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  • Triglycérides élevés : Approche et solutions naturelles naturopathiques

    L'autre jour, un patient me disait que son taux de triglycérides était élevé. Apparemment, il revenait de chez son médecin qui l'avait, une fois de plus (peut-être une fois de trop) affolé. Je le rassurais, en lui disant qu'il y avait une issue, une ouverture, en modifiant sûrement son alimentation, une cause fondamentale d'un grand nombre de pathologies.

    Suite à anamnèse, et après deux séances, nous avons mis en place, une façon nouvelle, pour lui, de s'alimenter, adaptée à son cas. Par rééquilibrage alimentaire et en dissociant certains aliments, les associations alimentaires étant fortement nécessaires, ce patient est revenu quelques jours plus tard avec de nouveaux résultats d'analyses. Je ne vous dis pas quel a été son choc, quand il s'est aperçu que les taux avaient rigoureusement baissé.

    Mais au fait, vous allez me dire ...

    Les triglycérides, qu'est-ce que c'est?

    Ce sont des lipides ou acides gras. Ils résultent au niveau de leur structure de l’union d’un glycérol et de trois acides gras. Les triglycérides ont une origine exogène, ils proviennent des graisses dites saturées comme les graisses d’origine animale, les produits laitiers ou encore les huiles. Ils ont également une origine endogène, car ils sont fabriqués par le foie lorsqu’il y a un excédent de glucose (sucres et alcool) au sein de l’organisme. Ce sont des composés lipidiques stockés au niveau des cellules du tissus adipeux appelées les adipocytes.

    Leurs rôles

    Ce sont nos principaux fournisseurs d’énergie. Ils sont donc essentiels à l’organisme. Ils font partie du cycle de Krebs et permettent ainsi la production d’ATP indispensable à toutes les fonctions de notre corps, grâce à leur oxydation. Ce sont aussi les transporteurs des vitamines liposolubles, A, D, E et K. En revanche leur quantité ne doit pas dépasser un certain seuil, auquel cas ils deviennent dangereux pour l’organisme.

    Cycle de Krebs

    Le cycle de Krebs, également appelé cycle de Szent-Györgyi et Krebs, cycle du citrate, cycle de l’acide citrique ou cycle des acides tricarboxyliques, consiste en une série de réactions biochimiques qui ont pour but de produire des intermédiaires énergétiques qui permettront la fabrication d’ATP (Adénosine triphosphate) dans la chaîne respiratoire.

    Mitochondrie et triglycerides

    Il participe au métabolisme des glucides, des lipides et des protéines.

    Cette voie métabolique produit des substrats énergétiques qui assurent l’essentiel des besoins en énergie de la cellule. En effet, la série de réactions biochimiques qui la compose produit des intermédiaires énergétiques qui permettent la fabrication d’ATP (adénosine tri-phosphate) dans la chaîne respiratoire qui suit le cycle de Krebs.

    Cela a l'air complexe, dit comme cela, mais je vous rassure, tout va bien se passer.

    N'oublions pas, en passant, l'équilibre acido-basique.

    Taux normal de triglycérides

    Pour la femme, il se situe entre 0,35 et 1,40gr/l,

    pour l’homme entre 0,45 et 1,75 gr/l.

    Complications possibles en cas d’excès de triglycérides

    On parle alors d’hyper-triglycéridémie. De nombreuses pathologies sont ainsi favorisées, notamment les pathologies cardio-vasculaires, le diabète de type II, l’obésité, l’hypertension, les cancers, la stéatose hépatique … A noter que les adipocytes localisés au niveau abdominal et viscéral sont un facteur de risque aggravant. Mais oui, vous savez bien, cette fameuse bouée abdominale!

    Trop de triglycérides – triglycérides élevés: Causes

    Quels sont les facteurs favorisant l’excès de triglycérides?

    L’hyper-triglycéridémie est donc caractérisée par un trop plein de triglycérides dans la circulation sanguine.

    Celle-ci est occasionnée par une alimentation riche en graisses saturées et trans, en sucres raffinés et en aliments à index glycémiques élevés. Outre ces habitudes alimentaires inadaptés, le surpoids, le diabète, l’obésité, la sédentarité, le tabagisme ou encore la prise répétée de certains médicaments peuvent être des facteurs de risque importants.

    Les conséquences peuvent être graves, si une hygiène de vie saine n’est pas rapidement mise en place.

    Associée à une hypercholestérolémie, les risques de pathologies cardiovasculaires comme l’hypertension, les maladies thrombo-emboliques, les troubles du rythme, l’infarctus ou encore les insuffisances veineuses, sont encore augmentés.

    Moyens naturels pour faire baisser les triglycérides

    Il sera indispensable d’intervenir sur l’hygiène de vie globale. L'intervention de votre naturopathe sera nécessaire, à ce moment là également.

    1. Alimentation

    Agir sur les comportements alimentaires sera incontournable. Il sera donc indispensable de diminuer sa consommation de glucides raffinés, de graisses saturées et trans, d’alcool, de produits raffinés. Cuisiner des produits frais, légumes et fruits de saison, consommer des bons lipides, des petits poissons gras, des céréales complètes, des protéines maigres, adopter une alimentation saine, vivante, antioxydante équilibrée et dissociée seront les solutions pour faire baisser le taux de triglycérides. Si le grignotage répété est en cause, il sera important de trouver des solutions pour réguler l’alimentation.

    2. Exercice physique

    Il devra être régulier et adapté. En effet celui-ci permet une meilleure pénétration intracellulaire du glucose. Il est vivement recommandé de pratiquer un minimum de 30 mn d’activité physique chaque jour, d’oublier les escalators et de préférer les escaliers.

    3. Stress et comportements alimentaires inadaptés

    On sait à quel point certains comportements alimentaires sont dictés par un excès de stress ou des émotions mal gérées, entraînant des mécanismes de compulsion. Si c’est le cas, il sera indispensable d’en comprendre les causes psycho-affectives et de se faire éventuellement aider par un thérapeute. Pour diminuer le stress un certain nombre de techniques comme la méditation, la cohérence cardiaque, la sophrologie ou encore le Qi Gong sont appropriées en fonction des goûts de chacun.

    Fleurs de Bach sans alcool, outil essentiel

    Il existe 7 catégories correspondant aux différents états de déséquilibres psychologiques et 38 quintessences de fleurs se rapportant aux 38 états négatifs de la pensée.

    Le choix dépendra du type d'émotion ressentie ou causale.

    Le stress non compensé ou les émotions fortes non maîtrisées peuvent trouver calme et sérénité avec l'utilisation des fleurs de Bach sans alcool. Une solution d'accompagnement efficace dans le traitement global de la personne sera bénéfique avec un suivi thérapeutique.

    4. Causes hormonales

    Il se peut aussi que des causes hormonales type hypothyroïdie soient à l’origine d’un excès de triglycérides, auquel cas il sera important d’agir afin de réguler les hormones en question. Divers compléments alimentaires pourront vous aider à réguler ces causes.

    5. Compléments alimentaires

    Un drainage de l’organisme, par gemmothérapie, pourra aider à se débarrasser des toxines. En fonction du tempérament de chacun le bouleau, le romarin, l’artichaut ou encore le genévrier pourront être utilisés.

    En cas d’organisme fatigué l'élixir du Suédois ou l'Acéro-boost aideront à redonner de l’énergie à l’organisme.

    Si la personne est sujette aux compulsions alimentaires, le griffonia, précurseur de la sérotonine l’apaisera. Le chrome impliqué dans le métabolisme des glucides et des lipides pourra aussi être utile, mais aussi, la gymnéma avec ou sans chrome.

  • Os et articulations : idées fausses et vraies solutions

    On ne cesse de répéter que, pour préserver son capital osseux, il faut «boire du lait».

    Rien n’est plus inexact : la santé des os procède de mécanismes bien plus complexes et résulte généralement d’un équilibre alimentaire acquis dès le plus jeune âge. Ce capital précieux peut être préservé longtemps à l’aide de quelques remèdes naturels.

    Sans magnésium, le lait ne sert à rien

    Malheureusement, on voit aujourd’hui des personnes qui ont consommé toute leur vie des produits laitiers, notamment pendant leur enfance, souffrir à l’approche de la ménopause ou de la préretraite de troubles articulaires étonnants. Mais, pour un naturopathe, cela n’a rien d’étonnant…

    Un apport en calcium n’a de sens que face à une carence de ce minéral. Chose rare de nos jours dans nos sociétés. On parle davantage de « bilan calcique », c’est-à-dire du bénéfice tiré entre les apports et les pertes.

    Et c’est là que les choses se compliquent : l’assimilation du calcium se fait en lien avec le magnésium. Or le lait contient très peu de magnésium, contrairement aux légumes verts ou à d’autres aliments végétaux.

    Le transport du calcium et sa fixation se font aussi en interaction étroite avec des mécanismes endocriniens et vitaminiques : la calcitonine sécrétée par les parathyroïdes, la vitamine D synthétisée dans la peau sous l’action de la lumière.

    Enfin, le calcium est très sensible à l’équilibre acido-basique sanguin. Le calcium intervient en effet dans cet équilibre. Il sera mis à mal dans son assimilation en présence d’aliments dits acidifiants : le sucre blanc et tous ses acolytes, de nombreux hydrates de carbone, l’alcool, le tabac. Ces derniers rendent plus difficiles la digestion des viandes et l’élimination par les urines.

    Bougez !

    Cependant, à mes yeux, le facteur essentiel que l’on oublie, c’est la nécessité de se mouvoir.

    C’est parce que les os sont soumis à des contraintes physiques de poids, de torsion et de pressions en tous sens que leur croissance est stimulée. En d’autres termes, cela veut dire qu’un enfant qui jouera, courra, qui aura des activités physiques multiples, aura une croissance osseuse harmonieuse. Au vu de la tendance ac­tuelle à la sédentarité (« il préfère le jeu en ligne ou discuter sur les réseaux sociaux, à une ballade en forêt ») comme aux excès de sucres (sodas, sauces et autres…), les maladies d’aujourd’hui sont le diabète et le surpoids. Mais les pathologies de demain pourraient bien être des maladies osseuses…

    Mangez des fruits et des légumes !

    Parmi les pistes explorées par les chercheurs sur les moyens de préserver le capital osseux, la consommation de fruits est une voie prometteuse. Les arguments à l’origine de l’hypothèse du rôle protecteur des fruits ont été extrapolés de régions d’Europe où l’on a constaté un lien entre les taux de fractures de la hanche­ et la consommation en produits végétaux. On suppose que les polyphénols sont partie prenante dans cette explication. Mais les isoflavones, les fameuses molécules similaires (mais pas exactement pareilles) aux œstrogènes n’y seraient pas étrangères non plus…

    Mieux vaut donc privilégier une alimentation riche en fruits et légumes, cela ne peut pas faire de mal !

    Contre l’arthrose et l’arthrite

    Avec le temps, apparaissent les fameuses pathologies articulaires arthrosiques et arthritiques. La terminologie médicale est riche de descriptions différentes mais, dans le principe, retenons d’abord la nécessité de modifier le terrain acide et enflammé. La griffe du diable (Harpagophytum procumbens) est une racine récoltée en Afrique du Sud aux propriétés anti-inflammatoires puissantes. Efficace sur les inflammations articulaires, son action sera rapide sur un traumatisme aigu ou chez une personne jeune, un peu plus lente chez une personne plus âgée ou sur une inflammation articulaire chronique.

    Pour drainer et reminéraliser

    Il faut aussi modifier le terrain arthritique et acide, d’où la nécessité d’employer des plantes drainantes : reine-des-prés, feuilles de cassis ou de bouleau, qui agissent sur la fonction rénale et favorisent l’élimination des acides. On les emploiera en infusions complémentaires.

    Une autre plante bien de chez nous, la prêle des champs (Equisetum arvensis), présente deux vertus associées intéressantes : le drainage, tout comme­ les précédentes, et la reminéralisation, utile pour une action de reconstruction de l’os. La prêle est riche en silice. On pourra l’ajouter à une tisane de plantes drainantes ou l’utiliser en alternance avec ce mélange. Cela permettra notamment d’éviter la fatigue rénale que peut induire un usage trop régulier de prêle des champs. La prêle s’utilise à raison d’une à deux cuillers à soupe pour un litre d’eau à boire, en journée, pendant 7 à 21 jours.

    À noter : une ébullition apportera davantage de principes à boire, mais le goût s’en trouvera plus fort.

    Pour la colonne vertébrale

    Autre remède naturel : la sève de bambou (Bambusa arundinacea), dont les effets thérapeutiques se signalent d’ailleurs sous forme imagée. Le bambou, qui construit sa tige à la façon d’un empilement de parties de bois, rappelle en effet notre colonne vertébrale. Essayez de casser un bambou et vous découvrirez son extra­or­di­naire faculté à se plier et à reprendre sa position verticale.

    Les éléments constituants de la sève de bambou ont un tropisme pour les disques intervertébraux, encore plus que les vertèbres elles-mêmes. Est-ce en raison de la richesse en silice de la sève de cette plante qui frôle les 99 % ?

    Qu’importe, du moment que sa consommation à petites doses (une à deux gélules par jour qu’on préférera absorber en début de repas) aura des effets anti-inflammatoire, reminéralisant, voire restructurant et réparateur des traumatismes des disques intervertébraux.

    Pour accélérer la réparation osseuse

    L’os se construit sur sa partie externe grâce à une fine membrane appelée périoste. C’est un tissu fibreux au sein duquel se construit continuellement l’os. C’est à cet endroit précis qu’on retrouve une forte densité en silice, comme si cet élément minéral intervenait dans la fixation du calcium.

    En cas de fracture, c’est ce périoste qui, en se développant, va assurer la soudure et la réparation du traumatisme. C’est un phénomène de cicatrisation interne particulier que l’on peut stimuler par une plante­ : la consoude (Symphytum officinalis).

    Cette dernière doit d’ailleurs son nom à son pouvoir stimulant de l’activité du périoste : la consoude, c’est la plante qui soude. Devant une fracture, bien sûr, on fera appel et confiance aux professionnels de santé pour remettre en place l’os cassé. La consoude n’interviendra qu’ensuite.

    On appliquera sa racine fraîche ou sèche, sous forme de poudre ou de broyat, tout autour de la partie traumatisée. Les applications peuvent être faites pendant plusieurs semaines au besoin, en laissant un cataplasme en place plusieurs heures par jour.

    À partir d’une crème ou d’un baume acheté en boutique, il est possible d’obtenir des résultats équivalents. C’est une thérapeutique très intéressante chez la personne âgée victime d’une fracture, chez qui on veut accélérer le processus de réparation.

    Contre l’inflammation et la douleur

    Enfin, devant un traumatisme articulaire du type entorse, on aura recours à la fameuse arnica (Arnica montana) sous forme de cata­plasmes de fleurs sèches ou de compresses imbibées d’alcoolat d’arnica. On veillera simplement à ne pas l’utiliser sur une plaie ouverte. On pourra y associer une teinture de romarin qui agira très bien sur la douleur des muscles concernés par le choc.

    On utilisera aussi avec profit des huiles­ essentielles qui agiront autant sur la douleur que sur le drainage des éléments inflammatoires locaux : l’huile essentielle de romarin (Rosmarinum officinalis), plus adaptée encore que l’alcoolat car riche en camphre naturel, ou l’huile essentielle de gaulthérie (Gaultheria fragantissima ou procubens).

    L’une comme l’autre peuvent être employées avec un support huileux pour calmer la douleur et drainer localement les acides inflammatoires. 

    La Glucosamine et chondroïtine pour la santé des cartilages

    La glucosamine est une combi­nai­son de glucose et de glutamine, un acide aminé. La glucosamine est naturellement fabriquée par notre organisme. Elle joue un rôle crucial dans la santé de nos articulations.

    Toutefois, essentiellement à cause de l’âge, la glucosamine voit sa production baisser progressivement. En conséquence, l’arthrose s’installe devant une dégénérescence des cartilages.

    La supplémentation en glucosamine calme les douleurs articulaires. Et dans un deuxième temps freine ou stoppe l’évolution de l’arthrose. On attribue à la glucosamine une action lubrifiante bien que les recherches actuelles soient encore tâtonnantes. La glucosamine que l’on trouve dans le commerce, sous forme de supplément, est extraite de carapaces de crustacés. Complémentation conseillée : 500 mg trois fois par jour pendant six semaines minimum.

    La chondroïtine est un constituant du cartilage. C’est une molécule de taille beaucoup plus grosse que la glucosamine, extraite des tissus articulaires ou de la trachée de bovins. Les effets bénéfiques de la combinaison chondroïtine + glucosamine ont été démontrés.

    Cette association est souvent proposée sous forme de compléments alimentaires.

    HarpagophytumCalcium citrate vitamine d3Glucosamine hclChondroitine sulfateHuile essentielle romarin a camphre