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Le réveil des sens

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Relaxation coréenne

La relaxation coréenne est une technique de détente du corps qui se pratique au sol.

Une personne est allongée sur le dos, dans une tenue confortable, pendant que le praticien intervient sur elle en partant des pieds et en montant progressivement vers la tête.

Par des mobilisations passives des articulations, par des étirements musculaires progressifs, par des secousses destinées à induire une vibration douce dans le corps, le praticien dénoue les tensions qui se sont installées autour des articulations. En commençant  par le pied de la jambe la plus détendue (orteils, métatarse, tarse, cheville), puis en montant (genou, hanche). Même séquence sur l’autre jambe. Intégration des deux jambes. Travail sur la ceinture pelvienne, les lombaires, les dorsales basses. Intervention sur une main (doigts, métacarpe, carpe, poignet) en montant, coude, épaule. Même séquence sur l’autre bras. Intégration des deux bras.

A partir d’un positionnement à la tête, travail sur la cage thoracique et le système respiratoire, les dorsales hautes, la ceinture scapulaire, les cervicales. La séquence se termine par un massage du visage et une incitation à relâcher les muscles de la mâchoire. Mais derrière la technique, c’est l’intention du praticien qui porte les effets relaxants.

L’objectif de la relaxation coréenne est de permettre le lâcher-prise. C’est en prenant conscience qu’il peut lâcher, qu’il peut faire confiance à l’Autre (représenté pendant la séquence par le praticien) et en expérimentant ce lâcher-prise dans son corps, que le patient décuplera sa détente.

La volonté de tout contrôler, souvent une forme atténuée de la névrose d’angoisse, se lit dans le corps. Cette attitude mentale s’accompagne notamment de crispations au niveau des articulations, engendrées par un tonus musculaire excessif. Elle se révèle par l’impossibilité de se laisser manipuler passivement, sans reprendre l’initiative du mouvement, soit pour s’opposer (enfant rebelle ou parent normatif incapable de souplesse), soit pour aider le praticien en anticipant ses gestes (enfant adapté ou parent nourricier fermé à l’accueil de son propre plaisir).

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