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  • Vitamine D3, quelles synergies ?

    L'autre jour, un de mes amis me rapportait qu'en période de Coronavirus, l'intérêt indéniable de prendre de la vitamine D3 se faisait pressente.

    Je l'informais que cela était nécessaire mais qu'il devait envisager en parallèle une refonte complète de son hygiène alimentaire.

    Je perçu une forme de peur dans ses propos, car il aurait voulu beaucoup plus de prévention, quand je lui ai rappelé :«le mieux est souvent l'ennemi du bien».

    Dans un premier temps un rééquilibrage alimentaire peut être très efficace, mais pas du style « régime équilibré », ou les fameux « 5 fruits et légumes par jour », non, non, non, votre corps mérite mieux. N'oubliez surtout pas que vous n'en avez qu'un!

    Équilibré, certes, mais surtout dissocié, sinon à quoi cela sert-il de consommer tant de calories par jour, si c'est pour que votre corps dirige les nutriments vers la direction sortie "selles ou urine", sans que ceux-ci n'aient joué leurs fonctions premières?

    Et puis, travailler sur un certain nombre de calories par jour à consommer, c'est un peu comme essayer de jouer au cerf-volant un jour sans vent. Vous aller devoir courir!

    Donc pour en revenir à la vitamine D3, j'ai lu sur certains sites, qu'il fallait éviter d'en prendre associé à l'échinéacée. Cause première, l'orage ou tempête de cytokines. Tiens donc...

    J'ai même été grandement surpris de lire qu'en période de Covid-19, la prise de compléments alimentaires devait être stoppée. Et hop ! Solution radicale s'il en est.

    Bien entendu, à titre préventif, je vous déconseille fortement cela.

    Vitamine D: rôle fondamental

    La vitamine D a une action sur plus de 600 gênes au niveau des alvéoles pulmonaires. Le déficit en vitamine D semble contribuer au développement de la détresse respiratoire aiguë. Or la majorité de la population adulte manque cruellement de Vitamine D (Il faut la doser régulièrement). De plus la Vitamine D diminue la libération de cytokines inflammatoires, celles-là même qui provoquent les décès. Plusieurs chercheurs du monde entier ont montré que la supplémentation en vitamine D permettait de diminuer significativement les niveaux d’interleukine-6 (une cytokine pro-inflammatoire). Manquer de vitamine D est donc très certainement un facteur de risque d’inflammation excessive, y compris au niveau pulmonaire.

    En 2017 le BMJ (British Medical Journal) publie une nouvelle méta-analyse montrant que «la vitamine D protège globalement des infections respiratoires». Dans cette étude également il est mis en évidence que les fortes doses prises tous les mois ou tous les trois mois via des ampoules sont inefficaces. C’est malheureusement la forme de vitamine D la plus souvent prescrite par les médecins.

    Par ailleurs la vitamine D joue un rôle fondamental sur l’immunité. De plus, elle agit aussi en produisant des substances naturelles anti-infectieuses actives contre les virus.

    Les Alkyglycérols

    Les alkylglycérols sont des lipides-éthers présents naturellement chez l’être humain, dans la moelle osseuse, la rate, le foie et le lait maternel, c’est-à-dire dans les organes directement impliqués dans le système immunitaire.

    • Stimulent la production des anticorps, des leucocytes (dont les Lymphocytes B), des érythrocytes et des plaquettes

    • Aident à lutter contre les maladies infectieuses

    • Ont un rôle bénéfique dans les allergies, les rhumatismes, le psoriasis et les inflammations

    • Accélèrent la cicatrisation

    • Favorisent l’élimination des métaux lourds et des pesticides…

    D’autres stimulants immunitaires aident également comme l’Echinacée ou le Shiitaké …

    Comme vous pouvez le voir, la prise de compléments alimentaires est une nécessité absolue. Bien entendu il existe certains intérêts économiques laissant préférer d'autres solutions à visées médicales. David contre Goliath, mais qu'en est-il d’Hippocrate et de son serment?

    Vitamine D3 et synergies

    Étant donné que les journaux ne cessent d'en parler...

    Chacun connaît désormais le rôle essentiel de la vitamine D sur la santé.

    Mais savez-vous quels composés bénéfiques associer à votre cure de Vitamine D3?

    Plusieurs études ont montré que la vitamine D3 végétale est la forme la plus stable et la plus biodisponible pour l’organisme. Il est donc préférable de privilégier cette forme.

    Première synergie très intéressante : unir ses bienfaits à ceux du magnésium.

    Je vous rappelle que cet oligo-élément indispensable contribue à un métabolisme énergétique normal, joue un rôle dans la division des cellules...

    Choisissez un complément hautement biodisponible, comme Magnésium marin + vitamine B6.

    Par ailleurs, je vous conseille vivement d'associer vitamine D3 et Echinacea Purpurea & Angustifolia, comme démontré ci-dessus.

    Cette super-plante est connue pour contribuer au fonctionnement du système de défense de l'organisme.

    Choisissez plutôt un extrait d'échinacée, comme Echinacea Purpurea & Angustifolia.

    Enfin, vous avez tout intérêt à combiner la « vitamine du soleil » avec une autre vitamine moins connue du grand public :

    La vitamine K, qui contribue à la coagulation sanguine normale, au maintien d'os normaux, etc. Pour en bénéficier sous une forme des plus efficaces, optez pour l'Huile végétale de bourrache.

  • L’huile de Haarlem, ce remède ancien à redécouvrir

    Vous souvenez-vous ou avez-vous déjà entendu parler de l’huile de Haarlem, peut-être, alors que ce remède qui date du XVI ème siècle, est encore largement prescrit jusque dans les années 1900 ?

    Confrontés aujourd’hui à une épidémie affectant particulièrement la sphère pulmonaire et responsable de réactions inflammatoires gravissimes, peut être aurait-on intérêt à s’inspirer de vieux remèdes prescrits pendant plusieurs centaines d’années.

    Selon d’anciens documents, elle fût même agréée par la Sécurité sociale dans les années 1960.

    Historique

    Sa découverte par un chercheur alchimiste néerlandais Claes Tilly, maitre d'école, peut-être d'après un processus de fabrication d'Herman Boerhaave, vieille de 400 ans, a lieu aux Pays-Bas dans la ville de Haarlem, qui donnera sobrement son nom à cette préparation.

    Elle a pour particularité d’apporter du soufre particulièrement bio-disponible pour l’organisme.

    Le médecin Hermann Boerhave, également chimiste et botaniste et assez célèbre à son époque contribuera largement à en répandre l’usage dans toute l’Europe dès 1696.

    Son usage est également diffusé dans le monde entier par les marins néerlandais qui en font un grand usage, car elle est peu onéreuse.

    Au départ, plusieurs huiles de Haarlem sont créées, toujours en associant des huiles essentielles, des huiles végétales et du soufre : une seule fut conservée et diffusée largement en raison de ses bons résultats : celle associant l’essence de pin, l’huile de lin et le soufre.

    De par son succès commercial, l'huile de Haarlem a connu beaucoup d'imitations. On alla jusqu'à copier les bouteilles et les étiquettes. L'histoire fait mention d'un produit utilisant le nom Waas Tilly, imitant Claes Tilly. C'est pourquoi au XVIIIe siècle les héritiers de Tilly ont introduit le nom d'Oprechte Haarlemmerolie (Véritable huile de Haarlem) et pourvu les étiquettes d'une signature secrète.

    Sa licence exclusive de fabrication est acquise en 1924 par un laboratoire français, le laboratoire Thomas.

    Par la suite, le Dr Lefévre, gendre du fondateur du laboratoire Thomas, procédera aux premiers travaux scientifiques autour de l’huile de Haarlem.

    Le laboratoire Lefèvre est aujourd’hui encore détenteur de la licence de fabrication de l’huile de Haarlem.

    Dans les années 1980-1990, les études apportèrent la preuve de l’exceptionnelle biodisponibilité de soufre non oxydé présent dans l’huile de Haarlem, contrairement au soufre minéral dont la disponibilité est très faible.

    Le soufre : un élément essentiel

    Le soufre n’a pas toujours bonne presse. Dans le langage courant, avoir une réputation sulfureuse n’est pas précisément un compliment.

    Le soufre occupe pourtant un rôle central dans le fonctionnement de la cellule, notamment dans son métabolisme énergétique.

    C’est le composant principal des acides aminés soufrés (méthionine ou cystéine), mais il entre également dans la composition de l’insuline, des tendons, de l’acide sulfo chondroitique des cartilages, de la thiamine (vitamine B1), des enzymes de détoxification comme le gluthation, des antioxydantes comme la super oxyde dismutase…etc.

    Anétholtrithione

    On a identifié comme substance active de l'huile de Haarlem le composant anétholtritione.

    L'anétholtrithione présente quelques effets cholinergiques, et améliore entre autres la sécrétion salivaire. Pour cette raison il est surtout utilisé contre la "gueule de bois".

    Le terme cholinergique fait référence à tout agent qui stimule ou simule l'action de l'acétylcholine. Il s'applique également aux fibres nerveuses qui activent l'acétylcholine, un neurotransmetteur qui joue un rôle important aussi bien dans le système nerveux central, où elle est impliquée dans la mémoire et l'apprentissage, que dans le système nerveux périphérique, notamment dans l'activité musculaire et les fonctions végétatives.

    L'insuffisance de salivation (xérostomie) est un effet secondaire de beaucoup de médicaments psychotropes et des tranquillisants, et peut être la suite d'une intervention chirurgicale pratiquée dans le larynx. À son tour, l'insuffisance de salivation peut causer une accélération du développement de caries. Ainsi, on a rapporté quelques dizaines de recherches sur l'anétholtrithione et son effet salivant dans l'Index Medicus et l'Index Dental Literature.

    Sur le Web, on trouve plusieurs recherches en cours sur les applications possibles de l'anétholtrithione dans la Chine et le Japon, pays producteurs de l'anis étoilé, riche en anéthole, le précurseur chimique d'anétholtrithione.

    Huile de Haarlem et toxines

    On sait aussi que l'huile de Haarlem favorise l’élimination des toxines et la chasse biliaire.

    Les propriétés détoxifiantes d’une plante comme le radis noir sont bel et bien liées à leur richesse naturelle en souffre.

    Son rôle structurel dans les os et les cartilages le fait traditionnellement conseiller dans toutes les manifestations rhumatismales, inflammatoires ou non.

    Huile de Haarlem

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    Les cures thermales réputées pour les douleurs articulaires sont d’ailleurs celles exploitant une source d’eau soufrée, à l’odeur particulièrement incommodante…

    Elle est également réputée pour améliorer les manifestations allergiques, les infections ORL chroniques et les affections respiratoires créatrices de nombreuses mucosités comme l’asthme ou la bronchite.

    L'huile de Haarlem n’est pas inscrite comme médicament.

    Une association complémentaire

    Dans l’huile de Haarlem, le soufre est associé (et même transformé grâce) à l’huile essentielle de térébenthine de pin, aux vertus démontrées sur les affections respiratoires. Ses terpènes sont dotés de propriétés anti-inflammatoires, antiseptiques, expectorantes et stimulantes.

    Enfin, dernier composant de l’huile de Haarlem, l’huile végétale de lin, particulièrement riche en acides gras omégas 3, dont les propriétés anti inflammatoires ne sont plus à démontrer.

    Quelles sont ses utilisations?

    A l’origine, elle est particulièrement réputée pour son action sur les calculs urinaires et biliaires, mais aussi pour son action généralement détoxifiante sur le système digestif.

    Tous les problèmes digestifs, (ballonnements, mauvaise haleine, nausées, migraines…) sont réputés être améliorés par la prise d’huile de Haarlem.

    Même les parasitoses intestinales (oxyures, ascaris ou amibes) font partie des indications fréquentes.

    A l'époque on lui donne également une indication particulièrement marquée pour les troubles rhumatismaux divers.

    Elle est bien sur conseillée en cas d’infections des voies urinaires, mais aussi de bronchites et d’état grippaux.

    A l’époque de l’épidémie de grippe espagnole, elle était couramment prescrite.

    Le poète Apollinaire, mort de la grippe espagnole, aurait refusé d’en prendre, de même qu’un de ses compagnons.

    Sur les 72 malades présents avec eux, les 70 autres furent guéris.

    Difficile aujourd’hui de faire la part entre réalité et légende, mais il est effectivement probable que l’association des propriétés anti inflammatoire, expectorante, mucolytique et antiseptique réunies par ses trois composants pouvait être particulièrement favorable aux malades infectés.

    Usages pratiques de l’huile de Haarlem

    Elle est disponible en capsules gastro-résistantes et généralement préconisée à raison de 1 à 2 capsules par jour pendant 3 semaines pour son action sur les troubles rhumatismaux et les affections ORL chroniques.

    En prévention pour renforcer un terrain sensible, 1 capsule par jour est suffisante.

    Les capsules sont à prendre de préférence avant le repas du soir, avec un grand verre d’eau.

    De légères réactions digestives (ballonnements notamment) ne sont pas rares lors des premières prises mais s’estomperont rapidement.

    En cas de système digestif fragile (lenteurs digestives, calculs biliaires…), commencez par une demi dose et demandez conseil à un thérapeute avant toute complémentation.

    Je vous déconseille l'usage de l'huile de Haarlem en cas de calculs biliaires de taille importante.

    Son utilisation pluri-centennaire n’a pas noté d’effets secondaires ou contre-indication particulière, mais elle est évidement contre indiquée en cas d’allergie au soufre.

    Par mesure de prudence, elle est déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes.

    En raison de la présence d’huile de lin, prudence en cas d’antécédent de cancers hormonaux dépendants.

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