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Le réveil des sens

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  • 4 Exercices pour oser agir

    • Par vogot
    • Le 16/12/2014

    Changer de regard sur ses actes et renforcer ses compétences.

    Accroître son expertise

    Paradoxalement, pour augmenter sa confiance en soi, il est plus profitable de renforcer ses compétences, dans telle ou telle discipline, que de s’attaquer à ses incompétences, réelles ou supposées. Le but de cet exercice est donc d’acquérir de l’expertise dans le ou les domaines où nous nous estimons qualifié et dans lesquels nous éprouvons du plaisir. Ce n’est qu’associé à une émotion positive (fierté, gaieté, légèreté d’esprit) que le sentiment d’expertise produit de la confiance et la renforce durablement. Concrètement, si nous avons par exemple la main verte, nous pouvons approfondir notre connaissance du jardinage ou de la botanique. Si nous jouons d’un instrument, nous enrichirons notre culture musicale, etc. Ainsi boosté, le capital confiance irrigue les autres domaines de nos savoir-faire et modifie notre comportement général.

    Interwiever ses proches

    Dialoguer avec un tiers bienveillant permet de poursuivre, en le renforçant, le travail de changement de regard sur ses capacités. L’idée est de choisir un ami, un collègue, un membre de sa famille, et de lui expliquer que nous avons besoin de son aide pour y voir plus clair en soi. « À quel moment, dans quelles circonstances, dans quel domaine m’as-tu trouvé ou me trouves-tu compétent ? » Poser la question et noter les réponses, sans les commenter, permet non seulement de se voir de l’extérieur, de développer un sentiment de sécurité (« Je ne suis pas seul, je peux obtenir de l’aide quand j’en ai besoin »), mais également de découvrir des talents et des compétences singulières dont nous ne soupçonnions pas l’existence ou que nous considérions comme « normales ».

    Lister ses actes

    Comment poser un regard plus objectif sur ses aptitudes ? Il ne s’agit pas de dénier la réalité en recouvrant les faits de « positivité », mais de prendre du recul afin de modifier son schéma cognitif de base (« Je ne me sens pas capable de… »). Pour cela, commençons par lister, sur une feuille, tous les actes de la journée au cours desquels nous nous sommes senti défaillant (couple, famille, travail), en expliquant en une phrase la cause de ce sentiment. Sur une autre feuille, même exercice, mais en version positive : quels sont les actes dans lesquels nous nous sommes senti capable et pourquoi. Dernière étape : relire plusieurs fois les deux listes, de manière à intégrer la double vision des choses. Pratiqué régulièrement, cet exercice « déglobalise » le sentiment d’incompétence, car il introduit de la nuance, des exceptions, et met en lumière certaines compétences.

    Etablir des objectifs réalistes

    Contrairement à ce que nous croyons trop souvent, le perfectionnisme n’est pas l’apanage des personnalités ambitieuses ou sûres d’elles. Il touche une grande partie d’entre nous et s’exprime plus fréquemment sur le mode du reproche (« Je ne fais pas assez bien ! ») que sur celui de l’encouragement (« Je dois faire encore mieux »). Être perfectionniste, c’est se fixer des objectifs inaccessibles ; le sentiment d’impuissance ou d’incompétence que nous en retirons contamine tous les autres domaines de notre vie. Pour sortir de ce piège, il est nécessaire de faire le tri entre objectif réalisable (mener une réunion professionnelle), momentanément irréalisable (dialoguer avec mon ado) ou durablement inaccessible (racheter ma société). En notant cette distinction par écrit, avec ou sans l’aide d’un proche. L’idéal est de justifier chaque « objectif » en précisant les moyens dont nous disposons ou dont nous pourrions disposer et les compétences sur lesquelles il est peu raisonnable de compter (gagner au Loto pour racheter ma société…).

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  • Le Massage Balinais: les secrets du massage de Bali.

    • Par vogot
    • Le 11/11/2014

    Je me suis aperçu en feuilletant les pages de mon site, que je n'avais pas développé le massage balinais que je pratique, pourtant, couramment. Maintenant c'est chose faite, cette erreur est réparée.

    Descriptif

    Le massage balinais est encore peu connu en occident, mais il tend à se développer ces dernières années. C’est en réalité un mélange de plusieurs méthodes de massage qui allie les gestes et principes du massage thérapeutique ayurvédique indien et ceux du massage indonésien et chinois. C’est un massage aux multiples vertus qui se veut relaxant et reposant pour votre corps et votre esprit. Le massage balinais, découvrez les secrets du soin corps de Bali. 

    Bienfaits

    Les bienfaits du massage de bali pour le corps et l’esprit seront multiples et la combinaison des différentes techniques de massage va permettre un plus grand champ d’application. Le massage Balinais se pratique généralement au sol ou sur une table de massage et le masseur va allier geste doux et relaxant afin de réparer les blessures du corps et le déséquilibre du flux d’énergie qui nous traverse. On dit que le bienfait majeur serait de réparer le déséquilibre entre le corps et l’âme. Le masseur de bali va masser le corps et stimuler les différents points énergétiques appelés Marmas, ainsi que les éléments qui constituent notre corps (eau, terre, feu). Comme pour la médecine traditionnelle et philosophie de l’Ayurveda, le massage balinais va agir sur l’équilibre des flux d’énergies qui sont la cause des maladies et problèmes de santé dont nous pouvons souffrir. Le massage balinais repose sur l’idée que nous sommes habités par une constellation d’humeurs qui se transforment en circulant à travers le corps. Principe posé également en naturopathie.

    Principes

    Selon les principes du massage balinais nous pourrions agir sur ces constellations d’humeurs grâce à des offrandes ou des mantras. Les mantras sont des paroles sacrées que le masseur prononcera (intérieurement) afin d’activer certains pouvoirs spirituels qui permettront de maximiser les bienfaits du massage balinais pour le corps et l’esprit. C’est donc un massage qui peut aussi être considéré comme un soin thérapeutique alliant les bienfaits de plusieurs techniques et reposant sur la philosophie hindouiste et le bouddhisme. 

    Le masseur va allier gestes énergiques et modelages doux et relaxant sur les différentes parties du corps ou il pourrait y avoir un déséquilibre du flux d’énergie. Le massage balinais va enchainer les mouvements d’étirements en douceur et les pressions plus ou moins accentuées sur certains points du corps. C’est après la phase de dynamisation que le masseur va procéder au modelage du corps afin d’assurer une détente et une relaxation en profondeur. 

    Aux gestes du massage de Bali, il va combiner l’utilisation d’huiles essentielles qui viendront nourrir en profondeur la peau. La peau sera donc plus saine, plus éclatante. Votre peau respire et vous sentez bien, les bienfaits sont immédiats. 

    Huiles essentielles

    Les huiles essentielles utilisées sont: Les huiles essentielles à base de jasmin, les huiles essentielles au bois de santal et également des huiles essentielles aux extraits d’ylang-ylang et de jojoba. 

    Les bienfaits pour le corps et l’esprit sont nombreux et le massage balinais est indéniablement très efficace pour lutter et combattre certains problèmes de santé. Voyons ces problèmes plus précisément : 

    Les douleurs musculaires

    Moins de problèmes, de douleurs musculaires, une diminution de votre mal de dos. C’est possible avec le massage Balinais. De part la relaxation qu’il procure et les bienfaits réels pour le corps, ce massage est conseillé pour diminuer vos douleurs, mal de dos ou encore mal aux lombaires. 

    Les problèmes de poids

    Le massage en général peut vous aider à perdre du poids. D’une part, car il est drainant mais aussi, car votre corps en accumulant le stress et les mauvaises énergies vont générer des tensions et des blocages qui auront des conséquences sur votre poids. Pour perdre des kilos et réduire vos problèmes de poids, vous pouvez essayer le massage Balinais. C’est un massage qui a autant de propriétés que votre corps peut générer de tensions. Réguler votre flux énergétique peut vous aider à perdre du poids.


    N'hésitez pas à commenter votre expérience du massage Balinais (que j'aurais réalisé auprès de vous) et partez à la découverte des soins corps de Bali.

    Au plaisir de vous rencontrer et d'échanger, car le massage est surtout un partage, un dialogue du corps et de l'esprit !

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  • La santé a un prix ?

    • Par vogot
    • Le 11/11/2014

    Les deux tiers des Français considèrent que les dépenses de santé pèsent de plus en plus sur leur budget annuel, d'après l'Insee. Les personnes interrogées affirment dépenser en moyenne 570€ par an pour la santé. Ce prix prend en compte le "reste à charge" des usagers, soit la somme dépensée pour la mutuelle, les tarifs non pris en charge par l'assurance maladie et la mutuelle, ou encore les médicaments et autres produits de santé non remboursés.

    La maladie c'est un style de vie 

    Comme attendu, le budget santé annuel moyen restant à la charge des Français varie fortement en fonction de l'âge et des revenus de chacun. Les sondés déclarant des revenus de plus de 3.500€ par mois évoquent un budget santé de 844€, alors que les revenus les plus modestes, soit environ 1.000€ par mois, déclarent un budget santé de près de 300€.

    Dans le même registre, le budget santé annuel des seniors est estimé à 911€ en moyenne, contre 255€ pour les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans.

    L'étude révèle que 60% des personnes interrogées avouent avoir déjà décalé ou renoncé à des soins et des achats médicaux. C'est notamment le cas pour l'achat de lunettes, de lentilles et de prothèses dentaires (48%), les consultations chez un spécialiste (35%), ou encore l'achat de médicaments (26%).

    Face à la hausse constante des dépenses de santé, les Français se tournent vers des solutions plus économiques, les médecines alternatives.

    N'est-ce pas Albert Einstein qui disait qu'il ne sert à rien de combattre le froid ou l'obscurité, et qu'il suffit de mettre de la chaleur pour avoir chaud et de la lumière pour y voir clair?

    Le Chèque santé, ou comment se faire offrir une consultation de naturopathie par son patron 

    Durée et prix d’une séance de naturopathie

    Une séance de naturopathie dure entre 30 minutes et deux heures, parfois plus selon les cas. Son prix moyen se situe entre 50 et 80 euros. C'est un prix moyen qui varie selon le lieu, la région où vous habitez. Renseignez-vous auprès de votre praticien santé.

    Les tarifs de consultations sont souvent moins onéreux en ligne via skype.... et les modalités EXACTEMENT les mêmes que dans un cabinet. [Lire la suite...]

    Une consultation de naturopathie, c’est quoi ?

    La Naturopathie reste encore trop abstraite pour vous ? Cette rubrique va vous expliquer ce qui vous attend… [Lire la suite...]

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  • La naturopathie au fil des saisons

    • Par vogot
    • Le 10/11/2014

    L’humain comme tous les êtres vivants est soumis aux cycles de la vie et aux rythmes des saisons.

    Tout comme la plante, nous connaissons un réveil de vitalité au printemps qui s’épanouit en été pour se concentrer en hiver.

    Ce mouvement d’expansion d’énergie et de rétraction s’auto perpétue. Ce cycle est nécessaire et indispensable à la vie.

    Ce sont ces rythmes naturels que la naturopathie respecte et accompagne.

    C’est pourquoi, les aliments consommés, les activités, les rythmes conseillés ne sont pas les mêmes au printemps qu’en hiver, nos besoins étant différents.

    De même qu’il y a un temps pour nettoyer, drainer et un temps pour concentrer et intérioriser nos forces.

    La consultation du naturopathe au changement de saison aura pour but :

    - de vérifier votre état énergétique, sa cohérence avec la saison

    - d’adapter l’hygiène alimentaire et de vie en conséquence

    Cependant il n’y a pas de règle absolue. Et même si la saison se prête à un drainage, celui-ci peut ne pas être adapté à ce moment là, à tout le monde. Il convient de vérifier si l’organisme est prêt pour cela, c’est l’objectif du bilan de vitalité.

    Les maux au fil des saisons  …..

    Certains symptômes sont la résultante d’un manque d’adaptation aux changements, c’est le cas par exemple de la dépression saisonnière ou des allergies qu’il est possible d’améliorer en naturopathie.

    Dans le cas des  pathologies hivernales (rhinites, laryngites, grippe, gastro-entérite, …), le naturopathe favorisera un accompagnement préventif afin de renforcer l’immunité. La démarche du naturopathe sera toujours d’améliorer le terrain de façon à optimiser vos réactions adaptatives.

    Notion de terrain

    Le terrain en naturopathie est constitué de l’ensemble des liquides dans lequel baigne notre organisme. Nous sommes fait à 70 % de liquide, c’est beaucoup….

    Dans lequel baignent quelque chose comme 10 milliards de cellules…

    Tout comme le terreau de votre jardin, les cellules dépendent du milieu dans lequel elles vivent : elles doivent en recevoir des éléments nutritifs, elles ont besoin d’échanger des informations pour coordonner le fonctionnement global du corps et elles ont aussi à évacuer des déchets ou des toxines.

    Quand les cellules baignent dans un milieu acide et encrassé de déchets, elles ne peuvent pas remplir leur rôle et c’est l’organisme dans son entier qui fonctionne mal. L’acidification du terrain est la source de nombreux troubles de santé.

    Le bon fonctionnement des cellules est totalement dépendant de la qualité du milieu qui les abrite, vous comprenez donc que l’environnement de vos cellules détermine votre état de santé.

    Le corps cherche constamment à maintenir le milieu intérieur dans un équilibre parfait pour permettre le bon travail des cellules.

    Plus le corps est chargé de toxines, plus il utilise d’énergie vitale pour se défendre, il s’y épuise !

    Comment amorcer le changement de saison, particulièrement lorsqu’il s’agit de l’hiver et de tout son cortège de troubles qui l’accompagne ?

    Souvent le changement de saison touche certains d’entre nous de façons particulières, troubles liées aux voies respiratoires, épisodes de refroidissement, réveil des douleurs rhumatismales… mais aussi troubles de l’humeur, fatigues…

    Voici quelques pratiques, à portée de tout le monde (ou presque) qui vous aideront à éviter ou au moins à réduire la fréquence et l’intensité de toutes ces manifestations souvent handicapantes, lesquelles ne sont que des cris d’alarme que manifeste le corps à la situation de surcharge en toxines dans laquelle il se trouve.

    1. Apprendre à connaître sa constitution soit en faisant une recherche personnelle (livres, internet), soit en consultant un praticien naturopathe.
         
    2. Revoir son alimentation soit du point de vue de la constitution, soit du point de vue de l’état de santé actuelle.

    Alimentation

    Concernant ce 2ème point, voici quelques orientations générales qui rendent de bons services à ceux qui les pratiquent :
           
    Manger lorsque le sentiment de faim se fais sentir (dans la mesure du possible), ce qui veut dire apprendre à différencier l’appétit physiologique de l’envie psychologique de manger (compensation), qui sont deux sentiments souvent confondus et dont l’origine est complètement différente.
           
    * Supprimer ou réduire les produits alimentaires industriellement transformés, c'est-à-dire tous ceux qui ont subi la pasteurisation, l’UHT, la chaîne du froid ou l'irradiation, la conservation par cuisson, les additifs alimentaires, comme les colorants, les exhausteurs de goût, les antioxydants, les conservateurs…
           
    Dans la mesure du possible réduire voire supprimer complètement les produits issus de l’industrie du lait, comme par exemple les yoghourts, les fromages, le lait et tous les autres produits qui en contiennent.
           
    Agir de même avec le blé, qui pour information, n’a plus rien avoir avec le blé originel, il a subi excessivement des manipulations de toutes sortes, le rendant peu reconnaissable par la cellule humaine (incompatibilité moléculaire et énergétique).
           
    * Manger simplement à chaque repas (deux à trois aliments par repas pas plus).
           
    *
     Augmenter la ration de crudités, car c’est là que le corps (la cellule) peut trouver les matériaux essentiels et en bons états soit avec leurs pleins potentiels de vitamines (détruites par la chaleur et la manipulation), les sels minéraux (transformés par la chaleur et autres additifs), de même pour les oligoéléments, s'il en reste, les enzymes (complètement détruites à plus de 40°c pour la plus grande majorité, les bactéries, les ferments, ainsi que d’autres substances utiles à la vie, sans oublier tout l’aspect énergétique qui accompagne l’aliment.

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  • La soupe, le repas équilibré et économique

    • Par vogot
    • Le 10/11/2014

    Par ici la bonne soupe !

    Que l'on aime ou que l'on déteste, la soupe fait partie de ces plats que nous mangeons depuis notre plus tendre enfance, et nous ne sommes pas les seuls. Préparée depuis des millénaires dans de nombreuses régions du globe, elle se déguste sous diverses appellations : potage, velouté, gaspacho, bouillon... les déclinaisons sont infinies. En plat principal, en entrée et même en dessert version sucrée, la soupe est, de par l'eau qu'elle contient, un bon moyen de s'hydrater. 

    Même s'il est parfois difficile d'en convaincre certains, la soupe, associée à une alimentation équilibrée, a de nombreux avantages : sources de vitamines, sels minéraux et fibres contenus dans les légumes, ses qualités nutritionnelles sont réelles. Chouchoute des rubriques minceur, l'apport calorique est faible à condition de ne pas y noyer 200 g de fromage râpé ou 3 cuillères à soupe de crème fraiche.

    La soupe maison : c'est encore meilleur

    Il n'y a vraiment rien de sorcier dans la préparation d'une soupe. En fonction de son niveau en cuisine, on peut miser sur des recettes basiques ou au contraire inventer avec des produits plus sophistiqués. 

    La base pour un soupe est presque toujours la même : un féculent (pommes de terre, lentilles, pois cassés) ou un légume farineux pour donner de la consistance, un oignon, de l'ail, des épices pour l'assaisonnement et des légumes. Légumes du soleil (tomates, courgettes, poivrons,...), légumes anciens (panais, topinambours,...), potirons, brocolis, aux légumes de saison, il y a suffisamment de possibilités pour réussir à en manger une différente tous les jours pendant un an. Un vrai festival de saveurs et de couleurs ! 

    Faire manger de la soupe aux enfants : je relève le défi !

    Mange ta soupe, ça fait grandir ! Les enfants ne sont pas dupes, ils ont compris le subterfuge depuis bien longtemps et ne se laissent plus berner par cette expression de nos grands-mères. Véritable calvaire, ce n'est souvent pas l'aspect de la soupe qui pose problème mais bien les légumes qu'elle contient. 

    Devant le refus d'obtempérer et la soupe à la grimace des enfants, certains parents ont su se montrer inventifs. Faire manger de la soupe aux enfants, cela commence bien avant de la verser dans l'assiette. En les intéressant à la préparation lors du choix des légumes, de leur épluchage, du mélange et de la cuisson des ingrédients, ils seront ainsi plus prompts, ne serait-ce qu'à goûter pour constater la différence entre le cru et le cuit. 

    D'autres ont transformé cette dégustation en jeu. Avec quelques croûtons de pain, des vermicelles ou des billes de tapioca, la soupe devient prétexte à une pêche miraculeuse.

    Soupe d'automne

    Ingrédients :

    1 oignon

    1 gousse d'ail

    1 tête de chou-fleur

    1 endive

    2 carottes

    9 pommes de terre

    5 champignons de Paris

    2 cc de gros sel de guérande

    huile d'olive

    poivre 5 baies

    2 cc de tapioca

    1,5 l  d'eau

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    Faites revenir dans un peu d'huile d'olive l'oignon coupé en morceaux et l'ail, ajoutez l'endive coupée en quatre, laissez encore quelques minutes en tournant régulièrement.

    Ajoutez le tapioca, l'eau et les autres légumes avec sel, poivre.

    Laissez cuire le temps nécessaire suivant le mode de cuisson choisi.

    Versez dans les bols .

    Vous pouvez accompagner de petits croutons à l'ail.

     

    Soupe au poivron et curry


    Ingrédients :


    2 poivrons rouges

    1 avocat bien mûr

    1 pomme

    1 poignée de basilic

    1 tasse d’eau 

    ½ tasse de pignons

    1 petit oignon

    1 gousse d’ail

    1 cc poudre de curry

    1 cc de sel

    1 pincée de poudre de chili


    Mettre de côté la moitié de la pomme et de l’avocat coupés en dés, ainsi qu’un morceau de poivron rouge également coupé en dés ou en fines lamelles, et quelques feuilles de basilic, pour la garniture.

    Mélanger le reste des ingrédients (poivron, pomme, avocat, pignons, oignon, ail, basilic et épices) dans un blender pour obtenir un mélange bien mousseux. Rajouter les dés de fruits et légumes puis l’eau en dernier pour diluer et servir immédiatement !


    Pour les frileux, en hiver, si vous souhaitez un effet de soupe chaude, pensez à tiédir l'eau avant de l'incorporer.


    Cette soupe très savoureuse se conserve quelques jours au réfrigérateur.

     

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  • La procrastination

    • Par vogot
    • Le 23/10/2011

    C’est aujourd’hui dimanche. Vous venez tout juste de réaliser que vos examens sont dans trois semaines et qu’il faut s’y mettre tout de suite, sous peine d’avoir de sérieux problèmes. Ça fait un mois que vous vous dites qu’il faut s’y mettre « tout de suite », mais cette fois-ci c’est vraiment important. Pour vous y mettre sérieusement et travailler dans de bonnes conditions, vous vous dites qu’il faut commencer par faire de l’ordre sur votre bureau où trainent livres, feuilles, journaux et cannettes de soda… Il y a un mois, après votre dernière session de ménage hebdomadaire, vous vous étiez promis de laisser votre bureau dans cet état de propreté. Une fois le bureau rangé, il vous faut retrouver votre surligneur orange parce que vous n’avez que le vert et le jaune, ça ne suffit pas pour travailler sérieusement. Vous faites un tour à la cuisine en le cherchant partout. Vous sentez qu’il y a un déclic, que vous êtes enfin en train de vous mettre à bosser sérieusement. Et tiens, puisque vous êtes dans la cuisine, vous mangeriez bien un en-cas. Et puis c’est important d’étudier le ventre plein. En revenant dans votre chambre, vous remarquez la poussière sur le sol. Il faut vraiment passer un coup d’aspirateur, et pendant que vous y êtes, faire le ménage dans tout l’appartement. De retour à votre bureau, vous vous autorisez une petite pause internet, juste le temps de relever vos emails. Une heure plus tard, vous vous y mettez enfin… pendant cinq minutes, avant de vous rappeler que vous aviez promis d’appeler votre cousin. A la fin de la journée, vous vous dites que vous n’avez finalement pas beaucoup avancé… Mais ce n’est pas grave, car demain vous vous y mettrez sérieusement, promis.

    La procrastination est la tendance pathologique à tout remettre à plus tard, comportement assez fréquent chez les étudiants, si bien qu’on appelle aussi la procrastination le « syndrome de l’étudiant ».

    Ce problème est pris au sérieux par les psychologues et les spécialistes en la matière. Selon des études internationales, la procrastination chronique et problématique toucherait 20% de la population générale et environ 50% d’étudiants.

    Les causes de la procrastination

    La procrastination est souvent liée à la peur de l’échec. Devant le travail « immense » que représenterait la maîtrise d’une tâche, le procrastinateur préfère ne rien faire. Plutôt que de s’y mettre tout de suite, ou de faire un peu chaque jour, il ne fait rien jusqu’à ce que son objectif devienne réellement irréalisable. La procrastination est un moyen d’abandonner tout de suite plutôt que de prendre le risque d’échouer le moment venu.

    Certains perfectionnistes sont touchés par la procrastination. Vu qu’ils ne peuvent se résoudre à rendre un travail moyen et qu’un travail parfait demande beaucoup de temps et d’efforts, la tache à accomplir leur paraît tellement impossible à réaliser qu’ils préfèrent la chasser de leur esprit.

    Mais peut-on vraiment parler de peur de l’échec quand il s’agit de remettre les tâches ménagères à plus tard ? On peut aussi y voir une peur de réussir, ou plutôt une peur inconsciente du changement, peur de se défaire d’un cercle vicieux. Ainsi, quelqu’un pourra échouer ses études parce que le fait de les passer entrerait en conflit avec l’image qu’il a de lui-même.

    Le sentiment qu’il faut être préparé avant faire les choses peut être un motif à la procrastination. Par exemple, l’entrepreneur pourra se confondre en études de marché compliquées, vérifier si son idée tient la route suivant des modèles économiques complexes et finalement n’entreprendra rien.

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  • Les obstacles à notre réussite

    • Par vogot
    • Le 23/10/2011

    C'est en sachant ce que l'injustice est que nous voyons parfaitement ce que la justice est. Trop de gens ne sont pas conscients de ce que signifie la relativité… car permet de voir les opposés sans jugement et ainsi choisir. Mais si au départ il n'y a pas de choix, alors on crée une croyance inconsciente qui est néfaste à la liberté de choix.

    Obstacle 1 : Votre façon de penser

    Notre façon de penser provient de notre environnement et les expériences que nous avons vécues.

    Obstacle 2 : L’enseignement et le conditionnement

    Nous allons à l'école pour apprendre des connaissances mais sans les expérimenter et alors on accumule des mots qui créent notre mémoire…

    Obstacle 3 : Les excuses ou justifications

    Les gens qui désirent créer doivent voir que les excuses ne sont que des paroles qu'ils disent aux autres afin de chercher à cacher leur manque d'action.

    Obstacle 4 : La sécurité ou le confort

    On se fait éduquer très tôt à rechercher le confort, la sécurité afin de vivre sans problème.

    Obstacle 5 : Le manque de rêve ou de désir

    À chaque instant nous avons un désir en nous, mais la plupart des gens n'en sont pas conscients.

    Obstacle 6 : La peur de l'échec au devant des autres

    Vivre sur l'approbation des autres et vivre sous les menaces, critiques et punitions des autres apportent cette peur de l échec.

    Obstacle 7 : Une relation déséquilibrée

    Observer les hommes célibataires qui perdent leur temps dans des activités pour tenter que les femmes les regardent…

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  • 6 raisons qui expliquent votre manque de motivation

    • Par vogot
    • Le 23/10/2011

    Peut-être ne faites-vous pas un bon usage de votre volonté. Voici six raisons qui pourraient expliquer pourquoi vous avez du mal à mener une vie saine.

    L’autodiscipline: qu’est-ce qui se cache derrière?

    Voici de quoi faire réfléchir: dans 88% des cas, nous n’arrivons pas à tenir les résolutions que nous prenons le Jour de l’an. Il semble bien que nous souffrions d’un manque chronique de volonté. Il n’y a rien là de bien étonnant; après tout, les tentations nous entourent de toutes parts. La camelote alimentaire est omniprésente et, reconnaissons-le, il est difficile de résister à toutes ces saveurs. Et puis, qui aurait envie de troquer son fauteuil pour une séance au gym, alors que l’écran de télé géant, le poker en ligne ou Twitter requièrent notre attention?

    Ce n’est pas que nous manquions de volonté, mais plutôt que nous n’avons jamais eu à la mettre véritablement à l’épreuve. Heureusement, il suffit de savoir en quoi consiste l’autodiscipline pour comprendre ce qui ne va pas et apporter les correctifs nécessaires.

    Voici six raisons qui expliquent le déclin de votre volonté ainsi que des solutions pour remédier au problème.

    1. Vous en demandez trop à votre volonté

    On a montré dans un grand nombre d’études que la volonté avait des limites. Autrement dit, quand vous avez épuisé vos réserves, vous êtes sans moyens. Au cours de l’une de ces études, on avait donné à un premier groupe (A) la consigne de regarder une scène vidéo ennuyeuse, mais pas au second (B). Puis on a demandé aux deux groupes d’encercler, sur un long document, toutes les lettres «e». Le groupe A, qui avait déjà épuisé une partie de sa volonté à regarder la vidéo, a abandonné plus rapidement que le groupe B.

    En d’autres mots: Si vous avez pris la décision d’arrêter de fumer et de faire de l’exercice cinq fois par semaine, ne faites pas les deux choses en même temps. Échelonnez vos objectifs sur un an. Et si possible, n’attendez pas la fin de la journée, alors que vos réserves de volonté sont déjà à moitié épuisées, pour entreprendre quelque chose d’exigeant.

    2. Vous choisissez mal votre moment

    Des chercheurs ont révélé que la volonté était sous la responsabilité du cortex préfrontal, qui gère également la mémoire à court terme et l’aptitude à se concentrer sur un problème et à le résoudre. C’est beaucoup pour une si petite partie du cerveau. En quoi cette découverte est-elle importante? Eh bien, quand ces deux autres fonctions réclament l’attention du cortex préfrontal, ce dernier manque tout simplement d’énergie pour stimuler la volonté. Lors d’une étude menée à l’Université de Stanford, on a donné à deux groupes la consigne de mémoriser un nombre, qui comprenait deux chiffres, pour le premier et sept, pour le second. Les deux groupes devaient ensuite emprunter un couloir au bout duquel on leur offrait de choisir entre deux collations, soit un morceau de gâteau au chocolat ou une salade aux fruits. Les sujets du groupe auquel on avait demandé de mémoriser le nombre à sept chiffres ont choisi deux fois plus souvent le gâteau que les fruits.

    En d’autres mots: si votre journée s’est avérée exigeante pour votre cortex préfrontal, par exemple si vous avez dû vous concentrer intensément, résoudre des problèmes abstraits ou exercer votre mémoire à court terme, adaptez votre emploi du temps de manière à faire appel à votre volonté plus tôt dans la journée, avant que votre cerveau ne soit fatigué: entraînez-vous le matin et évitez de faire les courses le soir et, si vous le devez, tenez-vous loin du rayon des friandises.

    3. Vous êtes à court de glucose

    La volonté nécessite une source d’énergie, plus précisément du glucose. On a montré dans plusieurs études que le recours à la volonté épuisait les réserves de ce sucre. Si vous négligez de refaire ces réserves, vous aurez beaucoup plus de mal à tenir vos résolutions. En revanche, il suffit de prendre une source de glucose, par exemple du jus ou un fruit pour corriger le déséquilibre. Cependant, il est important de prendre du vrai sucre: Roy Baumeister, psychologue à l’université d’état de la Floride, a fait la preuve que les sujets qui buvaient de la limonade édulcorée au succédané de sucre n’arrivaient pas à s’auto-discipliner autant que ceux dont la limonade était édulcorée au sucre.

    En d’autres mots: avant de baisser les bras, prenez un aliment sucré; il vaut mieux que ce soit un fruit, mais si vous n’avez qu’une boisson sucrée ou une friandise à portée de main, allez-y. Limitez-vous toutefois à quelques gorgées ou petites bouchées.

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