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Le réveil des sens

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  • 10 ans, 80 pesticides par jour

    • Par vogot
    • Le 14/06/2011

    Plus de 80 substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérogènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la Santé. C’est le résultat d’une étude du mouvement Générations futures et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau Environnement Santé.


    Ces repas types ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique à la recherche de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants. Le bilan de l’assiette, selon cette étude, est accablant : 128 résidus, 81 substances chimiques, dont 42 sont classées cancérogènes possibles ou probables et cinq substances classées cancérogènes certaines ainsi que 37 substances susceptibles d’agir comme perturbateurs endocriniens.

    Pour le petit-déjeuner, ils ont détecté plus d’une dizaine de résidus cancérogènes ainsi qu’une vingtaine de résidus susceptibles de perturber le système hormonal. La pomme importée du Brésil, prévue comme en-cas, présente des traces de six substances chimiques, dont un fongicide interdit en France. Même chose pour les haricots verts du Kenya du déjeuner et sur lesquels l’étude a mis en évidence des traces d’un insecticide puissant interdit dans l’Union européenne. Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain sont truffés de pesticides et autres substances chimiques. Dans l’eau du robinet les analyses ont révélé la présence de nitrates et de chloroforme. Mais c’est le steak de saumon prévu pour le dîner qui s’est révélé le plus « riche » avec 34 résidus chimiques.

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  • Les premières fois… Vivre l’amour

    • Par vogot
    • Le 31/05/2011

    Successives ou simultanées, abstinence choisie ou involontaire…

    ◗ Garçons ou filles, certains sont attirés par des personnes du même sexe. Chacun, dans le respect de l’autre, doit pouvoir vivre la sexualité qui lui convient sans subir le mépris ou le rejet. Toutefois, il faut savoir que chaque société définit des règles et des limites dans le domaine de la sexualité, dans le but, notamment, de protéger les mineurs, de prévenir et de sanctionner les actes de violence. Les relations sexuelles, ce n’est pas toujours facile : il faut en avoir envie tous les deux et, si possible, au même moment, qu’on soit dans l’amour toujours ou dans l’amour d’un jour… S’aimer un peu, beaucoup, ou bien être simplement ensemble le temps d’une rencontre, ce qui compte, c’est que chacun s’intéresse à l’autre ; ce qui compte, c’est que chacun ait son mot à dire. Les relations amoureuses, ce n’est pas toujours facile. Pas facile de se rencontrer, de s’aborder, de se parler, de se comprendre. Souvent, pour les garçons, il faut surmonter la timidité, la peur de l’échec, ou bien, au contraire, il faut modérer des élans qui risquent d’être mal reçus.


    ◗ Garçon ou fille, ce qui est important, c’est que chacun puisse se sentir libre de proposer, d’hésiter, d’accepter ou de refuser ; libre d’avoir besoin de plus ou moins de temps avant de s’engager dans une relation amoureuse. Pas de place ici pour la violence, la contrainte, le mépris. Dans le domaine de la sexualité, garçons et filles doivent apprendre à accepter les orientations et les choix de chacun.

    ◗ Garçon ou fille, chacun découvre et vit à sa façon et à son rythme les plaisirs de la sexualité et de la relation de couple. Selon son tempérament et selon les circonstances, chacun peut être amené à connaître des formes diverses de la vie affective et sexuelle : fidélité, relations multiples.

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  • Développement durable

    • Par vogot
    • Le 27/05/2011

    Lors de ma dernière formation, une personne est venue nous présenter ce qu'était "le développement durable". Il nous a fait l'éloge du bien, du bon, du qualitatif, du quantitatif, des taxes, de la collecte, la valorisation des déchets, enfin bref (une histoire de gros sous).....le monsieur avait bien appris sa leçon et nous distillait ce que ses maîtres à penser lui avait fait ingéré durant les quelques années qu'il avait passé à avaler quelques finesses (QUI A DIT MANIPULATION ?). J'ai attendu patiemment qu'il ait fini son beau discours bien ficelé.

     

    UNE, DEUX, TROIS secondes et....Je lui ai alors posé une simple question qui me brulait les lèvres comme le soleil dans la région sud ouest de la FRANCE quand il fait 26°C à l'ombre, et 38°C  l'après-midi vers 14h00 de juillet à mi-septembre.

     

    Bonjour Monsieur, je suis............etc, etc (car je suis poli), pourriez-vous m'expliquer une chose ?

     

    Champs de mais
    Champs de maïs

     

    Pourquoi est-ce que BRUXELLES (et ses gestionnaires bienpensants) allouent des aident aux maïsiculteurs - producteurs de maïs (transgénique bien entendu) et à la botte des laboratoires BAYER, MONSANTO (j'en passe et des meilleurs) - afin de produire des hectares à perte de vue dans la région SUD-OUEST, alors que tout le monde sait (pas besoin d'être énarque pour le savoir), que cette céréale est EXTRÊMEMENT GOURMANDE EN EAU. Du reste, la région SUD-OUEST de la FRANCE (que je connais bien pour y avoir vécu une quarantaine d'années) a ses nappes phréatiques au plus bas pendant la période de montée du maïs, quand les graines ont besoin d'eau.

     

    N'est-ce pas là, le plus magnifique NON-SENS que BRUXELLES et l'INRA nous aient pondu ???

     

    N'ayant pas envie d'entrer dans les détails d'une polémique qu'il aurait eu du mal à défendre, il m'a simplement répondu:"En effet, ce n'est pas du développement durable", avec un petit sourire.

     

    Embarrassé, il est vite passé à un autre sujet.

     

    BRAVO, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE !!!!

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  • Naturopathie : la trousse de secours du printemps

    • Par vogot
    • Le 23/04/2011

    Au printemps, les beaux jours ne reviennent pas seuls. Ils s’accompagnent aussi régulièrement de rhinites allergiques, de gênes oculaires, et parfois de menus problèmes de circulation et de peau. Pas forcément graves mais souvent irritants. Je vous livre mes conseils pour en finir avec ces maux printaniers et vivre pleinement la saison.

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  • Avez-vous un four à micro-ondes ? (comme tout le monde…)

    • Par vogot
    • Le 22/04/2011

    Un jour qu’un ami est entré dans la cuisine d’un de ses clients pour boire un café que l’on réchauffa dans le four à micro-ondes, il se sentit intérieurement stressé, avec la tête comme dans un étau. Comme il en fit part à ses hôtes, ceux-ci lui confièrent qu’ils avaient depuis des mois de plus en plus mal à la tête pendant leurs repas et qu’ils se demandaient bien à quoi l’attribuer.

    Mon ami proposa de placer dans le four – bien sûr éteint – son téléphone portable et demanda qu’on l’appelle à partir du téléphone fixe. Sitôt dit sitôt fait, le portable sonna allègrement dans le four, ce qui n’aurait pas dû se faire puisqu’un four à micro-ondes doit être par principe une stricte cage de Faraday pour la sécurité même des utilisateurs. Ce four fuyait donc comme une passoire, cuisant à petit feu tout ceux qui s’en approchaient. À chacun de faire ce test simple.

    Mais le mieux est quand même de jeter aux ordures cet engin de malheur (ou de l’offrir à quelqu’un que vous n’aimez pas). Rappelez-vous que la pièce maîtresse en est le klystron, issu des radars et qui est calé sur 2,4 gigahertz, la fréquence propre de la molécule d’eau, à savoir qu’un produit sec ne chauffe pas dans un micro-ondes. Le problème réside dans la violence du principe qui détruit tout ce qui a une vie (enzymes, vitamines, etc.) et qui, en plus de délivrer un aliment mort, génère des produits de transformation toxiques endommageant gravement à la longue les intestins.

    Alors que la congélation n’est pas vraiment un problème majeur puisqu’elle existe dans la nature, le passage délicat réside dans la décongélation, qui doit être, comme dans la nature, très progressive. Mettre un produit congelé au four à micro-ondes entraîne une véritable déflagration cellulaire des aliments, réduisant ceux-ci en une bouillie chimique. Et tant pis pour les gens pressés cédant à la séduction de la facilité. Et tant pis pour les gamins, et surtout les bébés, plombés dès le départ avec un lait déjà détruit par la pasteurisation, et qui n’a plus rien du lait à la sortie de cette machine infernale.

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  • Toujours trop d’antibiotiques

    • Par vogot
    • Le 16/04/2011

    Une enquête publiée par l’UFC-Que choisir montre encore une fois du doigt la prescription médicale toujours trop systématique d’antibiotiques. L’association a demandé à une personne saine de consulter 50 médecins pour un mal de gorge fictif. Plus de la moitié des médecins (52%) auraient prescrit un antibiotique alors que la personne ne souffrait de rien ! De plus, en moyenne, les ordonnances comprenaient 2 à 4 médicaments autres que l’antibiotique, dont des corticoïdes.

    On comprend mieux ainsi pourquoi, en France, la consommation de médicaments est de 40 % supérieure à celle de nos voisins européens. Toutefois, une telle enquête passe sous silence le vrai problème de la médecine généraliste conventionnelle : si l’on enlève aux médecins les antibiotiques, les anti-inflammatoires et la cortisone, il ne leur reste plus grand-chose à prescrire en cas d’infection…

    Pour vraiment diminuer la prescription de médicaments allopathiques, il faudrait leur enseigner les vertus des oligoéléments, des huiles essentielles, du chlorure de magnésium, de l’extrait de pépins de pamplemousse, de l’homéopathie… mais, malgré le déficit croissant de la Sécurité sociale, ce n’est pas à l’ordre du jour. 

  • Plan national santé environnement : de qui se moque-t-on ?

    • Par vogot
    • Le 16/03/2011

    Le ministère de l’Écologie a annoncé des objectifs très ambitieux pour la dernière ligne droite du plan national Santé Environnement, d’ici à 2013. Mais, sur le terrain, les mauvaises habitudes perdurent car contourner la législation se révèle un jeu d’enfant. L’exemple des phytosanitaires est édifiant.

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  • Irradiation des aliments : la nouvelle tentation de l’industrie agroalimentaire

    • Par vogot
    • Le 21/01/2011

    Irradiation des aliments : la nouvelle tentation de l’industrie agroalimentaire

    La possibilité d’irradier des aliments pourrait être étendue. Sous prétexte d’hygiène, l’industrie agroalimentaire aurait ainsi plus facilement accès à une technique qui appauvrit les denrées mais est également toxique.

    Ionisation, rayonnement ionisant sont les termes officiels. On peut aussi trouver l’expression pasteurisation électronique ou pasteurisé à froid. Concrètement, les aliments qui portent cette mention ont été irradiés, on les a bombardés de rayons émis par des atomes radioactifs émetteurs gamma. Pour le moment, 16 produits sont autorisés en France à subir ce traitement de choc. Mais avec le développement des échanges, on assiste depuis quelques années à une dérive : des aliments issus d’autres pays de l’Union européenne ont obtenu des dérogations et sont autorisés à subir ce traitement. Avec la libre circulation des marchandises ils se retrouvent dans nos magasins. « Une trentaine de produits serait aujourd’hui concernés », alerte le Collectif français contre l’irradiation des aliments. Et ce sont des familles entières qui sont visées. Par exemple, toutes les volailles sont autorisées à l’irradiation. Si, pour le moment, le coût de ce type de traitement a freiné son développement, l’avènement de filières de plus en plus structurées en vue de répondre aux normes des marchés export peut nous faire craindre un recours de plus en plus fréquent à l’irradiation.

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