Effets et Définition
Effets
Bien sûr, le bain dérivatif fonctionne d’autant mieux que nos graisses sont fluides. Cette fluidité des graisses est essentiellement liée à la qualité de l’alimentation et à la qualité de la mastication et de l’insalivation. Tout aliment avalé gloutonnement, non réduit en eau, fabrique des graisses épaisses, nourrit mal le corps et encrasse l’organisme.
Bien sûr les effets du Bain dérivatif sont très nombreux. Ils font partir en premier lieu les mauvaises graisses, épaisses, qui se trouvent directement sous la peau. Mais il y a ensuite une deuxième phase où les graisses accumulées à l’intérieur du ventre apparaissent à l’extérieur et font regonfler le ventre. Il faut alors continuer de plus belle les bains dérivatifs pour chasser cette seconde vague de graisses qui asphyxiaient les organes. Chez les personnes très encombrées, il peut y avoir une troisième phase de mauvaises graisses. Mais après tout ce remue ménage, vous êtes bien débarrassé pour toujours des mauvaises graisses. Surtout si vous prenez l’habitude de faire les Bains dérivatifs tous les jours toute la vie comme on se lave les dents et que vous mastiquez parfaitement vos aliments.
Il n’est pas plus dangereux de faire les bains dérivatifs que de se promener nu dans la nature par temps chaud. Dans ce cas, la friction se fait en marchant et la fraîcheur est apportée par l’évaporation de la sueur qui s’écoule naturellement des poils du pubis. Les naturistes en été n’ont pas besoin de bains dérivatifs s’ils marchent bien tous les jours. Le moindre slip absorbe la transpiration (qui devient alors un bouillon de culture !) et empêche les fascias de vibrer ! La réaction corporelle de détoxication provoquée par ces bains est inégalée. Utile pour soulager tant que pour mincir, c’est un outil de santé naturelle simple, efficace et gratuit.
Le Bain dérivatif - qui consiste à se rafraîchir exclusivement l’entrejambe dans des conditions très précises - est connu depuis des milliers d’années. Il est bien probable qu’il faisait partie de notre «matériel de survie» au commencement du monde, si l’on se réfère aux animaux qui le pratiquent essentiellement lorsqu’ils sont malades, blessés, ou ... «trop» bien nourris dans nos maisons, ce qui est souvent le cas des animaux domestiques.
En Chine, pays de l’Acupuncture, on sait que les extrémités génitales sont les parties les plus réactives du corps. C’était l’endroit que l’on pinçait vigoureusement du bout des ongles il y a encore peu de temps pour tenter de réanimer la victime d’une crise cardiaque. On prescrivait autrefois d’amener de l’eau dans des bambous de plus en plus fins et de la faire tomber au niveau du nombril, sur le sexe. Cérémonie un peu éloignée du simple Bain dérivatif qui avait peut-être pour but de sauvegarder un «savoir» sans trop «se toucher» le sexe... par pudeur ou parce qu’on ne savait plus très bien comment faire !
Le Bain Dérivatif, comme son nom peut l’indiquer, fait - selon les apparences - dériver, voyager les substances, les matières, les molécules que nous avons en trop dans notre corps, celles qui ne se sont pas transformées en muscles, sang, os..., le bain dérivatif semble donc faire revenir lentement ces excédents inutiles là où ils étaient au «départ», dans l’intestin, afin de les évacuer.
Définition
Cela peut paraître trop simple. Trop facile à dire. Car il y a dans cette définition quelque chose de presque miraculeux à nos yeux. On est tenté de répondre: de qui se moque-t-on! Quelles preuves avez-vous ?
La recherche scientifique et médicale est tellement avancée aujourd’hui qu’il nous est bien difficile d’entendre, d’accepter une si tranquille affirmation. On a beau nous dire que c’est gratuit et sans aucun danger puisqu’il s’agit seulement et uniquement de mouiller son entrejambe à l’eau froide dans des conditions très précises, il nous semble impossible que cela puisse fonctionner sans frustrations comme lorsque l’on se soumet à un régime alimentaire, sans douleurs comme lorsque l’on a recours à la chirurgie. Gratuit, facile, sans danger et efficace, ça n’existe pas !
Une telle définition, une telle déclaration paraît presque indécente, car elle n’inclut aucun autre effort que de se mouiller régulièrement l’entrejambe à l’eau froide pendant une durée déterminée. A qui allez vous faire croire ça! Il nous est devenu très difficile de comprendre qu’il n’y a rien à «payer» pour obtenir un bon résultat. C’est presque choquant. «Ça se saurait si c’était vrai!». Comme nous l’avons vu dans l’historique, «ça se sait». Mais tout le monde ne le sait pas. C’est une compétence enfouie.
Si l’on se souvient qu’il s’agit là d’une pratique qui remonte aux origines de la vie animale et humaine, la vie ou plutôt la survie en ce temps-là ne pouvait s’acheter ni dans un hôpital, ni dans une pharmacie. Il fallait donc bien que la Nature mît au service de chacun un moyen simple de se tirer d’affaire.
Ce type de réaction est une des raisons pour lesquelles ceux qui pratiquent les bains dérivatifs évitent en général d’en parler. Ils n’ont ni l’envie de se heurter à une hostilité sans fondement, ni celle de passer pour des «originaux».
S’il y a un effet dont la rapidité et l’efficacité étaient absolument garanties, c’était bien celui-là !
C’est un conseil pour ceux dont les oreilles ne sont pas encore trop surchargées ... et ils sont nombreux !