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sélénium

  • Les plus puissants des antioxydants

    Dans l'article "Quel antioxydant vous convient?", je vous révélais que chez nous, il a une origine principale tout à fait méconnue : la transformation vitale de l’oxygène en eau. En fait, celle-ci n’est pas totalement parfaite : 2 à 3 % de l’oxygène se transforme en espèces réactives de l’oxygène (ERO), des composés instables et particulièrement agressifs.

    Je ne peux, donc, vous parler d'antioxydants sans évoquer le Stress oxydatif et radicaux libres.

    Les radicaux libres sont des composés instables surtout formés d'oxygène. Ils sont générés au cours du fonctionnement normal de l'organisme, mais leur production peut être augmentée par la pollution, la fumée de cigarette ou une exposition prolongée au soleil, par exemple.

    Si les radicaux libres viennent à excéder, la capacité de l'organisme à les neutraliser, ils peuvent contribuer à l'apparition de plusieurs maladies, dont les maladies cardiovasculaires, certains types de cancers et d'autres maladies associées au vieillissement.

    Les antioxydants ont la cote depuis plusieurs années pour leur capacité, réelle ou supposée, à aider à lutter contre le vieillissement. Mais quels sont les plus puissants d'entre eux ?

    L'astaxanthine

    Caroténoïde le plus puissant présent à l’état naturel dans de nombreux fruits de mer et poissons tels que le saumon, la truite, les crevettes, mais aussi le plancton et le krill, l’astaxanthine est un pigment rouge-orangé produit notamment par des algues. C’est pourquoi on le retrouve dans presque toute la chaîne alimentaire marine : c’est lui qui donne la couleur de la chair du saumon, de la carapace des crustacés, etc.

    Ce pigment serait capable de neutraliser dix fois plus d’oxygène singulier, responsable du vieillissement de la peau suite aux agressions des UV, que le bêta-carotène, pourtant réputé comme l’une des meilleures molécules à cet effet. C’est pour cette raison que les naturopathes le considèrent comme l’un des plus puissants antioxydants.

    Début 2020, l’Autorité européenne de sécurité des aliments a validé la possibilité d’une complémentation à hauteur de 8 mg par jour d’astaxanthine sans danger pour la santé. De fait, aucune contre-indication n’est à ce jour identifiée pour la complémentation en astaxanthine.

    La berbérine

    La berbérine est reconnue également pour sa capacité à atténuer l’oxydation, notamment en régulant à la hausse plusieurs antioxydants endogènes comme la superoxyde dismutase (SOD) et la glutathione, principalement au niveau du foie. Son effet bénéfique sur le stress oxydatif a été observé chez l’homme, une baisse spectaculaire des marqueurs de l’oxydation après une supplémentation d’un mois en berbérine, a été constatée.

    La Co-enzyme Q10 

    La coenzyme Q10 est un puissant antioxydant qu'on appelle aussi ubiquinol-10 ou UBIQUI car elle est présente partout dans le corps. Pour certains chercheurs il s'agit d'un proche parent des vitamines tandis que d'autres chercheurs la considère vraiment comme une vitamine. Particulièrement présente dans le myocarde, c'est pour cette raison quelle est populaire chez les gens atteints de problèmes cardiaques. 

    La fisetine

    Contient un flavonol d'origine naturelle qui a des effets positifs sur les cellules cérébrales et les voies cognitives dans la recherche préclinique. La fisétine est un bioflavonoïde antioxydant qui aide à préserver les niveaux de glutathion et le fonctionnement des mitochondries en situation de stress oxydant. Il a le potentiel de franchir la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut aider à maintenir la fonction neuronale. À part les fraises, la fisetine est rare dans les fruits et légumes comparativement aux autres flavonoïdes, ce qui fait de Fisetin une source très fiable de ce puissant antioxydant et potentiellement nootrope.

    Le glutathion

    Pseudopeptide composé de trois acides aminés (glycine, cystéine et glutamate), le glutathion est naturellement produit par le foie et se retrouve ainsi dans tout notre organisme. C’est pourquoi il est considéré comme un « antioxydant endogène » : contrairement à la plupart des autres antioxydants puissants, cette molécule est déjà présente à l’état naturel dans notre organisme.

    Il est largement considéré par les naturopathes comme l’antioxydant le plus puissant qui existe à l’état naturel. Selon le dictionnaire de l’Académie de Médecine, « le glutathion est présent dans la plupart des cellules animales et végétales » et joue un « rôle important dans la protection des protéines et des lipides contre les peroxydes et les conséquences éventuellement nocives des radicaux libres ». La glutathione peroxydase, de son côté, y est définie comme une enzyme qui catalyse la réduction de l'eau oxygénée par la déshydrogénation du glutathion. Cette enzyme « joue un rôle essentiel dans la protection des cellules contre les peroxydes et les radicaux libres ».

    Passé 45 ans, cependant, la production de glutathion diminue fortement. Cette production est également impactée par le sport intensif et par certains troubles. C’est pourquoi les naturopathes recommandent souvent des cures de compléments alimentaires de gluthation et papaïne

    Resvératrol et OPC de raisin 

    Le resvératrol est un polyphénol de la classe des stilbènes présent dans certains fruits comme les raisins, les mûres ou les cacahuètes. On le retrouve en quantité notable dans le raisin, et donc dans le jus de raisin et le vin qui en est issu.

    La Renouée du japon est connue pour être la plus riche en Resvératrol, un puissant antioxydant, primordiale dans le maintien d’une bonne santé. Elle possède aussi des propriétés anti-inflammatoires, et agit sur l’inhibition du mauvais cholestérol (LDL).

    Le raisin et ses composés phénoliques sont reconnus pour leur action cardiovasculaire et tonifiant des veines. Ce que nous nommons OPC (Oligomeric Proanthocynadins Complexes) sont des bioflavonoïdes ou antioxydants produits par les plantes.

    Les OPC ou Oligomères ProCyanidoliques sont des molécules naturelles issues de fruits, de légumes et de céréales. Encore connus sous les appellations Oligomères Proanthocyanidiques et Proanthocyanidines, ils sont par exemple extrait de pépins de raisin. Plus précisément des raisins rouges possédant une plus grande concentration en OPC. 

    La riboflavine (vitamine B2)

    La vitamine B2, ou riboflavine, a été isolée par des scientifiques en 1933 dans le lait : elle est donc également surnommée « lactoflavine ». Cette vitamine est nécessaire à la synthèse de plusieurs enzymes impliquées dans la production d’énergie et dans la protection des cellules contre le stress oxydatif. Elle est également nécessaire à la synthèse de la glutathion-reductase, une enzyme qui permet de régénérer le glutathion.

    Présente dans de nombreux aliments, dont les produits laitiers, la riboflavine contribue, selon les autorités de santé européennes:

    • au métabolisme énergétique normal,

    • au fonctionnement normal du système nerveux,

    • au maintien d’une peau et de muqueuses normales,

    • à la vision normale,

    • au maintien de globules rouges normaux,

    • au métabolisme normal du fer,

    • à la réduction de la fatigue,

    • à la protection des cellules contre les radicaux libres (effet antioxydant).

    Il est à noter par ailleurs que les besoins en vitamine B2 augmentent avec la dépense calorique. C’est pourquoi les AJR en riboflavine sont plus importants pour les sportifs, les enfants, les femmes enceintes, etc. Vous trouverez de la B2 dans des compléments de type Complexe de vitamines B.

    Le sélénium

    Présent dans le sol en quantités inégales selon les régions du monde et se retrouvant ainsi, toujours en quantités inégales, dans l’ensemble de la chaîne alimentaire, le sélénium est un oligo-élément important dans l’organisme puisqu’il participe, avec la vitamine E, à l’activité de la glutathion peroxydase, évoquée plus haut.

    Le sélénium est un puissant antioxydant qui contribue, selon l’EFSA (European Food Safety Authority) :

    • à la production normale de spermatozoïdes,

    • au maintien d’une chevelure et d’ongles normaux,

    • au fonctionnement normal du système immunitaire,

    • au fonctionnement normal de la thyroïde,

    • à la protection des cellules contre les radicaux libres (effet antioxydant).

    C’est pourquoi une cure de complément sélénium et vitamine C peut s'avérer très intéressante pour contribuer à lutter contre le stress oxydatif.

    La vitamine C

    L’acide ascorbique (alias la vitamine C) est sans doute la vitamine antioxydante la plus connue du grand public. Elle est présente dans de très nombreux aliments - mais pas nécessairement ceux que l’on croit : on la retrouve notamment en grande quantité dans les poivrons, le persil et le chou.

    La vitamine C contribue, selon l’EFSA :

    • à la formation normale du collagène nécessaire au bon fonctionnement des vaisseaux sanguins, des os, des cartilages, de la peau, des dents et des gencives,

    • au métabolisme énergétique normal,

    • au fonctionnement normal du système nerveux,

    • aux fonctions mentales normales,

    • au fonctionnement normal du système immunitaire,

    • à la réduction de la fatigue,

    • à la régénération de la vitamine E dans sa forme réduite,

    • à l’absorption digestive du fer,

    • à la protection des cellules contre les radicaux libres (effet antioxydant).

    On la retrouve dans la composition de nombreux compléments alimentaires conçus pour aider à lutter contre la fatigue, redonner de l’énergie, etc. comme c’est le cas du complément Ester-C® plus Vitamine C.

    La vitamine E

    Présente en grande quantité dans les huiles végétales (et donc, logiquement, dans les graines oléagineuses), la vitamine E se retrouve dans la nature sous 8 formes différentes, dont la plus connue et la plus puissante est l’alpha-tocophérol. La vitamine E agit comme un antioxydant très efficace.

    Toujours selon l’EFSA, la vitamine E contribue en effet à la protection des cellules contre les radicaux libres, et ce à plusieurs conditions :

    • si le produit contient au moins 1,8 mg de vitamine E pour 100 g,

    • s’il s’agit de vitamine E naturelle, comme avec le complément OMÉGA 3 + Vitamine E.

    Le zinc

    Le zinc, est un oligo-élément indispensable à l’action de plusieurs enzymes dans l’organisme mais aussi nécessaire à la croissance, au système immunitaire, au renouvellement de la peau, au renouvellement des cheveux, etc. De fait, les autorités européennes de santé rappellent que le zinc contribue :

    • à la synthèse normale de l’ADN,

    • au métabolisme acidobasique normal,

    • au métabolisme normal des aliments, des glucides, des acides gras, de la vitamine A,

    • à la synthèse des protéines,

    • aux fonctions intellectuelles normales,

    • à la fertilité et à la reproduction normales,

    • au maintien des cheveux, des ongles et de la peau,

    • à la vision normale,

    • au maintien des os,

    • au fonctionnement normal du système immunitaire,

    • à la division cellulaire,

    • à la protection des cellules contre les radicaux libres (effet antioxydant).

    Or, il est très fréquent que les personnes âgées souffrent d’une carence en zinc, liée à une mauvaise absorption intestinale. Cette dernière peut nuire non seulement au bon fonctionnement du système immunitaire mais aussi favoriser l’apparition de déficience maculaire liée à l’âge. C’est pourquoi il est fréquent que les personnes âgées consomment des compléments alimentaires de zinc, comme Cannelle de Ceylan ou Force des Incas.

    L’intervention du zinc dans le métabolisme des macronutriments et la synthèse des protéines conduisent aussi de nombreux sportifs, en particulier les pratiquants de musculation, à se complémenter en zinc. 

    Complexe Antioxydant 

    Complexe antioxydant , enfin, est un complément alimentaire idéal pour apporter tous les antioxydants dont l'organisme a besoin pour être en pleine forme. 

    Association de vitamines et d’oligo-éléments antioxydants qui protège les cellules de l'organisme du stress oxydatif à l’origine de dommages et de vieillissement prématuré.

  • Epigénétique: les miraculeux pouvoirs de la supplémentation

    Une étude récente

    Une étude parue le 21 août 2018 a montré que les bénéfices d’une supplémentation en sélénium et en co-enzyme Q10 continuaient de se manifester, 12 ans après son interruption. Les personnes qui avaient suivi ce traitement pendant 4 ans présentent aujourd’hui un risque de mortalité cardio-vasculaire 40 % plus faible que les personnes du groupe de contrôle initial. Cela signifie que des changements structuraux ont dû se produire chez les personnes supplémentées et que ces changements sont toujours en place aujourd’hui.

    Les effets sont remarquablement persistants, surtout chez les femmes. Ils le sont d’autant plus si vous êtes une personne à risques, par exemple avec du diabète, de l’hypertension ou un dysfonctionnement sévère du cœur. Mais ce qui est fantastique, c’est que les différences entre les personnes traitées et les personnes non traitées continuent à se creuser, et que les bienfaits augmentent avec le temps.

    Quel mécanisme peut expliquer une telle longévité des effets ?

    Il est possible que le sélénium et la co-enzyme Q10 aient modifié de manière irréversible la façon de lire et d’utiliser les gènes sans pour autant les dénaturer. Ces molécules, capables d’indiquer à la cellule les gènes qu’elle doit utiliser ou ceux qu’elle doit laisser de côté, s’appellent des facteurs épigénétiques. Selon cette théorie, le sélénium et la co-enzyme Q10 auraient influencé l’expression des gènes et permis aux personnes supplémentées d’emprunter un autre chemin, moins risqué sur le plan cardiovasculaire et qui s’écarte toujours plus du chemin emprunté par les personnes du groupe contrôle. On les soupçonne ainsi d’avoir modifié l’expression des gènes liés au stress oxydatif, à l’inflammation et à la fonction mitochondriale.

    Manque de sélénium et appauvrissement des terres

    Le sélénium est un minéral indispensable à l’être humain, bien que de très petites quantités suffisent à faire fonctionner le corps de manière optimale. Il faut le puiser dans l’alimentation car l’organisme n’est pas capable de le synthétiser. Cet oligo-élément joue un rôle capital dans le système immunitaire et la glande thyroïde, mais aide surtout l’organisme à produire des antioxydants endogènes comme la glutathion-péroxydase ainsi que diverses sélénoprotéines. Ces derniers travaillent sans relâche pour protéger les cellules de l’oxydation causée par les radicaux libres.

    En Europe, la terre est particulièrement pauvre en sélénium. Or, c’est un problème puisque la teneur en sélénium des céréales et des légumes dépend directement de la teneur en sélénium des sols où ils sont cultivés. Les concentrations sériques des Européens sont donc systématiquement en dessous de 90 μg/L alors que les chercheurs estiment que les concentrations nécessaires pour la production optimale des sélénoprotéines seraient de 90 à 140 μg/L. Voilà pourquoi la Finlande a instauré en 1984 un programme d’enrichissement des engrais en sélénium, permettant de tripler les apports alimentaires dans le pays et réduire l’incidence des maladies du cœur. Au Royaume Uni, les apports en sélénium sont passés de 60 µg/jour à 34 µg/jour en moins de 20 ans.

    De faibles concentrations sériques de sélénium sont associées à des pertes de force musculaire, un niveau plus important d’invalidité et des risques de troubles cardiovasculaires plus élevés.

    Chez les personnes âgées de plus de 75 ans, l’apport conseillé est de 80 µg par jour, prenant en compte l’augmentation du stress oxydatif avec l’avancée en âge et devant permettre de maintenir le bon fonctionnement du système immunitaire.

    Chez le sportif s’entraînant de façon intense, un apport complémentaire de 10 à 30 µg par jour, proportionnel à la dépense énergétique, est proposé compte-tenu des phénomènes oxydatifs occasionnés par le travail musculaire.

    Sources alimentaires de sélénium

    Les aliments les plus riches en sélénium sont les poissons et les fruits de mer. Ensuite, viennent les viandes, les abats, les œufs, les légumes secs, les aliments céréaliers complets et les fruits à coque.

    La levure de bière peut compléter les apports.

    Teneur en sélénium en microgrammes (µg) pour 100 g d’aliment (2)

    Lotte grillée

    425

    Pâtes au blé complet

    131

    Merlu cuit

    119

    Maquereau cuit

    95

    Limande cuite

    73

    Lapin cuit

    73

    Levure de bière

    71

    Thon en boîte

    68

    Moule cuite

    58

    Palourde ou crevette rose cuite

    52

    Sardine en boîte

    48

    Pois chiche cuit

    45

    Lentille cuite

    40

    Rôti de porc cuit

    39

    Canard cuit

    35

    Jambon cru ou cuit

    23 à 24

    Champignon de Paris

    22

    Foie de veau cuit

    22

    Œuf cuit

    20

    Poivron rouge

    19

    Noix

    19

    Poulet cuit

    17

    Chou vert cuit

    15

    Les bienfaits du sélénium

    • Le sélénium entre dans la structure de plusieurs enzymes anti-oxydantes : les glutathions péroxydases et la thiorédoxine réductase. Ces enzymes contribuent à neutraliser l’excédent de radicaux libres présents dans l’organisme, qui accélèrent le vieillissement cellulaire et favorisent la survenue de diverses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires.

    • La thiorédoxine réductase permet de régénérer les vitamines C et E, qui ont également une action anti-oxydante.

    • Le sélénium est un modulateur des réponses immunitaires (notamment antivirales) et anti-inflammatoires.

    • Il participe à la détoxification de certains composés toxiques, métaux lourds et xénobiotiques (molécules étrangères).

    • Il intervient dans le métabolisme thyroïdien.

    Pourquoi manquez-vous aussi de co-enzyme Q10 ?

    Contrairement au sélénium, la co-enzyme Q10 est produit par l’organisme, mais elle n’en reste pas moins vitale pour son bon fonctionnement. C’est un antioxydant puissant qui est déterminant dans la production d’énergie cellulaire et notamment de la fameuse molécule énergétique, l’ATP. Elle a été très étudiée pour son rôle dans la santé cognitive, la santé cardiovasculaire et le vieillissement, même si elle reste considérée comme un complément alimentaire et non comme un médicament parce qu’il s’agit d’une molécule naturelle ne pouvant faire l’objet d’un brevet pharmaceutique.

    L’organisme est en mesure de la synthétiser, mais la production diminue continuellement après l’âge de 20 ans, et elle est même réduite de moitié à l’âge de 80 ans, au niveau du tissu musculaire du cœur.

    De nombreuses recherches ont montré qu’elle pouvait réduire la pression systolique et la pression diastolique sans effet indésirable notable pour des doses variant de 120 à 200 mg par jour. Elle est considérée comme une molécule parfaitement sûre, même à très long terme, en raison de sa présence naturelle dans l’organisme.

    Propriétés de la co-enzyme Q10

    • Stimule le système immunitaire.

    • Augmente la capacité énergétique du corps grâce à son rôle d'oxygénation sur chaque cellule du corps.

    • Prévient les affections cardiaques, palpitations, angine de poitrine et hypertension.

    • Stimule la production d'hormones.

    • Elle se comporte comme un antioxydant soluble dans les graisses

    • Elle peut même réduire les effets toxiques de certaines substances utilisées en chimiothérapie.

    • Elle est aussi utile pour combattre les allergies.

    • Utile dans le traitement du diabète

    • Utile en cas de trouble gingivaux

    Une synergie entre le sélénium et la co-enzyme Q10

    Pour produire des sélénoprotéines fonctionnelles, des quantités suffisantes de coenzyme Q10 sont nécessaires tandis que pour activer les molécules de co-enzyme Q10, vous avez besoin également de sélénium. Si vous vivez vivent en Europe et que vous êtes âgés de plus de 50 ans, donc particulièrement à risque de déficiences en sélénium (ce qui est associé à une mortalité cardiovasculaire plus importante) et de déficiences en co-enzyme Q10 (du fait d’une baisse de la production endogène), vous êtes privés d’une synergie puissante capable de prévenir durablement l’apparition des troubles cardiovasculaires.

    Comment y remédier ?

    Pour prévenir les troubles cardiovasculaires, il n’y a rien de mieux qu’aider le corps à utiliser au mieux ses armes naturelles.

    • Prendre 1 gélule par jour avec un demi-verre d'eau, au moment du repas de Co-enzyme Q10 (40 mg ou 100 mg). C’est un complément conditionné sur support lipidique pour faciliter l’absorption de la molécule par l’organisme. Comme il s’agit d’une molécule difficile à produire et donc souvent onéreuse, il vaut mieux faire en sorte que sa biodisponibilité soit maximale…

    • Prendre 2 comprimés par jour à laisser fondre sous la langue, après le déjeuner et le dîner de Levure de sélénium et Vitamine C. Si vous habitez sur le continent américain, il est possible que vos apports en sélénium soient suffisants, dans ce cas, rapprochez-vous de votre professionnel de santé.

    • Faire en sorte de perdre du poids si vous avez des kilos à perdre, notamment au niveau abdominal : les graisses qui entourent les viscères sont les plus nocives pour le cœur. Idéalement, le tour de taille devrait rester inférieur à 94 cm chez les hommes et à 80 cm chez les femmes. Pour y parvenir, la somatropine naturelle semble être une supplémentation tout à fait intéressante : si elle contribue à prévenir les maladies cardiovasculaires ainsi que les récidives, c’est notamment parce qu’elle atténue le gain de poids associé à l’âge.

    • Se réserver une vingtaine de minutes par jour pour se détendre, respirer et évacuer le stress, idéalement le matin ou une heure avant le coucher.

    • Veiller à fournir au corps des apports suffisants en acides gras oméga-3 et vitamine E. Une supplémentation d’oméga-3 de bonne qualité a un effet bénéfique sur la santé cardiovasculaire.