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cerveau

  • Les 6 neurotransmetteurs les plus importants du cerveau

    Des molécules secrétées au sein du cerveau agissent sur la vigilance, le souvenir, le sentiment de bien-être ou le stress : ce sont les neurotransmetteurs. Focus sur les 6 messagers chimiques cérébraux les plus importants.

    Les neurotransmetteurs suivants sont les plus importants du cerveau pour le contrôle qu’ils exercent sur les neurones. Ce sont aussi les plus étudiés, et ceux qui sont le plus souvent la cible des molécules naturelles (nutrition) et compléments alimentaires.

    DOPAMINE : LE MOTEUR

    La dopamine est un neurotransmetteur synthétisé par certaines cellules nerveuses à partir de la tyrosine, un acide aminé (composant des protéines de l’alimentation). Elle affecte le mouvement musculaire, la croissance des tissus, le fonctionnement du système immunitaire. Elle intervient dans la sécrétion de l’hormone de croissance.

    Les réseaux dopaminergiques du cerveau sont étroitement associés aux comportements d’exploration, à la vigilance, la recherche du plaisir et l’évitement actif de la punition (fuite ou combat).

    Chez l’animal, les lésions des zones dopaminergiques se traduisent par un désintérêt pour les stimulis de l’environnement et par une diminution du comportement exploratoire. En revanche, lorsqu’on place des électrodes aux sites dopaminergiques et qu’on permet à l’animal de s’auto-stimuler par déclenchement de chocs électriques, le plaisir et l’excitation sont tels que le cobaye peut en oublier de s’alimenter.

    Chez l’homme, la baisse d’activité des neurones dopaminergiques d’une certaine région du cerveau (l’axe substance noire - striatum) entraîne une diminution du mouvement spontané, une rigidité musculaire et des tremblements. C’est la maladie de Parkinson.

    On trouve une activité dopaminergique basse dans les dépressions de type mélancolique, caractérisées par une diminution de l’activité motrice et de l’initiative, une baisse de la motivation. A l’inverse, les produits, les activités qui procurent du plaisir, comme l’héroïne, la cocaïne, le sexe, activent certains systèmes dopaminergiques. Ainsi, les médicaments qui augmentent la dopamine, comme la L-Dopa ou les amphétamines, augmentent aussi l’agressivité, l’activité sexuelle, et l’initiative.

    Pour résumer, la dopamine crée un terrain favorable à la recherche de plaisir ou d’émotions, à l’état d’alerte, au désir sexuel.

    À l’inverse, lorsque la synthèse ou la libération de dopamine est perturbée, on peut voir apparaître démotivation, voire dépression.

    Pour favoriser la synthèse de dopamine

    Les précurseurs de la dopamine sont deux acides aminés (les constituants de base des protéines) : la phénylalanine et la tyrosine. Il faut donc privilégier les plats riches en protéines. Noter que parmi les aliments riches en protéines, le canard, la dinde, l’œuf représentent de bonnes sources de phénylalanine et tyrosine.

    Compléments alimentaires : GattilierLithium OrotateLevure de sélénium et Vitamine CPrecurseur GHPrecurseur TSH.

    ACÉTYLCHOLINE : LE MÉMORISATEUR

    L’acétylcholine est le seul neurotransmetteur majeur qui n’est pas fabriqué à partir d’un acide aminé (constituant de base des protéines). Il est synthétisé à partir d’une substance de l’alimentation, la choline, et de la forme active de l’acide pantothénique (vitamine B5).

    L’acétylcholine est un neurotransmetteur « à tout faire » qui intervient dans le contrôle des mouvements, y compris le pouls, ainsi qu’une multitude de fonctions physiologiques. C’est aussi le messager chimique de la mémoire. Les régions du cerveau qui offrent la plus forte densité de neurones utilisant la choline, sont celles qui dégénèrent dans la maladie d’Alzheimer. Même chez la personne en bonne santé, on sait qu’avec l’âge, l’organisme fabrique moins d’acétylcholine. Cette situation est à l’origine de troubles de la mémoire, manque de concentration, oublis.

    Pour résumer, l’acétylcholine commande la capacité à retenir une information, la stocker et la retrouver au moment nécessaire.

    Lorsque le système qui utilise l’acétylcholine est perturbé apparaissent des troubles de la mémoire, voire dans les cas extrêmes des formes de démence sénile.

    Pour favoriser la synthèse de l'acétylcholine

    Il faut augmenter ses apports en choline, un précurseur (avec les vitamines B9 et B12) de l'acétylcholine. Les meilleures sources de cholines sont le jaune d'oeuf, la viande, le foie, le soja, le germe de blé, les crucifères et les céréales.

    Compléments alimentaires : Chardon-marieAcétyl L-carnitine (ALC).

    NORADRÉNALINE : LE BÂTON ET LA CAROTTE

    La noradrénaline est synthétisée par certains neurones à partir du même acide aminé qui sert à fabriquer la dopamine.

    La noradrénaline stimule la libération de la graisse mise en réserve et contrôle la libération des hormones qui régulent la fertilité, la libido, l’appétit et le métabolisme.

    La noradrénaline module l’attention, l’apprentissage et facilite la réponse aux signaux de récompense : plus la sensibilité noradrénergique est grande, plus ces traits sont amplifiés.

    Chez le rat, la destruction du locus coeruleus, siège des neurones à noradrénaline, entraîne une disparition totale de la peur. Les interventions qui augmentent la sensibilité à la noradrénaline dans les régions frontales empêchent l’animal d’oublier un comportement lié à une récompense. Elles lui permettent d’associer plus rapidement à une activité particulière le souvenir d’une punition évitée.

    Chez l’homme, la diminution de la noradrénaline affecte l’acquisition de connaissances et d’associations nouvelles. Mais la caféine, qui augmente la noradrénaline du cerveau, améliore la capacité à accomplir des tâches répétitives, ennuyeuses, non sanctionnées par des récompenses. L’administration de tyrosine à des patients dépressifs augmente la sécrétion de noradrénaline. Ce traitement améliore la composante hédonique de leur dépression.

    Il existe une corrélation entre une sensibilité noradrénergique forte et la recherche de sensations socialement acceptables.

    Pour conclure, la noradrénaline semble créer un terrain favorable à l’éveil, l’apprentissage, la sociabilité, la sensibilité aux signaux émotionnels, le désir sexuel.

    À l’inverse, lorsque la synthèse ou la libération de noradrénaline est perturbée, peuvent apparaître repli sur soi, détachement, démotivation, dépression, baisse de la libido.

    Compléments alimentaires : Tribulus terrestrisSomatropine naturelleMacaDesir Male.

    SÉROTONINE : LE GRAND INHIBITEUR

    La sérotonine est synthétisée par certains neurones à partir d’un acide aminé, le tryptophane, qui entre pour une petite partie dans la composition des protéines alimentaires. Elle joue un rôle majeur dans la coagulation sanguine, la venue du sommeil, la sensibilité aux migraines. Elle est utilisée par le cerveau pour fabriquer une hormone célèbre, la mélatonine.

    Dans le cerveau, la sérotonine influence l’activité d’autres neurones, le plus souvent en diminuant leur fréquence de décharge, inhibant leur action. Dans le striatum, les neurones sérotoninergiques inhibent les neurones dopaminergiques, ce qui entraîne une diminution du mouvement. Dans la mesure où la sérotonine sert à inhiber de nombreuses régions du cerveau, les mêmes régions sont « désinhibées » lorsqu’il y a trop peu de sérotonine.

    La destruction des régions du cerveau à forte densité de neurones sérotoninergiques entraîne une désinhibition du contrôle réfléchi sur le comportement : l’animal cède à des pulsions quelles que soient les conséquences de ses actes. Lorsqu’on administre des chocs électriques à un rat qui essaie de se procurer de la nourriture, il s’interrompt après une dizaine de tentatives. Mais lorsqu’on épuise sa sérotonine, il persiste malgré 200 chocs et plus. Souris et rats cohabitent généralement sans problèmes dans une cage. Mais si leur sérotonine est anormalement basse, les rats massacrent les souris. La déplétion de sérotonine entraîne aussi une désinhibition de l’activité sexuelle.

    Chez l’homme, les taux anormalement bas de sérotonine sont généralement associés à des comportements impulsifs, agressifs, voire très violents. C’est notamment le cas dans les formes violentes de suicide. Des taux très bas ont été relevés chez les criminels qui assassinent leur famille avant de tenter de mettre fin à leur jour. Les substances qui diminuent la sérotonine ont un effet désinhibant. La yohimbine, un aphrodisiaque, interfère avec la sérotonine. La drogue ecstasy augmente la sociabilité et les échanges en détruisant (provisoirement ?) les terminaisons nerveuses sérotoninergiques.

    En résumé, la sérotonine semble créer un terrain favorable aux comportements prudents, réfléchis, calmes, voire inhibés.

    À l’inverse, des taux de sérotonine bas apparaissent associés à l’extroversion, l’impulsivité, l’irritabilité, l’agressivité, voire dans les cas extrêmes aux tendances suicidaires.

    Pour favoriser la synthèse de sérotonine

    Il faut manger des aliments riches en tryptophane, son précurseur. Vous en trouverez notamment dans l'avocat, le fromage, le poulet, le canard, les flocons d'avoine, la ricotta, le gibier.

    Compléments alimentaires : Griffonia SimplicifoliaMelatonineÉleuthérocoque.

    GABA : LE RELAXANT

    Le GABA (acide gamma-aminobutyrique) est synthétisé à partir de l’acide glutamique. C’est le neurotransmetteur le plus répandu dans le cerveau. Le GABA semble impliqué dans certaines étapes de la mémorisation. Le GABA est aussi un neurotransmetteur inhibiteur, c’est-à-dire qu’il freine la transmission des signaux nerveux. Sans lui, les neurones pourraient littéralement s’emballer, transmettre des signaux de plus en plus vite, jusqu'à épuisement du système. Le GABA permet de les maintenir sous contrôle.

    Le GABA favorise le calme et la relaxation, il diminue la tonicité musculaire, ralentit le rythme cardiaque, réduit les convulsions de l’épilepsie, ainsi que les spasmes musculaires. Surtout, on sait qu’il joue un rôle clé dans le contrôle de l’anxiété (une forme de « panique » électrique), depuis que le mode d’action des benzodiazépines a commencé d’être connu. Ces médicaments, dont le chef de file est le Valium, sont des tranquillisants qui agissent en se liant sur des récepteurs du type de ceux qui réagissent au GABA. Mais le Vallium, tout comme d'autres médicaments, ont des effets indésirables et secondaires.

    Pour résumer, le GABA semble favoriser la relaxation.

    À l'inverse, des niveaux bas de ce neurotransmetteur entraînent des difficultés d’endormissement et de l’anxiété.

    Pour favoriser la synthèse de GABA

    Il faut avoir une alimentation suffisamment riche en glucides à index glycémique bas ou modéré fournissant de la glutamine, l'acide aminé précurseur du GABA. Parmi les aliments à privilégier : les amandes, l'avoine complet, la banane, le blé complet, le brocoli, les noix, les lentilles, le son de riz, le flétan.

    Compléments alimentaires : L-glutamineSomatropine naturelle.

    ADRÉNALINE : LE STRESSEUR

    L’adrénaline active la réponse de l’organisme à un stimuli, et en général au stress. Elle agit sur le système nerveux sympathique et peut augmenter le pouls, la pression sanguine, améliorer la mémoire, diminuer la réflexion, augmenter la force de contraction musculaire, accroître le flux sanguin et la capacité respiratoire (par relâchement des muscles lisses), dilater les pupilles et faire se dresser poils et cheveux. Elle prépare l’organisme à une réaction du type «fuir» ou «faire face».

    Pour limiter les effets néfastes d'un taux d'adrénaline chroniquement élevé, pensez aux techniques de gestion du stress comme la cohérence cardiaque, la méditation ou l'EFT, aux aliments riches en magnésium et aux plantes : Ginseng, Rhodiole, Valériane, Griffonia simplicifolia, Aubépine.

    En résumé, l’adrénaline est le neurotransmetteur qui nous permet de réagir dans une situation de stress.

    Des taux élevés d’adrénaline conduisent à la fatigue, au manque d’attention, à l’insomnie, à l’anxiété et dans certains cas à la dépression.

    Compléments alimentaires : GinsengAshwagandha+Rhodiola RoseaMélisse et ValérianeGriffonia SimplicifoliaAubépine BIOBourgeons d'Aubépine.

  • Renouveler son stock de neurones fonctionnels grâce aux compléments alimentaires

    Saviez-vous que des personnes âgées de plus de 70 ans pouvaient former autant de nouveaux neurones que les plus jeunes ?

    La science a toujours voulu vous faire croire qu’un individu avait un nombre défini de neurones et qu’il ne lui était pas possible d’en former de nouveaux au cours de sa vie...

    La neurogénèse humaine persiste tout au long de la vie.

    Qu’est-ce que la neurogénèse ?

    La neurogénèse est la formation de nouveaux neurones fonctionnels. Elle tourne à plein régime chez l’embryon pendant les 5 premiers mois de grossesse (aboutissant à un stock de 100 milliards de neurones) et se maintient à un rythme plus faible mais stable tout au long de la vie (de 1000 à 1400 nouveaux neurones chaque jour). C’est une étape fondamentale pour la formation de notre système nerveux central.

    Comment ça marche ?

    Concrètement, ces nouveaux neurones sont créés à partir de cellules souches neurales présentes dans l’organisme au niveau de l’hippocampe (plus précisément du gyrus denté). Ces cellules-souches ont la capacité de s’auto-renouveler et de se transformer en différents types de cellules nerveuses dont certaines donneront des neurones.

    Avant chaque transformation, elles prennent le temps de se diviser de façon à maintenir une certaine constance de la population de cellules souches tout au long de la vie.

    Cette transformation se produit en plusieurs étapes :

    • La prolifération cellulaire: la cellule-souche se divise, puis se transforme en un élément intermédiaire, le progéniteur.

    • La migration cellulaire: le progéniteur entre en maturation puis se divise et se différencie progressivement en neurone. Le nombre de progéniteurs intermédiaires reste stable tout au long de la vie.

    • La survie: seule une partie des nouveaux neurones survivent et deviennent fonctionnels. Cette étape semble dépendre de l’exécution de tâches hippocampodépendantes et de la qualité de la vascularisation. Autrement dit, les neurones ne sont gardés que si la personne s’en sert et s’ils peuvent être suffisamment bien nourris en oxygène, en nutriments et en micronutriments.

    • L’intégration: les neurones continuent leur croissance en projetant en avant leurs prolongements cellulaires (axones et dendrites). Ils les font entrer en contact avec les autres neurones et les différentes cellules de soutien (astrocytes, oligodendrocytes…). Cette capacité semble diminuer avec le temps.

    Le cerveau des personnes âgées fonctionne moins bien: pourquoi ?

    Les nouveaux neurones s’avèrent moins vascularisés chez les sujets âgés et semblent avoir du mal à créer des connexions avec les autres neurones. Il est possible que la neurogénèse maintienne une fonction cognitive tout au long de la vie chez l’humain, mais que certains facteurs psychologiques, émotionnels et traumatiques contribuent à son déclin.

    La maladie c est 1

    A quoi sert un neurone ?

    Un neurone est une cellule spécifique du cerveau qui permet à la fois de transmettre, d’analyser et de mémoriser une information. Il communique avec d’autres neurones grâce à de fins prolongements qui peuvent mesurer jusqu’à un mètre dans la moelle épinière.

    Plusieurs travaux récents montrent l’importance des nouveaux neurones vis-à-vis de l’apprentissage de tâches mnésiques complexes et la préservation de leur formation constitue donc une excellente nouvelle.

    Cependant, la formation des neurones est une chose, mais leur capacité à se remodeler et se réorganiser tout au long de la vie, sous l’impulsion de nos expériences et de notre environnement, en est une autre. On appelle cette capacité de reconfiguration la neuroplasticité.

    Et, bien que le nombre de neurones soit associé à la puissance de la fonction cognitive, la neuroplasticité joue un rôle majeur dans la consolidation de la mémoire et le traitement de l’information. Lorsqu’un neurone envoie des messages à un autre neurone de façon répétée, le second neurone devient progressivement plus sensible au premier. De puissants réseaux neuronaux se forment ainsi en fonction de nos comportements et de nos activités habituelles.

    La mauvaise nouvelle, c’est une diminution de cette neuroplasticité avec l’âge.

    Comment stimuler la neuroplasticité ? Peut-on également stimuler la neurogénèse ?

    Puisque la neurogénèse semble étonnement préservée avec le temps, c’est surtout la neuroplasticité qui doit être stimulée, ainsi que la vascularisation des neurones. En effet, ce n’est pas seulement le nombre de neurones qui compte mais aussi la qualité des connexions qu’ils tissent entre eux, la présence de cellules qui les soutiennent et la quantité de vaisseaux sanguins susceptibles de répondre adéquatement à leurs besoins en oxygène, en glycogène et en vitamines…

    La neuroplasticité et la neurogénèse peuvent être améliorées par au moins 5 facteurs

    En ayant des projets, des activités cognitives et sociales abondantes

    L’apprentissage et les exercices mentaux favorisent la phase de survie de la neurogénèse en stimulant l’intégration des neurones dans un circuit existant. Et plus encore, la répétition de ces activités (ou l’augmentation de leur difficulté ou de leur intensité) conduit à une meilleure myélinisation des prolongements neuronaux, ce qui permet à l’information de circuler encore plus rapidement.

    Autrement dit, nous produisons les ressources nécessaires à la réussite de nos apprentissages et de nos actes. Si vous souhaitez apprendre à jouer d’un instrument de musique à 50 ans, vous allez créer de nouveaux neurones et vous devez poursuivre cette activité dans le temps si vous souhaitez que ces neurones s’associent en réseaux. Si vous voulez maintenir vos capacités mémorielles, vous devez continuer à mémoriser le maximum d’informations et ne pas cesser d’apprendre de nouvelles choses. A l’inverse, si vous abandonnez des activités, votre organisme ne s’embarrassera pas à conserver des circuits neuronaux inutiles et encore moins à en recruter de nouveaux.

    En stimulant votre hormone de croissance

    La somatropine permet une régénération rapide des cellules, ce qui lui vaut ses propriétés nécessaires. Cependant, aujourd’hui, cette hormone est aussi très utilisée pour ses vertus contre le vieillissement.

    Le sport et les aliments sains et équilibrés sont fortement recommandés. La somatropine naturelle est utile pour maintenir un poids stable et une bonne santé au quotidien.

    Parfois, la prise de solutions plus radicales sont nécessaires pour des résultats rapides et convaincants en un rien de temps.

    Rôle essentiel

    La somatropine naturelle synthétique aide à améliorer nettement le métabolisme des lipides, des protéines et d'autres éléments minéraux de l’organisme. Elle régénère les cellules.

    • Stimule la production et le dégagement de la somatropine (hormone de croissance)

    • Améliore la performance sportive et la masse musculaire,

    • Combat la fatigue,

    • Stimule le dégagement de l'hormone du développement,

    • Régule l'activité hormonale.

    La somatropine naturelle peut également contenir de la levure de bière sèche inactive, riche en vitamines B qui participent à la réduction de la fatigue (morale et physique), et à la régulation de l'activité hormonale grâce à son apport en vitamine B6.

    Elle peut comporter également de l'extrait sec de graines de fenugrec (Trigonella foenum-graecum L.) titré en saponines stéroïdiennes, des molécules qui contribuent à augmenter les niveaux de testostérone, complétant ainsi l'effet stimulant et régulateur de la somatropine.

    En plus de développer le physique, elle augmente la libido, agit sur la repousse des cheveux et donne une certaine élasticité à la peau. Ses bienfaits passent aussi par une meilleure résistance à l’effort, un sommeil de plus grande qualité, une diminution de la pression artérielle et une activité cérébrale accrue. Elle aide également à lutter contre le stress et l’anxiété.

    En augmentant vos apports en oméga-3 et en vitamines B

    Les neurones générés chez l’adulte sont des neurones de petite taille qui ont des besoins très élevés en acides gras essentiels, en particulier en acides gras oméga-3, pour construire leur exigeante membrane cellulaire. Ces derniers sont reconnus unanimement par la communauté scientifique et les autorités européennes comme contribuant au maintien des fonctions cognitives, en particulier le DHA (un acide gras d’origine naturelle qu’on trouve en très bonne qualité dans OMÉGA 3 - EPA +).

    De la même manière, les vitamines B2, B6 et B12 (réunies dans Multivitamines B, une formule destinée à apporter les vitamines B sous leur meilleure forme) participent incontestablement à l’optimisation du système nerveux. Malheureusement, bien que des apports adéquats soient indispensables à la neurogénèse, les carences se généralisent de plus en plus, surtout en ce qui concerne la vitamine B12 (Lire cet article: Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).

    En augmentant le niveau de notre activité physique

    L’activité physique augmente la prolifération intervenant dans la neurogénèse. Elle améliore surtout le volume sanguin cérébral conduisant à de meilleures performances cognitives, aussi bien chez l’animal que chez l’homme. Or, la vascularisation décline avec l’âge...

    Les usages du ginkgo biloba en phytothérapie sont très nombreux. Pour certains maux (réduction des symptômes de la maladie d'Alzheimer, amélioration de la cognition, traitement de la démence sénile …) il est considéré par l'Union Européenne comme aussi efficace que de nombreux médicaments.

    En améliorant votre faculté à évacuer le stress

    Le caractère très néfaste du stress sur la prolifération cellulaire et sur la neurogénèse en général, qu’il s’agisse d’un stress physique ou psychosocial, n'est plus à prouver. Il est donc important de s’en prémunir au maximum, ou à défaut, de savoir en réduire les effets (au moyen de pratiques physiques, de plantes adaptogènes, de techniques de respiration, etc.).

    Plantes adaptogènes

    Rhodiola rosea

    La Rhodiola rosea -  aussi appelée ”racine d’Or” -  pousse dans les régions très froide de notre planète. Elle était utilisée par les Vikings, Inuits et en Sibérie pour leur donner force et courage.

    Propriétés

    • Stimule les fonctions cognitives en situation de stress et de fatigue.

    • Atténue l’anxiété et la dépression;

    • Améliore les performances physiques.

    Millepertuis

    Les fleurs et les bourgeons du Millepertuis, contiennent de l'hypéricine et la de pseudohypéricine, deux agents chimiques appartenant à la classe des dianthrones, et de l'hyperforine.

    L'hypericine est le principal principe actif du millepertuis.

    Les feuilles et les tiges contiennent des flavonoïdes, un puissant anti-oxydant.

    Propriétés

    • Améliore la qualité du sommeil

    • Réduit le stress

    • Réduit les symptômes de la ménopause et du syndrome prémenstruel : bouffées de chaleur, palpitations, étourdissements…

    • Traite la dépression légère ou modérée, de plus provoque moins d'effets secondaires que les anti-dépresseurs de synthèse

    Gotu Kola

    Egalement connue sous le nom de Gotu kola, la Centella asiatica est utilisée en Ayurvéda pour stimuler la vivacité intellectuelle et pour ses vertus en cas de stress ou d'intense réflexion (grandes charges de travail, décisions à prendre, etc). Son action apaisante sur le système nerveux permet de garder ses facultés et de rester concentré.

    Revitalisante, elle diminue la sensation de lassitude dans les moments qui nécessitent de gros efforts de raisonnement.

    Propriétés

    • Régénère les cellules nerveuses

    • Revitalise le cerveau

    • Favorise la concentration

    • Améliore la mémoire

    • Stimule les capacités intellectuelles

    • Apaise le système nerveux

    • Diminue le stress et la sensation de surmenage

    Les points à retenir

    • La capacité à créer de nouveaux neurones reste stable tout au long de la vie. Le nombre de cellules qui soutiennent les neurones ne varie pas non plus.

    • L’angiogenèse (la capacité à créer de nouveaux vaisseaux sanguins) et la neuroplasticité (la capacité des neurones à se remodeler en fonction de l’environnement) décline avec l’âge.

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