Konjac
L’aliment minceur dont tout le monde parle
La richesse en fibres de cette plante facilite le transit intestinal souvent perturbé pendant les restrictions alimentaires.
Ce tubercule venu du Japon est super light, très facile à cuisiner, bourré de qualités nutritionnelles et délicieux. Cinq excellentes raisons d’en faire tout un plat !
C’est bon comme des pâtes mais encore plus light qu’une feuille de laitue sans sauce !
Autant dire que pour toutes les filles qui surveillent leur ligne et traquent les calories inutiles, le konjac a tout pour plaire avec sa densité calorique très faible (moins de 10 Kcal/100 grammes).
Même s’il ressemble aux nouilles chinoises, ce n’est pas un sucre lent mais un tubercule qui pousse dans la terre. Et comme les légumes, il est riche en fibres solubles.
Pas le moindre défaut, que des qualités nutritionnelles
Tous les thérapeutes qui s’intéressent au konjac ne tarissent pas d’éloges sur ce légume ultra-populaire au Japon mais encore très confidentiel chez nous. D’abord, il cale très rapidement ce qui permet un déclenchement rapide de la satiété (un élément capital quand on est en recherche de perte de poids).
Autre point fort, ses fibres ralentissent la digestion et l’assimilation du sucre. Et enfin, il aurait une action de réduction du cholestérol et des triglycérides.
C’est l’aliment zéro prise de tête
Depuis quelques mois, on trouve facilement du konjac dans les rayons des supermarchés, en ligne sur internet, dans les épiceries exotiques et les magasins bio. Il existe sous plusieurs formes.
Version pâtes, il se décline en shiratakis (qui ressemblent à des spaghettis) et en kishimens (proche des tagliatelles). Et on nous annonce l’arrivée prochaine de fusillis, pennes, farfalles… Par ailleurs, le gohan, qui se présente sous forme de grains, ressemble beaucoup au riz.
Conditionnés dans des sachets ou barquettes remplis d’eau, il suffit de les rincer et de les faire cuire une minute à l’eau frémissante. Plus simple et plus rapide, c’est difficile !
Il se présente aussi sous forme de gélules. Pour plus d'efficacité et pour conserver ce gel dans l'estomac, il conviendra de prendre une demi-heure avant l'absorption des gélules, une pomme ou une biscotte, afin de fermer le pylore à la base de l'estomac.
Il se prête à toutes les fantaisies culinaires
Malgré ses origines asiatiques, inutile de chercher un petit parfum d’exotisme au konjac car c’est certainement l’aliment le plus naturellement insipide.
Passé le premier effet de surprise (voire de recul car son aspect translucide et légèrement gélatineux peut rebuter), cette neutralité gustative devient vite un atout de taille. Car le konjac prend le goût de tous les aliments, épices, condiment… auxquels on l’associe. Et par la magie d’une bonne petite sauce, il devient délicieux.
Il n’y a aucune limite aux associations possible : crème légère, coriandre, curry, avec une ratatouille ou une poêlée de champignons, de courgettes ou de poivrons.
On en mange comme on veut quand on veut
Se dire que l’on peut déguster un copieux plat de pâtes au déjeuner et/ou au dîner, deux jours d’affilés ou quatre fois par semaine, bref aussi souvent qu’on en a envie sans faire exploser son quota calorique, c’est assez réjouissant.
Evidemment, il ne s'agit pas de devenir monomaniaque du konjac ! Pour avoir son quota de nutriments essentiels à l'organisme, il faut l’associer à des protéines et bien sûr des légumes.
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