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  • Cortisol: Tout commence avec le stress

    Définition du stress

    Ensemble des moyens physiologiques et psychologiques qu'un individu met en oeuvre pour s'adapter à un événement précis.

    Composition corporelle et hormones

    Face à un stress, l'organisme active une réaction d'alerte et libère de l'adrénaline, de la noradrénaline et du cortisol. 

    De petites quantités de cortisol sont bénéfiques mais lorsque sa sécrétion se prolonge, l'hormone du stress peut alors avoir des effets néfastes sur le bon fonctionnement de l'organisme, sur les systèmes cardio-vasculaire, immunitaire, neurologique ou métabolique. 

    Ces hormones expédient le sang du centre du corps vers les muscles et les membres pour préparer l'organisme à faire face à une éventuelle attaque. Des réponses physiologiques complémentaires assurent une réaction rapide à la menace :les pupilles se dilatent, la conscience s'intensifie, le pouls s'accélère. Lorsque la perception de la menace disparaît, le corps revient à son homéostasie physiologique, interrompant la libération des hormones jusqu'à ce que la prochaine menace apparaisse. 

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    L'hormone du stress peut également interférer avec la sérotonine, un des messagers chimiques de l'humeur de notre cerveau, et conduire à une sensation de dépression et, encore une fois, à encore plus d'envies d'aliments de consolation. Des études récentes montrent que le cortisol a un impact sur les neuromédiateurs de la prise alimentaire. La dexaméthasone stimule la prise alimentaire et conduit à une prise pondérale. Cet effet, associé à l'hyperinsulinémie secondaire et à l'insulinorésistance, stimule la lipogenèse et l'accumulation des graisses. 

    De surcroît, l'hormone du stress interfère avec l'hormone de croissance avec pour résultats une perte musculaire et un gain de masse grasse. Enfin, une élévation continuelle de l'hormone du stress peut affaiblir le fonctionnement de la thyroïde et faire en sorte que notre métabolisme ralentisse. 

    Ce mécanisme convenait parfaitement à nos ancêtres et leur survie en dépendait. Mais, dans notre monde moderne, notre organisme réagit par cette réponse aussi bien face à l'irritation provoquée par le fait que quelqu'un ait pris notre place de parking que face à un réel danger mettant notre vie en jeu. Elle ne constitue en fait que la première étape de l'adaptation au stress.

    La seconde est celle de la résistance où nous apprenons, à notre propre détriment, à nous occuper efficacement de notre stress. Elle peut durer des mois. Au cours de cette étape, les récepteurs hypothalamiques au cortisol deviennent moins sensibles à l'inhibition réactive avec pour résultat une augmentation de la production de cortisol. Une production excessive de cortisol est associée à un grand nombre de désordres métaboliques de l'axe hypothalamo-hypophyso-surénalien incluant une insulino-résistance, une obésité, une augmentation de la pression sanguine, une immuno-suppression ou la perturbation de la guérison des blessures. En fait, une élévation excessive prolongée de cortisol peut conduire à des signes et symptômes ressemblant à la maladie de Cushing.

    La troisième et dernière étape de la réaction au stress est l'épuisement des surrénales qui implique une déplétion des réserves d'énergie et une perte de résistance physique conduisant à la fatigue, à l'étouffement du système immunitaire et à une cohorte d'autres symptômes systémiques incluant des pathologies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer ou la dépression.

    Ginkgo biloba et niveaux de cortisol

    Des chercheurs ont découvert que le ginkgo biloba pouvait soulager les glandes surrénales en abaissant les niveaux élevés de cortisol, indiquant par là que cette plante pouvait prendre place parmi les substances reconnues comme adaptogènes.

    Lorsqu'il est soumis à un stress, le corps humain produit du cortisol.

    Ginkgo biloba

    INGRÉDIENTS :

    Pour 1 gélule : 60 mg d'extrait sec de feuilles de ginkgo (Ginkgo biloba L.), titré à 24% en glycosides de flavonol (soit 14.4 mg) et à 6% en lactones terpéniques (soit 3.6 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Consultez votre naturopathe en cas de prise simultanée d'anticoagulants. L'emploi chez les personnes sous tratitement antidépresseur est déconseillé. L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes est déconseillé. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Dans des circonstances normales, les glandes surrénales régulent la production de cortisol et quand la situation responsable du stress est terminée, ses niveaux chutent.

    Une épidémie très discrète

    Si vous vous sentez fatigué sans raison, que vous avez besoin de litres de café pour tenir tout au long de la journée, si vous vous sentez dépassé et stressé et que vous vous débattez désespérément contre les exigences de la vie quotidienne, si quelques exercices de gymnastique suffisent à vous épuiser pour plusieurs jours et si le moindre incident vous irrite, vous déprime ou vous épuise,… vous souffrez peut-être de fatigue surrénale. Un certain nombre de plantes et de suppléments nutritionnels peuvent aider à surmonter cette fatigue.

    Les surrénales sont deux petites glandes en forme de croissant qui coiffent le pôle supérieur de chaque rein. Chacune d'elle est composée de couches internes qui produisent différentes substances. La partie intérieure ou médullosurrénale sécrète l'adrénaline et la noradrénaline. La libération de ces hormones augmente le rythme cardiaque et la pression sanguine et détourne davantage de sang vers le cerveau, le cœur, les muscles squelettiques.

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    La corticosurrénale, située à l'extérieur de la médullosurrénale, réagit à différents types de stress. C'est là que sont produites les hormones stéroïdes comme la cortisone, l'hydrocortisone, la testostérone, les oestrogènes, la 17-hydroxy-ketostéroïde, la DHEA, le sulfate de DHEA, la pregnénolone, l'aldostérone, l'androsténédione, la progestérone et d'autres hormones, produits intermédiaires dans la synthèse. Un grand nombre de ces hormones sont également fabriquées dans d'autres parties de l'organisme, mais l'aldostérone, la cortisone et l'hydrocortisone sont uniquement sécrétées par les glandes surrénales.

    L'hormone aldostérone, de concert avec les reins, régule l'équilibre du sodium et du potassium dans le corps. Cette régulation est très importante pour de nombreuses fonctions physiologiques incluant la capacité à réagir au stress et le maintien de l'équilibre hydrique. Elle contribue même au maintien de la pression sanguine.

    Qu'est-ce que la fatigue surrénale ?

    La fatigue surrénale se définit par toute diminution de la capacité des glandes surrénales à fonctionner normalement. Cela se produit lorsque l'organisme est submergé, quand le stress sur-accroît sa capacité à compenser et à récupérer. Les surrénales se fatiguent alors et deviennent incapables de continuer à répondre de façon appropriée à de nouveaux stress.

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    A ce stade, la plupart des gens entrent dans un cercle vicieux et s'en remettent au café, au coca cola et à d'autres excitants pour lutter contre la sensation de fatigue et tenir tout au long de la journée. Ils trouvent éventuellement un second souffle et finissent de travailler très tard dans la nuit. Il leur devient alors de plus en plus difficile de commencer le matin et ils boivent davantage de caféine, perpétuant ainsi le cycle.

    Mais ce n'est que le commencement

    La fatigue surrénale se manifeste par toute une batterie de signes et de symptômes dont le plus important est la fatigue. D'autres pathologies peuvent apparaître y compris des affections respiratoires, de l'asthme, des allergies, un syndrome de fatigue chronique, une fibromyalgie ou d'autres désordres immunitaires.

    Le traitement de la fatigue surrénale

    Pour que les glandes surrénales puissent travailler efficacement, il faut les soutenir nutritionnellement. Des modifications du style de vie accompagnées de suppléments nutritionnels facilitent grandement le rétablissement. Les règles sont simples et similaires aux principes généraux pour rester en bonne santé. Un style de vie modéré avec des aliments de haute qualité, la pratique régulière d'exercices physiques, beaucoup de repos conjugués avec une attitude mentale saine doivent concourir à conserver des glandes surrénales fortes et résistantes.

    Image associée

    Cependant, le stress de la vie moderne fait que certains suppléments nutritionnels peuvent également être nécessaires pour maintenir les glandes surrénales en bonne santé tout comme pour aider des glandes surrénales épuisées à retrouver un fonctionnement normal.

    Dans le cas de la fatigue surrénale, l'un des objectifs donnés aux suppléments nutritionnels est d'aider à restaurer une libération diurne de niveaux normaux de cortisol. Si l'on apporte à l'organisme de petites quantités de substances ressemblant au cortisol, les glandes surrénales prennent du repos et ont la possibilité de se régénérer. Ensuite, une production normale de cortisol sera rétablie.

    Les adaptogènes

    Je vais vous lister quelques plantes adaptogènes qui peuvent vous aider à diminuer votre taux de cortisol, afin de contrecarrer les effets du stress pour retrouver vos performances intellectuelles.

    L'Eleuthéroccocus ou Ginseng sibérien, le Schisandra ou le Tribulus terrestris, entre autres, aident à restaurer la sensibilité des récepteurs hypothalamiques et périphériques aux effets du cortisol et d'autres hormones surrénales. De cette manière, les adaptogènes aident l'organisme à construire une réponse adaptée au stress avec des quantités de cortisol plus faibles que celles qui seraient nécessaires sans leur utilisation. Ils facilitent ainsi un retour à la normale plus rapide des surrénales. Des cliniciens ont montré que ces adaptogènes peuvent agir de façon synergique.

    Eleutherococcus ou Ginseng sibérien,

    Des études conduites par des chercheurs soviétiques ont montré que l'Eleuthérococcus a des propriétés anti-fatigue encore plus efficaces que celles du Panax ginseng. Leurs travaux ont été réalisés dans le cadre d'un programme massif de tests avec des études cliniques réalisées à travers toute l'ancienne URSS sur des ouvriers d'usines, des conducteurs de camions, des marins au long cours et des personnels militaires soumis à des stress très importants. Ces études sur le stress ont révélé que l'Eleutherococcus améliore la résistance, augmente la consommation d'oxygène, renforce l'énergie physique et la performance et réduit la pression sanguine. En 1962, l'Eleutherococcus a été déclaré par le Ministre de la Santé de l'URSS médicament officiel de phytothérapie et inclus dans le guide national des médicaments, la pharmacopée soviétique. L'Eleutherococcus a rapidement été largement disponible et patients, athlètes, cosmonautes et soldats l'ont régulièrement utilisé comme fortifiant.

    Eleutherocoque

    INGRÉDIENTS :

    Pour 2 gélules : 1000 mg d'extrait sec de racine d'éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus (Rupr. et Maxim.) Maxim.) titré à 0,8% en éleuthérosides (soit 8 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau et à répartir en deux prises, au moment des repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Le Schisandra

    Le Schisandra est une herbe largement utilisée dans la Chine ancienne et contemporaine pour traiter un grand nombre de maladies. C'est un puissant antioxydant et un agent anabolisant. Le Schisandra favorise également la glycogenèse, le processus qui convertit les hydrates de carbone en glycogène. Le glycogène est stocké dans le foie et les muscles jusqu'à ce qu'il soit utilisé et converti en glucose.

    Ce processus aide à produire l'énergie nécessaire à la revitalisation des cellules «stressées». 

    Les recherches indiquent que le Schisandra stimule le système nerveux central, probablement en augmentant la dopamine et ses métabolites dans le striatum et l'hypothalamus. La dopamine, une catécholamine sécrétée par les glandes surrénales, est un précurseur immédiat dans la synthèse de la noradrénaline qui joue un rôle pivot en aidant l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien à s'adapter au stress.

    Schisandra chinensis 2

    INGRÉDIENTS :

    Pour 1 gélule : 200 mg d'extrait sec de fruit de schisandra (Schisandra chinensis (Kurcz.) Baill.) titré à 10% en schisandrines (soit, 20 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Le Tribulus terrestris

    Dans une étude, des hommes en bonne santé ont reçu 750 mg de Tribulus terrestris quotidiennement pendant 5 jours. Leurs niveaux d'hormone lutéinisante (LH) ont augmenté de 72% et ceux de testostérone de 40%. Produite par les glandes surrénales chez les hommes comme chez les femmes, la testostérone est une importante hormone anabolisante anti-stress. Elle accélère la croissance dans les tissus, stimule le flux sanguin et affecte un grand nombred'activités métaboliques.

    Tribulus terrestris

    INGRÉDIENTS :

    Pour 1 gélule : 470 mg d'extrait sec de fruit de tribule terrestre (Tribulus terrestris L.) titré à 40 % min. en saponines (soit 188 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    L'emploi chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et adolescents, ou en cas de traitement anti-hypertenseur ou antidiabétique est déconseillé. Ne pas dépasser de la dose journalière recommandée.

    Ashwagandha

    L'Ashwagandha est une plante originaire de l'Inde particulièrement utile dans le traitement de la fatigue surrénale. Elle est également considérée comme une substance adaptogène qui normalise les fonctions de l'organisme et l'aide à s'adapter à toute une série de situations stressantes. Des études ont montré que l'Ashwagandha est capable de normaliser les niveaux de cortisol. Ses propriétés anti-inflammatoires permettent de traiter les inflammations des articulations ou les douleurs rhumatismales que l'on voit couramment chez les sujets souffrant de fatigue surrénale.

    Ashwagandha

    INGRÉDIENTS :

    Pour 2 gélules : 800 mg d’extrait sec de racine d’ashwagandha (Withania somnifera (L.) Dunal) titré à 5% en withanolides (soit 40 mg).

    CONSEILS D'UTILISATION :

    2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d’eau, deux heures avant le coucher.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Le griffonia simplicifolia

    Le Griffonia simplicifolia est une plante africaine dont les graines sont naturellement riches en L-5-HTP (Hydroxytriptophane), précurseur direct de la sérotonine, l'un des principaux neurotransmetteurs du cerveau. La sérotonine intervient dans le sommeil ainsi que dans la gestion du stress. Le Griffonia est donc une réponse naturelle extrêmement efficace pour aider à retrouver calme, sérénité et qualité du sommeil.

    Le L-5-HTP présent dans le Griffonia simplicifolia ne présente pas les effets secondaires des anti-dépresseurs de synthèse ni de risque d'accoutumance. Il permet de réduire les états anxieux et dépressifs sans aucune violence faite au fonctionnement naturel du cerveau, contrairement aux anti-depresseurs de synthèse.

    Griffonia 2

    INGRÉDIENTS :

    Pour 3 gélules : 510 mg d'extrait sec de graines de griffonia (Griffonia simplicifolia (DC.) Baill.), titré à 30% min en L-5-HTP (soit 153 mg)

    CONSEILS D'UTILISATION :

    3 gélules par jour, à répartir en 3 prises, avec un demi-verre d'eau avant des repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Le Rhodiola rosea

    Le Rhodiola rosea répond à la fatigue intellectuelle et physique; il restaure votre vivacité cérébrale et votre dynamisme naturel. Aussi appelée ”racine d'Or” -  pousse dans les régions très froide de notre planète. Il était utilisé par les Vikings, Inuits et en Sibérie pour leur donner force et courage. Doté de solides capacités régénératrices sur la santé; les propriétés de régulation et d'adaptation à la fatigue intellectuelle font du Rhodiola – titré à 5% en Rosavines –  un composant de choix. 

    Le Rhodiola rosea est une plante adaptogène : une substance naturelle complexe et rare qui permet à l’organisme de s’adapter aux différents stress de l’organisme,  quel que soit leurs origines.  Les plantes adaptogènes, apportent une réponse fonctionnelle et variable à l’individu; ils tendent à accroître les capacités homéostatiques de l’organisme.

    Rhodiola rosea

    INGRÉDIENTS :

    Pour 1 gélule : 400 mg d'extrait sec de racine d'orpin rose (Rhodiola rosea L.) titré à 5% en rosavines (soit 20 mg)

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 gélule par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    Le magnésium marin

    En France, près d'une femme sur 4 et un homme sur 6 manquent de magnesium.

    Le magnésium est essentiel à de nombreuses fonctions de l'organisme. Présent dans toutes les cellules de l’organisme (au total, le corps d’un adulte a environ 25 g de ce mineral), il participe entre autres à plus de 300 réactions enzymatiques. Il est notamment indispensable au maintien de l'équilibre nerveux et musculaire.

    L'organisme n'ayant pas de réserves en magnésium, il lui faut un apport quotidien et régulier pour répondre à ses besoins. La carence en magnésium conduit habituellement à des états de fatigue et de stress. Un apport ajusté en magnésium apporte donc détente, sérénité et énergie. Il est particulièrement indiqué aux sportifs qui de par l’exercice physique ont une grande déperdition de magnésium à l’effort.

    Magnesium marin 30 gelules 1

    INGRÉDIENTS :

    Pour 2 gélules : 600 mg de magnésium marin (óxyde de magnésium, sulfates, oxyde de calcium, chlore et fer) titré à 58.8% en magnésium élément (soit 352.8 mg) (94% VNR*)

    *VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.

    CONSEILS D'UTILISATION :

    2 gélules par jour à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment du repas.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

    D'autres suppléments nutritionnels sont utiles à la santé des glandes surrénales et/ou pour s'opposer à une surproduction de cortisol. 

    La prégnénolone est convertie en hormones anti-âge comme la DHEA, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone.

    Dhea naturelle

    INGRÉDIENTS :

    • DHEA 10 mg: Pour 1 gélule 10 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
    • DHEA 25 mg: Pour 1 gélule 25 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)
    • DHEA 50 mg: Pour 1 gélule 50 mg de DHEA (déhydroépiandrostérone), pureté 99 % min (obtenue par hémisynthèse)

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 à 2 gélules par jour, à prendre avec un demi-verre d'eau, au moment des repas. Utiliser de préférence le matin.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Ne pas utiliser en cas de grossesse ou d'allaitement, ainsi qu'en cas de cancer du sein, des ovaires ou de la prostate.

    Des supplémentations en prégnénolone peuvent aider à rectifier le déséquilibre hormonal produit par l'insuffisance surrénale liée à l'âge.

    Elles peuvent également s'opposer à une surproduction de cortisol tout comme peut le faire la vitamine C.

    Acerola

    INGRÉDIENTS :

    Pour un comprimé (2265 mg) : 1000 mg d'extrait sec d'acérola (issue de l'agriculture biologique) (Malpighia punicifolia L.) titré à 17% en vitamine C (Acide L-Ascorbique) (soit 170 mg de vitamine C) (212.5% VNR*).

    *VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence.

    CONSEILS D'UTILISATION :

    1 comprimé par jour à croquer ou à sucer.

    PRÉCAUTIONS D'EMPLOI :

    Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

  • Les pièges du développement personnel

    On veut tous s’améliorer, chacun à sa manière, pour des raisons qui sont propres à chacun.

    Certains pour la sécurité, d’autres pour le confort, d’autres encore, pour la reconnaissance. Cette tendance forte est exacerbée par le stress grandissant auquel nous sommes soumis ; et c’est probablement la raison pour laquelle de plus en plus de blogs voient le jour, consacrés au développement personnel.

    Il en existe de très bons. J’aime beaucoup, à l’occasion, me rendre sur ces blogs, et lire quelques articles. La plupart du temps, j’y trouve des réflexions intelligentes et pleines de sagesse, qui font échos à mes propres interrogations.

    Cependant, une tendance dans les sites de développement personnel m’ennuie un peu : cet accent mis sur l’efficacité personnelle. Cette volonté affichée de gommer tous ses défauts pour tendre vers la perfection. Vous savez, ces articles aux titres du genre « 10 conseils pour devenir plus productif », « 5 conseils pour développer votre mémoire », « Comment être plus efficace ».

    Ok, la promesse de ces articles semble alléchante ; et leur lecture se révèle souvent intéressante… Tant que cela reste intuitif et spontanné dans le désir de modifier uniquement un état perturbant.

    Devenir un robot ne m’intéresse pas

    J’ai du mal avec cette impression que le développement personnel me donne parfois, que je dois VOULOIR devenir efficace, productif – parfait, dans un sens.

    Je ne veux pas devenir un robot.

    D’abord, parce que c’est impossible. Et surtout, parce qu’il n’est pas nécessaire de tout contrôler pour être heureux.

    Le mieux est l’ennemi du bien

    Bien sûr, je veux pouvoir identifier mes défauts majeurs et les surmonter pour progresser dans ma vie; bien sûr, je sais que je dois me battre et lutter contre moi-même pour me tailler la vie dont je rêve.

    Mais pas au prix de me perdre dans cette course. Je veux aussi rester moi-même, je ne veux pas me laisser derrière sous prétexte de vouloir devenir une personne « meilleure ».

    Car orienter tous ses efforts vers la perfection, est selon moi un développement personnel qui se trompe de sens. Ne serait-il pas mille fois préférable d’essayer de s’améliorer, bien sûr, mais aussi, d’apprendre à vivre avec ses petits défauts ?

    Laissez-vous être !

    Je trouve incroyablement stressant, oppressant, voire, violent, de m’infliger cette espèce de course perpétuelle à la perfection et à l’amélioration. Par moment, sous couvert de développement personnel, j’ai l’impression qu’on en viendrait à s’infliger une espèce de tyrannie personnelle (ok, j’exagère probablement un peu, mais j’ai rencontré des gens qui ne vivaient plus que dans une optique de "dev perso", et croyez moi : c’est à la fois triste et effrayant).

    Je retrouve la même chose, chez certaines personnes qui, peut être parce qu’elles ont une revanche à prendre sur elles-mêmes, se lancent de toutes leurs forces dans la séduction et le Game pour devenir des "players" capables de séduire tous les êtres qu’ils désirent. Est-ce une volonté de développement personnel, ou une chimère ? Et surtout, est-ce bénéfique ? Est-ce une démarche saine et salutaire ?

    La perfection ne m’intéresse pas

    C’est tentant, mais non merci. Le prix à payer est trop élevé, et la récompense, douteuse au mieux. Après tout, réussir sa vie, est-ce être parfait ? J’en doute – et vous aussi certainement. Alors ?

    Je préfère vivre, quitte à faire des erreurs, que de vouloir me transformer en quelqu’un de parfait, 100% rationnel, efficace. Aucune envie de devenir une espèce de Bree Van de Kampf. (C.F. Série américaine "Desperate Housewives")

    A l’occasion, j’aime perdre du temps

    A l’occasion, j’aime traîner, et faire passer des choses futiles avant les choses importantes (et non, il ne s’agit pas de procrastination).

    Et non, il ne s’agit pas d’auto-complaisance non plus.

    Il y a, je pense, un juste milieu à trouver.

    Et, j’en suis sûr, il est sain d’accepter de se trouver à ce juste milieu, plutôt qu’à l’un des extrêmes que l’on a tendance à vouloir nous vendre sur les blogs de développement personnel.

    Je ne serai jamais parfait – et ça me va

    J’ai de nombreux défauts, et un certain nombre d’entre eux, je ne m’en débarrasserai jamais – même si je mets un point d’honneur à essayer. Mais je ne veux avoir ni la prétention, ni la naïveté de croire que je peux inscrire mes défauts et défaillances sur une check-list, pour m’y attaquer et les rayer un à un.

    Le développement personnel tel que je le conçois, n’est pas une course à la perfection, mais cultiver la volonté d’être bon et heureux (et peu importe sa productivité !), et la sagesse d’accepter que l’on ne gagnera pas toutes les batailles.

    Le développement personnel ne doit pas devenir une espèce de fordisme de l’Être. Ne tombons pas dans l’excès !

    Mon humble conseil : veuillez être meilleurs, mais avant tout, désirez être bons et heureux. Pour cela, apprenez à accepter que vous ne serez jamais parfait. Je crois que la clé du bonheur n’est pas loin.

  • A quoi peuvent servir nos rêves ?

    Qu’ils soient prolifiques et délirants, ou bien rares et sages, nos rêves n’ont rien d’anecdotiques ! Ils nous aident à mieux vivre, à mieux nous connaître, et parfois même nous évitent de tomber malades… 

    Tout le monde rêve

    Nos vrais rêves sont apparus vers l’âge de 2 ans. Depuis, notre activité onirique n’a pas cessé. Et pour cause, elle est indispensable à notre équilibre psychique : on peut rendre quelqu’un fou en l’empêchant de rêver ! Tout le monde rêve, mais on peut avoir tendance à n’en garder aucun souvenir.

    Parce qu’on ne s’y intéresse pas vraiment. Ou parce qu’on les refoule lorsqu’ils se font la voix de notre inconscient, et nous adressent un message que nous n’avons pas envie d’entendre. « La clé des songes est sous le paillasson » disait joliment Jacques Prévert. Et si nous décidions d’aller la chercher ?

    Ils nous libèrent

    Durant la journée, nous sommes prisonniers de toutes sortes d’obligations, sommés de jouer un rôle. Les rêves sont la libération de chaque nuit ! Il n’y a plus de logique, de morale, de chaînes, tout devient possible, même les scénarios les plus incroyables. Ils nous permettent d’exprimer ce que nous sommes au-delà de ce que notre conscience veut que nous soyons. Une part plus créative et imaginative de nous-mêmes, souvent aussi plus érotique se déploie alors. 

    Grâce à cette libération brutale, massive et virulente de nos désirs inconscients les plus fous, nous réussissons à beaucoup mieux supporter les contraintes du quotidien ainsi que les exigences et interdits moraux posés par le surmoi dans la vraie vie. Nos rêves sont une indispensable soupape de décompression sans laquelle la cocotte menacerait d’exploser !

    Ils nous protègent de nous-mêmes

    Parmi les désirs inconscients qui s’expriment dans nos rêves, certains ne sont pas jolis jolis… Meurtres, incestes, cruelles vengeances, nous sommes capables du pire ! Les rêves nous permettent d’évacuer ces sentiments encombrants. Mais heureusement pour nous, notre inconscient est très habile pour avancer masqué : il se débrouille pour imaginer des scénarios qui travestissent nos appétits inavouables de manière à les rendre plus acceptables à nos yeux. Ainsi, notre envie de tuer notre sœur ne se donnera pas à lire de façon limpide et directe : elle sera par exemple déplacée sur une autre personne. C’est toute l’efficacité de la censure qui opère à l’encontre de tous nos rêves. 

    Ses ressorts sont très inventifs ! Pour brouiller les pistes, elle peut en effet procéder par déplacement. Mais aussi par condensation (plusieurs événements sont regroupés) ou encore par inversion (vous devenez la victime de la personne à qui vous cherchez des noises). C’est un formidable jeu de déguisement et de trompe-l’œil destiné à atténuer la violence de nos sentiments et à nous en dédouaner.

    Ils nous alertent

    Deux types de rêves méritent qu’on leur accorde une attention plus poussée. Ceux qui se répètent inlassablement et ceux qui nous laissent une impression tenace toute la journée. C’est le signe que notre inconscient frappe avec insistance à la porte de notre conscience pour lui délivrer un message important. Une souffrance, un blocage émotionnel, un événement passé non digéré qui infecte notre présent… Ou bien une aspiration puissante que l’on étouffe par peur de se lancer et de la réaliser.

    Oui, mais que faire de cette alerte ?

    L’entendre absolument sinon le message deviendra symptôme (fatigue, dépression, même maladie). Sans chercher à interpréter son rêve, ce qui est toujours très complexe, on peut au moins tenter des associations. La personne qui rêve à répétition d’un appartement vide et dévasté, avec des papiers peints déchirés, peut par exemple se demander ce qu’un appartement représente pour elle, ce qu’évoquent pour elle les papiers peints du rêve, etc. C’est en ouvrant le questionnement le plus largement possible, en tirant des ficelles, que la souffrance ou le blocage va finir par se déverrouiller, se défiger.

    Ils nous révèlent à nous-mêmes

    Très souvent, nos rêves sont en avance d’un temps sur notre vie ! Ils adviennent comme des annonciations. Ils disent quelque chose que notre conscience ne peut encore se formuler très clairement, ils révèlent ce qui commence tout juste à se faire présent en nous mais nous échappe encore.

    L’inconscient dont se nourrissent les rêves est capable de faire des liens entre des événements qui nous arrivent, de leur donner du sens alors même que la conscience n’y parvient pas. Ainsi, il va comprendre que telle rencontre sera importante pour nous dans un proche avenir. Il va interpréter certains malaises physiques (gargouillements de ventre, migraines, etc.) auxquels nous n’attachons aucune importance comme le signe que nous ne sommes pas au bon endroit, pas en cohérence avec nous-mêmes et qu’il conviendrait peut-être de changer de voie. Et il va s’arranger ensuite pour nous le faire comprendre par l’entremise des rêves.

    Ils nous relient au monde

    Nos rêves ne sont pas reliés à notre seule intimité mais aussi à une dimension beaucoup plus large et universelle. Comme si pour les fabriquer, l’inconscient puisait dans une réserve d’images datant de plus de deux millions d’années !

    En cela, ils rejoignent les contes et les mythes qui nous transmettent une sorte de patrimoine commun de l’humanité, fondé sur ces archétypes que nous partageons tous, quelle que soit l’époque ou le pays où nous vivons : la peur d’être abandonné ou de mourir, le besoin d’amour et de liens, les questions autour des origines, etc. Quand nos rêves nous parlent de ces grands standards propres à l’humain, ils nous rassurent en nous montrant que nous ne sommes pas les seuls à nous débattre avec ces questionnements existentiels.

    Ces rêves-là nous connectent à un passé lointain et à un avenir qui ira bien plus loin que notre propre existence, nous mettent en lien avec autrui bien au-delà de notre famille et de nos amis. Sans même que nous nous en rendions compte, ils nous donnent de l’ampleur et nous grandissent.

    Comment apprendre à s’en souvenir ?

    Très peu de personnes se souviennent de leurs rêves… et beaucoup en nourrissent une forte frustration : sentiment de passer à côté d’un élément clé pour se comprendre ou encore de manquer de créativité et de richesse intérieure. Or on peut combattre cette amnésie en s’entraînant !

    Le matin, plutôt que de se lever à l’instant même où le réveil sonne et de laisser les dernières bribes de rêves être submergées par l’activité mentale d’une journée qui commence sur les chapeaux de roue, prenons le temps de nous remémorer ce qui reste de l’activité onirique de la nuit.

    Au début, ce ne sera pas grand-chose. Puis au fil des jours, pris sous les feux de notre attention et de notre concentration, les rêves s’échapperont de moins en moins.

    On peut aussi profiter des micro-réveils de la nuit pour noter un rêve dont on se souvient à cet instant précis : trois mots griffonnés dans le noir (pour ne pas risquer de compromettre l’endormissement) suffiront le lendemain matin à le récupérer.

    Alors ne vous endormez plus sans un petit carnet et un stylo sur votre table de chevet !

  • La naturopathie au fil des saisons

    L’humain comme tous les êtres vivants est soumis aux cycles de la vie et aux rythmes des saisons.

    Tout comme la plante, nous connaissons un réveil de vitalité au printemps qui s’épanouit en été pour se concentrer en hiver.

    Ce mouvement d’expansion d’énergie et de rétraction s’auto perpétue. Ce cycle est nécessaire et indispensable à la vie.

    Ce sont ces rythmes naturels que la naturopathie respecte et accompagne.

    C’est pourquoi, les aliments consommés, les activités, les rythmes conseillés ne sont pas les mêmes au printemps qu’en hiver, nos besoins étant différents.

    De même qu’il y a un temps pour nettoyer, drainer et un temps pour concentrer et intérioriser nos forces.

    La consultation du naturopathe au changement de saison aura pour but :

    - de vérifier votre état énergétique, sa cohérence avec la saison

    - d’adapter l’hygiène alimentaire et de vie en conséquence

    Cependant il n’y a pas de règle absolue. Et même si la saison se prête à un drainage, celui-ci peut ne pas être adapté à ce moment là, à tout le monde. Il convient de vérifier si l’organisme est prêt pour cela, c’est l’objectif du bilan de vitalité.

    Les maux au fil des saisons  …..

    Certains symptômes sont la résultante d’un manque d’adaptation aux changements, c’est le cas par exemple de la dépression saisonnière ou des allergies qu’il est possible d’améliorer en naturopathie.

    Dans le cas des  pathologies hivernales (rhinites, laryngites, grippe, gastro-entérite, …), le naturopathe favorisera un accompagnement préventif afin de renforcer l’immunité. La démarche du naturopathe sera toujours d’améliorer le terrain de façon à optimiser vos réactions adaptatives.

    Notion de terrain

    Le terrain en naturopathie est constitué de l’ensemble des liquides dans lequel baigne notre organisme. Nous sommes fait à 70 % de liquide, c’est beaucoup….

    Dans lequel baignent quelque chose comme 10 milliards de cellules…

    Tout comme le terreau de votre jardin, les cellules dépendent du milieu dans lequel elles vivent : elles doivent en recevoir des éléments nutritifs, elles ont besoin d’échanger des informations pour coordonner le fonctionnement global du corps et elles ont aussi à évacuer des déchets ou des toxines.

    Quand les cellules baignent dans un milieu acide et encrassé de déchets, elles ne peuvent pas remplir leur rôle et c’est l’organisme dans son entier qui fonctionne mal. L’acidification du terrain est la source de nombreux troubles de santé.

    Le bon fonctionnement des cellules est totalement dépendant de la qualité du milieu qui les abrite, vous comprenez donc que l’environnement de vos cellules détermine votre état de santé.

    Le corps cherche constamment à maintenir le milieu intérieur dans un équilibre parfait pour permettre le bon travail des cellules.

    Plus le corps est chargé de toxines, plus il utilise d’énergie vitale pour se défendre, il s’y épuise !

    Comment amorcer le changement de saison, particulièrement lorsqu’il s’agit de l’hiver et de tout son cortège de troubles qui l’accompagne ?

    Souvent le changement de saison touche certains d’entre nous de façons particulières, troubles liées aux voies respiratoires, épisodes de refroidissement, réveil des douleurs rhumatismales… mais aussi troubles de l’humeur, fatigues…

    Voici quelques pratiques, à portée de tout le monde (ou presque) qui vous aideront à éviter ou au moins à réduire la fréquence et l’intensité de toutes ces manifestations souvent handicapantes, lesquelles ne sont que des cris d’alarme que manifeste le corps à la situation de surcharge en toxines dans laquelle il se trouve.

    1. Apprendre à connaître sa constitution soit en faisant une recherche personnelle (livres, internet), soit en consultant un praticien naturopathe.
         
    2. Revoir son alimentation soit du point de vue de la constitution, soit du point de vue de l’état de santé actuelle.

    Alimentation

    Concernant ce 2ème point, voici quelques orientations générales qui rendent de bons services à ceux qui les pratiquent :
           
    Manger lorsque le sentiment de faim se fais sentir (dans la mesure du possible), ce qui veut dire apprendre à différencier l’appétit physiologique de l’envie psychologique de manger (compensation), qui sont deux sentiments souvent confondus et dont l’origine est complètement différente.
           
    * Supprimer ou réduire les produits alimentaires industriellement transformés, c'est-à-dire tous ceux qui ont subi la pasteurisation, l’UHT, la chaîne du froid ou l'irradiation, la conservation par cuisson, les additifs alimentaires, comme les colorants, les exhausteurs de goût, les antioxydants, les conservateurs…
           
    Dans la mesure du possible réduire voire supprimer complètement les produits issus de l’industrie du lait, comme par exemple les yoghourts, les fromages, le lait et tous les autres produits qui en contiennent.
           
    Agir de même avec le blé, qui pour information, n’a plus rien avoir avec le blé originel, il a subi excessivement des manipulations de toutes sortes, le rendant peu reconnaissable par la cellule humaine (incompatibilité moléculaire et énergétique).
           
    * Manger simplement à chaque repas (deux à trois aliments par repas pas plus).
           
    *
     Augmenter la ration de crudités, car c’est là que le corps (la cellule) peut trouver les matériaux essentiels et en bons états soit avec leurs pleins potentiels de vitamines (détruites par la chaleur et la manipulation), les sels minéraux (transformés par la chaleur et autres additifs), de même pour les oligoéléments, s'il en reste, les enzymes (complètement détruites à plus de 40°c pour la plus grande majorité, les bactéries, les ferments, ainsi que d’autres substances utiles à la vie, sans oublier tout l’aspect énergétique qui accompagne l’aliment.

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  • 6 raisons qui expliquent votre manque de motivation

    Peut-être ne faites-vous pas un bon usage de votre volonté. Voici six raisons qui pourraient expliquer pourquoi vous avez du mal à mener une vie saine.

    L’autodiscipline: qu’est-ce qui se cache derrière?

    Voici de quoi faire réfléchir: dans 88% des cas, nous n’arrivons pas à tenir les résolutions que nous prenons le Jour de l’an. Il semble bien que nous souffrions d’un manque chronique de volonté. Il n’y a rien là de bien étonnant; après tout, les tentations nous entourent de toutes parts. La camelote alimentaire est omniprésente et, reconnaissons-le, il est difficile de résister à toutes ces saveurs. Et puis, qui aurait envie de troquer son fauteuil pour une séance au gym, alors que l’écran de télé géant, le poker en ligne ou Twitter requièrent notre attention?

    Ce n’est pas que nous manquions de volonté, mais plutôt que nous n’avons jamais eu à la mettre véritablement à l’épreuve. Heureusement, il suffit de savoir en quoi consiste l’autodiscipline pour comprendre ce qui ne va pas et apporter les correctifs nécessaires.

    Voici six raisons qui expliquent le déclin de votre volonté ainsi que des solutions pour remédier au problème.

    1. Vous en demandez trop à votre volonté

    On a montré dans un grand nombre d’études que la volonté avait des limites. Autrement dit, quand vous avez épuisé vos réserves, vous êtes sans moyens. Au cours de l’une de ces études, on avait donné à un premier groupe (A) la consigne de regarder une scène vidéo ennuyeuse, mais pas au second (B). Puis on a demandé aux deux groupes d’encercler, sur un long document, toutes les lettres «e». Le groupe A, qui avait déjà épuisé une partie de sa volonté à regarder la vidéo, a abandonné plus rapidement que le groupe B.

    En d’autres mots: Si vous avez pris la décision d’arrêter de fumer et de faire de l’exercice cinq fois par semaine, ne faites pas les deux choses en même temps. Échelonnez vos objectifs sur un an. Et si possible, n’attendez pas la fin de la journée, alors que vos réserves de volonté sont déjà à moitié épuisées, pour entreprendre quelque chose d’exigeant.

    2. Vous choisissez mal votre moment

    Des chercheurs ont révélé que la volonté était sous la responsabilité du cortex préfrontal, qui gère également la mémoire à court terme et l’aptitude à se concentrer sur un problème et à le résoudre. C’est beaucoup pour une si petite partie du cerveau. En quoi cette découverte est-elle importante? Eh bien, quand ces deux autres fonctions réclament l’attention du cortex préfrontal, ce dernier manque tout simplement d’énergie pour stimuler la volonté. Lors d’une étude menée à l’Université de Stanford, on a donné à deux groupes la consigne de mémoriser un nombre, qui comprenait deux chiffres, pour le premier et sept, pour le second. Les deux groupes devaient ensuite emprunter un couloir au bout duquel on leur offrait de choisir entre deux collations, soit un morceau de gâteau au chocolat ou une salade aux fruits. Les sujets du groupe auquel on avait demandé de mémoriser le nombre à sept chiffres ont choisi deux fois plus souvent le gâteau que les fruits.

    En d’autres mots: si votre journée s’est avérée exigeante pour votre cortex préfrontal, par exemple si vous avez dû vous concentrer intensément, résoudre des problèmes abstraits ou exercer votre mémoire à court terme, adaptez votre emploi du temps de manière à faire appel à votre volonté plus tôt dans la journée, avant que votre cerveau ne soit fatigué: entraînez-vous le matin et évitez de faire les courses le soir et, si vous le devez, tenez-vous loin du rayon des friandises.

    3. Vous êtes à court de glucose

    La volonté nécessite une source d’énergie, plus précisément du glucose. On a montré dans plusieurs études que le recours à la volonté épuisait les réserves de ce sucre. Si vous négligez de refaire ces réserves, vous aurez beaucoup plus de mal à tenir vos résolutions. En revanche, il suffit de prendre une source de glucose, par exemple du jus ou un fruit pour corriger le déséquilibre. Cependant, il est important de prendre du vrai sucre: Roy Baumeister, psychologue à l’université d’état de la Floride, a fait la preuve que les sujets qui buvaient de la limonade édulcorée au succédané de sucre n’arrivaient pas à s’auto-discipliner autant que ceux dont la limonade était édulcorée au sucre.

    En d’autres mots: avant de baisser les bras, prenez un aliment sucré; il vaut mieux que ce soit un fruit, mais si vous n’avez qu’une boisson sucrée ou une friandise à portée de main, allez-y. Limitez-vous toutefois à quelques gorgées ou petites bouchées.

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