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Le réveil des sens

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  • Les médicaments contre l’arthrose sont prouvés inefficaces !

    A quoi bon soulager (plus ou moins) des douleurs avec un produit qui va occasionner d’autres ennuis de santé ?

    C’est le gros problème des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

    Il y a déjà des centaines d’études qui montrent qu’à long terme, leur utilisation entraîne des effets secondaires (risque accru d’épisode cardiovasculaires, perforations, toxicité gastrique), mais de nouvelles études s’ajoutent chaque semaine à la liste. L’une des dernières en date vient de démontrer qu’à long terme, ces antidouleurs augmentaient significativement le risque de perte auditive (en endommageant les poils minuscules qui tapissent l’oreille et en réduisant son approvisionnement en sang).

    Quant aux médicaments contenant de la diacéréine, et qui sont censés agir sur le processus aboutissant à l’arthrose, ils exposent à des troubles digestifs fréquents, des œdèmes de Quick et des hépatites. Un risque trop grand au regard du faible intérêt qu’ils présentent vis-à-vis de l’arthrose.

    Quand on a de l’arthrose, on ne sait jamais sur quel pied danser

    Il y a des jours où la douleur est tolérable mais il y a des jours où elle est totalement insupportable. Et dans ces moments-là, on ferait n’importe quoi pour la soulager et retrouver le sourire. N’importe quoi, c’est justement ce que vous feriez si vous décidiez de recourir à des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ainsi qu’à certains des médicaments contre l’arthrose (contenant notamment de la diacéréine), cela a été mon cas durant quelques années, pour en arriver à la morphine. N'est-ce point stupéfiant ? 

    Dans sa liste des médicaments qui sont jugés plus dangereux que bénéfiques, on les retrouve au milieu de 90 médicaments dont les allégations ne sont pas réellement prouvées ou qui «présentent une balance bénéfices-risques défavorable». 

    Autant de raisons donc, de se tourner vers des alternatives plus douces et tout aussi efficaces si l’on se réfère à la littérature scientifique.

    Le yoga, par exemple, soulage les douleurs de l’arthrose (surtout celles qui touchent le bas du corps comme les hanches, les genoux et les chevilles) même lorsqu’il est pratiqué en position assise. Et évidemment, il ne pose aucun problème à long terme pour la santé, bien au contraire !

    L’arthrose est le fruit d’une usure normale liée au vieillissement

    L’arthrose, une conséquence normale et inévitable du vieillissement ? Beaucoup de jeunes ont tendance à le penser, et ils ont bien tort.

    En réalité, c’est une maladie chronique associée à une dégénérescence anormale des cartilages. Comme dans la plupart des autres maladies dégénératives (diabète, sclérose latérale amyotrophique, maladie d’Alzheimer), on retrouve une association certaine avec le stress oxydatif, ce déséquilibre entre la présence de dérivés réactifs de l’oxygène (souvent appelés radicaux libres dans les médias) et la capacité de l’organisme à s’en protéger.

    Dans le cas de l’arthrose, la plupart de ces dérivés sont produits par les chondrocytes (les cellules qui composent le cartilage) et sont directement impliqués dans la dégradation du cartilage et du liquide synovial. Or, ce mécanisme pathologique n’a rien à voir avec le vieillissement normal de l’organisme. Il est le résultat complexe d’un ensemble de facteurs dont certains sont évitables : les microtraumatismes répétés, les mouvements répétitifs, la surcharge liée à un excès de poids ou le manque d’activité physique.

    Une chose est sûre : croire que l’arthrose est la conséquence du vieillissement conduit à un certain fatalisme et n’incite pas à prendre les mesures préventives adéquates. Et ces mesures existent !

    L’arthrose se transmet de génération en génération

    S’il est vrai que l’arthrose présente une composante génétique certaine, la part des facteurs génétiques dans la probabilité d’apparition de la maladie (on parle d’héritabilité) reste assez modérée par rapport à d’autres pathologies " héréditaires  ". On estime cette héritabilité de 40 à 65 % dans le cas de l’arthrose, contre 60 à 80 % pour la maladie d’Alzheimer.

    A titre de comparaison, l’héritabilité du cancer des poumons, largement imputable à la consommation de tabac, n’est que de 8 %. Et parmi les formes d’arthrose, il y en a qui sont plus héritables que d’autres : l’arthrose du dos (70 %), l’arthrose des mains (65 %) et l’arthrose de la hanche (60 %) devancent l’arthrose du genou (40 %) qui est donc la forme la plus facile à éviter.

    Dans tous les cas, avoir un parent atteint par l’arthrose ne signifie pas que vous serez touché(e) à votre tour, mais cela fait de vous une personne à risque. Parce que vous portez des anomalies génétiques qui vont augmenter la probabilité d’apparition de la maladie (notamment des mutations en lien avec la bonne composition du collagène), vous devez être encore plus vigilant vis-à-vis des facteurs environnementaux (excès de poids, activité physique, alimentation, stress) et maximiser vos chances d’échapper à la maladie.

    Il faut préserver ses articulations des activités physiques

    Qui prendrait le risque de fragiliser davantage des articulations douloureuses en pratiquant une activité physique ? Malheureusement, trop de personnes atteintes d’arthrose.

    Contrairement à ce qu’on peut penser, l’activité physique peut être aussi efficace que des médicaments antalgiques, les effets secondaires en moins. En réduisant l’inflammation, en améliorant la capacité fonctionnelle de l’articulation et en corrigeant les problèmes éventuels de surpoids, elle soulage les douleurs de manière efficace. En fait, la principale difficulté, c’est de s’y mettre : prétextant un âge trop avancé, trop de personnes manquent en réalité de confiance au moment de se décider.

    Pourtant, hormis les activités nécessitant des changements d’appui brutaux, presque tous les types d’exercice ont un impact positif sur l’arthrose : les exercices aquatiques, le cyclisme, les exercices aérobiques, les exercices de force, ainsi que les exercices de haute ou de faible intensité.

    Mais c’est surtout l’adhésion à l’activité qui est importante, car plus la personne aime l’activité qu’elle pratique, plus la douleur est diminuée.

    C’est valable aussi pour l’ensemble des activités physiques qui ne surchargent pas les articulations.

    La radiographie permet un bon diagnostic de la maladie

    Pour 90 % des personnes atteintes d’arthrose, les premiers signes de la maladie se sont d’abord manifestés par des douleurs inhabituelles et anodines, en se baissant, en montant les escaliers, en s’allongeant ou en manipulant des objets. Mais ce n’est que 3 ans plus tard, en moyenne à l’âge de 50 ans, qu’on leur a appris qu’elles souffraient d’arthrose.

    Ce retard s’explique en partie par l’incapacité des radiographies à détecter les stades précoces de la maladie : quand le médecin parvient à en tirer quelque chose, la maladie est déjà avancée. Ils mettent en évidence des anomalies osseuses caractéristiques de l’arthrose (ostéophytes, déformations, pincements) mais ils passent à côté des dommages infligés au cartilage, aux ligaments et à la membrane synoviale.

    Ce type d’examen n’était pas fiable pour diagnostiquer l’arthrose. Il peut, de fait, retarder les traitements à un stade encore précoce de la maladie. Malheureusement, ni l’IRM, ni les tests biochimiques ne sont encore suffisamment fiables pour en garantir le diagnostic : il faut donc se fier à la douleur, qui reste aujourd’hui le marqueur le plus précoce de l’arthrose, et ne pas attendre que celle-ci devienne chronique avant d’agir et de consulter.

    On ne peut rien faire pour soulager l’arthrose

    L’arthrose traîne derrière elle l’image d’une fatalité contre laquelle on ne peut rien. Pourtant, même s’il n’existe toujours pas de traitement permettant de guérir complètement, on répertorie de nombreux moyens de la soulager. Et le simple fait de ne pas abandonner le combat, de continuer ses activités quotidiennes en dépit des douleurs, de ne pas céder au négativisme, sont déjà des formes de traitement efficaces.

    Parmi les autres formes, et outre l’activité physique dont j'ai déjà parlé, figurent de nombreux traitements alternatifs aux médicaments antalgiques, qu’on considère de plus en plus comme étant limités et potentiellement dangereux. On dénombre d’abord les traitements à base de plantes et les autres traitements naturels validés scientifiquement

    • Le gel d’Arnica, efficace en application pour soulager la douleur et améliorer la mobilité.

    • L’extrait de Cayenne (Capsicum frutescens) qui, en raison de sa teneur en capsaïcine fait partie des recommandations internationales pour soulager l’arthrose du genou (sous le nom de MaxiCapsicum).

    • L’extrait de Boswellia serrata, qui figure parmi les produits de santé naturels les plus employés à l’heure actuelle (sous le nom de Boswellia serrata).

    • L’extrait de griffe du diable (Harpagophytum procumbens), qui démontre une capacité à réduire l’inflammation et à améliorer la mobilité des articulations (sous le nom d'Harpagophytum).

    • Harpagophytum, curcuma, uncaria tomentosa contenus dans le complexe douleurs articulairesles plus puissants composés naturels, sauront être bien plus efficaces que les médicaments allopathiques, effets secondaires en moins.

    Il est possible également de puiser parmi les produits de santé naturels comme les suppléments de chondroïtine.

    Après avoir observé deux groupes de personnes souffrant d’arthrose pendant 2 ans, l’un étant supplémenté en chondroïtine (1200 mg/jour), l’autre faisant l’objet d’un traitement à base de célébrex (un AINS) pour ne pas le nommer, des chercheurs ont montré des niveaux de soulagement identiques mais une diminution spectaculaire de la perte de cartilage chez les personnes ayant reçu de la chondroïtine. Un avantage considérable sur les antidouleurs de type AINS qui ont plutôt tendance à accélérer la progression de la maladie… 

    Associée à la chondroïtine, la glucosamine soigne l'arthrite et les articulations en général en combinant deux actions complémentaires. Elle permet de stopper l'inflammation des tissus, qui cause la douleur et qui participe à la dégénérescence articulaire. De plus, elle a une action directe sur les cartilages, en stoppant leur destruction.

    Elle peut donc être utilisée par les personnes souffrant d'arthrite, mais aussi par les sportifs et notamment les haltérophiles ou les pratiquants de musculations, qui mettent leurs articulations à rude épreuve.

    La glucosamine HCL fournit 40% de glucosamine en plus que le sulfate de glucosamine standard.

    D'autres compléments alimentaires existent, sans effets secondaires, ni accoutumances, qui sont des éléments majeurs lorsqu'on tombe dans le cercle vicieux des traitements allopathiques.

    En réalité, les thérapies efficaces contre les douleurs ne manquent pas : il reste la plupart du temps à sauter le pas et à accepter le fait que certaines vous conviennent mieux que d’autres… Lesquels avez-vous déjà testé ?

  • L'anti-inflammatoire naturel qui soulage efficacement les douleurs articulaires

    Les traités de médecine ayurvédique accordent une large place à la résine de boswellia qui est utilisée seule (sous le nom de Salai guggul) ou en complexe associée à d’autres plantes indiennes. Les praticiens la recommandent pour le traitement des douleurs rhumatismales, de l’inflammation du tube digestif et des voies respiratoires. En usage externe, le Salai guggul est prescrit pour les problèmes d’acné, les infections fongiques et les furoncles. On utilise également les fumigations à base de cette résine pour purifier les vêtements, les maisons et les cheveux.

    Résultat de recherche d'images pour "boswellia et intestins"

    Le boswellia serrata est utilisé dans diverses préparations en cosmétologie et en phytothérapie. Seul ou associé à d'autres plantes, il permet de soulager certains symptômes. À titre individuel, il est surtout utilisé pour ses propriétés anti-inflammatoires.

    Je vais vous faire découvrir les propriétés du boswellia ainsi que les précautions d'emploi à observer avant utilisation.

    Boswellia serrata : propriétés

    Le boswellia ou boswellie est riche en acide boswellique. Grâce à ses principes actifs, le boswellia serrata se révèle un excellent anti-inflammatoire. Ainsi, il est utilisé depuis longtemps en médecine ayurvédique, mais aussi en phytothérapie pour soulager les douleurs dues :

    • aux rhumatismes ;

    • à l'arthrite ;

    • à la polyarthrite rhumatoïde ;

    • à l'arthrose ;

    • à certaines pathologies des voies respiratoires telles que l'asthme ;

    • aux maladies inflammatoires intestinales comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif, ou la maladie cœliaque due à l'intolérance au gluten.

    Le pouvoir anti-inflammatoire du boswellia serrata est réputé pour être plus important que celui des AINS (Anti-inflammatoires non stéroïdiens) chimiques.

    Mais le boswellia est aussi reconnu pour son action sur :

    • le diabète ;

    • les maladies cardiovasculaires ;

    • la dysenterie ;

    • les troubles neurologiques.

    Pour amplifier l'action du boswellia, n'hésitez pas à l'associer à la curcumine présente dans le curcuma.

    BoswelliaBiocurcumax™

    Bon à savoir : des recherches scientifiques sont menées sur les propriétés anticancéreuses du boswellia et sur les effets de l'acide boswellique en cas de chimiothérapie.

    Boswellia serrata : effets secondaires et précautions d'emploi

    Attention : la résine de Boswellia est à proscrire chez la femme enceinte, car elle peut entraîner un avortement spontané.

    En dehors d'un état de grossesse qui interdit l'usage du Boswellia serrata, quelques effets secondaires ont pu être constatés sur des cas isolés. Il peut s'agir :

    • d'une légère allergie cutanée ;

    • d'un malaise gastro-intestinal sans gravité.

    À ce jour, il n'a pas été relevé de risques d'interactions avec des suppléments alimentaires ou d'autres produits de phytothérapie. De même, aucune contre-indication n'est pour l'heure reconnue, en dehors des risques d'avortement spontané.

    En aucun cas le boswellia serrata, comme toute plante médicinale d'ailleurs, ne doit être utilisé en remplacement d'un traitement médicamenteux prescrit par un professionnel de la santé, sauf avis contraire.

    Au moindre doute, il est vivement recommandé de demander conseil à votre thérapeute. Il est aussi très important de n'acheter que des produits à base de boswellia d'excellente qualité. L'idéal est de se procurer ce type de produit titré à 80 % en acide boswellique biologique, sous forme de gélules uniquement.

    Bon à savoir : certaines préparations cosmétiques, ainsi que des pommades analgésiques peuvent contenir des extraits de boswellia.

    Les personnes ayant déjà constaté une réaction gastro-intestinale ou cutanée suite à une prise de boswellia doivent demander conseil à leur thérapeute.

    Soulager les douleurs articulaires

    De plus en plus fréquentes avec l’âge, les douleurs articulaires affectent le quotidien de nombreuses personnes à travers le monde.

    Heureusement, plusieurs groupes de recherche travaillent sur le sujet pour proposer des remèdes efficaces contre ces douleurs. Parue en 2016 dans la revue European Journal of Biomedical and Pharmaceutical Sciences, une étude pourrait bien améliorer le confort articulaire de plusieurs milliers de personnes grâce à l’utilisation du Boswellia serrata. 

    Des effets positifs lors de douleurs articulaires aux genoux 

    L’étude a été menée sur huit semaines auprès de plusieurs adultes japonais, se plaignant de douleurs articulaires au genou. Les chercheurs ont comparé l’effet d’un traitement à base d’un extrait de la plante Boswellia serrata face à un traitement allopathique. Pour cela, ils ont utilisé différentes mesures standardisées.

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    Ces analyses permettent de suivre la douleur perçue par le sujet et d’évaluer l’efficacité du traitement. A l’issue de l’étude, le traitement à base de Boswellia serrata a révélé des scores positifs en comparaison au traitement médicamenteux. Cette plante médicinale pourrait ainsi être un atout non négligeable pour diminuer les douleurs articulaires au niveau des genoux. 

    L’action bénéfique du Boswellia serrata 

    Pour mieux comprendre l’action de cette plante médicinale, les chercheurs ont également mené d’autres analyses. Ils ont par exemple mesuré les taux en protéine C réactive et en acide hyaluronique dans le sérum des patients. En effet, les taux de ces molécules dans le sérum sont généralement plus élevées lors de douleurs articulaires. Cela s’explique notamment par la dégradation de l’acide hyaluronique qui est naturellement présent dans le fluide synovial pour protéger le cartilage articulaire. Sous l’action de l’enzyme hyaluronidase, l’acide hyaluronique est dégradée et se retrouve en plus grande quantité dans le sérum. De plus, l’acide hyaluronique ne peut plus jouer son rôle protecteur au niveau des articulations, d’où l’apparition de douleurs persistantes. Suite aux travaux des chercheurs, le Boswellia serrata lutte contre ce phénomène en limitant la dégradation d’acide hyaluronique au sein des articulations. 

    Image associée

    Le Boswellia est en quelque sorte un AINS naturel bien toléré. En réduisant l’inflammation, l’extrait de Boswellia réduit le gonflement, la douleur et la raideur lors de la mise en route matinale. Il est non seulement efficace au cours de l’arthrose quelle que soit sa localisation, mais aussi dans la polyarthrite rhumatoïde. 

    Dans un cas comme dans l’autre, il permet la réduction significative des médicaments allopathiques. Et dans un certain nombre de cas, il va jusqu’à les remplacer totalement, selon avis thérapeutique. 

    Cet effet est d’autant plus net que l’extrait de Boswellia est pris régulièrement, en tant que traitement de fond plutôt que comme traitement des  crises.

    Au niveau intestinal 

    Tout d’abord au cours des maladies intestinales chroniques inflammatoires (MICI). De toutes les utilisations du Boswellia Serrata, le syndrome de l'affection de l'intestin émotif (A.I.E.) ou intestin poreux devrait figurer en haut de liste avec la sphère respiratoire. Car son action anti-inflammatoire est très  efficace mais surtout n’a pas les effets secondaires de certains AINS. Il est conseillé de faire une cure d’au moins 21 à 45 jours de boswellia  avant d’y d’ajouter des probiotiques.

    Résultat de recherche d'images pour "boswellia et intestins"Formule Probiotiques

    Il faut citer aussi une nouvelle découverte très prometteuse concernant l’utilisation du Boswellia : l’hypertrophie bénigne de la prostate et des prostatites d’une manière générale.

    Asthme : 70 % de rémission

    Puisque les leucotriènes interviennent spécifiquement dans la bronchoconstriction, des chercheurs ont eu l’idée d’étudier les propriétés du boswellia dans les pathologies respiratoirestelles que l’asthme. Au cours d’un essai clinique mené par l’équipe du Dr Gupta de la Faculté de médecine de Los Angeles, les chercheurs ont constaté une nette amélioration des symptômes de l’asthme chez les patients traités par le Boswellia serrata. Les trois quarts d’entre eux ont vu disparaître ce que l’on appelle « le ronchu », qui est le râle caractéristique de la difficulté à respirer lors d’une crise.

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    Le volume respiratoire s’est nettement amélioré, le nombre de crises s’est espacé dans le temps et leur intensité a diminué de façon significative. Après six semaines d’un traitement aux acides boswelliques, la rémission de l’asthme a été constatée pour 70 % des patients, dont aucun n’a reçu d’autre traitement médical.

    Le Boswellia serrata recèle donc de multiples propriétés thérapeutiques encore trop mal exploitées aujourd’hui très utiles au quotidien. 

    Les Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)

    La cause principale de cette maladie est le tabagisme. Au niveau respiratoire, la BPCO est caractérisée par une obstruction lente et progressive des voies aériennes et des poumons. Elle diminue la capacité respiratoire de façon souvent irréversible.

    Image associée

    Il s'agit principalement de la bronchite chronique et de l'emphysème.

    Le boswellia, diminue de façon sensible ces troubles, en apportant une amélioration au niveau de l’essoufflement et de la gène respiratoire, il peut être une aide non négligeable pour ces personnes. Néanmoins il sera nécessaire  de prendre des doses continues à raison de 6 fois 300mg par jour.

    Boswellia

    INGRÉDIENTS :

    Pour 3 gélules : 900 mg d'extrait sec de gomme-résine de boswellia (Boswellia serrata Roxb. ex Colebr.) titré à 80 % en acide boswellique (soit 720 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    3 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Autant dire que cette plante médicinale pourrait rapidement devenir un allié précieux comme anti-inflammatoire et pour soulager les douleurs articulaires !