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Le réveil des sens

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  • Diète hypotoxique

    Pain, fromages... Certains aliments abîment les intestins et provoquent des réactions inflammatoires, voire l’apparition de maladies inflammatoires chroniques comme l’arthrose, la fibromyalgie, l'ostéoporose.

    Le point sur ces aliments avec VOGOT, le réveil des sens.

    Certains médecins vous diront que le gluten ou la caséine sont à l'origine de pathologies pour UNIQUEMENT 0,5% à 1% de la population française.

    Cela est entièrement FAUX, ce n'est pas un phénomène de mode.

    Maladie cœliaque 

    Le gluten est un mélange de protéines insolubles qui donnent du volume et de l'élasticité aux produits de boulangerie. On le trouve dans le blé, l'orge, l'avoine et le seigle, des céréales utilisées principalement dans le pain, les pâtisseries et les pâtes, mais également dans de nombreux plats préparés. Connue depuis l'Antiquité, la maladie cœliaque toucherait aujourd'hui entre 0,5 et 1 % de la population occidentale (entre 300.000 et 600.000 personnes en France), selon les estimations les plus courantes qui ne sont surement pas le reflet de la réalité.

    La maladie peut se déclencher à n'importe quel moment de la vie et se manifester par des symptômes très divers : diarrhées chroniques, perte de poids, vomissements, fatigue, problèmes articulaires, neurologiques...

    La maladie cœliaque peut aujourd'hui être décelée grâce à des tests fiables, 80 % des personnes qui en souffrent ne sont pas diagnostiquées et ne suivent pas un rééquilibrage alimentaire sans gluten qui est pourtant le seul traitement de leur maladie existant à ce jour. Mais à côté de ces patients, un nombre croissant de personnes affirment aller mieux lorsqu'elles suivent ce type de rééquilibrage.

    Estampillées "hypersensibles" au gluten, elles interpellent les chercheurs qui, jusqu'à présent, ont été incapables de prouver scientifiquement l'existence de cette "sensibilité", ce qui n'est pas le cas des naturopathes, qui tirent la sonnette d'alarme depuis fort longtemps. L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne.

    Pour la plupart, il s'agirait d'un simple phénomène de mode tandis que quelques-uns estiment qu'un mécanisme différent du gluten pourrait être impliqué. Les tests sanguins, qui permettent de détecter la présence d'anticorps caractéristiques de l'intolérance au gluten, sont en revanche systématiquement négatifs chez eux.

    Top 7 des aliments qui augmentent les douleurs

    Les pâtes abîment les intestins

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    La plupart des aliments à base de céréales contiennent du blé, et donc du gluten, une protéine très difficile à digérer et qui, cuite à haute température, entraîne la production d'une substance neuro-toxique, l'acrylamide. A terme la mauvaise digestion de ces aliments peut entraîner l’apparition de maladies inflammatoires chroniques.

    En détail 

    Tous les aliments qui contiennent du blé, du seigle, du kamut, de l’orge, de l’avoine, du maïs, de l’épeautre et, en particulier, les céréales prêtes à manger, les pains, les biscuits, les craquelins, les pâtisseries, les pâtes, même la bière qui contient des protéines de l’orge.

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    La molécule alimentaire pro-inflammatoire "gliadine alpha", contenu dans le gluten est très difficile à digérer par les enzymes. En s’accumulant dans l’intestin grêle, ces molécules alimentaires incomplètement digérées favorisent la multiplication des bactéries pathogènes avec comme conséquence le déséquilibre de la flore intestinale (appelée maintenant microbiome intestinal, je dois l'avouer c'est moins parlant), le développement d’inflammation, la perte de l’intégrité des parois de l’intestin grêle et une augmentation de sa perméabilité.

    Les déchets bactériens et les grosses molécules alimentaires mal digérées, telles la "gliadine alpha", franchissent la paroi intestinale et se diffusent dans la circulation sanguine et lymphatique, ce qui leur permet de se déposer dans les tissus. Leur propriété antigénique (qui peut permettre de déclencher une réponse immunitaire), les rend susceptibles de provoquer des réactions pro-inflammatoires inappropriées.

    Couplées à une prédisposition génétique, les intolérances envers certains antigènes alimentaires ou microbiens peuvent être à l’origine de douleurs inflammatoires et de maladies chroniques.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    Certaines maladies telle l’arthrose peuvent se déclarer seulement au bout de 10 ans, 40 ans...selon la génétique ou la quantité d’antigènes sensibilisants (ex. gluten) ingurgités. La durée de développement des différentes maladies chroniques peut varier considérablement en fonction de la maladie, des caractéristiques génétiques et du mode de vie des individus.

    Avant que les premières douleurs ne soient ressenties, l’inflammation se développe sous forme silencieuse pendant des semaines à des années, et détruit très progressivement les tissus. Elle peut aussi donner des signes précurseurs immédiats comme des maux gastriques, des ballonnements, de la constipation...

    En cas de prédisposition génétique pour une maladie précise, le blé peut entraîner des troubles comme l’arthrose, le diabète de type 2, la fibromyalgie, la polyarthrite rhumatoïde, la colopathie fonctionnelle, la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la sclérodermie, l’eczéma, l’asthme, l’acné...

    A partir de quelle quantité ? 

    La maladie symptomatique avec ses douleurs et ses pertes de fonctions va se déclarer plus ou moins vite en fonction des caractéristiques génétiques des individus et de leur mode de vie ( quantité et durée de la consommation d’aliments pro-inflammatoires). L’important est d’être dans la mesure. Si vous mangez des quantités raisonnables d’aliments pro-inflammatoires, vous limitez les possibilités d’apparition de la maladie. L'équilibre acido-basique étant respecté, l'inflammation sera sous contrôle.

    En revanche une fois la maladie installée, suivre la diète hypotoxique (privation des aliments à base de gluten, de laitages et protéines animaliers, de viandes cuites à haute température, d’aliments industriels transformés (raffinés, contaminés par les pesticides et autres substances chimiques...) à la lettre permet dans la majorité des cas de faire disparaître les douleurs et de retrouver une bonne qualité de vie. Actuellement je suis un groupe à pathologie fibromyalgique, les résultats anti-inflammatoires grâce à une alimentation adaptée et quelques compléments alimentaires précis, leur permet de commencer à retrouver un bien-être stable.

    Le pain complet peut accentuer l'arthrose

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    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    L’acrylamide est une molécule très rigide, indigestible par nos enzymes : elle peut provoquer un déséquilibre à l’intérieur de l’intestin appelé "dysbiose". La dysbiose favorise les bactéries pathogènes au dépend des bonnes bactéries, ce qui conduit à de l’inflammation et à une hyperperméabilité de l’intestin. En fait, l’acrylamide est associée au gluten.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    Les maladies inflammatoires chroniques peuvent survenir au bout de plusieurs années. Couper le gluten et tous les aliments proscris par la diète hypotoxique peut considérablement aider à calmer la douleur. Atteinte d’arthrite rhumatoïde aux mains, une patiente témoigne avoir perdu sa douleur en 10 jours en suivant cette diète. Deux mois après le début de la diète hypotoxique, elle a consommé environ 300 ml de yaourt commercial. Cela a eu pour effet de ranimer une douleur intense dans les articulations métacarpo-phalangiennes durant les deux jours suivants ! Les patients commencent à voir un début d’effet positif à partir de 3 mois en moyenne et dans les cas très graves, cela peut prendre parfois environ 16-17 mois à connaître la rémission totale de la maladie. 

    A partir de quelle quantité ? 

    La maladie inflammatoire chronique symptomatique (soit l’expression de la maladie) avec ses douleurs et ses pertes de fonctions va se déclarer plus ou moins vite en fonction de la maladie, des caractéristiques génétiques des individus et de leur mode de vie (quantité et durée de la consommation d’aliments pro-inflammatoires). L’important est d’être dans la mesure. Si vous mangez des quantités raisonnables d’aliments pro-inflammatoires, vous limitez, aussi,  les possibilités d’apparition de la maladie.

    En revanche une fois la maladie installée, suivre la diète hypotoxique (privation des aliments à base de gluten, de laitages et de protéines d’origine animale cuites à haute température, d’aliments industriels transformés (raffinés, contaminés par les pesticides et autres substances chimiques...) à la lettre permet dans la majorité des cas de faire disparaître les douleurs et de retrouver une bonne qualité de vie.

    Les yaourts activent l'inflammation

    Les yaourts, le beurre, la crème, le fromage blanc, la glace et tous les laitages, peuvent poser problème en raison de leur teneur en "caséines". Les caséines représentent 80% de l'ensemble des protéines contenues dans le lait de vache et elles sont à l’origine de nombreuses intolérances chez le nourrisson et chez l’adulte.

    Les caséines du lait de vache sont structurellement apparentées à la "gliadine alpha" et se digèrent difficilement. Les yaourts, les crèmes glacées ou certains fromages bas de gamme sont en outre souvent fait avec de la poudre de lait, bien plus riche en glycotoxines que le lait frais.

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    La caséine peut être à l’origine d’inflammation et d’hyperperméabilité. A la base, l’intestin bénéficie d’une certaine perméabilité pour permettre d'assimiler les bonnes substances apportées par l’alimentation alors qu'il ferme l'accès aux molécules ou substances indésirables. Une intolérance aux caséines du lait peut induire un état d’hyperperméabilité en laissant pénétrer dans la circulation sanguine des substances nocives qui devraient être éliminées dans les selles.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    L’inflammation peut être immédiatement douloureuse : ballonnements, maux gastriques, constipation... Elle peut aussi être silencieuse et se déclarer au bout de plusieurs années sous forme de maladie inflammatoire chronique comme l’arthrose.

    A partir de quelle quantité ? 

    Celle-ci dépend des organismes de chacun et du nombre d’années passées à consommer des quantités plus ou moins grandes d'aliments pro-inflammatoires. L’important est d’être dans la mesure. Si vous en mangez raisonnablement vous limitez, encore, les possibilités d'apparition de maladies chroniques. En revanche une fois la maladie installée, mieux vaut suivre la diète hypotoxique à la lettre pour se donner un maximum de chances de faire disparaître les douleurs et de mettre ce type de maladies en rémission.

    A noter : le lactose, c’est le sucre du lait et il n’est pas impliqué dans le développement des maladies inflammatoires chroniques. Il peut cependant entraîner des problèmes digestifs lorsqu’un individu a cessé de produire les enzymes appelés lactases.

    Le comté entraîne des maladies inflammatoires

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    Sont susceptibles de provoquer des maladies inflammatoires, tous les laits provenant de sources animales quelles qu’elles soient, et leur dérivés, tels que le beurre, la crème, les fromages, le yaourt, la crème glacée, etc. 

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    Les caséines (protéines) mal digérées du lait chez les personnes qui y sont sensibles irritent la paroi intestinale, créent un déséquilibre bactérien et déclenchent une inflammation. Celle-ci entraîne une hyperperméabilité intestinale qui permet le passage de molécules trop grosses, donc susceptibles d'induire des réactions immunitaires inappropriées dans les tissus.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    L’inflammation peut être immédiatement douloureuse : ballonnements, maux gastriques, constipation... Elle peut aussi être silencieuse et se déclarer au bout de plusieurs années sous forme de maladie inflammatoire chronique comme l’arthrose.

    A partir de quelle quantité ? 

    Celle-ci dépend des caractéristiques génétiques des individus, et du nombre d’années passées à consommer des quantités plus ou moins grandes d’aliments pro-inflammatoires. L’important est d’être dans la mesure. Si vous en mangez raisonnablement vous limitez les possibilités d’apparition de maladies chroniques.

    En revanche une fois la maladie installée, mieux vaut suivre la diète hypotoxique à la lettre pour se donner un maximum de chances de faire disparaître les douleurs et de mettre ce type de maladie en rémission.

    Le rôti de bœuf se digère difficilement

    Résultat de recherche d'images pour "roti de boeuf"

    Toutes les protéines animales : fromages, œufs, et bien-sûr les viandes, peuvent poser problème si l’aliment est cuit à partir de 110-120°. Ce genre de cuisson favorise la production de glycotoxines via la réaction de Maillard. Encore plus grave, la cuisson sur barbecue, en plus d’entrainer la production de glycotoxines, induit la formation de deux substances reconnues comme cancérigènes. A terme, la cuisson à haute température des protéines d’origine animale peut provoquer l’apparition de maladies inflammatoires chroniques.

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ?  

    Difficile à digérer, ces molécules provoquent un déséquilibre intestinal appelé "dysbiose", de l’inflammation puis une hyperperméabilité de l’intestin qui va permettre de laisser passer des molécules susceptibles d’activer de façon anormale le système immunitaire au niveau des tissus ainsi irrigués.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    Selon la génétique et la quantité de molécules pro-inflammatoires ingurgitées, des maladies inflammatoires chroniques pourront se développer plus ou moins rapidement : des mois, des années voire des dizaines d’années. Grâce à la diète hypotoxique, la douleur peut s’arrêter, plus ou moins rapidement. 

    Elle peut s’apaiser en 48h, une semaine, plusieurs semaines, plusieurs mois, voire plus d’une année... Mais il faut préciser que pour certaines maladies plus lourdes telle la sclérose en plaques par exemple, pour obtenir de très bons résultats, cela peut nécessiter une plus longue période ainsi que de respecter à la lettre une diète encore plus restrictive comme l’abandon de tout sucre ajouté dans certains cas.

    A partir de quelle quantité ? 

    Celle-ci dépend de la maladie, de la génétique de chacun et du nombre d’années passées à consommer l’aliment pro-inflammatoire auquel un individu est sensible. L’important est d’être dans la mesure. Si vous consommez raisonnablement ce genre d’aliment, vous limitez les possibilités d’apparition de la maladie.

    En revanche une fois la maladie installée, mieux vaut suivre la diète hypotoxique à la lettre pour se donner un maximum de chances de faire disparaître les douleurs et de mettre la maladie en rémission.

    A noter : les poissons cuits à plus de 110`C contiennent 10 fois moins de glycotoxines que la viande cuite à cette température.

    Les rillettes disposent de mauvaises molécules

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    Les aliments fabriqués industriellement à partir de produits animaliers cuits à plus de 110°C comme la charcuterie et le bacon sont à éviter en cas de maladie inflammatoire chronique.

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    Cuit à plus de 110°c, il y a formation de molécules appelées glycotoxines qui favorisent la "dysbiose", l’inflammation et la perméabilité excessive de l’intestin.

    En combien de temps arrive la douleur ?

    L’inflammation peut être immédiatement douloureuse : ballonnements, maux gastriques, constipation... Elle peut aussi être silencieuse et se déclarer au bout de plusieurs années sous forme d’une maladie inflammatoire chronique comme l’arthrose. En coupant les aliments pro-inflammatoires, l’inflammation commence à disparaître, suivie par la régénération des tissus.

    Dans des cas très complexes comme le suivant, la mise en rémission peut s’étaler sur plus d’une année. Une patiente à qui j'avais "anamnèsé" une scoliose à l’âge de 12 ans, souffrait, au moment de débuter la diète hypotoxique d’une arthrose sévère de la colonne, de tendinites multiples, d’une petite déchirure à un muscle de la hanche, et d’un glissement de la vertèbre L4 sur L5. Sa douleur qui était de 10/10 en tout temps était encore amplifiée lorsqu'elle se couchait car aucun mouvement n’était possible. 

    Assez rapidement après le début de la diète hypotoxique, elle avait constaté de légères améliorations et cela a nécessité 5 mois de diète hypotoxique pour pouvoir se coucher sur le côté gauche pendant quelques secondes. Après 17 mois de diète, elle pouvait bouger, marcher normalement et se coucher sans douleur. Après 5 ans, elle peut maintenant dormir de 7-8 heures; pratiquer la danse en ligne et danser le cancan; sa douleur est à 0 lorsqu’elle ne fait aucun écart et à 1.5/10 lorsqu’elle "triche" un peu.

    A partir de quelle quantité ? 

    Celle-ci dépend des organismes de chacun et du nombre d’années passées à consommer des quantités plus ou moins grandes d’aliments pro-inflammatoires. L’important est d’être dans la mesure. Si vous en mangez raisonnablement, vous limitez les possibilités d’apparition de maladies chroniques. En revanche une fois la maladie installée, mieux vaut suivre la diète hypotoxique à la lettre pour se donner un maximum de chances de faire disparaître les douleurs et de mettre ce type de maladie en rémission.

    Le cassoulet en conserve : des risques inflammatoires

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    Les aliments préparés et transformés par l’industrie alimentaire , contiennent souvent des quantités importantes de sucre, de sel, de mauvais gras, des produits chimiques pour la conservation, des colorants, des glycotoxines, etc. De plus, les conserves possèdent souvent un revêtement fait de résine de biphénol qui à la longue peut venir s’accumuler dans l’organisme.

    Qu’est-ce qui augmente la douleur ? 

    Une alimentation à base de produits alimentaires transformés va causer de la dysbiose qui a la longue va favoriser l’apparition de maladies inflammatoires chroniques.

    En combien de temps arrive la douleur ? 

    L’inflammation peut être immédiatement douloureuse : ballonnements, maux gastriques, constipation... Elle peut aussi être silencieuse et devenir symptomatique suite à des périodes variables de quelques semaines, quelques mois et/ou des années sous forme de maladies inflammatoires chroniques.

    A partir de quelle quantité ? 

    Celle-ci dépend de la génétique des individus et du nombre d’années passées à consommer des quantités plus ou moins grandes d’aliments pro-inflammatoires. L’important est d’être dans la mesure. Si vous en mangez raisonnablement vous limitez les possibilités d’apparition de maladies chroniques. En revanche une fois la maladie installée, mieux vaut suivre la diète hypotoxique à la lettre pour se donner un maximum de chances de faire disparaître les douleurs et de mettre ce type de maladie en rémission.

    Mais alors vous aller me demander:"Que peut-on manger et surtout ne plus manger lorsque ces pathologies sont installées ?"

    Les aliments interdits 

    • le blé, l’avoine, le seigle, l’orge, le maïs et les produits où ils sont utilisés (pain, gâteaux, brioches, pâtes…)

    • les laits animaux : laits, yaourts, fromages, beurres, crèmes, glaces… 

    • les viandes cuites, crues ou peu cuites, les poissons et coquillages, crevettes…

    • les charcuteries cuites ou crues (saucisson, jambon cru, salami…) 

    • tout aliment cuit à plus de 110°C (en particulier cuisson au four, à la poêle, fritures, au micro-ondes, à la cocotte minute) 

    • les confitures (qui sont cuites) 

    • les huiles raffinées ou matières grasses cuites 

    • la bière (obtenue à partir de céréales) 

    • les conserves, plats préparés (modes de cuisson, huiles utilisées non autorisées) 

    • le chocolat au lait, blanc (nature ou aux céréales)

    • les aliments raffinés en général (riz, farine, sucre, sel,....)

    Les aliments autorisés

    • riz, sarrasin, sésame et leurs dérivés (pains et gâteaux à la farine de riz ou de sarrasin cuits à basse température…) 

    • soja et ses dérivés (lait de soja, tofu..) 

    • légumes secs 

    • noix et oléagineux crus 

    • les fruits (frais ou secs), les légumes , les crudités

    • le sucre complet, le miel

    • les huiles obtenues par première pression à froid

    • les condiments

    • eau, (café, thé modérément), chicorée

    • les aliments cuits à moins de 110°C (cuisson à la vapeur, à l’eau, à l’étouffée, le pochage ou braisage doux)

    • le chocolat noir (modérément)

    • le sel non raffiné de guérande, de l'Hymmalaya, le gomasio.

    Votre naturopathe est le seul professionnel de santé qui pourra vous aider à suivre efficacement une diète hypotoxique.