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Être énergétique intérieur

  • Par vogot
  • Le 25/08/2010
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Être énergétique intérieur

Là, point de Bouddha qui attend dans sa mansuétude ou de Jésus qui pardonne nos péchés. Nous devons confronter nos noirceurs nous-mêmes, c’est à dire éliminer les systèmes de croyances qui soutiennent leur contenu émotionnel, et regarder vers les strates qui composent notre intériorité.

Il y a le monde des émotions, du ressenti agréable ou non, celui qui procure le plus l'impression d'exister.

Ce monde des émotions est intimement lié à celui de la pensée. Ce dernier se mêle subtilement à des niveaux moins structurés comme l'imagination et le rêve. Le plan de la pensée contient donc sa propre porte de sortie. En ses sommets, la logique se dilue et se tait en faveur du déploiement de nos instruments de perception des plans plus éthérés.

Si la pensée s'égare dans des concepts, aussi lumineux soient-ils, ceux-ci ne donnent accès qu'à des réalités mentalement figées. Tout le monde ne s'est-il pas déjà dit qu'on doit gravement s'emmerder dans les paradis des diverses religions ?

Ces paradis ressemblent à du spirituel sculpté au moyen de nos limitations mentales, c'est désolant.

Lâcher le mental consiste tout simplement à regarder un peu à la frontière du raisonnement cartésien, à s'y aventurer petit à petit et s'attendre à recouvrer très rapidement des facultés qui existent depuis toujours à notre portée. Pourquoi le monde physique serait-il expérimentable, alors que les mondes parallèles ne le seraient pas ? Les barrages aux mondes parallèles (et à notre réalité multidimensionnelle) ne sont constitués que de structures de croyances, de plus en plus enchevêtrées les unes dans les autres au cours des vies. Par simple décision d'un instant, tout cela peut perdre de sa solidité, voire s'effriter et disparaître pour toujours. Il suffit pour cela de s'octroyer l'autorisation de regarder juste au-dessus du domaine du raisonnement cartésien. Laisser le rêve infuser notre intériorité…

Dans cet état d'abandon, où la pensée renonce à elle-même, où elle ne donne plus son avis logique ou mémorisé à ces domaines qu'elle reconnaît comme se situant hors de sa portée. L'état de rêverie permet alors de débuter l'approche de données plus élevées en provenance de notre être à d'autres niveaux de manifestation. Ces niveaux qui ne se trouvent dans aucun plan supérieur, aussi blanc et purifié soit-il, mais constituent notre réalité personnelle et inaliénable.

Lâcher les théories apprises et se dire, ok j'ose tenter l'approche dans la pratique, c'est la seule contrainte pour reconnaître l'évidence du contact étroit avec notre vrai moi multidimensionnel. Il est en fait très aisé de trouver le vrai moi, celui que nous sommes de toute éternité, hors de la matrice des réalités dimensionnelles. Le vrai moi, le seul, se situe simplement à l'intérieur. On peut le trouver instantanément, en fermant les yeux, dans cet état où on ne cherche pas les oeuvres extérieures de nos “maîtres” et “dieux”, mais où on consent simplement à admettre la réalité la plus simple.

Si le regard intérieur se voit parfois confronté à des prisons mentales avant d'atteindre à cette évidence, c'est que des croyances tenaces travaillent inconsciemment à nous inciter à nous méfier de cette réalité simplissime. L'espace extérieur est fini (même s'il est immense) alors que l'espace intérieur est infini. Il se situe en réalité en dehors de l'espace et du temps et peut se déployer dans tous les espaces-temps qu'il souhaite expérimenter. Pour ressentir cette infinitude, il suffit donc de ressentir son intériorité, sans y chercher une quelconque manifestation “divine”, toute notion de divinité nous ramenant dans la matrice de notre univers extérieur. La conscience intérieure en éveil, en ressentant et voyant le chakra du cœur, un événement extraordinaire peut survenir. En centrant l'attention dans le chakra du cœur, on peut le découvrir comme totalement inclusif (il contient tout). Pour ce faire, il suffit de le voir comme un entonnoir d'énergie tournoyante.

Tout ce qui arrive dans ce chakra est absorbé par sa rotation et digéré comme dans une centrifugeuse, ce qui transforme les énergies reçues en lumière. C'est le centre de tri de Râ, qui récolte les informations de notre état d'humain, afin de les intégrer. Cette intégration produit de l'information (lumière) qui dès lors se projette dans le pourtour de la rotation du chakra et se répand sous forme de ce que l'on nomme compassion. La première perception est celle de la compassion, car notre état d'humain est composé de souffrance. La compassion est l'acte de Râ qui absorbe la souffrance et la transforme en nouvelle information, plus appropriée, plus en rapport avec son plan. Cette rotation produit sur les énergies ambiantes et donc sur les humains qui les émettent ou qui y baignent, une épuration, et procure de nouvelles données à assimiler, à un niveau lumineux, c’est à dire en étroite relation avec l'ADN et les autres informations contenues dans les personnes incarnées. La première vision de la rotation doit forcément passer par la compassion, car pour parvenir à la reconnaissance de la roue, il faut avoir été épuré de tous les miasmes qui nous brouillent la vue. Ces miasmes sont constitués des barrières et souffrances qui nous bloquent et la compassion sert à leur dissolution.

Lorsque vous avez réussi cette reconnaissance visuelle en vous, vous pouvez poursuivre en ressentant encore plus profondément cette rotation du chakra, jusqu'à percevoir avec la vision intérieure que vous vous situez centré en lui. Vous êtes la roue, centrée dans le cœur et se déployant en une roue plus vaste. Cette roue plus grande contient tous les chakras qui s'étendent en rotation autour de lui.

Les sept chakras de base ne sont pas en ligne droite, car le regard intérieur peut lâcher la vision de la forme physique. Il n'y a plus que chakra du cœur en rotation de “compassion”, c’est à dire en inclusivité.

Les autres chakras sont les énergies qui se propulsent de lui et se transforment en d'autres niveaux d'énergies qui tournent également, émanant de ce chakra central. L'ensemble de l'être est donc une sorte de roue d'énergie(s) en rotation.

Ces sept chakras n'ont été différenciés que par l'utilisation séquentielle de l'énergie, divisées pour devenir l'échelle des diverses perceptions intérieures. La vitesse de la rotation de la roue peut produire l'image physique 3D de notre corps ou de toute autre créature de notre choix. Tout comme nos cinq sens sont nos perceptions extérieures dans ce monde physique hyper défini et limité, de même, intérieurement, les sept chakras principaux sont autant de portes vers le monde intérieur, le seul réel. En passant par n'importe laquelle de ces portes, nous contactons des parcelles intérieures. Mais en pénétrant par l'entonnoir du cœur, on entre par la porte principale, celle qui nous révèle notre réalité de roue d'énergie en éternel mouvement.

Lorsque enfin vous vous fondez dans la perception de cette réalité du vrai moi énergétique, vous pouvez percevoir des réalités pour ainsi dire “mathématiques”, car indescriptibles dans notre réalité physique, mais possédant un sens bien plus intense et intéressant que tout ce qui est connu ici en 3D. Dans cette réalité, lorsque vous vous placez dans le point de vue de ce générateur central d'énergie, votre moi terrestre fait figure de petite fourmi de sa création, en train d'expérimenter un terrain de jeu parmi des milliers d'autres. La fourmi devient intéressante par le fait qu'elle a été capable de ce retour en conscience et que c'était un peu le but du jeu. Mais d'autres réalités, encore bien plus complexes, sont également expérimentées par la centrale du vrai Moi. Ses capacités ne se limitent qu'à son imagination si l'ont peu dire, car elle peut créer à volonté.

Elle est également engagée dans des créations d'univers entiers, de sa propre facture, plus ou moins élaborés, selon le degré d'implication et d'intérêt pour les expériences en cours. Qui n'a pas déjà eu l'impression en rêve, de retourner plusieurs fois dans le même endroit, parfaitement inconnu et hors de toute logique humaine, mais pourtant tellement familier ?

Des univers nous appartiennent, tels des enfants qui créent et créent et complexifient toujours davantage leurs créations, histoire de se perfectionner, d'inventer de la nouveauté afin d'exister. Lorsque tout ceci est vu, ou du moins suffisamment appréhendé pour être intégré, l'ego du moi physique présent s'envole en fumée. On sait désormais que l'humain n'est que pure fabrication, pure machinerie, soumise à un tas de limitations, et n'a rien à voir, même de loin, avec l'être intérieur qui lui donne l'existence. Les bouddhistes qui enseignent qu'il faut reconnaître l'impermanence de l'ego afin de le dépasser, fournissent une réponse sans solution, car tout ego porte en lui une peur innée de se perdre.

C'est un contresens que de vouloir s'en débarrasser.

Le problème est qu'en se plaçant dans le point de vue de l'ego, celui-ci ne peut consentir à sa mort. Seule la vision du vrai moi, tellement plus énorme, détruit à jamais l'illusion de l'ego. Cette vision signifie la fin du jeu… de l'illusion. Dans cet état d'ego qui vient d'être vu, compris et transcendé, le cœur devient automatiquement cette sorte d'entonnoir.

Le lâcher-prise est tel qu'il se produit comme un effondrement intérieur qui ouvre l'orifice de l'entonnoir, de ce cœur qui devient inclusif, dans le sens où il a la sensation d'engouffrer littéralement ce qui se précipite en lui, tout en produisant l'effet de la centrale énergétique de la redistribution sur les plans extérieurs.

La carapace de l'extériorité a été percée et la porte est là, grande ouverte vers l'intérieur, car plus aucun barrage d'ego ne peut venir l'obstruer.

C'est un état d'abandon qui est pur don, non pas de quelqu'un qui donne… car qui donnerait, mais c'est structurel à l'outil que devient désormais en conscience le corps physique. Avec un peu de pratique, la conscience peut également être maintenue comme en gigogne. Le corps physique au premier plan, avec à l'arrière plan la roue qui oeuvre sans relâche, se servant de son image (le corps) pour agir dans cet univers 3D aux lois restreintes.

Le cœur en rotation est le tunnel qui passe de l'un à l'autre. Il est en outre l'énergie même qui produit le corps et tous les états intérieurs (les divers chakras) et extérieurs. La conscience peut se balader de l'état intégral à l'état physique. Et la conscience peut encore poursuivre vers l'intérieur en reconnaissant le grand générateur d'énergie, Râ, comme rayonnant non pas par le cœur, mais en tant que le cœur lui-même.

En conscience, la vision peut aussi s'aventurer à l'intérieur de cette énergie colossale qui se situe au second arrière plan, mais elle n'en aura que de brefs aperçus, car son intégralité signifierait la dissolution de la centrale “personnelle”. Qu'est-ce qui a finalement permis de garder la triple vision, sans dissolution ?

Le dosage de la conscience entre les trois points de vue est en quelque sorte imposé par l'état de compassion. L'ego n'ayant plus aucune consistance, n'étant plus qu'outil, il ne peut plus décider. Il n'est plus que cœur en mouvement, de par son abandon et cet abandon produit l'extinction de la volonté egotique. Seul le cœur commande et encore, c'est la rotation qui commande, ou alors ce qui commande la rotation elle-même…

La Source première sans doute. La compassion n'est pas quelque chose qui arrive par “gentillesse” ou par je ne sais quelle maîtrise spectaculaire, mais par l'acceptation de la simplicité avec laquelle on peut contacter notre moi intérieur. Cette compassion n'est jamais choisie mais devient structurelle dès que le triple lien est rétabli.

Ce triple lien et sa triple vision est un état qui approche notre souveraineté intégrale, là où réside notre véritable liberté créatrice.

Pour y arriver totalement, il faudra que le cœur inclusif ait avant tout digéré l'ensemble des scories qui le retiennent dans ses fausses croyances, ainsi que celles de sa moitié inversement polarisée.

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