nature
-
Mes 8 secrets pour ne plus être malade
- Par vogot
- Le 24/01/2018
- 0 commentaire
Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin, sauf pour un bilan annuel et pour cause, je ne suis jamais malade. Je vais vous partager mon secret. N'oubliez pas que le hasard n'existe pas.
Chaque année, les mêmes personnes semblent passer miraculeusement entre les gouttes des épidémies de grippe ou de gastro-entérite. En réalité, la chance n’a rien à voir là-dedans : c’est la qualité de leurs réponses immunitaires qui leur garantit de passer l’hiver sereinement, et cette qualité dépend de 8 secrets bien gardés qu’ils exploitent au maximum. A vous de les mettre en pratique pour faire partie, vous aussi, de ces personnes qui ne sont jamais malades...
1) J'ai une alimentation riche en micronutriments.
Dans les pays riches, l’alimentation est devenue si pauvre que la carence en micronutriments est monnaie courante. Or, des études ont montré qu’une déficience en un seul des micronutriments suivants nuit aux fonctions immunitaires : le zinc, le sélénium, le fer, le cuivre, le calcium, l’acide folique ou les vitamines A, B6, C et E.
C’est prouvé : une supplémentation en micronutriments augmente significativement l’activité du glutathion, de la production d’anticorps et de cytokines immunitaires.
Mon coup de pouce : augmentez votre consommation de fruits et légumes frais, et laissez-vous tenter par cette formule multivitaminée audacieuse et pratique qui a déjà séduit des millions de personne.
2) Je dors suffisamment.
Une nuit de sommeil trop courte ne sape pas uniquement votre efficacité au travail. Lorsque vous dormez 5 heures au lieu des 8 heures habituelles, votre organisme interprète ce manque comme un stress physique et élève considérablement son niveau de cellules immunitaires pour le surmonter. Cette activité inhabituelle perturbe par la suite l’activité des granulocytes (un type de globules blancs) et diminue l’efficacité de votre système immunitaire pour les jours voire les semaines à venir.
C’est prouvé : une personne qui dort moins de 6 heures par nuit pendant une semaine, aurait 4,2 fois plus de risques d’attraper un rhume que ceux qui bénéficieraient de plus de 7 heures de sommeil durant le même temps.
Et l’effet ne s’arrête pas là : d’autres études ont montré qu’un déficit chronique de sommeil avait un impact sur le système immunitaire beaucoup plus lourd, creusant le lit de maladies chroniques bien plus délétères qu’un simple rhume.
Mon coup de pouce : retrouvez le sommeil en vous appuyant sur les plantes les plus étudiées pour favoriser l’endormissement (valériane, houblon, rhodiola, etc.) ou choisissant ces compléments, et évitez surtout les médicaments (somnifères, benzodiazépines) qui provoquent effets secondaires et addictions.
3) J'ai trouvé des moyens pour réduire mon niveau de stress.
Le stress entraîne la libération d’hormones du stress, comme le cortisol et l’adrénaline. Ce sont des molécules très utiles à court terme, mais qui nuisent directement aux défenses immunitaires en inhibant la production de cytokines lorsqu’elles sont produites de façon prolongée.
C’est prouvé : une étude a montré qu’en cas de stress chronique, les leucocytes (globules blancs) devenaient anormalement actifs et pouvaient à terme endommager les tissus sains de l’organisme.
Mon coup de pouce : Le yoga, le tai-chi et toute activité physique de manière générale offrent de très bonnes garanties contre le stress. De nombreuses plantes comme l'ashwagandha, la griffonia ou le jujubier contiennent des composés naturels qui agissent en synergie pour apaiser l’organisme et qui sont injustement délaissés au profit des médicaments. Certains suppléments sont justement étudiés pour rassembler les ingrédients naturels les plus actifs contre le stress : ne manquez pas l’occasion de les essayer et de juger par vous-même les effets qu’ils ont sur votre stress.
4) Je suis physiquement actif.
Les études montrent que l’activité physique stimule certaines composantes immunitaires. Elle entraîne notamment une meilleure répartition des populations cellulaires circulantes impliquées dans la réponse immunitaire à condition que l’exercice ne soit pas trop exténuant pour le muscle.
C’est prouvé : les fonctions immunitaires sont directement affectées par l’excès de tissu adipeux, lequel augmente spécifiquement le risque de contracter la grippe...
Mon coup de pouce : reprenez progressivement l’activité physique et aidez-vous d’extraits de plantes reconnues "coupe-faim" par la science comme le konjac ou le guarana et l'acerola présents dans cette formule optimisée pour booster votre énergie et votre cerveau.
5) Je mange des fruits et légumes frais sans pesticides.
L’exposition aux toxines et aux polluants atmosphériques réduit la qualité de la réponse immunitaire. Les pesticides, notamment, inhibent la capacité des cellules NK humaines à sécréter des protéines lytiques et ont un effet néfaste sur les lymphocytes T.
C’est prouvé : des études ont clairement montré que l’exposition chronique aux pesticides jouent un rôle dans le développement de certaines pathologies respiratoires comme l’asthme ou les bronchites.
Mon coup de pouce : Si vous êtes sujet régulièrement à des polluants (en habitant dans une grande ville par exemple), augmentez votre consommation d’antioxydants en achetant davantage de fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ou en profitant de ces formules synergiques contenant plusieurs antioxydants redoutables.
6) Je suis heureux.
Voltaire l’avait résumé ainsi : "J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé". Et il avait raison. Être heureux, ça se décrète et ça affecte profondément notre vie, notre bien-être et notre santé.
C’est prouvé : les personnes qui sont plus connectées socialement à leur famille, leurs amis, leur communauté, sont plus heureuses, sont physiquement en meilleure santé, et vivent plus longtemps que celles qui sont moins bien connectées.
Mon coup de pouce : une des conditions pour être heureux, c’est d’être ouvert d'esprit et experimenter encore et encore, de penser ouverture du coeur, être altruiste et moins dans l'égo. Ne croyez pas ceux qui affirment posséder une recette miracle pour atteindre le bonheur. Le bonheur, il faut y travailler, se l’approprier, se le construire, sortir de sa zone de confort, souvent inconfortable, induisant contractions musculaires et douleurs articulaires.
7) Je reste au contact de la nature.
Vivre en ville a de nombreux avantages, mais le risque de souffrir de dépression y est aussi plus important. Or, il est certain aujourd’hui que les personnes tristes ou déprimées souffrent d’anomalies immunitaires, et notamment d’un excès de cytokines dans le sang qui induisent chez eux un syndrome inflammatoire et une réduction de la qualité des réponses immunitaires.
C’est prouvé : au bout de 90 minutes de marche en pleine nature, le cortex préfrontal, en hyperactivité lorsqu’on ressasse des idées noires, est moins sollicité, ce qui réduit le risque de dépression.
Mon coup de pouce: multipliez les balades au grand air, en forêt ou dans un parc si c’est possible et entourez-vous de verdure ! Une étude a même montré que le simple fait de "voir" la nature accélère le processus de guérison.
8) Je ne fume pas.
Les conséquences du tabac sur l’immunité sont catastrophiques. En plus d’une altération des moyens de défense mécaniques comme les cils bronchiques, la fumée de cigarette augmente drastiquement les niveaux d’inflammation tout en diminuant la qualité de la réponse immunitaire (activité des lymphocytes réduite, production plus faible d’anticorps, inhibition des cytokines).
C’est prouvé : la probabilité d'attraper la grippe quand on est fumeur, est multipliée par 4. Le tabac double même le risque de contracter une infection respiratoire et favorise les complications.
Mon coup de pouce : Arrêter de fumer est évidemment la solution, mais pour celles et ceux qui n’y parviennent pas immédiatement, une supplémentation en vitamine C devrait être envisagée. La recherche a montré que la cigarette épuisait plus rapidement les réserves de vitamine C, ce qui contribuait à aggraver leur situation immunitaire. Le kudzu vous aidera pendant la période de sevrage. La racine du Kudzu contient des isoflavones (daidzéine, puérarine, daidzine...) et a prouvé son efficacité pour réduire la consommation de nicotine. De plus, ces isoflavones ont un effet anxiolytique qui peut contribuer au traitement d'autres addictions comme l'alcool.
-
La naturopathie au fil des saisons
- Par vogot
- Le 10/11/2014
- 0 commentaire
L’humain comme tous les êtres vivants est soumis aux cycles de la vie et aux rythmes des saisons.
Tout comme la plante, nous connaissons un réveil de vitalité au printemps qui s’épanouit en été pour se concentrer en hiver.
Ce mouvement d’expansion d’énergie et de rétraction s’auto perpétue. Ce cycle est nécessaire et indispensable à la vie.
Ce sont ces rythmes naturels que la naturopathie respecte et accompagne.
C’est pourquoi, les aliments consommés, les activités, les rythmes conseillés ne sont pas les mêmes au printemps qu’en hiver, nos besoins étant différents.
De même qu’il y a un temps pour nettoyer, drainer et un temps pour concentrer et intérioriser nos forces.
La consultation du naturopathe au changement de saison aura pour but :
- de vérifier votre état énergétique, sa cohérence avec la saison
- d’adapter l’hygiène alimentaire et de vie en conséquence
Cependant il n’y a pas de règle absolue. Et même si la saison se prête à un drainage, celui-ci peut ne pas être adapté à ce moment là, à tout le monde. Il convient de vérifier si l’organisme est prêt pour cela, c’est l’objectif du bilan de vitalité.
Les maux au fil des saisons …..
Certains symptômes sont la résultante d’un manque d’adaptation aux changements, c’est le cas par exemple de la dépression saisonnière ou des allergies qu’il est possible d’améliorer en naturopathie.
Dans le cas des pathologies hivernales (rhinites, laryngites, grippe, gastro-entérite, …), le naturopathe favorisera un accompagnement préventif afin de renforcer l’immunité. La démarche du naturopathe sera toujours d’améliorer le terrain de façon à optimiser vos réactions adaptatives.
Notion de terrain
Le terrain en naturopathie est constitué de l’ensemble des liquides dans lequel baigne notre organisme. Nous sommes fait à 70 % de liquide, c’est beaucoup….
Dans lequel baignent quelque chose comme 10 milliards de cellules…
Tout comme le terreau de votre jardin, les cellules dépendent du milieu dans lequel elles vivent : elles doivent en recevoir des éléments nutritifs, elles ont besoin d’échanger des informations pour coordonner le fonctionnement global du corps et elles ont aussi à évacuer des déchets ou des toxines.
Quand les cellules baignent dans un milieu acide et encrassé de déchets, elles ne peuvent pas remplir leur rôle et c’est l’organisme dans son entier qui fonctionne mal. L’acidification du terrain est la source de nombreux troubles de santé.
Le bon fonctionnement des cellules est totalement dépendant de la qualité du milieu qui les abrite, vous comprenez donc que l’environnement de vos cellules détermine votre état de santé.
Le corps cherche constamment à maintenir le milieu intérieur dans un équilibre parfait pour permettre le bon travail des cellules.
Plus le corps est chargé de toxines, plus il utilise d’énergie vitale pour se défendre, il s’y épuise !
Comment amorcer le changement de saison, particulièrement lorsqu’il s’agit de l’hiver et de tout son cortège de troubles qui l’accompagne ?
Souvent le changement de saison touche certains d’entre nous de façons particulières, troubles liées aux voies respiratoires, épisodes de refroidissement, réveil des douleurs rhumatismales… mais aussi troubles de l’humeur, fatigues…
Voici quelques pratiques, à portée de tout le monde (ou presque) qui vous aideront à éviter ou au moins à réduire la fréquence et l’intensité de toutes ces manifestations souvent handicapantes, lesquelles ne sont que des cris d’alarme que manifeste le corps à la situation de surcharge en toxines dans laquelle il se trouve.
1. Apprendre à connaître sa constitution soit en faisant une recherche personnelle (livres, internet), soit en consultant un praticien naturopathe.
2. Revoir son alimentation soit du point de vue de la constitution, soit du point de vue de l’état de santé actuelle.Alimentation
Concernant ce 2ème point, voici quelques orientations générales qui rendent de bons services à ceux qui les pratiquent :
* Manger lorsque le sentiment de faim se fais sentir (dans la mesure du possible), ce qui veut dire apprendre à différencier l’appétit physiologique de l’envie psychologique de manger (compensation), qui sont deux sentiments souvent confondus et dont l’origine est complètement différente.
* Supprimer ou réduire les produits alimentaires industriellement transformés, c'est-à- dire tous ceux qui ont subi la pasteurisation, l’UHT, la chaîne du froid ou l'irradiation, la conservation par cuisson, les additifs alimentaires, comme les colorants, les exhausteurs de goût, les antioxydants, les conservateurs…
* Dans la mesure du possible réduire voire supprimer complètement les produits issus de l’industrie du lait, comme par exemple les yoghourts, les fromages, le lait et tous les autres produits qui en contiennent.
* Agir de même avec le blé, qui pour information, n’a plus rien avoir avec le blé originel, il a subi excessivement des manipulations de toutes sortes, le rendant peu reconnaissable par la cellule humaine (incompatibilité moléculaire et énergétique).
* Manger simplement à chaque repas (deux à trois aliments par repas pas plus).
* Augmenter la ration de crudités, car c’est là que le corps (la cellule) peut trouver les matériaux essentiels et en bons états soit avec leurs pleins potentiels de vitamines (détruites par la chaleur et la manipulation), les sels minéraux (transformés par la chaleur et autres additifs), de même pour les oligoéléments, s'il en reste, les enzymes (complètement détruites à plus de 40°c pour la plus grande majorité, les bactéries, les ferments, ainsi que d’autres substances utiles à la vie, sans oublier tout l’aspect énergétique qui accompagne l’aliment.