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Le réveil des sens

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Hygiène vitale

Au cours d’une même journée, la perception de notre énergie est variable. Le haut niveau d’énergie donne l’impression de posséder une grande force, au contraire du faible niveau d’énergie qui, lui, engendre la sensation de sérieuse faiblesse.

 

Les sensations de « faiblesse » ne se répartissent pas indifféremment au cours du cycle journalier, hormis pour le cas des personnes qui stagnent dans un niveau très bas d’énergie vitale, et par la suite, dans un niveau élevé de toxémie.

 

Les périodes où cette faiblesse est particulièrement ressentie sont celles justement où le corps acquiert quelque répit pour procéder à l’élimination des toxines.

 

Si nous suivons le déroulement d’une journée chez une personne ordinaire habituellement intoxiquée, nous observons une période de faiblesse intense au réveil.

 

Le corps a terminé depuis plusieurs heurs la digestion du repas de la veille, il est au repos, couché, au chaud. De ce fait, une importante quantité de l’énergie qu’il possède est affectée au travail d‘élimination toxinique. Comme celle-ci est fort en retard, le corps met toutes ses « forces » dans une action salvatrice des forces, dont très peu de ce fait agissent à l’extérieur dans la vie de relation.

 

 Le lever se fait alors péniblement, dans des conditions moroses, souvent provoqué par un réveille-matin qui vient arracher le sujet à un sommeil dont il aurait encore eu grand besoin pour continuer son travail de rénovation.

 

Des stimulants, dont le café ou le thé sont alors consommés pour « redonner des forces ». En réalité, ceux-ci modifient l’état de répartition énergétique de l’organisme en soustrayant une partie de cette énergie des organes excréteurs qui assurent le nettoyage de l’organisme, pour l’utiliser à combattre les effets des poisons alcaloïférés ingérés. L’élimination des toxines sera retardée, et l’impression d’être un peu moins faible sera perçue momentanément.

 

Pendant le début de la matinée, l’énergie sera utilisée malencontreusement pour assurer la digestion d’un repas trop copieux et mal élaboré en vue des associations alimentaires compatibles. Pour peu que le sujet s’impose des activités physiques ou intellectuelles intenses, hors de ses possibilités actuelles, le retard toxinique ou toxémie ira croissant et le risque de symptômes de maladie sera certain.

 

Il est évident que l’énergie disponible faisant défaut, une vive impression de faiblesse naîtra à nouveau vers la fin de la matinée. En effet, à ce moment, la mobilisation de l’énergie au niveau de la digestion du repas du matin est achevée, et la volonté subconsciente ou volonté interne tente aussitôt d’utiliser l’énergie restante pour accélérer à nouveau le processus alimentaire qui a tendance à prendre de plus en plus de retard.

 

Pour stopper cette impression de faiblesse, les gens énervés, c’est-à-dire qui ne disposent pas de l’énergie vitale suffisante – on dit qu’ils sont en situation d’énervation – se mettent à consommer de la nourriture : c’est le fameux « trou de 11 heure ».

 

En agissant ainsi, ils contraignent leu volonté interne à ralentir considérablement la phase éliminatoire qui venait de s’enclencher et à réaffecter une importante quantité d’énergie disponible à la digestion de ce nouveau repas.

 

L’inversion des forces se reproduit. Celles-ci reviennent partiellement vers le domaine relationnel et la sensation de faiblesse diminue. C’était le combat immédiat recherché.

 

Mais ce « repas » n’a pas pu réellement apporter des forces puisque ses composants ne sont encore qu’au stade digestif de l’estomac et qu’aucune assimilation ne s’est produite. C’est donc à tort et par affirmation simpliste que l’on décrète alors que manger donne des forces.

 

Ce repas de la fin ou mi-matinée sera suivi du repas de midi qui, lui, est souvent accompagné de stimulants (vin, café, etc.). Au sortir d’un tel repas, il se produit un gaspillage énorme d’énergie pour digérer ce qui peut l’être d’un assemblage invraisemblable « d’aliments ». L’énergie mobilisée pour assurer la digestion d’un tel repas tend à restreindre l’importance de l’élimination et l’individu se sent à nouveau plus solide. Mais ce n’est qu’une illusion momentanée…

 

Par ailleurs, ce n’est certes pas ce genre d’individu qui se reposera après ce repas : il dépense son énergie ; ce qui lui donne l’impression d’être fort… provisoirement.

 

Enfin, tout au long de l’après-midi, en s’adonnant à des activités physiques, ou intellectuelles, souvent situées au delà de ces capacités réelles, il dépensera encore une grande part de son énergie. Parce que ses habitudes de vie sont ainsi, il n’aura pas effectué d’arrêt dans ses activités pour récupérer intensément de l’énergie vitale. Il n’obtiendra que la faible fraction de cette énergie qui se régénère en permanence pendant les activités. Aussi recherchera-t-il vers 16 ou 17 heures, du café ou de l’alcool pour se stimuler une nouvelle fois. Malgré cela, et à cause de l’effet passager à cette stimulation qui sera suivie de la phase dépressive, il ressentira de nouveau vers 18 heures, une nouvelle impression de faiblesse.

La phase éliminatoire qui s’était considérablement ralentie depuis le repas du midi, s’accentue à nouveau. C’est la situation de la fin de matinée qui se reproduit. Alors viendra le repas du soir, souvent copieux et mal organisé, qui le rendra encore euphorique en provoquant une nouvelle dépense excessive d’énergie vitale.

 

Cette situation momentanée, lui donnera l’impression d’exister à nouveau intensément : c’est toujours lors de la dépense d’énergie que l’on ressent une impression de force. Après le repas qui se prolonge parfois tard en soirée, son attention sera encore sollicitée par des agresseurs extérieurs divers, dont notamment la télévision. Tout ceci contribuera encore à ralentir la phase éliminatoire pourtant très nécessaire, ainsi qu’à retarder la phase de récupération que constitue le vrai sommeil. A ce propos, très souvent, ce genre de personnage est insomniaque.

Il prend alors des « pilules » pour s’anéantir dans un faux sommeil qui ne lui apportera pas la régénération énergétique souhaitable. Il aura donc un sommeil alourdi qui « stressera » encore son système nerveux et le portera au petit matin avec un corps fatigué et un mental las… et la future journée se déroulera de façon identique…à moins qu’un jour quelques symptômes de maladie ne viennent encore compliquer un peu plus sa triste vie.

 

C’est cela la répartition énergétique journalière d’un mal portant, qui vient éclairer les sensations de « faiblesse » qui sont ressenties au cours de la journée.

Mais ce n’est pas cela l’hygiène vitale, ce n’est pas cela qui nous permet de vivre en harmonie.

 

 

 

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