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Le réveil des sens

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36 heures de jeûne pour se régénérer !

Pratique millénaire d’hygiène et de santé, le jeûne est une sorte de « réinitialisation » du corps. Depuis toujours et partout à travers le monde, il a été utilisé dans un but thérapeutique, ou s’est inscrit dans une démarche spirituelle afin de nettoyer le corps et lui offrir un nouvel élan régénérateur. Cette méthode de santé, fondamentale, a toujours défié le temps, les révolutions techniques et même les civilisations. Associé aux plantes, le jeûne n’en prend que plus de poids…

Plus la santé est présentée comme un amalgame de techniques, de produits miracles ou de découvertes éphémères toutes plus prometteuses les unes que les autres, plus on a envie de renouer avec de vraies valeurs. Le jeûne en est une car, même si de nombreux thérapeutes des médecines alternatives le recommandent désormais, il ne s’agit pas d’une mode, ou bien alors, cette mode perdure depuis

3 000 ans ! Car la sagesse des anciens leur a permis d’observer que la digestion (mastication, péristaltisme, transformation chimique et assimilation) est un phénomène qui génère une grande dépense énergétique dans nos organismes, et qu’en cas de maladie, il est urgent d’en faire l’économie.

Ajoutons que le jeûne n’est pas une pratique exclusivement humaine. Il est très courant dans le monde animal et souvent lié à une période particulière de la vie et généralement vitale, comme la période de rut, l’hibernation, la migration ou encore le stade larvaire. Du phoque de l’Alaska, qui s’abstient de tout repas pendant les deux mois de la saison des amours, au saumon qui se transforme en jeûnant sur son parcours le menant vers les frayères, en passant par le têtard qui jeûne pendant les quinze jours de sa métamorphose en grenouille ou encore l’oie sauvage qui

n’avale rien pendant son voyage migrateur… de nombreuses espèces s’octroient naturellement un jeûne dont les conséquences physiologiques heureuses sont à la base de leur survie.

Manger sans arrêt, c’est illogique

Ce n’est qu’aujourd’hui que le jeûne est montré du doigt en tant que « technique » dépassée, inutile. Elle serait même «dangereuse », mettant un organisme souffrant en opposition à ce pourquoi il serait programmé : manger. Notre société moderne croit tout expliquer par la rationalité, alors même que ses acquis et fondements sont régulièrement mis en cause ! Prendre des forces pour lutter contre la maladie est donc de nos jours le dogme. « Mais mange donc ! »… Et ce, même si l’inappétence

du patient traduit clairement un langage naturel du corps. Si l’on veut bien prendre un peu de recul, on est obligé de constater que, dans toutes les sciences biologiques, de la molécule et de la cellule jusqu’à l’échelle de la planète et même de l’univers, la notion de rythme est omniprésente. A une phase d’action succède une phase de repos, et ainsi de suite : la reproduction de la cellule (mitose… méiose), le rythme cardiaque (je pulse… je me repose), le rythme circadien du jour et de la nuit (activité… sommeil), la croissance du printemps et la fructification de l’automne n’en sont que les exemples les plus frappants.

Jeûne ou mono-diète ?

On rapproche souvent la méthode du jeûne aux mono-diètes. Elles sont pourtant fondamentalement différentes. Malgré l’apparence d’une réduction alimentaire, la mono-diète n’offre pas un repos total digestif, puisqu’elle maintient, avec la prise d’un seul aliment, une activité digestive, donc une sécrétion d’enzymes digestives et un métabolisme d’assimilation qui en découle. Les mono-diètes possèdent des intérêts thérapeutiques et des bienfaits incontestables mais elles ne peuvent être rapprochées d’un jeûne. Elles différent fondamentalement du jeûne du fait qu’elles apportent un principe alimentaire, alors que le jeûne demande une absence totale d’aliments. Seule l’eau pure sera prise à volonté. Ne rien manger pendant plusieurs heures, ou plusieurs jours, est une pratique souvent condamnée par la médecine officielle, pour laquelle le jeûne est contraire à la nature de l’être humain. Mais bien des choses ont changé depuis que l’homme, dans de nombreux pays, n’a plus à lutter en permanence pour sa survie et souffre plutôt de sur-alimentation. Il est si simple pourtant de pratiquer régulièrement un jeûne de courte durée pour retrouver l’équilibre. La reprise alimentaire après le jeûne doit être menée avec précaution car il faut apporter à l’organisme les éléments vitaux qui lui ont le plus manqué (oligo éléments et vitamines en synergie) et que l’on peut trouver dans les aliments vivants : crudités, graines germées, levain, enzymes ou encore la spiruline…

Nous jeûnons chaque jour sans le savoir

L’alimentation, elle aussi, répond à cette règle. Il faut manger pour vivre, mais aussi, parfois, s’arrêter de manger. N’est-ce pas ce rythme, raccourci à l’extrême par notre mode de vie moderne, que nous observons sans le savoir, tous les jours, au moment du petit déjeuner : le petit « DE-jeuner » n’est-il pas une rupture du processus de jeûne mis en place pendant la nuit par notre corps ? Bien sûr, nous n’allons pas ici en quelques pages exposer ce qui a demandé au docteur Shelton, le plus grand spécialiste mondial du jeûne, une vie entière d’études et d’observations et au final un livre complet sur le sujet, véritable encyclopédie. Il a décrit tous les types de jeûne, leurs bienfaits et les observations faites par lui-même ou par des jeûneurs. Si des jeûnes longs de plus de 10 jours demandent une surveillance médicale, cette pratique sur une période courte de 5 jours, 3 jours ou même 36 heures, est beaucoup plus aisée qu’il n’y paraît au premier abord.

Pourquoi le jeûne court de 36 heures ?

Le jeûne est un phénomène très logique, une mise au repos de l’activité digestive avec tous les avantages et les bienfaits qui en découlent. Rappelons quelques éléments du processus en rapport avec le jeûne et la digestion.

1/ Sur un plan calorique, le rapport entre les calories dépensées pour digérer et celles obtenues de la digestion de ces aliments est très faible. Ainsi, pour un grand nombre d’aliments, il faut dépenser 95 calories pour en obtenir 100 !

2/ Pendant ce temps, l’organisme acidifie sa lumière intestinale, génère des sous-produits de la digestion qui sont considérés comme des toxines.

3/ Toujours pendant la digestion, l’organisme diffère sa surveillance immunitaire au prorata de l’importance des aliments à digérer. Un jeûne bien conduit permettra donc dans un premier temps de «désacidifier» le terrain, de nettoyer la lumière intestinale, de mettre au repos les organes digestifs et le processus de l’assimilation intestinale. En stoppant ponctuellement l’activité enzymatique et en suspendant temporairement la réaction de nombreuses chaînes métaboliques, le système repère plus aisément une multitude de mécanismes en déséquilibre et rétablit une cohérence avec d’autant plus de vitalité que le jeûne a été bien vécu.

C’est alors que la reprise de l’alimentation doit passer par une surveillance de la qualité nutritionnelle afin d’apporter à l’organisme ce qu’il attend avec intérêt : des oligoéléments et des vitamines en synergie entre elles et qui constituent un aliment sain vivant (crudités, graines germées, levain, enzymes…).

Un tremplin pour la médecine des plantes

La thérapeutique par les plantes, complément de premier ordre pour favoriser la santé naturelle sera alors bien comprise et acceptée. Elle s’intégrera dans des métabolismes renaissants, qui aideront l’organisme à se purifier et à «repartir» sur des bases plus saines. Prenons l’exemple d’une personne de 20 à 30 ans qui a du mal à prendre du poids malgré une ration alimentaire quotidienne importante. Des troubles digestifs chroniques, alternances de constipations et de diarrhées, et un tempérament nerveux viennent renforcer ce déséquilibre métabolique. Un jeûne bien suivi pourrait faire perdre quelques grammes de plus à cette personne fragile. Mais le repos digestif entraînera lors de la reprise alimentaire une meilleure assimilation des nutriments. Cette personne verra alors son poids augmenter légèrement en même temps qu’elle optimisera son métabolisme du magnésium, si important pour son tempérament nerveux. La phase de repos et l’eau absorbée pendant cette période auront aussi favorisé l’élimination de certains acides comme l’acide pyruvique, responsable de son stress. Une personne qui présente, au contraire, un excès de poids, aura l’impression de ne pas perdre beaucoup mais son poids diminuera de façon plus utile, par paliers, plutôt que brusquement, ce qui est toujours et immanquablement suivi d’une reprise brutale, c’est bien connu !

En pareil cas, mieux vaut faire des jeûnes de 36 h, qui régulent, plutôt que de longs jeûnes qui apportent un stress à l’organisme. La plupart des programmes de thérapie par les plantes verront leurs effets augmenter si le jeûne est intégré comme outil de soin et de santé. Que ce soit une action sur le sommeil, dans un but dépuratif ou amincissant, ou face à une pathologie infectieuse ou virale, le jeûne augmentera le potentiel d’action des plantes essentiellement en rendant à l’organisme une meilleure vitalité intrinsèque. L’exemple le plus typique est certainement celui de l’activité sexuelle. Après cette période de jeûne, le corps ressent un équilibre plus important. En plus d’une forme générale plus marquée, d’une clarté d’esprit indiscutable, le tonus et la libido sont renforcés alors que la démarche suivie est à l’opposé de la logique de la prise d’excitants.

Les religions, les traditions et le jeûne

On oublie parfois que le jeûne est inscrit dans les trois grandes religions monothéistes et dans bien des pratiques traditionnelles. Ainsi, le Carême que les catholiques commencent le mercredi des cendres qui suit le mardi gras, reproduit

en calque, le Yom Kippour, la préparation juive de la Pâque, quarante jours avant la fête religieuse, et rappelle aussi les quarante jours de jeûne du Christ dans le désert.

Durant cette quarantaine, une longue période d’abstinence est prescrite avec notamment la pratique du jeûne. Les Musulmans, eux, ont institué la période du Ramadan, période d’ascèse diurne, consistant à offrir à Dieu la maîtrise du corps et des sens. Hors de la sphère religieuse, de nombreuses pratiques traditionnelles instituent, à un moment ou à un autre de l’année, la réduction alimentaire ou l’abstinence. C’est ainsi que sur l’île japonaise d’Okinawa, « l’île des centenaires », on pratique traditionnellement le «hara hochibu» consistant à ne s’alimenter qu’à 80% des normes habituelles.

Comment jeûner ?

Le plus important est de prendre conscience des peurs liées à l’alimentation : « Mais si je ne mange pas, je risque de… mourir ! ». Cette peur consciente est bien ancrée dans nos esprits. Elle doit impérativement être levée avant d’entreprendre quoi que ce soit. Si elle ne l’est pas, l’organisme, sollicité par l’intellect, ne pourra pas mettre en oeuvre le processus de nettoyage qui devrait avoir lieu. Comment aller au-delà de cette peur ? La réponse est bien simple et demande juste d’observer le fonctionnement de notre propre corps. Si le matin on « dé-jeûne », c’est donc que l’organisme a tiré un grand profit de la période de jeûne qui a précédé. Il convient tout simplement d’allonger cette période de jeûne nocturne. Attention, à rebrousse- poil. Je m’explique : souvent je conseille de choisir un jour de la semaine pour jeûner : le mardi, le vendredi ou le dimanche, selon ce qui vous arrange. Exemple : le mardi, on va s’occuper d’allonger le jeûne de la nuit du mardi au mercredi. Donc pendant une période variable, de quelques semaines, tous les mardis soirs, vous aller diminuer puis supprimer votre dîner. Bien sûr en ayant soin de boire de l’eau en parallèle.

Une fois cette première étape passée, on fera alors en sorte de commencer le jeûne plus tôt dans la journée : en fait aussitôt la phase digestive du repas de midi finie.

Avant de pouvoir jeûner une journée entière, on rallongera ainsi progressivement cette période vers le repas de midi puis enfin vers le petit déjeuner du mardi matin.

Bien entendu, «faire des réserves» irait à l’encontre de notre logique qui cherche à ce que la digestion soit de plus en plus légère pour qu’un autre processus s’enclenche le plus vite possible après. Ce mauvais réflexe ne ferait qu’allonger la période de digestion dudit repas au détriment de la période de repos qui va suivre. Beaucoup de personnes, dans la phase préparatoire au jeûne d’une journée souhaitent néanmoins avoir quelque chose qui puisse les aider à franchir cette peur de « n’avoir rien à manger ». Le complexe de plantes, appelé «Complexe Jeûne», pris en infusion et bu au cours de la journée consacrée au jeûne est pour cela idéal. Il aidera non seulement la personne à surmonter cette peur mais soutiendra aussi en parallèle l’organisme dans sa chasse aux toxines. Il s’agit d’une formule comprenant de l’astragale pour l’immunité et la gestion de la sensation du froid, des feuilles de myrtille pour le pancréas, du chardon Marie et de la marjolaine pour accompagner l’effort du foie, auxquelles s’ajoutent de l’aubépine, du mélilot et de la menthe pour leurs vertus décontractantes équilibrantes. Ce petit assortiment se combine avec de la rhodiola, du kudzu et de la griffonia sous forme de gélules pour éviter des réactions de faim ponctuelles et optimiser le drainage général.

Conçu au départ pour un jeûne de 36 heures, c’est-à-dire dans notre exemple la journée du mardi toute entière additionnée des deux nuits, celle d’avant et celle qui suit, cette méthode peut ensuite être adaptée de la même façon à un jeûne de trois jours.

J’ai pu entendre un grand nombre de témoignages sur les bienfaits du jeûne, à commencer par la sensation de paix intérieure, de sérénité et de bonheur, passé le stade de la peur. Souvent, on me rapporte des améliorations du sommeil et une meilleure forme dans la journée. Les douleurs rhumatismales, surtout celles liées à des inflammations articulaires, sont diminuées. Des améliorations dans les troubles hormonaux et notamment les règles douloureuses ont été constatées par de nombreuses femmes. Enfin et c’est là je pense que les bienfaits sont les plus plaisants, face à une nécessaire réaction immunitaire devant un microbe, alors qu’on voudrait nourrir l’organisme pour qu’il soit plus fort à se défendre, le jeûne apporte la différence dans cette lutte contre les agents pathogènes. Bien des pathologies chez l’adulte sont ainsi maîtrisées en un temps plus court que d’accoutumée.

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