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Ostéoporose : du nouveau !

Tout le monde a entendu parler de l’ostéoporose, mais bien peu de gens savent en fait de quoi il retourne. On dit qu’elle favorise les chutes, on pense qu’elle ne touche que les femmes, on recommande de boire des produits laitiers… et surtout, on prescrit des traitements aux effets secondaires dangereux. Cette maladie, qui progresse doucement et souvent silencieusement, peut toutefois être enrayée en respectant l’équilibre acido-basique et en favorisant la production de collagène.

Imaginons que la tour Eiffel ne soit pas aussi bien entretenue qu’elle ne l’est aujourd’hui. Que lui arriverait-il alors? Il y a tout lieu de supposer que la rouille rongerait les poutrelles métalliques au point qu’un jour, certaines d’entre elles casseraient et compromettraient l’équilibre de l’ensemble.

Si cet événement malheureux survenait au niveau de la partie haute, un tassement sur elle-même se produirait dans un premier temps avant que ne se dessine une courbure. Si au contraire, l’événement avait lieu au niveau de l’articulation entre un des pieds avec le premier étage, ce serait la fracture et la chute. Ainsi pourraient être résumées l’ostéoporose et ses conséquences.

L’ostéoporose est une affection de la trame osseuse (la trame étant à l’os ce que la poutrelle métallique est à la tour Eiffel). Ces trames s’amincissent progressivement au point que certaines disparaissent. L’origine de ce phénomène réside dans une perturbation du métabolisme des protéines, les protéines étant les éléments qui donnent aux trames osseuses leur structure particulière et leur solidité. Non seulement les trames osseuses deviennent moins nombreuses, mais aussi et surtout elles constituent un ensemble moins solide. Plus l’ostéoporose évolue, plus le risque de fracture devient important, au point que certaines fractures surviennent sans aucun traumatisme (on parle alors de fractures spontanées).

L’ostéoporose n’est donc pas fondamentalement liée aux phénomènes qu’on lui associe le plus souvent : décalcification, douleurs osseuses, faiblesse musculaire et fatigue. Ce sont les maladies auxquelles elle est le plus souvent associée qui sont la cause de ces troubles.

Deux pathologies connexes

L’ostéoporose est en effet plus ou moins associée à une ostéomalacie et/ou à une sarcopénie.

L’ostéomalacie est définie par un défaut de minéralisation de la matrice osseuse. C’est elle qui entraîne la décalcification. C’est elle aussi qui est responsable des douleurs osseuses.

La sarcopénie est la diminution de la masse musculaire. C’est elle qui est responsable de la fatigabilité et plus encore des chutes. Un mal « épidémique » au coût énorme.

Actuellement en France, l’ostéoporose est responsable, chaque année, de 35 000 fractures du poignet, 60 000 fractures vertébrales et 50 000 fractures du col du fémur. Quel que soit le type de fracture, les séquelles sont graves. C’est particulièrement vrai des fractures de l’extrémité supérieure du fémur dont 15 % sont suivies du décès dans l’année suivante et dont 50 % des personnes survivantes gardent définitivement un handicap physique. Un mal qui ne touche pas que la femme. 

En Europe, une femme sur trois et un homme sur sept sont touchés  aujourd’hui par ce mal. Des profils ont été établis afin de mieux définir les personnes à risque.

? Chez la femme : de race blanche, de constitution petite, maigre, à la peau claire et aux cheveux blonds. L’hérédité (les filles de mères ostéoporotiques présentent une masse osseuse plus faible que les filles de mères non ostéoporotiques). L’absence de cycles réguliers, l’existence d’un syndrome prémenstruel. Les longues périodes d’aménorrhée (anorexie mentale, ménopause précoce, ovariectomie bilatérale, sport à outrance). Les régimes minceur auto-prescrits pendant l’adolescence.

? Chez l’homme : à la différence de la femme, l’ostéoporose de l’homme est secondaire à une autre affection dans 60 % des cas, notamment l’hypogonadisme (baisse de la sécrétion de testostérone) quelle qu’en soit la cause.

L’équilibre acido-basique en prévention

La prévention repose essentiellement sur l’équilibre alimentaire. Le régime dit « méditerranéen » ou « crétois » est le plus indiqué car il est fondé sur le respect de l’équilibre acido-basique. Un équilibre fondamental pour ce qui concerne l’ostéoporose.

La vie de type occidental induit une acidification du milieu intérieur. Normalement, quand il existe un phénomène d’acidose, l’organisme va chercher le potassium (apporté par les légumes verts et les fruits) dans les cellules et rétablit facilement l’équilibre.

Malheureusement, chez la majorité de nos concitoyens, l’organisme a vite fait de puiser ce qu’il pouvait puiser de potassium, alors il se retourne sur le calcium qu’il va tirer de l’os… Un comble quand on veut faire l’inverse !

Par ailleurs je recommande

  • une alimentation riche en choux de toutes sortes qui satisfait les apports nécessaires en vitamine K ;

  • une activité physique ou/et sportive régulière de plaisir ;

  • une bonne gestion du stress grâce à la pratique du yoga, du taï-chi, d’activité créatrice ou/et récréative… ;

  • la surveillance de la densité osseuse.

Les limites du traitement préventif conventionnel

Le traitement préventif allopathique repose sur trois axes : le traitement hormonal substitutif (THS), les biphosphonates et le raloxifène.

Malheureusement, ces trois possibilités thérapeutiques exposent à des effets secondaires parfois redoutables.

Seules les femmes qui ont suivi un THS plus de sept ans présentent une densité minérale osseuse supérieure à celle des femmes non traitées. Ce sont également celles qui sont le plus exposées au risque de cancer induit par ce type de traitement !… Et également à présenter un risque cardiovasculaire accru (phlébite, embolie). D’autre part, l’arrêt du traitement hormonal substitutif est suivi d’une chute rapide de la densité minérale osseuse.

Les biphosphonates exposent, pour certains d’entre eux, à nombre de troubles digestifs inconfortables qui peuvent aller jusqu’à l’ulcère gastroduodénal ou aux ulcérations œsophagiennes.

Quant au raloxifène, il expose au risque de phlébite et d’embolie au même pourcentage que le THS.

Parmi les causes : l’abus de produits laitiers

Les produits laitiers dont la consommation est vivement conseillée en cas d’ostéoporose ne sont pas d’aussi bons amis qu’on pourrait croire.

Tout d’abord, une remarque de bon sens. Comment se fait-il que les autres mammifères ne souffrent pas d’ostéoporose et de fractures spontanées? Ne serait-ce pas, entre autres, parce que l’homme est le seul animal à consommer du lait après le sevrage ?

Par ailleurs, les produits laitiers sont recommandés pour leurs apports en calcium, mais, du fait de l’acidité de certains d’entre eux (yaourts et fromages blancs), ils rompent l’équilibre acido-basique (voir acidose métabolique) et, finalement, consomment au moins autant de calcium qu’ils n’en apportent.

En outre, un quart seulement du calcium apporté par les produits laitiers est réellement absorbé au niveau de la muqueuse intestinale (la vitamine D ajoutée n’y change rien).

Enfin, des recherches, volontairement ignorées par la communauté médicale, indiquent que la prise de calcium (sans magnésium associé) est nocive puisque le calcium fuit en plus grosses quantités dans les urines ou vient se fixer dans des zones inadéquates (tendons, plaques d’athéromes).

Les autres facteurs causals sont 

  • la sédentarité ou l’immobilisation prolongée,

  • le lieu de résidence (l’ostéoporose est nettement moins fréquente du fait du meilleur ensoleillement et de la consommation de fruits et légumes),

  • la pratique intensive d’un sport,

  • les apports alimentaires insuffisants en calcium et en ses cofixateurs : magnésium, silicium, zinc, vitamines B6, C, D et K,

  • les apports alimentaires insuffisants en phyto-œstrogènes,

  • la consommation excessive de sel, de phosphore ou de protéines d’origine animale,

  • certaines intoxications : tabagisme, alcoolisme, exposition au plomb,

  • l’existence d’une maladie inflammatoire chronique des intestins (Crohn, rectocolite hémorragique, maladie cœliaque liée au gluten),

  • l’existence d’une autre maladie, notamment : hypertension artérielle, hyperthyroïdie, diabète insulinodépendant, maladie de Parkinson…

  • la prise prolongée de certains remèdes : antivitamines K, corticoïdes, pansements gastriques contenant un sel d’aluminium, certains antiépileptiques…

Tous les compléments ne sont pas équivalents

Je l’ai évoqué en ouverture, l’ostéoporose est rarement seule. La complémentation portera donc au niveau minéral sur le calcium, le magnésium (qui favorise la fixation du calcium sur l’os), le zinc.

Elle portera au niveau vitaminique sur les vitamines B6 (responsable du pontage des brins de collagène qui forment la trame osseuse), C (nécessaire à la synthèse du collagène sur lequel le calcium vient se fixer), D (indispensable à la fixation du calcium).

Il est possible de réaliser cette complémentation en utilisant divers compléments alimentaires. Attention toutefois, il existe de très nombreux complexes minéralo-vitaminiques sur le marché. Souvent, ils contiennent des minéraux dont l’usage ne doit être que conditionnel : le cuivre, le fer et le manganèse qui, s’ils sont utiles en cas de carence, deviennent facteurs oxydants dès qu’ils sont en excès.

Par contre je citerai ici une substance incontournable : La Quercétine, qui fait actuellement l’objet de nombreux travaux en France et à l’étranger.

La Quercétine, pour l’ostéoporose

Une voie de recherche prometteuse vient de s’ouvrir. 

La Quercétine est un polyphénol extrait du sophora japonica, de l’oignon ou d’autres végétaux comme les câpres qui en sont riches, présente des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires étonnantes.

Dans l’ostéoporose, le stress oxydant et inflammation sont liés et sont responsables en majorité de la perte osseuse.

Il y a encore quelques années, on pensait que le principal responsable de la perte osseuse était la baisse des œstrogènes uniquement car à la ménopause, les œstrogènes n’exercent plus leur effet protecteur sur l’os qui  se dégrade, libère plus de calcium qu’il n’en fixe (il se résorbe). Mais on sait depuis peu que les cytokines (des molécules inflammatoires) augmentent, et accélèrent la perte osseuse. Ces cytokines sont un nouvel élément fondamental pour comprendre le phénomène de l’ostéoporose.

C’est grâce à cette hypothèse nouvelle que des chercheurs ont testé la Quercétine chez des rates (femelle du rat) n’ayant plus d’ovaires, comme si la ménopause était installée.

Des prises quotidiennes de Quercétine ont été données dans des groupes témoins pour lesquels les chercheurs ont constaté un ralentissement et même un arret de la perte osseuse pour certains animaux.

S’il a été constaté que la perte osseuse ne se faisait plus ou était ralentie, cette étude montre que la Quercétine a été plus efficace que les isoflavones (pourtant reconnues pour leurs effets protecteurs sur l’os) et ce, tant sur la densité que sur la qualité et la rigidité de l’os. Maintenant, on sait que la quercétine (qui n’est pas un composé œstrogénique) peut jouer un rôle favorable et prometteur dans la lutte contre l’ostéoporose.

D’autre part, du fait de la sarcopénie souvent présente et de la baisse fréquente de l’appétit, l’association avec du glycérophosphate (sel de magnésium) et des vitamines du groupe B (B3, B6, B9 et B12 notamment) est judicieuse car elle permet de relancer le métabolisme cellulaire et énergétique. 

Complexe de Vitamines BMagnésium marinCalcium citrate + vitamine D3Chondroïtine sulfateGlucosamine HCLWPLANTS

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