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Conclusion
S'il est faux de dire que le diapason n'a pas cessé de monter au fil des siècles, il est incontestable que la recherche d'un jeu brillant a favorisé l'émergence de diapasons hauts, voire très hauts et difficilement conciliables avec les limitations physiques des instruments de musique ou des chanteurs. Le diapason a ainsi varié de façon considérable, durant des siècles de musique.
Si la première tentative de normalisation a été faite en France en 1859, il aura fallu attendre près d'un siècle pour qu'en 1953, le LA soit fixé de façon universelle à 440hz. En 1975, le diapason 440hz a reçu la certification ISO, entérinant ainsi sa prédominance.
C'est pratiquement au même moment que les spécialistes de la musique ancienne ont fait redécouvrir les couleurs des diapasons oubliés. Dans un but de simplification, trois valeurs caractéristiques 392,415 et 430hz ont ainsi été choisies pour représenter le très grand nombre de diapasons recensés. Plus marginalement, le 440hz est aussi utilisé en musique ancienne.
C'est le cas pour la musique de Monteverdi, mais depuis peu, la tendance est à l'interprétation de la musique baroque italienne à ce diapason.
De nos jours, le diapason officiel à 440hz n'empêche pas de nombreux orchestres de jouer à 442hz (ou plus), ou encore d'entendre des instruments traditionnels à 446hz...
On voit donc que le diapason continue naturellement de bouger autour de sa valeur normalisée. Le 440hz ne doit donc pas être considéré comme une valeur absolue, mais comme un repère nécessaire à l'universalisation de la musique.
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