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acide

  • Acide Hyaluronique, quel sérum privilégier ?

    Définition

    L’acide hyaluronique est un mucopolysaccharide qui se trouve naturellement dans notre peau. Il est généré par notre corps dès la naissance afin de réguler l’hydratation de l’épiderme. Il a la capacité d’absorber et de retenir de grandes quantités d’eau ; il est comme une « éponge » capable de contenir plus de 1 000 fois son poids en eau.

    Histoire

    L’acide hyaluronique (AH) a été découvert en 1930 dans l’humeur vitrée d’un œil de bovin. L’identification de la structure chimique de ce nouveau polysaccharide riche en acide uronique lui vaut son nom actuel : hyalos = vitreux et uronique.

    Il est présent dans tous les tissus embryonnaires. Ensuite, au sein du corps humain, il est principalement formé par les fibroblastes au niveau de la peau et des chondrocytes pour le cartilage. Il est synthétisé sous l’action d’une enzyme : la hyaluronane synthetase.

    L’AH est très hydrophile. Il se lie à des molécules d’eau, de collagène et de protéoglycane pour constituer un gel dense et visqueux.

    Sensible aux UV, capteur des radicaux libres, au fil des années son poids moléculaire diminue entraînant une perte de ses fonctions hydratantes, élastiques et visqueuses.

    C’est pourquoi il concentre l’intérêt des thérapies anti-âge pour combler les rides, hydrater et tonifier la peau, soulager les douleurs articulaires.

    Propriétés

    L’acide hyaluronique apporte de la viscosité au liquide synovial permettant la lubrification des articulations. Il comble l’espace inter-cellulaire, hydratant et donnant ainsi de la cohésion au tissu.

    Il intervient dans les processus de cicatrisation, d’inflammation. Il s’oppose à l’angiogenèse d’où son intérêt dans les cancers.

    Effets

    Les effets les plus visibles de cette réduction de l’acide hyaluronique dans notre organisme sont :

    • l’apparition des premières rides d’expression,

    • l’altération de l’élasticité et de la souplesse de la peau,

    • la diminution de la turgescence

    • l’augmentation de la sécheresse et de l’aspérité.

    La quantité d’acide hyaluronique que nous synthétisons naturellement détermine l’élasticité et la fermeté de notre peau.

    À un âge précoce, nous générons des quantités élevées ; jusqu’à 40 ans, sa production se réduit de moitié ; à 60 ans, nous générons à peine 10 % de notre production d’enfance.

    L’acide hyaluronique apportée par les thérapies anti-âge offre de multiples bénéfices pour la beauté peau :

    • booste la synthèse naturelle d’acide hyaluronique dans l’épiderme,

    • hydrate et repulpe,

    • lisse les rides et ridules,

    • raffermit, redensifie,

    • est antioxydante.

    Mais attention, il existe différents types d’acides hyaluroniques et tous n’ont pas les mêmes bénéfices car ils ne pénètrent pas dans la peau de la même façon. Tout dépend de leur taille. C’est là, la principale différence entre les différents types d’acides hyaluroniques.

    Définition du Dalton

    Dans le domaine de la biochimie, on appelle l'unité de masse des atomes, le dalton (symbole Da), en l'honneur de John Dalton pour son travail sur la théorie atomique.

    Unité de mesure de masse équivalente à un seizième de la masse d'un atome d'oxygène.

    Poids moléculaire et efficacité

    Actuellement, aucune étude n’a établi de rapport entre le poids moléculaire d’un acide hyaluronique et son efficacité.

    Il semble que son action soit différente selon le poids moléculaire. Les molécules de bas poids moléculaire seraient absorbées plus vite ; les molécules de haut poids moléculaire seraient moins bien absorbées, plus tardivement ou sur une période plus longue.

    Des études prouvent néanmoins que même de forts poids moléculaires passent la barrière intestinale. Des molécules d’un poids allant jusqu’à 500 000 daltons ont ainsi montré une absorption identique à des molécules de faible poids (5000 daltons) car la molécule est absorbée par un autre moyen : la voie des chylomicrons qui opère une fragmentation de la grosse molécule en plus petites.

    Types d'acides hyaluroniques

    Nous pouvons distinguer deux types d’acide hyaluronique :

    L’acide hyaluronique de poids moléculaire élevé (1 – 1 500 000 Dalton), pénètre moins profondément dans la peau, mais a une extraordinaire capacité d’hydratation, formant un mince film, non occlusif, sur la peau, qui agit comme un humectant. Il exerce également un effet de lissage sur les rides.

    L’acide hyaluronique, de poids moléculaire faible (20 000 – 50 000 Dalton), pénètre plus profondément dans la peau et, par conséquent, est en mesure de combler les rides de l’intérieur, en retenant l’eau dans la matrice intercellulaire du tissu connectif. Il est en mesure de réduire les rides profondes, de ralentir le processus de vieillissement de la peau, de régénérer et d’apporter une grande élasticité à la peau.

    Méthodes de fabrication

    Il en existe deux différentes :

    • la première est d’origine animale puisque l’acide hyaluronique est issu de la crête des coqs, après broyage, traitement chimique et purification. Cependant, ce procédé est aujourd’hui presque abandonné.

    • la deuxième est le procédé biofermentaire ou « végétal » , cultivé sur un substrat qui permet de sécréter des filaments d’Acide Hyaluronique. Ce procédé plus récent génère de l’acide hyaluronique purifié à faible teneur en résidus protéiques. L’acide hyaluronique issu de cette méthode est souvent dit « d’origine végétale ».

    Bien entendu, nous privilégions cette dernière méthode.

    Acide hyaluronique d'origine naturelle

    D’où vient l’acide hyaluronique d’origine naturelle ?

    Le sérum acide hyaluronique d’origine naturelle a été choisi par la CYBERBOUTIQUE VOGOT pour sa capacité à hydrater et à repulper la peau. En effet, il est capable de retenir jusqu’à 1000 fois son poids en eau tout en étant parfaitement toléré, même par les peaux sensibles. Dans un soin, le sérum acide hyaluronique d’origine naturelle est donc un atout pour celles et ceux qui souhaitent afficher une peau bien hydratée et pulpeuse.

    Serum acide hyaluronique 1
    Autre atout : l’acide hyaluronique d’origine naturelle forme un réseau à la surface de la peau, pour la protéger des agressions extérieures.

    Le sérum acide hyaluronique vendu en CYBERBOUTIQUE VOGOT se situe entre 800 000 et 1 500 000 Daltons. Il ne provient pas d’origine animale. Il est obtenu à partir de la fermentation de peptone de blé, de graines de maïs, d'extrait de levure en poudre et du glucose.

    Contre-indications et effets secondaires

    Pour les personnes présentant une hypersensibilité à l’acide hyaluronique, son utilisation est déconseillée, sauf pour l'acide hyaluronique d'origine naturelle.

    Aucun effet secondaire renseigné.

    Précautions d’emploi

    L’acide hyaluronique ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes et aux enfants de moins de 12 ans.

    Interactions médicamenteuses

    Aucune interaction médicamenteuse renseignée.

  • Aliments acides, acidifiants et alcalinisants

    Souvent, lors de consultations, des questions récurrentes me sont posées. Les patients s'interrogent, après avoir compris l'importance des mauvaises associations alimentaires, qui produisent le lit de leurs maladies. Ils me disent souvent : " Mais pourquoi mon médecin ne me parle jamais de cela ? ".

    A cette question, je leur réponds : " Chacun son métier, le mien est de tout faire pour prévenir les maladies, avant qu'elles ne s'installent. ". Comme le disait Hippocrate en son temps : " Primum non nocere" ce qui signifie : " En premier, ne pas nuire " ou " D'abord, ne pas faire de mal ". C'est le premier principe de prudence que j'ai appris en formation de naturopathie. Le chimique n'est pas la panacée, et des voies alternatives existent, heureusement. N'oubliez jamais que vous avez TOUJOURS le choix !

    Pour commencer, voici quelques règles essentielles à retenir :

    Faire la part belle :

    • aux légumes (qui doivent représenter, minimum 50% de votre assiette ou encore mieux 70%) ;

    • aux fruits de saison que vous prendrez soin de consommer hors repas (30 minutes avant ou 2 heures après) si vous êtes d'un naturel frileux. En effet, leur temps de digestion étant différent des autres aliments, ils peuvent fermenter et créer beaucoup d’acidité chez certaines personnes à la digestion plus difficile ;

    • Les protéines sont à consommer au repas du midi avec des légumes verts et colorés (sauf exceptions);

    • Les amidons, féculents sont à consommer au repas du soir avec des légumes verts et colorés (sauf exceptions).

    Liste des aliments acides ou producteurs d’acides

    Cette liste est indicative et regroupe les principaux aliments acides et acidifiants :

    Les produits laitiers : 

    • Lait UHT, crème fraîche, fromages à pâte dure, fromages fermentés, yaourt, beurre.

    Tolérance : laitages au lait cru, fromage frais (de chèvre ou de brebis).

    Les protéines animales en général :

    • Les viandes rouges (bœuf, mouton, cheval, porc), la charcuterie, les abats (foie, rognon, cervelle), les extraits de viande de type " maggi ".

    Préférez tout en les limitant : les viandes blanches (poulet, dinde, lapin, veau, agneau).

    • Les poissons gras (saumon, hareng, thon, carpe), les fruits de mer. 

    Penchez plutôt pour : les poissons maigres (cabillaud, bar, merlan, sole, truite), les huîtres.

    Les œufs : préférez-les de qualité biologique et peu cuits (œufs à la coque ou mollets).

    Les sucres (glucides) :

    • Tous les sucres raffinés (pâtisseries, gâteaux, sucreries, bonbons), le sucre blanc et roux, les édulcorants (de type aspartame), le chocolat, les confitures riches en sucre. 

    Favorisez (en boutique bio) le sucre intégral/complet cru (de type rapadura ou sucre de coco), le miel, le cacao cru, les confitures 100% fruits.

    • Les céréales raffinées (semoule, pain blanc, pâtes blanches, riz blanc…), les céréales du petit-déjeuner (de type flocons de céréales), les céréales complètes et semi-complètes (riz, pâtes et pain complet…). 

    Préférez le sarrasin ou les légumes-féculents de type patate douce.

    • Le pain blanc à la levure de boulangerie (de type baguette).

    Favorisez le pain ½ complet au levain en boutique bio.

    Les légumineuses : 

    • Les pois chiches, les haricots rouges. 

    Adoptez une alimentation à base de lentilles, flageolets, haricots blancs, tofu, pois verts, haricots verts. Afin d’abaisser l’acidité des légumineuses, faites les tremper et/ou germer.

    Les corps gras et oléagineux :

    • Toutes les graisses animales (peaux des animaux, saindoux, suif…).

    • Les huiles végétales hydrogénées, raffinées, transformées, durcies (margarine).

    Choisissez des huiles végétales de qualité extra-vierges ou vierges, de 1ère pression à froid et biologiques.

    Les sauces et produits industriels :

    • Mayonnaise, biscuits, pâtisseries, viennoiseries.

    Certains oléagineux plus acidifiants que d’autres :

    • Les noix sèches, pistaches, noisettes, cacahuètes, noix de pécan, pépins de courge, graines de tournesol et les olives vertes…

    Ayez une préférence pour : les pignons de pin, sésame, noix de (coco, cajou), les amandes sans la peau, noix du Brésil et olives noires à l’huile ou nature.

    Les fruits :

    Les fruits pas mûrs (moins ils sont mûrs et plus ils sont acides). Souvent importés, ils "finissent de mûrir" dans les frigos et sur les étals.

    Les agrumes en général pour les personnes frileuses (pamplemousse, orange, citron…), encore plus quand mangés le matin et hors saison.

    Tous les fruits au goût acide (et leur jus) : ananas, fruit de la passion, kiwis, baies (groseilles, framboises, cassis…), certaines variétés de pommes (granny smith…), de cerises (griottes), d’abricots (même séchés), de prunes…

    Les jus de fruits du commerce, le jus de citron (sauf si quelques gouttes dans une tasse d’eau chaude). Les " Nectars " sont des concentrés acides de fruits auxquels de l'eau et du sucre plus ou moins raffiné ont été ajoutés, sans parler des conservateurs et autres additifs. A bannir !

    Préférez les jus de fruits 100% fruits.

    • Certains fruits séchés : les abricots acides. 

    Tolérance : pruneaux, figues. Pour baisser leur acidité faites les tremper 4 heures ou toute une nuit et jetez l’eau de trempage.

    Les légumes : 

    • La tomate souvent cueillie peu mûre (cuite et hors saison), l’oseille, les épinards cuits, la rhubarbe, la choucroute… Pour rappel, la tomate est un fruit.

    Les condiments : 

    • Les vinaigres de vin (surtout balsamique), les légumes conservés au vinaigre, le ketchup, la moutarde, les pickles, les câpres…

    Pour la vinaigrette, préférez le jus de citron, moins acidifiant que le vinaigre ou du vinaigre de cidre (issu de pommes).

    Les boissons : 

    • Tous les sodas, café, eau du robinet, thé noir, les alcools (alcools forts, vin blanc, champagne…).

    Préférez le thé vert. Une tasse de thé contient naturellement plusieurs centaines de substances actives. Les polyphénols sont présents dans les catéchines du thé (ce qu'on appelle communément les tannins). Ils donnent au thé sa couleur, son astringence, sa texture ainsi que sa puissance aromatique. Les alcaloïdes sont le second groupe de substances vecteur de propriétés significatives pour le thé. Le principal est la caféine (aussi nommée "théine" dans le cas du thé).

    Les plats préparés, les boites de conserves :

    • Pour certaines personnes qui ne digèrent pas les légumes soufrés : artichaut, asperge, bette, choux, cresson, poireaux, navets, oignons, ail… 

    • Pizzas, plats mijotés industriels, hamburgers, kebabs, sandwiches.

    Autres facteurs acidifiants : 

    Les mauvaises associations alimentaires, le tabac, les médicaments (aspirine, pilule, les anti-inflammatoires, vitamines synthétiques), la déshydratation, le surmenage physique et psychique, le travail nocturne, le manque de sommeil, les contractures chroniques de stress, la sédentarité (insuffisance respiratoire, manque de transpiration…), le froid, l’insuffisance hépatique (drogues, alcool, tabac, médicaments, hépatites…), l’insuffisance rénale (manque d’eau pure, médicaments, stress…).

    Solutions et clés de santé anti-acidité

    Un bon moyen de désacidifier votre organisme est de faire une cure détox afin de neutraliser l’excès d’acidité de votre corps et de réguler " l’acidose ". Elle consiste entre autre à stopper tous les aliments acides et acidifiants et apporter une grande quantité d’aliments alcalins. Il sera ensuite beaucoup plus facile de modifier votre alimentation sur le long terme.

    Quelques conseils généraux pour les terrains acidifiés :

    • Buvez par jour au minimum 1,5 L d’une eau peu minéralisée (de type Rosée de la Reine, Montcalm, Mont Roucous).

    • Pratiquez un exercice physique modéré telle que la marche au minimum 30 minutes par jour, s’oxygéner (dans la nature) ou/et pratiquer les techniques respiratoires en utilisant des huiles essentielles.

    • Favorisez les aliments alcalinisants, les monodiètes (il s’agit de manger un seul type d’aliment au repas) de patate douce, banane, châtaigne, courge, légumes verts.

    • Evitez au maximum les aliments acides ou producteurs d’acides encore plus le matin et l’hiver.

    • Mangez seul en dehors des repas : les fruits, le melon, la pastèque, le miel, Evitez les salades de fruits !

    Liste des aliments alcalins, alcalinisants ou basifiants

    • Tous les jus de légumes crus (surtout à l’extracteur).

    • Les graines germées (voir ici comment faire germer les graines).

    • Les algues d’eau douce et marines fraîches, réhydratées, séchées (de type salade du pêcheur en boutique bio), en caviar, en poudre ou en comprimé (spiruline, klamath, chlorella).

    Les féculents ou sucres :

    • Les patates douces, pommes de terre (en-dehors des frites), châtaignes, courges (potiron, potimarron…), pâtisson, topinambour, manioc, igname…

    • Le sarrasin appelé aussi blé noir, bien que ce ne soit pas du blé.

    Les légumes :

    • Les légumes colorés et/ou racines : les céleris, fenouils, betteraves, carottes, panais, courges, patates douces, choux rouges, etc.

    Exception : la tomate (surtout cuite, hors saison et mélangée aux céréales de type riz, blé, etc.). N'oubliez pas que c'est un fruit, tout comme l'olive.

    • Les légumes verts crus ou cuits (mais pas trop): les concombres, courgettes, toutes les sortes de salades (mâche…), haricots et choux (brocoli…), etc.

    Exception : les épinards cuits, l’oseille, la rhubarbe, qui sont acidifiants.

    • Les fruits doux et cueillis à maturité : les bananes (la plus alcalinisante), pommes douces, raisins doux, mangues, papayes, pastèque, melon. 

    Évitez les fruits acides de type agrumes, ananas…

    • Les fruits séchés : les bananes, raisins, dattes, figues et abricot doux. La plupart des fruits séchés sont alcalinisants s’ils sont réhydratés  au moins 4 heures, l’idéal étant de les faire tremper, la veille, dans un verre d’eau.

    • Les aromates : toutes les herbes vertes fraîches telles que coriandre, basilic, ciboulette, persil, thym, romarin, etc.

    • Les boissons : les infusions de plantes, les boissons végétales (amande, noisette, riz, soja…), les jus de légumes et de fruits doux (surtout à l’extracteur de jus).

    Les corps gras et oléagineux :

    • Les amandes sans la peau et noix de Brésil (encore mieux : trempées 12h). Pour les autres fruits secs (noisettes…), réhydratez-les avant de les consommer.

    • Les olives noires nature ou à l’huile d’olive.

    • L’avocat.

    • Les huiles extra-vierges ou vierges, de première pression à froid et biologiques.

    Maintenant, vous ne pouvez plus dire que vous ne savez pas !