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  • Maladie d’Alzheimer: nouvelle piste thérapeutique

    Depuis le mois d'août 2018, les médicaments prescrits à un malade touché par la maladie d'Alzheimer ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale. C'est sûr, cela permet de coquettes économies, car aujourd'hui en France, 800.000 personnes sont touchées par cette maladie qui entraîne une dégénérescence du cerveau.

    Force est de constater qu'ils n'étaient pas très efficaces et entraînaient de lourds problèmes digestifs, cardiovasculaires et neuropsychiatriques.

    Vous n’êtes plus vraiment vous-même

    Ce qui fait le plus peur dans la maladie d’Alzheimer, c’est de perdre son identité. On dit aussi « perdre la tête ». En réalité, les victimes gardent une identité propre mais elle se transforme insidieusement et irrémédiablement. L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes : elle se construit et évolue tout au long de l’existence au fil des souvenirs et du temps. Ce qui vous donne le sentiment d’être la même personne qu’hier, que le mois dernier ou qu’il y a 20 ans, ce sont les souvenirs que vous avez de ces époques comme appartenant à votre passé. C’est la combinaison et l’interprétation de ces souvenirs à la lueur de votre situation présente qui forgent votre identité.

    Chez les personnes victimes de la maladie d’Alzheimer, la disparition progressive de certains souvenirs et l’incapacité d’en former de nouveaux les amènent à construire des identités en décalage avec ce qu’ils étaient auparavant. D’ailleurs, les proches des victimes rapportent souvent qu’elles ne sont plus celles qu’ils ont connues. Elles n’ont pas totalement perdu le sens de qui elles étaient, mais le processus identitaire est restreint à des souvenirs plus anciens et parfois très épars. Normalement, la mise à jour du processus identitaire se fait vers l’avant, de façon à intégrer les nouveaux souvenirs emmagasinés, mais dans le cas de la maladie d’Alzheimer, la mise à jour se fait à l’envers avec la perte progressive des souvenirs.

    Il arrive donc souvent que les victimes ne reconnaissent pas leurs enfants car ils ont perdu les souvenirs correspondant à cette tranche de vie. Pour les mêmes raisons, elles se présentent parfois sous un jour beaucoup plus jeune. Par exemple, certaines patientes sont persuadées d’avoir 17 ans et de devoir rentrer chez leurs parents.

    Deux mots craints par-dessus tout

    D’après un récent sondage, vous seriez plus de 85 % à craindre par-dessus tout cette maladie neurodégénérative dont le nom résonne comme celui d’un savant fou et cruel.

    Il faut dire que "l’épidémie" qui frappe les pays occidentaux est sans précédent : 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année et d’ici 2020, 1 français de plus de 65 ans sur 4 sera touché par la maladie d’Alzheimer.

    65 ans, ça n’est pas un âge très avancé puisque c’est l’âge légal du départ à la retraite dans de nombreux pays d’Europe… A cet âge, vous aimeriez probablement ressembler, comme tout le monde, à cette figure charismatique, sage et respectée, ce vétéran qui a toujours une histoire à raconter et devant lequel on s’incline avec admiration et bienveillance.

    Malheureusement, pour beaucoup, la réalité est autrement plus glaçante

    Souillure, dégénérescence, dépendance, incontinence… Les mots qui surgissent à l’évocation de la maladie d’Alzheimer sont terribles. Tout le monde ou presque s’accorde pour dire que c’est l’une des façons les plus angoissantes et les plus effrayantes de vieillir, mais aussi de mourir : la démence est un naufrage de l’esprit qui empêche d’être maître de son destin, de ses dernières volontés. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique pourquoi elle est en passe de détrôner le cancer au rayon des hantises.

    Vous n’avez plus les mêmes goûts

    La modification progressive de l’identité provoque également des changements au niveau des affinités, des goûts et des centres d’intérêt. Il arrive ainsi que des personnes passionnées par la littérature ou éprises par le monde des arts n’en voient soudainement plus du tout l’intérêt.

    Vous êtes mis à l’écart

    Voilà l’une des pires conséquences de la maladie : un décalage terrible se creuse entre la victime et son entourage. Comme elle n’arrive plus à répondre aux attentes de ses proches (parce qu’elle ne se souvient pas de tel événement, parce qu’elle ne reconnait pas tel visage ou parce qu’elle n’apprécie plus des choses qu’elles partageaient autrefois avec eux), ils perdent en retour la capacité à attendre encore quelque chose d’elle. Peu à peu, elle devient donc une personne étrangère. Et on a forcément moins d’empathie et d’attention pour une personne étrangère…

    Il y a mieux à faire que d’espérer y échapper : soyez actifs

    Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour que ça m’arrive ? La maladie d’Alzheimer est souvent vue comme un mal qui nous tombe dessus, un châtiment injuste qui s’installe sans frapper. Si les mécanismes permettant son développement sont encore largement méconnus, on sait qu’il est possible de réduire le risque, à condition de s’y prendre à l’avance. Car une fois que le ver est dans le fruit, c’est déjà trop tard.

    1) La restriction calorique

    Comment définir le devenir de personnes prédisposées génétiquement à la maladie (tous porteurs du gène ApoE4) ? Avant tout, sachez que les personnes qui ont une alimentation riche en calories sont plus touchées que celles qui en consomment relativement peu. La restriction calorique permet d’augmenter la résistance des neurones à la maladie d’Alzheimer, aux accidents vasculaires cérébraux mais aussi au vieillissement normal de l’organisme. Il y a donc un intérêt réel à réduire les portions alimentaires, autre que la perte de poids et l’aspect esthétique. Pour cela, pas de secret, l’instauration d’une nouvelle habitude, d'excellentes combinaisons alimentaires, une discipline de fer et des aides naturelles pour réduire l’appétit comme Konjac, Nopal et Griffonia simplicifolia (pour augmenter la sensation de satiété).

    2) Une alimentation riche en antioxydants

    L’intérêt des antioxydants pour réduire les effets néfastes des espèces réactives de l’oxygène sur les neurones, est indéniable. Bien que tous les antioxydants semblent être bénéfiques, je met l’accent sur 3 antioxydants : l’acide folique (qu’on trouve surtout dans les abats, les légumineuses et les légumes à feuilles vert foncé, mais aussi dans des suppléments tels que Multivitamines B, la vitamine B6 (qu’on trouve dans les abats, le poisson et les céréales entières, ou dans des suppléments tels que Formule Vitaminéro) et la vitamine B12 (Je vous conseille de lire à ce sujet : Vitamine B12 : Pénurie de masse et ses conséquences dangereuses).

    3) Un entraînement mental

    Les personnes s’adonnant à des activités stimulantes sur le plan mental (lecture, jeux de réflexion, apprentissage, jeux de mémoire) ont moins de risque de souffrir de démence à un âge avancé. C’est le fait de garder un esprit actif et alerte tout au long de sa vie qui favorise le maintien des connexions neuronales et permet de repousser le déclin cognitif et la démence. Si vous ne pratiquez pas ce genre d’activité, vous savez donc ce qui vous reste à faire.

    A l’heure actuelle, il n’existe toujours pas de traitement efficace pour guérir la maladie d’Alzheimer et toutes les formes de démence apparentées. Il est donc logique d’en avoir peur. Mais la peur peut aussi être une arme efficace lorsqu’elle est utilisée à bon escient : ne la laissez pas vous tétaniser et agissez dès maintenant.

    Alors que faire pour enrayer la maladie et contrer les symptômes ?

    Il n’est actuellement pas possible de guérir la maladie d’Alzheimer, mais vous pouvez tout à fait  vous opposer à sa progression et enrayer le déclin qui affecte la mémoire et les fonctions cognitives ! J'ai donc recensé quelques remèdes naturels, très documentés dans la littérature scientifique, et malheureusement trop peu connus du grand public :

    Le Ginkgo Biloba

    • Plusieurs études montrent que la prise d’un supplément naturel à base de feuilles de ginkgo biloba améliore les symptômes de la maladie d’Alzheimer, et notamment la mémoire et la vitesse de traitement cognitif.

    Mécanismes d’action : l’intérêt des feuilles de ginkgo sur la maladie d’Alzheimer s’explique par ses effets positifs sur les protéines beta-amyloïdes qui induisent la mort des cellules. Il est également fort probable qu’elles influencent les niveaux de plusieurs neurotransmetteurs-clés (des composés chimiques libérés par les neurones agissant sur d'autres neurones).

    Le Safran

    • Actuellement, il a été démontré que l'extrait de safran possède un effet antioxydant, anti-inflammatoire, anticonvulsif, antidépresseur, et améliore également la mémoire et l'apprentissage. La crocine, la picrocrocine, la crocétine et le safranal ont des propriétés antioxydantes et ont été utilisés dans la médecine traditionnelle indienne pour le traitement des dysfonctionnements cognitifs. De cette façon, son utilisation pour améliorer la mémoire et l'apprentissage a été décrite du fait que l'effet antioxydant du safran participe à la protection des neurones contre l'oxydation : l'extrait de safran peut éliminer les radicaux libres, plus particulièrement les ions superoxyde.

    Le moringa

    • La feuille de moringa est d’un vert vif, elle contient plus de 90 nutriments, 46 antioxydants, vitamines, minéraux, protéines, ainsi que tous les acides aminés essentiels. Elle est considérée comme un super-aliment. Elle traîte la dégénérescence nerveuse et cellulaire.

    Oméga-3  EPA+ et vitamine E

    • Les omégas-3 EPA+ participent au bon développement du cerveau, des nerfs, de la rétine. Ils sont donc importants. Ils préservent la vue et les fonctions cérébrales. Ils sont bénéfiques à notre équilibre nerveux et émotionnel. Bref, vous avez tout intérêt à en augmenter les quantités en apports de compléments alimentaires.

    Redox

    • REDOX aide l’organisme à se protéger d’une des principales causes du vieillissement prématuré, le stress oxydatif, causé par les radicaux libres. En effet, de nombreux facteurs favorisent leur production. Cette espèce chimique très instable oxyde les cellules et fragilise le système immunitaire, provoquant l'apparition de certaines maladies comme le cancer. Seuls les antioxydants peuvent alors équilibrer les fonctions naturelles de l’organisme mis à mal. Grâce à sa formule unique en antioxydants végétaux, REDOX est un puissant anti-âge, qui redonne bien-être et vitalité.