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Hyperactivité, troubles de l'attention

Définition

Quand on parle de TDAH, on fait référence au trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité, qui se développe chez l'enfant en moyenne entre l'âge de quatre et six ans, et perdure jusqu'à l'adolescence et l'âge adulte d'environ 60 % des cas. Bien que l'usage de l'acronyme  TDAH ne date que des années 90, il ne s'agit en aucun cas d'un trouble du comportement récemment apparu. L'observation clinique avait permis d'en dresser les contours dès le XIXe siècle. Au fil du temps, les dénominations ont varié : instabilité neuromotrice, syndrome d'instabilité de l'enfant, syndrome hyperkinétique…

Caractéristiques

Les trois caractéristiques spécifiques du TDAH sont l'hyperactivité - symptôme le plus visible est le plus perturbateur -, l'inattention et une impulsivité marquée, conséquence du déficit attentionnel. Pour résumer les choses en trois formules :

  • « je bouge trop et je ne peux pas m'en empêcher »,?
  • « je suis facilement distrait »,
  • « j'agis avant de réfléchir ».

Anamnèse

Une anamnèse de TDAH est complexe à poser. N'est-il pas naturel que les jeunes enfants soient pleins de vitalité ?

Parfois, certains se montrent beaucoup plus turbulents que d'autres, mais à partir de quand considère-t-on qu'il y a basculement dans le trouble comportemental ?

Comme il n'existe pas d'anamnèse unique, l'exercice est difficile, d'autant plus que des comportements proches de ceux observés dans le TDAH peuvent résulter d'autres troubles psychologiques ou neurologiques. En tout cas, l'explosion des ventes du médicament de référence employé dans le TDAH - un psychostimulant agissant à la manière de la cocaïne ! - Traduit une tendance à surmédicaliser cette pathologie.

Facteurs favorisants et/ou aggravants

Les facteurs susceptibles de favoriser la survenue ou d'accentuer les symptômes du TDAH sont nombreux et peuvent bien entendu s'additionner : tabagisme maternel avant et pendant la grossesse, faibles niveaux d'acide folique durant la grossesse, hyper compression crânienne lors de l'accouchement, difficultés dans la relation parent-enfant, infection du système nerveux central, hypersensibilités alimentaires (gluten, caséine, salicylates…), présence d'additifs dans l'alimentation - en particulier certains colorants (E102, E104, E110, E122, E124, E129) et les conservateurs (E211) - déficits nutritionnels en magnésium, fer, zinc et oméga 3, exposition à des polluants comme les métaux lourds, les phtalates, les composés perfluorés (PFC) et les pesticides organophosphorés.

Reconnaissons aussi que l'hyperstimulation sensorielle et cognitive que le mode de vie actuel nous impose n'est certainement pas faite pour arranger les choses. Enfin, ajoutons qu'un nouveau facteur de risque a fait son apparition, à savoir l'exposition du foetus aux ondes des portables. Une étude récente conduite sur modèle animal ne manque pas d'inquiéter à ce sujet.

Conséquences à long terme

Les études à long terme montrent que le défaut de prise en charge adaptée et précoce de ce trouble comportemental assombrit quelque peu l'avenir des personnes TDAH, comparativement aux personnes non TDAH. En effet, les personnes TDAH :

  • accèdent plus difficilement aux études supérieures,
  • ont peu ou pas d'amis,
  • perdent plus facilement leur travail,
  • fument plus tôt et davantage,
  • sont plus vulnérables à la dépression,
  • ont plus d'accidents de voiture et conduisent plus rapidement.

Médicament ou drogue ?

Le traitement symptomatique du TDAH repose sur l'emploi d'un médicament à base de méthylphénidate dont le plus connu est la plus Ritaline. Des voix s'élèvent régulièrement pour dénoncer une prescription abusive de ce médicament, qui s'apparente à une drogue. En effet, la Ritaline est un médicament de la famille des amphétamines, dont les effets sont comparables à ceux de la cocaïne. En 2011, une mise en garde a été lancée par la revue médicale indépendante Prescrire : ce médicament ne devrait être utilisé qu'en dernier recours en raison de ses effets indésirables graves.

Comme la Ritaline est une amphétamine, elle génère une accoutumance, au point que l'on ne peut exclure un risque suicidaire au moment du sevrage. « Cette drogue sur ordonnance est tellement dangereuse que l'armée américaine refuse d'enrôler les jeunes qui ont été traités par ce médicament avant l'âge de 12 ans. »

TDAH et alimentation

L'influence de l'alimentation sur le TDAH est loin d'être nulle. Elle s'exerce de façon positive ou négative selon que l'on privilégie une alimentation saine de qualité biologique, à base de végétaux frais, céréales complètes, huiles végétales de qualité (olive, colza, noix) ou une alimentation de type industriel, à base de produits transformés, raffinés et bourrés d'additifs, qui amène à consommer trop de graisses saturées et de sucres rapides. Quelques rééquilibrages alimentaires particuliers peuvent présenter un intérêt, mais à condition de bien cibler les enfants à même d'en bénéficier.

Deux « cibles » potentielles :

  • les enfants dont l'état n'est nullement amélioré par le passage à une alimentation saine ;
  • les enfants ayant des antécédents familiaux d'allergies (rhinites, eczéma, asthme…).

TDAH et supplémentation

Le traitement phyto-nutrimentaire complémentaire s'articule autour de deux grands axes :

 

  1. Le traitement symptomatique, pour les besoins duquel je recours en priorité à l'ACÉTYL L - CARNITINE.

Certaines cellules de l'organisme, telles que celles du système nerveux, donc du cerveau, sont connues pour avoir des besoins énergétiques plus importants que les autres.
Au besoin, un apport en Bacopa monnieri (Brahmi en médecine ayurvédique) peut-être envisagé pour renforcer les effets de la L-théanine sur la capacité d'attention.

Acétyl L - carnitineGinseng (Cereboost™) + Bacopa monnieri


2.   Le traitement de fond, incontournable en cas de mauvaises pratiques alimentaires, réunit trois ingrédients majeurs :


- les oméga 3 de type DHA,

OMÉGA 3  - EPA +


- le magnésium marin,

Magnésium marin


- les vitamines du groupe B.

Complexe de Vitamines B


Suivant les cas, d'autres nutriments peuvent avoir leur utilité :
- le fer, si la ferritine est basse,
- le zinc, si le déficit est avéré,
- le lithium, en cas d'anxiété, de troubles de l'humeur (Je rappelle que le lithium ne doit pas être utilisé plus d'un mois),
- la griffonia, pour son effet tranquillisant, même si l'ACÉTYL L - CARNITINE a la capacité d'en augmenter les niveaux dans le cerveau.

 

Griffonia Simplicifolia

En pratique

Il est indispensable de consulter votre naturopathe avant de mettre en oeuvre une complémenthérapie. Il vous indiquera les produits à privilégier et les posologies à suivre selon l'âge/le poids du sujet concerné.

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