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Le réveil des sens

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  • Os et articulations : idées fausses et vraies solutions

    On ne cesse de répéter que, pour préserver son capital osseux, il faut «boire du lait».

    Rien n’est plus inexact : la santé des os procède de mécanismes bien plus complexes et résulte généralement d’un équilibre alimentaire acquis dès le plus jeune âge. Ce capital précieux peut être préservé longtemps à l’aide de quelques remèdes naturels.

    Sans magnésium, le lait ne sert à rien

    Malheureusement, on voit aujourd’hui des personnes qui ont consommé toute leur vie des produits laitiers, notamment pendant leur enfance, souffrir à l’approche de la ménopause ou de la préretraite de troubles articulaires étonnants. Mais, pour un naturopathe, cela n’a rien d’étonnant…

    Un apport en calcium n’a de sens que face à une carence de ce minéral. Chose rare de nos jours dans nos sociétés. On parle davantage de « bilan calcique », c’est-à-dire du bénéfice tiré entre les apports et les pertes.

    Et c’est là que les choses se compliquent : l’assimilation du calcium se fait en lien avec le magnésium. Or le lait contient très peu de magnésium, contrairement aux légumes verts ou à d’autres aliments végétaux.

    Le transport du calcium et sa fixation se font aussi en interaction étroite avec des mécanismes endocriniens et vitaminiques : la calcitonine sécrétée par les parathyroïdes, la vitamine D synthétisée dans la peau sous l’action de la lumière.

    Enfin, le calcium est très sensible à l’équilibre acido-basique sanguin. Le calcium intervient en effet dans cet équilibre. Il sera mis à mal dans son assimilation en présence d’aliments dits acidifiants : le sucre blanc et tous ses acolytes, de nombreux hydrates de carbone, l’alcool, le tabac. Ces derniers rendent plus difficiles la digestion des viandes et l’élimination par les urines.

    Bougez !

    Cependant, à mes yeux, le facteur essentiel que l’on oublie, c’est la nécessité de se mouvoir.

    C’est parce que les os sont soumis à des contraintes physiques de poids, de torsion et de pressions en tous sens que leur croissance est stimulée. En d’autres termes, cela veut dire qu’un enfant qui jouera, courra, qui aura des activités physiques multiples, aura une croissance osseuse harmonieuse. Au vu de la tendance ac­tuelle à la sédentarité (« il préfère le jeu en ligne ou discuter sur les réseaux sociaux, à une ballade en forêt ») comme aux excès de sucres (sodas, sauces et autres…), les maladies d’aujourd’hui sont le diabète et le surpoids. Mais les pathologies de demain pourraient bien être des maladies osseuses…

    Mangez des fruits et des légumes !

    Parmi les pistes explorées par les chercheurs sur les moyens de préserver le capital osseux, la consommation de fruits est une voie prometteuse. Les arguments à l’origine de l’hypothèse du rôle protecteur des fruits ont été extrapolés de régions d’Europe où l’on a constaté un lien entre les taux de fractures de la hanche­ et la consommation en produits végétaux. On suppose que les polyphénols sont partie prenante dans cette explication. Mais les isoflavones, les fameuses molécules similaires (mais pas exactement pareilles) aux œstrogènes n’y seraient pas étrangères non plus…

    Mieux vaut donc privilégier une alimentation riche en fruits et légumes, cela ne peut pas faire de mal !

    Contre l’arthrose et l’arthrite

    Avec le temps, apparaissent les fameuses pathologies articulaires arthrosiques et arthritiques. La terminologie médicale est riche de descriptions différentes mais, dans le principe, retenons d’abord la nécessité de modifier le terrain acide et enflammé. La griffe du diable (Harpagophytum procumbens) est une racine récoltée en Afrique du Sud aux propriétés anti-inflammatoires puissantes. Efficace sur les inflammations articulaires, son action sera rapide sur un traumatisme aigu ou chez une personne jeune, un peu plus lente chez une personne plus âgée ou sur une inflammation articulaire chronique.

    Pour drainer et reminéraliser

    Il faut aussi modifier le terrain arthritique et acide, d’où la nécessité d’employer des plantes drainantes : reine-des-prés, feuilles de cassis ou de bouleau, qui agissent sur la fonction rénale et favorisent l’élimination des acides. On les emploiera en infusions complémentaires.

    Une autre plante bien de chez nous, la prêle des champs (Equisetum arvensis), présente deux vertus associées intéressantes : le drainage, tout comme­ les précédentes, et la reminéralisation, utile pour une action de reconstruction de l’os. La prêle est riche en silice. On pourra l’ajouter à une tisane de plantes drainantes ou l’utiliser en alternance avec ce mélange. Cela permettra notamment d’éviter la fatigue rénale que peut induire un usage trop régulier de prêle des champs. La prêle s’utilise à raison d’une à deux cuillers à soupe pour un litre d’eau à boire, en journée, pendant 7 à 21 jours.

    À noter : une ébullition apportera davantage de principes à boire, mais le goût s’en trouvera plus fort.

    Pour la colonne vertébrale

    Autre remède naturel : la sève de bambou (Bambusa arundinacea), dont les effets thérapeutiques se signalent d’ailleurs sous forme imagée. Le bambou, qui construit sa tige à la façon d’un empilement de parties de bois, rappelle en effet notre colonne vertébrale. Essayez de casser un bambou et vous découvrirez son extra­or­di­naire faculté à se plier et à reprendre sa position verticale.

    Les éléments constituants de la sève de bambou ont un tropisme pour les disques intervertébraux, encore plus que les vertèbres elles-mêmes. Est-ce en raison de la richesse en silice de la sève de cette plante qui frôle les 99 % ?

    Qu’importe, du moment que sa consommation à petites doses (une à deux gélules par jour qu’on préférera absorber en début de repas) aura des effets anti-inflammatoire, reminéralisant, voire restructurant et réparateur des traumatismes des disques intervertébraux.

    Pour accélérer la réparation osseuse

    L’os se construit sur sa partie externe grâce à une fine membrane appelée périoste. C’est un tissu fibreux au sein duquel se construit continuellement l’os. C’est à cet endroit précis qu’on retrouve une forte densité en silice, comme si cet élément minéral intervenait dans la fixation du calcium.

    En cas de fracture, c’est ce périoste qui, en se développant, va assurer la soudure et la réparation du traumatisme. C’est un phénomène de cicatrisation interne particulier que l’on peut stimuler par une plante­ : la consoude (Symphytum officinalis).

    Cette dernière doit d’ailleurs son nom à son pouvoir stimulant de l’activité du périoste : la consoude, c’est la plante qui soude. Devant une fracture, bien sûr, on fera appel et confiance aux professionnels de santé pour remettre en place l’os cassé. La consoude n’interviendra qu’ensuite.

    On appliquera sa racine fraîche ou sèche, sous forme de poudre ou de broyat, tout autour de la partie traumatisée. Les applications peuvent être faites pendant plusieurs semaines au besoin, en laissant un cataplasme en place plusieurs heures par jour.

    À partir d’une crème ou d’un baume acheté en boutique, il est possible d’obtenir des résultats équivalents. C’est une thérapeutique très intéressante chez la personne âgée victime d’une fracture, chez qui on veut accélérer le processus de réparation.

    Contre l’inflammation et la douleur

    Enfin, devant un traumatisme articulaire du type entorse, on aura recours à la fameuse arnica (Arnica montana) sous forme de cata­plasmes de fleurs sèches ou de compresses imbibées d’alcoolat d’arnica. On veillera simplement à ne pas l’utiliser sur une plaie ouverte. On pourra y associer une teinture de romarin qui agira très bien sur la douleur des muscles concernés par le choc.

    On utilisera aussi avec profit des huiles­ essentielles qui agiront autant sur la douleur que sur le drainage des éléments inflammatoires locaux : l’huile essentielle de romarin (Rosmarinum officinalis), plus adaptée encore que l’alcoolat car riche en camphre naturel, ou l’huile essentielle de gaulthérie (Gaultheria fragantissima ou procubens).

    L’une comme l’autre peuvent être employées avec un support huileux pour calmer la douleur et drainer localement les acides inflammatoires. 

    La Glucosamine et chondroïtine pour la santé des cartilages

    La glucosamine est une combi­nai­son de glucose et de glutamine, un acide aminé. La glucosamine est naturellement fabriquée par notre organisme. Elle joue un rôle crucial dans la santé de nos articulations.

    Toutefois, essentiellement à cause de l’âge, la glucosamine voit sa production baisser progressivement. En conséquence, l’arthrose s’installe devant une dégénérescence des cartilages.

    La supplémentation en glucosamine calme les douleurs articulaires. Et dans un deuxième temps freine ou stoppe l’évolution de l’arthrose. On attribue à la glucosamine une action lubrifiante bien que les recherches actuelles soient encore tâtonnantes. La glucosamine que l’on trouve dans le commerce, sous forme de supplément, est extraite de carapaces de crustacés. Complémentation conseillée : 500 mg trois fois par jour pendant six semaines minimum.

    La chondroïtine est un constituant du cartilage. C’est une molécule de taille beaucoup plus grosse que la glucosamine, extraite des tissus articulaires ou de la trachée de bovins. Les effets bénéfiques de la combinaison chondroïtine + glucosamine ont été démontrés.

    Cette association est souvent proposée sous forme de compléments alimentaires.

    HarpagophytumCalcium citrate vitamine d3Glucosamine hclChondroitine sulfateHuile essentielle romarin a camphre

  • Insuffisance en vitamine D3: agissez avant l'hiver !

    Qu'est-ce que la vitamine D

    La vitamine D, ou calciférol (vient du latin et signifie d’ailleurs « qui porte le calcium), compte parmi les vitamines liposolubles (solubles dans les graisses).

    À la fois vitamine et prohormone, la vitamine D est vitale pour la santé des os et des dents. En effet, elle joue un rôle essentiel dans le métabolisme du calcium dans l’organisme. Elle régularise le taux de calcium sanguin en améliorant l’absorption intestinale de ce minéral, tout en minimisant son élimination par l’urine. Elle participe aussi à la déposition et au retrait de calcium des os, selon les besoins de l’organisme.

    Sources de vitamines D

    La vitamine D se trouve dans les aliments mais que l'organisme peut également fabriquer après une exposition aux rayons ultraviolets du soleil. Le rayonnement du soleil déclenche en effet la synthèse de la vitamine D dans une région profonde de la peau, à partir du déhydrocholestérol, le précurseur immédiat du cholestérol. La vitamine D existe sous une dizaine de variantes que l'on distingue par un indice numérique. Les vitamines D2 (ergocalciférol) et D3 (cholécalciférol) sont les plus actives dans l'organisme. Il existe aussi de nombreux dérivés ; trois d'entre eux, des stéroïdes, jouent un rôle particulièrement important : le 25(OH)D ou calcidiol, le 1,25(OH)2D ou calcitriol et le 24,25(OH)2D.

    Les personnes qui vivent dans des régions peu ensoleillées ou qui sortent peu (personnes âgées) doivent tout particulièrement veiller à leurs apports d’origine alimentaire et se supplémenter en vitamine D3 d'origine végétale.

    vitamine D

    La vitamine D se trouve principalement dans les poissons et produits laitiers, surtout s'ils en sont enrichis. En revanche et contrairement à certaines croyance, il n'existe pas spécialement de légumes ou de fruits riches en vitamine D.

    En cas de régime végétarien ou végétalien, une supplémentation en vitamine D3 végétale peut être judicieuse. 

    Son rôle

    Je vous rappelle que si le manque de vitamine D, ne s'accompagne généralement pas de signes cliniques, il peut cependant constituer un facteur de risque d'anomalies osseuses, d'ostéoporose et de certaines maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires et dysimmunitaires. Je vous indique, également, qu'elle aide à maintenir la force physique des personnes âgées et les protéger contre les chutes.

    La consommation de doses appropriées de vitamine D a des effets bénéfiques beaucoup plus importants que vous pourriez le penser.

    En France, plus des trois quart de la population présente une insuffisance en vitamine D et 5% ont un déficit sévère.

    La vitamine D d'origine alimentaire est absorbée avec des graisses dans l'intestin grêle ; elle rejoint ensuite la circulation générale.

    La vitamine D formée par exposition de l'épiderme aux rayons du soleil passe directement dans le sang. Dans le foie, la vitamine D2 et la vitamine D3 sont converties en 25-hydroxy-vitamine D, la principale forme circulante de la vitamine D. La conversion dans sa forme active, la 1,25-dihydroxy-vitamine D, se produit dans les reins.

    Elle est connue depuis longtemps pour son effet protecteur du tissu osseux à tout âge : chez l’enfant, elle est indispensable à la croissance osseuse (dite anti-rachitisme) et chez le sénior, elle contribue à la prévention de l’ostéoporose. Elle agit notamment en augmentant l’assimilation intestinale du calcium et sa fixation sur le squelette, accroissant ou au moins préservant la densité minérale osseuse.

    Vous pouvez la retrouver sous sa meilleure synergie avec la formule calcium citrate + vitamine D3. Pour être efficace, l’apport en vitamine D3 et en calcium doit être continu.

    Elle est aussi essentielle au bon fonctionnement musculaire, favorisant la contraction ainsi que le renouvellement des fibres musculaires.

    Elle est protectrice des neurones, participant à la prévention du déclin des facultés intellectuelles avec l’avancée en âge.

    En améliorant la sensibilité à l’insuline (et ainsi en diminuant les phénomènes inflammatoires et le risque d’hypertension artérielle), elle contribue à la prévention des maladies cardiovasculaires.

    Modulant le fonctionnement du système immunitaire, son rôle est envisagé (mais non démontré) dans la protection contre certains cancers et certaines maladies auto-immunes (des maladies au cours desquelles l’organisme produit des anticorps contre ses propres tissus), telles que le diabète de type 1 ou la polyarthrite rhumatoïde.

    Dans les suppléments nutritionnels, on trouve la vitamine D sous les deux formes D2 et D3. La vitamine D2 semble n'avoir que 20 à 40 % de l'efficacité de la vitamine D3 à maintenir les concentrations sériques de 25-hydroxy-vitamine D parce qu'elle est plus rapidement dégradée dans l'organisme.

    Une carence en vitamine D chez 80 % des adultes en France.

    Une étude a été menée sur 1 587 adultes ne prenant pas de traitement médicamenteux à base de vitamine D.

    La concentration moyenne en 25(OH)D était de 23,0 ng/ml. Un prélèvement sanguin a permis de doser la 25-hydroxyvitamine D sérique (25(OH)D), forme circulante de la vitamine D.

    L'insuffisance en vitamine D correspondait à une concentration moyenne en 25(OH)D <30 ng/ml, le déficit "modéré à sévère" à une concentration moyenne en 25(OH)D <20 ng/ml et le déficit "sévère" à une concentration <10 ng/ml.

    En tout:

    • 80,1% des adultes ont présenté une insuffisance en vitamine D,

    • 42,5% un déficit modéré à sévère,

    • 4,8% un déficit sévère.

    Le risque d'insuffisance en vitamine D est particulièrement fréquent en fin d'hiver et au début du printemps.

    Sûreté de la vitamine D

    La vitamine D est généralement bien tolérée chez les adultes, à des doses quotidiennes pouvant aller jusqu'à 2 000 UI. Elle peut même être utilisée sans risque et sans effet secondaire jusqu'à 10 000 UI quotidiennes, alors que les autorités sanitaires ont fixé la dose de sécurité à 1 000 UI/j.

    C'est le constat établit par une équipe de chercheurs après avoir examiné 21 études et essais cliniques bien conçus réalisés sur l'homme avec des doses bien supérieures à celles recommandées par les autorités sanitaires.

    En France, l'Agence française de sécurité sanitaire (Afssa) estime qu'il suffit de 200 UI de vitamine D à un adulte pour rester en bonne santé (400 à 600 UI pour les personnes âgées) alors que les scientifiques sont convaincus que les besoins sont proches de 1 000 UI par jour.

    Vitamine D3 végétale

    La vitamine D3 végétale est une nouvelle alternative issue du lichen qui apporte une forme assimilable et stable de vitamine D.

    Propriétés

    La vitamine D3 végétale contribue:

    • à l’absorption et à l’utilisation normale du calcium et du phosphore.

    • à une calcémie normale.

    • au maintien d’une ossature normale.

    • au maintien d’une fonction musculaire normale.

    • au maintien d’une dentition normale.

    • au fonctionnement normal du système immunitaire.