’est ce qui manque le plus dans le quotidien de la majorité des gens.

C’est quoi une alimentation vivante ?

C’est une alimentation qui vous apporte de la vie, des vitamines, des minéraux, des oligo-éléments, des ENZYMES, de la chlorophylle…Or pour avoir tous ces nutriments, il ne faut pas cuire vos aliments au-delà de 40°C !

Les solutions concrètes

La vitalité, la bonne humeur, ne peuvent être apportées que par les aliments vivants.

Privilégiez une alimentation essentiellement végétale, qui contient une bonne quantité de CRU :

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  • légumes crus (crudités) assaisonnés avec de bonnes huiles première pression à froid de qualité BIO *
  • des graines oléagineuses : soit mise à tremper la veille, soit très légèrement et rapidement grillées dans une poêle à sec
  • des fruits secs que vous pouvez réhydrater 
  • des fruits frais
  • des graines germées : céréales (épeautre, blé…), plantes (luzerne, fenugrec…), oléagineux (tournesol…), légumineuses (lentilles blondes ou brunes, pois chiches), des légumes (radis, chou rouge, brocoli…)
  • des légumes lacto-fermentés (choucroute, carottes, betteraves, radis noir…)
  • autres produits lacto-fermentés (tempeh, miso, tofu, tamari, shoyu, boissons comme le kéfir ou le kombucha)

     

    Les aliments séchés à basse température conservent tous leurs nutriments.

  • les algues 
  • les plantes sauvages (ortie, feuilles de pissenlit, chénopode…)

Vous pouvez sécher certains légumes ou fruits pour varier vos préparations. Le soleil peut vous y aider, surtout en été. Dans les périodes moins ensoleillées ou si cette solution ne vous convient pas, je conseille d’utiliser un déshydrateur.

Pensez également aux délicieux smoothies (préparés avec un bon blender).

Bien entendu, cela peut se compléter avec quelques aliments cuits à basse-température, comme avec l’omnicuiseur (vapeur douce). En mangeant les aliments crus en premier lors du repas, ils vous apporteront les enzymes nécessaires à une bonne assimilation

*Saviez-vous que les huiles du commerce traditionnel sont traitées en 6 étapes pour être jugées correctes à la consommation? (après avoir été quasiment carbonisées, elles sont désodorisées, décolorées puis à nouveau colorées…).